• Chapitre 6 Au nom de la famille
     

    Andrew fut littéralement en pétard, fou de rage en voyant simplement celle qui l'aimait lui tenir tête et son cousin obtenir toute une attention dont il aimait avoir comme personne. Alyson aimait cette situation et elle voulait savourer chaque moment. Elle voulait rendre tellement fou Andrew qu'ainsi, il se détruirait de lui-même, et elle passerait du temps auprès de son chou. Auprès de Duncan, elle se sentait enfin chouchoutée, même comme étant une reine, mais surtout, elle voyait le potentiel du jeune homme. Il était attaché à la belle et voir une telle situation se produire sous ses yeux était une injustice. Il désirait tant le meilleur pour elle, même, il était prêt à tout. Alyson était pour le jeune homme le synonyme de la perfection incarnée, une déesse dont jamais il ne pensait faire la rencontre. Il se souvenait à quel point elle était là pour lui, le protégeant et s'occupant de lui qu'il voulait lui rendre la pareille. Il désirait lui donner ce qu'elle était en droit de mériter à savoir de l'attention. La belle le sortit de ses pensées. Elle caressa son bras se rapprochant de lui en laissant son souffle agir sur son cou pour l'enflammer. Elle ressentait un désir si grandissant qu'il lui tardait de vivre un instant mémorable auprès de lui. Il était complètement sous le charme de la belle. Andrew se rapprocha des deux, décidé à interrompre ce moment. Il bouillait de l'intérieur en voyant les deux, sentant qu'il y avait une connexion. Alyson vit une occasion de se rapprocher davantage de Duncan en se montrant plus que surprotectrice et entreprenante pour le posséder. Elle arriva tout près d'Andrew avec la ferme intention de lui faire péter un câble. Elle le regarda avec détermination, essayant d'apercevoir sa colère. La voir serait pour elle jouissif car ce serait le moyen de lui faire payer tous ses méfaits.

     

    (déterminée, menaçante et désirant montrer à son chou à quel point elle tenait à lui) : « Si tu oses t'approcher de Duncan, je te jure que....

     

    (énervé et l'interrompant) : Quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire hein ? Tu fais ça pour me faire payer. Tu es si rancunière que ça ? Et tu oses te servir de mon cousin contre moi ? En plus, tu connais très bien mon sentiment.

     

    (obstinée) : Réfléchissons, c'est toi qui gueule alors que c'est toi qui a merdé dans notre relation ? Décidément, quand on est un trou de cul, on reste un trou du cul toute sa vie. Et voir en toi quelqu'un qui aurait pu faire de grandes choses, franchement, on se marre. Moi, je ne vais rien faire de particulier. J'agis pour les personnes qui me tiennent à coeur et Duncan est important pour moi alors si tu tiens à moi comme tu le dis, tu le laisses tranquille, c'est clair ?

     

    (énervé) : Tu tiens réellement à lui ? Tu tiens réellement à sa sécurité ? Alors tu viens avec moi et au trot.

     

    (énervée) : Non, mais tu crois sérieusement que je vais te suivre surtout si tu me parles comme un chien. Mais tu rêves ou quoi ? Alors va te faire foutre ! Cette langue tu dois la comprendre non ?

     

    (furieux et arrivant tout près de Duncan) : Si tu ne veux pas qu'il lui arrive quoi que ce soit alors suis-moi maintenant.

     

    (criant) : Non, non et non !!!!!! »

     

    Andrew arma sa main près du visage de Duncan pour le frapper. Cela le démangeait de lui faire payer le fait qu'il soit auprès d'Alyson. L'aîné des Spencer était certes un coureur de jupons, mais Alyson était à ses yeux une perle rare qu'il voulait garder à tout prix. Seulement, Alyson se mit au travers des deux. Elle prit le cou à sa place et tomba au sol pour montrer son côté protectrice à son chou. Elle savait qu'avec cette action, son chou interviendra pour intervenir, car elle le savait si protecteur et attentionné à son égard. Duncan en voyant sa belle ayant pris ce coup à sa place devint fou de rage. Cependant, contrairement à Andrew, lui était beaucoup plus subtil et n'allait pas s'abaisser à autant de violence. Il comptait sortir sa belle des griffes de celui qu'il voyait comme une ordure. Pour lui, la violence ne menait à rien, bien au contraire. A ses yeux, les mots avaient beaucoup plus de force. 

     

    (énervé) : « Je t'emmerde et copieux Andrew. Tu l'auras voulu, en plus de t'être introduit chez moi et de me faire du mal, tu fais du mal à quelqu'un en qui je tiens réellement. Tu ne mérites pas une femme aussi divine, ravissante et attentionnée qu'Alyson. Alors, je vais tout faire pour t'arrêter et plus jamais tu ne viendras importuner qui que ce soit. Je compte jusqu'à 3 et si à 3, tu ne dégages pas d'ici, j'appelle les flics.

     

    (le défiant) : Tu n'oseras pas crétin.

     

    (le défiant à son tour) : Tu veux parier ?

     

    (le défiant davantage) : Tu n'es pas un Spencer, tu n'as pas la carrure ni la volonté d'aller au bout de tes choix. Tu n'es qu'un lâche et doublé d'un crétinisme.

     

     

    (fou de rage) : Je vais te prouver que j'ai la carrure. Etre quelqu'un provenant d'une immense famille, ce n'est pas à la puissance et à sa carrure que l'on mesure quelqu'un. Dans ce pays, on a de l'influence, on doit aider les autres, les protéger et faire tout ce qu'il faut pour améliorer leur quotidien. Toi, tu n'as fait que du mal autour de toi, tu as rabaissé les autres, tu t'en es servi à tes fins personnels. Maintenant, c'est terminé ! Je compte jusqu'à trois. Un, deux, ...... »

     

    Andrew ne bougea pas un seul instant, croyant sincèrement que son cousin pouvait bluffer. Il était habitué depuis l'époque à ce qu'il ait une influence sur le jeune homme qui ne pouvait répliquer tellement il était tétanisé à l'idée de l'affronter. Seulement, Duncan tiendra tête à son cousin. Il n'avait pas peur de ce que celui-ci serait capable de faire. L'époque où il était craintif était bel et bien révolu et de plus, pour les personnes qui comptaient le plus à ses yeux, il était capable de dépasser ses craintes.

     

    (énervée) : « Trois. Tiens, tu es encore là connard, alors tu vas avoir affaire aux flics et pas plus tard que de suite.

     

    (rigolant) : Mauviette. Les flics ne me font pas peur.

     

    (furieux et appelant les flics) : C'est ce que l'on verra. Ton règne de terreur est terminé maintenant. Allo, ici Duncan Oliver Collins, je vous appelle car un homme s'est introduit chez moi m'ayant frappé et également celle qui m'accompagne. Venez vite, sinon il risque de nous tuer. »

     

    Le policier au téléphone avait bien pris la plainte et quelqu'un allait venir. Andrew vit bien en Duncan qu'il avait bien changé après toutes ses années et qu'il ne pouvait pas agir juste avec de l'intimidation comme il faisait autrefois pour avoir son cousin sous son emprise. Le règne de la peur était bien l'arme favorite de l’aîné des Spencer. L'appel à la police ne lui faisait pas peur, bien au contraire, comme s'il pensait être au-dessus des lois. Il était vrai qu'il savait manipuler les forces de l'ordre pour rester au sommet. Seulement, là, les choses allaient être différentes. Qu'allait-il arriver ? Pendant ce temps, Brooklyn se trouva dans une mauvaise position alors qu'elle était au sol. Elle pensait à Ryan, au fait qu'il pouvait s'inquiéter, qu'il était complètement horrifié à l'idée de la perdre et cela fendait le coeur de la belle. Elle détestait l'idée de le voir souffrir qu'il était temps pour elle de partir loin de cet enfer. Elle tenta de se libérer, même elle pensa à se faire mal aux mains pour arriver à ses fins. Elle grinça des deux lorsque son poignet droit se tordit, mais cela lui permit de se libérer. Avec difficulté, elle réussit à défaire son lien ayant les mains libres. Elle avait bien mal. Elle grinça des dents. Cependant, elle savait que son action était pour la bonne cause. Elle n'avait qu'une seule idée en tête : rentrer et retrouver son amoureux. Elle écouta attentivement afin de savoir si la ou les personnes qui la retiennent prisonnière allaient rappliquer. Elle était effrayée à l'idée qu'elle pouvait être torturée si elle se faisait prendre alors elle restait prudente. Elle n'entendit pas le moindre bruit. Elle enleva ses liens au niveau du pied et s'approcha de la porte. Elle l'ouvrit et ne vit aucune personne néfaste aux alentours. Elle partit discrètement vers la sortie évitant de faire du bruit. Elle réussit à ouvrir la porte de sortie. Elle pensait à l'air de l'extérieur. Elle rêvait de voir la lumière du jour et de sentir l'air sur sa peau. Cette pensée était plus qu'exaltante et enivrante qu'elle était capable de tout. Elle sortit, arrivant donc à l'endroit même où Ryan et James se trouvaient, celui désaffecté, mais ceux-ci n'avaient pas fouillé dans tous les recoins. Elle fut bien plus que perdu, ne sachant pas dans quel endroit elle doit partir, quand soudain, elle entendit un bruit assez conséquent. Sa peur d'être reprise allait peut être se réaliser. La ou les personnes qui la retenaient en otage avaient remarqué son absence. Ils se mirent à courir dans tous les sens. Elle tremblait rien qu'à l'idée, restant figée mais elle reprit ses esprits. Il ne fallait pas rester dans cet endroit. Brooklyn courut comme une dingue vers l'inconnu, essayant d'échapper à son destin funeste. Elle aperçut les tunnels que James et Ryan avaient au préalable emprunté. Elle rentra à l'intérieur ne sachant pas où cela pourra la conduire. Elle préférait l'inconnu à être enfermé comme un rat de laboratoire. En même temps, James rentra dans le passage là, où elle se trouvait au niveau de la bibliothèque et ainsi découvrir encore plus de secrets sur les Collins, les Spencer et la relation qu'il peut y avoir entre elles. Il continua le chemin qu'il avait emprunté avec Ryan et arriva aux pièces secrètes. Il se souvenait ainsi de la première porte qui avait été explorée par Ryan. Il se dirigea vers la seconde et l'ouvrit. Il découvrit une sorte de chambre secrète, comme si les Spencer avaient emprisonné quelqu'un pendant très longtemps, ne laissant aucune visibilité pour le prisonnier. Qu'est-ce que la famille Spencer a bien pu faire à l'époque ? En tout cas, James semblait bel et bien horrifié par cette découverte. Il prit des photos en guise de preuve. Malheureusement, il n'y avait aucune photo à prendre éventuellement, mais une chose était certaine : les Spencer et en particulier William, le roi décédé, avaient des secrets et pas des moindres. Alors qu'il continua à fouiller afin de trouver quelque chose, il entendit du bruit qui provenait de la sortie du tunnel. Il se dirigea vers le bruit afin de savoir ce qui se passe et là, il croisa Brooklyn qui était ravie de trouver quelqu'un pour l'aider. Pour James, voir Brooklyn fut une énorme surprise. Voir la jeune femme ici n'était pas prévu dans les plans, mais là, il fallait improviser. Ramener Brooklyn lui permettra de se rapprocher davantage des Spencer et ainsi, personne ne se doutera de sa loyauté. James compta se montrer protecteur pour apprivoiser la jeune femme. Elle fut craintive, se recroquevillant sur place, repensant à l'enfer qu'elle avait vécu mais James la sortit de ses pensées en posant sa main sur son épaule. Brooklyn se blottit dans ses bras pour ressentir un peu de réconfort. 

     

    (prévenant) : « Ne vous inquiétez pas, je suis là. Votre cauchemar est maintenant terminé.

     

     (effrayé) : C'était, c'était si horrible.

     

    (attentionné) : N'y pensez plus, c'est terminé, et plus jamais vous n'aurez à vivre ce cela. Le meilleur moyen pour aller de l'avant est de parler, mais jamais je ne vous brusquerai. Venez avec moi et je vous ramènerai chez vous. Dites-moi comment vous vous appelez et qui vous attend exactement ?

     

     (tremblante et pleurant) : Je m'appelle Brooklyn, Brooklyn Matthews et je suis la petite amie de Ryan Spencer, le second des frères Spencer de la famille royale. J'aimerai tellement le retrouver si vous savez, pouvoir le serrer dans mes bras. C'est mon souhait le plus cher. Et qui je dois remercier exactement ? Et pourquoi êtes-vous ici ?

     

    (prévenant) : Je m'appelle James Fitzpatrick chère demoiselle, et justement, j'ai été l'une des personnes chargées de vous retrouver. Il va être si heureux de vous serrer enfin dans vos bras, c'est certain. Pour ma présence, on a trouvé récemment ce passage avec votre cher et tendre et nous en fouillons les recoins.

     

     (souriant légèrement) : C'est certain et je vais être super heureuse d'être auprès de lui. Il m'a cruellement manqué.

     

    (agissant en parfait confident) : Vous lui avez manqué aussi horriblement. »

     

    Brooklyn regarda émue celui qui lui avait sauvé la vie. Elle ressentit envers cet homme une attirance des plus inextricables. Pour elle, celui-ci fut des plus charmants. Cependant, elle était torturée avec Ryan qui l'attendait depuis le moment où elle avait été kidnappée. Elle se sentait des plus perdues et elle pensait qu'elle ne devait pas céder à cette tentation. Pourtant elle lui caressa la joue pour mieux attendrir son sauveur et celui-ci fut charmé. Il savait que dans sa position, il ne pouvait se permettre un écart de conduite de par le fait que c'était Brooklyn la compagne de Ryan Spencer mais aussi qu'il tromperait de nouveau la femme qu'il aime à savoir Rebecca. Cela fut plus que difficile de résister au charme de la belle. Il s'éloigna légèrement d'elle mais celle-ci ne désirait pas le laisser partir qu'elle entoura par son bras la taille de son sauveur posant sa tête sur son épaule pour l'émouvoir. Il se sentit plus qu'à l'aise auprès d'elle, charmé par cette femme au regard d'ange mais en même temps torturé, se sachant marié et surtout amoureux de sa femme. Celui-ci caressa la joue de la belle pour mieux la rassurer. Celle-ci lui prit la main, embrassant le dessus et la mordillant pour l'hypnotiser. Elle aimait ce contact qu'elle aimerait sentir davantage sa peau contre la sienne. James était plus que déstabilisé qu'il caressa les cheveux de Brooklyn. Aimant cette belle sensation divine, celle-ci en profita pour effleurer le haut de son torse laissant son souffle agir sur son cou pour le dérouter. Le désir qu'elle ressentait à cet instant était des plus intenses que cela la consumait de l'intérieur. Il était sur le point de parler pour la stopper mais celle-ci effleura ses lèvres avec son index embrassant subtilement et perversement sa joue pour le troubler. Elle n'avait pas l'intention de laisser s'échapper une si belle proie, surtout son sauveur. Elle désirait le remercier à sa juste valeur voulant ressentir ses attentions en retour. Elle posa ensuite son front contre le sien l'effleurant légèrement pour le désarçonner. Etre auprès de lui, même tout près était une torture pour elle qu'elle voulait le dévorer tout cru sur le champ. Lui, de son côté était plus que sous le charme de la belle. Il se mordilla la lèvre d'un désir plus qu'intense et là, elle l'embrassa du bout des lèvres. La sensation de ses lèvres auprès des siennes était des plus exquises pour Brooklyn qu'elle désirait l'embrasser complètement et vivre un instant torride en sa compagnie. Cependant, elle ne voulait pas que ses intentions soient immédiatement découvertes. Elle joua la gênée pour mieux attirer sa proie auprès de lui. Il fut influencé qu'il effleura le front de la belle et là, elle l'embrassa fougueusement tellement la sensation était plus qu'exaltante. Il prolongea ce baiser avec une telle passion, laissant transparaître le désir qu'il pouvait ressentir à son égard. Alors qu'il pouvait s'y abandonner comme personne à ce désir des plus grandissants, le bruit qu'il entendit le ramena à la réalité et il regarda la belle avec tendresse. Il la guida vers la sortie du tunnel qui donnait sur la bibliothèque ne sachant pas qui pouvait venir. Si en plus, c'était Ryan, les deux seraient piégés. La belle ne désirait pas du tout que les choses s'arrêtent, bien au contraire. Elle voulait goûter à cette proie des plus exquises, même c'était tellement important, qu'elle ne pensait plus à l'extérieur. Elle tenta de le retenir en effleurant le bas de son bas-ventre puis le haut de sa cuisse en approchant de l'intérieur pour l'émoustiller. Il fut complètement séduit, mais le bruit était là qu'il se réveilla. Ensemble, ils s'en approchèrent. En effet, celui-ci venait de la bibliothèque et c'était en plus le second Spencer. Il cherchait les mots laissés par son père qui savait à l'époque que suite à son décès, ses fils se trouveraient dans une situation impossible. Alors qu'il regardait au niveau des livres de Shakespeare, soudain, il entendit du bruit venant du passage. Là, il vit sa toute belle, sa dulcinée qui lui avait été arrachée. C'était un miracle pour le second des Spencer. Il la prit littéralement dans ses bras la serrant fort et l'embrassant avec fougue et passion. Brooklyn prolongea ce baiser le rendant des plus torrides tout en regardant James et lui faisant son regard de braise afin d'envoûter sa proie. Elle comptait bien le rendre fou de jalousie afin qu'il cède à ses avances. Le second Spencer la regarda avec tendresse et émotion embrassant son front. Brooklyn pleura devant son homme se blottissant contre lui. Elle était plus qu'heureuse de le retrouver. Ryan posa sa main dans ses cheveux la caressant lentement. Retrouver sa belle était pour lui le plus beau cadeau du ciel qu'il voulait en savourer chaque instant. James assista à la scène et ressentit une pointe de jalousie. Il était de nouveau en train de se faire avoir par la tentation comme si la leçon autrefois avec Alyson ne lui avait pas suffit. Brooklyn l'avait piégé et ce, sans que Ryan ne s'aperçoive de rien. 

     

    (prévenant) : « Je suis là ma chérie, et plus jamais je ne compte te lâcher.

     

     (pleurant heureuse) : Je suis rassurée dans tes bras si tu savais. Je veux rester tout contre toi.

     

    (prenant sa main donnant un baiser dessus pour la rassurer) : Ce qui compte pour moi, c'est que tu sois saine et sauve. J'ai eu si peur pour toi. J'étais comme fou rien que de penser que plus jamais je n'aurais pu te revoir.

     

     (le rassurant tout en regardant avec perversité sa cible) : Et moi donc. J'étais désespérée à l'idée. Tout ce à quoi je pensais c'était à toi pour tenir le coup et au fait combien je pouvais t'embrasser. Surtout je n'avais envie que de te dire à quel point je t'aime. D'ailleurs je te le dis je t'aime mon amour, et je rêve d'être seule avec toi.

     

    (voulant satisfaire la belle) : Tous tes désirs sont des ordres mon ange. Alors viens près de moi, mais au préalable, je dois remercier quelqu'un pour le fait de t'avoir ramené à moi.

     

     (conciliante alors que son bien-aimé tourna le dos, elle envoya un baiser à sa cible pour mieux le tourmenter) : Je comprends chéri, et je t'attends. »

     

     

    James fut plus que déstabilisé par les signes d'affection qu'envoya la belle à son égard. Cela devint de plus en plus difficile de résister. Il bouillit de l'intérieur rien qu'en voyant Ryan et Brooklyn ensemble. Il essaya de penser à Rebecca, sa femme qui devait l'attendre. Pour l'instant, cela marchait mais pour combien de temps là, telle était la question. Ryan s'approcha de James et lui serra la main. James avait réussi à obtenir la confiance de l'un des Spencer mais en retour, il était tiraillé à cause de Brooklyn. Il ne savait pas quoi faire. Ryan le sortit de ses pensées en posant sa main sur son épaule. Le second des Fitzpatrick avait l'occasion de marquer des points.

     

     

    (se montrant prévenant pour mieux obtenir sa confiance) : « Je sais ce que tu vas dire.

     

    (reconnaissant) : Cependant, je vais le dire quand même, car tu as fait quelque chose de vraiment magnifique. Merci, merci de l'avoir sauvé. Je ne peux qu'être si reconnaissant.

     

    (souriant légèrement) : C'est tout à fait normal et puis je suis heureux que ton couple soit enfin réuni. Profites-en Ryan et surtout sois heureux, c'est le plus important.

     

    (complètement heureux) : Oh, je vais l'être, et je vais rejoindre la belle car elle va s'impatienter et je sais comment elle est quand elle est en colère.

     

    (se montrant serviable) : Si jamais tu as un soucis, n'hésite pas à m'appeler.

     

    (souriant) : Je n'y manquerai pas. »

     

    Ryan rejoignit sa dulcinée et partirent ensemble. Qu'est-ce qui se passera pour le couple ? James de son côté partit également, ayant rempli sa mission mais en même temps, il était pris au piège par une femme. Que comptait-il faire à présent ? De son côté, Michael arriva dans une boite prisée de la ville où les riches hommes aiment s'y rendre pour voir des filles se trémousser et qui ont des moeurs légères. Parmi eux se trouvait le patron du lieu, responsable d'activités et qui était Michael. Il buvait son verre bien énervé par le fait qu'il avait été appelé et qu'il était venu en trombe pour régler cela. Il attendit un mouvement quand soudain, il sentit une arme près de son intimité. Cette personne qui l'avait approché n'avait visiblement pas froid aux yeux. En se tournant légèrement, il vit que c'était Megan une jeune femme en quête de liberté et elle était capable de tout. Elle avait obtenu son arme qu'elle avait soigneusement cachée avec ses affaires grâce à l'un des sbires de l'ainé Fitzpatrick. Michael garda le contrôle ne désirant pas donner satisfaction à la jeune femme. Il aimait commander et ce n'était pas maintenant qu'il allait les reines à qui que ce soit. Megan se montrera à la fois joueuse, dominatrice et entreprenante pour arriver à ses fins. Elle se sentait prise au piège avec cet homme. Elle faisait tout pour obtenir sa liberté mais plus le temps passe, plus elle pensait que jamais elle ne l'obtiendrait mais qu'aussi sa cousine se retrouverait dans le même cas qu'elle. Il était hors de question pour elle d'attendre plus longtemps. Selon sa pensée, il valait mieux faire quelque chose que de ne rien faire à attendre comme des cons. 

     

    (se montrant dominatrice léchant sa joue et effleurant l'intérieur de sa cuisse pour l'enflammer) : « C'est terminé. Je ne ferai plus votre sale boulot. Trouvez-vous un autre pigeon. Je ne serai plus jamais le vôtre.

     

    (frémissant de désir mais résistant en la défiant et la faisant chanter) : On ne me défie pas, tu le sais bien, sinon tu sais que certaines personnes auront des problèmes si tu vois ce que je veux dire car tu ne m'obéis pas.

     

     

    (griffant son bas-ventre en rappelant ses obligations, le faisant chanter, mordillant son cou, agrippant sa cuisse et léchant sa joue pour le faire frémir) : Tu m'as promis la liberté. J'ai obéi à toutes tes recommandations. Maintenant, laisse-moi partir à moins que tu ne souhaites que je dévoile toutes tes petites manigances et aussi ton fils. Tu n'aimerais pas que tout le monde sache pour ton enfant n'est-ce pas ?

     

    (se sentant désarçonner mais essayant tout de même de résister avec un chantage) : Si jamais tu oses dire ce genre de rumeurs, je ferai en sorte que ta cousine ait des problèmes. Tu ne désires pas qu'elle ait des ennuis n'est-ce pas ? Alors sois gentille et rentre dans le rang, sinon tout sera finie pour toi et ta cousine, et crois-moi, plus personne ne pourra savoir où tu te trouves.

     

    (se plaçant sur ses genoux coinçant son arme sur son intimité, procurant une douceur à son oreille et léchant le haut de son torse pour le provoquer) : Es-tu prêt à perdre ce qui fait de toi un homme ? Parce que si tu continues comme ça, tu ne risques plus d'avoir aucun enfant. Tu veux un héritage, laisser quelque chose après ton passage ? Alors tu as intérêt à faire ce que je te dis. 

     

    (curieux et tentant de résister) : Qui te dit que j'ai effectivement un enfant ? Tu ne peux avoir d'ascendant sur moi. Entre toi et moi, c'est plutôt toi qui a le plus à perdre, tu ne crois pas ?

     

    (se montrant joueuse en mordillant sa lèvre en sang, léchant près de son épaule et effleurant le haut de sa jambe pour le faire frémir) : Si tu crois que je vais te dire d'où je tiens mes infos tu te trompes. Ensuite, c'est que nous verrons entre toi et moi sur qui a le plus à perdre. Après tout, je n'ai rien à perdre puisque je n'ai pas encore la liberté que l'on m'a promis.

     

    (se montrant menaçant) : Tu tiens à ta cousine n'est-ce pas ?

     

    (déterminée en étant allumeuse, jouant avec son arme sur l'intimité de l'ainé Fitzpatrick effleurant l'arrière de sa cuisse, pinçant ses fesses et griffant le bas de son dos pour le troubler) : J'y tiens, même énormément que je veux également sa liberté, mais tu tiens également à ce que je te procure. Je sais, je sens que tu as envie de moi, de passer un moment torride en me faisant l'amour que tu crieras d'un plaisir incomparable. Tu rêves de la placer en moi et que nos corps ne fassent plus qu'un. Tu ne veux pas être frustré n'est-ce pas ?

     

    (déstabilisé) : Tu n'as pas froid aux yeux belle demoiselle.

     

    (se montrant dominatrice, effleurant son front, embrassant le dessus, le giflant et volant un baiser sur le bout des lèvres pour le chauffer) : Tu n'as pas encore tout vu beau brun.

     

    (troublé) : Tu es une femme plus qu'ensorcelante et troublante.

     

    (prenant son visage avec sa main afin de montrer qui commande en effleurant le bas de sa jambe avec son pied pour l'envoûter) : Tu vas l'être encore davantage que tu me réclameras encore trésor.

     

    (se laissant influencer) : Tu es d'une beauté à couper le souffle.

     

    (se montrant tentatrice en griffant sous l'espace des boutons que portait Michael et titillant son menton pour le désorienter) : Et quoi d'autre ?

     

    (déboussolé) : Tu es si captivante. Tu veux me torturer c'est ça ?

     

    (se montrant perverse en griffant le début de son avant-bras levant sa manche, léchant le dessus et malaxant son intimité pour le torturer) : Si je te dis que oui, ça marche ?

     

    (influencé en procurant une douceur à son oreille et l'embrassant sur le coin de ses lèvres) : Tu me rends fou.

     

    (l'allumant en baissant légèrement son pantalon, glissant sa main sous son boxer en faisant des va et viens torrides avec sa main sur son intimité et faisant une proposition pour l'appâter) : Alors, viens avec moi, et tu vivras l'instant le plus mémorable de ta vie. »

     

    Elle l'embrassa sauvagement titillant sa langue avec la sienne dans une danse endiablée et léchant son menton pour le mettre sur sa faim. Elle le détestait, même cordialement pour ce qu'il osait lui faire, mais elle était attirée par ce garçon bien mauvais. Elle le désirait sur l'instant, et elle voulait ressentir la chaleur de son corps tout contre le sien. Elle se leva bougeant son index en guise d'invitation. Elle voulait l'appâter, qu'il ressente cette même envie qu'elle ressentait en cet instant. Michael fut séduit qu'il la suivit sans problème. Il désirait la belle. Il voulait lui montrer à quel point il était à elle. Elle le dirigea vers une salle privée où les deux pourront s'adonner à un plaisir inoubliable. La belle avait l'intention d'asseoir son contrôle sur l'ainé Fitzpatrick pour mieux arriver à ses fins. Michael va-t-il être piégé ? Megan obtiendra-t-elle sa liberté ? Pendant ce temps, Matthew Carter et Cassandra se trouvaient toujours à l'hôpital dans les bras l'un de l'autre. Matthew voyant sa belle, était le plus heureux des hommes surtout qu'il allait se marier avec elle. Elle s'était endormie après leur moment torride et il ne pouvait qu'embrasser son front puis le coin de ses lèvres rien que pour ressentir la chaleur de son corps près du sien. Il était fou amoureux de sa dulcinée et il était capable de tout pour la protéger surtout que Michael ne voulait que la mort de la belle. Il regarda Cassandra puis vers l'horizon quand soudain, il vit une silhouette familière au fond et cela lui faisait plus que peur. Il se frotta les yeux pensant qu'il était en train de rêver mais c'était loin d'être le cas. En effet, il avait vu Bianca Elena Parks. Celle-ci était quelqu'un d'instable et aimant surtout aligner les conquêtes dans le but d'atteindre le luxe et le pouvoir. Ses charmes étaient même son arme favorite et même, elle aimait jouer de perversité pour atteindre son objectif. Matthew, lui, lorsqu'il l'avait rencontré, c'était lorsqu'elle se promenait dans les rues afin de rechercher de la drogue. Il l'avait sorti de cette situation, lui évitant ainsi de rentrer dans des organisations illégales mais il ignorait qui était réellement la belle à l'époque et de quelle famille elle provenait. Après cet épisode, elle était complètement obsédée par lui, sachant à quel point il l'avait sorti d'une mauvaise situation. Elle le suivait et le coinçait dans des endroits bien stratégiques où Matthew ne pouvait sortir, mais celui-ci réussissait juste à temps à s'extraire du piège. Son amour pour Cassandra était plus fort que tout. Depuis un moment, il ne l'avait pas vu, et pour lui, c'était tant mieux car il pouvait se concentrer sur comment détruire les Fitzpatrick et surtout sur sa dulcinée mais voilà, le tout allait être balayée à cause de cette jeune blonde. Bianca sourit en roulant des hanches pour captiver sa cible. Elle comptait le rendre fou en étant charmante et entreprenante pour ainsi approcher du pouvoir. Elle ne pouvait que compter sur elle-même et ses atouts pour atteindre ses objectifs, car au niveau de sa famille, c'était le froid entre elle et ses soeurs. Matthew était charmé en voyant la belle. Cependant, il tenta de résister. A cet instant, elle effleura sa joue laissant son souffle agir sur son cou pour l'envoûter. 

     

    (se montrant charmante et séductrice se mordillant l'index, parlant tout bas, prenant sa main, embrassant le dessus et griffant son poignet puis le début de son avant-bras pour le troubler) : « Oh, je t'ai manqué on dirait beau gosse.

     

    (surpris, parlant tout bas et tentant de résister) : Non, mais tu es dingue, et en plus, elle est là.

     

    (curieuse et jouant au chantage) : Alors c'est elle, voyons, si on la réveille, qu'est-ce qu'elle va dire pour nous deux bel apollon ?

     

    (déstabilisé) : Je t'en prie, ne fais pas ça. Qu'est-ce que tu désires Bianca ?

    (se montrant joueuse, posant son index sur ses lèvres, griffant son cou et effleurant son bas-ventre pour exalter du désir) : C'est toi que je veux, et toi aussi, tu me désires, je le sens depuis toujours. Ne reste plus frustré et laisse libre-cours à tes envies.

     

    (essayant de résister) : Je ne peux pas, je l'aime.

     

    (se montrant entreprenante et le faisant chanter faisant une moue, l'embrassant l'intérieur de sa main léchant son index et mordillant son poignet pour l'émoustiller) : Voyons beau brun, si tu ne veux pas que je la réveille et que je fasse un scandale, suis-moi, sinon je fais de ta vie un véritable enfer. Tu ne souhaites pas ça n'est-ce pas ?

     

    (dérouté et curieux) : Ne fais pas ça. Je te suis. Où m'emmènes-tu ?

     

    (posant son index sur les lèvres du bellâtre, mordillant le haut de son torse et effleurant le haut de sa jambe pour le titiller) : Surprise chéri, et je te garantie que tu vas l'aimer.

     

    (charmé et résigné) : Je suis curieux de savoir ce dont tu réserves belle blonde. Tu es d'une telle beauté.

     

    (jouant la touchée, l'allumant, embrassant subtilement et perversement sa joue atteignant le coin de ses lèvres pour l'ensorceler) : C'est que jamais on ne m'avait complimenté de la sorte. Je pensais que je ne méritais pas ce traitement. Je t'emmène au loin, et tu vas vivre un instant si mémorable que tu me redemanderas de recommencer.  »

     

    Bianca prit la main du bellâtre et l'éloigna de la chambre de Cassandra qui dormait paisiblement. Matthew Carter se retrouva-t-il piégé par Bianca ? Heureusement pour eux, Cassandra dormait paisiblement à croire que Bianca aimait jouer avec toute sorte de danger. D'ailleurs, celle-ci se réveilla quelques instants après ne voyant pas son bellâtre à ses côtés. Elle se disait que celui-ci avait dû chercher quelque chose, enfin préparer une surprise pour elle. Rien qu'à l'idée, elle souriait. Elle était heureuse que son couple aille vers un aboutissement certain. Elle voyait le bout du tunnel avec le cas de Fitzpatrick et la menace qui pesait sur elle. Elle resta allongée attendant que son homme revienne quand soudain, elle entendit du bruit. Elle craignait que l'on tente de nouveau de la tuer. Il était hors de question de la séparer de son homme. Elle ne comptait plus se faire avoir quitte à neutraliser la personne qui serait envoyée pour la liquider. Elle enleva sa perfusion et éteignit vite le monitoring afin que personne ne soit blessé. Même si elle pensait à sa sécurité, elle ne désirait pas que quelqu'un d'autre ait des problèmes. Elle s'en voudrait si jamais quelqu'un prenait quelque chose à sa place. Elle se leva difficilement et se plaça derrière la porte, la poussant et attendant de voir qui pouvait se présenter auprès d'elle. Un homme se présenta derrière la porte, plutôt imposant et charismatique. Elle comptait le neutraliser mais elle se rendit compte que celui-ci n'était autre que son père Bradley Davenport. Celui-ci avait eu sa fille à l'âge de seize ans alors qu'il était tombé fou amoureux d'une jeune femme de vingt ans qu'il avait rencontré lors d'une sortie en boite de nuit. Celle-ci avait recherché le pigeon idéal pour obtenir de l'argent. Alors que la mère était enceinte, celle-ci avait fait chanter la famille de Bradley et ainsi, la famille aurait le bébé si en retour, elle obtenait près de 50000 livres sterling. La famille avait donné cet argent et ainsi, avait aidé Bradley à élever Cassandra. Bradley avait pu faire ses études, et montait en grade afin d'arriver là où il en est aujourd'hui. Cassandra n'avait pas vu Bradley depuis deux ans, alors que celle-ci avait fait la rencontre de William Spencer, le roi aujourd'hui décédé et qu'elle avait accepté de ramener Matthew Brian Spencer au bercail et être celle qui se chargera de sa protection. Lorsqu'elle lui avait annoncé pour qui elle allait travaillé, Bradley était plus que furieux. Selon lui, protéger des personnes influentes ou célèbres était comme de gâcher les compétences de sa princesse. En effet, il la voyait faire un métier bien plus tranquille ou même de reprendre son flambeau. Le patriarche était le chef de Scotland Yard et voir sa fille prendre sa place serait comme inscrire le nom des Davenport dans l'histoire. A la suite de l'annonce de sa fille, les deux s'étaient disputés et plus jamais ils ne se sont parlés. Pour Cassandra, voir son père était une grande surprise. Elle baissa sa garde et resta à distance ne connaissant pas les intentions de celui-ci. Ce dernier fut ému de la voir mais il avait d'autres intentions comme de retirer sa fille des événements actuels en se montrant plus que protecteur envers elle. Seulement, ses intentions étaient-elles sincères ? 

     

    (rassuré) : « Ma chérie, comme je suis si heureux de te savoir saine et sauve. C'est que je me suis inquiété en apprenant ce qui t'est arrivé.

     

    (froide) : C'est gentil, mais qu'est-ce que tu veux ?

     

    (curieux) : Tu ne viens pas embrasser ton père ?

     

    (agacé) : Tu te fous de moi ? Alors que l'on ne s'est pas vus depuis deux ans ? Je n'ai pas oublié notre conversation et le fait que j'ai choisi ma voie toute seule.

     

    (essayant de la convaincre) : Et tu as vu où cela t'a conduit ? A l'hôpital. Alors, tu aurais mieux fait de m'écouter.

     

    (ayant de la répartie) : Au point de m'ennuyer tel un rat mort ? Non, merci, je préfère l'action.

     

    (essayant de la raisonner) : Mais tu te rends compte de ce que tu as fait ? Tu aurais pu mourir.

     

    (calme et curieuse) : Je sais ce que je risque mais je pense avant tout à ceux que je dois protéger et les Spencer sont importants. Mais dis-moi, tu n'es pas venu ici que pour moi n'est-ce pas ? Je te connais que trop bien.

     

    (jouant l'offensé) : Non, mais tu crois sérieusement que je ne penserai pas à toi ? Tu es ma fille, ma chair, mon propre sang. Tu es tout pour moi, et je ne veux que ton bien-être. On m'a prévenu tout simplement. L'hôpital m'a appelé. Tu crois que jamais je n'aurai su ? Je te rappelle que je suis dans la hiérarchie, même très haut.

     

    (se rendant compte du mal qu'elle a fait) : Je suis désolée Papa. Mais, rien que le fait de te trouver ici, à côté de moi, tu es en danger.

     

    (curieux) : Comment ça ?

     

     

    (hésitante) : Je... J'ai été attaquée. Mais comme tu peux le constater, je tiens encore debout. Je suis en vie et robuste, digne d'une Davenport.

     

    (choqué) : Quoi ? Mais par qui ? Celui ou celle qui a osé t'attaquer, je vais le découper en rondelles, le hacher jusqu'à ce qu'il ne reste pas grand chose.

     

    (calme) : Par un sbire de Michael Fitzpatrick.

     (se montrant prévenant et compatissant) : Ne t'inquiète pas, je suis là, et je vais t'aider, peu importe ce qui s'est passé entre nous. Cependant, il faudra absolument tout me dire d'accord ?

     

     

    (compréhensive) : D'accord.

     

    (faisant une proposition pour attirer sa fille) : Alors cela te dit que je te ramène à la maison et que j'assure ta protection ?

     

    (résistante) : Je ne veux pas abandonner mon homme. Il a dû aller me chercher quelque chose. Je ne veux pas partir sans le prévenir, cela ne serait pas correct. Je ne veux pas en plus qu'il m'en veuille, je ne le supporterai pas. En plus, je n'ai pas encore l'autorisation de l'hôpital pour sortir. 

     

    (compréhensif) : Oh, tu as quelqu'un ? Tu as intérêt à me présenter. Je désire connaître celui qui rend ma fille heureuse. Je comprends ce que tu veux dire, et si je reste auprès de toi, tu es d'accord ?

     

    (résigné et lui faisant une contre-proposition en retour) : Oui, je te le présenterai, et même, il m'a demandé de l'épouser, j'ai dit oui. D'accord, mais en retour, il est temps de percer la distance qu'il y a entre nous. 

     

    (conciliant) : Je suis si heureux pour toi ma chérie, et on parlerai de la suite des événements. Je suis pour ta proposition. » 

     

    Le père et la fille pouvaient enfin s'expliquer. Soudain, Bradley reçut un message sur son portable. Il regarda et il vit ce qu'il était inscrit à savoir s'il se trouvait dans la place. Il répondit que oui. Que cachait-il ? Et qu'est-ce qu'il faisait réellement ? Est-ce qu'il y aura une explication entre le père et la fille ? Pendant ce temps, Matthew Spencer cherchait son frère Andrew afin de lui faire comprendre une bonne fois pour toute que plus jamais il ne devait toucher ou s'en prendre à sa dulcinée Melody sinon, il le regretterait à jamais. Il regardait dans tous les recoins de la demeure pour arriver finalement devant sa chambre. Rien que d'être devant était pour Matthew une horreur. Cela lui rappelait les mauvais souvenirs de leurs disputes passés, jusqu'à ce que Melody ne vienne à jamais ternir la relation entre le dernier de la famille et l'ainé. Il fit les cents pas jusqu'à ce que son téléphone sonna. Il vit marquer sur son téléphone que c'était un numéro inconnu. Il était assez curieux et répondit. Il tomba sur Rebecca, le médecin qui lui avait fait passer les tests de paternité ainsi qu'à Andrew pour Ethan. A cet instant, Matthew pensa à ce jeune innocent. Il s'était attaché à lui. Il avait même l'impression de se reconnaître en lui et il n'avait qu'une peur : qu'on lui annonce que le petit garçon qu'il élevait n'était autre que son neveu. Il aimait Melody, il aimait sa petite famille et pour rien au monde il ne voudrait que quelque chose n'arrive. Il ne pourrait pas supporter de les perdre. Il pensait à ce qu'il avait à New York, à sa défunte épouse et le fait qu'elle avait été assassinée. Rebecca était la soeur de celle-ci et aussi celle qui avait essayé de le tenter. Même s'il avait repoussé la belle, il ressentait une certaine attirance et la contenir était difficile. Aujourd'hui, il ne voulait pas que les mêmes événements se répètent. Rebecca, elle, n'avait cessé de penser à Matthew depuis qu'elle l'avait revu au test. Pour elle, Matthew était quelqu'un de droit et de généreux. Elle désirait le croquer mais le contexte avait fait que jamais cela ne s'était pas fait, même lors de ce diner alors que sa soeur avait été absente. Elle était compréhensive et lorsque sa soeur n'était plus un problème, elle pensait avoir toutes ses chances. Elle était venue quelques temps après mais Matthew n'arrivait pas à oublier sa soeur ce qui était frustrant. Elle était ensuite passée à autre chose avec James Fitzpatrick tombant amoureuse de lui, mais le frère trempait dans des organisations peu conventionnelles. Elle comptait avoir aujourd'hui Matthew à ses côtés, enfin surtout de voir si cela aurait pu coller entre eux. Elle aurait pu penser au sbire flic de Michael, mais viser un homme de la famille royale, c'était tellement mieux. Elle jouera la fille apeurée et désirant une protection pour le piéger. Elle pleura d'avance pour mieux préparer son rôle et son discours. Elle savait que les hommes ne pouvaient résister à des jeunes filles en détresse, le genre qui est bien présentée dans les films de super-héros.

     

    (jouant la fille effrayée) : « Matthew, oh comme je suis ravie de pouvoir t'avoir au téléphone. J'ai si peur. Je ne sais pas vers qui me tourner.

     

    (inquiet et prévenant) : Je suis là, ne t'inquiète pas. Dis-moi ce qui se passe.

     

    (faisant celle qui perdait ses mots pour attendrir sa proie) : Je... J..e.... J'ai peur de mon beau-frère. Il a été bien méchant, proférant des menaces que je ne sais pas quoi faire.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas. J'arrive pour te retrouver et ensemble, on verra comment agir. Qu'est-ce que tu en penses ?

     

    (satisfaite et le cachant en le flattant) : Tu es un ange. Je ne peux qu'être reconnaissante de ce que tu fais pour moi.

     

    (attentionné) : Tu sais que tu comptes pour moi alors ne pas te savoir en sécurité me chagrine au plus haut point.

     

    (faisant une proposition pour apâter sa proie) : Tu peux venir directement chez moi ? Je t'attendrai là-bas.

     

    (conciliant et prévenant) : Bien sûr, et surtout fais attention à toi, j'arrive au plus vite.

    (satisfaite et le complimentant) : D'accord, tu es un prince. J'ai de la chance de t'avoir dans ma vie.

     

    (gêné et la complimentant) : Si tu veux me faire rougir c'est réussi. Et toi, tu es toujours aussi magnifique. Allez, j'arrive dans quelques minutes, je fais vite. A tout à l'heure.

     

    (reconnaissante) : A tout à l'heure bel ange. »

     

    Matthew raccrocha le téléphone. Il partit vite se changer afin d'aller voir la belle femme sans se douter qu'il s'agit d'un piège. Pour lui, le fait que Rebecca puisse ne serait-ce être en danger était inconcevable. Il avait en tête la mort de sa femme qui ne s'était jamais cicatrisée. Si en plus, il fallait perdre la soeur de celle-ci, ce serait un coup de poignard en plein coeur. Il ne laissera pas faire ce genre de chose. Il partit en trombe afin de la rejoindre. De son côté, Rebecca prépara tout, que ce soit au niveau des pleurs comme ses vêtements bien froissés et son attitude pour attiser le côté protecteur de sa proie. Elle l'attendait avec impatience. Est-ce qu'il tombera dans le piège de la belle ? Rebecca obtiendra-t-elle ce qu'elle désire risquant tout ce qu'elle possède avec son époux ? En même temps, Melody attendit son homme avec impatience dans leur chambre. Elle pensa au bonheur qu'elle vivait en étant avec lui et aussi avec Ethan son fils. Au fond d'elle, elle pensait qu'Ethan ne pouvait qu'être le fils de Matthew Spencer. Le fait que cela soit autre chose serait pour elle un cauchemar. Soudain, son téléphone sonna. Elle répondit et il n'y avait qu'un bruit de fond puis plus rien. C'était assez mystérieux. Melody était effrayée par ce qui était en train de se passer. Soudain, elle reçut un sms qui l'intimait de venir au portail. Elle descendit rapidement pour s'y rendre avec une certaine frayeur au ventre. Elle se demandait qui pouvait vouloir la voir et surtout dans ses conditions. Elle passa la sécurité pour se rendre sur les lieux. Elle ne vit personne. C'était encore plus effrayant pour elle. Elle se posait même énormément de questions. Elle regarda effrayée aux alentours. Soudain, un bruit se fit entendre au niveau du portail. Elle sursauta et se rendit compte que la personne sous ses yeux n'était autre que sa soeur Jessica Evans. Elle avait bien changé depuis la dernière fois qu'elle avait pu la voir. Cela avait eu lieu il y a deux ans où Melody travaillait dans un bar plutôt pitoyable, où les hommes n'étaient que des crétins. Elle ne sentait pas bien dans cet endroit, mais voilà, il fallait penser à trouver de l'argent pour prendre soin d'Ethan, son jeune garçon. Alors que Melody était sortie pour les poubelles, soudain un homme vint à sa rencontre en étant bien trop entreprenant. Melody ne savait pas comment se sortir de cette situation. Elle était paniquée. Elle voyait sa vie défiler sous ses yeux, se disant que c'était la dernière fois qu'elle verrait son fils quand soudain, un bruit de balle se fit entendre. Elle visait le torse de l'homme qui tomba aussitôt. Jessica était apparue peu de temps après, voulant voir si sa soeur allait bien. Les deux soeurs avaient discuté par la suite et ensuite une dispute car la jeune maman avait découvert ce que faisait Jessica c'est à dire qu'elle avait travaillé pour un truand notoire. Jamais Melody n'avait recontacté sa soeur par la suite et inversement. Enfin, aujourd'hui, le tout était une autre histoire. Jessica la sortit de ses pensées en tapant sur le portail. Elle était bien décidée à avoir une discussion avec Melody peu importe les conséquences. Elle ressentait de la rancoeur envers elle depuis le temps mais cependant, elle savait qu'en faisant ce qu'elle faisait maintenant, elle devait la croiser tôt ou tard alors il valait mieux l'amadouer pour continuer ses activités des plus mystérieuses. Melody, elle, ne savait pas comment se comporter. Elle resta à bonne distance afin de se protéger. Les deux soeurs se regardèrent dans les yeux. Finalement, Jessica prit l'initiative. 

     

    (déterminée) :  « Ca faisait longtemps, n'est-ce pas ?

     

    (distante et curieuse) : Comment tu as fait pour me trouver ici ?

     

    (usant de répartie pour la déstabiliser) : Oh, mais tu sais que j'ai tellement de ressources. Je peux te retrouver quand je veux ma chère et puis, c'est facile de te retrouver ici. Tu as été avec Matthew Spencer. Tu as également fréquenté Andrew. Les Spencer t'ont fait rentrer dans le cercle.

     

    (agacée) : J'ai bel et bien l'impression que tu me vois comme une trainée, je me trompe ?

     

    (faisant l'innocente) : Oh, mais ce n'est pas mon genre de faire cela, tu me connais mieux que ça.

     

    (énervée et curieuse): Avec toi, je ne sais pas à quoi m'attendre. Alors dis-moi, pourquoi es-tu venu ici ?

     

    (omettant certaines informations) : Mais pour savoir comment tu vas ainsi que mon neveu. Je peux le voir ?

     

    (méfiante) : Alors que tu n'as pas donné signe de vie depuis deux ans, tu penses que je vais te confier mon fils comme cela ? Tu te trompes. Et puis, si tu avais réellement envie de savoir comment j'allais ainsi qu'à Ethan, tu aurais pu me contacter au lieu de disparaître dans la nature non ? C'est tout toi, tu as préféré oublier les problèmes en prenant la fuite au lieu de les affronter.

     

    (usant de répartie) : Je t'aurai dit exactement pareil. Tu n'as pas pensé à moi non plus, préférant penser à ta vie ainsi qu'à ton fils et surtout choisir entre Matthew et Andrew Spencer. Alors, tu vois finalement, on est deux connes n'ayant pas fait le premier pas.

     

    (conciliante et méfiante) : C'est vrai, tu as raison. Cependant, qui peut me dire que je peux avoir confiance en toi ?

     

    (vexée et jouant la perdue pour amadouer sa cible) : Voyons, j'ai et je serai toujours là quand tu auras besoin de moi, tu le sais bien. Si je suis là, c'est pour que l'on renoue contact, sinon, je ne l'aurai pas fait. Tu m'as manqué depuis ce temps de même qu'à mon petit neveu. J'ai souffert d'être séparée de ma famille. Toi et Ethan, vous êtes absolument tout ce que j'ai.

     

    (touchée) : Toi aussi tu m'as manqué, et tu as également manqué à Ethan.

     

    (faisant une proposition pour intriguer sa cible) : Cela te dit que l'on se retrouve toi et moi ou même Ethan dès maintenant ?

     

    (influencée) : J'aurai bien aimée mais je dois demander au préalable à la sécurité de te laisser passer.

     

    (déçue et insistante) : Oh, mais tu es sûre que tu ne peux pas faire quelque chose dès maintenant ? C'est que j'aimerai pouvoir serrer ma soeur dans mes bras.

     

    (hésitante et troublée) : Je ne peux pas faire grand chose, c'est que c'est sécurisé et je n'ai pas autant de pouvoirs dans cette demeure. Comme j'ai dit, faut que je vois avec la sécurité ou directement avec l'un des Spencer.

     

    (curieuse) : Je croyais que tu avais de l'influence ?

     

    (calme) : Je ne suis que la compagne de Matthew Spencer, je n'ai pas de pouvoirs propres. Mais je vais essayer de leur parler.

     

    (jouant la déçue) : Oh, alors on ne peut pas faire les choses alors tant pis, tchao alors.

     

    (triste et essayant de la retenir) : Mais pourquoi tu fais ce genre de choses ? Je ne comprends pas. Je ne peux pas faire grand chose.

     

    (restant sur son rôle) : Car je suis venue exprès pour que l'on reparte sur de bonnes bases et qu'ensuite finalement, tu ne fais pas tout en retour, alors je reviendrai quand tu seras décidée.

     

    (ne sachant pas quoi dire en étant émotive) : Mais.... »

     

    Jessica partit ne laissant pas à Melody le soin de dire quoi que ce soit. Melody fut particulièrement secouée par cette rencontre, se posant de multiples questions. Revoir sa soeur fut pour elle un moment inoubliable mais aussi cauchemardesque dû à leur dernière entrevue. Elle ne savait pas quoi penser de Jessica. Elle se demandait surtout si elle allait accéder à sa demande. Elle aimait sa soeur mais elle avait peur de ce qu'elle pouvait faire à l'intérieur. Melody satisfera-t-elle le souhait de Jessica ou bien un combat commencera entre les deux ? Jessica de son côté fut éloignée de la demeure Spencer. Elle était satisfaite d'avoir fait autant d'effet à Melody. Elle espérait ainsi que celle-ci lui ouvre les portes de la demeure Spencer. Arriverait-elle à ses fins ? Soudain, son téléphone sonna. Elle répondit immédiatement.

     

    (décidée) : « Alors il est là-bas ? Il va donc aller là-bas si tout va bien. Merci de l'information. »

     

    Jessica partit le sourire aux lèvres vers une destination des plus inconnues. Quelle était son but lors de sa visite près de la demeure Spencer ? Que comptait-elle faire ? Au même instant, Melinda rentra chez elle, plutôt satisfaite d'avoir réussi à déstabiliser Michael Fitzpatrick à propos de leur fils. Elle pensait passer un moment tranquille quand soudain, une personne lui passa ses mains sur les yeux l'empêchant ainsi de voir. Melinda était craintive, ne sachant pas au début qui pouvait faire ce genre de chose. Elle sentit les lèvres de cette personne à son oreille. Elle reconnaissait cette douce chaleur contre elle qu'elle sourit. Immédiatement, elle prit le bras de cet individu et le guida vers sa poitrine, descendant près de son intimité et en retour, elle griffa l'arrière du cou de l'individu. Elle aimait tenter son amant, aimant jouer de ses charmes un maximum pour le mettre au supplice. Rien que d'être auprès de lui, de sentir cette douce chaleur, cela enivrait ses sens et le désir la consumait de l'intérieur. Elle se tourna et vit que c'était Tyler Benjamin Whitecomb, un homme bien mystérieux, mais dont Melinda l'avait croisé il y a plusieurs mois de cela. Tyler était à l'époque quelqu'un de plutôt renfermé et qui avait une certaine crainte des personnes, désirant fuir une menace inconnue. Melinda elle, était encore en colère contre Michael qui ne déniait même pas la regarder préférant s'occuper de ses affaires et surtout de ce que sa famille pouvait bien penser de lui. Alors depuis, au lieu d'attendre auprès de Michael, elle s'est rapproché de cet homme à l'apparence dure, mais surtout fragile au travers de son passé. Il était une énigme et elle adorait cela. La curiosité était un vilain défaut chez elle et elle s'en était bien servie pour qu'aujourd'hui, les deux soient aussi proches, au point même de comploter. Tyler, tout contre elle, ressentit une chaleur de bien-être, un bonheur qu'il n'avait pas connu depuis fort longtemps, lui réduisant même les cauchemars qui peuplaient ses nuits. Lorsqu'il la vit se tourner, il affichait un sourire, heureux. Melinda comptait bien le rendre fou afin de l'emmener à ce qu'il comble ses quatre volontés. Elle usera de ses charmes pour mieux le piéger dans ses filets. 

     

    (se montrant entreprenante en mordillant l'intérieur de sa main, léchant son index et griffant son bas-ventre en étant proche de son intimité pour l'enflammer) : « Tu es toujours à croquer beau gosse, tu m'as tant manqué, tu n'imagines pas à quel point. J'aime quand tu me surprends comme tu le fais et me retrouver dans tes bras. Je pensais justement à toi et à tes belles attentions qui m'ont tant manquées. Qu'est-ce que tu me réserves d'autre bébé ? Je suis déjà si impatiente de savoir.

     

    (troublé) : Toi aussi déesse, même plus que tout. J'aime voir ton sourire sur ton visage d'ange, et tu me rends heureux. J'étais comme fou sans te voir, sans pouvoir admirer ne serait-ce que tes courbes qui me font un tel effet, et même te prendre dans mes bras. Tu es tellement divine, un ange tombé du ciel rien que pour moi. J'ai tant de surprises pour toi. Tu vas voir, tu seras éblouie.

     

    (jouant la touchée, léchant son cou puis le haut de son torse pour l'émoustiller) : Tu vas me faire rougir trésor, d'ailleurs, c'est réussi. Tu es le seul à me rendre heureuse comme tu le fais, un bonheur que jamais je n'aurai pensé connaître. Les compliments, je n'en ai plus l'habitude à croire que je ne les mérite pas.

     

    (charmé et influencé) : Je ne comprends pas comment on ne peut pas t'en donner, ce n'est pas possible. C'est une telle injustice. Tu es si ravissante, une véritable déesse que tu mérites d'en recevoir tous les jours. D'ailleurs, avec moi, tu en auras tout pleins de compliments.

     

    (jouant la coquine en effleurant l'intérieur de sa cuisse frôlant son intimité et léchant son index pour le provoquer) : Et ensuite tu me feras crier de plaisir, plaçant ceci en moi. Je sais que tu en meurs d'envie, que tu ne rêves que de cela depuis si longtemps, que nos corps ne fassent plus qu'un dans un instant bien charnel. Laisse-libre cours à tes envies bébé. Tu ne souhaites pas être frustré n'est-ce pas ?

     

    (influencé) : Je t'offrirai le monde entier si je pouvais, tu sais ma déesse. Je ne désire qu'être à tes côtés.

     

    (jouant l'entreprenante en avouant de faux sentiments, levant sa manche, léchant son avant-bras, mordillant le dessus de sa main et procurant une douceur à son pouce en faisant des va et viens pour exalter du désir) : Et quoi d'autre trésor ? Je me sens si bien auprès de toi que j'aimerai que le temps s'arrête pour que l'on profite pleinement de nos instants ensemble.

     

    (complètement sous le charme) : Je désire te prendre dans mes bras et ressentir la chaleur de ton corps tout contre le mien.

     

    (lui faisant une proposition en l'embrassant du bout des lèvres, mordillant son bas-ventre, griffant le bas de son dos et pinçant ses fesses pour le faire frémir) : Cela te dit de passer du temps avec moi ? On va pouvoir rattraper le temps perdu beau gosse mais également parler de nos beaux projets. Tu sais qu'il faut avancer n'est-ce pas ?

     

    (plus que troublé) : J'en meurs d'envie ma chérie. Tu es tellement divine que j'en perds mes mots. Je sais mon ange. Et on fera au plus vite. Je n'aime pas te voir aussi près de Michael, ça me fait peur. Je crains qu'il ne tente quelque chose. Tu m'aideras en retour pour mon problème n'est-ce pas ?

     

    (le flattant en léchant son cou le mordillant, griffant son bras et effleurant le bas de son corps avec sa jambe pour mieux le séduire) : Et toi un tel apollon sculpté tel un dieu grec qui me fait rêver. Tu es si désirable. Je te veux tellement. Ne t'inquiète pas, avec un tel gentleman, il ne pourra pas s'approcher de moi. Je me sens en sécurité à tes côtés et puis, bien sûr que je vais t'aider, je te l'ai promis et je t'offrirai tous les moyens nécessaires pour que tu atteignes ton but.

     

    (ressentant une envie et un désir des plus intenses) : Je te désire plus que tout, je te veux. Rentrons tous les deux. »

     

    La belle s'approcha l'embrassant langoureusement et il prolongea ce baiser d'une manière plus que fougueuse et passionné. Melinda était plus que satisfaite de la tournure des événements. Elle le menait par le bout du nez que maintenant elle pouvait lui demander n'importe quoi. Elle s'était rapprochée de Michael, voyant un moyen de s'approcher d'un pouvoir, mais celui-ci ne faisait rien, reculait même au nom de la bienséance avec son frère. Alors, elle avait décidé de se rapprocher de Tyler, un homme qui pouvait la mener vers ce qu'elle désirait. Pour cela, elle savait que des hommes de Michael rodaient dans les parages, des personnes de confiance pour la surveiller. Et s'ils découvraient que Melinda était proche d'un autre, ils iraient vite tenter de tuer le rival. Melinda prit la main de son amant quand deux hommes de main vinrent à leur rencontre avec armes à la main. Tyler, s'il y avait bien une chose qu'il détestait par-dessus tout c'était que l'on s'en prenne aux personnes qui comptaient le plus dans sa vie. Il était comme fou de rage qu'il frappa le premier avec un coup de poing. L'individu s'écroula au sol inconscient. La force de cette frappe était assez grande. L'autre personne vint de suite à charger son arme et à la pointer vers Tyler. Celui-ci savait pertinemment que son ennemi allait réagir ainsi. Il fallait dire que ce genre d'hommes de main pour lui n'était que des femmelettes qui ne pensaient pas. Alors il prit son arme et la pointa en premier vers lui.

     

    (usant de répartie) : «  Alors, vous pensez faire quelque chose contre moi ? Si tu ne veux pas perdre tes bijoux de famille, tu as vite intérêt à te casser et plus vite que ça. Oh, ramène ton copain, il va avoir une sale gueule en se réveillant. Si vous ne vous bougez pas, vous risquez bien de danser, alors un, deux.... »

     

    Les individus partirent vite tellement ils étaient effrayés. Tyler était satisfait des événements. Pour lui, se laisser faire par des crétins était pire que tout. Il était songeur, pensant à l'après, et pour avoir une certaine ascendance sur ses ennemis, il avait un bon moyen. Il pointa son arme en direction des ennemis et tire. Les balles touchèrent les fesses des ennemis qui sautillèrent tels des cons. Tyler afficha un sourire en voyant ce spectacle. Melinda elle, jouait l'effrayée en tremblant. Le bellâtre vint vers elle et la prit dans ses bras la réconfortant. Elle sourit et en profita pour les faire rentrer. Elle désirait passer un moment inoubliable et vu ce qui était arrivé, elle pourrait tout demander. Qu'allait-il se passer entre eux ? Qu'allait-il comploter ? Qui sera visé ? Qui est ce mystérieux Tyler. De leur côté, Duncan, Alyson et Andrew attendirent la police. Celle-ci arriva sur les lieux avec une voiture ayant la ferme intention de régler le soucis. Deux policiers sortirent de la voiture. Immédiatement, Andrew anticipa la réaction de son cousin en commençant à marcher vers eux. Alyson, voyant qu'il pouvait contrecarrer ses projets, alla vite vers les policiers et les ramena vers Duncan. Ainsi, celui-ci pourra dire ce qu'il s'est passé sans aucun problème. L'un des policiers se rendit compte que l'affaire impliquait quand même Andrew Spencer, membre éminent de la famille royale. Il ressentait une certaine crainte. Cependant, Alyson prit les choses en main en posant sa main sur l'épaule et joua l'affolée pour attiser le côté protecteur du policier. Ainsi, elle éloignera le crétin d'Andrew et son chou sera tellement reconnaissant qu'elle pourra passer un moment inoubliable avec lui.

     

    (jouant l'effrayée) : « Non, n'écoutez pas cet homme. Il est complètement fou. Vraiment, ne lui faites pas confiance, protégez-nous, je vous en supplie !

     

    (énervé) : Ne la croyez pas, je n'ai rien fait. Ce sont eux qui m'ont agressé. Arrêtez-les de ce pas, c'est un ordre !

     

    (usant de répartie en jouant la paniquée pour le contrer) : Vous n'allez pas le croire, non ! Regardez ce jeune homme, à quel point il a été malmené, vous allez croire qu'Andrew n'est pour rien dans cette histoire, alors écoutez ce jeune homme bordel de merde ! Ecoutez Duncan Collins car après tout vous êtes chez lui ! »

     

    Andrew comptait parler mais les policiers furent convaincus par le discours d'Alyson. Ils lui sommèrent immédiatement de se taire et se rapprochèrent de Duncan. Le jeune homme fut des plus reconnaissants et admiratifs envers sa belle. Jamais il n'avait vu quelqu'un prendre sa défense et le protéger comme elle le faisait. Il l'admirait, il était attiré par cette belle créature. Vu ce qu'elle avait fait, il s'approcha ds deux policiers afin d'expliquer ce qui est arrivé.

     

    (déterminé) : « Je porte plainte contre Andrew Spencer pour intrusion de domicile. Il s'est introduit chez moi sans même mon autorisation et de plus, il a menacé à la fois Alyson de même que moi. Il nous a également frappé que ce soit sur elle ou sur moi. Alors dans ma plainte, je rajoute aussi coups et blessures. J'ai été frappé au visage, et c'est le cas aussi pour elle. Elle a aussi été atteinte moralement, elle pourra vous le confirmer.

     

    (jouant l'effrayée) : Il a raison, totalement raison. C'est exactement ce qui s'est passé. Et je porte également plainte. Arrêtez Andrew je vous en supplie.

     

    (triste) : Tu oses faire cela ? Ma chérie, je t'en prie mon amour, reviens vers moi, et on pourra repartir sur de nouvelles bases.

     

    (énervée) : Chérie ? Alors que tu m'as frappé et que tu as frappé Duncan ? C'est terminé pour toi. Tu es hors jeu. Ton trône, tu vois, ne te sauvera même pas les fesses. Le jeu est fini. »

     

    Les policiers, avec tout ce qui a été dit, regardèrent Duncan avec insistance, demandant son souhait. Celui-ci était déterminé à en finir avec celui qui le persécutait par le passé. Il voulait tourner la page. Il voulait que tout soit le mieux pour lui, mais surtout, il voulait protéger Alyson de toutes ses forces. Il désirait lui offrir le meilleur tout simplement. Alyson comptait beaucoup pour lui.

     

    (décidé) : « Arrêtez-le s'il vous plait. »

     

    Les policiers exécutèrent la décision de Duncan et mirent les menottes à Andrew en récitant ses droits. Andrew écouta avec attention puis regardèrent les deux bien énervé et décidé à se venger.

     

    (furieux) : « J'ai compris et quand à vous, vous payerez très cher.

     

    (usant de répartie) : Alors tu vois très cher, cela est encore plus terminé, car je peux rajouter intimidation à ma plainte. Emmenez-le loin de nous. Emmenez loin ce nuisible notoire. »

     

    Le jeune homme fut des plus reconnaissants et admiratifs envers sa belle. Jamais il n'avait vu quelqu'un prendre sa défense et le protéger comme elle le faisait. Il l'admirait, il était attiré par cette belle créature. Vu ce qu'elle avait fait, il s'approcha ds deux policiers afin d'expliquer ce qui est arrivé.

     

    (déterminé) : « Je porte plainte contre Andrew Spencer pour intrusion de domicile. Il s'est introduit chez moi sans même mon autorisation et de plus, il a menacé à la fois Alyson de même que moi. Il nous a également frappé que ce soit sur elle ou sur moi. Alors dans ma plainte, je rajoute aussi coups et blessures. J'ai été frappé au visage, et c'est le cas aussi pour elle. Elle a aussi été atteinte moralement, elle pourra vous le confirmer.

     

    (jouant l'effrayée) : Il a raison, totalement raison. C'est exactement ce qui s'est passé. Et je porte également plainte. Arrêtez Andrew je vous en supplie.

     

    (triste) : Tu oses faire cela ? Ma chérie, je t'en prie mon amour, reviens vers moi, et on pourra repartir sur de nouvelles bases.

     

    (énervée) : Chérie ? Alors que tu m'as frappé et que tu as frappé Duncan ? C'est terminé pour toi. Tu es hors jeu. Ton trône, tu vois, ne te sauvera même pas les fesses. Le jeu est fini. »

     

    Les policiers, avec tout ce qui a été dit, regardèrent Duncan avec insistance, demandant son souhait. Celui-ci était déterminé à en finir avec celui qui le persécutait par le passé. Il voulait tourner la page. Il voulait que tout soit le mieux pour lui, mais surtout, il voulait protéger Alyson de toutes ses forces. Il désirait lui offrir le meilleur tout simplement. Alyson comptait beaucoup pour lui. 

     

    (décidé) : « Arrêtez-le s'il vous plait. »

     

    Les policiers exécutèrent la décision de Duncan et mirent les menottes à Andrew en récitant ses droits. Andrew écouta avec attention puis regardèrent les deux bien énervé et décidé à se venger.

     

    (furieux) : « J'ai compris et quand à vous, vous payerez très cher.

     

    (usant de répartie) : Alors tu vois très cher, cela est encore plus terminé, car je peux rajouter intimidation à ma plainte. Emmenez-le loin de nous. Emmenez loin ce nuisible notoire. »

     

    Andrew se débattit puis il fut emmené par les policiers loin de Duncan et d'Alyson. Le jeune homme fut soulagé qu'enfin Andrew soit éloigné de lui. Il souriait même soulagé que le tout soit terminé. Alyson, elle, avait réussi à se débarrasser de son ex. D'ailleurs, il n'était plus dans sa tête et elle n'avait qu'une idée : être auprès de son chou. Elle savait pertinemment le potentiel de ce jeune homme, ce qu'il pouvait apporter et elle comptait être au plus proche de lui, quitte même à garder un souvenir. Elle jouera la fille soulagée et perdue pour mieux attiser le côté protecteur de son chou qu'il prendra soin d'elle. Duncan en la voyant fut attristé qu'il la prit dans ses bras, l'enlaçant tendrement. Elle glissa ses mains dans son dos se blottissant davantage contre lui et regardant avec tendresse et perversité son visage. Ce moment était si particulier pour le jeune homme qu'il prit, charmé, la main de sa déesse et l'emmena à l'intérieur. Qu'allait-il se passer entre eux ? Qu'allait-il advenir d'Andrew ? Pendant ce temps, James était sorti du domaine des Spencer pour essayer de récupérer, de ne plus penser à ce qui était en train de lui arriver. Avec Rebecca sa femme, Alyson sa maîtresse à l'époque et maitre-chanteuse puis maintenant, Brooklyn, James était bouleversé, à croire que les femmes avaient un ascendant assez conséquent sur lui. Pour enfin stopper sa descente aux enfers, il décida de prendre les devants et d'arrêter ce carnage. Il pensa à Alyson et au fait même qu'elle pouvait tout révéler à sa femme sur leur aventure. Des deux frères, il était toujours celui qui pensa que le meilleur moyen d'arriver à ses fins était de discuter. Seulement, aujourd'hui, il était temps de ne plus faire cela et il avait trouvé un moyen. Il arpenta les rues à la recherche d'une personne en particulier. Il s'agissait d'une blonde, plutôt jeune et qui d'ailleurs n'avait pas froid aux yeux. Il posa des questions à un maximum de monde pour la retrouver. C'était même devenu une obsession. Soudain, il croisa une jeune femme blonde. Il courra vers elle et prit violemment son bras. Elle se tourna. Il s'agissait de Cassie Nevada Blake, la jeune sœur d'Alyson. Il était plus qu'heureux de retrouver la jeune femme car voilà, il avait l'intention de se servir d'elle pour faire plier Alyson. Il comptait faire croire à la jeune femme qu'il s'était passé quelque chose de grave pour la faire intervenir et ainsi qu'Alyson commette une erreur fatale. Seulement, Cassie était une jeune femme qui avait un sacré tempérament, même pire que sa grande soeur. Elle était énervée d'avoir été abordée comme cela. James aura une tâche bien lourde, mais il avait confiance en ses capacités.

     

    (agacée) : « Ca vous prend souvent d'aborder les femmes comme cela ?

     

    (calme et montrant une légère inquiétude pour amadouer sa cible) : C'est que je vous cherchais justement. J'ai quelque chose à vous annoncer et cela n'est pas simple.

     

    (curieuse et sentant un gros piège) : Vous m'inquiétez vous savez. Dites-moi ce que vous voulez que l'on finisse.

     

    (jouant celui qui ne sait pas trouver les mots pour l'effrayer) : Je..., je ne sais pas comment vous dire cela mais voilà, il est arrivé quelque chose à votre soeur, Alyson Blake.

     

    (curieuse) : Qu'est-ce qui lui est arrivé ? Et vous savez qui je suis mais comment ?

     

    (calme en mentant) : Je suis James Fitzpatrick, détective privée et on m'a engagé pour vous retrouver car il lui est arrivé un grave accident.

     

    (faisant mine d'être inquiète) : Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Où est-elle ? Quel hôpital ? Mais dites-moi tout voyons.

     

    (continuant de mentir et se montrant serviable pour tenter d'attendrir sa cible) : On ignore encore les circonstances de son accident mais elle est à l'hôpital du centre-ville. Si vous voulez la voir, je peux vous y amener.

     

    (jouant celle en train de pleurer pour attendrir sa proie) : J'ai si peur d'aller la voir et de constater son état. J'ai aussi peur de la perdre. Elle est ma seule famille, vous comprenez ?

     

    (charmé par la belle qu'il s'approcha la prenant dans ses bras pour la consoler) : Je vous comprends, c'est normal, mais tout ce que vous devez penser, c'est à aider votre soeur Alyson. C'est le plus important.

     

     

    (satisfaite qu'elle effleura le bas de son dos, se blottissant contre lui puis elle tapa du pied sa proie pour lui faire du mal) : Me piéger comme cela ? Non, mais franchement que vous puissiez m'aborder comme cela, ça me répugne. Vous n'êtes qu'un salaud, vous êtes même ignoble. Et ne vous inquiétez pas, je ferai en sorte que vous n'exercez plus votre métier. On se reverra très cher James.

     

    (essayant de la faire douter) : Qui vous dit que je mens ?

     

    (déterminée et flanquant un coup dans les parties puis le giflant) : Ne vous foutez pas de la gueule d'une femme c'est clair dans votre tête, sur ce tchao ! »

     

    Cassie partit énervée laissant James en plan. Que comptait-elle faire contre lui ? Qu'allait faire à présent James ? De son côté, Andrew fut transporté dans une cellule de la prison de la ville. Il avait beau essayé de crier, de dire à quel point il était l'un des Spencer, membre de la famille royale, personne ne voulait au contraire écouter. Il se sentait perdu, comme si la famille l'avait abandonnée et c'était un crime absolument abominable pour lui. Il n'y avait personne aux alentours quand soudain, il entendit des bruits de pas. Il était attentif, se demandant si c'était un policier, son avocat. Rien ne se profilait à l'horizon. Soudain, un visage arriva juste devant lui. C'était quelqu'un de connu pour lui. Il s'agissait de Jessica, qu'il avait bien connu alors qu'il avait tenté d'aborder Melody à l'époque. Par la suite, il avait tenté de la séduire, désirant être au plus près de Melody et ainsi avoir du contrôle sur elle mais Jessica l'avait violemment repoussé puis elle avait joué avec ses nerfs. Pour Jessica, Andrew était l'archétype de l'homme à femmes qui ne savait pas être satisfait. Il lui tapait sur les nerfs et elle avait l'occasion de le remettre à sa place. Andrew souriait, pensant pouvoir lui faire de l'effet et même ainsi, il pourra sortir. Cependant, Jessica était une femme bien têtue et qui ne se laissait pas faire. Elle comptait jouer avec lui avant de l'envoyer chier.

     

    (tout gentil) : « Oh, très chère Jessica, tu sais que tu m'as manqué. Je suis ravi de te voir. Si tu me fais sortir d'ici, j'aurai envers toi une reconnaissance éternelle et on pourra faire tout ce que tu veux.

     

    (comptant jouer en caressant son torse, jusqu'à ce qu'elle désire le prenant à pleine main et serrant très fort) :  Vraiment ? Tout ce que je veux ? Avoue, ce n'est pas ce que je veux qui t'intéresse, c'est le fait de vouloir la placer en moi, et qu'ensuite, je te fasse hurler de plaisir.

     

    (déstabilisé) : Tu ne passes pas par quatre chemins.

     

    (entreprenante en lui faisant un clin d'oeil, malaxant son intimité et faisant mine de l'embrasser pour le torturer) : Allez, décris-moi ce que tu veux. Si tu souhaites vivre un moment de pur plaisir, je peux te combler là, de suite, mais c'est à ton bon vouloir.

     

    (charmé) : Je me laisse faire entre tes mains expertes.

     

    (se montrant coquine en mordillant l'intérieur de sa main procurant une douceur incomparable à son index pour le faire frémir) : Ferme les yeux, et c'est le moment que tu vas tant adorer. »

     

    Andrew obéit à la diablesse. Elle fit commençant à s'approcher puis elle tira sur l'ainé Spencer le tuant d'une balle entre les deux yeux. Andrew n'était plus, tombé entre les griffes d'une sacrée tueuse. Elle prit son téléphone et parla très brièvement.

     

    (satisfaite) : « Un Spencer de tomber, reste trois. »

     

    La belle partit l'air fier. Elle avait accompli sa mission de main de maître. Jessica était en fait une tueuse à gages expérimentée. Elle travaillait pour le plus offrant. Qu'allait faire dorénavant Jessica ? De leur côté, Alyson et Duncan étaient seuls à l'intérieur de la demeure de celui-ci. Elle désirait être dans ses bras, et ce, peu importe les moyens utilisés. Elle jouera la femme prévenante, à son écoute mais aussi perdue pour mieux attendrir sa proie. Ainsi, en le voyant s'approcher, elle pourra user de ses charmes facilement et il sera tenté. Elle savait qu'il était charmé par elle. Elle sentait que Duncan avait un effet enivrant sur elle. Elle le désirait plus que tout.

     

    (se montrant attentionnée et se souciant de son bien-être pour l'émouvoir) : « Tu vas bien mon chou ? Je m'en veux de ce qui s'est passé. J'espère que ça va et qu'il ne t'a pas trop fait mal. Je m'en voudrais si c'était le cas.

     

    (la rassurant en effleurant gêné sa joue) : Tu n'as pas à t'en vouloir, c'est lui qui a fait tout ça. Maintenant, on peut respirer loin de lui. Ne t'inquiète pas, je vais bien, surtout auprès d'une si charmante vision. On n'a plus à supporter ses caprices de pouvoir, et le plus important pour moi, c'est que plus jamais il ne puisse poser la main sur toi. Une femme si belle, si radieuse et si divine que toi mérite mieux que lui. Je ne supportais pas de te savoir à ses côtés. J'ai eu si peur à chaque fois que plus jamais je ne puisse te voir.

     

    (jouant la touchée et la rassurante en prenant la main de son chou, mordillant le dessus et léchant son index pour l'émoustiller) : Jamais on ne m'a protégé et pensé à mon bien-être comme tu le fais à l'instant mon ange. Tu es un amour, et je me suis toujours demandé si je méritais quelqu'un qui me procure un bonheur inégalable ou même de recevoir des compliments. Jamais je ne sortirai de ta vie mon trésor, tu es tout pour moi, sache-le.

     

    (gêné) : Je ne sais pas quoi dire si ce n'est que je te rendrai chaque jour justice en te donnant tout pleins de compliments. Tu es d'une telle beauté que ne pas te complimenter est un crime. Tu mérites le bonheur, que l'on te rendre un fabuleux sourire et si je suis cet homme, j'en serai le plus heureux.

     

    (se montrant à son écoute en avouant de faux sentiments, effleurant son poignet le griffant jusqu'au début de son avant-bras et embrassant subtilement et perversement sa joue pour le troubler) : Crois-moi, tu l'es déjà bel ange. Jamais je ne me suis sentie aussi bien et, c'est avec toi que je ressens cela.

     

    (charmé) : Tu me fais perdre mes mots tellement je suis heureux à tes côtés.

     

     

    (le flattant en mordillant son cou le léchant subtilement et effleurant sa taille pour le faire frémir) : Je suis la plus chanceuse au monde d'être auprès d'un prince tel que toi. Tu es un tel amour.

     

    (rougissant et la complimentant) : Et moi d'être auprès d'un si bel ange. Tu essayes de me faire rougir ? Car si c'est le cas, c'est réussi.

     

    (léchant le haut de son torse, griffant son bas-ventre et effleurant sa cuisse en approchant de l'intérieur pour le provoquer) : Tu diras quoi si c'est ce que je recherche trésor ?

     

    (se sentant déstabilisé mais essayant de résister) : Je rougirai davantage. Mais ce que l'on fait c'est pas bien vu....

     

    (touchant ses lèvres avec son index, mordillant près de son épaule puis griffant le bas de son dos et pinçant ses fesses pour le titiller) : Chut, savoure cet instant trésor, savourons cet instant tous les deux. Tu as envie d'être auprès de moi, tout comme j'ai envie d'être auprès de toi. Ne reste pas frustré et laisse-libre cours à tes envies.

     

    (séduit) : Tu me rends dingue, reste près de moi.

     

    (le rassurant en frôlant son intimité, agrippant sa cuisse et l'embrassant du bout des lèvres pour le faire frémir) : Je suis avec toi, à tout jamais mon ange.

     

    (charmé) : Je ne veux pas me réveiller, j'ai l'impression de rêver. J'adore la douceur de tes baisers que je désire les ressentir davantage.

     

    (léchant l'intérieur de sa main puis son pouce, amenant ceux-ci sur ses cuisses approchant de l'intérieur pour le tenter) : Tout ce que tu désires, tu l'obtiendras mon bel ange.

     

    (souriant) : Je peux poser ma tête tout contre toi ma déesse ?

     

     

    (se montrant attentionnée effleurant le bas de son corps et glissant sa main sous son pantalon et boxer en griffant le haut de sa cuisse pour l'inciter au vice) : Oui mon ange, et plus encore. N'hésite pas à me dire si cela ne va pas.

     

    (se laissant influencer) : D'accord, mais je vais bien, même, je suis au mieux.

     

    (embrassant son front, bougeant son corps légèrement et léchant son avant-bras pour attiser du désir) : Pour rien au monde, je ne voudrai que ce moment s'arrête, pas toi beau brun ?

     

    (gêné) : Moi non plus.

     

    (levant sa tête la gardant entre ses mains et lui procurant une douceur à son oreille en caressant ses cheveux pour l'envoûter) : Ton visage si angélique illumine cette pièce d'une belle lumière resplendissante.

     

    (déstabilisé) : Je ne sais pas quoi dire. Tu es fait pour moi bellissima.

     

    (effleurant son torse en glissant ses doigts sous son haut le retirant et le griffant coquinement pour attiser du désir en lui) : Tu es un si beau jeune homme, plus que séduisant.

     

    (désarçonné) : C'est plus que gentil et toi tu es si ravissante.

     

    (lui faisant une proposition pour l'appâter) : Et si maintenant on se voyait bien plus souvent toi et moi par exemple tous les jours dorénavant, ça te dit ?

     

    (prêt à tout et curieux) : Bien sûr, je ne rêve que de cela. Cependant, dis-moi, où tu vas résider maintenant ? Car j'aimerai te voir également chez toi.

     

     

    (conciliante et l'allumant en léchant subtilement sa joue, volant un baiser doux et pervers et guidant ses mains vers son intimité l'incitant à le titiller pour le rendre dingue) : Je serai chez les Spencer mais dans ma propre chambre. Tu pourras venir autant que tu le souhaites et même, tu pourras t'y réfugier. Maintenant savourons tous ses petits instants et ne parlons plus. Je n'ai envie que d'une chose : t'embrasser et être dans tes bras. Cela ne pose pas de problème.

     

    (complètement influencé) : Je ne peux que combler tous tes désirs.

     

    (jouant la tentatrice en effleurant sa poitrine puis mordillant son index et le bougeant pour l'appâter) : Approche bébé, viens tout près de moi. »

     

    Alyson prit la main de Duncan et l'emmena directement vers la chambre de celui-ci où ils pourront profiter d'un moment des plus charnels. D'ailleurs, elle remua ses hanches pour mieux le captiver. La belle aima ce doux contact qu'elle sentit au creux de sa main. Elle n'avait envie que d'être dans ses bras et de savourer chaque instant qu'elle se mordillait la lèvre d'un désir des plus intenses. Duncan était complètement séduit par la belle qu'il ne pouvait s'empêcher de dévisager chaque parcelle du corps de celle-ci comme s'il voyait une apparition enchanteresse. Arrivant dans la chambre, elle lui enleva son haut griffant coquinement son torse et l'embrassant sauvagement pour le tenter. Le contact de ses lèvres envers les siennes était si agréable et douce qu'elle y resterait le plus longtemps possible. Résister à la tentation était plus qu'un supplice pour elle. Duncan était plus que charmé par la belle qu'on avait l'impression que ses yeux brillent d'admiration. Elle le regardait avec une telle envie qu'elle laissait transparaître la tentatrice qui était en elle. Elle le poussa sur le lit se mettant à califourchon sur lui et guidant ses mains sur ses formes généreuses en l'incitant à enlever son haut pour l'inciter au vice. Il était carrément fou d'elle qu'il s'en mordillait la lèvre de désir. Il se laissa faire enlevant le haut de sa déesse et vit la lingerie qu'elle portait. Il était complètement ébloui par la beauté de celle-ci. Il ne pouvait pas résister à celle-ci c'était impossible tellement qu'elle lui faisait un effet de dingue. Elle était à ses yeux resplendissante. Elle mourrait d'envie de l'avoir tout contre elle. Elle lécha au niveau de son nombril, baissant son pantalon puis son boxer et prenant son intimité à pleine bouche en faisant des va et viens torrides pour le torturer qu'il voudra lui faire l'amour sur le champ. Il ne pouvait pas résister aux attentions qu'elle lui procurait qu'il en poussait des gémissements de plaisir. Admirant sa réaction, elle le titilla en donnant des coups de langue par endroit et griffant ses cuisses pour le provoquer. Elle aimait tant la douceur de sa peau et avoir surtout le contrôle qu'elle en profitait un maximum. Il était tellement dingue de cette diablesse qu'il l'embrassa dans le creux de son cou caressant ses cuisses avec tendresse et douceur. La belle guida la tête de son chou vers sa poitrine la coinçant dessus afin d'en ressentir ses douces attentions. Rien qu'en le ressentant contre elle, elle vibrait déjà à son contact. Il était plus que séduit par cette belle créature. Jamais il n'avait vu une si belle apparition. Alyson le désirait encore plus que tout son être parlait. Tellement elle avait envie de le ressentir tout contre elle, elle le guida vers ses cuisses et ses hanches pour l'émoustiller. Il ne pouvait plus se contrôler tellement il ressentait un désir inextricable pour elle. Elle lui enleva le bas de ses vêtements et n'ayant plus de contrôle sur ses actes, il l'embrassa au niveau de ses cuisses puis sur son bas-ventre. Elle vibra de désir qu'elle se cambrait vers l'arrière pour savourer ce qu'il lui faisait. Pour elle, c'était un enchantement de saveurs. Personne ne lui avait autant procuré de plaisirs que son chou en cet instant. Inspiré, et guidé par la belle, il lui procura une jolie douceur. C'était si enivrant qu'elle en poussa des gémissements de plaisirs. Elle était tellement aux anges qu'elle mordilla la peau de son cou griffant son torse bestialement et léchant chaque parcelle pour exalter du désir en lui. Elle aimait avoir le dessus sur lui qu'elle laissait sa langue le plus possible sur sa peau. Elle malaxa ensuite coquinement de ses mains son intimité pour l'exciter alors qu'elle guida la main de celui-ci vers le sien pour le faire frémir. Il était complètement ébloui par la belle et parcourir cet endroit fut pour lui quelque chose d'inoubliable. Il resterait des heures en sa compagnie rien que pour savourer d'autres moments comme celui-ci. Elle en profita pour se mettre sur le dos, amenant son bel amant tout contre son corps. Il était tellement sous le charme de la belle femme qu'il ne voulait plus la voir partir. Il parcourt le corps de celle-ci, y allant lentement. Chaque parcelle était une bénédiction des dieux qu'à jamais il aura le souvenir de celui-ci dans sa mémoire. Il était devenu obsédé par la belle. Alyson aimait cela. Elle le remarquait dans son regard, et c'était d'une satisfaction grandissante. Seulement, en plus de la satisfaction et du fait qu'elle pouvait faire de lui ce qu'elle voulait, elle ressentait un sentiment dont elle ne comprenait pas encore. C'était assez frustrant pour elle, mais elle resta concentrée sur ce jeune homme. Elle le voulait là, de suite. Rien ne l'arrêtera. Le bellâtre la couvrit de baisers bien fougueux sur tout son corps, caressant l'intérieur de ses cuisses et les mordillant. Elle aimait cela. Elle poussa des gémissements de plaisir alors qu'elle caressa le bas de son corps avec sa jambe puis kidnappant sa taille pour savourer pleinement ce moment. Elle n'était plus capable de se contrôler et elle comptait lui montrer qui était la patronne. Elle le tourna, se retrouvant ainsi sur lui, agrippant sa cuisse et mordillant son cou pour le titiller. Elle l'avait entre ses mains. Elle comptait réaliser son objectif quitte à garder un joli souvenir. Elle ne voulait pas que d'autres lui piquent ce privilège. Elle bougea diaboliquement près de son intimité guidant les mains de celui-ci sur sa poitrine pour le charmer. Il était carrément sous son charme qu'il ne pouvait s'empêcher de caresser sa joue, lui murmurant à quel point elle était belle. Lui aussi avait envie d'elle plus que tout, et même, il voulait céder à ses envies. Alyson avait un effet plus que grandissant sur lui, et il aimait cela. Elle, ne pouvait plus résister à cette envie qui parcourait chaque parcelle de son être. Elle ne pouvait plus tenir, c'était un tel supplice. Finalement, elle s'empala sur son intimité bougeant telle une tigresse et kidnappant sa taille avec sa jambe. Elle voulait le sentir pleinement en elle. Les deux passèrent à l'acte dans un moment plus que charnel et inoubliable. Duncan ne pouvait plus que se contrôler qu'il se libérait complètement. De son côté, elle poussa un cri de plaisir des plus intenses. Ce moment aura-t-il des conséquences ? Là, telle était la question. Les deux s'allongèrent dans les bras l'un de l'autre épuisés, ne voulant pas que ce moment s'arrête pour rien au monde.

     

    Fin du chapitre.


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  • Chapitre 7 La chasse est ouverte
     

     

    Cassandra ne pensait pas du tout que son propre père viendrait la retrouver et savoir si elle allait bien mais pourtant, il était présent pour elle. Elle avait encore bien à l'esprit leurs désaccords et la distance entre eux mais elle était prête à lui laisser une chance. Même si elle se trouvait à l'hôpital à la suite d'une tentative de meurtre à son encontre, elle était plus qu'heureuse car elle avait accepté la demande en mariage de son homme et de plus, elle pouvait discuter avec son père. Elle comptait bien avoir une discussion des plus franches avec lui, que tous les secrets et les souffrances ne puissent plus avoir cours maintenant dans sa vie. Il était vrai qu'il y avait toujours l'ombre des secrets de Michael Fitzpatrick et de ses actions à son encontre mais cela n'avait pas d'importance sur la discussion qu'elle aurait avec son père. Si elle pouvait lui faire entièrement confiance, peut être qu'elle se confierait à lui sur ce sujet. Pour la jeune femme, en cet instant, ce n'était pas à l'ordre du jour. Elle se montrera curieuse pour mieux savoir si elle avait devant elle un allié ou bien un ennemi de plus. Elle avait bien remarqué que son père avait été appelé ou bien qu'il avait reçu un message. Elle le questionnera aussi là-dessus. Comme cela, elle pouvait ainsi voir si les intentions de son paternel étaient sincères ou n'avaient de but qu'à reprendre une relation remplie de rancoeurs.

     

    Bradley, lui, était heureux de revoir sa fille même après leur dispute sur son choix de carrière. Même après ce long moment où ils étaient séparés, il avait toujours en tête de la voir prendre sa relève. Seulement, pour l'instant, il désirait savoir ce qu'elle savait et ainsi, il pourrait évaluer la dangerosité de celle-ci. Il avait des choses à cacher. La conversation franche avec sa fille l'effrayait un peu mais il savait rebondir. Il ne voulait pas que certains secrets sortent du placard au risque de tout perdre en retour. Qu'avait-il à cacher ? Il était tiraillé entre son devoir et son amour pour sa fille.

     

    Il sortit vite de ses pensées quand Cassandra posa sa main sur son épaule. Cette douce chaleur ramenait le patriarche à la réalité mais en même temps, il se souvenait de ses moments où il était avec sa petite fille en commençant par ses premiers pas, ses sourires, les activités qu'ils faisaient tous les deux, surtout en pratiquant l'équitation. Lorsqu'ils étaient tous les deux à cheval, le monde n'avait plus de raison d'être. Bradley avait remarqué que ce jour-là, sa fille était la plus comblée qui soit. Il aurait aimé lui donner ce bonheur à chaque instant mais leurs divergeances étaient importantes. Il se tourna vers elle prenant soin de mettre le téléphone au fond de la poche de son pantalon. Il était tourmenté entre son passé et ce qu'il faisait maintenant mais il cachait cela à sa fille pour paraître au change. Rien ne devait entraver le pourquoi de sa venue ici même si c'était des plus mystérieux. Cassandra se montra telle la fille aimante en gardant sa main sur l'épaule de son père et affichant un léger sourire pour l'amadouer. Il était satisfait de la voir ainsi mais craintif également de ce qu'ils allaient discuter tous les deux.

     

    C (se montrant gentille pour l'amadouer) : « Je suis ravie Papa que l'on puisse enfin parler. Le fait qu'on ait été séparés toi et moi m'a rendu si malheureuse, tu n'imagines pas. Je voulais tant te faire partager mes joies et mes peines, mais en même temps, j'étais en colère du fait que tu ne me soutenais pas. J'avais tant besoin de toi.

     

    B (se montrant calme et s'excusant afin de mieux cacher ses pensées et le véritable but de son opposition face au choix de celle-ci) : Je suis désolé ma puce pour ce que j'ai fait. J'ai tout simplement eu peur pour toi, peur qu'il ne t'arrive quoi que ce soit. Tu sais, protéger des personnes qui sont connues du grand public, c'est tellement risqué. Je ne sais pas ce que je deviendrai sans toi. Tu es ce que j'ai de plus cher au monde.

     

    C (se montrant curieuse pour le titiller) : Mais Papa, pourquoi tu ne m'as pas expliqué tout cela plus tôt ? Je ne comprends pas.

     

    B (se confiant) : Je ne suis pas du genre à me confier si facilement, tu le sais bien. Les émotions et moi, ça fait deux.

     

    C (se montrant attentionnée et effleurant délicatement son épaule pour l'amadouer) : C'est comme cela que l'on crée des malentendus. On n'aurait pu ainsi éviter notre dispute.

     

    B (se repetant) : Tu as raison. J'aurais dû m'exprimer.

     

    C (se montrant compréhensive et curieuse pour le toucher) : Je te comprends. Ce n'est pas facile de pouvoir dire ce que l'on ressent. On a peur de ce qui peut se passer quand on les exprime. Mais tu devrais cependant me faire confiance. Je suis ta fille, celle qui te connait le mieux. Est-ce que tout va bien ? Tu peux m'en parler tu sais.

     

    B (prévenant et mentant pour mieux se protéger) : J'ai confiance en toi mon ange ne t'inquiète pas et sache que je suis là également si jamais tu as un soucis. D'ailleurs, raconte-moi un peu ce qui se passe en ce moment dans ta vie. Quelqu'un en est après toi ? Ne t'inquiète pas, tout va bien et ce n'est pas important.

     

    C (omettant certains détails, se montrant inquiète et curieuse pour l'émouvoir) : Je suis heureuse comme je te l'ai dit. J'ai rencontré la perle rare et je deviendrai bientôt sa femme. Après pour le boulot, c'est intense mais je m'en sors comme personne. Après tout, j'ai appris auprès d'un pro : toi. Si jamais j'ai vraiment quelqu'un après moi, je te le dirai. Je sais que tu me protègeras au besoin. J'espère. Je n'aimerai pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Alors est-ce que je peux te poser une question ?

     

    B (la rassurant et intrigué) : Ne t'inquiète pas, il ne m'arrivera rien. Mais bien sûr que tu peux. Tu m'intrigues beaucoup. Est-ce par rapport à ton travail ?

     

    C (se montrant calme et émue pour le toucher) : Non, puisque je connais tes craintes. On a vécu toujours tous les deux, et à de nombreuses reprises, je t'ai posé des questions concernant Maman. A chaque fois, tu évitais de répondre prétextant que j'étais trop petite ou même tu ne disais rien car tu étais triste ou en colère. Aujourd'hui, j'aimerai savoir la vérité. Je ne voudrai pas que tu portes ce poids sur tes épaules. Qu'est-ce qui est arrivé avec Maman ? Pourquoi tu ne m'as jamais parlé d'elle ?

     

    B (déviant la question) : On a d'autres choses à évoquer et de plus urgent tu ne crois pas ?

     

    C (se montrant déterminée en effleurant subtilement sa joue pour le captiver) : Si on veut pouvoir retrouver une complicité père fille, tu dois tout me dire Papa. Je sais que tu veux me protéger mais là, je suis grande, je n'ai plus besoin de chaperon. Donc vraiment, pourquoi Maman n'a jamais vécu avec nous ?

     

    B (se montrant prévenant) : Je ne veux pas que tu sois triste, que tu vives la même chose que moi.

     

    C (jouant sur la tristesse pour le toucher) : C'est ça qui me rend triste Papa car tu ne me dis rien, absolument rien. Qu'éventuellement, tu ne me dises rien sur ce que tu reçois comme coup de téléphone, sms, etc.... je peux le comprendre mais sur les questions plus délicates non plus, je ne reçois aucune réponse. Que dois-je faire hein face à cela ? Tu es mon père et tu ne me permets même pas d'être proche de toi. Comment je dois me ressentir face à cela ? Je souffre encore plus de ne pas avoir réellement un père sur qui compter.

     

    B (essayant d'esquiver en la recentrant sur elle) : Mais tu sais que tu es comme moi. Tu ne m'as pas parlé en détail de ce qui t'arrive en ce moment mis à part ton mec.

     

    C (se montrant exaspérée pour l'amadouer) : Le reste est sans importance et que je suis soumise au secret de ma profession. Tu sais le plus important à savoir que j'ai trouvé l'homme de ma vie, qu'il me comble de bonheur et que je vois avec lui la vie dont j'ai toujours rêvé. Pour la première fois auprès d'un homme, j'envisage enfin de fonder une famille, d'avoir des enfants. Je ne me voyais pas en avoir pensant que je ne les supporterais pas le moindre du monde. Pourtant, dans des rares fois où je suis en présence d'un enfant, mon coeur s'illumine. Il est impossible de ne pas craquer. Enfin, mon bel ange, mon tendre amour me fait sourire en toutes circonstances, même quand les moments sont difficiles. Il me fait voir tout simplement la vie de la meilleure des manières. On vit des moments tellement merveilleux tous les deux et je vois en lui le futur père de mes enfants. Sans lui, tout simplement, vivre ne serait plus la même chose. Je perdrai la meilleure partie de moi et la vie ne représenterait plus grand chose. Alors oui, je parle comme cela, mais il représente tout pour moi. Je perdrai mes repères sans lui, sans savoir finalement quelle direction prendre.

     

    B (complètement perdu et essayant de la protéger) : Je suis désolé mon ange. Je vois que tu tiens à lui et qu'il fait partie intégrante de ta vie. Cependant, fais attention, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Avec les gens, les surprises sont toujours de rendez-vous. Ils paraissent bien différents de ce qu'ils nous montrent.

     

    C (se montrant énervée pour le déstabiliser) : Je n'ai pas besoin que tu me dises cela car jamais il ne me fera de mal. Il n'est pas toi et puis que tu me fasses une leçon, franchement, ça me fait marrer. La leçon de morale alors que tu fais des conneries, c'est bien contradictoire tu ne crois pas ? Tu m'as promis une discussion franche et honnête mais tout ce que tu me donnes, c'est rien de plus que des secrets. J'en ai marre des secrets Papa, j'en ai marre que tu me balades sans arrêt ! Alors maintenant tu vas tout me dire, que ce soit sur Maman, ou même sur ce que tu as reçu, même ce que tu penses réellement par rapport à mon travail. Si tu crois sincèrement que je croierai le fait que tu veuilles me protéger, tu te trompes. Je sais pertinemment qu'il y a autre chose.

     

    B (se confiant en omettant des détails) : Tu as raison. Si je pouvais remonter en arrière pour effacer ta peine, je le ferais. Pour ce que j'ai reçu, c'est en rapport avec le boulot, une affaire en cours. Pour ton travail, tu connais mon sentiment dessus et le pourquoi. Je ne te cache rien là-dessus crois-moi. Et puis, tu fais la même chose pour te retrouver ici. Ce que tu fais est dangereux et tu risques ta vie, tu te rends compte de cela ? Tu as mis qui en boule pour en arriver là ? Pour ta mère, et bien, ce que je te dis est tout simplement la vérité. Mais je vais te donner autre chose, et ça te fera souffrir, pardon. Elle a tout fait pour me piéger en tombant enceinte. Elle a réclamé 50000 livres à ma famille. Ton grand-père a payé et plus jamais elle n'a donné signe de vie. Alors avec le temps, elle a disparu.

     

    C (se montrant décidée pour le déboussoler) : Malheureusement, tu ne peux pas, et je ne te crois pas pour le fait même que ce que tu as reçu ne soit que pour le boulot. Pour mon travail, je sais pertinemment que tu ne me dis pas tout mais bon, avec toi, j'ai l'habitude. Je fais ce que je veux et puis celui que j'ai mis en boule, cela ne te regarde nullement. Ma.....ma... mère quoi ? Elle a fait cela ? Je n'arrive pas à le croire, et je veux pouvoir la voir, alors, je vais la rechercher, connaître sa version. Tu ne m'empêcheras pas de connaître le fin mot de l'histoire.

     

    B (essayant de la raisonner) : Je t'en prie, ne fais pas ça. Tu risques plus que gros.

     

    C (énervée) : Ca ne change pas ce que je veux alors laisse-moi !!! »

     

    Cassandra s'éloigna immédiatement de son père, désirant partir de la chambre et retrouver son homme. Elle voulait une discussion franche, mais malheureusement, en retour, elle ressentait encore plus de souffrances qu'auparavant. Rester dans la même pièce que son père, ce n'était plus possible. Elle ne le supportait plus que ce soit de le voir ou même ses mots. Elle désirait au fond d'elle avoir un père présent, à son écoute et qui lui éviterait de raconter des mensonges ou de lui cacher des choses, mais malheureusement c'était impossible. Bradley de son côté était triste et anéanti. Il ne voulait pas que sa fille souffre mais le fait qu'elle puisse découvrir son secret serait encore plus catastrophique. Cependant, la laisser partir chercher des réponses sur sa mère était hors de question pour lui. Il avait trop souffert lorsque son ex dulcinée l'avait fait chanter. Il pensait que l'amour existait, qu'il avait trouvé la bonne, mais non. A seize ans, la vie l'avait transformé mais loin en bien. Christina c'était son prénom. Il s'était toujours demandé où est-ce que la demoiselle était, ce qu'il pouvait bien faire face à elle, mais jamais il n'avait trouvé de réponses.

     

    Il prit le bras de sa fille espérant l'arrêter. Il désirait tant que celle-ci puisse penser à autre chose. Seulement, Cassandra avait autre chose en tête. Elle le gifla, essayant ainsi de lui montrer qu'elle n'avait pas besoin de lui. Bradley avait mal. Voir sa fille dans un tel état lui faisait prendre conscience qu'il faisait une erreur mais il ne pouvait malheureusement pas reculer. Le regard entre les deux était un savoureux mélange entre les secrets qu'ils pouvaient cacher, l'amour qu'ils ressentaient l'un envers l'autre mais aussi la haine pour les mensonges et les secrets qui s'étaient installés entre eux les éloignant à tout jamais. Qu'allait-il se passer ? Bradley lui révélera-t-il toute la vérité ? Cassandra l'écoutera-t-elle ? Est-ce que la mère de celle-ci est encore en vie et que fait-elle maintenant ?

     

     

     

    Pendant ce temps, Ryan et Brooklyn étaient seuls et avaient l'occasion de se retrouver. Le jeune homme était le plus heureux au monde d'avoir retrouvé sa dulcinée. Tous ses moments où il s'était retrouvé sans elle, il était devenu comme fou. Sa chaleur auprès de lui, ses tendres baisers, ses mots si réconfortant étaient des douces mélodies dont il ne pouvait s'en passer. La belle l'avait changé à tout jamais l'éloignant même de ses vieux démons. Dans la famille Spencer, il était l'élément qui permettait encore à cette dynastie de tenir. Cependant, le tout était balayée de la carte après l'enlèvement de Brooklyn. La colère avait pris le dessus, même il avait eu le courage de s'en prendre directement à son frère ainé. Tout ce qu'il avait vécu pendant son absence était balayé rien que par la présence de la belle déesse. A ses yeux, elle était l'incarnation même de la déesse que l'on trouverait sur le mont Olympe. Il aimait sa douceur, sa tendresse, sa beauté, et comment elle réussissait à faire de lui quelqu'un de meilleur. Il craignait que ce qu'elle avait vécu l'ait complètement changé. Cependant, il se promettait qu'il ferait tout pour lui faire oublier cette histoire. Il voulait reprendre leur vie tout simplement comme avant.

     

    De son côté, Brooklyn, elle, était encore traumatisée par ce qu'elle avait vécu loin de tout. Elle n'avait eu de cesse de penser à son homme, à sa tristesse et à son désespoir. Elle craignait tant de ne pas le retrouver mais pourtant, elle était là, juste devant lui. Cela aurait pu être le plus beau moment de sa vie, mais voilà, elle avait été sauvée par James. Elle voulait James, elle le désirait de tout son être. Jouer avec lui, le rendre fou était plus que jouissif pour elle. Elle comptait le retrouver, mais voilà, elle était avec Ryan. Elle était heureuse de retrouver son homme, mais voilà, la joie des retrouvailles était vite passée. Elle ressentait encore quelque chose pour lui mais ce n'était plus comme avant. Elle pensait que Ryan la forçait à être une femme trop gentille et qui devait absolument se taire. En plus, elle lui en voulait d'une certaine manière à ce qu'il ne l'ait pas cherché plus tôt. James, lui, avait réussi à réveiller la femme désirable et désirée en elle, ce qui était un sentiment des plus puissants. Elle comptait s'éloigner de Ryan, s'en débarasser. Elle se montrera tendre, perdue et désorientée pour arriver à ses fins.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand Ryan posa ses mains autour de la taille de celle-ci l'embrassant dans le creux de son cou. Il désirait plus que tout la retrouver tout près de lui et ainsi lui faire oublier ce qu'elle avait vécu. Tout le monde disait que lors d'un événement traumatisant, il fallait se replonger dans le quotidien. La chaleur de sa belle lui avait tellement manqué. C'était si enivrant qu'il voulait ressentir ses lèvres contre les siennes dans un baiser des plus torrides et endiablés. Il était toujours aussi profondément amoureux d'elle. Seulement, pour la belle, même si c'était une chaleur des plus enivrantes, cela ne la transportait plus vers un bonheur indescriptible. Elle effleura la joue de son homme pour l'envoûter. Il était aux anges de ressentir cette douce attention qu'il en voulait plus. Cependant, il sentait que quelque chose n'allait pas. Il comptait en savoir plus en se montrant attentionnée.

     

    R (prévenant) : « Mon amour, ça ne va pas ? Tu sais que je suis là ma chérie alors n'hésite pas. Tu es tout ce que j'ai de plus précieux en ce monde.

     

    B (se montrant perdue en baissant sa tête gênée pour l'émouvoir) : C'est que j'ai encore du mal à me retrouver ici alors que j'ai été emprisonnée auparavant. J'ignore pourquoi j'ai été enlevée et ça m'énerve. Je déteste me retrouver dans l'ignorance la plus totale. Je compte bien découvrir le fin mot de l'histoire.

     

    R (la rassurant en l'embrassant sur son front) : Je te comprends mon coeur, et crois-moi, je ferai tout pour que cette histoire ne vienne plus te hanter. Tu sais que tu peux tout me dire. Peut-être que me raconter ce qui s'est passé pourra te faire chasser tout cela. Ainsi, tu retrouveras une vie normale ma chérie.

     

    B (jouant la perdue et la désemparée pour le toucher) : Je suis désolée mais tu ne peux pas. Tu n'as pas vécu un emprisonnement, le fait d'être attaché et de ne pas voir la lumière du jour. Tu ne t'es pas demandé ce qu'on allait te faire subir. Alors n'essaye pas de me dire que tu me comprends. Une histoire pareille ne s'oublie pas comme cela de sitôt. Ce n'est pas en me replongeant comme ça dans le quotidien que je vais pouvoir reprendre une vie normale. Attends, tu le penses sérieusement ? Cela ne sera pas comme avant crois-moi. Je pensais vivre une idylle des plus merveilleuses, la plus belle de ma vie mais même pas. Je me fais enlever, vivant l'expérience la plus traumatisante de toute ma vie, et tout cela parce que je vis avec l'un des Spencer. Alors excuse-moi, mais je n'ai pas le c?ur à me replonger directement dans le quotidien. Laisse-moi le temps de me remettre de mes émotions.

     

    R (perdu, déboussollé et compréhensif) : Ma chérie, tu as raison. J'ai conscience que cela ne sera pas facile de reprendre le cours des événements après ce qui est arrivé mais sache que jamais je ne t'abandonnerai. Tu es la femme de ma vie Brooklyn et je t'aime de tout mon être.

     

    B (jouant la désorientée pour le déstabiliser) : Je... je suis désolée. J'ai besoin de temps pour me retrouver, pour faire le point sur ce qui se passe dans mon existence. Alors, laisse-moi et on reprendra petit à petit les choses.

     

    R (complètement désarçonné) : Je n'aime pas te voir comme cela. J'aimerai tant pouvoir t'apporter mon aide et effacer toutes ses frayeurs. J'aimerai pouvoir remonter en arrière afin d'éviter ton enlèvement. Tu sais, le fait que je te soutienne pourra te permettre d'aller dans l'avant.

     

    B (se montrant énervée pour le désarçonner) : Je t'ai dit bordel que j'ai besoin de temps. Alors laisse-moi bon sang !! »

     

    Ryan désirait répondre mais malheureusement, c'était impossible. Il la vit partir en trombe complètement triste. Pour la belle jeune femme, elle était satisfaite car elle était libre de pouvoir retrouver James et de le croquer. Le second Spencer, lui, se sentait complètement impuissant par rapport à ce qui arrivait. Il voulait le meilleur pour sa belle mais malheureusement, il ne pouvait le lui amener. Il était anéanti mais cependant il savait tout au fond de lui que leur couple pouvait se sortir de cette crise. Il réfléchissait à ce qu'il pouvait faire alors qu'il déambulait dans sa chambre. Il ne savait vraiment pas quoi faire quand soudain, il tomba de nouveau sur un des livres de William Sheakspeare : Richard III où il trouva un des mots de son père :

     

    « La famille doit être réunie dans l'épreuve comme dans la douleur car l'ennemi s'y engouffrera pour mieux nous détruire. Il tentera de diviser pour mieux règner. A force, on ne..... »

     

    Seulement, le mot était coupé. Ryan était plus qu'énervé qu'il jeta le livre à terre. Un papier sortit du livre. Ryan était intrigué. Il se disait que peut-être il pouvait savoir la suite. Il ramassa ainsi le papier le dépliant. Il était angoissé à l'idée de découvrir ce qui pouvait être inscrit. Il se souvenait à quel point son père pouvait être énigmatique avec ses énigmes. Ryan était celui qui l'écoutait le plus attentivement à l'époque. Aujourd'hui, cela lui servait grandement. Depuis que son père était décédé, les petits mots laissés dans les livres permettaient au second Spencer d'être encore proche de l'ancien roi. Il sortit vite de ses pensées en voyant le papier dans ses mains. Il ne voulait en aucun cas vivre avec encore plus de questions. Il l'ouvrit et découvrit le mot, un bien plus mystérieux et effrayant. C'était sûr que ce n'était pas son père.

     

    « Un Spencer de moins reste trois. »

     

    Ryan était effrayé et se demandait bien ce qui se passait. Il comptait retrouver chacun de ses frères et même son neveu. En passant, il vit le fils de Melody et de Matthew. Il était rassuré de le voir sain et sauf. Il vit des agents de la sécurité ordonnant d'augmenter l'alerte. Il voulait à tout prix que les siens soient protégés même si c'était au détriment de sa vie. Il partit désirant trouver ses frères. Qu'allait-il découvrir ? Qu'avait prévu Brooklyn ? Réussira-t-elle à piéger James entre ses griffes ?

     

     

    Après le meurtre de l'ainé Spencer, Jessica s'était reposé légèrement. Disons qu'un Spencer n'était pas suffisant loin de là. Il restait trois encore en vie dont son neveu. Elle avait étudié avec soin cette famille et particulièrement les trois frères. Avec Andrew, c'était simple, surtout que celui-ci avait tou fait pour tenter de la séduire. Avec Ryan, cela sera plus compliqué. Par le passé entre les deux, c'était plus hostile. Elle n'avait jamais réellement compris le second des Spencer qui était bien plus réservé et méfiant. En l'étudiant un peu plus, elle savait que celui-ci était quelqu'un de réellement protecteur et qu'il fallait le mettre dans la situation où il ferait n'importe quoi pour les autres. Elle était arrivée un peu plus tôt. Elle avait usé de ses charmes sur un membre du personnel pour faire une entrée discrète dans la demeure. Elle avait réussi à se faufiler dans la chambre de Ryan. Elle savait que sa mission était risquée mais peu importe. Elle voulait Ryan dans son tableau de chasse et elle comptait bien l'avoir. A l'intérieur, elle avait fouillé discrètement dans les livres et elle était tombé sur celui de Richard III. Ayant vu le mot, elle était plutôt amusée par les énigmes du patriarche. Seulement, la fin ne devait surtout pas être montrée, c'était trop dangereux. Elle le déchira, laissant le mot qui mettra en alerte le second Spencer. Elle voulait le faire paniquer et le mettre en danger. Elle était sortie de là tout aussi discrètement avant l'arrivée de Brooklyn et de Ryan.

     

    Se retrouvant à l'extérieur, elle attendit quelques instants. Elle savait que tôt ou tard, le second Spencer allait réagir. Quand elle vit la voiture sortir en trombe, elle savait que son plan fonctionnait à la perfection. Cela flattait son égo. Elle partit vite dans sa voiture désirant suivre le second Spencer. Elle pensait à faire de la mort de celui-ci une plus accidentelle que la précédente. S'il y avait bien une spécialité chez la jeune femme c'était qu'elle changeait de méthode afin de brouiller les pistes. Pour Andrew, il était certain que l'assassinat était la meilleure des solutions et puis qui ne détestait pas l'ainé Spencer au sein du royaume. Avec le second, il fallait plus de doigté. Elle le suivit attendant le bon moment pour agir.

     

    J (satisfaite) : « Et voilà le second pas loin. Je m'approche du but. »

     

    Qu'avait prévu Jessica pour la suite ? Ryan sera-t-il le prochain mort ?

     

     

    De leur côté, Duncan et Alyson se réveillèrent en étant blottis l'un contre l'autre. Le jeune homme était plus qu'heureux d'être aux bras de sa divine créature. Elle lui avait tellement manqué. Il aimait tant ses instants où il pouvait être avec elle. C'était comme si le monde n'avait plus d'importance quand il était à ses côtés. Pour lui, elle était d'une beauté à couper le souffle au corps à faire palir les dieux de l'Olympe. Il ne pensait pas qu'une femme aussi magnifique puisse être tout près de lui. Il était tellement attiré par sa beauté. Il était sous son charme. Il rêvait d'être en sa compagnie, de vivre des moments aussi intenses et mémorables que celui qu'il venait de vivre. Elle lui faisait un effet plus que d'enfer. Il ressentait des sentiments forts pour la belle en cet instant. Il était attiré par elle comme personne. Elle le troublait tant. Il était intrigué et désirait la connaître bien davantage. Etre tous les jours auprès de la jeune femme serait pour lui le rêve absolu. Il voulait être le plus souvent à ses côtés, ressentir ses attentions et pouvoir lui procurer le meilleur. Il désirait pour la belle qu'elle soit heureuse. Il rêvait qu'enfin Andrew ne soit plus qu'un lointain souvenir s'éloignant de sa déesse. Il ignorait que son cousin n'était plus de ce monde pour lui permettre de l'empêcher de voir sa belle enchanteresse plus souvent.

     

    Alyson, elle, était plus que satisfaite d'être auprès de son bel ange. Elle espérait que leur moment puisse lui permettre d'avoir ce qu'elle désirait et ainsi avoir son beau gosse à tout jamais sous son influence. Elle ne voulait pas qu'on lui prenne sa perle rare qui était si attentionnée avec elle et si tendre. Jamais elle n'avait été aussi choyée auprès d'un homme. Elle se sentait comme une reine à ses côtés. Elle était d'autant plus perturbé par ses souhaits et les sentiments qui commençaient à l'envahir. En le regardant, elle était d'autant plus intrigué par le beau gosse sous ses yeux. Le voyant charmer, elle savait qu'elle pouvait tout demander. Elle comptait l'amener rapidement dans la demeure Spencer et profiter davantage de sa présence. Ainsi, elle pourra accroitre son influence sur lui et obtenir tout ce qu'elle désirait. Par la même occasion, elle empêchera toute rivale de s'octroyer son chou. Il était hors de question que celui-ci ne lui échappe. Elle se montrera douce et entreprenante pour le piéger. Ainsi, il acceptera tous ses désirs sans même pouvoir résister.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand Duncan vint l'embrasser dans le creux de son cou. Auprès d'elle, il était tellement inspiré et audacieux. Voir sa belle heureuse était pour lui le plus beau cadeau au monde. Il désirait tant lui procurer davantage d'attentions. Elle se tourna affichant un léger sourire malicieux. Elle frissonnait sous son contact qu'elle voulait de nouveau ressentir son corps contre le sien dans un autre moment des plus mémorables. Elle titilla ses lèvres avec les siennes l'embrassant fougueusement et descendant son baiser le long de son torse pour l'enflammer. Il était ébloui face à la belle ressentant un désir des plus inextricables qu'il s'en mordilla la lèvre. Il prolongea le baiser qu'elle lui avait donné le rendant des plus torrides. Elle frissonnait sous ce contact qu'elle voulait davantage ressentir ses lèvres contre les siennes. Pour lui, c'était si exaltant qu'il ne voulait en aucun cas que ce moment s'arrête. Elle aimait avoir le contrôle et elle n'allait pas se gêner pour s'en servir afin d'arriver à ses fins.

     

    D (complètement séduit) : « Je suis tellement heureux d'être auprès de toi. Tu m'as tellement manqué, à un point que tu n'imagines même pas. Tu es un ange pour moi descendu du ciel pour bouleverser ma vie et de manière tellement agréable.

     

    A (se montrant attentionnée en avouant de faux sentiments, griffant le bas de son dos et frôlant ses fesses pour l'émoustiller) : Tu es tout ce dont j'ai toujours rêvé mon prince adoré. Jamais je ne me suis sentie tellement bien auprès de quelqu'un. Je ne pensais pas que le bonheur pouvait exister mais pourtant si. C'est plutôt moi la plus chanceuse de t'avoir trouvé mon ange. Pouvoir t'embrasser, te caresser, et te prodiguer tout ce dont tu as toujours rêvé, c'est tellement merveilleux. Je me sens telle une reine dans tes bras et pour rien au monde, je ne veux être éloignée de toi beau brun. Tu m'as manqué également, plus que tout au monde.

     

    D (charmé et rougit) : Tu essayes davantage de me faire rougir ma déesse à ce que je vois. Je ne sais pas quoi dire à tous ses mots tellement je suis touché. Tu me rends fou, tu occupes complètement mes pensées. Tu es tellement belle avec des courbes aussi parfaites. Je suis tellement sous ton charme. Je rêve de pouvoir sans cesse te prendre dans mes bras, pouvoir caresser ta joue et te procurer tout ce qu'une reine comme toi mérite tant. Tu es tout pour moi ma divine créature.

     

    A (voyant l'occasion de le manipuler en jouant la touchée, effleurant son front et embrassant subtilement et perversement sa joue tout près de ses lèvres pour le troubler) : Tu me touches comme personne mon trésor adoré que j'en perds mes mots. Il n'y a que toi pour me faire un effet de ce genre beau gosse. Et si on prend l'occasion de se voir plus souvent et ce à partir de cet instant mon trésor qu'en dis-tu ? On marque ce beau moment d'une pierre blanche. Ainsi, on s'en souviendra longuement.

     

    D (gêné et curieux) : Pour tout l'or du monde, j'aimerai te voir tous les jours et voir ce visage si resplendissant qui occupe à la fois mes pensées et mon c?ur. J'ai hâte de savoir l'idée que tu as ma déesse. Tu m'intrigues come personne.

     

    A (se montrant coquine en procurant une douceur à son index et effleurant l'intérieur de sa cuisse en approchant de son intimité pour exalter un désir des plus inextricables) : Viens à la demeure dès aujourd'hui. J'ai mes quartiers et on ne sera que tous les deux. Tu aimerais être là-bas avec moi le plus tôt possible n'est-ce pas bébé ? Le fait que tu sois là-bas auprès de moi serait tout simplement à mes yeux l'un des plus beaux cadeaux. Je pourrai comme cela te murmurer plus souvent à quel point tu me fais craquer tout en m'occupant de ton corps de beau mâle afin de t'emmener vers les joies d'un plaisir encore plus intense que ce que l'on a vécu toi et moi. Visualise-le rien qu'en sentant mes mains sur ton torse descendant lentement, te griffant au passage et ma langue parcourant chaque parcelle de ta peau, un beau programme n'est-ce pas ? En plus, à côté, on pourra faire tous pleins d'activité tous les deux comme monter à cheval. On pourra se balader, faire un pique-nique sur le domaine et davantage. Qu'est-ce que tu en dis mon bel ange adoré ? Sache que tu es la personne la plus importante à mes yeux, celle qui occupe plus que tout mon être tout entier.

     

    D (heureux, affichant un sourire radieux et caressant la joue de sa belle en la regardant avec admiration) : Je ne peux que dire oui face à une telle proposition. C'est que je ferai tout pour être auprès de toi et profiter de chaque instant en ta présence des plus resplendissantes bellissima. Tu es tout ce dont j'ai toujours rêvé. Je suis tellement touché par ses mots ma douce colombe. Tu me combles d'un bonheur que je n'aurai même pas pensé toucher du bout des doigts.

     

    A (se montrant attentionnée et joueuse en griffant son bas-ventre, mordillant ses lèvres et posant son front contre le sien pour le tenter) : Alors faisons au plus vite, tu ne crois pas trésor ? Si tu as besoin d'aide n'hésite pas. Je rêve de t'embrasser de suite et de te donner un avant-goût de... enfin tu vois ce que je veux dire beau gosse. Je sens déjà ton corps qui me réclame, qui ne demande qu'à ressentir de nouveau mon corps contre le tien, de ressentir la douceur de mes lèvres contre les tiennes et de ne pouvoir faire qu'un dans un instant tellement magique. Dieu lui-même nous jalousera.

     

    D (complètement influencé) : Tu me mets au supplice bellissima. Ce visage, ce corps est un tel enchantement. Tu m'as complètement envoûté. Je n'ai qu'une envie : te ressentir tout contre moi et t'embrasser passionnément.

     

    A (se montrant perverse en mordillant chaque parcelle de la peau de son torse arrivant tout près de son intimité et agrippant sa cuisse pour le torturer) : Viens tout près de moi bébé. Ressentir tes lèvres sur les miennes me manque terriblement et même davantage. Tu es tellement à croquer. »

     

    Duncan était plus qu'attiré et influencé par la belle créature sous ses yeux. Il pensait que ce qu'il était en train de vivre auprès de cette divine déesse était un rêve et que le réveil serait brutal mais il n'en était rien. Il ferma les yeux un instant puis les rouvrit voyant cette belle apparition. Il était tellement conquis. De son côté, Alyson était aux anges de voir la réaction de son beau gosse. Elle savait qu'elle pouvait l'emmener là où elle le désirait. Elle comptait l'affâmer pour mieux le rendre dépendant de sa personne. Elle l'amena tout contre elle l'embrassant avec fougue et passion en titillant sa langue avec la sienne dans une danse torride et mordillant ses lèvres pour l'enflammer. Il était fou de la belle créature. Il était incapable de résister à cette apparition. Sa chaleur, de son côté envahissait tout l'être de la jeune femme qu'elle aimerait de nouveau un second round auprès de son chou adoré. Seulement, elle devait rester dans sa stratégie afin que celui-ci la réclame sans cesse. D'ailleurs, il vint à elle prolongeant son baiser et le rendant des plus mémorables. Auprès de celle-ci, il était inspiré et audacieux. Jamais il n'avait ressenti cela auparavant. Il l'avait littéralement dans la peau. Elle aimait tant ressentir ses lèvres contre les siennes qu'elle voulait que le temps s'arrête pour profiter de ce moment mémorable. Seulement, il fallait se séparer pour mieux se retrouver par la suite. Alors elle mordilla le lobe de son oreille lui murmurant à quel point elle lui réservait une surprise et d'arriver le plus vite possible à la demeure pour l'apâter. Sa chaleur l'enivrait littéralement qu'elle désirait ressentir ses attentions contre son corps. Sa manoeuvre fonctionnait à merveille. En effet, le bellâtre voulait que la belle jeune femme reste à ses côtés. Il prit sa main embrassant le dessus tel le gentleman qu'il était et remontant ses baisers le long de son avant-bras. Résister à la tentation était pour elle un tel supplice. C'était dur de ne pas le prendre tout près d'elle et de pouvoir le couvrir d'innombrables attentions. Seulement, il fallait tenir. Il aimait voir la belle plus qu'heureuse. Il était capable de tout pour la combler. Il voulait pouvoir la prendre dans ses bras. Il était raide dingue de la déesse sous ses yeux. La voyant complètement séduit, elle lui murmura de la rejoindre vite et qu'elle lui manquait déjà affreusement en léchant coquinement sa joue pour le mettre sur sa faim. Il était ébloui qu'il lui murmura qu'il viendra le plus vite possible rejoindre sa belle créature aux courbes tellement généreuses qui le faisait craquer. Les deux se quittèrent alors qu'ils étaient affamés l'un comme l'autre de revivre leurs instants. Les deux amants étaient plus qu'attachés l'un à l'autre. Alors qu'Alyson se dirigeait vers la demeure, Duncan reçut un message d'Elizabeth qui lui disait qu'elle était arrivée et qu'elle l'attendait. Que comptait faire Duncan ? Ira-t-il au rendez-vous ou bien rejoindra-t-il Alyson à la demeure Spencer ? La belle blonde a-t-elle réussi sa manoeuvre et gardera-t-elle un souvenir inoubliable de leur moment ?

     

     

    Du côté de la boite prisée de Michael Fitzpatrick, l'ambiance était au beau fixe. Il y avait du monde. Olivia et Serena étaient arrivés dans l'endroit. Il se trouvait qu'Olivia et Serena travaillaient dans cet endroit à la mauvaise réputation pour les jeunes femmes. Elles avaient marqué un grand point auprès de leur beau gosse : Duncan, mais elles étaient encore sous la coupe des Fitzpatrick en particulier de Michael. Les deux jeunes femmes désiraient plus que tout sortir de cet enfer où les lieutenants de Michael n'étaient que des machos traitant les femmes comme des objets et leur parlant surtout pour demander des services peu orthodoxes. Leur travail au sein de cet endroit n'était pas à proprement défini, mais leur but était de satisfaire les hommes les plus riches qui viennent dans cet endroit.

     

    En étant à l'intérieur, Olivia souffla. Elle détestait totalement cet endroit, et surtout, elle savait qu'elle aurait droit à des types riches assez imbus de leur personne et surtout odieux. Le fait d'avoir rencontré Duncan était pour elle comme une bouffée d'air frais. Elle pensait déjà à leur objectif à savoir la fortune qui pourrait les mettre à l'abri de l'influence des Fitzpatrick. Elle le trouvait des plus à croquer et bel homme. Elle ne voulait pas laisser sa proie lui passer sous le nez. Il lui tardait de retrouver ce bel ange. Serena, elle, était toujours autant dégoutée par cet endroit. Cette jeune femme n'avait pas sa langue dans sa poche, et elle savait mener les autres. Si elle voyait que quelque chose n'allait pas, elle se manifestait quitte à essuyer les foudres des lieutenants de Michael. Elle avait eu l'occasion à plusieurs reprises de rencontrer l'homme que tout le mondre craignait. Pour la jeune femme, celui-ci était loin d'être un homme monstrueux, et elle savait se sortir de ses réprimandes en usant de ses charmes. Aujourd'hui, après avoir rencontré Duncan, un homme aussi attentionné que prévenant, elle voyait différemment les choses. Déjà qu'elle rêvait de fortune, elle voyait l'optique d'être quelqu'un de respectable et possédant un certain pouvoir. Il lui tardait de revoir ce bel ange, et en approchant de l'argent et du pouvoir, elle pourrait obtenir ce qu'elle désire. En plus, pour elle, il était plus que charmant et intriguant ce qui n'était pas négligeable loin de là.

     

    Les filles sortirent de leurs pensées quand un des sous-fifres vint vers elles. Celui-ci était décidé à ce que les jeunes femmes se mettent au travail au lieu de rester tranquille. Olivia n'aimait pas cet homme qui avait tendance à se montrer bien violent pour obtenir ce qu'elle désire. Elle avait vu ce que cet homme faisait à d'autres filles et cela la dégoûtait au plus haut point. Elle rêvait que celui-ci paye pour la souffrance de ses jeunes femmes. Seulement, elle n'avait jamais eu l'occasion de lui donner une bonne leçon jusqu'à présent, mais étant aux côtés de Serena, peut-être qu'enfin elle pourrait saisir l'occasion. Serena, elle, n'aimait pas ce type. Celui-ci avait tenté de la draguer même d'une façon plus que lourde. Elle n'avait pas peur, même, elle lui tenait tête le frappant dans les parties. Elle était même satisfaite à chaque fois qu'elle le voyait boiter. Elle rêvait que ce connard ne soit plus là. Celui-ci arriva avec une tête bien décidé. Les filles décidèrent de mettre en place un plan et le plus rapidement possible rien qu'en échangeant un regar. Sachant qu'elles étaient deux, elles pourraient faire des ravages. L'une allait donc jouer l'appât et donner une bonne leçon tandis que la deuxième l'assommerait. Ensuite, elles le mettraient en légère tenue pour que tout le monde puisse se moquer.

     

    L'individu arriva vers Olivia désirant pouvoir lui montrer sa supériorité. La jeune femme ne savait pas ce qu'il pouvait faire mais elle n'avait en aucun cas peur. Elle joua la tentatrice en bougeant son index et affichant une moue pour l'apâter. Il était encore plus tenté en cet instant. Olivia afficha un sourire malicieux pour mieux l'envoûter. Là, il n'en pouvait plus. Il voulait pouvoir montrer sa supériorité à cette jeune femme. Il commença à se rapprocher au plus près. Olivia pouvait sentir son haleine et c'était horrible. Lui, ne faisait même pas attention à Serena, celle qui pourtant l'avait mis à terre en le frappant dans les parties. Disons, qu'il était préoccupé par une seule fille que le reste était sans importance. Lorsque celui-ci était au plus près, Serena prit une lampe et le frappa violemment. L'homme s'écroula à terre et ne se releva point du tout. Les filles avaient réussi leur mission. Elles affichèrent un sourire des plus radieux. Maintenant, elles pouvaient s'occuper de le rendre ridicule.

     

    S (satisfaite) : « T'as vu comment on l'a mis à terre. Il se souviendra longtemps de cette leçon, crois-moi.

     

    O (satisfaite et prudente) : C'est clair. Enfin les filles pourront être libres. Mais il faudrait vite faire ce que l'on a à faire sinon on risque d'avoir des ennuis.

     

    S (la rassurant et usant de répartie) : Absolument d'accord. Tu as raison, mais en ce qui me concerne, je ris du danger. C'est tellement plus excitant et puis il faut dire que les êtres humains se montrent sous un jour nouveau dans cette situation. Je me ris du danger ah, ah, ah.

     

    O (riant légèrement) : Tu trouves toujours le mot pour rire. Coquine tu es et coquine tu resteras.

     

    S (se montrant joueuse en effleurant sa joue et titillant ses lèvres avec les siennes) : Tu n'as pas encore tout vu ma chère. »

     

    Serena était le genre de fille à jouer et à titiller. Elle était amie avec Olivia depuis tellement longtemps. Elles étaient arrivées ensemble à l'époque dans cet endroit et ont lié des liens solides mais aussi ambigus. Olivia aimait la suivre. Il fallait dire qu'elle avait trouvé en Serena une confidente, une amie, et une protectrice hors pair. Elle était à l'époque en froid avec sa cousine avant de rentrer dans cet enfer. Serena était pour Olivia celle qui lui avait permis de se libérer de tout ce qui se passait dans cet endroit. On ne pouvait pas dire que les deux avaient une totale confiance l'une pour l'autre, mais elles n'avaient pas confiance à ceux qui se trouvaient autour d'elles. Soudain, les filles entendirent du bruit. Les deux pensaient rapidement que si elles étaient prises à côté de l'individu, elles ne seraient plus de ce monde. Elles partirent toutes les deux. Est-ce qu'elles seront poursuivies par les hommes de Michael ? Le chef voudra-t-il les traquer ? Que comptaient-elles faire à présent ? 

     

     

    Bianca, de son côté avait réussi à retrouver celui qui lui avait évité de se plonger dans la drogue. Elle lui avait été des plus reconnaissantes. Elle voyait en cet homme le moyen d'atteindre le luxe et le pouvoir qu'elle recherchait. Son obsession pour cet homme allait en grandissant depuis le temps où elle l'avait rencontré. Matthew lui avait résisté mais c'était pas ce qui allait l'arrêter loin de là. Le fait même qu'il soit avec Cassandra n'arrêterait pas la jeune femme loin de là. Le fait qu'il y ait une rivale, c'était pour la belle quelque chose de bien plus enivrant. Elle aimait les défis. Le voir juste sous ses yeux était bien enivrant et exaltant. Elle désirait ressentir ce corps contre le sien dans un instant bien torride. Le chantage l'avait amené à éloigner sa proie de la chambre où se trouvait Cassandra. Elle pouvait passer à la phase suivante en continuant à le faire chanter. Elle se montrera perverse et entreprenante pour le piéger.

     

    Matthew de son côté, ne pensait pas du tout que son passé referait surface. Il croyait l'avoir tout simplement enterré mais il constata que ce n'était pas le cas. Il était heureux auprès de Cassandra même s'il avait des soucis avec les Fitzpatrick. Il voyait le moyen de refaire sa vie et d'être comblé comme personne. Voir Bianca était pour lui un danger. Elle était pour lui belle, charmante, resplendissante, même d'une beauté à couper le souffle mais il était hors de question de faire du mal à Cassandra. La belle brune lui avait permis de donner un sens à sa vie. Il occupait ses pensées. Il voyait un avenir d'ailleurs avec elle. Il se disait qu'avec cette belle créature, il pouvait enfin devenir père, se ranger et vivre dans une belle maison entourée d'une clotûre blanche. Il pensait même à prendre un chat. Il était conscient que des enfants préféraient la plupart du temps les chiens, mais lui et ses animaux, ce n'était pas l'amour fou. Bianca était pour lui la tentatrice par excellence, désirant l'amener aux portes du vice. Même s'il tentait de résister, la belle avait réussi à le piéger en usant de Cassandra. Matthew ne voulait en aucun cas que sa dulcinée ait à souffrir. Quand il la voyait pleurer, c'était une déchirure pour lui. Il était prêt à tout pour la rendre heureuse. Seulement, sortir de cette impasse avec Bianca n'allait pas être une chose facile loin de là. Il savait que la belle n'était pas du genre à laisser tomber, insistant comme personne. Il ne comprenait pas pourquoi elle le voulait absolument. Il comptait essayer de la comprendre afin de la déstabiliser et de retourner son jeu contre elle. Il avait l'habitude d'utiliser ce genre de technique pour éviter de répondre à des questions des plus indiscrètes.  

     

    Il sortit vite de ses pensées quand celle-ci l'amena dans une chambre où il n'y avait personne aux alentours. Il n'était pas à l'aise car il allait se retrouver auprès d'une diablesse et qui n'avait pas froid aux yeux. Celle-ci s'approcha de son bellâtre coinçant son intimité avec son genou et embrassant subtilement et perversement sa joue pour exalter du désir. Il était attiré et troublé par cette diablesse mais il devait résister le plus possible. Le danger était bien excitant mais il fallait vite s'en éloigner pour protéger son futur bonheur. Il la repoussa avec fermeté s'éloignant d'elle. Bianca n'avait pas dit son dernier mot et elle comptait encore le faire chanter pour le garder à ses côtés. Il n'était pas question de laisser sa proie s'échapper.  

     

    B (se montrant perverse en prenant l'index de son bellâtre, lui procurant une douceur et lui faisant un clin d'oeil pour le troubler) : « Pourquoi tenter de me résister trésor alors que je vois bien que tu es attiré par moi. Ne me mens pas, ton corps parle comme personne. Rien que ton regard me dit à quel point je suis à tes yeux une femme irrésistible. Tu rêves de goûter au fruit défendu. Allez, laisse libre cours à tes envies, c'est l'occasion. A chaque fois que tu me vois, tu ne rêves que de vivre un instant torride et charnel en ma compagnie.

     

    M (influencé mais se montrant joueur pour résister) : Qui te dit ma belle que je ressens cela ? Ton charme n'opère pas sur tous les hommes que tu peux croiser. Je ne suis pas comme ses hommes que tu as pu séduire. Surtout ne pense pas que tu es une divine créature que l'on rêve d'avoir dans ses bras. Tu ne représentes pas le danger que tu penses être. Laisse-moi maintenant. Laisse-moi vivre ma vie. Si tu le fais, tu n'auras pas de problème, sinon...

     

     

    B (se montrant coquine en le faisant chanter, léchant sa joue diaboliquement, griffant son poignet et mordillant l'intérieur de sa main pour l'émoustiller) : Tu ne voudrais pas que je dise tout à Cassandra n'est-ce pas mon chou ? Tu penses sérieusement que ce genre de discours va m'arrêter ? Tu te trompes beau gosse. J'aime le danger, j'aime les interdits et plus tu continues de me résister, plus j'ai envie de te croquer tellement cela te rend sexy. Continue de m'enflammer et de m'exciter comme tu le fais, ça te permettra d'avoir le moment le plus inoubliable qui soit. Ressentir la chaleur de mes baisers dans le creux de ton cou, descendant lentement le long de ton torse en te griffant, laissant ma langue parcourir chaque parcelle jusqu'à arriver à ton intimité et le prendre à pleine bouche. Imagine à quel point tu as toujours rêvé de ce moment. Tu rêvais de me prendre et de me faire tienne depuis le premier jour où tu m'as vu. Ne reste pas frustré chéri, et je satisferai tous tes fantasmes. 

     

    M (charmé mais tentant difficilement de résister) : Ne fais pas ça. Tu ne réussiras pas à me procurer autant de plaisirs que tu le prétends. Je n'aime que Cassandra. Qui te dit que tu pourras m'avoir comme ça en claquant du bout des doigts ? Ma belle, sache que je ne suis pas à ton niveau. Tu sais parler aux hommes on dirait. Tu fais fondre rien que par des mots mais les actes, c'est différent. 

     

    B (aimant la situation en griffant le bas de son dos, pinçant ses fesses et mordillant le creux de son cou pour le faire frémir) : Oh, mais si tu ne veux pas que je fasse cela chéri alors sois un garçon sage, mais quand même pas très obéissant tout de même. Les actes c'est mon domaine beau gosse. Tu aimes titiller on dirait ? Tu vas être servi comme personne. Tu deviendras accro à la chaleur de mon corps comme à mes attentions que tu voudras recommencer. »   

     

    La belle créature embrassa fougueusement et passionnément son beau gosse arrachant le haut et griffant son torse bestialement pour l'exciter. Il voulait résister mais c'était impossible. La chaleur de son baiser comme ses attentions l'enivrait littéralement. Il était surpris et influencé par la déesse sous ses yeux. Son corps l'éblouissait complètement. Le reste commençait à s'effacer alors qu'il était auprès de cette tentatrice. Ressentir ce bellâtre contre elle était un tel enchantement qu'elle voulait ressentir les attentions de celui-ci sur elle. Elle sentait qu'elle approchait du but, afin de mieux le croquer et cela satisfaisait pleinement son égo. Celui-ci prolongea le baiser de cette enchanteresse le rendant des plus torrides. Elle vibrait littéralement à son contact. Jamais elle n'avait pensé qu'un homme pouvait lui faire un effet de ce genre. Matthew lui, était tiraillé et pourtant ne pouvait s'empêcher de rester auprès de la belle créature. Elle réussissait à l'envoûter. Qu'allait-il se passer entre eux ? Bianca réussira-t-il à le piéger ? Matthew pourra-t-il s'en sortir et retrouver Cassandra ?  

     

     

    Alyson avait quitté depuis peu de temps son chou partant pour la demeure Spencer afin de pouvoir l'accueillir quand soudain, elle reçut un coup de téléphone. Elle se demandait bien qui pouvait lui téléphoner. Il y avait bien différents candidats mais cela lui était égal. Elle devait rester sur son objectif à savoir préparer l'arrivée de son chou. Seulement, quand elle vit le numéro de sa soeur Cassie, c'était une toute autre histoire. Elle se posait de nombreuses questions sur le motif de l'appel de celle-ci.


    Entre les deux soeurs, elles s'entendaient comme ci, comme ça mais quand il y avait un enjeu, elles savaient unir leurs forces. Seulement, même si elles pouvaient s'unir, elles étaient quand même individualistes, pensant à leurs propres besoins. 

     

    Alyson reprit vite ses esprits désirant connaître ce qui se passe. Il était hors de question pour elle de perdre le contrôle et ce dans n'importe quelle domaine.

     

    A (curieuse) : « Cassie mais qu'est-ce qui se passe ?

     

    C (se montrant à la fois calme et craintive) : Un homme est venu me dire que tu avais eu un accident et que tu étais décédée. J'ai vu en lui un grand menteur.

     

    A (curieuse) : Qui est-ce ?

     

    C (calme) : Plutôt grand, il fait bien anglais. Euh, Fitzpatrick, James Fitzpatrick.

     

    A (protégeant ses arrières) : Tu as bien fait de ne pas le croire. C'est quelqu'un de très dangereux et qui peut nuire à notre famille. Je vais m'occuper de cette ordure, et crois-moi, jamais il ne t'importunera. Par contre, peux-tu faire quelque chose pour moi ?

     

    C (intriguée) : Oui bien sûr mais dis-moi tout.

     

    A (pensant à son objectif mais ne laissant rien transparaître) : Tu peux passer voir Duncan afin de savoir s'il va bien ? J'imagine que si James est passé te voir, il risque de passer le voir, et je ne veux en aucun cas qu'il se fasse du soucis. 

     

    C (satisfaite mais le cachant au téléphone) : Bien sûr, tu peux compter sur moi.

     

    A (calme) : Je te remercie soeurette. A plus tard.

     

    C (calme) : A plus tard soeurette. »

     

    Alyson raccrocha le téléphone. Elle était bien décidée à en découdre avec James qui voulait la nuire. S'il voulait qu'elle raconte tout et bien elle allait le faire. Elle avait prévu une vengeance à la hauteur de sa faute. Quelle est cette vengeance ? Allait-elle pouvoir s'occuper de son chou ? Quelle est la relation avec Cassie exactement ? Cassie était-elle au courant des plans de son ainée ?

     

     

    Matthew Spencer était plus qu'inquiet pour la belle Rebecca se demandant pourquoi celle-ci s'était mariée avec un Fitzpatrick. Il se posait des questions en ce qui concerne le beau-frère de la belle. Il craignait pour la vie de la belle enchanteresse. Avant de revenir à Londres, il avait perdu sa dulcinée, la sœur de Rebecca, La perte de celle-ci avait été terrible. Cette blessure ne s'était jamais refermée mais il s'était promis qu'il protègerait toute personne qui était en rapport direct avec elle ou la personne qu'il aimait le plus au monde. Certes, avec Rebecca, il avait ressenti une attirance alors que celle-ci avait tenté à l'époque de le séduire mais il l'avait repoussé au nom de l'amour qu'il portait à sa femme. Ils ne s'étaient plus revus jusqu'à ce qu'il passe le test de paternité pour savoir si Ethan était son fils ou bien le fils d'Andrew. La coincidence avait voulu que Rebecca se retrouve sur son chemin. Ses sentiments étaient bouleversés en la voyant mais il n'avait rien dit à Melody sur ce qui était arrivé par le passé. Rien que de penser qu'elle soit en danger était pour le dernier des Spencer bien différent. Il roula en pensant à ce qu'il pouvait faire pour elle.

     

    Rebecca, elle, était prête, que ce soit par ses vêtements ou même les pleurs. Il fallait que le tout soit au point pour l'arrivée de sa proie. Il fallait dire que depuis qu'elle n'avait pas eu l'occasion de le croquer, elle le regrettait amèrement. Il était vrai qu'elle vivait l'amour auprès de James, mais la flamme s'était vite envolée. Le second Fitzpatrick était à ses yeux plus un lot de consolations et le fait d'avoir une bonne position que le fait d'être heureuse. Matthew était aux yeux de la belle bien spécial. Elle le trouvait intriguant, charmant, et elle désirait enfin être dans ses bras. Se comporter telle une fille en détresse fonctionnait au téléphone. Ayant passé la première étape, elle restera dessus pour attiser son côté protecteur. Le fait que ce soit dans la demeure Fitzpatrick ? Cela lui était complètement égal. Elle se montrera perdue et entreprenante pour le piéger.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand elle entendit une voiture arriver. Elle se disait que c'était son bellâtre et qu'elle pouvait enfin passer à l'action. En effet, Matthew venait de se garer après avoir passé la sécurité. Il partit vite vers la porte et sonna. Il appréhendait fortement comment il pouvait trouver la belle déesse. La belle arriva à la porte et ouvrit. Pour le jeune homme, la vue était choquante. Jamais il n'aurait cru qu'un homme puisse être aussi violent. Il avait toujours connu la belle si gentille et prévenante. Il avait envie de trouver le type et de lui faire payer cet affront intolérable. Rebecca, elle, se précipita dans les bras de son beau gosse entourant ses bras autour de sa taille et posant sa tête sur son épaule l'effleurant pour l'émouvoir. Il était attiré par la belle blonde. Sa chaleur exaltait ses sens mais il se devait de résister afin de prendre soin d'elle. Il la regarda dans les yeux effleurant sa joue afin de l'apaiser. Sa chaleur enivrait tout l'être de la divine créature qu'elle voulait ressentir son beau gosse contre elle dans un instant bien charnel.

     

    R (se montrant perdue puis reconnaissante en embrassant gênée subtilement et perversement sa joue et effleurant le haut de son torse pour attiser son côté protecteur) : « Merci sincèrement d'être là pour moi bel ange. Tu es mon héros Je ne sais plus quoi faire. J'ai tellement peur qu'il rentre et ne s'énerve encore. Tu m'as manqué en tout cas.

     

    M (influencé mais restant modeste et protecteur pour résister) : Je suis là Rebecca, et on fera tout pour te sortir de là. Tu sais, je ne fais pas grand chose. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Je déteste te voir ainsi, pas heureuse. Si on rentre tous les deux que tu puisses me dire ce qui se passe exactement ? 

     

     

    R (satisfaite mais le cachant en pleurant et en effleurant son front pour éveiller du désir) : Bien sûr beau brun. Rentrons et je vais tout t'expliquer. » 

     

     

    Rebecca en profita pour se blottir auprès de son bellâtre effleurant son bras pour le faire frémir. Il frissonnait sous son contact. C'était dur de lui résister. Son visage si angélique et ses yeux le troublait plus que tout. Il devait résister pour Melody et son fils Ethan. Sa chaleur enivrait littéralement la belle qu'elle rêvait de ressentir ses douces attentions. Les deux rentrèrent. Qu'allait-il se passer entre eux ? Rebecca obtiendra-t-elle ce qu'elle désire tant ? Matthew se rendra-t-il compte qu'il s'est engouffré dans un piège ? 

     

    Fin du chapitre. 


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