• Chapitre 11 L'ombre et la lumière
     

    Les moines accueillirent cette présence qui se dessinait au fur et à mesure. Cela laissait transparaître une femme aux courbes parfaites, à la chevelure brune comme l'ébaine et avec un regard plus que troublant. Les moines, en voyant cette créature furent plus que tentés de s'approcher d'elle, un peu comme s'ils étaient en face du fruit défendu. Cette jeune femme s'approcha de l'un d'eux, posant sa main sur sa joue et elle le brûla instantanément. Les moines fuirent comme des lapins. Cette créature aimait tant sa toute puissance. Les moines prirent peur et s'en allèrent aussitôt. La créature était satisfaite des évènements. Elle souriait et partait aussitôt vers l'entrepôt. Là, elle vit les dégâts et elle frappa dans ses mains comme si le tout était prévue. Qui était-elle ? C'était le grand mystère. En attendant, Michael se réveilla dans un endroit plutôt chaotique et en désolation qui lui était totalement inconnu. Il regarda les alentours afin de tenter de reconnaître ne serait-ce qu'un endroit mais rien à faire. Surtout, il trouva curieux de ne trouver personne comme si le tout était vide, comme si les personnes avaient disparu. Là, il conclut qu'il n'était plus sur le plan physique. Il observa ainsi tout le secteur et remarqua son petit frère au loin encore inconscient. Même s'il ressentait de la rancoeur et de la colère envers celui-ci, il partit vite le retrouver. Il frappa sur le visage de celui-ci en lui donnant de bonnes gifles. Peter se réveilla en sursaut.

     

    (effrayé) : « Ca te prend souvent de me gifler frangin ?

     

    (énervé) : Vu la merde dans laquelle on se trouve, je ne vais pas te laisser roupiller, tu me prends pour qui ?

     

    (énervé) : On n'en serait pas là si tu avais réfléchi aux conséquences de tes actes.

     

    (curieux) : Qu'est-ce que tu insinues ?

     

    (énervé) : Que si tu n'avais pas fait la guerre contre nous, jamais on n'aurait été ici.

     

    (fou de rage) : Non mais tu es gonflé ! J'ai perdu celle que j'aimais je te rappelle ! Elle a été assassinée et comment je peux ne pas me poser de questions à propos de la famille.

     

    (essayant de le raisonner) : On n'est pas responsable de la mort de Sarah.

     

    (énervé) : Vous l'êtes car elle n'a pas pu compter sur votre présence.

     

    (furieux) : Mais tu es têtu comme une mûle ! On n'a rien fait à Sarah. »

     

    Michael fut si enragé par les propos de son petit frère qu'il l'envoya au loin avec de la télékinésie. Seulement, quelqu'un les surveilla de près et utilisa son pouvoir pour ralentir les choses. Ainsi, Peter se retrouva au seul en douceur. Michael fut très furieux qu'il cria de toutes ses forces afin d'exprimer ses sentiments. A cet instant, la personne sortit de sa cachette. C'était une jeune femme visiblement bien éprouvée par le lieu. Elle s'approcha de Peter. Aux yeux du jeune homme, elle était d'une beauté stupéfiante, comme s'il avait en face de lui un ange tombé du ciel. La jeune femme le ramena de suite à la réalité en le secouant.

     

    (jouant sur la peur et le temps) : « Je ne sais pas si vous êtes au courant mais il ne faut pas rester là alors levez-vous et le plus vite possible.

     

    (surpris) : Mais qui êtes-vous et qu'est-ce que vous savez de la situation ?

     

    (détournant la réponse) : Non mais vous croyez franchement que je vais tout expliquer alors que le danger est tout proche. On est dans les limbes bordel et si on ne se remue pas le cul, on risque de se faire prendre par un ennemi bien féroce. Alors au lieu de tergiverser, mieux vaut travailler ensemble et sortir vite fait bien fait, vous ne croyez pas ? Oh, au fait, je m'appelle Kimberly Allison McCalister et vous ?

     

    (plutôt étonné et admiratif de cette jeune femme) : Je vous comprends, et on va se sortir de là, faites-moi confiance. Je ne suis pas seul. Avec mon frère, on va vous aider. Je m'appelle Peter Collins et celui qui arrive et bien énervé, c'est mon frère Michael.

     

    (arrivant bien déterminé et furieux) : Tu discutes avec quelqu'un que tu ne connais même pas mais ma parole tu es inconscient ?

     

    (intervenant) : Plutôt mal poli de me juger alors que vous n'avez même pas discuté avec moi. Vous êtes dans les limbes bordel. Et je parie que l'on vous y a envoyé n'est-ce pas ?

     

    (plutôt odieux et méfiant) : Peu importe comment je me comporte, l'important c'est que je ne me retrouve pas ici car j'ai des choses à faire. Et puis j'ai le droit de juger qui je veux d'abord. Les limbes, ce n'est pas n'importe quel endroit. Qui me dit que vous êtes gentille, que vous êtes quelqu'un à sauver ? Cela peut tout aussi bien dire que vous êtes là pour nous tuer mon frère et moi.

     

    (insistante et déterminée en le mettant devant le fait accompli) : Alors vous verrez bien si je suis gentille si je vous fais sortir d'ici. De toute façon messieurs, vous n'avez pas le choix.

     

    (résigné) : Très bien, que faisons-nous ?

     

    (satisfaite des évènements mais cachant ses émotions afin d'arriver à sortir de cet endroit) : Alors nous devons combiner nos pouvoirs et tout faire pour sortir.

     

    (méfiant) : Qu'est-ce qui nous dit que vous n'allez pas nous trahir ?

     

    (jouant l'innocente) : Qu'est-ce qui me dit que vous n'allez pas me trahir ? Personne ne connait l'avenir ni les personnes qui sont autour de nous. Tout le monde est imprévisible.

     

    (toujours aussi méfiant mais le montrant moins) : C'est vrai. Alors agissons.

     

    (souriant légèrement pour mieux se montrer accueillante et charmante envers ses partenaires de fortune) : Partons vers le lieu où se trouve la faiblesse de cet endroit et il faudra y mettre toutes ses forces. »

     

    Kimberly était l'une de ses personnes mystérieuses et qui aimait cultiver l'art du secret comme personne. Alors que les frères Collins partirent, Kimberly regarda derrière, voyant une silhouette qui se débattait pour s'en sortir. Qui était cette jeune femme pour s'être retrouvée dans un endroit aussi sordide et ce en plus avec des pouvoirs mystérieux ? Pendant ce temps, au cimetière, un homme fut près d'une tombe avec justement inscrit « Kimberly A. McCalister, ma bien-aimée, l'amour de ma vie et celle pour qui je ne serai rien sans elle ». Il apporta des fleurs et laissa couler des larmes sur son visage alors que des images lui vinrent en mémoire. Cela s'était passé en pleine nuit alors qu'ils étaient sortis d'une représentation d'une opéra célèbre : Le fantôme de l'opéra. Kimberly était vêtue d'une robe noire assez sexy et classe, mettant en valeur ses formes les plus généreuses. Celui qui l'accompagnait et qui pleurait aujourd'hui sur sa tombe n'était autre que Logan Hamilton, un ancien policier mais qui s'était reconverti en garde du corps du maire de la ville. Il avait rencontré la demoiselle alors que celle-ci sortait de cinéma en compagnie d'un homme qui semblait être issue de la classe des plus riches. Kimberly avait repéré Logan qui aimait tant la regarder. Elle s'était sentie flattée ce jour-là, et elle comptait bien avoir ce beau brun. Alors, elle eut élaboré un plan bien ficelé où elle ferait passer son petit ami pour un homme violent. Elle s'était frappée, faisant en sorte d'avoir des traces bien visibles de cette agression. Elle appela police secours et Logan était de service. Il fut venu la retrouver, et elle eut usé de sa vulnérabilité pour le séduire. Logan fut déstabilisé. Il eut essayé de résister mais la belle blonde était bien plus forte qu'ils passèrent à l'acte à l'époque. Au fur et à mesure, cette relation était devenue plus sérieuse et Logan était tombé fou amoureux de la belle blonde. D'ailleurs, il aimait l'amener à l'opéra même si ce n'était pas ce qu'il aimait le plus au monde, mais il désirait faire plaisir à sa compagne. Alors que le spectacle était terminée, ils étaient sortis pour aller dans le restaurant français préféré de la blonde. Cependant, ce qui semblait être une soirée si magique, se transforma vite en cauchemar lorsque Kimberly se fit tirer dessus. Logan n'avait pas pu intervenir et Kimberly tomba sur le sol. La balle la tua sur le coup. Logan fut fou de rage et tua l'assaillant. Ses images arrêtèrent de le hanter quand il sentit une main se poser sur son épaule. Logan se tourna et se trouva en face d'une jeune femme brune qu'il connaissait plutôt bien. Il s'agissait de sa meilleure amie, un soutien sans faille dans cette épreuve. Elle se nomma Elena Megan Davenport. Elle le connaissait depuis plus de deux ans maintenant. Quand Logan fréquenta Kimberly, Elena avait ressenti un gros pincement au coeur, se rendant compte à quel point cet homme comptait plus qu'une simple amitié. Alors, elle s'était démené afin de faire entendre raison à son confident même si celle-ci était mariée au petit frère de celui-ci. Le jour où Kimberly s'était absentée pour une sortie avec sa meilleure amie, Elena en avait profité pour organiser un dîner. Ce jour-là, elle jouait la carte de la femme vulnérable délaissée par son époux. Logan, plutôt chevaleresque et protecteur, s'était occupé d'elle sans se douter du piège tendu par la jeune femme. Au cours de ce dîner, les deux s'embrassèrent. Logan, après cette situation, fut très embarrassé et gêné, préférant clarifier les choses. Elena avec le temps, préféra attendre afin de retenter sa chance pour le croquer. Maintenant que Kimberly n'était plus un problème et que la période de deuil raisonnable était passée, elle comptait passer à l'action. Elle se montrera telle une confidente en étant prévenante et charmante pour le piéger. Voyant les yeux tristes de sa proie, elle le prit dans ses bras caressant sensuellement son dos et griffant légèrement son cou pour éveiller du désir qu'il ne résistera pas. Il se sentit attiré par Elena mais il tenta de résista en éloignant légèrement sa tête. Elle se plongea dans son regard effleurant doucement sa joue pour l'ensorceler.

     

    (se montrant attentionnée en effleurant délicatement son épaule puis son bras et prenant sa main dans la sienne pour l'amadouer) : « Je suis tellement désolée mon chou de tout ce que tu traverses en ce moment. Si seulement je pouvais estomper ta peine, je le ferais en un instant.

     

    (charmé mais résistant à la tentation) : Tu n'as pas ce pouvoir malheureusement, personne ne le peux. Kimberly a laissé une place vide dans mon coeur, et qui ne pourra pas se reconstruire comme ça. Sa disparition, sa mort m'a traumatisé. J'ai perdu mon âme soeur, ma confidente, mon amante, ma meilleure amie. Je désirais l'épouser, Elena. L'amour n'est plus fait pour moi. Le destin a voulu que j'ai rencontré la femme de ma vie et il me l'a ensuite arraché.

     

    (se montrant prévenante en jouant celle qui le soutenait, avouant de faux sentiments, effleurant l'intérieur de sa main avec son pouce, donnant un baiser subtil et pervers sur sa joue et effleurant son cou puis son épaule pour le troubler) : Mon chou, je te comprends et sache que je suis là à tes côtés, prête à te soutenir et à t'aider à traverser cette douloureuse épreuve. Je compte bien te faire retrouver ce joli sourire sur ce petit minois qui illumine les journées de n'importe qui à commencer par la mienne. A sa place, je sais que je ne désire pas te voir souffrir mais que tu reprennes goût aux choses ainsi que le cours de ta vie.

     

    (troublé) : Qu'est-ce que je ferais sans toi ?

     

    (jouant la gênée en le flattant, effleurant son bras et le haut de son torse pour le faire frémir) : Et moi sans toi mon chou. Jamais je n'aurai été ici à pouvoir te soutenir sans ton soutien sans faille, ta compréhension. Tu es un prince au regard si envoûtant et charmant. Ta bouille si angélique et ce sourire sont à tomber. Tu es si prévenant et attentionné. Je m'estime chanceuse d'être à tes côtés, tu n'imagines même pas.

     

    (gêné) : Oh, je ne sais pas quoi dire.

     

    (posant son index sur ses lèvres en les parcourant lentement, effleurant malicieusement le haut de son torse et s'approchant au plus près de lui en laissant son souffle agir sur son cou pour l'enflammer) : Chut, ne dis rien bel ange, et savourons cet instant rien que tous les deux.

     

    (charmé et effleurant la joue de la belle lentement) : Tu es si belle, si attentionnée, et avec un visage d'ange. Tu es la perfection incarnée, la quintessence de la beauté.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en jouant les touchées approchant ses lèvres de son oreille, griffant malicieusement son cou et laissant glisser le bout de ses doigts sous son haut pour le faire frémir) : Il n'y a que toi beau brun pour me donner de si jolis compliments, j'en suis plus que touchée. Tu sais, c'est si rare que l'on me complimente. C'est à croire que je ne méritais pas d'en entendre.

     

    (déstabilisé) : Que l'on ne t'en dise pas, je ne comprends pas, même, je trouve que c'est une injustice envers ta personne.

     

    (voyant une occasion de le manipuler car elle aurait l'occasion de dominer le jeu en titillant son menton avec son index, effleurant l'intérieur de sa main en mordillant la paume, effleurant son bras et son épaule pour le désarçonner) : Tu es un tel prince et tu illumines mes journées. J'ai un plan à te proposer pour te changer les idées. Et si on passe un moment tranquille à la maison ? Je te cuisinerai un bon poulet avec des frites et en dessert des fraises et autour d'une bonne bière. On se fera de bons films également. Tu en dis quoi bel ange ?

     

    (troublé) : Alors on se fait cela belle déesse, je suis partant.

     

    (satisfaite, effleurant tout doucement son front et donnant un baiser subtil et pervers et souriant légèrement afin de mieux cacher ses intentions)  : Alors partons d'ici, et passons un moment sympa. »

     

    Elena guida doucement le bras de son bellâtre autour de sa taille et posa sa tête sur son épaule pour le dérouter. Cela fonctionnait puisqu'il se laissa faire. Ils partirent ensemble en direction de la demeure d'Elena. Pour elle, c'était enfin l'occasion de passer à la vitesse supérieure et de le croquer. Pendant ce temps, à la demeure des Collins, les parents de Michael et de Peter étaient plus qu'inquiets de ne pas voir leurs fils, surtout Max. Depuis le combat entre les deux garçons, le patriarche se posait des questions sur l'avenir de la famille. Il avait peur que l'histoire ne se répète, que l'un des deux soit complètement perdu par le mal. Il avait l'impression que sa famille était maudite. Taylor s'approcha de son homme, elle qui avait fui sa famille il y a de cela des années à cause de ce mal qui allait frapper sa famille et dont elle était responsable. Elle se sentait coupable. Elle pensait que c'était de sa faute si Michael était passé du côté obscur de la force. Cependant, elle sentait en elle qu'elle n'était plus aussi complète, comme si quelque chose la bloquait, et elle ignorait ce que c'était. Elle posa sa main sur l'épaule de son époux, et il se tourna. Il tenta d'afficher un sourire, mais c'était peine perdu. Il ne pouvait plus être passif des évènements.

     

    (inquiet) : « Je n'aime pas ce qui se passe chérie. Même si je te rassure sur ce qui arrive, je ne peux m'empêcher de penser à eux.

     

     (tentant de le rassurer en enroulant ses bras autour de sa taille) : Ne t'inquiète pas, on va avoir des nouvelles. On retrouvera nos fils.

     

     

    (curieux) : Tu as retrouvé ton calme ?

     

     (le rassurant) : Bien sûr bébé, je l'ai retrouvé grâce à toi, sinon, je paniquerai à coup sûr. Tu sais comment je suis quand je panique ou quand je me mets en colère.

     

     

    (curieux) : Tu casses tout c'est vrai mais que tu passes soudainement de l'état de panique à calme, ça m'étonne.

     

     (le valorisant et jouant les vexées) : C'est parce que tu as simplement un tel effet apaisant sur moi. Et puis qu'est-ce que tu insinues par là ?

     

     

    (essayant d'obtenir des réponses) : Tu es partie au nom de l'ultime pouvoir et de notre fils qui le possède mais je ne te vois pas te démener pour essayer de trouver une solution.

     

     (lui donnant une gifle) : Tu insinues que j'ai tout manigancé pour que notre fils ait ce don, pour qu'il mette à mal notre famille ? Mais merde, j'aime mon enfant, j'aime notre famille. C'est que tu me connais mal on dirait après toutes ses années de mariage. Tu me blesses, tu me fends le c?ur. Tu devrais me faire confiance non ?

     

     

    (s'excusant) : C'est que je ne sais plus où j'en suis et être inactif, ça me dépasse.

     

     (en colère) : Je comprends ce que tu veux dire, mais tu ne crois pas que je suis dans le même état que toi ? J'aimerai faire quelque chose, frapper du démon, trouver des réponses aux questions qui nous rongent, mais on ne peut pas. Tu t'appelles Dieu ? Je sais que ce n'est pas le cas et moi non plus. Vraiment tu me fais chier. Je croyais que tu voyais ma souffrance, que tu me consolais et me soutenais mais je me trompais. Tu fais chier Max, en fait, tu ne penses qu'à ta gueule.

     

     

    (essayant de la calmer) : Pardonne-moi. On doit rester soudés tous les deux. Jessica peut nous appeler à tout moment et intervenir pour les garçons.

     

     (le giflant) : Tu te fous de ma gueule ? Tu insinues des choses sur moi et après tu parles d'unité ? Tu peux aller te carrer très loin cette unité de merde et là où je pense.

     

     

    (prenant son bras, l'effleurant et caressant sa joue pour l'amadouer) : Tu as raison. Je n'aurai pas dû te dire ses choses. Je suis perdu sans toi.

     

     (le giflant) : Et bien, tu pourras bien réfléchir aux conséquences de tes actes connard ! Va chier, et surtout ne me rattrape pas. »

     

     

    Max tenta tout de même de l'attraper mais Taylor le repoussa grâce au pouvoir d'explosion contre le mur. Là, elle partit sans sommation, laissant son mari sous le choc de cette confrontation. A l'extérieur, des images lui revinrent en mémoire. C'était celles où elle se retrouvait avec des démons et à la tête même d'une escorte. Que s'était-il passé durant sa fuite et avant son retour ? Elle pensait avoir fui tous ceux qui désiraient toucher cet ultime pouvoir mais la vérité était vraiment toute autre. Que cachait-elle ? Max, de son côté, encore éprouvé par la dispute, ne désirait plus rester dans la demeure sans rien faire. Il partit trouver des réponses, quitte même à provoquer des dégâts si nécessaires. Que comptait-il faire ? Pendant ce temps, en plein centre ville, les gens ne se doutaient pas de tous les événements qui se déroulaient. La fréquentation dans les boites de nuit et même de strip-tease battirent leur plein. De bons nombres d'hommes fréquentèrent cet établissement et particulièrement pour cette soirée-ci. Une jeune femme était grandement attendue. Son show les envoûtait complètement. C'était d'ailleurs pour cela qu'un groupe d'amis arriva dans l'établissement. Parmi eux, il y avait un jeune homme : Oliver Stephen Davidson. Celui-ci était le fils d'un des hommes les plus influents de la ville, même qu'il était incontournable. Son père était un producteur en vue du monde des séries télévisées et en particulier dans les policiers. C'était un jeune homme timide et pas habitué au monde du vice. Il comptait partir mais on l'obligea à rester. Il se dirigea avec ce groupe vers la table où il s'installa hésitant sur la chaise. La musique commença à se faire entendre. Le show commença sur les chapeaux de roue. Les amis d'Oliver furent en ébullition. Ils se rapprochèrent des jeunes femmes donnant des billets. Oliver lui, resta assis sur la chaise se disant que ce que ses amis faisaient. Soudain, une musique capta toute son attention. Oliver tenta de ne pas regarder ce qu'il se passait mais il échoua. Regardant vers la scène, il vit une jeune femme de toute beauté, d'une chevelure brune étincelante. Elle portait une tenue plus que sexy et qui appelait à la tentation. Jamais il n'avait vu une femme aussi belle. Il trouvait que cette femme méritait bien mieux que d'être sur scène, à danser face à des hommes plus que pervers. Il attendit la fin de son show. Cette jeune femme qui dansa s'appelait Kathryn DiLaurentis. Elle avait débarqué en ville depuis seulement 3 semaines avec des difficultés financières assez importantes. Ayant peu de qualification, cette boite lui avait offert l'opportunité de se faire de l'argent rapidement. Seulement, en échange, elle avait vendu son âme à un patron des plus retords. La musique retentissait, et elle bougeait son corps au rythme du son. Les regards des hommes en général lui étaient indifférents, même elle les considérait comme des moins que rien. Seulement, son regard, ce soir-là s'arrêta sur Oliver dont elle le reconnut immédiatement. Elle savait de quel milieu il venait et surtout ce qu'il pouvait apporter. Elle comptait le posséder afin de se sortir de cette situation inextricable dans laquelle elle se trouvait. Pour cela, elle influencera ce beau brun en le sauvant d'une situation où il se ferait tabasser. Pendant sa danse, ses yeux n'observèrent que le bellâtre. Elle usa de son corps avec des positions suggestives pour capter son attention. Oliver essaya de résister, de se dire que ce n'était pas bien, mais cela fut impossible. Elle continua son show jusqu'à ce que les hommes viennent à sa rencontre glisser un billet. Telle une innocente, elle regarda sa cible pour l'amadouer qu'il viendra la sauver. Elle quitta la scène afin de se rendre dans les coulisses. Oliver, attiré par la belle, laissa ses amis afin de se rendre en coulisses et de la retrouver. Kathryn attendit quelques instants et voyant des brutes épaisses, elle indiqua de s'en prendre au jeune homme qui allait arriver soi-disant car il était potentiellement dangereux. Les individus allèrent vers ce jeune homme et lui donnèrent une correction. Kathryn attendit quelques instants. Elle fit comme si elle avait entendu du bruit et cria sur les individus. Oliver fut au plus mal. Il fut bien touché au niveau du visage et au corps. Kathryn vint vers lui et guida sa main autour de sa taille pour l'aider.  

     

    (jouant la femme prévenante en effleurant la taille de ce bellâtre et délicatement sa joue puis le flattant pour l'attendrir) : « Je suis désolée pour ce que ses brutes ont osé vous faire. Qu'un homme aussi charmant que vous avec un visage aussi angélique et craquant soit aux prises avec ses brutes me rend malade. D'ailleurs vous, dégagez de mon chemin et que ça saute ! »

     

    Les hommes de main partirent rapidement, laissant Kathryn et Oliver seuls. Kathryn aida Oliver à se relever. Elle effleura délicatement le haut de son torse et son épaule lors du transport pour l'hypnotiser qu'il sera sous le charme de la belle. Elle l'emmena dans sa loge, où elle s'assura que personne ne puisse la déranger en fermant la porte. Elle assit sa proie sur une chaise jouant l'effrayée en effleurant ses cheveux puis son cou pour l'amadouer.

     

     

      (effleurant son épaule puis son bras et sa main en effleurant l'intérieur et donnant un baiser subtil et pervers sur le dessus pour le troubler) : « Je vais vous soigner, croyez-moi. Vous serez remis sur pied en un rien de temps.

     

    (déstabilisé par la belle et encore faible) : Je ne sais pas comment vous remercier pour ce que vous faites pour moi. Peu de personnes ont autant de gentillesse que pour vous pour aider son prochain.

     

    (se montrant humble, prévenante et même serviable, jouant les touchées en effleurant le coin de ses lèvres, son front puis le haut de son dos et plaçant la main de son bellâtre autour de sa taille afin de l'inciter à l'effleurer pour le désorienter) : Je n'ai pas fait grand chose vous savez. Vous n'avez pas mérité une telle chose. C'est inadmissible ce qui vous est arrivé. Ce que vous me dites me touche profondément. Je n'ai pas l'habitude que l'on me complimente. Je pensais ne pas mériter ce traitement.

     

    (troublé, levant difficilement sa main mais réussit en effleurant la joue de la belle timidement) : Je ne comprends pas comment une femme aussi belle et ravissante que vous puisse ne pas recevoir de compliments. Vous méritez d'en entendre davantage et je vous rendrai justice pour cela en vous en donnant tout pleins et même en vous éloignant de ce milieu. Vous êtes la quintessence de la beauté au féminin et qui mérite d'être en pleine lumière. Vous êtes si belle et charmante, jamais je n'ai rencontré une telle beauté.

     

    (voyant une occasion de le manipuler en le valorisant, en étant bienveillante en effleurant le genou du bellâtre, griffant l'arrière de son cou, laissant son souffle agir dessus, descendant au plus bas de son torse approchant dangereusement de ce qu'elle désire, posant son index sur ses lèvres, embrassant subtilement et perversement sa joue pour l'enflammer) : J'en suis si touchée d'en recevoir venant d'un prince tel que toi. Jamais on n'a fait attention à moi comme tu le fais. Je ne peux que te tutoyer car tu mérites les attentions dignes de l'ange que j'ai sous mes yeux. J'espère que cela ne te gêne pas au moins ? Si seulement, je pouvais trouver la personne qui puisse se préoccuper de moi. Voyant l'homme si charmant, prévenant que tu es, je crois en l'homme idéal. Oh, j'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Kathryn DiLaurentis et toi quel est ton nom beau gosse ?

     

    (rougissant et carrément influencé par la belle) : Je m'appelle Oliver Stephen Davidson et je suis plus que ravie de vous... te rencontrer belle créature. Tu as devant toi la personne qui se préoccupe de ton bien-être. Tu mérites tellement mieux que cet endroit. Et je souhaite t'aider à t'en sortir.

     

    (procurant une douceur à son oreille, effleurant le bas de sa jambe avec son pied et au niveau de son nombril glissant ses doigts légèrement sous son haut puis lui donnant un baiser doux et pervers pour exalter du désir) : Je ne désire pas te causer le moindre ennui beau brun.

     

    (troublé et prêt à tout) : Je me fous des ennuis. Tout ce que je désire c'est d'être à tes côtés et de ressentir ses baisers si doux sur mes lèvres. Tu me transportes vers un monde que je ne connaissais nullement.

     

     

      (pensant au secret pour mieux piéger sa cible) : Voyons-nous toi et moi en secret, afin que ce moment soit inoubliable, qu'en dis-tu ?

     

    (carrément influencé par la belle) : Tout ce que tu désires ma déesse. L'important pour moi c'est d'être en ta présence. Je serai perdu sinon sans toi. Ne pas pouvoir te sentir à mes côtés serait une torture. Tu es tellement divine et moi, j'ai la chance que tu sois sur ma route.

     

    (jouant les perverses en guidant les mains d'Oliver sur sa poitrine, l'incitant à les caresser puis descendant tout le long de son corps jusqu'à ses cuisses et ses hanches qu'il se trouvait proche de son intimité pour le rendre dingue qu'il voudra lui faire l'amour) : Prends-moi dans tes bras bébé, j'ai envie de ressentir ta chaleur tout contre mon corps, que tes baisers couvrent ma peau d'un geste délicat et passionné. Je sens que tu as envie que je sois à tes côtés, je sens que tu as envie de m'embrasser et de me caresser. Ne fais pas durer ce supplice trop longtemps sinon on sera frustré toi et moi.

     

    (déterminé) : Je ne veux pas l'être. J'ai envie de te prendre tout contre moi, et de sentir ta douce chaleur. Je désire être à tes côtés.

     

    (l'embrassant avec une fougue et une passion des plus dévorantes, titillant sa langue avec la sienne dans une danse endiablée, mordillant sa lèvre et la léchant coquinement pour le torturer qu'il sera obsédé par elle) : Alors fais-le trésor, fais-le, je n'en peux plus d'attendre. J'espère qu'avec tout cela, je ne te fais pas trop mal. Faut que je te soigne. »

     

    Kathryn commença à s'éloigner mais Oliver la retint, lui effleurant la joue. Kathryn en profita pour guider discrètement les mains de son beau canon vers ses fesses, affichant un sourire discret et pervers et se mordillant la lèvre pour le provoquer. Oliver fut plus qu'influencé par la belle déesse et , même gêné, il effleura doucement le corps de la belle. Elle s'approcha de lui, effleurant au niveau de son intimité, l'embrassant dans le creux de son cou en le mordillant et le léchant malicieusement pour le faire frémir. Il ne pouvait se détacher de Kathryn qui avait tout pouvoir sur lui.

     

    (déstabilisé) : « Ne t'en fais pas bellissima. Tes attentions, tes baisers sont pour moi le meilleur des remèdes que je m'en remets grâce à toi. 

     

    (le flattant, levant légèrement son haut et procurant une douceur à son nombril, malaxant légèrement son intimité pour l'achever) : Tu es mon beau gosse à moi bébé. »

     

    Alors que les deux se rapprochaient dangereusement, que la belle posséda le jeune homme dans ses griffes afin de pouvoir par la suite se sortir de sa situation délicate, une personne surveilla de très près le duo alors qu'elle se trouva au dehors. Visiblement, elle avait des pouvoirs. Qui était-elle ? Kathryn réussira-t-elle à concrétiser son approche auprès d'Oliver ? Pendant ce temps, Megan et Jessica, parties de l'entrepôt où de récents événements tragiques avaient eu lieu, arrivèrent dans la demeure de Jessica. Elles furent toutes les deux éprouvées. Megan avait eu l'occasion de voir sa mère pour la première fois après toutes ses années où elle fut séparée de celle-ci. Kyle qui l'avait élevée comme si c'était sa propre fille lui avait menti. Tout ce qui l'intéressait était de se venger de ce faux père, de cet homme abjecte qui avait fait d'elle un mercenaire. Egalement, ce qui la hantait c'était son père Michael, son attitude, ce qu'il avait commis en tuant Claire avec une rage des plus déconcertantes. Tout se mélangea dans son esprit, mais Jessica la sortit vite de ses pensées en posant sa main sur son épaule. 

     

    (jouant la prévenante) : « Ne t'inquiète pas, on va trouver la vérité.

     

    (inquiète) : Avec tout ce qui arrive, je me demande comment je vais tenir. Je connais maintenant mon père. Je sais qui est ma mère et le fait qu'elle a été assassinée pour que mon père change radicalement. On m'a séparée d'eux à ma naissance pour que je devienne comme une démone, une mercenaire sans scrupule. Ce qui s'est passé c'est trop dur. Et ce qui est arrivé à la fois à Claire que mon père a tué puis ensuite à l'entrepôt avec le grand combat, c'est trop pour mes épaules.

     

    (jouant celle qui la soutenait) : Tu sais que je suis là, que je peux aider. Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, demande-moi et je réaliserai ton souhait.

     

    (légèrement rassurée) : C'est gentil à toi, mais mieux vaut enquêter.

     

    (songeuse et curieuse) : Tu veux commencer par quoi d'abord ?

     

    (curieuse) : Je pense que l'on peut commencer par la scène du crime. Tu sais où le meurtre a eu lieu ? Et toi, j'ai l'impression que cela ne va pas. Tu sais que je suis là également. Tu es tellement gentille. J'ai l'impression que tu es un ange tombé du ciel pour nous sauver.

     

     

    (déroutant une partie de la réponse et songeuse) : Ton père m'a montré où cela a eu lieu. On peut y aller à deux, si cela te dit bien sûr. Là-bas, je pourrai savoir dans quelles circonstances ta mère est morte et qui est le responsable de tout cela. Sinon, ne t'en fais pas pour moi, ça va. Je suis plus que touchée par de tels compliments, mais tu sais, personne n'est totalement un ange. Les ténèbres sont constamment autour de nous, à faire du pied pour que l'on cède à la tentation.

     

    (curieuse) : Oui, bien sûr que l'on y va à deux, pas moyen. On ne me met pas sur la touche sinon, ça pète mais grave. Oh, je comprends ton point de vue, mais est-ce du vécu ce que tu viens de me dire ou c'est une réflexion philosophique sur la traditionnelle position du bien et du mal dans la société ?

     

    (mentant) : Réflexion philosophique. Je ne pensais pas que tu philosophais là-dessus.

     

    (usant d'autodérisions) : Tu vois, je suis moins blonde que j'en ai l'air.

     

    (souriant légèrement) : Carrément oui.

     

    (curieuse) : On peut y aller maintenant ?

     

    : Bien sûr. Si tu veux te rafraîchir avant d'y aller, la salle de bains est en haut. 

     

    (heureuse) : Alors j'y vais et de ce pas. Ensuite, on partira.

     

    (souriant légèrement) : Bien sûr. »

     

    Megan partit vers la salle de bains laissant Jessica avec pleins de questions et de doutes. Jessica Turner était une de ses filles les plus gentilles, et même les Collins lui donnaient le bon dieu sans confession, mais c'était sans compter sur le fait que comme tout le monde, Jessica avait ses secrets. D'ailleurs, cela concernait un bien plus que douloureux. De cet aspect gentille, prévenante et généreuse se cachait au fond une femme brisée par le mauvais sort. Les démons lui avaient arrachés le seul homme qu'elle n'avait jamais aimé, mais également le petit garçon qu'elle avait mis au monde. Depuis deux ans, ce traumatisme ne cessait de la hanter, surtout que les démons avaient pris son homme, l'ayant attaché et avaient forcé Jessica à regarder l'exécution. Son cri était ce qu'elle se souvenait intensément et qui la hantait dans ses cauchemars les plus profonds. Jamais elle ne s'était confiée sur ce qui était arrivée et encore plus, lorsque son fils Ethan avait été kidnappé. Depuis ce jour, on lui avait fait miroiter que si elle se rapprochait des Collins et du pouvoir ultime que tout le monde parlait sans cesse, elle reverrait son petit garçon. Elle y pensait sans cesse, se souvenant de cette petite bouille si angélique. D'ailleurs ses yeux lui rappelaient le souvenir de son homme perdu. C'était un supplice pour elle, comme un couteau qu'on lui mettait en plein coeur et que l'on remuait pour la confronter à une ultime souffrance. Elle se souvenait de ses instants où elle le prenait dans ses bras, lui faisant tout pleins de chatouilles et même jouant au basket et au football. Son sourire lui manquait. Son homme lui manquait. Tout se bouscula dans son esprit qu'elle jeta des bibelots fort de rage. Heureusement pour elle, Megan, la fille de Michael, ne vint pas voir ce qui se passait, vu qu'elle était occupée à la salle de bains. Soudain, quelqu'un frappa à la porte. Elle savait au fond d'elle qu'elle ne devait recevoir personne. Elle ne réagissait pas au premier abord, se disant que cette personne ne devait être qu'un de ses témoins de Jéhovah qui vendaient leur parole à la noix. Seulement, elle entendait de nouveau quelqu'un frapper à la porte. Alors, elle se déplaça. Elle ouvra lentement la porte et à sa grande surprise, elle se trouva face à son passé. Elle vit un homme plutôt beau gosse, canon, même irrésistible et qu'elle avait envie de croquer. Il s'agissait de Connor Raphaël Hastings, son homme, son époux même. Elle fut sous le choc en le voyant, elle qui le croyait mort depuis deux ans, et dont elle avait assisté à l'époque à l'exécution. Immédiatement, elle se sentit mal et elle tomba dans les paumes. Rapidement, Connor la rattrapa en la prenant dans ses bras. Il l'amena sur le canapé et il l'allongea. Il ne pouvait s'empêcher de regarder cette divine créature qui lui avait tant manqué et dont il était fou amoureux. Il se souvenait l'avoir rencontré lors d'une réception donnée par le maire il y a quatre ans. Il était sorti d'une histoire d'amour où celle qu'il avait aimé était décédée suite à un braquage de banque qui avait mal tourné. Il s'était refermé à l'amour après cela, mais sa rencontre avec Jessica Turner avait changé sa vie à tout jamais. Elle était divine, belle, intelligente et elle n'avait pas froid aux yeux. Elle était à l'époque avec un homme qui pensait qu'elle était une propriété à afficher en public. Elle aussi l'avait remarqué, et elle s'était servie de sa situation pour amadouer sa cible tout en usant de ses charmes et de ses formes les plus généreuses. Il était tombé dans le piège de la belle. Par la suite, ils sortirent ensemble. Peu à peu, Connor ressentait des sentiments pour elle, et pour la belle, même si au début, c'était pour se sortir de sa situation des plus délicates, elle était tombée amoureuse également. Entre eux, c'était fait pour durer. Il y avait eu le mariage, et la naissance de son fils était pour Connor l'un des plus cadeaux qui soit en plus de sa dulcinée. Sa captivité avait été pour lui une torture, un supplice et rien que de savoir que sa femme le croyait mort était trop dur. Mais au lieu de se laisser faire, il préféra se battre pour espérer retrouver sa femme. Aujourd'hui, elle était là, devant lui. Il effleura lentement la joue de celle-ci du bout des doigts et donnant un baiser à la fois doux et tendre sur sa joue afin d'attirer l'attention de la belle. Celle-ci se réveilla. Elle vit Connor. Elle se rendit compte qu'elle ne rêvait pas. Elle se blottit dans ses bras, entourant ses bras autour de sa taille et ressentant le doux parfum de son homme. Elle posa sa tête sur son épaule, griffant légèrement son cou, le mordillant et l'embrassant malicieusement pour le faire frémir. Elle lui procura une douceur à son oreille lui murmurant des mots doux et coquins, effleurant son torse jusqu'à près de son intimité et l'embrassant avec une telle fougue et une telle passion pour le faire bouillir de désir qu'il la réclamera. Elle le regarda émue et lui fut si heureux de la retrouver qu'il effleura la joue et le coin des lèvres de sa belle déesse.

     

    (aux anges) : « Comme tu m'as manqué ma belle déesse. Oh, comme je suis si heureux de te retrouver, de pouvoir te serrer dans mes bras et de pouvoir te dire à quel point je t'aime.

     

    (émue, encore sous le choc, mordillant l'index de son homme, le léchant subtilement et effleurant le dessus de sa main en le griffant pour l'enflammer) : Tu es là mon amour, tu es bien là. Je suis en train de te toucher, je ne rêve pas. Bébé, tu m'as tellement manqué. C'était si dur sans toi. Je ne vivais plus sans ta présence, sans pouvoir admirer ce visage si angélique et ses yeux qui me font craquer littéralement. Ne plus pouvoir te dire rien que « je t'aime », j'en étais malade et triste. Te voir là sous mes yeux est un tel miracle, comme si Dieu a exaucé mes prières de te revoir et d'être de nouveau à tes côtés. Qu'est-ce qui... ?

     

    (l'interrompant, posant son index sur les lèvres de sa belle et se plongeant dans son regard) : Chut, je sais que mon apparition est un choc. Je vois à quel point tu as souffert et je me sens coupable de tout ce que tu as traversé par ma faute. Ma dulcinée, ma chérie, ce qui m'a permis de tenir, c'est en pensant simplement à toi, à tes baisers, et à tes doux massages. Je t'aime comme un fou. Ta démarche, ton sourire, ce visage me fait craquer littéralement, et rien que d'entendre ta voix est pour moi une délivrance, un apaisement. Le fait de vouloir te prendre dans mes bras m'a permis d'avoir le courage d'affronter toutes ses épreuves. Je suis là et plus jamais je serai éloigné de toi mon amour. On va pouvoir se reconstruire toi et moi, petit à petit. 

     

     

    (heureuse, songeuse, glissant sa main sous le haut de son homme, griffant son torse, titillant son menton avec son index, mordillant ses lèvres, donnant un baiser subtil et pervers sur sa joue et effleurant l'intérieur de sa cuisse pour le torturer) : Tu ne peux pas savoir à quel point tu me combles de bonheur bébé. On va rester ensemble, c'est ce qui compte et tu sais, là, ce que j'ai envie c'est de me blottir dans tes bras, de t'offrir tout plein de cadeaux que tu raffoles tant. J'ai également une autre pensée : notre petit amour. Il est toujours aux prises avec ses gens, ses démons. J'ai dû céder à leur exigence pour tenter de le récupérer mais rien à faire. J'étais désemparée. Il me manque tellement.

     

    (la rassurant) : Il me manque aussi mon trésor. Chérie, on est deux maintenant. On va pouvoir le retrouver et faire payer toutes ses personnes. Maintenant, tu n'as plus à répondre aux caprices de ceux qui nous ont fait du mal. Je sais que tu as du répondant et le fait que tu ne fasses rien, ça doit t'enrager, mais maintenant, laisse-libre cours à tes instincts mon amour. Maintenant, nous devons être sans pitié. Ce que tu as pu faire pendant mon absence pour cela, je m'en fous, car tout ce qui compte c'est nous, et le fait qu'enfin on puisse vivre en famille. Cet enfoiré et ses sbires qui nous ont fait ça, même s'ils sont bien placés, on les aura, fais-moi confiance.

     

     

    (laissant couler une larme sur son visage, mordillant le creux de son cou, posant son front contre le sien, effleurant sa jambe avec son pied, effleurant son dos et pinçant perversement ses fesses pour le titiller) : Oh, ne t'inquiète pas, je vais être inventive et tous nos ennemis vont payer très cher. J'ai déjà quelques idées en réserve. Je rêve déjà de réunir notre famille. Tu m'apaises mon ange, tu me rends plus forte. Et maintenant, on va tout ravager sur notre passage.

     

    (mordillant le cou de sa belle déesse, descendant sur le haut de sa poitrine en déposant de tendres et fougueux baisers puis baissant son haut procurant des attentions des plus inoubliables) : C'est exactement ce à quoi j'ai pensé chérie. 

     

    Jessica ne prononça aucun mot par la suite car tout ce qu'elle désirait c'était d'être auprès de son homme qui lui avait tant manqué. Elle glissa sa main à l'intérieur de son pantalon et de son boxer en malaxant coquinement son intimité, faisant des va et viens torrides pour le mettre au supplice qu'il ne pourra plus se contrôler. Elle releva son haut, griffant son torse et déposant sa langue sur les traces pour le déstabiliser. Connor fut complètement fou de désir qu'il embrassa la poitrine de sa belle procurant des caresses inoubliables, et descendant ses attentions vers son ventre en ayant en même temps enlever le haut de sa dulcinée. Il l'embrassa ensuite dans le creux de son cou mordillant le lobe de l'oreille de Jessica. La belle coinça la tête de son homme sur sa poitrine afin d'en ressentir toutes les attentions du monde. Elle prit le visage de son amoureux entre ses mains l'embrassant avec une telle fougue et une telle passion mêlant sa langue à la sienne dans une danse endiablée. Elle guida les mains de Connor sur son corps l'incitant à lui enlever ses vêtements, puis l'emmena vers ses cuisses et ses hanches. Elle l'incita à titiller son intimité pour l'exciter. Le bellâtre admira le corps de sa princesse réalisant enfin son rêve d'être à ses côtés. Sa présence, son odeur, il en profita pour s'en imprégner totalement, rien qu'en caressant les formes généreuses de celle-ci avec douceur et tendresse. Guidé par la belle, il arriva au plus près de son intimité où lorsqu'il lui procura une douceur, il en ressentit un désir plus qu’incontrôlable. La belle en profita pour lécher coquinement les lèvres de son homme, titillant son menton avec son index, l'embrassant perversement dans le creux de son cou puis le mordillant en y laissant une belle trace, arrachant le haut de celui-ci. Elle lécha coquinement son cou jusqu'à son torse en le couvrant de baisers fougueux et alla vers son intimité en procurant une douceur incomparable prenant son intimité en bouche et griffant son torse pour le chauffer. Il fut totalement sous son charme qu'il effleura la joue de celle-ci embrassant son bas-ventre et effleurant la cuisse de celle-ci en pinçant ses fesses. Elle le guida tout contre elle en effleurant sa jambe avec la sienne puis kidnappant sa taille pour l'avoir en son pouvoir. Il la couvrit de baisers des plus fougueux s'occupant de sa cuisse en y procurant de douces attentions, la mordillant. Elle fut aux anges mais elle désira prendre le contrôle qu'elle le mit sur le dos, griffant bestialement son torse, s'empalant sur son intimité et l'embrassant sauvagement. Les deux passèrent un moment bien torride et charnel. Cela fut un moment extraordinaire. Jessica se blottit dans les bras de son homme alors qu'il l'embrassa sur le front effleurant la taille de sa belle. Leur moment de complicité fut interrompu quand Megan descendit. Ce qu'elle vit était inconcevable pour elle et elle se sentit trahie.

     

    (énervée) : « Oh, qu'est-ce qui se passe ici bon sang ? Et puis tu es qui toi d'abord ?

     

    (énervé) : Tu te crois où pour me parler ainsi ? Ce n'est pas parce que tu es blonde que tu as tous les droits.

     

    (furieuse) : Toi, la ferme ! C'est à Jessica que je cause.

     

    (posant sa main sur l'épaule de sa belle Jessica afin de lui faire comprendre qu'il s'en chargeait) : Tu n'as aucun droit c'est clair ici ! Tu as un lien particulier avec Jessica ? Non. Tu fais partie de sa famille ? Encore moins. Alors prends tes cliques et tes clacs et tu dégages vite fait ! C'est la dernière fois que je te dis cela, après tu paieras pour ton insolence.

     

    (le menaçant) : Tu ne peux rien contre moi. »

     

    Connor n'était pas le genre de personne à se laisser faire, loin de là qu'il leva par télékinésie sa cible, ouvrit la porte en même temps et chargea de l'air expulsant ce déchet très loin. Il ferma la porte regardant la blonde.

     

    (satisfait) : « Je t'avais prévenu non ? Un nuisible en moins. »

     

    Il tourna le dos à son ennemie, rejoignant Jessica alors que de son côté, Megan partit en colère. Allait-elle trouver seule des réponses sur le meurtre de sa mère et ce qui provoqua ainsi tous ses événements ? Qui était responsable des événements tragiques pour Jessica et Connor ? Celui-ci parlera-t-il de sa captivité ? Trouveront-ils le petit Ethan à temps ? Quelle sera la position de Jessica maintenant ? Le mystère était entier. Pendant ce temps, Kimberly fut toujours prisonnière des limbes avec Michael et Peter. Ils suivirent la belle. Pour Peter, il donna sa confiance à la jeune femme. Pour Michael, le fait simplement que celle-ci puisse le défier fut pour lui la preuve que celle-ci fut l'ennemie à abattre. Kimberly les fit se balader depuis un moment et Michael se stoppa ayant marre de la situation.

     

    (énervé) : « Vous nous faites marcher depuis le début. Vous n'avez aucun moyen de nous faire sortir d'ici. Avouez bon sang ! En fait, vous désirez nous piéger et nous tuer.

     

    (exaspérée par la situation) : Bon sang, vous, vous êtes le roi de la parano. On a passé un accord vous et moi. Alors vous n'avez pas le choix si vous voulez sortir d'ici, n'est-ce pas ?

     

    (furieux qu'il frappa son frère au visage) : Arrête de faire chier, et je te rappelle qu'il faut que l'on sorte d'ici. Tu veux retrouver ta fille n'est-ce pas ? Tu veux connaître la vérité sur Sarah, sur ce qui se passe et les démons ? Alors arrête de ralentir le tout, et travaillons ensemble.

     

    (aimant la dispute entre les frères mais préfère cacher son sentiment se comportant en femme prévenante pour les déstabiliser) : Vous désirez reprendre votre vie, enfin connaître certaines réponses. Je connais ce sentiment et c'est naturel, mais si vous vus montrez hostile, jamais vous n'aurez de réponses à vos questions et seul la vie réelle pourra tout fournir. Alors vous êtes sûr de vouloir nous mettre des bâtons dans les roues à nous tous ?

     

    (résigné) : Vous avez raison.  

     

    (voyant le portail satisfaite mais préfère garder ses sentiments pour elle afin de mieux cacher ses véritables intentions) : Vous voyez, nous y sommes.

     

    : Merci à vous.

     

    (heureux) : Mon frère n'est pas très expressif, mais vraiment on vous remercie.

     

    (sentant un danger alors elle se devait de passer la première, se montrant serviable pour dissimuler ses intentions) : On doit y aller. Je vais passer la première afin de vous montrer la voie si cela ne vous dérange pas.

     

    (incrédule) : Cela ne nous dérange pas. »

     

    Kimberly passa donc la première afin de montrer la voie. Elle vit la surface qui n'était autre que le cimetière dans lequel se trouvait son homme il y a peu. Elle se pencha sur le portail, faisant signe aux deux frères de venir. Michael entendit du bruit. Il fit signe à Peter de passer le premier. Kimberly lui tendit la main. Peter au début, hésita à faire ce que son frère lui demanda mais finalement, il rejoignit la jeune femme. Il tendit sa main et prit celle de Kimberly, arrivant au cimetière. Michael vit bon nombre de créatures qui arrivèrent en masse afin de l'attaquer. Voyant que Peter arriva à destination, il alla vers le portail, tendant la main afin d'arriver au bon port. Kimberly l'attendit. Elle vit la main, et entendant le danger, se pencha bien en avant vers le portail, voyant le visage de Michael. Celle-ci laissa transparaître ce qu'elle ressentait en s'approchant de l'oreille de sa victime et lui murmura quelques mots.

     

    (souriant) : « La marque du diable doit rester avec ses semblables. Vous êtes le mal incarné alors pourrissez ici ! Je crois bien qu'il sera ravi de vous voir. »

     

    Kimberly poussa Michael qui tomba violemment à terre. Un homme arriva à sa portée et regarda vers le haut, voyant la jeune femme.

     

    (énervé) : « Tu ne m'échapperas pas, tu m'appartiens sale garce !

     

    (déterminée) : Je ne suis pas ta chose, jamais tu ne me récupéreras Liam. C'est terminé. Je sais qui tu es en réalité. Et je ferai en sorte que jamais tu n'arrives à la surface. »

     

    Peter essaya en même temps de déstabiliser Kimberly pour récupérer son frère mais celle-ci l'expulsa au loin. Elle s'éloigna du portail ce qui le ferma instantanément. Elle alla vers le petit frère pour montrer sa supériorité.

     

    (obstinée) : « Ton frère était un danger pour notre monde, un danger bien grand qu'il fallait le neutraliser. Toutes mes condoléances. »

     

    Elle disparut laissant Peter désemparé et perdu. Dans les limbes, Michael fut seul, et bien enragé sachant qu'il avait eu raison sur la belle. L'homme qui était à ses côtés était plus que menaçant. Il s'appelait Liam Fitzpatrick, mais son côté mystérieux et surtout fort laissa présager bien pire sur sa personne. Celui-ci n'était autre que l'ex de Kimberly que Logan avait tué. Sa mort avait laissé John Michael Fitzpatrick dans le désarroi le plus total. Mais le fait d'avoir celui qui portait la marque du diable fut pour lui un bonheur. Il frappa au visage sa victime commençant tout juste à montrer ses capacités.

     

    (déterminé) : « Tu es à moi désormais Michael Collins. Prépare-toi à mourir encore, encore et encore. Car crois-moi, tu vas vite te rendre compte que la vie est une partie de plaisirs comparé à être entre mes griffes. »

     

    Liam plongea sa main dans l'estomac de Michael triturant ses organes afin de procurer une souffrance inimaginable. Michael cria de douleur. Pourra-t-il s'en sortir ? Peter pourra-t-il le sauver ? Et pourquoi Kimberly a agit ainsi contre Michael ? Retrouvera-t-elle Logan et que dira-t-il face à cette réapparition ? Pendant ce temps, en ville, l'activité battait son plein à l'hôtel de ville. En effet, une réception était donnée en l'honneur des récentes actions du maire sur la remontée de l'économie dans la ville. Les invités discutèrent entre eux attendant l'invité d'honneur. Le maire arriva en haut des marches avec à son bras sa fille qu'il désira présenter à tout le gratin. Sa fille Cassie Fitzpatrick le regarda avec un air méprisant, elle qui détestait ses riches de bas étage. Elle détesta son père depuis un bon moment, en fait, depuis que sa mère fut partie laissant les deux seuls, et elle accusa son père d'avoir été trop absent qu'il ne s'était pas rendu compte du mal-être de sa femme. Elle avait bien l'intention de lui faire payer et très cher. John regarda sa fille et lui parla doucement.

     

    (prévenant) : « Ca va ma puce ?

     

    (ironique) : Oh, je suis juste avec des connards qui te baisent les pieds et qui sont tellement faux-culs qu'ils ne diront pas ce qu'ils pensent, à croire qu'ils ont un balai coincé dans leur postérieur.

     

    (triste) : Tu sais que je veux ton bonheur n'est-ce pas ?

     

    (énervée) : Si tu le désires tant, alors dis-moi pourquoi Maman nous a laissés ? Tu lui as été infidèle ou quoi ? Au lieu de me cacher des choses, tu ferais mieux de me parler. Je suis grande maintenant, je peux comprendre et encaisser. Au lieu de cela, tu me caches tout, alors je t'en veux. N'essaye pas de me faire plaisir tant que tu ne feras pas ça. Fais-moi confiance bon sang. Au lieu de cela, j'ai l'impression que je ne suis pas ta fille. »

     

    Cassie partit en trombe laissant John aux mains avec les invités. John n'eut pas l'envie de faire son travail de maire. Il n'arrêta pas de penser à ce que sa fille lui disait. Il avait peur de ce que la vérité pouvait engendrer. Comment dire à sa fille que ce monde n'était pas ce qu'elle croyait ? Que sa mère n'était finalement pas une sainte comme elle pourrait le penser et que le seul but de celle-ci était de s'immiscer dans les affaires des mortels ? Ses questions le hantèrent quand soudain il entendit un cri. C'était sa fille. Vite, celui-ci courut et il trouva Cassie à terre, inconsciente. Elle était visiblement encore en vie. Qu'était-il arrivé et surtout pourquoi agir en pleine réception du maire ? Le mystère était à résoudre. Les événements pouvaient être liés à la magie mais à ce moment-là, la population ne serait plus en sécurité.

     

    Fin du chapitre. 


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  • Chapitre 6 La revanche d'une brune
     

    « Etre auprès des personnes que l'on aime est une véritable source de bonheur, une tellement intérissable que chacun souhaite que cela dure éternellement. Seulement, quand le mensonge puis les coups bas se mêlent, cela devient une autre histoire. Je rêvais d'une mère, je rêvais de pouvoir être à ses côtés, voyant un père si souvent autoritaire et ne pensant qu'à son ascension. La réalité est différente. Ma mère a tenté de me rattraper, mais surtout, elle est responsable de la tentative d'assassinat à l'encontre de ma personne et aussi de celui que j'épouserai bientôt. Celui ou celle qui touche à l'homme de ma vie aura affaire à moi. Peu importe ce que je dois faire, je ferai payer à ma mère cette trahison. Car oui, elle m'a tout simplement trahi. Je m'appelle Rebecca Jane Turner et promis, ma vengeance sera terrible. »

     

    Matthew attendait depuis un bon moment le retour d'Elena. Celui-ci n'avait vraiment pas aimé qu'on lui ordonne de tuer Rebecca et son petit ami. Il repensait au regard de la jeune femme et cela lui faisait repenser à la fois où tous les deux s'étaient rapprochés, se faisant de grandes confidences. Le fait d'avoir tiré sur la voiture, d'ignorer qui avait été touché pesait lourd sur sa conscience et son âme. Il aidait Elena dans ses actions et également agissait pour le compte d'intérêts mystérieux mais faire du mal était loin d'être l'idéal pour lui. Cela en était trop pour lui. Il ne pouvait plus se regarder en face. Il avait conscience d'avoir vendu son âme au diable. C'était à cet instant qu'Elena choisissait de réapparaître, désirant à tout prix garder son chou entre ses griffes. Il était hors de question pour elle de perdre un élément si précieux pour ses projets. Voir Riley son mari actuel dans cette situation était déjà jouissif, mais elle avait bien plus d'ambitions. Elle aimait le pouvoir, l'argent et le luxe. Ayant repris sa place après sa réapparition publique, être la patronne de l'entreprise de son mari était une aubaine. Elle désirait viser bien plus haut, et elle le faisait déjà avec le président des Etats-Unis en personne. Etre à ses côtés était une chose, mais prendre la place suprême était un objectif qui la tentait plus que tout. Elle n'allait pas se gêner pour arriver à ses fins. Elle se montrera avec Matthew entreprenante, conciliante mais surtout dominatrice en lui faisant du chantage pour le déstabiliser complètement qu'il sera en son pouvoir. Car si elle voyait ses plus fidèles collaborateurs sous sa coupe totalement, elle montera d'un cran avec le premier homme de la planète. Elena plaçait ses mains sur les épaules de son bellâtre le massant d'un geste à la fois doux et pervers pour l'envoûter qu'il sera charmé. Il se tournait prenant le bras gauche de la belle. Il allait prendre le bras droit mais la diablesse qu'était Elena anticipait son action, plaçant sa main là où elle désirait et le malaxant coquinement pour le mettre au supplice qu'il la réclamera. Matthew se sentait troubler et désorienter par la belle. Elle avait un de ses charmes ravageurs auquel il était difficile de résister et il le savait parfaitement. Il essayait quand même pensant à l'intégrité qu'il pouvait regagner.

     

    (déterminé) : « Ca suffit maintenant. Tu n'imagines pas que je vais continuer alors que maintenant l'ordre est donné d'abattre Rebecca et Ryan ?

     

    (jouant la fausse confidente en avouant de faux sentiments, laissant une larme couler pour émouvoir sa proie qu'elle attisera son côté protecteur) : Tu crois franchement que je vais laisser quelqu'un toucher à ma fille et la détruire ? Tu me crois aussi mauvaise mère que cela ? Je l'aime et je ferai tout pour son bonheur.

     

    (sceptique) : Vu comment tu as disparu, que tu t'es fait passer pour morte et que tu l'as laissée à son père, j'en doute.

     

    (jouant sur la tristesse en baissant sa tête, caressant du bout des doigts sa joue, son cou puis le haut de son torse et lui racontant des mensonges pour l'amadouer) : Tu sais très bien que je n'ai pas eu le choix. Ca m'a détruite de la laisser à ce connard, à cet homme tyrannique qui ne pense qu'à son boulot et non à sa famille. J'ai souffert en étant à ses côtés mais pire encore, j'ai souffert parce que j'étais loin d'elle. Comment j'aurai pu faire pour la récupérer alors que ce type n'est qu'un paranoiaque ambulant ?

     

    (insistant) : Essayer, tu n'y as pas pensé ?

     

    (déroutant la conversation en laissant le bout de ses doigts aller sous le haut du bellâtre lui procurant une jolie douceur à son oreille et prenant à pleine main ce qu'elle désirait pour l'exciter qu'il ne résistera pas) : Pourquoi me poser la question alors que nous avons tellement mieux à faire toi et moi ? Je sais que tu me désires tant, que tu rêves de me prendre dans tes bras, que nos corps se mêlent et ne fassent plus qu'un dans un moment si torride que tu me réclameras encore. Elle me dit qu'elle me veut, qu'elle me désire. Cesse de te battre avec moi bébé. Et embrasse-moi.

     

    (déstabilisé mais essayant de résister) : On ne peut plus toi et moi. Ca va trop loin, tu te rends compte ? Qu'est-ce qui va se passer s'il arrive malheur à ta fille hein ? Elle ne mérite pas ça. Elle n'a rien fait à ce que je sache.

     

    (malaxant coquinement ce qu'elle désirait, glissant ses doigts à l'intérieur de son pantalon, effleurant sa poitrine malicieusement avec sa main, approchant son front du sien en laissant son souffle agir sur son cou et voyant l'occasion de le manipuler pour le faire bouillir de désir) : Là, je te veux et maintenant. Tu ne vas pas me laisser m'amuser toute seule hein mon chou ?

     

    (charmé) : Ne fais pas ça. Tu es d'une telle beauté, une déesse. Je serai prêt à tout pour toi mais on atteint les limites maintenant.

     

    (voyant l'occasion de le faire chanter en l'embrassant dans le creux de son cou, le mordillant et le léchant jusqu'à sa joue perversement, effleurant ses lèvres avec son index le rentrant légèrement à l'intérieur afin de mimer ce qu'elle lui réservait, titillant ses lèvres avec un doux baiser subtil pervers, relevant ensuite son haut et griffant son torse vigoureusement pour le chauffer qu'il la réclamera) : Tu ne peux m'échapper chéri, tu es à moi. Tu as fait trop de choses pour moi, pour que je te laisse partir. Tu as envie de moi, ne résiste pas et fais-moi vibrer, fais-moi crier de plaisir et tu en prendras goût. Je la veux en moi et elle aussi me réclame. Tu rêves de sentir mes lèvres contre les tiennes. Mes attentions te font vibrer. C'est que tu n'es pas insensible à moi. Nous deux, cela durera que tu le veuilles ou non. Tu ne souhaites pas que je raconte tout ce que tu fais à Madison ? Elle si douce, elle qui pense que tu es un honnête homme. D'ailleurs, la dernière fois, tu n'y as pas pensé, preuve qu'elle n'est pas si importante contrairement à moi chéri.

     

    (désorienté et perdu) : Tu me vends du rêve avec tes baisers. J'avoue je ne peux m'en passer venant d'une femme aussi belle, aussi sensuelle, aussi délicieuse et divine que toi, mais tu es aussi la diablesse incarnée. Je ne peux me passer de cette beauté fatale que tu es. J'ai envie de toi, j'ai tellement envie de toi que ne pas être à tes côtés est une véritable torture. Tu me mets tellement au supplice que sans cesse, je pense à toi. Mais, ne dis rien à Madison, je t'en prie. Je ne veux pas la perdre. Tu me troubles tellement que j'oublie tout en ta présence.

     

    (déterminée, arrachant son haut et le mordillant par endroit en léchant coquinement son torse, titillant son nez avec son index et effleurant sa cuisse s'approchant même de l'intérieur pour le provoquer) : Alors fais ce que je te dis et elle n'en saura rien chéri. Avoue, mes courbes te font plus qu'envie. Tu sais que je te ferai vivre des moments tellement inoubliables et incomparables. La preuve, tu en es accro. Dis-moi que tu me veux.

     

    (se laissant influencer) : Je te veux, j'ai plus qu'envie de toi. Arrête de me torturer et viens tout contre moi mon ange.

     

    (voulant le faire mariner un peu d'abord en jouant les tentatrices caressant la jambe de son bellâtre, approchant même son genou près de ce qu'elle voulait tant, puis, en s'éloignant pour le rendre dépendant qu'il la réclamera ne pouvant ainsi plus se passer d'elle) : Et si moi, je ne veux pas maintenant ?

     

    (complètement séduit qu'il la ramène tout contre lui laissant ses lèvres approchant de celles de sa tentatrice) : Tu ne m'échapperas pas toi. Tu m'allumes et ensuite tu t'éloignes ? Tu me rends dingue. Je te veux. Tu me mets au supplice.

     

    (se mordillant la lèvre puis volant un langoureux baiser à sa proie, titillant sa langue avec la sienne et bougeant son index en guise d'invitation pour le tenter) : Alors prends-moi qu'est-ce que tu attends ?

     

    (complètement séduit) : A tes ordres ma belle créature. »

     

    Matthew, complètement inspiré en voyant la divine déesse, lui volait un baiser des plus langoureux et caressant tout son corps vigoureusement. Elena désirant l'inciter à aller plus loin, l'accompagnait dans ses caresses en mêlant sa main auprès de la sienne. Elle lui faisait baisser le haut sexy qu'elle portait. Elle le tentait en caressant sensuellement son épaule nu, se mordillant l'index coquinement qu'il était comme fou. Il l'embrassait malicieusement dans le creux de son cou donnant ainsi des baisers plus que divines et sensuels et elle l'incitait à descendre sur sa poitrine. Elle aimait ses douces attentions qu'elle coinçait sa tête dessus afin d'en ressentir davantage et poussant de légers gémissements. Elle le voulait le chauffer qu'elle baissait son pantalon et son boxer faisant des va et viens avec ses mains sur ce qu'elle désirait puis lui procurant une douceur de tous les diables qu'il rêvera de plaisirs charnels. Il était tellement bien qu'il ne pouvait s'empêcher de pousser des gémissements de plaisirs. Il voulait penser à Madison, cette belle blonde qu'il avait rencontré lorsqu'il prenait des renseignements dans un journal et qu'elle était l'une des journalistes les plus en vues du moment, qu'il aimait fort mais voilà, Elena occupait son esprit et l'envoûtait telle une diablesse en quête d'une proie. Il était à sa merci et plus il essayait de résister, plus Elena lui rappelait à quel point il était dépendant d'elle. Elle dévoilait tout son corps, effectuant comme une danse sexy et se mettant dos à lui pour l'attirer qu'il la comblera. Elle bougeait telle une perverse près de ce qu'elle désirait guidant la main de son bellâtre sur sa poitrine et avec la sienne, elle griffait son cou, descendant sur son dos et pinçant ses fesses subtilement pour le provoquer. Il la tournait afin de pouvoir admirer son regard et se mordillait la lèvre tellement le désir qu'il ressentait était des plus ardents. Elle coinçait sa taille avec sa jambe griffant bestialement son torse, couvrant de baisers bien sauvages le bel homme sous ses yeux, léchant diaboliquement sa joue et descendant tout le long de son corps en parcourant du bout des doigts sa cuisse pour le torturer. Il était complètement fou qu'il caressait le corps de celle-ci y allant lentement mais celle-ci désirant aller plus loin, elle le guidait à titiller son intimité pour exalter son désir. Elle décidait de passer aux choses sérieuses prenant sa main et l'amenant directement sur le sofa. Elle le guidait, l'amenant tout contre elle alors qu'elle se couchait. Il se laissait faire qu'il la couvrait de baisers tendres, passionnés et sauvages lui procurant une douceur au niveau de son nombril et à son intimité, se montrant bien coquin que cela exaltait les sens de la belle Elena. Désirant tout contrôler, elle le basculait en le mettant sur le dos, léchant bestialement son torse en s'empalant diaboliquement sur ce qu'elle désirait et bougeant perversement en coinçant sa taille avec sa jambe pour le piéger. Matthew savait qu'il ne pouvait plus s'en sortir. Il était si désemparé mais il n'avait cependant qu'une obsession : elle en cet instant. Alors ils passaient tous les deux à l'acte dans un instant bien charnel et endiablé. Pendant ce temps, Riley et Cassandra étaient dans la voiture après leur moment des plus intenses. Cassandra était soulagée d'avoir pu révéler son secret, le fait bien qu'elle était du côté d'Elena pour le piéger. En regardant Riley, elle voyait cette possibilité d'avenir, cette possibilité qu'enfin tous les ennuis étaient loin derrière elle. Celui-ci la sortait de ses pensées simplement en lui volant un baiser tendre et mémorable.

     

      (curieux) : « A quoi tu penses mon ange ?

     

    (souriant) : A toi, à nous mon chéri et à notre avenir.

     

    (la rassurant en effleurant tendrement sa joue) : Ne t'inquiète pas surtout. Nous arriverons à nous en sortir. Et tu pourras récupérer.

     

    (heureuse) : Tu es un tel ange. Tu me combles de bonheur tu le sais ça ?

     

    (aux anges) : Oh oui, et tu me combles plus que tout ma chérie.

     

    : Tu peux m'aider lorsque l'on rentrera à l'intérieur ?

     

    : Bien sûr. Attends un instant, j'arrive pour t'aider. »

     

    Riley descendait du véhicule, allant vers Cassandra et lui ouvrant la porte. Celle-ci aimait voir de si tendres attentions. Elle avait l'impression de rêver. Heureuse, elle descendait difficilement. Riley plaçait son bras autour de la belle et ils s'avançaient vers la demeure quand soudain, des coups de feu retentissaient dans leur direction. Riley plaquait Cassandra au sol, essayant d'ouvrir la porte. Ils étaient à la merci de tireurs embusqués. Qui avait pu envoyer ses tireurs mystérieux ? Là, telle était la question. Au même instant, Madison, cette jeune femme pour laquelle Matthew pensait était au journal en train de pondre un article sur la situation des affaires relatifs à la télécommunication en particulier mettant en lumière certaines malversations sur son ordinateur quand soudain, elle découvrait une information capitale. Elle voyait toute une liste ce qui la choquait. Et c'était à cet instant qu'elle entendait du bruit au sein du journal. Les journalistes étaient dérangés par des personnes en costume et qui n'avaient pas l'air très commodes. Il recherchait Madison. Celle-ci voyant le danger copiait vite ce qu'elle avait sur une clé USB et prenait la tangente. Les hommes en costume la voyaient et se mettaient à lui courir après. Madison prenait les escaliers de service, passant à l'arrière de l'immeuble. Ses poursuivants avaient la même idée. Ils avaient prévus de la coincer à un carrefour. Madison sortait rapidement à l'extérieur, passant par les petites ruelles. Ses poursuivants essayaient de l'atteindre, mais elle rentrait dans un immeuble pour les semer. Les bandes de crétins ne tiltaient même pas qu'ils continuaient leur chemin. Madison pouvait souffler un petit peu. Son nom complet était Madison Stacy Hastings. Elle était l'une des journalistes les plus réputées en vue, aimant les enquêtes approfondies et les scandales en tout genre. Le danger ? Elle en raffolait préférant voir la vérité éclater au grand jour plutôt de la voir cacher à tout jamais au peuple. Sa rencontre avec Matthew avait changé sa vie. Elle lui avait promis de se ranger sur les enquêtes approfondies mais elle ne pouvait s'empêcher de déroger à la règle. La vérité était essentielle pour elle. Elle profitait de cet instant de répit pour appeler son petit ami mais celui-ci ne répondait pas alors elle laissait un message. 

     

        (essouflée) : « Mon ange, j'ai un soucis. Je rentre à la maison rapidement, retrouve-moi. Je t'aime tant. »   

     

    Elle raccrochait et partait à la recherche d'un taxi dans les environs. Elle en voyait des multitudes mais un arrivait à sa portée. Elle faisait signe de s'arrêter ce qu'il faisait immédiatement. Elle allait monter mais elle percutait malencontreusement quelqu'un sur son passage. Il s'agissait d'un jeune homme plutôt éléguant et charmant aux yeux de la belle. Elle ne pensait pas voir un visage si angélique qu'elle se sentait attirée par lui. Le jeune homme s'appelait Kyle Matthew Carter. Il était un étudiant des plus brillants en histoire. Il était issu d'un milieu plutôt aisé. En effet, son père était bien célèbre dans le milieu bancaire. D'ailleurs, il était la fortune la plus importante du pays et dans les cinq personnes les plus puissantes de la planète. Son avis était d'une importance capitale dans certaines décisions influant sur de nombreuses personnes, même que l'on ne se doutera pas de certains noms qui sont sous son influence. Kyle détestait ce milieu, même, cela le répugnait. Il aimait se réfugier dans l'histoire. Cela le passionnait. Sa période préférée était la période contemporaine comme les années 1930. Il aimait tout ce qui touchait à la prohibition et à Al Capone. Seulement Madison réussissait à le sortir de ses pensées rien qu'en effleurant sa joue délicatement. Kyle était captivé par la beauté de cette jeune femme aux courbes généreuses. Il avait l'impression de voir un ange en face de lui qu'il ne pouvait s'empêcher de rougir légèrement. Madison aimait le voir ainsi. Même cela éveillait en elle un désir des plus grandissants. Elle voyait au loin ses hommes qui la poursuivaient et qui regardaient où elle se trouvait sans pour autant l'avoir encore repérée. Kyle était la personne capable de la sauver. Elle comptait le connaître et se rapprocher de lui pour avoir sa protection. Elle reconnaissait la personne qu'il était, le fils d'un éminent banquier à la tête de la plus grande fortune du pays. Elle voyait même plus loin connaissant la fortune familiale qu'elle usera de ses charmes, le manipulant et usant d'attentions délicieuses pour le faire chavirer qu'à la fin, elle lui proposera de rester avec lui et qui sait de devenir son épouse. Elle avait bien l'intention de profiter de cette protection, du luxe et du pouvoir. Elle se montrera à la fois douce et entreprenante pour arriver à ses fins. Finalement, cette rencontre avec Kyle n'était pas réellement dû au hasard, bien au contraire. Chaque jour, elle passait dans cette rue, et elle le voyait lire ses livres, observer le paysage. Elle connaissait une partie de ses habitudes. Finalement, le fait que ses hommes en costume l'aient poursuivi étaient une opportunité pour elle.

     

       (jouant la gênée pour l'attendrir) : Oh, excusez-moi de vous avoir bousculé.

     

    (compréhensif) : Ne vous en faites pas, ce n'est rien.

     

    (effleurant son épaule puis son bras le flattant pour le charmer) : Vous êtes un ange.

    (rougissant légèrement) : Oh, merci, et vous, vous êtes divine, une déesse. Je suis complètement éblouie par votre beauté.

     

    (jouant les touchées et perdues pour le déstabiliser) : Ce n'est pas souvent que l'on me dit ce genre de compliments. Je n'en ai pas l'habitude.

     

    (déstabilisé) : Vous êtes si belle. J'ai l'impression d'être dans un rêve tellement vous êtes ravissante et on n'ose pas vous dire de tels compliments ? C'est impensable, et avec moi, je vous rendrai justice en vous en donnant tout pleins.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler car les hommes qui la poursuivaient aller arriver tout en effleurant innocemment sa main et l'intérieur avec son pouce, donnant un baiser doux et pervers sur sa joue et faisant une moue pour le dérouter) : Vous êtes si charmant, c'est rare de rencontrer un homme si attentionné. J'aimerai me faire pardonner pour ce qui est arrivé. Que direz-vous si nous prenons un café vous et moi ? Je connais un endroit bien sympa. J'aimerai tant vous le faire découvrir.

     

    (se laissant influencer) : Vous me tentez que j'accepte avec un immense plaisir.

      

    (voyant ses poursuivants arriver, satisfaite, se mordillant la lèvre et effleurant le haut de son torse furtivement pour éveiller du désir qu'il viendra vers elle) : Alors prenons ce taxi ensemble et nous y arriverons tous les deux. »

     

    Les hommes en costume l'avaient repéré et venaient vite à leur hauteur. Madison effleurait furtivement la taille du bellâtre face à elle l'incitant avec son regard des plus angéliques à monter dans le taxi. Les deux montaient immédiatement. Alors que l'un des poursuivants arrivait à la hauteur du taxi, Madison s'approchait de sa cible l'embrassant en mêlant tendresse et passion. Kyle était surpris par ce baiser mais il se laissait faire, aimant particulièrement la compagnie de la belle. Madison en même temps faisait signe au chauffeur de rouler laissant ainsi sur place les poursuivants. Qu'allaient-ils arriver entre eux après cela ? Pendant ce temps, Rebecca et Ryan étaient dans les bras l'un de l'autre à pouvoir souffler après les évènements qui avaient conduit à ce que Rebecca se fasse tirer dessus par Matthew. Rebecca était dans ses pensées. En effet, tout s'était accéléré depuis qu'elle avait pris la fuite avec Ryan. Au début, elle pensait vivre sereinement en manipulant son père de donner tout ce qu'il fallait pour son pseudo kidnapping mais maintenant, elle savait que ses parents n'étaient que des hypocrites et qu'il fallait compter que sur son couple et elle pour survivre. Ryan la serrait davantage dans ses bras, l'embrassant dans le creux de son cou pour la sortir de ses pensées et ça marchait vu qu'elle affichait le plus beau des sourires.

     

    (souriant) : Je préfère te voir ainsi.

     

    (s'excusant pour mieux l'attendrir) : Je suis désolée de t'inquiéter ainsi.

     

    (effleurant sa joue et l'embrassant du bout des lèvres) : Je ne peux pas vivre sans toi. J'ai eu si peur de te perdre que je veux profiter de chaque instant auprès de toi.

     

    (le regardant en mêlant douceur et perversité) : Je ne peux vivre sans toi non plus. Je ne supporterai pas de ne plus être à tes côtés. Je serai meurtrie et anéantie. Quand je pense que c'est Matthew qui m'a tiré dessus pour m'arrêter. Ca me débecte de savoir que c'est ma mère qui a fait cela.

     

    (curieux) : Comment tu peux savoir que c'est elle ?

    : Après son moyen de tenter de nous retrouver, on est face à Matthew ? Ce n'est pas une coïncidence.

     

    (voulant connaître les sentiments de sa belle) : Ta mère peut s'inquiéter pour toi tu crois ?

     

    (triste et énervée) : Si c'était le cas, elle aurait fait savoir à tout le monde que je lui manquais. Hors, ce n'est pas le cas. Alors pour ce qu'elle a fait, je lui ferai payer. Je lui montrerai que l'on ne me fait pas du mal et impunément. Ma famille est hypocrite et je suis heureuse d'être sortie de leur influence de merde. Ma mère va payer et je l'affronterai en allant la voir.

     

    (la serrant contre lui pour un gros câlin, pensif sur ce qu'Elena lui avait fait subir et inquiet pour sa belle) : Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit alors si tu es vraiment décidée à l'affronter, je souhaiterai être à tes côtés. Sinon, qu'est-ce que tu as prévu de lui faire subir ?

     

     

      (calculant bien les choses et curieuse) : Oh, j'étudie ça de près. Quand je serai devant elle, cela viendra tout seul. Mais ne t'inquiète pas, elle paiera très cher. J'ai l'impression que quelque chose ne va pas. Dis-moi ce qui t'arrive chéri.

     

    (essayant d'esquiver la réponse et se montrant compréhensif) : Ne t'inquiète pas, je vais bien. C'est juste que je pense à toi. Je sais que tu es dans une mauvaise situation et je comprends. Tu peux compter sur moi pour tout et n'importe quoi. Ce que je souhaite avant tout c'est ton bonheur.

     

    (comblée, préférant ne pas insister même si elle savait que son homme avait un secret et lui faisant un clin d'oeil coquin) : Tu es l'amour de ma vie. Tu sais ce que j'aimerai quand le tout sera fini ?

     

    (curieux) : Quoi bébé ?

     

    (souriant et se mordillant la lèvre donnant un coup de langue dessus pour le tenter) : Ce que monsieur pense en cet instant.

     

    (pensant à son amie qui n'était pas loin) : Tu sais que l'on n'est pas chez nous ?

     

    (se montrant coquine et joueuse, caressant la cuisse de son homme allant jusqu'à ce qu'elle désire, la malaxant, mordillant son cou et la léchant malicieusement pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résistant) : Et alors chéri, ce que je veux c'est toi. Ose me dire que tu n'as pas envie de moi en cet instant. Je sais, je sens que tu as envie de me prendre dans tes bras et plus encore. C'est que ce que je tiens a envie de faire son œuvre si tu vois ce que je veux dire. 

     

     (se montrant joueur également) : Euh, je n'ai pas envie. Tu sais très bien que c'est le contraire. Ton corps est si divin. C'est la tentation incarnée. Dis-moi ce que je désire bébé.

    (l'allumant en léchant malicieusement sa joue, descendant à son cou en le mordillant puis le haut de son torse alors qu'elle faisait des va et viens avec sa main en la plaçant à l'intérieur de son pantalon et boxer pour le faire bouillir de désir qu'il rêvera de plaisirs charnels) : Tu as envie de me faire crier de plaisir, tu as envie de me procurer tellement d'attentions que nos corps ne feront plus qu'un dans un instant aussi tendre que charnel. C'est un beau programme n'est-ce pas mon chou ?

     

    (complètement sous le charme et déstabilisé) : Véritable tentatrice que tu es, viens par là bébé.

     

    (bougeant son index en guise d'invitation puis mordillant le sien coquinement, mimant ce qu'elle comptait lui réserver) : Oh, c'est toi qui viens trésor. »

     

    Ryan était plus qu'amoureux de la belle. Rebecca l'avait envouté comme personne. Celle-ci commençait à l'apâter en l'embrassant langoureusement et passionnément, titillant sa langue avec la sienne dans une danse plus qu'endiablée. Il prolongeait le baiser montrant tout ce qu'il ressentait pour la belle, laissant ses mains caresser son corps. Rebecca l'incitait à lui enlever ses vêtements pour l'inciter au vice et il s'exécutait immédiatement. La belle le tentait en jouant telle une diablesse de ses épaules et se caressant la poitrine en lui procurant une douceur à son oreille, lui murmurant qu'elle avait envie de le sentir en elle et arrachant perversement ses vêtements. Il était plus que fou qu'il allait vers son cou la mordillant puis vers sa poitrine lui donnant des attentions plus que divines dessus. Aimant cela, Rebecca coinçait sa tête dessus, baissant sa tête vers l'arrière afin de savourer chaque instant. C'était divin qu'elle l'incitait à aller plus bas, guidant ses mains vers ses cuisses et ses hanches puis à son intimité pour le chauffer. Il était tellement sous son charme qu'avec son influence, il lui procurait une douceur des plus incomparables. Elle poussait des gémissements de plaisirs, mais elle désirait aller bien plus loin. Elle griffait vigoureusement son torse, léchant coquinement chaque parcelle, baissant son pantalon et boxer, prenant à pleine bouche ce qu'elle désirait et faisait des va et viens intenses pour le faire bouillir de désir qu'il ne pourra plus se contrôler. Cet instant était si exquis et enivrant qu'il poussait des gémissements de plaisir. Elle plaçait ses mains sur son dos, bougeant telle une diablesse, le griffant et lui pinçant les fesses pour le provoquer qu'il ne lui résistera pas. Elle griffait son cou, le léchant ardemment et le mordillant jusqu'à en laisser une trace pour exalter un désir des plus ardents. Elle continuait le tenter en jouant celle qui allait l'embrasser puis reculant. Il était carrément conquis qu'il l'attrapait son visage entre ses mains l'embrassant avec une passion bien démesurée et l'amenant tout contre lui, la prenant par sa taille. Elle désirait passer à la vitesse supérieure qu'elle se couchait, l'amenant tout contre lui. Il se laissait faire, la couvrant de baisers bien fougueux sur chaque parcelle de son corps. Elle parcourait l'intimité de son bellâtre, le titillant, lui faisant un clin d'oeil sexy, Il essayait de retenir le désir en se mordillant la lèvre mais pour lui, elle était tellement magnifique, que c'était impossible de résister à une telle créature. La belle parcourait sa cuisse du bout des doigts puis son intimité, griffant diaboliquement son torse, couvrant de baisers bien sauvages, ardents et passionnés son amoureux. Désirant avoir le contrôle, elle le tournait, léchant chaque parcelle de son torse puis s'empalant sur son intimité effectuant des mouvements torrides pour le mettre au supplice. Il ne pouvait plus se contrôler qu'ils passaient à l'acte dans un moment des plus intenses et torrides. Au même instant, Melody entendait ce qui se passait et essayait de ne pas y penser. Aider son ami Ryan était ce qu'il fallait faire mais le voir avec une autre était comme un pincement au cœur. Elle se rendait compte à quel point cet homme avait été un ange, et elle l'avait laissé partir. Elle sentait que Rebecca n'était pas faite pour lui. La séparation entre Ryan et Melody avait été difficile et ce, à cause d'une femme. Ryan agissait pour Elena et ne pouvait rien dire. Elle regardait la télé pour se changer les idées quand soudain, elle tombait sur l'intervention d'Elena, la mère de Rebecca qui demandait à ce que sa fille soit retrouvée. Là, Melody faisait le rapprochement entre la fille qu'elle avait soignée et ce qui arrivait. Elle attendait de Ryan qu'il lui dise tout mais ce n'était pas le cas. Au fond d'elle, elle se sentait trahi. Autrefois, dans leur relation, le secret était roi. Poussée par la colère, elle prenait son téléphone et appelait discrètement.

     

    (se sentant un brin coupable mais avant tout, elle protégeait une personne en qui elle tenait encore énormément) : « Ici, Melody Ann Hastings, j'ai des informations pour vous sur Rebecca Turner et celui qui l'accompagne. Ils sont chez moi, venez vite. »

     

    Le policier qui prenait l'appel lui avait demandé de donner son adresse et elle le donnait sans problème. Elle raccrochait pensant à ce qu'elle avait fait. Elle essayait de se convaincre que ce qu'elle avait fait était pour le bien de son ex, mais en réalité, même si elle avait eu un gros coup de cœur pour Riley qu'elle avait croisé à l'hôpital et qu'elle avait aidé, Ryan occupait encore une place dans son cœur. De son côté, Grace se trouvait avec son époux William et elle lui avait montré à quel point elle avait du pouvoir sur lui. Il était vrai qu'il avait une maîtresse, une qui avait un pouvoir grandissant mais Grace n'était pas du genre à se laisser faire, bien au contraire. Elle était la première dame des Etats-Unis, et en tant que telle, elle montrait son pouvoir. Elle pensait à cet instant au fils de son époux. Il se trouvait que bientôt, une réception allait être donnée à la Maison Blanche et que tous les membres de la famille Jefferson devaient être présents. Elle comptait tout faire pour que la famille soit réunie. Pour cela, elle usera de ruses se montrant charmante pour arriver à ses fins.

     

    (se rapprochant, effleurant sa joue) : « Tu vois que j'ai encore du pouvoir sur toi ?

     

     

    (énervé) : Je te hais pour ce que tu viens de faire.

     

    (se montrant gagnante en le regardant avec un air de défi) : Tu vois les maîtresses ne te connaissent pas comme moi.

     

    (essayant de se séparer de son épouse) : Maintenant, ce n'est aps que tu me déranges, mais si. Je dois travailler.

     

    (riant ironiquement) : Quelle belle blague.

     

    (sentant que sa femme avait besoin de quelque chose) : Qu'est-ce que tu désires ?

     

    (effleurant sa joue et arrivant dangereusement à son intimité) : La réception, tu devras appeler ton fils pour qu'il vienne.

     

    : Il ne veut pas me parler.

     

    (se montrant déterminée en effleurant coquinement son torse et son nombril, lui mordillant le creux de son cou pour le faire frémir) : Fais ce que je te demande, c'est pour le bien de ton mandat je te rappelle. Si tu ne le fais pas, tu ne risques plus de goûter au plaisir de la chair et du vice.

     

    (piégé et essayant de faire changer d'avis sa femme) : Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

     

    (insistante) : Je sais, et alors ? Tu veux que ton rôle soit fait correctement ? Alors bouge-toi.

     

    (résigné) : D'accord. 

     

    (satisfaite) : Voilà quand tu veux, tu peux. Alors, à tout à l'heure, je dois me préparer chéri. Fais ce que je dis sinon, je te ferai vivre un enfer. »

     

    Elle se rhabillait, bougeant telle une diablesse pour attirer son attention. Elle venait ensuite à lui, approchant son visage du sien comme pour voler un baiser sauvage mais elle se ravisait à la fin, touchant son nez avec son index et s'éloignant en roulant des hanches pour le laisser en plan. William n'avait d'autre choix que de satisfaire son épouse. Pendant ce temps, Riley et Cassandra étaient toujours aux prises avec des tireurs embusqués. Riley dans un geste désespéré arrivait à se lever et à ouvrir la porte, permettant à Cassandra de se réfugier à l'intérieur. Il lui faisait signe de rester baisser. Riley la suivait derrière et fermait derrière lui. Il allait vers une salle pour prendre vite une arme. Cassandra essayait de trouver une cachette et elle restait couchée derrière le canapé. Soudain, du bruit se faisait entendre. Cassandra avait bien peur et préférait ne pas bouger. Elle craignait le pire. Seulement la curiosité était souvent un vilain défaut et là, cela s'avérait être le cas. En effet, elle levait légèrement la tête pour voir ce qui se passait et elle voyait l'arme au niveau de sa tête. Elle levait les mains en l'air. Celle qui était face à Cassandra était une jeune femme, plutôt jeune mais avant tout ambitieuse et ravie d'avoir retrouvé les fugitifs. Elle s'appelait Paige McCalister et elle était une personne qui aimait les armes, ou plutôt aimait les utiliser contre des parias. Etait-elle flic ? Bien sûr que non, car ce n'était pas valorisant. Elle était une tueuse et elle était indépendante. Par contre, elle aimait travailler avec des clients privilégiés. Cassandra tentait de bouger, mais Paige se montrait bien menaçante. Il était hors de question de voir une proie lui échapper. Elle usera de tous les moyens pour la garder, quitte même à la blesser.

     

    (déterminée) : « Tu crois aller où Cassandra hein ?

     

    (surprise et essayant de cacher que Riley était avec elle) : Comment m'as tu trouvé ?

     

    (pas crédule du tout) : Je vois clair dans ton jeu Cassandra. Voyant à quel point tu ne tiens pas trop la forme, tu n'es pas seule ici. Où est Riley ?

     

    (faisant l'innocente) : Je ne sais pas de qui tu parles.

     

    (insistant et la frappant au visage) : Où est Riley ? Dis-le moi maintenant sinon c'est une balle entre les deux yeux que je te mets. Tu ne veux pas que j'abime ta jolie tête n'est-ce pas ?

     

    (restant décidée et prête à tous les sacrifices pour son homme) : Tu pourras me faire ce que tu veux, rien ne sortira de ma bouche.

     

    (entendant du bruit) : Oh, je vois, alors je vais te tuer. Si tu bouges ne serait-ce qu'un poil Riley je la descends, c'est clair ?

     

    (désespéré) : Ne fais pas ça !

     

    (voyant l'occasion de le manipuler pour avoir ce qu'elle désire à savoir Riley) : Je ne le ferai pas à condition que tu viennes de ton plein gré avec moi.

     

    (essayant de la menacer) : Je peux te tuer pour récupérer Cassandra.

     

    (le manipulant) : Au risque que je la tue en même temps ? Tu ne prendras pas ce risque. Tu n'es pas aussi stupide. Alors baisse ton arme et de suite chéri !

     

    (énervé) : Je t'interdis de m'appeler ainsi.

     

    (la jouant finement) : Alors tu as le choix, suis-moi ou vois ta partenaire mourir. »

     

    Riley était devant un choix bien cornélien. Qu'allait-il faire face à cette femme déterminée et qui tenait Cassandra, sa copine entre ses griffes ? Pendant ce temps, Ryan et Rebecca restaient l'un contre l'autre après ce moment des plus intenses. Rebecca ne pouvait s'empêcher de regarder Ryan avec tout l'amour qu'elle ressentait pour lui. Ryan se plongeait dans son regard des plus envoûtants, effleurant lentement sa joue. C'était à cet instant que Rebecca pensait à sa vengeance. Elle se montrera charmante et subtile pour convaincre Ryan d'aller voir Elena qu'il acceptera immédiatement pour qu'enfin ils puissent tourner la page.

     

    (effleurant doucement les lèvres de son homme pour l'attendrir) : « Chéri, je peux te demander une chose ?

     

    (curieux) : Bien sûr mon ange, dis-moi.

     

    (faisant une moue) : J'ai récupéré, à mon avis bien suffisamment pour qu'enfin on puisse s'en aller. On peut partir d'ici mon amour ?

     

    (essayant de la garder au calme) : Peut-être mieux vaut que tu récupères non avant de pouvoir l'affronter car ça risque d'être éprouvant.

     

    (le rassurant en se blottissant tout contre lui et effleurant son dos tendrement) : Ne t'inquiète pas, et puis, je dois le faire. Je veux qu'aucun obstacle ne puisse se mettre entre nous.

     

    : D'accord. Je t'aime tellement fort. Tu es ma raison d'être Rebecca. Jamais je n'aurai cru ressentir de sentiments aussi forts pour quelqu'un.

     

    (émue et heureuse) : Moi aussi mon amour, et tu es tout pour moi. Je t'aime plus que tout au monde. »

    Ils s'embrassaient laissant transparaître tous leurs sentiments. Les deux se rhabillaient quand soudain Melody arrivait vers eux. Elle avait tout entendu de la conversation, enfin du fait qu'ils allaient partir. Elle devait tout faire pour les en empêcher. Et elle allait se baser sur l'état de santé de Rebecca subtilement afin de les faire changer d'avis.  

     

    (gênée et se montrant inquiète afin d'ébranler le couple) : « Pardon de vous déranger. J'ai entendu le fait que vous désirez partir. Seulement, vous savez tous les deux que ce n'est pas recommandé.

     

    (calme) : C'est gentil à toi, mais il est vrai que nous devons partir. On ne veut pas te déranger plus longtemps.

     

    (insistant) : Mais Ryan, je pensais que tu allais insister pour qu'elle récupère.

     

    (calme) : Je prendrai soin d'elle ne t'inquiète pas.

     

    (déterminée) : Vraiment mieux vaut du repos. C'est que je ne désire pas qu'il lui arrive quelque chose.

     

    (intervenant) : C'est gentil mais je sais ce que je fais, et je serai bien entourée si jamais il m'arrive quelque chose. Déjà je vous remercie de m'avoir soignée. Je vous en suis reconnaissante.

     

    (insistante) : Alors mieux vaut m'écouter.

     

    (suspicieuse) : Qu'est-ce que vous désirez ? Oh, c'est vrai que vous êtes l'amie de Ryan, alors ses amis sont aussi les miens.

     

    (se sentant légèrement coupable mais décidait de le cacher pour garder le couple chez elle) : Juste votre bien. Et c'est plus que gentil. Vous faites partie également de mon cercle d'amis.

     

    (la manipulant pour obtenir ce qu'elle désire) : Alors si vous êtes mon amie, laissez-moi partir avec mon chéri sinon, je vous considérerai comme mon ennemie.

     

    (hésitante) : Il vaut mieux du repos pour vous.

     

    (énervée) : Je vois clair dans votre jeu ! »

     

    En effet du bruit se faisait entendre. C'était la police qui rappliquait. Rebecca folle de rage donnait une gifle à Melody.

     

    (furieuse) : « Espèce de pétasse, vous avez osé faire cela. Et en plus, après que vous m'ayez soigné, vous ne manquez pas d'air.

     

    (la regardant d'un air de défi pour montrer qu'elle avait toutes les cartes en main) : Parce que Ryan ne vous mérite pas, il me mérite moi !

     

    (folle de rage et lui flanquant une belle gifle) : Il m'aime et il m'aime tellement que je serai à lui totalement si vous voyez ce que je veux dire, alors bas les pattes, c'est mon mec compris ?

     

    (prenant le bras de Rebecca pour la forcer à rester) : Je vous retiendrai ici, que vous le voulez ou non.

     

    (furieux, intervenant en attrapant sa belle contre lui et en la séparant de Melody) : Tu es folle ! Je pensais être tranquille avec ma dulcinée mais non. Il n'y a que quelqu'un qui a prévenu de notre présence et c'est toi. Tu m'as trahi ! Et en plus, je serai à toi ? C'est fini entre nous depuis longtemps, t'as saisi ?

     

    (se rapprochant de son ex, effleurant lentement son torse et laissant son souffle agir sur son cou pour l'amadouer) : Tu sais très bien que nous, cela n'est jamais réellement fini.

     

    (furieux) : Si c'est fini, et j'aime Rebecca alors arrête de m'emmerder !

     

    (furieuse) : Tu es parti et en plus, jamais tu ne m'as confié le moindre de tes secrets. Devrai-je dire à Rebecca ce qui est arrivé entre nous ? Devrai-je dire que tu fais....

     

    (l'interrompant) : Ca suffit et je te préviens. Si jamais tu oses te mettre entre Rebecca et moi, je te le ferai payer. Alors laisse-moi, laisse-nous clair ! Et tchao. Je pensais que l'on était amis. Seulement, je me suis trompé alors tu me vois là pour la dernière fois. »

     

    Melody essayait de les retenir mais c'était trop tard. Ryan et Rebecca étaient déjà à l'extérieur, prenant la voiture et partant à toute vitesse, alors que la police allait arriver. Elle était trop loin pour remarquer qui était dans cette voiture. Ryan et Rebecca partaient vers la ville ainsi pour retrouver Elena. Comment allait se passer la confrontation ? Là, cela allait être une autre histoire. Pendant ce temps, dans une des boites de nuit les plus réputées de la ville, un homme se trouvait au bar et il allait boire un verre quand un individu venait l'aborder lui signifiant qu'il était demandé par son père : le président des Etats-Unis en personne. Celui-ci le prenait par le col et se montrait bien déterminé. Il s'agissait de Warren Andrew Jefferson le fils de William né de sa précédente union avec Gabrielle et qui est depuis décédée alors que l'on avait tenté d'assassiner son père. Warren lui en voulait terriblement pour ce qui était arrivé et surtout pour cette habitude à être un grand consommateur de femmes puisque peu de temps après le décès de sa mère, son père s'était remarié avec Grace et que depuis il était président. Depuis ce drame, il était souvent dans des lieux plutôt loin de son statut afin d'oublier qui il était. Il ne donnait pas facilement confiance aux autres. Il y a quelques mois, il aurait pu mais celle-ci l'avait quitté pour son meilleur ami. Etre le fils d'un président, le premier homme de la planète, n'était pas de tout repos et le fait que les gardes du corps lui rappelaient constamment sa position l'énervaient au plus haut point.

     

    (furieux) : « Tu sais ce que tu peux dire à mon paternel ? Qu'il aille chier dans sa caisse. Je n'en ai rien à péter de ce qu'il a à me dire. S'il a vraiment quelque chose à me révéler, qu'il vienne me voir s'il a les couilles de le faire. Moi, je ne bougerai pas. C'est clair ou il faut que je te fasse un dessin ? »

     

    Le garde du corps le laissait tranquille avec les mots de Warren préférant ainsi ne pas avoir d'histoires avec le fils du président. Ainsi, il pouvait commander à boire, mais c'était sans compter que son moment allait être interrompue et d'une manière inattendue. En effet, une jeune femme plutôt belle et resplendissante dansait sur la piste sur une musique de Jessie J, Ariana Grande et Nicki Minaj : Bang, Bang. Elle était plutôt entraînante et elle ne s'était pas empêchée. Elle avait bien choisie sa place sur la piste de danse, voyant sa cible au bar et sans que personne ne puisse l'importuner. Elle savait pertinemment qui il était et généralement ce que les gens faisaient en sa présence à savoir qu'ils prenaient tellement de gants qu'ils n'osaient pas dire ce qu'ils pensaient. Elle avait au préalable étudié sa cible, afin de savoir ses habitudes mais aussi son comportement. Cette jeune femme était un mystère à l'état pure. Elle s'appelait Phyllis Alexia Davenport et pour la connaître, il fallait vraiment faire partie de son cercle intime. Elle désirait être auprès de cet homme, et elle avait l'intention de tout faire pour y arriver. Pour cela, elle sera à la fois charmante, subtile et entreprenante à la fois en vue de le piéger. En effet, elle avait bien l'intention de faire comme si elle ne savait pas qui il était. Elle allait créer une mise en scène pour attirer l'attention de sa cible qu'il viendra s'occuper d'elle. Elle jouera ensuite sur la reconnaissance, usant d'attentions subtiles pour l'attendrir et éveiller du désir qu'il pensera irrationnellement. En commençant à faire connaissance, elle continuera ses attentions dévoilant peu à peu son côté coquine. A la fin, elle le fera chanter pour être toujours auprès de sa compagnie et ce d'une manière inattendue. Il se retrouvera dans un piège bien inextricable. Elle dansait avec un homme tout à fait quelconque et inintéressant quand elle s'approchait de lui et se mettait à crier. Au début, Warren n'y prêtait pas attention, se disant que ce n'était pas ses oignons. Seulement, quand personne ne venait vers la jeune femme pour l'aider, il trouvait cela abjecte qu'il se déplaçait et se mettait entre la jeune femme et l'homme qui l'importunait. Phyllis se plaçait derrière Warren se mettant tout près de lui afin d'être bien dans le rôle. Elle faisait signe à son complice d'attaquer. Alors, il se mettait à agir, et Warren sans problème lui assénait un violent coup de poing qui le mettait à terre. Il avait même du mal à se lever que pour Warren, cet homme était bel et bien un minable qui ne méritait pas une femme comme elle. Il se tournait vers Phyllis qui jouait de son regard angélique et souriant légèrement pour le toucher qu'il sera charmé. Elle se montrera telle une femme bien reconnaissante pour attiser son côté protecteur que la proposition qu'elle fera passera et ainsi, elle pourra passer à l'action.

     

    (jouant l'émue pour l'émouvoir) : « Comment vous remercier pour m'avoir sauvé de cet individu.

     

    (calme) : Vous voir bien c'est tout ce qui importe. Ce genre d'individus n'est pas fait pour vous, de même que moi non plus. Cet endroit n'est pas fait pour une demoiselle aussi distinguée que vous.

     

    (s'approchant de sa proie effleurant délicatement sa joue du bout des doigts atteignant furtivement son oreille comme pour enlever quelque chose pour le désorienter) : C'est à moi de juger, de voir comment vous êtes. Jamais je ne me fie à la première apparence et j'aime connaître les personnes. Vous me paraissez sympathique et gentleman. Même c'est rare d'en trouver. Alors puis-je vous offrir un verre ne serait-ce que pour vous remercier ?

     

    (sentant un désir s'éveiller en lui mais tentant d'y résister) : Vous savez, je ne suis pas d'excellente compagnie. Je ne désire pas vous importuner et vous ennuyer.

     

     

    (se montrant rassurante, le flattant en effleurant furtivement son épaule et se mordillant la lèvre pour le troubler) : Ne vous inquiétez pas, jamais un homme aussi attentionné, charmant et prévenant que vous m’ennuierai. Rien que votre présence égaye ma soirée.

     

     

    (charmé) : J'accepte alors votre invitation avec grand plaisir venant d'une femme aussi ravissante que vous.

     

    (jouant les touchées baissant sa tête pour l'amadouer en prenant sa main dans la sienne et effleurant lentement l'intérieur avec son pouce pour le désorienter qu'il pensera irrationnellement) : Ce n'est pas souvent que j'entends ce genre de compliments, je suis touchée. Je pensais ne pas les mériter.

     

    (déstabilisé) : Croyez-moi, c'est une erreur. Que ceux qui ne vous complimentent pas sont des crétins finis. Je vous rendrai justice en vous donnant tous les compliments que vous êtes en droit d'entendre.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en effleurant furtivement son poignet et son bras pour le dérouter) : Que direz-vous qu'en plus de prendre un verre, nous dansons vous et moi ?

     

    (dérouter) : Je ne suis pas un grand danseur vous savez.

     

    (le rassurant en effleurant furtivement son menton et atteignant presque le coin de ses lèvres pour exalter du désir en lui) : Ce n'est pas l'important pour moi. La seule chose qui m'importe c'est d'être présent à vos côtés. Vous êtes d'une si agréable compagnie. 

     

       (souriant) : Il en va de même pour vous. Alors, j'accepte.

     

    (passant furtivement sa mai près de son torse afin de l'inciter à venir avec elle) : Allons prendre ce verre vous et moi. Je vous garantis que ce sera un agréable moment.

     

    (souriant) : Je viens avec plaisir. Oh, je suis certain que ce sera le cas. »  

     

    Phyllis guidait Warren vers le bar. Le fils du président tombera-t-il dans le piège ? Là, telle était la question. De son côté, Matthew était tombé de nouveau entre les griffes d'Elena. C'était intense entre eux, même torride. Il essayait de prendre de la distance avec cette femme manipulatrice et capable de tout pour le pouvoir, mais il n'y arrivait pas. Il ne savait pas comment elle arrivait à lui faire faire ce qu'elle désirait. Un jour, il le découvrira. Il fallait dire qu'il se trouvait devant une divine créature qui savait user de ses charmes. Il était décidé à la confronter et se levait. Il allait s'éloigner quand Elena le prenait par le bras.

     

    (se montrant déterminée et entreprenante en effleurant son bras et usant de bons mots pour le dérouter) : « Tu crois que je vais te laisser partir ? Je sens que tu rêves d'un second round avec moi. Laisse-toi faire, tu en meurs d'envie.

     

    (résistant) : Et si je te dis que non, tu vas faire quoi hein ? Tu n'as pas autant de pouvoirs sur moi que tu peux le croire ?

     

    (voyant l'occasion de le manipuler avec du chantage pour le déstabiliser) : Chéri, voyons, si tu me dis non à quoi que ce soit, je vais être obligée de tout révéler sur tes agissements allant de ton implication à piéger Riley ou bien de la poursuite de ma fille, et même mieux, que tu ais tiré sur elle. Oh aussi, le plus important. Comment Madison va-t-elle réagir si elle est au courant de l'homme véritable que tu es ? Je suis la seule à te connaître aussi bien mon chou. Je te connais même mieux que tu ne te connais toi-même. Alors tu as intérêt à faire ce que je te dis sinon, je fais de ta vie un enfer.

     

    (déstabilisé) : Tu la rends déjà infernale.

     

    (se montrant joueuse et allumeuse en léchant coquinement son torse, le mordillant par endroit et le griffant pour le mettre au supplice qu'il sera incapable de résister) : Justement, c'est ça que tu aimes chéri. Tu aimes quand je te mets au supplice, que je joue avec chaque parcelle de ton corps qu'à force tu me réclames. D'ailleurs, tu as crié mon nom, je ne peux que m'en souvenir.

     

    (curieux) : Comment tu as autant de pouvoirs sur moi ?

     

    (titillant son nez avec son index puis son menton et lui faisant un clin d'oeil pour le provoquer) : Ne te pose pas de questions mon chou et satisfais ta déesse. Tu ne désires pas me faire attendre hein ? »

     

     

    Seulement, Matthew n'avait pas le temps de répondre que soudain, ils entendaient du bruit. En effet, Ryan et Rebecca étaient rentrés. Rebecca était stupéfaite de voir sa mère dans une mauvaise position. Ryan en profitait pour plaquer Matthew contre le mur, sachant très bien que c'était lui qui avait tiré sur sa belle Rebecca. Elena criait afin que les deux se séparent. Rebecca en profitait pour allumer son portable et le mettre en mode enregistrement. Puis, elle venait vers son homme et posait sa main sur son épaule pour le calmer. Il la regardait avec toute la tendresse et l'amour qu'il ressentait à son égard et s'éloignait de Matthew. Rebecca souriait à son bellâtre.

     

    (effleurant sa joue pour le rassurer) : « Ca va aller. Tu es un ange de me défendre comme tu le fais.

     

    (l'embrassant du bout des lèvres) : Tu es l'amour de ma vie, et je suis capable de tout pour toi.

     

    (souriant complètement aux anges) : C'est la même chose pour moi mon amour.

     

    (les interrompant) : Je suis heureuse de te retrouver ma fille chérie.

     

    (énervée) : Alors toi la ferme tu as compris ?

     

     

    (se montrant calme) : Tu me parles mal alors que je t'ai cherché partout ? C'est le comble. Je me faisais un sang d'encre à ton sujet.

     

    (folle de rage) : Tu étais inquiète toi ? Je t'ai entendu avec ton petit discours à la noix, et je parie maintenant que tu es toute fière d'avoir retrouvé ton pouvoir hein ? En fait, tu es pire que Papa, tu es ignoble et manipulatrice. Tout ce qui t'intéresse est le fric et le pouvoir. Je te hais maman, je te hais ! Quand je pense que je désirais te revoir ne serait-ce qu'un jour. Tu m'as tant manqué pendant tout le temps où j'étais seule avec Papa.

     

    (faisant l'innocente et jouant la blessée) : Je ne vois pas de quoi tu parles. Et puis tu me déçois horriblement.

     

    (giflant sa mère afin de montrer sa détermination) : Tu es hypocrite en plus. Allez, dis-moi la vérité, dis-moi ce qui t'a réellement poussé à refaire surface. Ose me dire que c'est pour moi pour voir et je te jure que tu vas le regretter. Tu as voulu me faire tuer, moi, ta propre fille et par Matthew en plus !

     

    (intervenant et s'approchant de Rebecca se sentant coupable) : Je suis désolé de t'avoir fait cela. Je regrette d'avoir écouté tout ce monde. J'espère un jour que tu pourras me pardonner et qu'un jour, on puisse se parler à cœur ouvert toi et moi.

     

    (sceptique mais tenait quand même à donner une chance) : On se parlera toi et moi, en temps et en heure. Qu'est-ce qui t'a poussé à faire cela contre moi ? On était si proches tous les deux. J'étais comme de ta famille pour toi.

     

    (se confiant) : Sache que c'est elle qui m'a piégé. »

     

    Matthew désignait Elena comme coupable de ce qui lui arrivait. Ryan était sceptique sur les aveux de Matthew, et il comptait démêler la vérité.

     

    (curieux) : « C'est vrai ?

     

    : Tu sais très bien qu'elle a les moyens de nous faire chanter, n'est-ce pas ?

     

    (dans la confusion la plus totale) : Qu'est-ce que ça veut dire ?

     

    (intervenant) : Tu vois le mal partout ma chérie.

     

    (furieuse) : Ne me dis pas ma chérie ! Qu'est-ce que tu as fait ? Qu'est-ce que tu as fait à ses deux hommes hein ?

    (voyant l'occasion de piéger Elena) : Dis à ta fille pour son père.

     

    (surprise) : Quoi ?

     

    (se montrant menaçante en s'approchant de lui et chuchotant) : Qu'est-ce que tu me fais là ? Tu sais que si tu continues, Madison sera en danger.

     

    (chuchotant) : On va trop loin là. Il faut arrêter.

     

    (parlant tout bas) : On continue c'est moi qui décide, est-ce clair ?

     

    (commençant à comprendre) : Maman, tu es responsable pour Papa c'est ça ! Je ne sais pas quelles emmerdes il a mais je sais que c'est toi. Oh mon dieu, mais je ne te connais pas.

     

    (énervée) : Tu sais ce qu'il a fait et puis tu me connais mieux que ça. Et puis tu sais qu'il n'est pas un enfant de cœur. Alors je suis bien contente qu'il soit dans cette merde !

     

    (furieuse) : Je te hais !

     

    (curieuse) : Et puis, tu ne te sens pas libre loin de lui ?

     

    (curieuse) : Qu'est-ce que tu lui as fait ?

     

    : Réponds à ma question.

     

    (jouant pour lui faire perdre les moyens) : Réponds à la mienne.

     

    (voyant un moyen de la faire changer d'avis sur ses intentions de connaître la vérité) : Si tu continues dans cette voie ma chérie, je serai obligé de révéler certaines choses de Ryan.

     

    (choqué) : Quoi ?

     

    (craignant le pire) : Espèce de garce ! »

     

    Ryan était pris au piège. Il savait qu'Elena était capable de tout pour garder son avantage. En effet, il avait participé à ce qu'Elena reste dans la clandestinité et que Rebecca lui revienne. Elle avait fait de lui son jouet. Il avait peur que si Elena révèle la vérité, il perde sa petite amie et fiancée. Qu'allait-il prochainement arriver ? 

     

    Fin du chapitre.

     


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  • Chapitre 19 Une question de temps
     

    Andrew et ses alliés étaient finalement partis, laissant tout le monde encore sous le choc par ce qui venait d'arriver. Caitlin venait de mourir. Son corps était là, sans vie. Mark ne pouvait s'empêcher de la regarder, étant carrément en colère et triste qu'elle soit morte et surtout, sans avoir pu mettre Andrew hors d'état de nuire. Il ne rêvait que de la récupérer et regardait tout le monde pour essayer d'obtenir l'approbation et un soutien sans faille. Peter ne savait pas quoi faire. Il était vrai que s'il se retrouvait à la place de Mark, il aurait de suite remonté le temps, mais là, il pensait au monde, aux conséquences d'une telle action. Mark voyant que Peter était hésitant, venait à sa rencontre afin de lui remonter les bretelles. 

     

     (déterminé) : "Peter, remonte le temps, fais en sorte qu'elle revienne ! 

     

     (hésitant) : Je ne sais pas si je peux. 

     

     (furieux) : Comment ça tu ne sais pas ? Si c'était quelqu'un d'autre, tu le ferais non ? 

     

     (hésitant) : Je....

     (furieux et l'interrompant) : Il n'y a pas de je qui tienne. Caitlin était la personne avec le pouvoir de guérison, pouvant permettre de mettre ce salopard hors d'état de nuire, alors il faut la ramener. 

     

     (calme) : Remonter le temps comporte des risques. 

     

     (insistant) : Elle n'était pas celle qui pouvait nous sauver ? Maintenant l'autre connard va se sentir intouchable et tout faire pour nous détruire un à un. Toi tu ne pourras pas récupérer Nathan et moi ma soeur, c'est ça que tu veux ? 

     

     : Non, c'est sûr, mais il est possible que j'ai copié le pouvoir de Caitlin. 

     

     (curieux) : L'avais-tu fréquenté ? Tu la connaissais bien ? Non, je ne crois pas, alors les risques, il ne faut pas en prendre et tout faire pour la ramener. S'il y a des conséquences, je m'en fous, mais l'important c'est elle. Elle est la clé de tout."

     

    Peter ne pouvait pas dire grand chose face à un tel argumentaire. Il regardait un peu tout le monde pour avoir leur avis, connaître leur position, et c'est en les voyant qu'il savait qu'il devait à tout prix remonter le temps. En regardant Hiro, il voyait quelqu'un comme lui, quelqu'un connaissant les aléas du temps. Même si Hiro était plutôt sceptique, Peter prenait le risque et allait partir en fermant les yeux. Seulement Mark n'allait pas attendre sans rien faire qu'il lui touchait l'épaule. Là, les deux disparaissaient sous les yeux de tout le monde. Pendant ce temps, l'équipe d'Andrew revenait à leur cachette victorieux, et sachant que pratiquement plus personne ne pourrait leur barrer la route. Jessica allait voir Andrew désirant savoir où en était le plan afin de changer le monde. Elle était devenue accro à celui qui lui avait donné une seconde chance de vivre. Elle s'approchait discrètement de lui, effleurant coquinement son torse et l'embrassant sur le coin de ses lèvres pour enflammer sa proie qu'il ne pourra pas résister à l'envie de se confier à elle. D'ailleurs, cela fonctionnait qu'il la regardait, l'amenant dans un coin discret pour que leur discussion ne soit pas écoutée par tout le monde. 

     

     (plutôt charmé) : "Tu sais me faire vibrer. 

     

     

     (charmeuse et entreprenante) : C'est que j'ai envie de te dévorer tout cru, que l'on puisse jouer, comme on a fait la dernière fois. 

     

     (la regardant avec une certaine envie) : Tu me fais envie, tu ne sais pas à quel point. 

     

     

     (volant un baiser sauvage à celui qu'elle désirait) : Maintenant, nous devons parler tu ne crois pas ? 

     

    (restant mystérieux) : On a éliminé la menace, on a tout fait pour cela. On a plus rien à craindre et on va pouvoir bientôt attaquer. 

     

     

     (souriant) : C'est parfait, mais je vois une menace encore. 

     

    (curieux) : Qui ? 

     

     

     (manipulatrice) : Je vois mon propre frère Mark qui essaye de me récupérer. 

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas ma chère, on va l'éliminer. Et de toute façon, pour trouver comment t'arracher à moi, il va falloir qu'il trouve quelque chose et ça ne va pas être simple. Je me battrai pour toi, crois-moi. 

     

     

     (satisfaite) : Tu es un ange. 

     

     (souriant) : Ce n'est plus aussi souvent que l'on me dit cela. Mais je suis touché. Viens par là, tout contre moi."

     

     

    Jessica et Andrew s'embrassaient sauvagement, laissant transparaitre tout le désir qu'il pouvait y avoir entre eux. Seulement, alors que les deux allaient s'offrir un moment à la fois tendre et coquin, Andrew se sentait soudainement mal à cause d'un mouvement dans le temps. Cette fois-ci comment pourra-t-il faire pour intervenir ? Telle était la question. Andrew était énervé qu'il laissait Jessica. Il frappait contre le mur, criant en ne sachant pas quoi faire. Jessica prenait ses mains l'emmenant tout contre elle, afin de le calmer. Andrew souriait, prenant sa respiration, car maintenant il fallait tout faire pour empêcher que ceux qui le défiaient ne puissent changer sa situation actuelle. Il savait qui il devait viser là où ça faisait mal. Son plan bien orchestré sera sans faille car il pensait viser au coeur du groupe des gentils, à celle dont il était encore amoureux : Samantha mais également à Hiro dont il fallait prendre le pouvoir. Il pensait de suite à Sylar pour cette mission. Passant sa main sur la joue de Jessica, la caressant légèrement, il partait le trouver et l'appelait. 

     

    (déterminé) : "Sylar ? 

     

     

     (surpris et arrivant vers lui) : Oui ? 

     

     (calme) : Je sens que notre situation risque de changer. 

     

     

     (curieux) : Comment ça ? 

     

     (calme) : J'ai senti que quelqu'un a remonté le temps, et cette fois-ci, pour le suivre, ça va être dur. J'ai besoin de toi, et de cette envie d'absorber des pouvoirs pour les contrer. 

     

     

     (curieux) : J'écoute, mais ça fait un moment que je n'ai pas fait ça, car ça me rend fou. 

     

    (le rassurant) : Ne t'inquiète pas, car si jamais tu étais hors de contrôle, je t'arrêterais. 

     

     

     (le titillant) : Sauf si je réussis à devenir plus fort. 

     

    (ayant trop confiance en lui et rigolant) : Tu es un comique. 

     

     

     (souriant) : T'as remarqué hein ? 

     

    (tentant de reprendre la conversation) : Bon, reprenons. J'ai besoin que tu affrontes un ennemi, quelqu'un ayant le pouvoir de remonter dans le temps. Approprie-toi ce pouvoir, tue cette personne et retrouve-moi. Ensuite, on remontera le temps pour retrouver nos véritables ennemis. 

     

     

     (curieux) : Qui c'est ? 

     

     : Celui qui reste au moins. 

     

     

     : Je prie pour que ce soit Peter. 

     

     (le recadrant) : Oh, mais lui, je m'en occupe. Ce sera le japonais. 

     

     

     (légèrement déçu mais comptant bien accomplir sa mission) : Très bien, alors je vais là-bas et de ce pas. Que vas-tu faire en attendant ? 

     

     : Je vais viser une autre personne qui mérite d'avoir une leçon, et une bien belle. Me manipuler sur les sentiments est quelque chose que je déteste cordialement, et elle va payer. 

     

     

     (souriant) : Bonne chance alors. 

     

     (satisfait) : Bonne chance à toi aussi."

     

     

    Sylar partait vite afin de retrouver Hiro. Le combat risquait d'être intense. De son côté, Andrew souriait à Jessica et parfait de son côté. Il avait une idée en tête, et il comptait bien tout faire pour y arriver. Samantha devait payer, et il comptait la faire souffrir pour atteindre Peter et le faire sortir de son trou. Maintenant qu'il était presque intouchable, il comptait bien tuer son ennemi en usant de ses points faibles. Pendant ce temps, Peter arrivait à destination, apparaissant normalement, quand soudain il ressentait un léger déséquilibre et faisait tomber quelque chose. Il entendait un aie et se tournait. Il remarquait que Mark s'était accroché à lui pendant le voyage. Mark se relevait de sa chute et regardait Peter. 

     

     (encore secoué) : "Décidément, l'atterrisage, ce n'est pas ton fort. 

     

     (énervé) : Non, mais qu'est-ce que tu fous ici ? Tu n'imagines pas ce que cela peut entraîner comme conséquence. 

     

     (le recadrant) : Tu crois que j'allais te laisser tout seul pour te débrouiller afin de sauver Caitlin ? Tu te goures vieux. 

     

     (furieux) : Tu n'imagines pas les conséquences. Le temps n'est pas un joué Mark, tu saisis ? 

     

     (le recadrant) : Peu importe car ce qu'il faut c'est détruire Andrew et Caitlin est notre seule espoir, tu m'entends ? Alors tu dois faire avec et prendre mon aide. On doit empêcher l'attaque, tout faire pour que Caitlin soit en vie, et cela aura des conséquences sur nos vies actuelles. 

     

     : Tu risques de te souvenir d'une mort qui ne lui sera jamais arrivé, tu en es conscient ? 

     

     (déterminée) : Oui. Cette femme m'apaise, calme l'homme que j'étais auparavant et ce n'est pas rien. Elle me transforme, alors je ferais tout pour elle.

     

     (résigné) : Très bien, alors partons retrouver le groupe et empêchons l'attaque."

     

    Les deux partenaires vont en direction de cette chambre forte, là où le drame devait prochainement avoir lieu. Pendant ce temps, le reste du groupe sans Peter et Mark était dans l'incertitude le plus total. Samantha s'était repliée du reste du groupe, ne voulant plus ressentir ses doutes, cette tristesse des plus insupportables. Niki récemment revenue, allait directement la voir afin de la rassurer.

     

     (désirant la rassurer) : "Dis-moi ce qui ne va pas ? 

     

     

     (triste) : C'est toutes ses émotions. Après la mort de quelqu'un, c'est toujours difficile à encaisser. 

     

     (essayant de trouver une solution) : Je peux te donner mes mains et concentre-toi sur moi. Ca peut t'aider ? 

     

     

     (souriant légèrement) : Peut-être. Je vais essayer. 

     

     : Je sais que je n'ai pas été là ses derniers temps, et je m'en excuse, mais tu peux surtout te fier à moi. 

     

     

     (souriant) : Tu es ma soeur, et jamais je ne douterai de toi. 

     

     (souriant grandement) : Tu me rassures. 

     

     

     : Donne-moi tes mains. 

     

     : D'accord."

     

     

    Niki donnait ses mains à Samantha qui les prenait, et elle fermait les yeux, histoire de se concentrer. Là, elle ressentait une paix intérieure, ne sentant plus tous ses sentiments qui l'accaparaient. Niki, en voyant Samantha plus sereine avait réussi sa mission et d'une certaine façon, c'était pour se faire pardonner pour tout ce qu'elle avait fait, même si les souvenirs restaient en partie flous. Seulement, tout ceci s'arrêtait quand quelqu'un faisait irruption. Niki se tournait et voyait Andrew. Elle sursautait, prenant peur. Samantha ne se rendait pas compte encore que son mari était là. Mais Andrew, désirant bien se venger, frappait fort pour faire sursauter sa cible et ça marchait. Samantha sursautait, regardant celui qu'elle avait aimé de tout son être. Elle savait qu'avec la mort de Caitlin, Andrew se sentira intouchable, mais là, elle n'avait pas prévu sa venue. 

     

     (effrayée) : "Andrew, que fais-tu là ? 

     

     (souriant satisfait) : Devine. 

     

     

     (déterminée) : Laisse ma famille tranquille, compris ? 

     

     (riant légèrement) : Tu crois que je vais t'écouter ? Euh, non. 

     

     

     : Je te ferai revenir. 

     

     (énervé) : N'y compte pas."

     

     

    Niki en avait profité pour essayer d'attaquer Andrew alors que sa soeur parlait avec lui, mais le phoenix usait de télékinésie pour la bloquer et mettre une certaine pression sur sa gorge afin de faire fléchir celle qui avait autant compté dans sa vie. Samantha allait-elle tomber dans le piège et céder ? Pendant ce temps, dans le temps, Peter et Mark arrivaient sur les lieux de la chambre forte et assistaient aux évènements qui avaient immédiatement conduit Caitlin à mourir. Mark en la voyant était carrément tout retourné. Peter posait sa main sur l'épaule de son partenaire pour le rassurer. Mark reprenait ses esprits mais maintenant, il fallait un plan d'attaque. 

     

     (curieux) : "Que fait-on ?

     

     : Il faut distraire tout le groupe, et ainsi, on arrivera à sauver Caitlin comme il faut. 

     

     : Avec mon pouvoir, ce sera un moyen de diversion. 

     

     : Belle idée, et ainsi, je disparaitrais, arrivant vers Caitlin et l'éloignant d'Andrew. 

     

     (ayant une certaine appréhension) : Ce n'est pas trop risqué ? 

     

     (le rassurant) : Un peu, mais ça va aller, on arrivera à la sauver. Il te suffit d'être concentré. 

     

     (souriant) : Je vais y arriver, ne t'inquiète pas."

     

    Mark choisissait un point stratégique. Il était prêt à agir. Au même instant, le reste du groupe était dans une attente inextricable sur ce qui pourrait prochainement arriver avec Andrew. John semblait bien pessimiste qu'il ne parlait pas vraiment. En même temps, sa bien-aimée Jessica était avec l'ennemi, et sa persévérance n'a rien pu faire contre l'influence du phoenix. Claire elle, était tranquillement avec West et Noah, profitant de cet instant pour souffler en attendant que Peter soit de retour. Pour Matt, Mohinder et Molly, ils profitaient de ses instants où ils peuvent s'amuser et oublier le futur combat qui allait s'annoncer. Pour Elle et Bob, ils discutaient tranquillement, se reposant, même si Elle n'avait qu'en tête Mark qui n'était pas là. Hiro lui s'isolait, essayant de réfléchir à ce qui adviendrait de tout le groupe et du monde. Il espérait finalement au fond que Peter réussisse avec Mark dans la mission de tout faire pour sauver Caitlin et donc d'avoir un moyen de neutraliser Andrew, mais le temps avait sa propre loi, celle que l'on ne pouvait défaire d'un claquement de doigts. Le destin ? Pour Hiro c'était une fatalité dont on ne pouvait s'échapper. Afin de s'évader, il prenait le temps de méditer, fermant les yeux et se vidant de tout ce qu'il y avait autour. Seulement, il était dérangé par Sylar qui l'attaquait avec un pouvoir de télékinésie. Il avait senti le danger qu'il disparaissait et réapparaissait instantanément. Sylar comptait bien l'avoir et propulsait Hiro contre le mur, serrant fort son emprise et riant en sachant qu'il accomplissait la volonté d'Andrew. 

     

     (savourant sa victoire) : "Ah, enfin, je t'ai entre mes griffes, et je vais savourer te prendre ton pouvoir Hiro. 

     

     (optimiste) : Mais si tu crois que je vais te laisser me prendre ce qui m'appartient, tu te goures mais complètement. 

     

     (sûr de lui) : Tu es dans mes griffes, et je sens que voyager dans le temps et l'espace va me plaire. 

     

     (essayant de faire parler Sylar) : A quoi ça va te servir franchement vu que tu aimes la puissance absolue ? 

     

     (se montrant philosophe pour le dérouter) : Mais la puissance se trouve dans n'importe quel pouvoir, et le tien va être utile. N'empêche c'est bien joué ta stratégie, mais tu as affaire à plus méchant que toi. Maintenant je vais t'achever et me servir. Je vais me régaler. 

     

     (le regardant d'un air de défi) : Essaye pour voir, mais je peux t'assurer que tu ne réussiras pas. 

     

     (tentant de le déstabiliser) : Qui te dit que ce n'est pas ton heure très cher ? 

     

     (énervé) : Car je ne vais pas te laisser crétin me couper le cerveau, il est à moi !" 

     

    Hiro prononçait clairement Yatta que ceux qui s'amusaient s'arrêtaient tout d'un coup et allaient vers le bruit. Claire était en tête de cette escort. Lorsque le groupe voyait Sylar, Claire était réellement énervée et s'approchait de lui, malgré le danger. 

     

     (déterminée) : "Je vais te faire payer pour tout le mal que tu as fait à tous ses gens ! 

     

     (souriant grandement rien que pour la déstabiliser) : Toi la cheerleader, tu n'as pas encore compris que tu ne peux rien faire contre moi ? Ton pouvoir est intéressant, si alléchant mais niveau combat, tu ne tiendras pas longtemps face à moi. 

     

     (s'approchant grandement le regardant d'un air de défi) : Si je n'essaye pas, je ne peux pas dire si je peux te battre, et je vais t'envoyer au loin que plus jamais tu ne viendras nous opportuner. 

     

     (frappant dans ses mans comme pour applaudir) : Oh, essaye, mais je parie que ta pensée ne s'accomplira pas. Je vais te montrer qui est le plus fort, et oh, ta famille va te pleurer, comme c'est triste."

     

    Avec cette discussion, Hiro en profitait pour disparaître, et apparaître aux côtés de Claire qui allait subir une attaque de Sylar. Il disparaissait avec elle ensuite, l'emmenant à un autre endroit ce qui mettait Sylar dans une colère noire. Alors, il allait se contenter simplement de ceux qu'ils restaient, mais John n'allait pas le laisser faire empêchant notre psycopathe d'utiliser son pouvoir. Tout le groupe partait laissant un Sylar complètement frustré. Cependant, il sentait qu'il y avait d'autres pouvoirs proches dont Andrew, et partait vers ce qu'il sentait. Au même instant, Claire et Hiro réapparaissaient à l'extérieur, et tout le reste du groupe venait les rejoindre. Noah rejoignait Claire plutôt rassuré, mais en même temps effrayé qu'il comptait bien la remettre sur le droit chemin. 

     

     (tapant légèrement sur l'épaule de sa fille puis ensuite la prenant dans ses bras) : "Non, mais tu es folle d'avoir agi ainsi, et de provoquer un fou comme Sylar ! Tu m'as fait peur et je ne supporterai pas de te perdre. Je serai perdu sans toi voyons. 

     

     (le rassurant) : Je suis plus que désolée de ce qui est arrivé, mais ne t'inquiète pas, jamais tu me perdras. Il faut aussi que l'on affronte nos ennemis, et Sylar comme Andrew ne sont pas des enfants de coeur. Tu ne pourras pas m'empêcher de faire quoi que ce soit, tu le sais ça ? 

     

     (souriant légèrement) : Tu as raison mais je ne veux pas que tu prennes de risques. Que tu sois prudente, c'est ce que je désire. 

     

     (le rassurant) : Tu peux voir que je suis entière, et mon pouvoir me permettra de résister. Ce qu'il faut avant tout maintenant est de retrouver Samantha et Niki. Elles n'ont pas été avec nous, je me trompe ? 

     

     : C'est vrai. Mince, où sont-elles ? 

     

     (pensant avoir une idée) : Matt ? 

     

     (arrivant vite) : Oui. 

     

     (curieuse) : Est-ce que tu peux repérer Samantha et Niki grâce à leurs pensées ? 

     

     : C'est surtout si elles ne sont pas loin, sinon ce n'est pas possible. 

     

     (curieuse) : Elles n'ont pas quitté l'endroit ? 

     

     (calme) : A mon avis, non. Samantha ne serait pas partie sans avoir des nouvelles de Peter. 

     

     : C'est vrai. Bon, il faut vite aller les retrouver. Si ça se trouve, elles ont des problèmes. 

     

     (curieux) : Il y a eu une attaque en silmutanée ? 

     

     : Andrew en est capable. 

     

     : On y va et le plus vite possible."

     

    Le groupe partait vite à la recherche de Samantha et de Niki. Ce que le groupe ignorait c'était que les filles étaient avec Andrew. Allait-il pouvoir les aider ? Au même instant, Samantha restait toujours pétrifiée face à un Andrew impitoyable qui tenait Niki sous sa coupe. Elle regardait Niki, essayant de lui faire passer que tout se passera bien, mais Andrew, voyant la manoeuvre de celle qui était encore sa femme, serrait davantage son emprise au point que Niki s'étouffait. Samantha complètement désarmée, criait. 

     

     (désespérée) : "Arrête Andrew, arrête ! 

     

     (satisfait) : Oh, mais pourquoi j'arrêterai ? 

     

     (résignée) : Parce que je ferai tout ce que tu désires. 

     

     (remuant le couteau dans la plaie) : Et qu'est-ce que tu feras exactement ? 

     

     (énervée et résignée) : Absolument tout. 

     

     (voulant se venger) : Et si je te disais que j'ai eu une aventure avec ta soeur, tu seras toujours enclin à faire ce que je veux ? 

     

     (surprise) : Quoi ? 

     

     (insistant) : Oh oui, et c'était agréable, intense et torride. 

     

     (curieuse) : Tu veux me faire mal c'est ça ? 

     

     (retournant sa question) : Et si je te disais que oui, tu ferais quoi hein ? J'ai ta soeur entre mes mains, je te rappelle ! 

     

     (essayant de retourner le tout à son avantage) : En fait, tu veux me faire du mal. Tu essayes de me déstabiliser. 

     

     (la faisant douter) : Penses ce que tu veux chérie. 

     

     (résignée) : Mais je suis prête à faire ce que tu veux si tu relâches ma soeur. 

     

     (curieux) : Tu ne lui en veux pas ? 

     

     (l'envoyant boulet) : Ce n'est pas tes affaires. 

     

     (se frottant les mains) : Alors, je la relâche et en échange, tu me donnes toutes les informations de votre groupe, sinon je reviendrai et je la tuerai. 

     

     (choquée) : Je.....

     

     (insistant) : J'ai ta soeur ! 

     

     (résignée) : C'est d'accord. Alors lâche-la."

     

    Andrew faisait exactement ce que Samantha lui ordonnait de faire. Niki reprenait son souffle et allait voir sa soeur qui n'osait pas encore la regarder. Andrew se frottait les mains pour avoir réussi son coup. Seulement ce qu'il n'avait pas prévu, c'était qu'il entendait l'arrivée proche du reste du groupe. Il décidait d'attendre afin de faire peur à toute l'équipe. En même temps, Mark dans le temps regardait la scène qui se déroulait sous les yeux, la même qui restait en tête depuis que Caitlin était morte. Il voyait bien l'ancien Peter aux prises avec Andrew qui le tenait avec un chantage. Les autres ne réagissaient même pas, mais en même temps, en observant, il pouvait remarquer l'attitude d'Elle envers lui, ou envers Caitlin. Il était bien choqué par cette constatation. Seulement, il ne devait pas se décourager et il armait son pouvoir en s'énervant. Tout le groupe que ce soit les méchants ou les gentils étaient déstabilisés. A ce moment-là, Caitlin pouvait facilement se défaire d'Andrew et partir non sans soucis rejoindre notamment Samantha et ensemble, elles rejoignaient le reste du groupe. Là, Mark se souvenait de comment Caitlin avait été tuée, par un Andrew encore faible, mais qui l'avait tué par derrière. Là, Peter intervenait, disparaissant et apparaissant auprès de Caitlin. Andrew encore affaibli, essayait de tuer Caitlin, mais Peter disparaissait avec sa proie, ce qui le mettait dans une colère plus qu'intense. Mark s'éloignait, allant vite rejoindre Peter avec sa dulcinée qui venait d'être sauvée. Il était si heureux qu'il n'avait qu'une envie : la serrer dans ses bras et l'embrasser. Peter apparaissait un peu plus loin, et laissait Caitlin respirer. Elle était encore sous le choc par rapport à ce qui s'était passée. 

     

     (encore choquée) : "Je ne comprends pas ce qui vient de se passer. C'est vraiment des plus étranges. 

     

     (essayant d'expliquer calmement) : Je sais que le tout peut être déroutant, mais je viens de te sauver d'Andrew. Je viens du futur. 

     

     (choquée) : Du futur ? C'est possible cela ? 

     

     (la rassurant) : Bien sûr, et tu sais, il vient de changer. Je vais bientôt prendre la stature de celui qui est dans le présent maintenant. 

     

     (curieuse) : C'est un coup à avoir mal au crâne ça ? 

     

     : Exact, mais le plus important c'est que tu sois en vie pour qu'à la fois on neutralise Andrew, mais aussi pour retrouver celui qui fait battre ton coeur. 

     

     (déstabilisée) : Mais.... ?

     

     (la rassurant) : Tout ira bien. Il se trouve que ton pouvoir affaiblit Andrew de par le fait que c'est directement lié à la vie. Mais pour celui qui fait battre ton coeur, je le sais, parce que je l'ai appris de sa bouche. 

     

     (émue et curieuse) : Oh, j'aimerai trop le voir. Où est-il ? 

     

     (arrivant et intervenant) : Il est là."

     

    Les deux souriaient, ne pouvant cacher le bonheur qu'ils ressentaient en étant l'un auprès de l'autre. Soudainement, ils se rapprochaient. Mark prenait sa belle Caitlin dans les bras l'embrassant avec une fougue et une passion des plus demesurées. Caitlin regardait dans les yeux ce bellâtre, lui souriant et caressant sa joue avec tendresse. 

     

     (émue et aux anges) : "Dès le premier regard, j'ai su que tu étais fait pour moi. Je ressens de tels sentiments pour toi. Je ne rêvais que de cet instant où je me retrouverai dans tes bras. Je me sens heureuse à tes côtés. Je t'aime tellement. 

     

     (rassurée et tellement heureux qu'il souriait) : J'étais comme anéantie par ce qui t'était arrivée. Je remuerai ciel et terre rien que pour voir ton sourire, ton visage aussi angélique. Tu calmes ce feu en moi pour le transformer en un bonheur indescriptible. Je t'aime plus que tout.

     

     (souriant) : On va avoir l'occasion de vivre notre histoire. 

     

     (heureux) : Oui ma chérie, et il faut vite partir de cet endroit de malheur, je ne veux plus y penser. 

     

     (intervenant) : Désolé de vous déranger les amoureux, allons-y."

     

    Les trois quittèrent l'endroit, se retrouvant à l'extérieur. Seulement Peter semblait inquiet. 

     

     (ayant des doutes) : "Profitez de cet instant, car bientôt, on va se réunir. Le temps va reprendre son cours, et on aura de nouveaux souvenirs. 

     

     (souriant mais aussi curieux) : D'accord. Mais on n'est pas vulnérable à l'heure actuelle ? 

     

     : Sachant que c'est un nouveau présent, si. Surtout qu'Andrew peut nous localiser à tout moment et venir par ici. Ce mec est imprévisible. 

     

     (ayant une idée) : Surveille les alentours, je reste avec Caitlin. 

     

     : D'accord."

     

    Peter partait, laissant le couple seul. Pendant ce temps, Andrew restait avec Samantha et Niki leur faisant signe de ne pas bouger et les menaçant avec du feu entre ses doigts. Niki allait intervenir mais Samantha lui sommait de ne rien faire. Elle avait peur qu'il lui arrive malheur. Voyant Andrew comme ça, Samantha prenait conscience que celui qu'elle avait aimé autrefois était en train de prendre un chemin sans détour, un chemin qu'elle détestait le voir suivre. Elle pensait de lui qu'il était l'homme de sa vie, mais brutalement Jack Harper lui avait arraché le bonheur. Même si aujourd'hui, elle était avec Peter Petrelli, le souvenir de son amour passé lui faisait encore très mal. Le groupe commençait à arriver avec à son arrivée Claire, plus déterminée que jamais à mettre hors d'état de nuire tous les méchants. Le groupe ne voyait que Samantha et Niki qui n'osaient pas bouger. Claire faisait un signe afin d'interpeller l'une des deux jeunes femmes pour savoir ce qui arrivait. Alors que Samantha allait bouger, dévoilant ce qui était en train d'arriver, Andrew venait par derrière la prenant tout contre lui et la menaçant avec du feu. Claire essayait de se débattre mais il n'y avait rien à faire. Elle désirait s'en sortir. Pour cela, elle usera de la violence, se montrant bien hostile à l'égard de cet ennemi afin de montrer qu'il avait face à lui bien plus fort. En stratégie, l'important, ce n'était pas d'être le plus fort mais plutôt d'être plus rusé et malin que son adversaire.

     

    (furieuse et donnant des coups de pied afin de déséquilibrer son adversaire) : « Lâche-moi espèce de connard, lâche-moi et je te laisserai peut-être tranquille !

     

    (rigolant avec un air sarcastique) : La petite fille qui voulait devenir grande. Sais-tu au moins à qui tu t'adresses ?

     

    (le défiant) : Bien sûr que je le sais, et ça ne m'arrête pas, bien au contraire. Par contre, toi, tu n'es qu'un lâche pour tuer des personnes comme tu le fais. C'est comme ça que tu te comportes en combat ? A la déloyale ? Tu me dégoûtes Andrew, tu m'exaspères. Des gens comme toi, il faut les brûler.

     

    (serrant son emprise sur elle en plaçant sa main sous sa gorge) : Tu fais moins la maligne maintenant hein ?

     

    (folle de rage en donnant un coup de tête en arrière sur sa cible) : Cela ne m'arrêtera pas. Tu crois que tu as tous les droits sur ce monde ? Tu crois que ta petite loi, ton envie de changer les choses va te permettre de mieux vivre ? Tu te goures vieux. Ce n'est pas en devenant un connard que l'on change les choses. D'ailleurs rectificatif, tu as dû toujours être un connard pour te comporter de la sorte.

     

    (la menaçant) : Fais gaffe, car moi contrairement à tout ce monde ici présent peut te faire très mal.

     

    (rigolant) : Tu n'es qu'un lâche, alors tu n'agiras pas. D'ailleurs, pour ne pas perdre Nathan, tu ne me toucheras pas. Tu as peur de ce que l'on peut faire tonton Peter et moi. Tu as peur que sa famille l'arrache à ton influence. En fait, tu n'es pas un combattant, tu es bel et bien une poule mouillée qui se cache derrière un groupe pour survivre. Alors lâche-moi et maintenant connard !!!!!!!

     

    (commençant à s'embraser) : Tu l'auras voulu, je vais te tuer.

     

     

    (le défiant) : Tu n'y arriveras pas. Tu sais pourquoi ? Parce que tu es nul.

     

    (intervenant) : Mais tu es folle ?

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, je sais ce que je fais. »

     

    Andrew était prêt et allait s'embraser totalement. Allait-il réussir ? En même temps, Caitlin et Mark se retrouvaient seuls. Ils ne pouvaient s'empêcher de sourire, d'être enfin heureux. Le destin leur avait donné une seconde chance et ils pouvaient en profiter pleinement. Ils ne savaient pas combien de temps ils allaient basculer dans l'autre temps alors ils se blottissaient dans les bras l'un de l'autre. Caitlin prenait le visage de son homme entre ses mains l'embrassant avec une telle fougue et une telle passion qu'elle laissait transparaître tout ce qu'elle ressentait pour lui. Elle désirait être tellement avec lui, qu'elle était capable de tout pour y arriver, même si c'était que quelques instants en usant de ses charmes pour faire craquer son bel ange. Elle baissait l'une de ses mains à son cou l'effleurant du bout des doigts puis donnant un baiser à la fois subtil et pervers dessus pour le faire frémir qu'il la voudra tout contre lui. Elle atteignait le haut de son torse glissant légèrement ses doigts sous son haut en effectuant comme des dessins dessus pour l'enflammer qu'il pensera irrationnellement. Il était si heureux d'être à ses côtés qu'il caressait tendrement sa joue, la regardant avec un amour démesuré. Aux côtés de Caitlin, c'était comme si le passé s'estompait, comme si la souffrance partait ne laissant place qu'à un bonheur indescriptible et à un avenir radieux. Il savait que le temps était trop court pour profiter pleinement des retrouvailles alors il prenait ses deux mains les prenant tout contre lui mais ne pouvant se détacher de ce regard si pénétrant.

     

     

        (heureux) : « On ne peut mas mon amour, pas ici. Le délai est si court. Je ne sais pas ce que le temps peut réserver. Avant tout, il est question de te protéger, de tout faire pour qu'Andrew ne t'atteigne pas.

     

     

    (se montrant rassurante et entreprenante en retirant ses mains de lui, les glissant sous son haut et le relevant puis s'abaissant en donnant des baisers plus que fougueux sur son nombril, le mordillant et remontant lentement le long de son corps) : Je suis protégée à tes côtés mon ange, sache-le. Jamais je ne te laisserai, jamais il ne m'arrivera quoi que ce soit. Tout ce que je désire là, c'est de me retrouver dans tes bras, de pouvoir te sentir près de moi, de pouvoir t'embrasser, te caresser et enfin que nos corps ne fassent qu'un. Oh que je désire tant cet instant. Je sais que tu me veux, je sais que tu as envie d'être contre moi, je sais que tu as envie de me faire l'amour là de suite. J'ai envie de toi, j'ai envie que tu me prennes là de suite, et que tu me fasses vibrer comme personne. C'est un douloureux supplice que de ne pas pouvoir le faire. Tu ne penses pas comme moi ?

     

    (complètement sous le charme et déstabilisé qu'il posait son front contre celui de la belle, caressant tout le corps de celle-ci lentement) : J'ai tellement envie de toi, je te désire si fort, tu ne peux pas l'imaginer. Dès le premier instant où je t'ai vu, je t'ai désiré.

     

      (coquine baissant légèrement son haut, mordillant le creux de son cou de son bellâtre, le léchant perversement puis lui enlevant complètement son haut, le griffant et prenant à pleine main ce qu'elle désire pour le rendre dingue qu'il ne pourra plus se contrôler) : Dis-moi que je te procure un plaisir fou en faisant cela, dis-moi que tu as envie davantage. Je sais bébé, je sens que tu me veux, alors laisse-toi aller et je te promets un moment tellement inoubliable que tu en redemanderas encore et encore. 

     

    (déstabilisé et joueur) : Oh vilaine tentatrice que tu es, tu me fais envie plus que tout. Qu'est-ce que tu as en réserve pour me faire céder ?

     

    (joueuse en prenant ce qu'elle désirait, le malaxant puis titillait son nez avec son index lui faisant un clin d'oeil des plus coquins) : Tu n'imagines pas à quel point j'ai des tonnes de surprise en réserve rien que pour toi mon chou. »

       

    Caitlin venait tout près de son oreille, lui procurant une douceur incomparable qu'il était aux anges. Là, elle continuait à le tenter, lui titillant les lèvres avec la langue puis l'embrassant avec une telle fougue et une telle passion qu'il était aux anges. Seulement, le temps faisait sa loi, et tout le monde reprenait sa place. Mark était auprès du reste du groupe tout comme Peter. Caitlin voyant qu'elle était seule, revenait en courant. Elle s'arrêtait en voyant la tête d'Andrew qui était énervé de voir la jeune femme toujours en vie. Mark voyant le regard menaçant d'Andrew avait en tête de le mettre hors d'état de nuire. Il ne voulait en aucun cas perdre la femme qu'il aimait. S'il avait su, il aurait pu dire ce qu'il ressentait plus tôt, mais malheureusement, il n'en avait pas eu l'occasion. En la sauvant, il retrouvait un équilibre. Mais Andrew ne lui gâchera en aucun cas son bonheur. Il lançait son pouvoir lié à la terre contre son ennemi qui était déstabilisé. Jessica, voyant son partenaire en mauvaise posture, elle usait de son pouvoir de feu pour désorienter son frère ce qui réussissait. Mark était en colère contre sa sœur qu'il s'approchait d'elle.

    Jessica fière d'être là où elle en est lui tiendra tête. Seulement, elle comptait bien le manipuler pour s'offrir une porte de secours au cas où elle ne puisse changer avec Andrew le monde. Elle jouera de son visage angélique pour amadouer son frère Mark que sa colère sera atténué et là, elle utilisera des mensonges pour le piéger. Mark était encore bouleversé par le fait que sa sœur avait été tuée mais c'était pire de la voir en vie, à cause de cet Andrew qui se croyait le centre du monde.

     

    (fou de rage) : « Non mais ça ne va pas la tête ? Je désire te sauver mais tu m'as arrêté !

     

    (se montrant innocente pour mieux le titiller): Pourquoi me sauver frangin ? Pourquoi ?

     

    (furieux et montrant ses sentiments) : Mais merde, tu n'as pas compris que ce mec te manipule, qu'il se sert de toi dans le seul but de détruire ce monde et de le modeler à son image. Réveille-toi Jessica ! Il ne fait que prolonger ton agonie. Tu n'auras jamais le repos de l'âme avec lui. Il est certes un phoenix qui est capable de ramener les morts mais c'est dans le seul but de les tourmenter. C'est comme le diable en personne ce type !

     

    (se montrant douce et voyant l'occasion de le manipuler en lui faisant croire qu'il y avait de l'espoir) : Qu'est-ce qui m'attend si je ne suis pas avec lui ? Peux-tu encore me sauver ? Car moi, je ne vois rien en moi qui mérite de l'être.

     

    (se montrant rassurant et ainsi se laissant influencer) : Tu seras en paix.Tu pourras enfin passer à autre chose.

     

    (jouant sur la tristesse pour mieux l'attendrir) : Donc je dois mourir ? Mais je désire vivre.

     

    (déterminé) : On va trouver une solution pour te défaire de son influence et tout faire pour que tu sois en vie.

     

    (souriant légèrement mais au fond était satisfaite des évènements): Merci. Je t'aime tu sais. 

     

    (pensant avoir retrouvé sa sœur qu'il en était heureux) : Moi aussi je t'aime. »

     

    Jessica avait réussi son coup qu'elle se rapprochait de son frère comme pour lui faire un gros câlin de retrouvailles et là, elle lui assénait de violents coups. Mark était carrément choqué mais Jessica se rapprochait tout près de son oreille lui murmurant que sa place était proche du pouvoir. Mark de par cette révélation était complètement déboussolé. Caitlin voyant sa tristesse se rapprochait de lui, le prenant à ses côtés. Sa chaleur, sa douceur si réconfortante était comme un baume pour lui qu'il se mettait à sourire devant sa belle, caressant tendrement la joue. Cependant, Ella assistait à toute la scène. Cela l'énervait de le voir avec cette fille. Elle se promettait de tout faire pour les séparer. C'était à cet instant que le groupe d'Andrew s'échappait sur les signes de celui-ci laissant tout le monde dans la plus grande confusion. Pour Mark et Peter, les souvenirs de ceux qu'ils avaient changé étaient encore bien présents dans l'esprit. Ils comprenaient parfaitement la frustration dans laquelle se trouvait Andrew d'avoir perdu. Pour le reste du groupe, c'était une autre histoire. Tout ce qui était arrivé après la mort de Caitlin n'était que poussière, néant, ne s'étant surtout jamais produit. Tout le groupe de Peter partait également, voyant qu'ils n'avaient plus rien à faire dans cette chambre forte sachant que le moyen le plus efficace de mettre Andrew hors d'état de nuire était Caitlin. La seule question était de savoir comment faire pour qu'elle ne soit pas condamnée lors du grand affrontement ? Pourront-ils déjouer le destin ? Pendant ce temps, le groupe des méchants allait quitter les lieux. Tout le monde suivait sans discuter. Soudain, Megan disparaissait de la circulation forcée de suivre quelqu'un. Il s'agissait d'une femme et à la grande surprise, c'était Angela Petrelli en personne, revenue pour empêcher l'apocalypse de se produire. Megan allait lancer son pouvoir d'explosion quand Angela lui faisait signe de s'arrêter.

    (désespérée) : « Je t'en prie Megan, écoute-moi.

     

     

    (énervée et prête à lancer son pouvoir) : Non mais qu'est-ce qu'une vieille comme vous vient par ici et surtout pour m'emmerder ?

     

    (prête à tout pour la convaincre) : Parce que tu es la seule espoir vu que Peter Petrelli, mon fils a fait la connerie de changer le cours des choses.

     

    (surprise, curieuse et surtout furieuse) : La seule espoir de quoi ? Non mais vous m'avez vu ? Je suis indépendante. Je n'ai de comptes à rendre à personne et Andrew va nous mener vers la victoire finale. Le monde connaîtra enfin les personnes que nous sommes, ceux qui possèdent des pouvoirs. Alors pourquoi je vous suivrai ? Pourquoi je viendrai avec une vieille qui divague, qui doit bien fumer la moquette hein ? Osez me répondre pour voir !

     

    (se lançant sans crier gare) : Parce que tu es ma fille ! »

     

    Pour Megan c'était le choc le plus complet, surtout qu'Angela l'annonçait de but en blanc. Etait-ce la vérité ? Etait-ce un moyen pour Angela de manipuler Megan ? Là, telle était la question. En tout cas, une chose était certaine : le fait d'avoir bouleversé le cours des choses amenait des choses surprenantes. 

     

    Fin du chapitre. 


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  • Continuité du chapitre 18 : Deux Peter sur Terre dans la partie Heroes : A New day 

     

    Continuité du chapitre 5 : Courage, fuyons ! dans la partie Sacrifice

     

    Continuité du chapitre 10 : Guerre et conséquences dans la partie Calling Darkness

     

    Modification de l'article sur le casting de Sacrifice dans la partie Sacrifice

     

    AJout d'une photo dans la galerie Awards et versions sites

     

    Ajout de deux photos dans la galerie Sacrifice

     

    Modification du design avec le thème King Rising. 


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  • Continuité du chapitre 18 : Deux Peter sur Terre dans la partie Heroes : A New day 

     

    Continuité du chapitre 5 : Courage, fuyons ! dans la partie Sacrifice

     

    Continuité du chapitre 10 : Guerre et conséquences dans la partie Calling Darkness. 


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