• Chapitre 4 Un passé caché
     

     

    Jamais Matthew n'aurait pu penser qu'il aurait pu rencontrer quelqu'un lié directement à son passé. Rebecca était une de ses personnes qui comptait le plus dans sa vie. Il était même essentiel à ses yeux, sachant qu'il s'agissait de la soeur de sa défunte femme Melody. Ce regard le déstabilisait toujours autant. Il était vrai qu'à l'époque, Rebcca en pinçait pour lui, et même un peu trop qu'il avait eu du mal à repousser ses avances. Aujourd'hui, la retrouver alors qu'il avait retrouvé son amour de toujours : Melody Evans, allait de nouveau poser problème. Il marchait sur des oeufs, afin de savoir ce qu'elle faisait ici, et surtout, si elle avait l'intention de tenter de bouleverser de nouveau sa vie. Pour Rebecca, par contre, cela n'était pas réellement une surprise de le retrouver, sachant qu'elle devait au nom de Michael Fitzpatrick tout faire pour que la famille noue un contact avec les Spencer. Mais rien que de voir Matthew faisait monter en elle des souvenirs, ceux où pour les personnes de sa famille, elle n'était qu'une ingrate, ne sachant pas quoi faire, et surtout, indigne d'une famille respectable. Elle sortait vite ses pensées de l'esprit, souriant timidement à Matthew et s'approchant de lui.

     

    R (tentant d'effleurer timidement la joue de Matthew mais se ravisant) : "Je suis médecin ici, et j'ai été chargée de ses tests. Comme le destin peut parfois nous jouer de vilains tours.

    M (choqué) : C'est le moins que l'on puisse dire, alors que ça fait deux ans que tu avais disparu, deux ans où on a perdu une personne que nous chérissons le plus possible. Pourquoi tu as fui comme ça ? Pourquoi, sans même donner de nouvelles, alors que l'on aurait pu tout orgniser ? Ton père se faisait un sang d'encre pour toi. Sur son lit de mort, il n'arrêtait pas de te réclamer.

    R (se sentant coupable et baissant la tête) : Je n'étais plus capable de rester. Je devais changer d'air, laissant tout derrière moi. Et puis, je ne me sentais pas capable de rester, alors que j'avais des sentiments pour toi à l'époque, me devant de me retenir, alors que tu aimais ma soeur. Depuis, j'ai fait la rencontre de quelqu'un et je suis mariée.

    M (surpris) : Tu es à la fois médecin et marié ? Qui est l'heureux élu ?

    R (relevant doucement la tête afin de croiser le regard envoûtant de Matthew) : Comme tu peux le constater, en deux ans, les choses ont changé. Je suis avec James Fitzpatrick, un détective privé.

    M (restant calme alors qu'il n'avait pas confiance en cet homme, lui qui avait récemment débarqué dans la demeure Spencer et qui y était encore avec Ryan) : Toutes mes sincères félicitations, et j'espère que tu es heureuse.

    R (faisant mine de cacher les soucis qu'il y avait) : Je le suis, et j'espère qu'un jour, je pourrais former ma propre famille avec lui, comme je l'espère pour toi aussi.

    M (souriant) : C'est gentil, et c'est peut-être déjà le cas.

    R (souriant) : Je croise les doigts aussi.

    M (curieux) : J'espère que notre passé ne va pas mettre en cause les tests.

    R (se rapprochant de lui et posant ses mains sur ses épaules pour le rassurer) : Ne t'inquiète pas, tout ira bien.

    M (souriant) : Merci à toi."

     

    Matthew et Rebecca se regardaient, laissant le silence peser autour d'eux. Un simple geste ou regard valait mieux que mille mots, et entre eux, ils étaient proches, des connaissances s'étant perdus de vue, mais au fond, il y avait des secrets même trop lourd. Rebecca avait pu donner de ses nouvelles, mais elle désirait en savoir davantage sur Matthew, afin de deviner plus facilement les intentions de Michael envers cette famille.

     

    R (curieuse) : "Et toi beau brun, qu'es-tu devenu ?

    M (calme) : Je suis avec une fille magnifique et même futur père de famille. Je ne pouvais pas être plus heureux qu'en cet instant après tout ce temps de doute et d'incertitude, où je vivais sans avoir un réel but. Comme tu peux le constater, les Etats-Unis ne sont plus pour moi, et je suis revenu à Londres.

    R : Oh, je vois, et tu as revu les tiens ?

    M (préférant la protéger) : C'est toute une histoire, mais je préfère me concentrer sur l'essentiel.

    R (souriant et se montrant compréhensive) : Je comprends. En tout cas, si tu as besoin, n'hésite pas à me trouver.

    M (souriant) : D'accord, je saurais où te trouver.

    R (se souciant des apparences) : En tout cas, je croise les doigts pour ce test.

    M (comprenant ce qu'elle essayait de faire) : Moi aussi. Qui sait, on se recroisera très bientôt.

    R (souriant légèrement) : C'est possible."

     

    Rebecca l'embrassait subtilement sur la joue, ce qui lui laissait un souvenir impérissable de ce temps lorsqu'il était aux Etats-Unis. Matthew s'en allait, la laissant seule.

     

     

    Elle en profitait pour donner un coup de téléphone à Michael.

     

    M : "Oui ?

    R : Je les ai vus.

    M (heureux) : Parfait alors. Maintenant on peut passer à la suite.

    R : Oui."

     

    Rebecca raccrochait laissant le doute submerger son esprit.

     

     

    Michael en profitait pour se préparer quand soudain, quelqu'un frappait chez lui. Il se demandait bien qui c'était vu qu'il n'attendait personne mais quand il ouvrit, il avait la surprise de se trouver en face de Melinda. Un sourire léger mais cachant ses intentions apparaissait sur son visage. Il posait sa main sur son épaule l'invitant à rentrer. Elle souriait, rentrant telle une féline désirant attraper sa proie qu'il ne pouvait s'empêcher de regarder le postérieur et relevant la tête. Il était bien décidé à savoir ce qu'elle faisait ici.

     

    Mi (curieux) : "Ca m'étonne que tu viennes par ici, surtout que l'on avait convenu que jamais on ne se verrait dans ses lieux, préservant notre secret.

    Me (se plongeant dans son regard pour l'ensorceler) : J'en ai marre d'attendre, et tu le sais bien. Ce visage, ce corps de rêve, de canon, je rêvais de le voir, et le voilà. Je te veux trésor.

    Mi (insistant) : Pas ici, pas maintenant.

    Me (faisant une moue) : Tu ne veux pas que je dise tout ce que tu fais, n'est-ce pas ? Tout de notre relation ?

    Mi (se sentant piégé) : Tu ne feras pas ça ? Je te ferais pendre haut et court pour me trahir de la sorte.

    Me (mordillant l'oreille de cet homme, et ensuite dans le creux de son cou pour le faire frémir) : Voyons, vu ma situation, tu sais que tu ne peux pas.

    Mi (curieux) : Tu serais prête à n'importe quoi pour moi ?

    Me (lui faisant un clin d'oeil) : Prête à tout pour te faire plier et mieux te sentir en moi. C'est elle que je veux et de suite. Tu ne m'as plus fait vibrer depuis longtemps, et ça croit, mon corps le réclame sans cesse. Je sais toi aussi que tu me veux, que tu me désires, que tu as besoin de sentir mon corps contre le tien dans un moment torride et ardent. Laisse-toi aller chéri, et tu m'en diras des nouvelles."

     

    Melinda profitait comme une diablesse pour malaxer coquinement ce qu'elle désirait, rentrant sa main à l'intérieur du pantalon de son bellâtre et procurant une douceur incomparable. Il se montrait souvent dur et même cruel, mais là, avec une telle torture, c'était difficile pour lui de résister. Melinda n'avait pas dit son dernier mot. Elle l'achevait en mordillant perversement le lobe de son oreille procurant une douceur de tous les diables, puis elle descendait dans le creux de son cou, le mordillant au sang et léchant les traces qui s'en dégageaient. Elle l'achevait en arrachant tous ses vêtements et mordillant son torse par endroit, laissant sa langue parcourir sa peau et lui procurait une douceur de tous les diables. Il n'en pouvait plus qu'il l'allongeait sur le canapé, déchirant tous les vêtements de la belle, et la couvrant d'attentions. Celle-ci désirait bien plus qu'elle l'emmenait à sa poitrine coinçant sa tête pour ressentir ses baisers. Il s'exécutait immédiatement qu'elle le kidnappait par la taille avec sa jambe, pour sentir au plus près son corps près du sien. Seulement, elle aimait tout contrôler qu'elle le basculait sur le dos, griffant son torse au sang et s'empalant sur son intimité. Tellement fou d'elle, ils passèrent rapidement à l'acte.

     

     

    Pendant ce temps, le reste du groupe attendait Matthew qui revenait plutôt confiant, mais surtout, il avait encore en tête sa rencontre avec Rebecca. Il était plongé dans ses pensées quand Melody, par un baiser des plus tendres le sortait de sa torpeur. Il souriait, caressant la joue de sa belle et l'embrassant sur le coin de ses lèvres tendrement. Il l'emmenait même dans ses bras, lui offrant un tendre câlin. Cependant, Melody était curieuse.

     

    Me : "Tu penses aux résultats ?

    Ma (laissant une partie de la vérité secrète) : Oui.

    Me (le rassurant et ne se doutant de rien) : Ne t'inquiète pas. Je suis certaine que tout ira bien.

    Ma (souriant) : Tu es un ange tu sais, quelqu'un d'extraordinaire, et j'ai une chance folle de me trouver à tes côtés.

    Me (heureuse) : Moi aussi mon coeur, je t'aime plus que tout au monde.

    Ma (heureux) : Je t'aime aussi bébé, tellement fort."

     

    Ils s'embrassèrent passionnément. Les pensées de Matthew ne le laissaient pas tranquille jusqu'à présent mais grâce à sa dulcinée, il réussissait à oublier le passé un temps.

     

     

    Par contre, Matthew Carter pensait à sa belle, afin de la retrouver et venait vers Matthew Spencer.

     

    M. C (gêné) : "Pardon de vous interrompre, mais serait-il possible Matthew que vous restiez ici un temps ? Il faut que j'aille voir quelqu'un.

    M (l'excusant) : Oh, pas de soucis. Mais qui tu dois aller voir exactement si ce n'est pas indiscret ?

    M. C : Cassandra Davenport.

    M (se souvenant de ce qui lui était arrivé et entre temps, il y avait tellement de soucis qu'elle était passée au second plan) : Oh. Vas-y. Mais peut-être que l'on peut venir avec toi pour te soutenir non ?

    M. C (surpris) : Oh, bien sûr, vous pouvez.

    M : Alors on vient, et tous ensemble."

     

     

    Bien sûr, Matthew avait insisté visant tout spécialement Andrew et Alyson. Ceux-ci le remarquaient bien en voyant un regard plutôt évocateur. Alyson regardait Andrew, lui faisant signe qu'ils pouvaient y aller discrètement, mais Matthew Carter les avait remarqué et prenait leurs bras.

     

     

    M (insistant) : "On a dit tout le monde.

    A (résigné) : On vient."

     

    Tout le groupe partait vers la chambre de Cassandra.

     

     

    De son côté, James était toujours dans la demeure des Spencer avec Ryan qui le surveillait de bien près. De par son métier, il savait se montrer très discret, qu'il regardait dans tous les recoins. Mais là, Ryan l'avait remarqué. Il le prenait par le bras afin d'obtenir des réponses.

     

    R (surprenant son invité) : "Qu'est-ce que vous cherchez de précis au juste ?

    J (réfléchissant vite à une bonne histoire pour cacher ses véritables intentions) : Vous avez dit que Brooklyn avait été kidnappée ? Et bien, pour que cela se fasse, il fallait emprunter un chemin, un bien particulier.

    R (curieux) : Vous cherchez un passage secret ?

    J (voyant que sa stratégie fonctionner) : Bien sûr. Ainsi, vous et moi pourront suivre le chemin et voir où cela conduit. Qu'est-ce que vous en dites ?

    R (heureux d'une bonne piste mais en même temps, curieux) : Je dis que c'est merveilleux et ainsi, depuis l'extérieur, on pourra facilement retrouver Brooklyn. Vous êtes un génie !

    J (jouant les modestes) : Oh, je ne fais que mon travail vous savez. Mais avez-vous connaissance des passages secrets ?

    R : Oui. Il se trouve que mon père m'a confié un accès illimité.

    J (satisfait) : Parfait alors.

    R : Je peux vous conduire au premier, celui de la bibliothèque."

     

    Les deux partaient vers la bibliothèque. Sur le chemin, James en profitait pour envoyer un message mettant directement que tout cela se passait comme prévu. A quoi allait servir les passages secrets ? Là, c'était l'énigme.

     

     

    Pendant ce temps, Michael et Melinda se reposaient après ce moment torride. C'était à cet instant que Melinda se blottissait contre lui, pouvant mettre enfin mettre sa stratégie en place.

     

    Me (le regardant coquinement) : "Tu sais qu'il aimerait te voir ? Il te réclame sans cesse.

    Mi (calme) : Je ne peux pas me déplacer sans cesse et tu sais pourquoi.

    Me (curieuse) : Et pourquoi tu ne révèlerais pas pour nous ?

    Mi : J'ai un statut. Tu crois que je peux dire sincèrement avec la position que j'ai que je suis avec toi ?

    Me (insistant) : Cela ne te ferait pas de mal de le reconnaître. Tu passes partout pour un séducteur alors te ranger te ferait du mieux et il voudrait être à tes côtés. Tu sais qu'il me parle de toi tous les soirs.

    Mi (triste) : Je sais.

    Me (suppliant) : Je ne veux pas qu'il grandisse sans voir son pèr et ce régulièrement. Tu comprends cela ? Il n'y a pas que ton statut, il n'y a pas que ton objectif et l'accès au pouvoir qui compte. Tu n'as pas envie de lu transmettre ton savoir et un jour tout ce que tu possèdes ?

    Mi (réfléchissant) : Tu as raison. Mon fils mérite de connaître tout cela.

    Me (insistant) : Alors arrête tes conneries et n'ait pas peur de ce que ton frère peut penser.

    Mi (fermant légèrement son poing) : Parfois je peux le détester. C'est qu'il est tellement conventionnel, et quand il frime qu'il est le plus énervant.

    Me (compréhensive) : Montre-lui qui est le boss. Après tout, tu es le garant de l'héritage familial chéri."

     

    Melinda lui faisait un clin d'oeil, afin de lui montrer réellement qu'il était le grand chef. Michael se sentait plus fort que jamais qu'il l'embrassait avec une fougue démesurée. En fait, Melinda avait ce qu'elle désirait. Elle était cachée, rêvant d'un peu plus de place et rêvant du pouvoir, elle l'obtenait.

     

     

    Le groupe arrivait quand à lui auprès de Cassandra qui était encore éprouvée par la tentative d'assassinat dont elle avait été victime et que Michael en avait été à l'origine. Lorsqu'elle voyait son bel ange arrivait, elle affichait un sourire, tentant de cacher au mieux ce qui lui était arrivé, mais la venue d'autres personnes dont Matthew Spencer, la personne qu'elle devait protéger la surprenait. Matthew venait immédiatement près d'elle, l'embrassant tendrement et se rapprochant d'elle en la blottissant dans ses bras pour la rassurer.

     

     

    M. C (calme) : "Je suis désolé si je suis venu avec tant de personnes.

    C (souriant) : Ce n'est pas grave mon ange.

    M. C (sentant que quelque chose ne va pas) : Tout va bien ?

    C (le rassurant) : Ca va mon chéri, maintenant que tu es là. C'est que je déteste les hôpitaux tu le sais bien.

    M. C (curieux) : Il n'y a pas autre chose au moins ?

    C (lui donnant un baiser tendre sur le coin de ses lèvres) : Ce n'est rien maintenant. Et je ne veux pas t'attirer des ennuis.

    M. C (inquiet) : Qu'est-ce qui se passe ?

    C (avouant la vérité) : On a tenté de m'éliminer.

    M. C  (furieux) : Il est hors de question que je te laisse de nouveau. Je ne veux pas te perdre, tu comprends ça ? Qui t'a fait ça ?

    C (caressant la joue de son homme et l'embrassant tout en lui murmurant le nom) : Tu sais qui malheureusement."

     

    Matthew Carter restait au plus près de sa belle pensant à ce qu'il ferait à cette personne même si c'était son patron.

     

     

    Cependant, le reste du groupe ne comprenait pas grand chose et aimerait avoir des explications. Matthew Spencer en tête, avançait gêné, ne désirant pas les interrompre mais il le fallait.

     

     

    M (calme) : "Pardon de vous interrompre.

    C (souriant légèrement) : Ce n'est pas grave.

    M (souriant légèrement) : Je suis ravi de te revoir même si c'est dans d'étranges circonstances.

    C : Moi aussi.

    M : Je t'ai vu dans cet état après ce qu'il t'est arrivé, et ca m'était difficile. Tout cela est de ma faute.

    C (curieuse) : Comment ça ?

    M (calme) : C'est lié à la position actuelle de la famille."

     

    Cassandra essayait de garder la tête froide, et ne laissait pratiquement rien transparaître. Elle était déjà mêlée à une guerre ouverte contre Michael mais là, c'était pire.

     

    C : "Oh, je vois.

    M : Je te demande pardon.

    C (le rassurant) : Ce n'est rien.

    M (curieux) : Est-ce en rapport avec ce qu'il vient de t'arriver ici ? Qui t'a fait cela ?"

     

    Cassandra sur le coup ne savait pas quoi répondre. Là, elle était à un tournant où elle avait les Spencer devant elle, qu'elle pouvait directement parler de Michael, mais en même temps, elle pensait à la position fragile de son homme. Allait-elle dire ce qu'elle savait ?

     

     

    Au même instant, James et Ryan arrivaient à la bibliothèque. Le second de la famille Spencer cherchait le passage. Il se trouvait devant un mur près de l'allée des livres de Sheakspare. Il frappait doucement contre le mur à plusieurs endroits et trouvait un creux. Il frappait juste un cou et ce creux se creusait davantage, ouvrant une porte secrète. James était ravi de voir cela, mais il ne laissait rien transparaître de telle sorte à ce que l'on ne se doute pas de ses réelles intentions. Ryan passait le premier, longeant les tunnels plutôt sombres et lugubres. Il ne voyait pas si James le suivait mais il continuait. Les deux hommes voyaient des pièces secrètes. Ryan rentrait le premier trouvant une salle avec des objets datant de trente ans voire même de plus, avec des photos issues de la jeunesse de William Spencer et de deux femmes, à savoir l'une qui était la mère décédée des trois frères Spencer depuis une quinzaine d'années et une autre mystérieuse pour Ryan. James s'approchait afin de constater la découverte du second Spencer. Crédule, Ryan lui passait la photo.

     

    R (encore stupéfait) : "Jamais je n'avais connaissance de cet endroit, et particulièrement de cette photo.

    J (curieux) : Donc sur cette photo, il y aurait qui ?

    R (calme) : Mon père, ma mère décédée depuis plus de 15 ans maintenant et également une femme que je ne connais nullement.

    J (curieux et reconnaissant l'autre femme, mais préférant cacher l'information) : D'après vous, qui elle serait ?

    R (calme) : Je ne sais pas. Est-ce une relation de mon père ? Un membre de sa famille que je ne connais pas ? Je l'ignore complètement.

    J (curieux) : Est-ce que vous avez gardé les documents de votre père quelque part ? Si ce n'est pas indiscret bien entendu.

    R (ayant confiance) : Bien sûr, et je vous le montrerais comme il se doit. Mais avant, ne devrions-nous pas continuer à longer le tunnel pour voir où ça mène ?

    J (ayant ce qu'il fallait mais devait jouer le jeu sinon il serait grillé) : Bien sûr, mais on doit faire attention à ce que l'on trouve.

    R : Bien entendu. Alors on y va de ce pas."

     

    Ryan et James continuaient leur chemin et trouvaient de la lumière. Il y avait une petite barrière que Ryan enlevait vite fait avec un coup de pied et sortait. James était juste derrière. Ryan observait l'extérieur et voyant des traces de dérapage, il voyait une sérieuse piste pou sa belle Brooklyn qui lui manquait terriblement. Il était même tout heureux.

     

    R (souriant) : "Je ne peux que vous remercier James. Grâce à vous, on peut arriver jusqu'à Brooklyn.

    J (affichant en apparence un sourire) : C'est normal. Et le fait de pouvoir vous réunir ne peut que me rendre heureux et Matthew le sera également.

    R (curieux) : C'est gentil. Mais est-ce que l'on peut suivre la piste ? Il faut faire vite.

    J (curieux afin de mieux mettre en confiance le second de la famille) : Mais pourquoi cela ?

    R (calme) : Car le ravisseur a fait une demande de rançon, et que le moment approche.

    J (curieux) : Mais quelle est cette rançon ?

    R (calme) : Des terres.

    J (compatissant) : Oh, ce n'est pas commun mais pour vous, on va la suivre. On va tout faire pour vous évitez de suivre les instructions. C'est que l'on ne sait pas si le ravisseur tiendra promesse de libérer votre amie.

    R : Merci, alors partons vite."

     

    Les deux hommes suivaient les traces. James recevait un message et voyant ce qui était demandé sur le fait où ça en était, le second des Fitzpatrick donnait la situation sur le fait que Ryan avait trouvé les traces du véhicule qui avait enlevé Brooklyn ainsi que la photo de deux femmes et de William Spencer. La réponse qu'il recevait était sans appel : contrôler Ryan sinon il faudrait le mettre hors jeu et déstabiliser les Summers. Ryan allait-t-il être une victime ?

     

     

    De leur côté, Cassandra réfléchissait toujours et Matthew Carter la révéillait de sa torpeur, pensant à son bien-être.

     

    M. C (inquiet) : "Chérie, tu as peur pour moi ?

    C (se réveillant) : Oui mon ange. De te mettre en danger. C'est que je ne désire pas cela, tu sais.

    M. C (la rassurant) : Ecoute-moi, je saurais me protéger, et il vaut mieux tout faire pour que l'on avance, tu ne crois pas, avec aucun secret ?

    C (souriant légèrement) : Tu as raison.

    M. C (la conseillant au mieux) : Alors, tu ferais mieux de révéler à tout le monde qui a fait cela.

    C : D'accord."

     

     

    Cassandra se mettait à regarder attentivement le plus jeune des Spencer, se disant qu'il était temps de mettre son plan en route. Si elle pouvait enfin mettre hors d'état de nuire Michael Fitzpatrick sauvant son homme de son influence, elle serait heureuse.

     

     

    C (gênée) : Je suis désolée Matthew de mettre du temps à répondre, je récupère.

    M (compréhensif) : Je comprends, et surtout, tu as tout fait pour me protéger, alors je ne peux t'en tenir rigueur.

    C (souriant légèrement) : Merci.

    M (curieux) : Alors qui s'en est pris à toi ici ?

    C (prenant une grande inspiration) : Il s'agit de Michael Fitzpatrick.

    M (curieux) : C'est un homme plutôt influeux, dans des activités un peu non conventionnel et qu'il ne vaut mieux pas chercher non ?

    C : Oui, et il vaut mieux ne pas se mettre en travers de son chemin, chose que j'ai faite et il s'acharne sur moi.

    M (curieux) : Qu'est-ce qu'il te veux ?

    C (cachant une partie de l'information) : Parce qu'il veut me posséder. Il a une réputation de séducteur invétéré et plus on lui résiste, plus, il sera obsédé faisant n'importe quoi.

    M : Je suis tellement désolé qu'il t'arrive ce genre de chose.

    C (le rassurant) : Ca va aller, et je suis forte.

    M : On va te mettre sous protection, et cela concerne aussi Matthew.

    M. C (reconnaissant) : Vraiment merci, c'est très gentil.

    C (reconnaissante) : Merci, mais ça serait trop contraignant non ?

    M (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, tout ira bien.

    C (souriant) : Alors on accepte.

    M (heureux) : J'en suis plus que ravi. Mais Michael ne pose-t-il pas une autre menace sur vous ?

    C (gênée) : Si j'ai autre chose, je préfère mieux en parler ailleurs, de peur de ne pas pouvoir sortir d'ici en vie. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit de même qu'à tout ce monde.

    M (la rassurant) : Ne t'inquiète pas. Et je comprends ton point de vue."

     

    Finalement Cassandra n'avait pas tout raconté préférant jouer de prudence. Allait-elle tenir sa promesse ou finalement tout taire, gardant la protection des Spencer pour elle et son homme contre Michael Fitzpatrick ?

     

     

    Du côté de la demeure Spencer, Megan était seule et recevait un appel. Elle n'avait d'autre choix que de répondre.

     

    M (surprise) : "Ici, Megan.

    L'inconnu : Tu ne m'as pas oublié j'espère ?

    M (résignée) : Non.

    L'inconnu : Il est temps de mettre le feu aux poudres chez les Spencer.

    M (curieuse) : Je croyais que le plan était parfait.

    L'inconnu : Pour Matthew, pour Melody, pour avoir du soutien, d'accord, mais il faut piéger l'ainé, et tes charmes sont utiles.

    M (curieuse) : Que dois-je faire ?

    L'inconnu : Rends-toi dans la chambre d'Andrew et débrouille-toi pour avoir des preuves. Il faut créer une guerre et plus vite que ça. Le reste des membres découvre certains secrets mais on a besoin de tes talents.

    M (furieuse) : Mais j'en ai marre de bosser pour vous. Ma liberté, je l'aurais quand ?

    L'inconnu : Tu l'auras quand les Spencer seront totalement désunis qu'ils seront perdus, compris ?

    M (résignée) : Compris."

     

    Megan raccrochait et se rendait vite dans la chambre d'Andrew. Ayant son portable avec elle, celle-ci envoyait un message coquin à son amant afin de le faire revenir à la demeure Spencer. Ensuite, elle posait dans un coin bien discret son portable le mettant en marche pour filmer ses futurs ébats et se mettait en place en tenue bien sexy pour attirer totalement sa proie.

     

     

    A l'hôpital, Cassandra se blottissait contre son homme, laissant des larmes pleurer pour montrer qu'elle en avait marre de parler d'autant de traumatismes. Matthew Carter la prenait contre lui, lui donnant de tendres baisers et c'était à cet instant qu'Andrew recevait un message qui était celui-ci "je suis nue, je m'amuse toute seule à me caresser et j'ai besoin de tes mains expertes, tu me manques trésor, rejoins-moi vite." Il découvrait que c'était Megan. Il ne savait pas comment sortir de l'hôpital sans attirer l'attention. Alyson le regardait essayant de savoir ce qu'il se passait mais en réfléchissant, elle avait aussi des comptes à règler avec James Fitzpatrick. Elle parlait la première.

     

     

    Al (tout bas) : "Chéri, il faudrait que l'on parte d'ici. Regarde, ils sont tellement obnubilés par l'histoire de Cassandra qu'ils ne nous surveillent même plus. Il faudrait reprendre la main, tu ne crois pas ?

    An (souriant et parlant tout bas, voyant qu'il avait de la chance) : Tu as raison. Le résultat ne va pas arriver tout de suite.

    Al (tout bas) : Partons discrètement alors. Et surtout, aucn bruit.

    An (tout bas) : D'accord."

     

    Le couple s'éclipsait discrètement. Aucun du reste du groupe ne s'en doutait. Sortant de l'hôpital, Alyson et Andrew respiraient, se blottissant dans les bras l'un de l'autre et s'embrassant passionnément. Puis Andrew regardait sa belle, caressant sa joue.

     

    An (souriant) : "Tu veux aller où ma chérie ?

    Al (se frottant les mains pour préparer sa stratégie) : Je veux que l'on retourne à la maison. Profitons pour fouiller dans les affaires de Matthew et de Melody, et trouvant un moyen de les faire chanter.

    An (ravi d'avoir une femme aussi perfide que lui) : Oh, tu sais que je t'aime toi ?

    Al (souriant) : Bien sûr mon ange. Et crois-moi, ils ne vont plus afficher cet air supérieur.

    An (curieux) : Ne crois-tu pas que l'on devrait fouiller dans celles de Melody d'abord ? J'ai une idée.

    Al (curieuse) : Dis-moi.

    An (calme) : C'est par elle que l'on peut discréditer Matthew. Elle peut cacher bien des choses.

    Al (souriant) : Bien, mais ton frère, en dix ans d'absence peut aussi avoir des secrets.

    An : Je ne dis pas le contraire, mais Melody sera la cible idéale.

    Al (réfléchissant) : Bien, et ainsi, si Ethan est ton fils, tu récupères la garde légalement, et tu peux mettre Melody hors d'état de nuire. Mon chéri, tu es un roi en puissance.

    An : Le pouvoir est à portée mon ange."

     

    Andrew et Alyson partaient. Même s'ils avaient un bon plan en apparence, dans leurs pensées, ils avaient un autre objectif à assouvir. Andrew allait-il se jeter dans la gueule du loup ? Qu'est-ce qui va se passer avec James et Alyson prochainement ?

     

     

    Surtout qu'ils n'étaient pas sorti de l'auberge car en se tournant Matthew voyait la disparition de son frère et de sa compagne.

     

    M (énervé) : "Ils préparent un coup foireux, je les hais."

     

     

    Matthew était bien énervé, mais il essayait de se contenir pour ne pas inquiéter son garçon Ethan. Melody s'approchait de son homme et venait le prendre dans ses bras. Elle se montrait compréhensive.

     

     

    Me (posant ses mains sur le dos de son bel homme, le caressant légèrement) : "Ne t'inquiète pas mon ange. On peut rentrer afin de les retrouver, tu ne crois pas ?

    Ma (pensant à Ethan) : On ne peut l'emmener, tu sais ?

    Me (l'embrassant sur la joue) : C'est sûr.

    E (intervenant) : Je ne suis pas en sucre vous savez. Si je dois gueuler, je gueule, et vous ne m'en empêcherez pas, non mais. Ce n'est pas des gros branleurs qui vont me mettre hors jeu non mais.

    Me (le recadrant) : Non, mais comment tu parles fiston, qu'est-ce que je t'ai déjà dit ?

    E (gêné) : Pardon, mais ils le méritent bien non ?

    Ma (jouant des cheveux de son petit gars) : Mais c'est que tu m'épaterais champion !

    E (souriant) : Oh j'aime quand tu m'appelles ainsi. Tu es le meilleur, tu sais.

    Ma (ému) : Ca me touche énormément fiston. Bon, alors, partons vite de l'hôpital. On vous laisse tous les deux Matthew, ça ne te dérange pas ?

    Ma. C : Bien sûr que non.

    Ma : Je t'appelerais s'il y a un soucis.

    Ma. C : Aucun soucis, et en retour, je vous préviendrais dès que Cassandra sortira d'ici.

    Ma : D'accord."

     

     

    Matthew, Melody et Ethan partaient laissant Matthew Carter et Cassandra seuls.

     

     

    Pendant ce temps, Brooklyn essayait par tous les moyens de se libérer, bougeant de gauche à droite pour essayer de se détacher. Elle en profitait ne voyant personne. Elle n'arrêtait pas de bouger ne désirant plus moisir dans cet endroit et elle ne comptait pas laisser celui ou ceux qui l'avaient kidnappés prendre le dessus sur elle. Elle avait conscience qu'elle n'avait plus beaucoup de temps. Cependant sa manoeuvre était un échec qu'elle tombait immédiatement. Elle se trouvait dans une bien mauvaise position.

     

     

    Pendant ce temps, James et Ryan suivaient les traces du véhicule et cela les emmenait dans un endroit désafecté. Ryan passait devant, regardant dans chaque recoin si jamais Brooklyn se trouvait dans les parages. James discrètement donnait par sms sa position et avait gardé la photo représentant William Spencer, son épouse et une autre femme mystérieuse. Il avait transmis la photo, afin que celle-ci soit analysée. Ryan continuait son exploration, jusqu'à voir des traces d'une personne qui avait été retenue contre son gré. Il pensait avoir enfin trouvé la piste. Il pensait à Brooklyn sur l'instant. James recevait des nouvelles disant que le tout sera fait pour qu'un Spencer ait carrément une confiance absolue qu'il ne se doutera pas de la supercherie. Ils continuaient leur exploration quand soudain, Ryan se faisait assommer. James savait qu'il fallait jouer le jeu. Alors il prenait son arme et tirait au hasard, comme s'il avait vu la personne qui avait fait cela. Ryan était complètement sonné. Après quelques instants, il se relevait difficilement, voyant difficilement James en action. Il était admiratif, sentant que son collègue lui avait sauvé la mise. James venait à lui, jouant le sauveur. Il le relevait, se montrant à son écoute.

     

    J (jouant son rôle à la perfection) : "Ryan ? Ryan ? Ca va ?

    R (encore sonné) : Ca va et grâce à vous.

    J (jouant celui pensant à la sécurité de son partenaire) : On ne peut pas continuer comme ça, sans être préparé. Vous vous rendez compte qu'il aurait pu vous arriver quelque chose et que le royaume serait dans le chaos, ne laissant que vos deux frères ?

    R (gêné) : Je m'en rends compte.

    J (calme afin de faire sa proposition qui ne pourra qu'être accepté) : Il faut rentrer et s'organiser davantage pour reprendre cette enquête.

    R (triste) : Mais pour Brooklyn ?

    J (déterminé) : Qu'est-ce que dirait votre compagne si jamais il vous arrivait quelque chose ? Elle ne le supporterait pas. Je sais que vous voulez prendre des risques, quitte même à mourir, mais un plan suicidaire lui desservira. Qu'est-ce qui vous donnera la garantie que vous la sauverez ainsi ?

    R (triste) : Vous avez raison. Je vous dois tellement pour m'avoir sauvé. Si vous avez besoin et ce, de quoi que ce soit, n'hésitez pas, et je le ferais.

    J (satisfait mais ne le laissant pas transparaître) : Oh, merci, je ne sais pas quoi dire.

    R (souriant légèrement) : Vous n'avez pas besoin de dire quoi que ce soit.

    J : Alors juste un merci alors. Et si nous rentrons qu'en dites-vous ?

    R : Je suis d'accord. Partons vite d'ici."

     

     

    Les deux partenaires sur l'instant rebroussaient chemin. James avait parfaitement réussi sa manipulation et ce afin d'acquérir la confiance totale de Ryan. De plus, comme le second Spencer lui avait proposé de lui rendre un service et ce quel qu'il soit, James avait l'idée de la prochaine chose à faire mais là, il faudra être délicat s'il désirait garder de l'influence et s'insinuait davantage dans la vie des Spencer. Matthew Carter semblait bel et bien être la prochaine cible du plus jeune des Fitzpatrick. Soudainement, il recevait un message qui évoquait la photo et là, la jeune femme aux côtés des Spencer était identifiée. Il s'agissait de Rachel Marie Collins, une femme mariée à un noble bien en vue au sein du royaume Arthur Oliver Collins et dont les deux ont un fils : Ducan Oliver Collins. Pour James, il était temps que dès leur retour dans la demeure Spencer, il devait mener son enquête sur cette famille et trouver le fils pour arriver jusqu'à la mère et savoir le lien entre cette famille et les Spencer pour préparer un chantage digne de ce nom.

     

    Pendant ce temps, au coeur d'une université bien côtée et prisée de la ville, un jeune homme semblait avoir la côte, étant même l'un des meilleurs élèves, mais par contre, en dehors des cours, il était carrément bousculé par les autres garçons qui semblaient bien le malmener. A sa sortie de cours sur la finance internationale, à l'extérieur de l'université, des garçons issus de l'équipe de walter-polo venaient l'importuner dans les couloirs. Deux filles venaient immédiatement vers ses messieurs et l'une d'elle prenait le coup du leader, puis lui mettait un grand coup dans les parties. Le leader était devenu impuissant qu'il ordonnait à ses sbires de partir. Le groupe s'en allait. Le jeune homme était encore secoué par ce qui était arrivé mais venait vers les deux jeunes femmes se montrant des plus reconnaissants.

     

    D (souriant légèrement) : "C'est gentil d'être intervenu. Je ne sais pas comment vous remercier, surtout deux belles demoiselles comme vous.

    S (jouant la modeste et désirant le flatter pour le charmer) : Oh, c'est tout naturel. Peut-être que tu peux nous remercier en commençant par dire ton joli prénom bel ange.

    O (jouant de son regard angélique) : Je ne comprends pas comment des personnes peuvent embêter quelqu'un d'aussi charmant que toi.

    D (rougissant légèrement) : C'est que je suis gêné devant tant de compliments. Je m'appelle Duncan Oliver Collins. Et comment vous vous appelez belles demoiselles ?

    S (s'avançant et effleurant légèrement la joue de la proie comme pour enlever quelque chose) : Pardon, tu avais un petit truc sur la joue que j'ai fait partir. Je m'appelle Serena McCalister.

    O (souriant en mêlant innocence et malice) : Et moi, je m'appelle Olivia Anna Sinclair.

    D (affichant un grand sourire) : Ravi de vous connaître.

    O (plutôt entreprenante en touchant légèrement le nez de la proie avec son index) : Ravies nous aussi. Et si on apprenait à se connaître, qu'en dis-tu ?

    S (faisant une moue) : Autour d'un café non ?

    D (tout gêné et charmé d'être auprès de deux belles femmes) : Bien sûr. J'en connais un pas loin d'ici.

    S (satisfaite mais faisant en sorte de ne pas l'afficher pour éviter que le tout ne capote) : Alors on te suit."

     

    Les trois partaient vers le café le plus proche.

     

     

    Sur le chemin, les filles se regardaient discrètement, faisant même un clin d'oeil, et l'une murmurait à l'oreille de l'autre.

     

    S (murmurant tout bas et laissant sa main glisser tout doucement sur le cou de sa partenaire) : "Tu vois c'est dans la poche. Il ne fallait pas attendre que Megan se bouge le cul pour que l'on s'élève dans l'échelle sociale.

    O (résignée et murmurant tout bas tout en l'embrassant sur le coin de ses lèvres) : Tu as raison, et on a qui sait trouver le moyen d'arriver à s'élever."

     

     

    Qui étaient ses filles, qu'avaient-elles de commun avec Megan et surtout que désiraient-elles ? C'était encore le mystère, mais cela ne laissait rien présager de bon pour Duncan qui incrédule, était avec ses deux diablesses. Il était déstabilisée par ses créatures, se posant déjà des questions à leur sujet.

     

     

    Pendant ce temps, Alyson et Andrew arrivaient à la demeure Spencer. Se regardant dans les yeux, ils s'embrassaient passionnément avant de se séparer pour réaliser leurs objectifs communs.

     

     

    Alyson la première recherchait James avec le but de règler ses comptes avec lui pour ne pas avoir réalisé son plan et le faire craquer de nouveau. Il pouvait bien être marié, mais elle lui prouvera qu'elle n'avait pas perdu de son pouvoir sur lui. Elle comptait avoir le pouvoir et ce, peu importe par qui elle pouvait l'obtenir.

     

     

    De son côté, Andrew se dirigeait vers la chambre où se trouvait Megan, sans penser un seul instant qu'elle désirait le piéger. Il avait succombé une fois à la tentation, une qui était restée à jamais gravé dans son subsconcient. Il arrivait devant la chambre et après un instant d'hésitation, en pensant à Alyson, il décidait de rentrer. Il trouvait Megan dans une si jolie tenue, et en train de caresser son corps telle une diablesse. Elle terminait juste par remuer son index pour inviter sa proie à venir la rejoindre. Andrew aimait ce spectacle qu'il commençait à enlever ses vêtements, et c'est ainsi que Megan bien inspirée lui faisait signe de s'arrêter. Tel un petit toutou, il obéissait, admirant Megan arriver devant lui, et retirant son pantalon. Elle glissait sa main sous son boxer malaxant coquinement son intimité et lui murmurant qu'elle allait lui faire vivre un moment mémorable. Il était si inspiré qu'il laissait ses mains parcourir tout son corps, l'embrassant fougueusement. Megan le guidait sur sa poitrine où elle pourrait ressentir de douces attentions.

     

     

    Alyson en même temps cherchait James mais sans succès. Alors elle avait eu l'idée d'aller voir toute personne pouvant être en contact avec James, notamment pour l'enquête sur la disparition de Brooklyn. Elle pensait à Megan, une des personnes qu'l pouvait bien interrogé. Elle y allait.

     

     

    Megan de son côté coquine, plaçait sa proie sur le dos et se mettant à califourchon. Elle griffait sa proie sauvagement, et alors qu'elle allait laisser sa langue parcourir sa peau, Alyson rentrait, surprenant les deux amants. Andrew remarquait qu'Alyson était là et poussait Megan rapidement. La brunette pensait au départ piéger Andrew avec le portable en pleine action, mais qu'Alyson ait tout découvert, c'était encore mieux. Elle restait un peu en retrait, se rhabillant. Alyson elle se montrait furieuse.

     

    Al (furieuse) : "Alors c'est comme ça que tu travailles pour nous ? pour nous permettre d'accéder à ce que l'on désire ? Et bien, bravo mon cher, je vois que tu préfères satisfaire ton petit kiki au lieu de penser à ce qui t'attend avec ce royaume. Tu préfères tout détruire mettant tout en danger, au lieu de te contrôler. Je te hais !

    An (complètement piégé et baissant la tête) : Je suis désolé ma puce. Je te demande pardon, mais c'est elle, avec ses courbes qui m'ont piégé.

    M (intervenant et jouant les vexées) : Oh, mais toi, comment tu parles ? Je te rappelle qu'il faut être deux pour jouer et tu n'as jamais dit non. Tu aimais nos petits jeux, tu aimais me caresser, m'embrasser et me faire vibrer jusqu'à ce que je crie d'un plaisir incomparable. Alors, s'il y en a bien un de fautif, c'est toi très cher, alors tchao, et je ferais en sorte que tu ais très mal.

    An (complètement sous le choc) : Mais.....

    Al (enragée et s'approchant de son homme en le giflant) : Tu sais ce que je te dis moi aussi ? Tchao et démerde-toi tout seul avec tes bons petits projets. Car là, tu n'auras plus personne, c'est clair !

    An (désespéré) : Alyson, non !!!

    Al (furieuse) : Tu oses me tromper et tu veux me récupérer ? Dans tes rêves connard !"

     

    Les deux filles partaient laissant l'ainé Spencer dans le plus grand désarroi.

     

     

    Là, Alyson arrêtait Megan en lui prenant le bras.

     

    A (souriant perversement) : "Je savais qu'il vous voulait.

    M (surprise) : Pardon ?

    A (déterminée) : S'il vous a dit quelque chose de compromettant, je souhaite le savoir, et ensemble, on pourra lui donner la leçon qu'il mérite.

    M (curieuse) : On dirait que vous aimiez cet homme ?

    A (rigolant) : Moi ? L'aimer ? Je me marre. C'est surtout le pouvoir qui est le plus important, et je peux vous offrir une part de gâteau si vous êtes avec moi. Alors, intéressée ?

    M (se souvenant de ce qu'elle avait promis à son commanditaire pour se libérer mais l'offre d'Alyson était alléchante) : Je suis partante."

     

    Les deux jeunes femmes se serrèrent la main en guise d'une future alliance très prometteuse. Megan semblait elle prise au piège entre deux plans. Allait-elle s'en sortir ?

     

     

    Au même instant, Andrew était au plus mal, et sortait de la chambre complètement abattu quand il voyait Matthew, Melody et Ethan. Matthew bien énervé venait auprès de lui, et même s'il voyait Andrew dans une salle posture, il se disait qu'il avait commis le même plan que la dernière fois, lorsqu'il avait voulu lui piquer sa dulcinée.

     

     

    M (se marrant intérieurement) : "Tu as recommencé ton cirque on dirait, espèce de connard !

    A (abattu) : Je l'ai perdu.

    M (surpris) : Non, mais tu crois réellement que je vais t'aider ? D'après ce que je vois, tu as trompé la femme que tu aimes. Tu m'entends ? Seul ton membre t'importe, le fait d'avoir une femme dans ton lit. Maintenant assume et démerde-toi. Je n'aide pas les connards."

     

    Matthew laissait libre cours à sa colère et à sa vengeance en lui assénant un violent coup de poing et le laissant en plan.

     

     

    Fin du chapitre.


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  • Chapitre 5 Une blonde en colère
     

    Andrew était au plus mal, se rendant bien compte qu'il avait perdu en commettant un adultère la seule personne qu'il avait aimé de toute sa vie. Melody avec Ethan allait rejoindre Matthew pour se reposer après tous ses évènements mais Andrew lui prenait le bras afin de la retenir. Melody n'était pas d'humeur à écouter celui qui avait détruit sa vie il y a une dizaine d'années maintenant. Elle le regardait avec une telle haine. Andrew savait qu'il dérangeait, mais il avait une idée en tête, histoire de reprendre un peu la main après ce qui lui était arrivé. Il voulait bien se faire voir de celle qui fut son amante autrefois afin qu'elle le défende auprès de Matthew. Seulement, il savait que cela sera long et fastidieux à mettre en place. Il connaissait bien Melody, et elle n'était pas du genre commode.

     

    (jouant le gêné pour attendrir sa proie) : « Je suis désolé de tout ce que je t'ai fait endurer, de ce que tu as subi comme épreuves par ma faute. Je désire parler avec toi, que l'on fasse enfin la paix une fois pour toute pour le bien de notre famille.

     

    (sceptique et en colère) : Tu te fous de ma gueule Andrew ou quoi ? Toi, tu penses au bien-être de la famille ? Tu n'as fait que la détruire depuis toutes ses années, et c'est toi le responsable à l'époque qui m'a fait perdre Matthew à tout jamais, pensant que jamais je ne le reverrai. Et là, tu désires parler ? Du grand n'importe quoi très cher, surtout, que tu t'es fait prendre en plein adultère. La pauvre Alyson, tu as pensé à elle ? Tu as pensé à ce qu'elle peut endurer ? Tu ne penses qu'à ta putain de grande gueule alors tu me fous la paix. Lâche-moi c'est clair ?

     

    (insistant) : Pas avant que je n'ai pu m'expliquer avec toi.

     

    (regardant son fils Ethan) : Mon ange, va rejoindre ton Papa, je te prie. Ta mère a besoin de recadrer ton oncle Andrew et ce, comme il faut. »

     

    Son fiston l'écoutait comme il se devait. Melody regardait Andrew. Elle le dévisageait laissant transparaître la haine viscérale qu'elle ressentait envers cet être qu'elle méprisait cordialement. Andrew la sortait de ses pensées en posant sa main sur l'épaule de celle-ci. Melody immédiatement en la sentant, la décalait violemment.

     

    (folle de rage) : « Non mais tu te crois où connard ? Je te hais, tu m'entends ? Je te hais et rien ne changera ça.

     

    (triste et essayant de ramener de la nostalgie en elle pour l'attendrir) : Souviens-toi nos balades.....

     

    (se montrant ferme en l'interrompant) : Si c'était pour essayer de m'amadouer, tu peux toujours rêver. Va crever en enfer connard ! Et n'essaye plus de me parler à l'avenir. Alors dégage de mon passage ! Dégage je t'ai dit ! »

     

    Andrew essayait de la retenir mais Melody le giflait violemment. Son regard en disait long sur ce qu'elle ressentait. Elle se demandait encore comment elle était tombée dans ses griffes. Mais c'était qu'à l'époque, Andrew avait piégé les deux amants les mettant l'un et l'autre aux prises avec des personnes que celui-ci avait précieusement engagées. Elle partait sans dire le moindre mot. Andrew de son côté partait s'isoler, voyant que tout ce qu'il avait construit partait littéralement en fumée. Pendant ce temps, Matthew Carter et Cassandra étaient à l'hôpital où celle-ci se remettait de ses émotions suite aux révélations mais aussi de la tentative d'assassinat qu'elle avait subi que ce soit lorsqu'elle avait été renversée par la voiture ou dans sa chambre. Matthew C. la sortait de ses pensées en effleurant tendrement ses lèvres par un doux baiser. Cassandra souriait à cette douce sensation des plus enivrantes. Elle ne pensait plus qu'à son homme en cet instant, et au fait qu'elle désirait enfin une vie tranquille loin de toutes ses péripéties et de l'influence de Michael Fitzpatrick. Son homme lui, était préoccupé. Il savait bien que sa dulcinée souhaitait qu'il s'éloigne de Michael, mais alors pourquoi elle n'a pas tout révélé ? Il comptait bien connaître la vérité.

     

      (curieux et inquiet) : « Je me demande ma chérie mais pourquoi tu ne leur as pas tout dit ?

     

    (désirant rassurer en effleurant tendrement sa joue et lui rendant ce baiser des plus tendres, mordillant coquinement la peau de son cou pour le titiller) : Mon chéri, avant tout, je ne voulais pas qu'avec mes révélations comme ça, tu puisses avoir des soucis ou que les Spencer en viennent à te chasser.

     

    (désirant la rassurer en retour) : Je t'aime tellement fort. Et ne t'inquiète pas, je m'en sortirai. Ton amour me pousse à me dépasser et bientôt, on sera loin de tous ses ennuis.

     

    (heureuse) : Je t'aime aussi plus que tout mon amour. Tu es tout pour moi, et je sais que tu as fort à faire avec les Spencer.

     

    (se confiant) : Avec le conflit entre Matthew et Andrew puis le fait de retrouver Brooklyn, l'amour de mon meilleur ami, je suis servi. Mais je suis embêté.

     

    (se montrant à l'écoute) : Dis-moi tout.

     

    (calme) : James est arrivé dans la demeure Spencer pour soi-disant mener son enquête, mais je sais qu'il a été appelé.

     

    (se souciant de son bien-être) : Quelqu'un veut t'empêcher d'agir, je t'en prie, fais attention.

     

    (la rassurant) : Tu sais bien que je suis prudent.

     

    : Dans la limite du possible, je sais bien avec tout ce que trafique Michael et son frère. Et puis Rebecca l'épouse de James, elle n'est pas nette non plus. Regarde, cette famille veut ma peau. Il est temps de la mettre hors d'état de nuire, et plus vite sera le mieux. Qui selon toi veut t'empêcher d'agir à part peut-être l'un des trois sinon ?

     

    (plutôt énervé) : Quelqu'un chez les Spencer connaît les Fitzpatrick. Je dois vite trouver qui c'est et le débusquer. Seulement je devrai te laisser et je ne veux pas avec la menace qui pèse sur toi. Regarde, je n'ai pas été là, et on a tenté de te tuer. Je vais tuer cette ordure, je vais le mettre en pièce et en finir une fois pour toute avec ce connard.

     

    (tentant de le raisonner et pleurant sachant le risque qu'il encourait) : Je ne veux pas te perdre, tu m'entends ? Il risque de te tuer. Je ne peux pas vivre sans toi.

     

    (effleurant la joue de sa belle pour lui rendre le sourire) : Je ne supporte pas quand tu pleures. J'aime te voir sourire, te voir rire, admirer tes jolis yeux. Tu m'ensorcèles complètement. Et je serai toujours là pour toi, à jamais.

     

    (émue) : Oh mon ange, je ne sais pas quoi dire si ce n'est que tu es toute ma vie, que tu me fais tant craquer et que je suis sur un nuage quand je suis à tes côtés, quand je me retrouve dans tes bras et que je peux te sentir tout contre moi.

     

    (posant son index sur ses lèvres pour avoir toute son attention) : J'ai quelque chose à te demander mon amour, quelque chose que j'ai toujours rêvé de faire, mais avec tout ce qui nous est arrivé, je l'ai remis à plus tard. Je ne veux plus perdre de temps, je ne veux plus être éloigné de toi ne serait-ce qu'une seule seconde. Ma chérie, chaque jour à tes côtés est pour moi un bonheur de tous les instants. Dès que je t'ai rencontré, j'ai su immédiatement que tu étais fait pour moi, et je suis tombé fou amoureux de la déesse que tu es. Tu as tellement de force, de détermination et de courage, mais aussi tu es prévenante, attentionnée, et prête à tout pour les personnes que tu aimes. Je me sens si bien près de toi. Aujourd'hui, c'est avec la plus grande joie que je te fais une demande, une seule. (se met à genoux) Mademoiselle Cassandra Davenport, mon ange, mon âme soeur, veux-tu devenir ma femme ?

     

        (complètement surprise et sur un nuage) : Oh chéri, oui je veux, oui, je veux devenir ta femme. Embrasse-moi là, de suite. » 

       

    Matthew Carter venait vers sa belle l'embrassant tendrement, passionnément et laissant transparaître tout l'amour qu'il ressentait à son égard. Cassandra prolongeait ce baiser lui montrant à quel point elle l'aimait et qu'elle ne pouvait pas vivre sans lui. Ils ne pouvaient se défaire l'un de l'autre qu'ils s'allongeaient l'un tout contre l'autre sur le lit, s'enlaçant et ne pouvant s'empêcher de donner des attentions des plus tendres et coquines. Matthew Carter regardait sa belle avec amour, voyant comment elle se sentait. Cassandra se sentait tellement bien qu'elle lui procurait une douceur à son oreille lui murmurant des choses coquines. Il était complètement inspiré qu'il l'embrassait dans le creux de son cou, descendant lentement sur le haut de sa poitrine. Cassandra était si comblée et désirait davantage qu'elle l'emmenait sur sa poitrine, coinçant sa tête afin de ressentir ses douces attentions. Il était plus que fou qu'il la couvrait d'attentions la mordillant légèrement. Elle était aux anges qu'elle basculait sa tête en arrière poussant de légers gémissements. Il continuait sa manoeuvre et elle l'incitait à aller plus bas. Il s'exécutait qu'il lui procurait une douceur incomparable. Elle en profitait ensuite pour le déshabiller, arrachant diaboliquement tous ses vêtements. Elle mordillait son cou en y laissant des traces, le léchant perversement, puis griffant coquinement son torse. Elle en parcourait les traces jusqu'à ce qu'elle désire et là, elle le prenait à pleine main. Elle le malaxait coquinement effectuant des va et viens avec sa main. Il devenait complètement fou d'elle. Il la désirait plus que tout et elle aussi. Elle le prenait en bouche lui procurant une douceur de tous les diables. Elle kidnappait la taille de son bellâtre avec sa jambe afin de le sentir au plus près de son corps. Elle plaçait ses mains sur son dos, le griffant et pinçant perversement ses fesses pour le mettre au supplice qu'il ne pourra plus se contrôler. C'était le cas qu'il allait lui faire l'amour mais elle désirait contrôler les choses. Elle le basculait sur le dos, bougeant telle une diablesse et lui procurant une douceur à son oreille en lui murmurant de la combler comme personne, qu'elle ne rêvait que d'être dans ses bras et qu'elle l'aimait plus que tout au monde. Il n'en pouvait plus qu'ils passaient à l'acte. De son côté, Duncan incrédule était avec les deux femmes Serena et Olivia qui lui avaient bien sauvé la mise. Les filles avaient l'intention de s'élever dans l'échelle sociale et elles n'allaient pas passer par quatre chemins pour arriver à leurs fins. Les filles pour mieux piéger Duncan continuaient de se comporter comme des filles plutôt tactiles, que même n'importe qui autour d'elles se poseraient des questions. Olivia titillait les lèvres de Serena et inversement laissant leurs mains glisser sous leur haut. Duncan était complètement déstabilisé face à ses deux créatures. Il essayait de ne pas penser à ses belles femmes mais en les voyant se procurer de tendres attentions, il ne pouvait s'empêcher de désirer être auprès d'elles. Il se sortait de ses pensées quand ils arrivaient au café. Une serveuse les accueillait et elle reconnaissait le fils Collins. Alors, elle s'occupait immédiatement de lui et de ses invitées les plaçant à une table loin de la foule. D'ailleurs, voyant la fille sexy qu'elle était, Olivia la prenait à part en disant que si elle restait longtemps dans les parages avec eux, elle s'occuperait de son cas lui faisant vivre un véritable enfer. Duncan les sortait de leur discussion pour prendre la commande.

     

    : « Trois cafés s'il vous plait. »

     

    La serveuse partait laissant Ducan la merci de ses belles femmes. D'ailleurs les deux filles avaient bien l'intention de déstabiliser Duncan et ainsi, elles pourront le piéger en lui faisant du chantage demandant de l'argent et un pouvoir dont elles n'avaient pas accès. Elles se montreront à la fois douce, subtile et entreprenante dans leur manoeuvre pour arriver à leur fin. Les filles connaissaient bien les Collins et leur réputation financière dans le royaume. Elles rêvaient de s'élever dans leur vie actuelle. Il se trouvait que les deux jeunes filles travaillaient habituellement dans un endroit où des gens dans la situation de Duncan n'y allaient pas très souvent sauf pour se distraire. Olivia embrassait le cou de Serena, glissant sa main sur son corps pour déstabiliser leur proie qu'elles auront son attention. Serena plongeait son regard dans celui de son chou, laissant son pied effleurer doucement sa jambe et sa joue pour éveiller du désir en lui qu'il pensera irrationnellement. Duncan essayait de résister, mais c'était difficile vu les charmantes demoiselles qui étaient en sa compagnie. Il avait une idée à savoir essayer de les connaître pour mieux se changer les idées. Il se sentait redevable envers elle.

     

              (charmé, se montrant reconnaissant mais tentant de résister à ce sentiment même s'il rougissait un peu) : «Vous m'avez sauvé la mise tout à l'heure, et le fait de vous invitez à prendre un café est tellement insuffisant à mes yeux vu votre action.

     

    (jouant sur l'humilité et celle pensant à lui, en caressant innocemment sa main et l'intérieur avec son pouce pour l'envoûter) : Nous n'avons pas fait grand chose tu sais. L'important c'est que tu ailles bien, et que tu sois en pleine forme. On aurait été tristes sinon.

     

    (le flattant et se montrant entreprenante en jouant celle s'intérressant à lui pour le dérouter et le charmer) : Nous sommes chanceuses de passer du temps en compagnie d'un homme si charmant, prévenant et avec un regard si angélique. Les filles doivent craquer pour toi à tous les coups, non ?

     

    (gêné et se confiant) : Oh je ne sais pas quoi dire. Mais les filles restent loin de moi, alors que je n'ai rien fait pourtant.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler, se montrant prévenante, rassurante et entreprenante en effleurant son bras jusqu'à son épaule pour l'apaiser) : Tu n'es pas tombé sur des filles bien bel ange. Tu trouveras celle qui te convient le mieux, celle qui saura répondre à toutes tes attentes, même celles que tu n'oseras dire tout haut.

     

    (rougissant) : Vous cherchez à me faire rougir car là, c'est réussi.

     

    (lui faisant un clin d'oeil coquin, laissant son pied atteindre le long de sa jambe pour éveiller un désir en lui qu'il la réclamera) : Tu mérites d'entendre tous ses mots et bien plus encore beau brun.

     

    (complètement charmé) : Venant d'une si belle créature, je suis plus que touché.

     

    (jouant la touchée et la perverse en effleurant coquinement sa joue, donnant un baiser subtil dessus, arrivant à ses lèvres avec son index puis titillant son nez pour le troubler n'aimant pas au fond être la cinquième roue du carrosse et désirait avoir autant d'attentions que sa comparse) : Tu es un tel gentleman mon chou. Jamais je n'ai reçu de tel compliments auparavant.

     

    (gêné) : Oh, mais c'est si gentil, et je ne comprends pas comment une si belle femme ne puisse entendre de beaux compliments. Je tiens à rendre justice et j'en donnerai autant que possible rien que pour voir un si beau sourire.

     

    (jouant la reconnaissante, la perverse et celle se préoccupant de lui en laissant sa main aller malicieusement près de la poitrine de sa partenaire pour le désorienter) : Oh c'est gentil mais le plus important, c'est voir un sourire sur ton visage mon chou.

      

    (jouant la touchée, le flattant et effleurant doucement son menton puis son cou et le haut de son torse pour l'attendrir) : Venant d'un homme si attentionné c'est un tel bonheur. »       

     

    La serveuse revenait avec la commande. Immédiatement, elle croisait le regard d'Olivia, un bien glacial et qui en disait long sur le fait qu'elle n'aimait pas être dérangée. La serveuse donnait rapidement les cafés puis s'en allait. Duncan allait parler se demandant bien comment la serveuse pouvait être mal à l'aise mais Serena prenait les devants en plaçant son index sur les lèvres de sa proie pour mieux le désorienter.

     

    (se montrant prévenante pour mieux le désarçonner) : « Ne t'inquiète pas, la seule chose qui importe c'est que tu sois bien, et j'espère que tu l'es avec nous.

     

    (curieux et essayant de résister) : Je le suis avec toi... euh, vous deux. Mais dites-moi, depuis combien de temps vous vous connaissez ?

     

    (répondant évasivement et en étant coquine alors que son pied atteignait ce qu'elle désirait pour le torturer) : Cela fait un baille que nous nous connaissons. En quelque sorte, nous avons toujours vécu ensemble, mais le plus important c'est la personne qui se trouve devant nous, plutôt canon et avec un visage à croquer. Tu sais que tes lèvres sont une véritable tentation que je rêve de t'embrasser.

     

    (embarrassé) : Oh.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en jouant sur la jalousie) : Hey Olivia, ne te gêne pas surtout.

     

    (gêné) : C'est que je ne désire pas être l'objet d'une dispute entre vous deux, sublimes créatures que vous êtes.

     

    (voyant que ça marchait, allait faire une proposition en étant rassurante, charmante et entreprenante pour l'amadouer qu'il ne pourra pas refuser) : Jamais tu ne seras l'objet d'une dispute entre nous deux, crois-moi. D'ailleurs, on dit souvent que quand il y a de la place pour deux, il y a de la place pour trois, non ?

     

    (effleurant les lèvres avec son index puis donnant un baiser subtil dessus pour mieux le tenter) : Viens avec nous, tu ne vas pas le regretter.

     

    (hésitant et charmé) : Je ne désire pas déranger. Ce baiser c'est un rêve.

     

    (se montrant conciliante et le valorisant pour l'amadouer) : Ne t'inquiète pas, jamais cela ne se produira. Au contraire, on désire un bel ange près de nous. Et je t'en donnerai autant que tu le désires. T'embrasser est tellement enivrant. Je suis charmée par ton si beau visage, par la personne que tu es.

     

    (n'aimant pas perdre de l'attention qu'elle jouait la tentatrice pour mieux apâter sa proie en descendant sa main légèrement sous le haut de ce bellâtre effectuant comme des dessins sur sa peau) : Tu auras aussi de mes baisers mon chou. 

     

    (souriant et complètement charmé qu'il en venait à penser irrationnellement) : Vous êtes si magnifique toutes les deux. Je désire tellement profiter d'être auprès de vous deux le plus longtemps possible.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en passant par le chemin du secret) : On peut se voir tu sais, mais à condition que ce soit notre secret.

     

    (complétant la manipulation en étant charmante et se mordillant subtilement la lèvre pour faire sa proposition) : Et si on sortait pour se voir en toute tranquillité loin de la foule ? »

     

    Pour le convaincre de répondre favorablement à leurs demandes, les filles titillaient leurs lèvres respectives, s'embrassant avec une fougue démesurée. Duncan était complètement sous le charme de ses diablesses et cela se voyait à son regard. Les filles en ayant terminé, le regardaient en mêlant douceur et perversité en guise d'invitation. La raison n'était plus de mise pour lui.

     

    (souriant) : Ce sera notre petit secret alors et on peut partir de suite, qu'en dites-vous les filles ?

     

    (souriant légèrement satisfaite et l'embrassant perversement sur la joue et le coin de ses lèvres pour l'apâter) : Je suis totalement d'accord.

     

    (souriant tout en laissant sa man coquine se faufiler sur son torse) : Je suis ravie de te suivre. 

     

    (ravi) : Alors partons d'ici, mais en ayant pris notre café au préalable. »

     

    Les filles avaient réussi leur manœuvre que leur proie était carrément sous leur charme. Elles devaient élever leur manœuvre dès qu'elles se retrouveront seules avec lui pour obtenir ce qu'elles désiraient. Cependant, au fond, on pouvait sentir qu'il y avait une légère compétition. Allaient-elles dépasser cela pour leur objectif ou bien tout le contraire ? Duncan et les filles buvaient rapidement leur café. Celui-ci payait l'addition en laissant quand même un joli pourboire. Il partait incrédule avec les filles en direction d'un endroit bien plus discret. Il ignorait totalement qu'il était tombé dans un piège inextricable. Au même instant, Alyson quittait Megan et pensait à comment se venger de cet homme avec qui elle avait prévu de donner du pouvoir. Maintenant, ce qu'elle désirait, c'était de le mettre plus bas que terre et avec Megan, c'était simplement une étape. Elle avait prévu bien plus, mais elle n'allait pas tout dévoiler sinon, elle sera obligé de tuer toutes les personnes qui se trouveront sur son chemin. Elle se trouvait seule, alors elle en profitait pour passer un coup de fil mais elle était stoppée quand James et Ryan revenaient. Immédiatement, ses projets changeaient. Elle raccrochait immédiatement, s'approchant de ses messieurs. James en voyant Alyson était au fond plutôt tendu, et surtout énervé de la voir. Par le passé, ses deux-là étaient amants, et elle l'avait manipulé, essayant même de l'empêcher de se marier avec Rebecca afin de profiter du pouvoir mais celui-ci avait préféré l'amour. Aujourd'hui, elle comptait pour le plaisir lui faire tourner la tête et le narguait. Comment dire, il ne fallait jamais tenter de la chercher. James sortait de ses pensées quand Ryan posait la main sur son épaule. Le deuxième des Spencer était reconnaissant envers le plus jeune des Fitzpatrick de l'avoir aidé qu'il fera tout pour le remercier. James le savait cordialement, et il allait se servir de cela. D'ailleurs, cela allait commencer dès maintenant. Il désirait en terminer avec Alyson, et en cela, Ryan ne devait pas voir cela.

     

    (se montrant calme) : « Ryan, est-ce que tu peux nous laisser seuls ? Je désire interroger Alyson au sujet de l'enlèvement de Brooklyn.

     

    (curieux) : Et pour la....... enfin ce qui est arrivé tout à l'heure ?

     

    (calme et en profitant pour le manipuler) : Je te promets que l'on s'y remettra mais avant tout, je sais que tu veux retrouver ta belle alors laisse-moi faire et je la ramènerai.

     

    (compréhensif et résigné) : Je comprends, mais préviens-moi s'il y a des résultats.

     

    (calme) : D'accord. »

     

    Ryan s'absentait laissant James et Alyson tout seul. James s'approchait de la belle mais celle-ci bien remontée lui flanquait une violente gifle. Elle avait une idée en tête, sachant trop le fait que cet homme lui avait échappé à l'époque au profit de cette Rebecca. Elle comptait faire tourner en bourrique cet homme le menaçant avec ce qu'il craignait le plus à savoir que sa liaison ne soit dévoilée au grand jour et même lui faisant croire qu'il pouvait rectifier le tir sur ses actions avant de le laisser en plan. Ainsi, elle le verra désespéré qu'elle sera satisfaite. Elle sera ainsi vengée.

     

    (surpris) : « Aie, mais t'es malade ?

     

     

    (énervée) : J'essaye de te faire venir, afin de pouvoir virer ce Matthew Carter, mais toi, tu fais les choses autrement, selon ton bon-vouloir. Tu commences à faire chier sérieux !

     

    (la recadrant) : Tu n'as plus autant la même influence qu'autrefois.

     

    (jouant l'innocente et le titillant en glissant sa main sur son torse lentement pour voir si ce qu'il disait était vrai) : Ah bon ? Tu es sûr de toi ?

     

    (se sentant défaillir mais résistait à temps en prenant les mains de la belle et en se montrant menaçant) : Mieux vaut pour toi très chère de ne pas me faire chier, tu as compris ?

     

    (lui tenant tête) : Tu es sûr de vouloir faire cela avec moi ? Tu es sûr de vouloir me défier ? Je t'ai amené sur un plateau d'argent tout ce dont tu as toujours rêvé loin même de ton enfoiré de frangin, mais tu t'es marié à Rebecca juste après notre moment torride. Qu'est-ce que ta chère Rebecca va dire après ma révélation sur ce qui est arrivé entre nous hein ?

     

    (craintif) : Tu ne vas pas oser faire ça ? Tu ne vas pas détruire mon bonheur et mon mariage hein ?

     

    (menaçante) : Si tu ne fais pas ce que je dis, je le fais, je la trouve et je détruis tout sur ton passage.

     

    (curieux) : Qui me dit qu'en écoutant tes recommandations, tu vas protéger mon mariage en ne disant rien du tout ?

     

    (le laissant en détresse) : Rien ne te le dit. Tu n'as qu'à réfléchir en ton âme et conscience très cher.

     

    (perdu) : Qu'est-ce que j'ai bien pu te trouver à l'époque ?

     

    (souriant diaboliquement) : Oh la possibilité du pouvoir, ce que l'on souhaitait, mais tu as pris une autre voix, alors tant pis pour toi.

     

    (désespéré) : Je ferai tout ce que tu me demandes de faire, mais je t'en prie, laisse-la en dehors de tout.

     

    (curieuse) : Tu seras bien obéissant ?

     

    (désespéré) : Oui, même à reprendre nos ébats.

     

    (voyant l'occasion de le mettre plus bas que terre en approchant doucement ses lèvres des siennes) : Jamais cela n'arrivera car tu vois, j'ai trouvé bien mieux. Maintenant, tu vas t'en mordre les doigts car ta femme sera au courant pour nous à l'époque. Cela t'apprendra à vouloir me défier. On ne défie pas Alyson Blake, tu le sais ça ? Maintenant, tu peux pleurer. 

     

    (effrayé) : Bien mieux ? Tu parles d'Andrew ?

     

    (rigolant) : Ah, ah, ah, je te laisse deviner. »

     

    Et là, Alyson le laissait en plan. James ne savait plus quoi faire. Il tentait de la rattraper, de la retenir, mais le temps qu'il réfléchisse, elle était partie. Où est-ce qu'elle se rendait plus exactement ? Là, c'était le mystère le plus complet. James devait se rabattre sur autre chose, et c'était d'ailleurs, ce passage secret qui l'intéressait au plus haut point et l'histoire entre la famille royale et la relation du père décédé des trois Spencer avec la famille Collins. Dès lors, il retournait vers le passage téléphonant au préalable.

     

    (déterminé) : « C'est moi, je suis seul et je retourne au passage. J'essaye de voir si je peux trouver autre chose sur les Collins. Il faut prendre l'un des Collins en otage et le plus rapidement possible. Oh, j'ai aussi un soucis, Alyson devient un problème, il faut y remédier rapidement. »

     

    James partait vers le passage. Qu'est-ce qu'il allait trouver à l'intérieur ? De son côté, le dernier des Spencer, Matthew était parti dans sa chambre. Il se calmait tranquillement après son altercation avec Andrew quand Ethan venait le trouver, sautant sur le lit Dès lors, Matthew souriait en le voyant. Voir son fils, être auprès de sa dulcinée après toutes ses années d'absence, étaient une bénédiction. Il pensait que jamais il ne pouvait se relever après la mort de sa défunte épouse qui avait été prise entre deux feux de familles mafieuses mais il avait retrouvé son grand amour. Ce qu'il ressentait à cet instant était au-delà des mots, mais avoir revu Rebecca, son ex belle-soeur était un rappel à son passé. Il ignorait s'il devait en parler à sa belle mais quand il regardait son fiston jouer, tous ses soucis s'envolaient en un clin d'oeil. Il pensait éventuellement à parler à Rebecca et plus longuement plus tard. Ethan s'amusait à être Captain America faisant comme s'il sauvait des personnes en détresse. Matthew l'admirait. Il n'y avait aucun doute sur le fait qu'Ethan lui ressemblait quand il était petit. Un souvenir lui revenait en mémoire. C'était à l'époque même où il avait 9 ans et que son père était pour une fois présent à ses côtés. Il s'amusait à être un héros, une personne qui pouvait aider les personnes dans le besoin. Là, son père avait un air dont il se souvenait toujours. Il avait l'air songeur, comme s'il avait commis une faute ou qu'il devait supporter celle d'un autre mais à l'époque Matthew n'avait pas posé de questions. Pourquoi ce souvenir revenait-il en mémoire ? Là, c'était la question, mais c'était sûrement car voir Ethan suivre ses traces le plongeait dans ses souvenirs. Son fils venait directement vers lui, sautant au plus près et Matthew l'attrapait, lui faisant des chatouilles. Son rire rendait heureux le plus jeune des Spencer.

     

    (heureux et rigolant) : « Hein, tu avoues vaincu, espèce de chenapan que tu es. »

     

    Ethan rigolait et faisait un câlin à son Papa. Entre le père et le fils, c'était le rêve absolu, et Matthew ne rêvait que d'une chose : que le test de paternité puisse révéler officiellement qu'il était le père de ce petit garçon craquant. C'était à cet instant que sa belle Melody rentrait, visiblement bien énervée. Matthew faisait signe à son fiston de s'éloigner un peu le temps qu'il discute avec sa Maman. Ethan s'exécutait et laissait ses parents tranquille. Matthew invitait Melody à venir sur le lit. Elle s'exécutait, désirant simplement se retrouver dans les bras de son homme. Elle s'y engouffrait laissant Matthew l'embrasser dans le creux de son cou puis tendrement sur ses lèvres. Cette sensation était si belle qu'elle prolongeait laissant parler tout l'amour qu'elle ressentait à son égard. Matthew était curieux et désirait son bonheur. Melody n'allait pas lui cacher quoi que ce soit, mais elle craignait par contre les conséquences de cette révélation sur l'attitude de son homme. Il était vrai qu'Andrew avait tenté de l'amadouer mais elle ne s'était pas laissé faire loin de là. Elle détestait l'ainé des Spencer mais après la conversation qu'elle avait eu avec lui, elle rêvait secrètement qu'il crève. Matthew décidait finalement de lancer la conversation afin de comprendre ce qui arrivait.

     

    (curieux) : « Qu'est-ce qu'il y a ma chérie pour que tu sois si énervée ?

     

    (énervée) : Il me fait chier, je te jure !

     

    (curieux) : Qui mon amour ? Qui ose te mettre dans une telle colère ? C'est que si tu ne me dis rien, je ne pourrai pas t'aider, et tu le sais.

     

    (souriant légèrement) : Tu as raison mon ange.

     

    (curieux) : Raconte-moi tout ma chérie.

     

    (inquiète) : Chéri, j'espère que tu es bien assis, car ce que je vais révéler, c'est gros.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas ma chérie, je serai là pour toi, et tu le sais. Tu es tout ce qui compte à mes yeux, et je te protègerai comme personne.

     

    (prenant une grande respiration) : Voilà, Andrew a essayé de m'amadouer de nouveau, se basant sur le passé.

    (en colère) : J'y crois pas, à croire qu'il aligne que les conneries, je vais le tuer ce connard, je vais lui montrer qu'il ne faut pas te toucher, mais qu'est-ce qu'il a à vouloir détruire tout ce qui compte dans ma vie, il me fait chier ce connard !

     

     (essayant de le calmer) : On n'en a rien à foutre de lui. Restons-là tous les deux.

     

    (furieux) : Mon amour, je t'aime, je suis fou de toi, et tu es celle qui compte le plus dans ma vie ainsi que notre fils bien-aimé. Je veux le mieux pour nous, alors je donnerai une leçon à ce connard. Je ne veux pas te perdre à nouveau. Cela a été si dur de vivre sans toi. Jamais je ne t'ai réellement oublié et je compte bien lui donner une bonne leçon.

     

    (touchée, inquiète et pensant à son bien-être) : Oh mon trésor, jamais je n'ai pu réellement. Tu es mon âme sœur, tu es la personne qui me complète et vivre auprès de toi est un cadeau du ciel. Seulement je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. J'ai peur pour toi.

     

    (se calmant légèrement pour la rassurer) : Ma chérie, ne t'inquiète pas. Il ne me fera aucun mal. C'est lui qui se plaindra de bobos. Et je te reviendrai entier, désirant m'occuper de ton corps de déesse.

     

    (essayant de le retenir) : Si je te demandais de rester, tu resterais avec moi ?

     

    (déterminé) : Tu connais la réponse.

     

    (pensant à lui) : Sois prudent je t'en prie.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, je reviendrai si vite que tu n'auras pas le temps de dire ouf. »

     

    Matthew embrassait avec tendresse et passion sa belle, partant à la recherche d'Andrew. L'explication risque d'être explosive. Pendant ce temps, Michael était plus que déstabilisé par la belle Melinda qui avait réussi à s'immiscer au sein de sa famille. Il avait jusqu'à présent essayé de cacher cette relation mais là, il était décidé à tout révéler au grand jour quitte à s'engueuler avec son frère James. Seulement, il pensait à ce qu'il devait faire, et là, il fallait que Melinda parte le plus vite possible.

     

    (souriant) : « Tu sais que j'aimerai rester avec toi, profiter de chaque instant, mais je dois tout gérer.

     

    (essayant de le dissuader) : Laisse tout ce petit monde se démerder. Je sais que tu désires tout mais là, tu dois penser à toi, à nous deux. Tu sais que je n'aime pas passer au second plan.

     

    (se montrant prévenant et se confiant) : Je sais que je peux paraître rustre, peut-être même colérique et têtu, mais si je fais ça, c'est pour nous. Tout ce temps où je suis seul, je n'arrête pas de penser à toi, de penser à une belle vie de famille, tranquille et normal mais tu sais qui je suis, tu sais ce que je fais. Les commerces illégaux etc... tout ce qui fait ma réputation s'envoleraient en un éclair si je n'étais pas aux commandes.

     

    (compréhensive) : Je sais, et je suis consciente de toutes les conséquences. Mais je suis prête à tout pour toi.

     

    (donnant ses consignes) : Alors, tu dois faire ce que je t'ai dit. Bientôt on aura ce que l'on veut. 

     

    (calme) : Bien sûr. Et je m'y exécute. »

     

    Michael était donc quelqu'un qui se trouvait en haute place dans l'illégalité. Etait-il responsable de ce qui arrivait dans le royaume en ce moment ? Melinda l'embrassait avec une fougue et une passion des plus démesurées et il prolongeait jusqu'à ce qu'un coup de téléphone arrêtait leur moment tendre. Michael répondait sans plus attendre.

     

    (plutôt furieux) : « Quoi ? Non, mais hors de question. Tout cela sera fait à temps et dans les règles. Aucune personne ne viendra se mettre en travers de notre chemin. Je viens de ce pas. »

     

    Il raccrochait. Melinda savait qu'elle ne pourra pas le retenir plus longtemps, alors elle jouait la coquine laissant sa main caresser son torse puis prenant à pleine main ce qu'elle désirait pour le faire frémir. Il était sous le charme qu'elle lui faisait un clin d'oeil et le laissait en plan. Il était plus que frustré qu'il partait énervé, allant régler de suite les affaires courantes. De son côté, Duncan arrivait à un endroit plus tranquille avec les deux filles et il se trouvait qu'il les avait emmenées dans sa propre demeure. Les filles en voyant cette demeure étaient plus que satisfaites voyant enfin leurs rêves devenir réalité. Il était des plus gentleman qu'il ouvrait la porte les laissant entrer. A cet instant, les filles savaient que pour obtenir ce qu'elles désiraient à savoir argent et pouvoir, il fallait se montrer coquine, prévenante mais aussi entreprenante. Elles allaient s'y mettre quand soudain le téléphone sonna. Les filles n'aimaient pas être dérangées qu'elles allaient raccrocher le téléphone discrètement pour que Duncan n'entende rien, mais ce n'était pas le cas et il répondait.

     

    : « Ici, Duncan Collins.

     

    (parlant d'une voix douce et suave pour avoir l'attention de son interlocuteur) : Bonjour Duncan, c'est Mademoiselle Sullivan. Si je vous appelle, c'est que j'ai un soucis et que j'aurai besoin de votre aide bien avisé.

     

    (curieux et surpris) : Moi ? Je ne suis que stagiaire pour mes études mademoiselle.

     

    (le rassurant pour mieux l'attendrir) : Oh, mais même si vous n'êtes que stagiaire, vous m'êtes d'une aide très précieuse.

     

    (gêné) : Oh, je ne sais pas quoi dire, c'est gentil à vous.

     

    (profitant de sa timidité en faisant une proposition et se montrant charmante pour le déstabiliser) : Vous savez vous pouvez me tutoyer et m'appelez Stacy, cela ne me dérange en aucune façon.

     

    (troublé et charmé mais tentant quand même de résister surtout que devant lui, il avait deux belles créatures qui semblaient s'amuser en se caressant mutuellement) : Oh, c'est gentil, alors vous euh, tu.... as besoin de quoi exactement ?

     

    (le manipulant en inventant une excuse pour l'amener jusqu'à elle) : C'est que j'aurai besoin de quelqu'un pour préparer un grand rendez-vous pour le budget qui sera alloué pour la prochaine année pour le royaume et j'aimerai que tu assistes aux préparatifs, aux réflexions, afin que tu vois clairement comment le tout fonctionne. Cela te sera bénéfique pour ton stage et le mémoire que tu devras rendra par la suite.

     

    (touché) : Alors là, je me sens privilégié. Comment puis-je te remercier ?

     

    (parlant d'une voix suave et sexy et le flattant pour l'attirer vers elle) : Dans une heure, si tu peux me rejoindre, tu seras un ange.

     

    (heureux) : D'accord, alors à dans une heure.

     

    (satisfaite) : A dans une heure mon chou, arrive vite. »

     

    Duncan raccrochait visiblement heureux de l'opportunité qu'il lui était offerte sans savoir ce qu'il l'attendait réellement. En effet, Stacy Elizabeth Callahan était une femme qui savait ce qu'elle désirait, et rien ne l'arrêtait. Elle était au sein du royaume chargée de la finance et de la gestion, et elle rêvait de bien davantage. Elle avait d'ailleurs une attention très particulière pour Duncan qu'elle aimait prendre sous son aile mais quelles étaient ses réelles intentions ça, c'était un grand mystère. Alors que Duncan était dans ses pensées, Olivia et Serena allaient l'en faire sortir. Un coup de téléphone n'allait pas les mettre sur la touche, loin de là. Elles comptaient le séduire qu'il ne pensera qu'à elles et ainsi, elles goûteront aux joies du luxe et du pouvoir. Dès lors, elles se rapprochaient de lui en roulant des hanches pour mieux capter son attention qu'il sera troublé. Serena approchait la main de la joue de sa cible, l'effleurant avec douceur et perversité puis sur son cou et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler. Olivia elle venait dos à lui, l'embrassant dans le creux de son cou, effleurant ses cheveux et son dos pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister. Duncan essayait de résister, voyant qu'il devait partir, et tentait de s'éloigner mais Serena posait son index sur ses lèvres pour le retenir.

     

    (montrant qu'elle menait le jeu en étant coquine, en effleurant son torse, plaçant ses doigts sous son haut le relevant lentement et titillant ses lèvres pour l'apâter) : "Chut, pourquoi partir alors que tu es si bien avec nous ?

     

          (faisant une moue, embrassant avec passion sa partenaire puis pinçant les fesses de sa cible et embrassant le bas de son dos le mordillant malicieusement pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister) : On souhaite tant t'avoir à nos côtés. Et puis que l'on s'amuse seules, ce n'est pas marrant mon chou alors rejoins-nous.

     

     

    (complètement déstabilisé par les deux diablesses mais tentant de résister) : C'est que je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps avec vous deux.

     

    (lui mordillant le lobe de l'oreille en lui procurant une douceur incomparable et enlevant son haut, griffant son torse et appliquant sa langue par endroit pour le torturer) : On aura tout le temps qu'il faut à nous trois, et crois-moi, tu vas vivre avec nous un instant magique.     

     

    (plus que troublé) : Vous êtes de véritables déesses.

     

    (le flattant pour mieux le séduire) : Et toi un si beau gosse, un ange comme on n'en fait plus.

     

    (remontant coquinement ses baisers du bas de son dos jusqu'à son cou pour le chauffer) : Tu es si désirable, on te veut.

     

    (ressentant une envie, un désir des plus intenses) : Oh, je vous désire tellement. »

     

    Serena s'occupait du bas de sa cible retirant son pantalon et plaçant sa main à l'intérieur de son boxer pour le faire bouillir de désir tout en l'embrassant vigoureusement, laissant sa langue titiller la sienne dans une danse des plus endiablées. Complètement séduit, Duncan prolongeait le baiser de Serena avec une fougue et une passion démesurée. La belle guidait son chou dans le creux de son cou, baissant légèrement son haut afin que ses formes généreuses soient mises en valeur pour mieux le tenter. Duncan l'embrassait dessus, descendant légèrement sur sa poitrine. Ses attentions étaient si enivrantes que la belle coinçait la tête de celui-ci dessus pour mieux ressentir ses douceurs. Olivia venait vers lui accompagnant ainsi Serena, et là, elle embrassait sauvagement sa proie puis vers sa partenaire. Les trois échangeaient des baisers plus qu'endiablés. Olivia descendait ses baisers le long de son torse, plaçant ses mains le long de son dos le griffant coquinement et allant à ce qu'elle désire en procurant une douceur plus qu'incomparable. Duncan en devenait des plus fous qu'il poussait un gémissement de plaisir. Serena allait le rendre carrément dépendant d'elles en mordillant le torse par endroit puis l'entraînant tout contre elle. Il se laissait totalement guider par cette diablesse. Il ignorait totalement qu'il tombait dans un piège bien ficelé. Là, Duncan, guidée par la belle, donnait des attentions sur tout le corps de celle-ci, l'embrassant avec une fougue des plus démesurées. Olivia elle, s'empressait d'embrasser le creux de son cou, guidant par la même occasion la main de celui-ci vers le corps de la belle, dévoilant ainsi ses formes généreuses en retour. Là, Duncan donnait des attentions les plus enivrantes sur la poitrine de celle-ci, que la diablesse coinçait sa tête dessus. Là, les deux partenaires en profitaient pour s'embrasser sauvagement, laissant Duncan regarder avec admiration, puis guidant ses mains sur leur intimité. Il était devenu carrément incontrôlable qu'il s'occupait d'abord de la belle Serena. Celle-ci kidnappait sa taille avec sa jambe qu'il en était prisonnier. Elle bougeait telle une diablesse afin de l'inciter à passer à l'acte alors qu'elle griffait son torse coquinement, laissant sa langue parcourir chaque parcelle de sa peau. Olivia elle s'occupait d'abord du dos de celui-ci, le griffant aussi coquinement et léchant chaque parcelle jusqu'à atteindre ses fesses et elle procurait une belle douceur. Ensuite elle revenait à Serena se mettant sur le côté, et l'embrassait coquinement, allant sur sa poitrine afin de procurer une douceur. Duncan était carrément aux anges, désirant passer à l'acte mais Serena aimant trop le contrôle le passait sur le dos, s'empalant diaboliquement sur ce qu'elle désirait. Là, ils passaient à l'acte dans un moment des plus charnels et torrides, où chacune des deux jeunes femmes connaissait un moment inoubliable aux cotés de leur chou. Pour Duncan, s'il fallait choisir entre les deux jeunes femmes, cela serait bien impossible. Pendant ce temps, Matthew complètement enragé par Andrew partait à sa recherche, allant dans sa chambre rien que pour lui mettre une bonne correction. Il rentrait dans la chambre sans frapper à la porte. A sa grande surprise, celui-ci ne s'y trouvait pas. Pour Matthew, Andrew n'était qu'un lâche qui n'affrontait pas les problèmes et il comptait bien le trouver pour montrer que plus jamais ses actions ne resteront impunies. De son côté, Alyson qui était partie depuis un moment, arrivait devant une belle demeure. Celle-ci se regardait dans son petit miroir de poche pour voir comment elle était. Là, elle descendait de la voiture et soudain, un homme l'arrêtait en chemin, en lui prenant le bras. Celle-ci le jetait violemment, ne voulant pas entendre parler de lui. Il se trouvait que c'était Andrew qui en secret était sorti de la demeure Spencer. Il savait que celle qu'il aimait par-dessus tout, allait souvent ici pour voir quelqu'un en particulier, et ça l'énervait au plus haut point. Pour lui, elle passait trop de temps ici et il savait la trouver en cas de besoin. Sachant qu'il l'avait trompée, il voulait s'expliquer et se racheter, mais c'était sans compter sur Alyson qui elle ne voulait plus entendre parler du connard qui était sous ses yeux.

     

    (folle de rage) : « Dégage connard, je ne veux plus te voir, tu as compris ? Fais pas chier !

     

    (complètement désespéré) : Chéri, vraiment pardonne-moi.

     

    (furieuse) : Attends que je me marre parce que là niveau connerie tu atteins le record du monde. Mais franchement, tu es minable là, laisse-moi ! Lâche-moi la grappe sinon j'appelle les flics, t'as compris ou il faut que je te fasse un dessin ?

     

    (perdu) : Mais je ne peux être heureux sans toi.

     

    (lui flanquant une gifle définitivement folle de rage) : Non, mais va chier, casse-toi !!!!!!

     

    (curieux) : Tu préfères voir mon cousin au lieu de moi, mais qu'est-ce qu'il a de plus que moi ?

     

    (voyant l'occasion de l'humilier et criant) : C'est un mec au moins lui ! »

     

    Duncan avait entendu un cri à l'extérieur et il avait reconnu que c'était Alyson. Il se sentait bien gêné et coupable qu'il faisait signe aux filles de partir le plus vite possible et sans discuter, elles s'exécutaient, satisfaites de leur manœuvre. Duncan s'habillait et sortait afin de voir ce qui se passait. Il voyait Alyson avec Andrew. Elle était carrément énervée et désespérée qu'en voyant Duncan, elle allait tout près de lui, se blottissant à ses côtés.

     

    (défendant la belle Alyson) : «Andrew, tu la laisses oui ! Je ne sais pas ce que tu lui as fait, mais tu la laisses.

     

    (énervé) : Non, mais de quoi tu te mêles, c'est des conversations de grande personne ?

     

    (se montrant en véritable chevalier servant) : Je fais ce que je veux. Tu es dans ma propriété et même si tu es mon cousin, je te ferai corriger comme personne, t'as saisi ?

     

    (le provoquant) : Toi ? Qui n'a même pas de muscle, tu penses me faire la morale ? Mais je me marre.

     

    (énervé) : Le gamin t'emmerde. Il pourrait même te faire arrêter pour invasion de domicile. A ce que je sache, je ne t'ai jamais invité. Ta présence en ces murs est donc superflue. Dégage connard avant que je ne me décide à te faire arrêter. »

     

    Seulement Andrew énervé, frappait son cousin. En effet, la famille Spencer avait une autre lignée directement liée à elle : les Collins, et Duncan était de la dernière génération, le cousin direct d'Andrew, de Ryan et de Matthew. Duncan se retrouvait à terre et Alyson allait vers lui, regardant s'il allait bien. Elle voyait sa lèvre fendue. Là, Alyson le regardait avec tendresse et perversité touchant légèrement sa lèvre.

     

    (inquiète) : « Oh, je suis tellement désolée mon bel ange.

     

    (désirant la rassurer car il n'aimait pas la voir dans tous ses états, vu que pour lui, elle était la plus belle femme qui soit) : Ne t'en fais pas, je vais bien, mais je m'inquiète surtout pour toi. Il te fait souffrir et ça, je ne le supporte pas.

     

    (effleurant la joue de son chou, souriant légèrement, faisant une moue afin de faire une proposition dont son chou ne pourra pas refuser) : Tu es un tel amour, mon prince. Et je n'aime pas qu'il t'ai fait cela, alors s'il te plait, j'aimerai te voir en sécurité, être protégé de lui, que l'on soit tous les deux protégés de lui.»

     

    Là, la belle voyait l'occasion d'humilier Andrew et comme il faut car en s'occupant de son cousin, avec une telle tendresse, il en deviendra dingue. La preuve, il ne savait plus quoi faire vu comment il faisait les cents pas. Ira-t-elle plus loin ? 

     

     

    Fin du chapitre. 


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