• Chapitre 5 Une blonde en colère
     

    Andrew était au plus mal, se rendant bien compte qu'il avait perdu en commettant un adultère la seule personne qu'il avait aimé de toute sa vie. Melody avec Ethan allait rejoindre Matthew pour se reposer après tous ses évènements mais Andrew lui prenait le bras afin de la retenir. Melody n'était pas d'humeur à écouter celui qui avait détruit sa vie il y a une dizaine d'années maintenant. Elle le regardait avec une telle haine. Andrew savait qu'il dérangeait, mais il avait une idée en tête, histoire de reprendre un peu la main après ce qui lui était arrivé. Il voulait bien se faire voir de celle qui fut son amante autrefois afin qu'elle le défende auprès de Matthew. Seulement, il savait que cela sera long et fastidieux à mettre en place. Il connaissait bien Melody, et elle n'était pas du genre commode.

     

    (jouant le gêné pour attendrir sa proie) : « Je suis désolé de tout ce que je t'ai fait endurer, de ce que tu as subi comme épreuves par ma faute. Je désire parler avec toi, que l'on fasse enfin la paix une fois pour toute pour le bien de notre famille.

     

    (sceptique et en colère) : Tu te fous de ma gueule Andrew ou quoi ? Toi, tu penses au bien-être de la famille ? Tu n'as fait que la détruire depuis toutes ses années, et c'est toi le responsable à l'époque qui m'a fait perdre Matthew à tout jamais, pensant que jamais je ne le reverrai. Et là, tu désires parler ? Du grand n'importe quoi très cher, surtout, que tu t'es fait prendre en plein adultère. La pauvre Alyson, tu as pensé à elle ? Tu as pensé à ce qu'elle peut endurer ? Tu ne penses qu'à ta putain de grande gueule alors tu me fous la paix. Lâche-moi c'est clair ?

     

    (insistant) : Pas avant que je n'ai pu m'expliquer avec toi.

     

    (regardant son fils Ethan) : Mon ange, va rejoindre ton Papa, je te prie. Ta mère a besoin de recadrer ton oncle Andrew et ce, comme il faut. »

     

    Son fiston l'écoutait comme il se devait. Melody regardait Andrew. Elle le dévisageait laissant transparaître la haine viscérale qu'elle ressentait envers cet être qu'elle méprisait cordialement. Andrew la sortait de ses pensées en posant sa main sur l'épaule de celle-ci. Melody immédiatement en la sentant, la décalait violemment.

     

    (folle de rage) : « Non mais tu te crois où connard ? Je te hais, tu m'entends ? Je te hais et rien ne changera ça.

     

    (triste et essayant de ramener de la nostalgie en elle pour l'attendrir) : Souviens-toi nos balades.....

     

    (se montrant ferme en l'interrompant) : Si c'était pour essayer de m'amadouer, tu peux toujours rêver. Va crever en enfer connard ! Et n'essaye plus de me parler à l'avenir. Alors dégage de mon passage ! Dégage je t'ai dit ! »

     

    Andrew essayait de la retenir mais Melody le giflait violemment. Son regard en disait long sur ce qu'elle ressentait. Elle se demandait encore comment elle était tombée dans ses griffes. Mais c'était qu'à l'époque, Andrew avait piégé les deux amants les mettant l'un et l'autre aux prises avec des personnes que celui-ci avait précieusement engagées. Elle partait sans dire le moindre mot. Andrew de son côté partait s'isoler, voyant que tout ce qu'il avait construit partait littéralement en fumée. Pendant ce temps, Matthew Carter et Cassandra étaient à l'hôpital où celle-ci se remettait de ses émotions suite aux révélations mais aussi de la tentative d'assassinat qu'elle avait subi que ce soit lorsqu'elle avait été renversée par la voiture ou dans sa chambre. Matthew C. la sortait de ses pensées en effleurant tendrement ses lèvres par un doux baiser. Cassandra souriait à cette douce sensation des plus enivrantes. Elle ne pensait plus qu'à son homme en cet instant, et au fait qu'elle désirait enfin une vie tranquille loin de toutes ses péripéties et de l'influence de Michael Fitzpatrick. Son homme lui, était préoccupé. Il savait bien que sa dulcinée souhaitait qu'il s'éloigne de Michael, mais alors pourquoi elle n'a pas tout révélé ? Il comptait bien connaître la vérité.

     

      (curieux et inquiet) : « Je me demande ma chérie mais pourquoi tu ne leur as pas tout dit ?

     

    (désirant rassurer en effleurant tendrement sa joue et lui rendant ce baiser des plus tendres, mordillant coquinement la peau de son cou pour le titiller) : Mon chéri, avant tout, je ne voulais pas qu'avec mes révélations comme ça, tu puisses avoir des soucis ou que les Spencer en viennent à te chasser.

     

    (désirant la rassurer en retour) : Je t'aime tellement fort. Et ne t'inquiète pas, je m'en sortirai. Ton amour me pousse à me dépasser et bientôt, on sera loin de tous ses ennuis.

     

    (heureuse) : Je t'aime aussi plus que tout mon amour. Tu es tout pour moi, et je sais que tu as fort à faire avec les Spencer.

     

    (se confiant) : Avec le conflit entre Matthew et Andrew puis le fait de retrouver Brooklyn, l'amour de mon meilleur ami, je suis servi. Mais je suis embêté.

     

    (se montrant à l'écoute) : Dis-moi tout.

     

    (calme) : James est arrivé dans la demeure Spencer pour soi-disant mener son enquête, mais je sais qu'il a été appelé.

     

    (se souciant de son bien-être) : Quelqu'un veut t'empêcher d'agir, je t'en prie, fais attention.

     

    (la rassurant) : Tu sais bien que je suis prudent.

     

    : Dans la limite du possible, je sais bien avec tout ce que trafique Michael et son frère. Et puis Rebecca l'épouse de James, elle n'est pas nette non plus. Regarde, cette famille veut ma peau. Il est temps de la mettre hors d'état de nuire, et plus vite sera le mieux. Qui selon toi veut t'empêcher d'agir à part peut-être l'un des trois sinon ?

     

    (plutôt énervé) : Quelqu'un chez les Spencer connaît les Fitzpatrick. Je dois vite trouver qui c'est et le débusquer. Seulement je devrai te laisser et je ne veux pas avec la menace qui pèse sur toi. Regarde, je n'ai pas été là, et on a tenté de te tuer. Je vais tuer cette ordure, je vais le mettre en pièce et en finir une fois pour toute avec ce connard.

     

    (tentant de le raisonner et pleurant sachant le risque qu'il encourait) : Je ne veux pas te perdre, tu m'entends ? Il risque de te tuer. Je ne peux pas vivre sans toi.

     

    (effleurant la joue de sa belle pour lui rendre le sourire) : Je ne supporte pas quand tu pleures. J'aime te voir sourire, te voir rire, admirer tes jolis yeux. Tu m'ensorcèles complètement. Et je serai toujours là pour toi, à jamais.

     

    (émue) : Oh mon ange, je ne sais pas quoi dire si ce n'est que tu es toute ma vie, que tu me fais tant craquer et que je suis sur un nuage quand je suis à tes côtés, quand je me retrouve dans tes bras et que je peux te sentir tout contre moi.

     

    (posant son index sur ses lèvres pour avoir toute son attention) : J'ai quelque chose à te demander mon amour, quelque chose que j'ai toujours rêvé de faire, mais avec tout ce qui nous est arrivé, je l'ai remis à plus tard. Je ne veux plus perdre de temps, je ne veux plus être éloigné de toi ne serait-ce qu'une seule seconde. Ma chérie, chaque jour à tes côtés est pour moi un bonheur de tous les instants. Dès que je t'ai rencontré, j'ai su immédiatement que tu étais fait pour moi, et je suis tombé fou amoureux de la déesse que tu es. Tu as tellement de force, de détermination et de courage, mais aussi tu es prévenante, attentionnée, et prête à tout pour les personnes que tu aimes. Je me sens si bien près de toi. Aujourd'hui, c'est avec la plus grande joie que je te fais une demande, une seule. (se met à genoux) Mademoiselle Cassandra Davenport, mon ange, mon âme soeur, veux-tu devenir ma femme ?

     

        (complètement surprise et sur un nuage) : Oh chéri, oui je veux, oui, je veux devenir ta femme. Embrasse-moi là, de suite. » 

       

    Matthew Carter venait vers sa belle l'embrassant tendrement, passionnément et laissant transparaître tout l'amour qu'il ressentait à son égard. Cassandra prolongeait ce baiser lui montrant à quel point elle l'aimait et qu'elle ne pouvait pas vivre sans lui. Ils ne pouvaient se défaire l'un de l'autre qu'ils s'allongeaient l'un tout contre l'autre sur le lit, s'enlaçant et ne pouvant s'empêcher de donner des attentions des plus tendres et coquines. Matthew Carter regardait sa belle avec amour, voyant comment elle se sentait. Cassandra se sentait tellement bien qu'elle lui procurait une douceur à son oreille lui murmurant des choses coquines. Il était complètement inspiré qu'il l'embrassait dans le creux de son cou, descendant lentement sur le haut de sa poitrine. Cassandra était si comblée et désirait davantage qu'elle l'emmenait sur sa poitrine, coinçant sa tête afin de ressentir ses douces attentions. Il était plus que fou qu'il la couvrait d'attentions la mordillant légèrement. Elle était aux anges qu'elle basculait sa tête en arrière poussant de légers gémissements. Il continuait sa manoeuvre et elle l'incitait à aller plus bas. Il s'exécutait qu'il lui procurait une douceur incomparable. Elle en profitait ensuite pour le déshabiller, arrachant diaboliquement tous ses vêtements. Elle mordillait son cou en y laissant des traces, le léchant perversement, puis griffant coquinement son torse. Elle en parcourait les traces jusqu'à ce qu'elle désire et là, elle le prenait à pleine main. Elle le malaxait coquinement effectuant des va et viens avec sa main. Il devenait complètement fou d'elle. Il la désirait plus que tout et elle aussi. Elle le prenait en bouche lui procurant une douceur de tous les diables. Elle kidnappait la taille de son bellâtre avec sa jambe afin de le sentir au plus près de son corps. Elle plaçait ses mains sur son dos, le griffant et pinçant perversement ses fesses pour le mettre au supplice qu'il ne pourra plus se contrôler. C'était le cas qu'il allait lui faire l'amour mais elle désirait contrôler les choses. Elle le basculait sur le dos, bougeant telle une diablesse et lui procurant une douceur à son oreille en lui murmurant de la combler comme personne, qu'elle ne rêvait que d'être dans ses bras et qu'elle l'aimait plus que tout au monde. Il n'en pouvait plus qu'ils passaient à l'acte. De son côté, Duncan incrédule était avec les deux femmes Serena et Olivia qui lui avaient bien sauvé la mise. Les filles avaient l'intention de s'élever dans l'échelle sociale et elles n'allaient pas passer par quatre chemins pour arriver à leurs fins. Les filles pour mieux piéger Duncan continuaient de se comporter comme des filles plutôt tactiles, que même n'importe qui autour d'elles se poseraient des questions. Olivia titillait les lèvres de Serena et inversement laissant leurs mains glisser sous leur haut. Duncan était complètement déstabilisé face à ses deux créatures. Il essayait de ne pas penser à ses belles femmes mais en les voyant se procurer de tendres attentions, il ne pouvait s'empêcher de désirer être auprès d'elles. Il se sortait de ses pensées quand ils arrivaient au café. Une serveuse les accueillait et elle reconnaissait le fils Collins. Alors, elle s'occupait immédiatement de lui et de ses invitées les plaçant à une table loin de la foule. D'ailleurs, voyant la fille sexy qu'elle était, Olivia la prenait à part en disant que si elle restait longtemps dans les parages avec eux, elle s'occuperait de son cas lui faisant vivre un véritable enfer. Duncan les sortait de leur discussion pour prendre la commande.

     

    : « Trois cafés s'il vous plait. »

     

    La serveuse partait laissant Ducan la merci de ses belles femmes. D'ailleurs les deux filles avaient bien l'intention de déstabiliser Duncan et ainsi, elles pourront le piéger en lui faisant du chantage demandant de l'argent et un pouvoir dont elles n'avaient pas accès. Elles se montreront à la fois douce, subtile et entreprenante dans leur manoeuvre pour arriver à leur fin. Les filles connaissaient bien les Collins et leur réputation financière dans le royaume. Elles rêvaient de s'élever dans leur vie actuelle. Il se trouvait que les deux jeunes filles travaillaient habituellement dans un endroit où des gens dans la situation de Duncan n'y allaient pas très souvent sauf pour se distraire. Olivia embrassait le cou de Serena, glissant sa main sur son corps pour déstabiliser leur proie qu'elles auront son attention. Serena plongeait son regard dans celui de son chou, laissant son pied effleurer doucement sa jambe et sa joue pour éveiller du désir en lui qu'il pensera irrationnellement. Duncan essayait de résister, mais c'était difficile vu les charmantes demoiselles qui étaient en sa compagnie. Il avait une idée à savoir essayer de les connaître pour mieux se changer les idées. Il se sentait redevable envers elle.

     

              (charmé, se montrant reconnaissant mais tentant de résister à ce sentiment même s'il rougissait un peu) : «Vous m'avez sauvé la mise tout à l'heure, et le fait de vous invitez à prendre un café est tellement insuffisant à mes yeux vu votre action.

     

    (jouant sur l'humilité et celle pensant à lui, en caressant innocemment sa main et l'intérieur avec son pouce pour l'envoûter) : Nous n'avons pas fait grand chose tu sais. L'important c'est que tu ailles bien, et que tu sois en pleine forme. On aurait été tristes sinon.

     

    (le flattant et se montrant entreprenante en jouant celle s'intérressant à lui pour le dérouter et le charmer) : Nous sommes chanceuses de passer du temps en compagnie d'un homme si charmant, prévenant et avec un regard si angélique. Les filles doivent craquer pour toi à tous les coups, non ?

     

    (gêné et se confiant) : Oh je ne sais pas quoi dire. Mais les filles restent loin de moi, alors que je n'ai rien fait pourtant.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler, se montrant prévenante, rassurante et entreprenante en effleurant son bras jusqu'à son épaule pour l'apaiser) : Tu n'es pas tombé sur des filles bien bel ange. Tu trouveras celle qui te convient le mieux, celle qui saura répondre à toutes tes attentes, même celles que tu n'oseras dire tout haut.

     

    (rougissant) : Vous cherchez à me faire rougir car là, c'est réussi.

     

    (lui faisant un clin d'oeil coquin, laissant son pied atteindre le long de sa jambe pour éveiller un désir en lui qu'il la réclamera) : Tu mérites d'entendre tous ses mots et bien plus encore beau brun.

     

    (complètement charmé) : Venant d'une si belle créature, je suis plus que touché.

     

    (jouant la touchée et la perverse en effleurant coquinement sa joue, donnant un baiser subtil dessus, arrivant à ses lèvres avec son index puis titillant son nez pour le troubler n'aimant pas au fond être la cinquième roue du carrosse et désirait avoir autant d'attentions que sa comparse) : Tu es un tel gentleman mon chou. Jamais je n'ai reçu de tel compliments auparavant.

     

    (gêné) : Oh, mais c'est si gentil, et je ne comprends pas comment une si belle femme ne puisse entendre de beaux compliments. Je tiens à rendre justice et j'en donnerai autant que possible rien que pour voir un si beau sourire.

     

    (jouant la reconnaissante, la perverse et celle se préoccupant de lui en laissant sa main aller malicieusement près de la poitrine de sa partenaire pour le désorienter) : Oh c'est gentil mais le plus important, c'est voir un sourire sur ton visage mon chou.

      

    (jouant la touchée, le flattant et effleurant doucement son menton puis son cou et le haut de son torse pour l'attendrir) : Venant d'un homme si attentionné c'est un tel bonheur. »       

     

    La serveuse revenait avec la commande. Immédiatement, elle croisait le regard d'Olivia, un bien glacial et qui en disait long sur le fait qu'elle n'aimait pas être dérangée. La serveuse donnait rapidement les cafés puis s'en allait. Duncan allait parler se demandant bien comment la serveuse pouvait être mal à l'aise mais Serena prenait les devants en plaçant son index sur les lèvres de sa proie pour mieux le désorienter.

     

    (se montrant prévenante pour mieux le désarçonner) : « Ne t'inquiète pas, la seule chose qui importe c'est que tu sois bien, et j'espère que tu l'es avec nous.

     

    (curieux et essayant de résister) : Je le suis avec toi... euh, vous deux. Mais dites-moi, depuis combien de temps vous vous connaissez ?

     

    (répondant évasivement et en étant coquine alors que son pied atteignait ce qu'elle désirait pour le torturer) : Cela fait un baille que nous nous connaissons. En quelque sorte, nous avons toujours vécu ensemble, mais le plus important c'est la personne qui se trouve devant nous, plutôt canon et avec un visage à croquer. Tu sais que tes lèvres sont une véritable tentation que je rêve de t'embrasser.

     

    (embarrassé) : Oh.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en jouant sur la jalousie) : Hey Olivia, ne te gêne pas surtout.

     

    (gêné) : C'est que je ne désire pas être l'objet d'une dispute entre vous deux, sublimes créatures que vous êtes.

     

    (voyant que ça marchait, allait faire une proposition en étant rassurante, charmante et entreprenante pour l'amadouer qu'il ne pourra pas refuser) : Jamais tu ne seras l'objet d'une dispute entre nous deux, crois-moi. D'ailleurs, on dit souvent que quand il y a de la place pour deux, il y a de la place pour trois, non ?

     

    (effleurant les lèvres avec son index puis donnant un baiser subtil dessus pour mieux le tenter) : Viens avec nous, tu ne vas pas le regretter.

     

    (hésitant et charmé) : Je ne désire pas déranger. Ce baiser c'est un rêve.

     

    (se montrant conciliante et le valorisant pour l'amadouer) : Ne t'inquiète pas, jamais cela ne se produira. Au contraire, on désire un bel ange près de nous. Et je t'en donnerai autant que tu le désires. T'embrasser est tellement enivrant. Je suis charmée par ton si beau visage, par la personne que tu es.

     

    (n'aimant pas perdre de l'attention qu'elle jouait la tentatrice pour mieux apâter sa proie en descendant sa main légèrement sous le haut de ce bellâtre effectuant comme des dessins sur sa peau) : Tu auras aussi de mes baisers mon chou. 

     

    (souriant et complètement charmé qu'il en venait à penser irrationnellement) : Vous êtes si magnifique toutes les deux. Je désire tellement profiter d'être auprès de vous deux le plus longtemps possible.

     

    (voyant l'occasion de le manipuler en passant par le chemin du secret) : On peut se voir tu sais, mais à condition que ce soit notre secret.

     

    (complétant la manipulation en étant charmante et se mordillant subtilement la lèvre pour faire sa proposition) : Et si on sortait pour se voir en toute tranquillité loin de la foule ? »

     

    Pour le convaincre de répondre favorablement à leurs demandes, les filles titillaient leurs lèvres respectives, s'embrassant avec une fougue démesurée. Duncan était complètement sous le charme de ses diablesses et cela se voyait à son regard. Les filles en ayant terminé, le regardaient en mêlant douceur et perversité en guise d'invitation. La raison n'était plus de mise pour lui.

     

    (souriant) : Ce sera notre petit secret alors et on peut partir de suite, qu'en dites-vous les filles ?

     

    (souriant légèrement satisfaite et l'embrassant perversement sur la joue et le coin de ses lèvres pour l'apâter) : Je suis totalement d'accord.

     

    (souriant tout en laissant sa man coquine se faufiler sur son torse) : Je suis ravie de te suivre. 

     

    (ravi) : Alors partons d'ici, mais en ayant pris notre café au préalable. »

     

    Les filles avaient réussi leur manœuvre que leur proie était carrément sous leur charme. Elles devaient élever leur manœuvre dès qu'elles se retrouveront seules avec lui pour obtenir ce qu'elles désiraient. Cependant, au fond, on pouvait sentir qu'il y avait une légère compétition. Allaient-elles dépasser cela pour leur objectif ou bien tout le contraire ? Duncan et les filles buvaient rapidement leur café. Celui-ci payait l'addition en laissant quand même un joli pourboire. Il partait incrédule avec les filles en direction d'un endroit bien plus discret. Il ignorait totalement qu'il était tombé dans un piège inextricable. Au même instant, Alyson quittait Megan et pensait à comment se venger de cet homme avec qui elle avait prévu de donner du pouvoir. Maintenant, ce qu'elle désirait, c'était de le mettre plus bas que terre et avec Megan, c'était simplement une étape. Elle avait prévu bien plus, mais elle n'allait pas tout dévoiler sinon, elle sera obligé de tuer toutes les personnes qui se trouveront sur son chemin. Elle se trouvait seule, alors elle en profitait pour passer un coup de fil mais elle était stoppée quand James et Ryan revenaient. Immédiatement, ses projets changeaient. Elle raccrochait immédiatement, s'approchant de ses messieurs. James en voyant Alyson était au fond plutôt tendu, et surtout énervé de la voir. Par le passé, ses deux-là étaient amants, et elle l'avait manipulé, essayant même de l'empêcher de se marier avec Rebecca afin de profiter du pouvoir mais celui-ci avait préféré l'amour. Aujourd'hui, elle comptait pour le plaisir lui faire tourner la tête et le narguait. Comment dire, il ne fallait jamais tenter de la chercher. James sortait de ses pensées quand Ryan posait la main sur son épaule. Le deuxième des Spencer était reconnaissant envers le plus jeune des Fitzpatrick de l'avoir aidé qu'il fera tout pour le remercier. James le savait cordialement, et il allait se servir de cela. D'ailleurs, cela allait commencer dès maintenant. Il désirait en terminer avec Alyson, et en cela, Ryan ne devait pas voir cela.

     

    (se montrant calme) : « Ryan, est-ce que tu peux nous laisser seuls ? Je désire interroger Alyson au sujet de l'enlèvement de Brooklyn.

     

    (curieux) : Et pour la....... enfin ce qui est arrivé tout à l'heure ?

     

    (calme et en profitant pour le manipuler) : Je te promets que l'on s'y remettra mais avant tout, je sais que tu veux retrouver ta belle alors laisse-moi faire et je la ramènerai.

     

    (compréhensif et résigné) : Je comprends, mais préviens-moi s'il y a des résultats.

     

    (calme) : D'accord. »

     

    Ryan s'absentait laissant James et Alyson tout seul. James s'approchait de la belle mais celle-ci bien remontée lui flanquait une violente gifle. Elle avait une idée en tête, sachant trop le fait que cet homme lui avait échappé à l'époque au profit de cette Rebecca. Elle comptait faire tourner en bourrique cet homme le menaçant avec ce qu'il craignait le plus à savoir que sa liaison ne soit dévoilée au grand jour et même lui faisant croire qu'il pouvait rectifier le tir sur ses actions avant de le laisser en plan. Ainsi, elle le verra désespéré qu'elle sera satisfaite. Elle sera ainsi vengée.

     

    (surpris) : « Aie, mais t'es malade ?

     

     

    (énervée) : J'essaye de te faire venir, afin de pouvoir virer ce Matthew Carter, mais toi, tu fais les choses autrement, selon ton bon-vouloir. Tu commences à faire chier sérieux !

     

    (la recadrant) : Tu n'as plus autant la même influence qu'autrefois.

     

    (jouant l'innocente et le titillant en glissant sa main sur son torse lentement pour voir si ce qu'il disait était vrai) : Ah bon ? Tu es sûr de toi ?

     

    (se sentant défaillir mais résistait à temps en prenant les mains de la belle et en se montrant menaçant) : Mieux vaut pour toi très chère de ne pas me faire chier, tu as compris ?

     

    (lui tenant tête) : Tu es sûr de vouloir faire cela avec moi ? Tu es sûr de vouloir me défier ? Je t'ai amené sur un plateau d'argent tout ce dont tu as toujours rêvé loin même de ton enfoiré de frangin, mais tu t'es marié à Rebecca juste après notre moment torride. Qu'est-ce que ta chère Rebecca va dire après ma révélation sur ce qui est arrivé entre nous hein ?

     

    (craintif) : Tu ne vas pas oser faire ça ? Tu ne vas pas détruire mon bonheur et mon mariage hein ?

     

    (menaçante) : Si tu ne fais pas ce que je dis, je le fais, je la trouve et je détruis tout sur ton passage.

     

    (curieux) : Qui me dit qu'en écoutant tes recommandations, tu vas protéger mon mariage en ne disant rien du tout ?

     

    (le laissant en détresse) : Rien ne te le dit. Tu n'as qu'à réfléchir en ton âme et conscience très cher.

     

    (perdu) : Qu'est-ce que j'ai bien pu te trouver à l'époque ?

     

    (souriant diaboliquement) : Oh la possibilité du pouvoir, ce que l'on souhaitait, mais tu as pris une autre voix, alors tant pis pour toi.

     

    (désespéré) : Je ferai tout ce que tu me demandes de faire, mais je t'en prie, laisse-la en dehors de tout.

     

    (curieuse) : Tu seras bien obéissant ?

     

    (désespéré) : Oui, même à reprendre nos ébats.

     

    (voyant l'occasion de le mettre plus bas que terre en approchant doucement ses lèvres des siennes) : Jamais cela n'arrivera car tu vois, j'ai trouvé bien mieux. Maintenant, tu vas t'en mordre les doigts car ta femme sera au courant pour nous à l'époque. Cela t'apprendra à vouloir me défier. On ne défie pas Alyson Blake, tu le sais ça ? Maintenant, tu peux pleurer. 

     

    (effrayé) : Bien mieux ? Tu parles d'Andrew ?

     

    (rigolant) : Ah, ah, ah, je te laisse deviner. »

     

    Et là, Alyson le laissait en plan. James ne savait plus quoi faire. Il tentait de la rattraper, de la retenir, mais le temps qu'il réfléchisse, elle était partie. Où est-ce qu'elle se rendait plus exactement ? Là, c'était le mystère le plus complet. James devait se rabattre sur autre chose, et c'était d'ailleurs, ce passage secret qui l'intéressait au plus haut point et l'histoire entre la famille royale et la relation du père décédé des trois Spencer avec la famille Collins. Dès lors, il retournait vers le passage téléphonant au préalable.

     

    (déterminé) : « C'est moi, je suis seul et je retourne au passage. J'essaye de voir si je peux trouver autre chose sur les Collins. Il faut prendre l'un des Collins en otage et le plus rapidement possible. Oh, j'ai aussi un soucis, Alyson devient un problème, il faut y remédier rapidement. »

     

    James partait vers le passage. Qu'est-ce qu'il allait trouver à l'intérieur ? De son côté, le dernier des Spencer, Matthew était parti dans sa chambre. Il se calmait tranquillement après son altercation avec Andrew quand Ethan venait le trouver, sautant sur le lit Dès lors, Matthew souriait en le voyant. Voir son fils, être auprès de sa dulcinée après toutes ses années d'absence, étaient une bénédiction. Il pensait que jamais il ne pouvait se relever après la mort de sa défunte épouse qui avait été prise entre deux feux de familles mafieuses mais il avait retrouvé son grand amour. Ce qu'il ressentait à cet instant était au-delà des mots, mais avoir revu Rebecca, son ex belle-soeur était un rappel à son passé. Il ignorait s'il devait en parler à sa belle mais quand il regardait son fiston jouer, tous ses soucis s'envolaient en un clin d'oeil. Il pensait éventuellement à parler à Rebecca et plus longuement plus tard. Ethan s'amusait à être Captain America faisant comme s'il sauvait des personnes en détresse. Matthew l'admirait. Il n'y avait aucun doute sur le fait qu'Ethan lui ressemblait quand il était petit. Un souvenir lui revenait en mémoire. C'était à l'époque même où il avait 9 ans et que son père était pour une fois présent à ses côtés. Il s'amusait à être un héros, une personne qui pouvait aider les personnes dans le besoin. Là, son père avait un air dont il se souvenait toujours. Il avait l'air songeur, comme s'il avait commis une faute ou qu'il devait supporter celle d'un autre mais à l'époque Matthew n'avait pas posé de questions. Pourquoi ce souvenir revenait-il en mémoire ? Là, c'était la question, mais c'était sûrement car voir Ethan suivre ses traces le plongeait dans ses souvenirs. Son fils venait directement vers lui, sautant au plus près et Matthew l'attrapait, lui faisant des chatouilles. Son rire rendait heureux le plus jeune des Spencer.

     

    (heureux et rigolant) : « Hein, tu avoues vaincu, espèce de chenapan que tu es. »

     

    Ethan rigolait et faisait un câlin à son Papa. Entre le père et le fils, c'était le rêve absolu, et Matthew ne rêvait que d'une chose : que le test de paternité puisse révéler officiellement qu'il était le père de ce petit garçon craquant. C'était à cet instant que sa belle Melody rentrait, visiblement bien énervée. Matthew faisait signe à son fiston de s'éloigner un peu le temps qu'il discute avec sa Maman. Ethan s'exécutait et laissait ses parents tranquille. Matthew invitait Melody à venir sur le lit. Elle s'exécutait, désirant simplement se retrouver dans les bras de son homme. Elle s'y engouffrait laissant Matthew l'embrasser dans le creux de son cou puis tendrement sur ses lèvres. Cette sensation était si belle qu'elle prolongeait laissant parler tout l'amour qu'elle ressentait à son égard. Matthew était curieux et désirait son bonheur. Melody n'allait pas lui cacher quoi que ce soit, mais elle craignait par contre les conséquences de cette révélation sur l'attitude de son homme. Il était vrai qu'Andrew avait tenté de l'amadouer mais elle ne s'était pas laissé faire loin de là. Elle détestait l'ainé des Spencer mais après la conversation qu'elle avait eu avec lui, elle rêvait secrètement qu'il crève. Matthew décidait finalement de lancer la conversation afin de comprendre ce qui arrivait.

     

    (curieux) : « Qu'est-ce qu'il y a ma chérie pour que tu sois si énervée ?

     

    (énervée) : Il me fait chier, je te jure !

     

    (curieux) : Qui mon amour ? Qui ose te mettre dans une telle colère ? C'est que si tu ne me dis rien, je ne pourrai pas t'aider, et tu le sais.

     

    (souriant légèrement) : Tu as raison mon ange.

     

    (curieux) : Raconte-moi tout ma chérie.

     

    (inquiète) : Chéri, j'espère que tu es bien assis, car ce que je vais révéler, c'est gros.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas ma chérie, je serai là pour toi, et tu le sais. Tu es tout ce qui compte à mes yeux, et je te protègerai comme personne.

     

    (prenant une grande respiration) : Voilà, Andrew a essayé de m'amadouer de nouveau, se basant sur le passé.

    (en colère) : J'y crois pas, à croire qu'il aligne que les conneries, je vais le tuer ce connard, je vais lui montrer qu'il ne faut pas te toucher, mais qu'est-ce qu'il a à vouloir détruire tout ce qui compte dans ma vie, il me fait chier ce connard !

     

     (essayant de le calmer) : On n'en a rien à foutre de lui. Restons-là tous les deux.

     

    (furieux) : Mon amour, je t'aime, je suis fou de toi, et tu es celle qui compte le plus dans ma vie ainsi que notre fils bien-aimé. Je veux le mieux pour nous, alors je donnerai une leçon à ce connard. Je ne veux pas te perdre à nouveau. Cela a été si dur de vivre sans toi. Jamais je ne t'ai réellement oublié et je compte bien lui donner une bonne leçon.

     

    (touchée, inquiète et pensant à son bien-être) : Oh mon trésor, jamais je n'ai pu réellement. Tu es mon âme sœur, tu es la personne qui me complète et vivre auprès de toi est un cadeau du ciel. Seulement je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. J'ai peur pour toi.

     

    (se calmant légèrement pour la rassurer) : Ma chérie, ne t'inquiète pas. Il ne me fera aucun mal. C'est lui qui se plaindra de bobos. Et je te reviendrai entier, désirant m'occuper de ton corps de déesse.

     

    (essayant de le retenir) : Si je te demandais de rester, tu resterais avec moi ?

     

    (déterminé) : Tu connais la réponse.

     

    (pensant à lui) : Sois prudent je t'en prie.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, je reviendrai si vite que tu n'auras pas le temps de dire ouf. »

     

    Matthew embrassait avec tendresse et passion sa belle, partant à la recherche d'Andrew. L'explication risque d'être explosive. Pendant ce temps, Michael était plus que déstabilisé par la belle Melinda qui avait réussi à s'immiscer au sein de sa famille. Il avait jusqu'à présent essayé de cacher cette relation mais là, il était décidé à tout révéler au grand jour quitte à s'engueuler avec son frère James. Seulement, il pensait à ce qu'il devait faire, et là, il fallait que Melinda parte le plus vite possible.

     

    (souriant) : « Tu sais que j'aimerai rester avec toi, profiter de chaque instant, mais je dois tout gérer.

     

    (essayant de le dissuader) : Laisse tout ce petit monde se démerder. Je sais que tu désires tout mais là, tu dois penser à toi, à nous deux. Tu sais que je n'aime pas passer au second plan.

     

    (se montrant prévenant et se confiant) : Je sais que je peux paraître rustre, peut-être même colérique et têtu, mais si je fais ça, c'est pour nous. Tout ce temps où je suis seul, je n'arrête pas de penser à toi, de penser à une belle vie de famille, tranquille et normal mais tu sais qui je suis, tu sais ce que je fais. Les commerces illégaux etc... tout ce qui fait ma réputation s'envoleraient en un éclair si je n'étais pas aux commandes.

     

    (compréhensive) : Je sais, et je suis consciente de toutes les conséquences. Mais je suis prête à tout pour toi.

     

    (donnant ses consignes) : Alors, tu dois faire ce que je t'ai dit. Bientôt on aura ce que l'on veut. 

     

    (calme) : Bien sûr. Et je m'y exécute. »

     

    Michael était donc quelqu'un qui se trouvait en haute place dans l'illégalité. Etait-il responsable de ce qui arrivait dans le royaume en ce moment ? Melinda l'embrassait avec une fougue et une passion des plus démesurées et il prolongeait jusqu'à ce qu'un coup de téléphone arrêtait leur moment tendre. Michael répondait sans plus attendre.

     

    (plutôt furieux) : « Quoi ? Non, mais hors de question. Tout cela sera fait à temps et dans les règles. Aucune personne ne viendra se mettre en travers de notre chemin. Je viens de ce pas. »

     

    Il raccrochait. Melinda savait qu'elle ne pourra pas le retenir plus longtemps, alors elle jouait la coquine laissant sa main caresser son torse puis prenant à pleine main ce qu'elle désirait pour le faire frémir. Il était sous le charme qu'elle lui faisait un clin d'oeil et le laissait en plan. Il était plus que frustré qu'il partait énervé, allant régler de suite les affaires courantes. De son côté, Duncan arrivait à un endroit plus tranquille avec les deux filles et il se trouvait qu'il les avait emmenées dans sa propre demeure. Les filles en voyant cette demeure étaient plus que satisfaites voyant enfin leurs rêves devenir réalité. Il était des plus gentleman qu'il ouvrait la porte les laissant entrer. A cet instant, les filles savaient que pour obtenir ce qu'elles désiraient à savoir argent et pouvoir, il fallait se montrer coquine, prévenante mais aussi entreprenante. Elles allaient s'y mettre quand soudain le téléphone sonna. Les filles n'aimaient pas être dérangées qu'elles allaient raccrocher le téléphone discrètement pour que Duncan n'entende rien, mais ce n'était pas le cas et il répondait.

     

    : « Ici, Duncan Collins.

     

    (parlant d'une voix douce et suave pour avoir l'attention de son interlocuteur) : Bonjour Duncan, c'est Mademoiselle Sullivan. Si je vous appelle, c'est que j'ai un soucis et que j'aurai besoin de votre aide bien avisé.

     

    (curieux et surpris) : Moi ? Je ne suis que stagiaire pour mes études mademoiselle.

     

    (le rassurant pour mieux l'attendrir) : Oh, mais même si vous n'êtes que stagiaire, vous m'êtes d'une aide très précieuse.

     

    (gêné) : Oh, je ne sais pas quoi dire, c'est gentil à vous.

     

    (profitant de sa timidité en faisant une proposition et se montrant charmante pour le déstabiliser) : Vous savez vous pouvez me tutoyer et m'appelez Stacy, cela ne me dérange en aucune façon.

     

    (troublé et charmé mais tentant quand même de résister surtout que devant lui, il avait deux belles créatures qui semblaient s'amuser en se caressant mutuellement) : Oh, c'est gentil, alors vous euh, tu.... as besoin de quoi exactement ?

     

    (le manipulant en inventant une excuse pour l'amener jusqu'à elle) : C'est que j'aurai besoin de quelqu'un pour préparer un grand rendez-vous pour le budget qui sera alloué pour la prochaine année pour le royaume et j'aimerai que tu assistes aux préparatifs, aux réflexions, afin que tu vois clairement comment le tout fonctionne. Cela te sera bénéfique pour ton stage et le mémoire que tu devras rendra par la suite.

     

    (touché) : Alors là, je me sens privilégié. Comment puis-je te remercier ?

     

    (parlant d'une voix suave et sexy et le flattant pour l'attirer vers elle) : Dans une heure, si tu peux me rejoindre, tu seras un ange.

     

    (heureux) : D'accord, alors à dans une heure.

     

    (satisfaite) : A dans une heure mon chou, arrive vite. »

     

    Duncan raccrochait visiblement heureux de l'opportunité qu'il lui était offerte sans savoir ce qu'il l'attendait réellement. En effet, Stacy Elizabeth Callahan était une femme qui savait ce qu'elle désirait, et rien ne l'arrêtait. Elle était au sein du royaume chargée de la finance et de la gestion, et elle rêvait de bien davantage. Elle avait d'ailleurs une attention très particulière pour Duncan qu'elle aimait prendre sous son aile mais quelles étaient ses réelles intentions ça, c'était un grand mystère. Alors que Duncan était dans ses pensées, Olivia et Serena allaient l'en faire sortir. Un coup de téléphone n'allait pas les mettre sur la touche, loin de là. Elles comptaient le séduire qu'il ne pensera qu'à elles et ainsi, elles goûteront aux joies du luxe et du pouvoir. Dès lors, elles se rapprochaient de lui en roulant des hanches pour mieux capter son attention qu'il sera troublé. Serena approchait la main de la joue de sa cible, l'effleurant avec douceur et perversité puis sur son cou et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler. Olivia elle venait dos à lui, l'embrassant dans le creux de son cou, effleurant ses cheveux et son dos pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister. Duncan essayait de résister, voyant qu'il devait partir, et tentait de s'éloigner mais Serena posait son index sur ses lèvres pour le retenir.

     

    (montrant qu'elle menait le jeu en étant coquine, en effleurant son torse, plaçant ses doigts sous son haut le relevant lentement et titillant ses lèvres pour l'apâter) : "Chut, pourquoi partir alors que tu es si bien avec nous ?

     

          (faisant une moue, embrassant avec passion sa partenaire puis pinçant les fesses de sa cible et embrassant le bas de son dos le mordillant malicieusement pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister) : On souhaite tant t'avoir à nos côtés. Et puis que l'on s'amuse seules, ce n'est pas marrant mon chou alors rejoins-nous.

     

     

    (complètement déstabilisé par les deux diablesses mais tentant de résister) : C'est que je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps avec vous deux.

     

    (lui mordillant le lobe de l'oreille en lui procurant une douceur incomparable et enlevant son haut, griffant son torse et appliquant sa langue par endroit pour le torturer) : On aura tout le temps qu'il faut à nous trois, et crois-moi, tu vas vivre avec nous un instant magique.     

     

    (plus que troublé) : Vous êtes de véritables déesses.

     

    (le flattant pour mieux le séduire) : Et toi un si beau gosse, un ange comme on n'en fait plus.

     

    (remontant coquinement ses baisers du bas de son dos jusqu'à son cou pour le chauffer) : Tu es si désirable, on te veut.

     

    (ressentant une envie, un désir des plus intenses) : Oh, je vous désire tellement. »

     

    Serena s'occupait du bas de sa cible retirant son pantalon et plaçant sa main à l'intérieur de son boxer pour le faire bouillir de désir tout en l'embrassant vigoureusement, laissant sa langue titiller la sienne dans une danse des plus endiablées. Complètement séduit, Duncan prolongeait le baiser de Serena avec une fougue et une passion démesurée. La belle guidait son chou dans le creux de son cou, baissant légèrement son haut afin que ses formes généreuses soient mises en valeur pour mieux le tenter. Duncan l'embrassait dessus, descendant légèrement sur sa poitrine. Ses attentions étaient si enivrantes que la belle coinçait la tête de celui-ci dessus pour mieux ressentir ses douceurs. Olivia venait vers lui accompagnant ainsi Serena, et là, elle embrassait sauvagement sa proie puis vers sa partenaire. Les trois échangeaient des baisers plus qu'endiablés. Olivia descendait ses baisers le long de son torse, plaçant ses mains le long de son dos le griffant coquinement et allant à ce qu'elle désire en procurant une douceur plus qu'incomparable. Duncan en devenait des plus fous qu'il poussait un gémissement de plaisir. Serena allait le rendre carrément dépendant d'elles en mordillant le torse par endroit puis l'entraînant tout contre elle. Il se laissait totalement guider par cette diablesse. Il ignorait totalement qu'il tombait dans un piège bien ficelé. Là, Duncan, guidée par la belle, donnait des attentions sur tout le corps de celle-ci, l'embrassant avec une fougue des plus démesurées. Olivia elle, s'empressait d'embrasser le creux de son cou, guidant par la même occasion la main de celui-ci vers le corps de la belle, dévoilant ainsi ses formes généreuses en retour. Là, Duncan donnait des attentions les plus enivrantes sur la poitrine de celle-ci, que la diablesse coinçait sa tête dessus. Là, les deux partenaires en profitaient pour s'embrasser sauvagement, laissant Duncan regarder avec admiration, puis guidant ses mains sur leur intimité. Il était devenu carrément incontrôlable qu'il s'occupait d'abord de la belle Serena. Celle-ci kidnappait sa taille avec sa jambe qu'il en était prisonnier. Elle bougeait telle une diablesse afin de l'inciter à passer à l'acte alors qu'elle griffait son torse coquinement, laissant sa langue parcourir chaque parcelle de sa peau. Olivia elle s'occupait d'abord du dos de celui-ci, le griffant aussi coquinement et léchant chaque parcelle jusqu'à atteindre ses fesses et elle procurait une belle douceur. Ensuite elle revenait à Serena se mettant sur le côté, et l'embrassait coquinement, allant sur sa poitrine afin de procurer une douceur. Duncan était carrément aux anges, désirant passer à l'acte mais Serena aimant trop le contrôle le passait sur le dos, s'empalant diaboliquement sur ce qu'elle désirait. Là, ils passaient à l'acte dans un moment des plus charnels et torrides, où chacune des deux jeunes femmes connaissait un moment inoubliable aux cotés de leur chou. Pour Duncan, s'il fallait choisir entre les deux jeunes femmes, cela serait bien impossible. Pendant ce temps, Matthew complètement enragé par Andrew partait à sa recherche, allant dans sa chambre rien que pour lui mettre une bonne correction. Il rentrait dans la chambre sans frapper à la porte. A sa grande surprise, celui-ci ne s'y trouvait pas. Pour Matthew, Andrew n'était qu'un lâche qui n'affrontait pas les problèmes et il comptait bien le trouver pour montrer que plus jamais ses actions ne resteront impunies. De son côté, Alyson qui était partie depuis un moment, arrivait devant une belle demeure. Celle-ci se regardait dans son petit miroir de poche pour voir comment elle était. Là, elle descendait de la voiture et soudain, un homme l'arrêtait en chemin, en lui prenant le bras. Celle-ci le jetait violemment, ne voulant pas entendre parler de lui. Il se trouvait que c'était Andrew qui en secret était sorti de la demeure Spencer. Il savait que celle qu'il aimait par-dessus tout, allait souvent ici pour voir quelqu'un en particulier, et ça l'énervait au plus haut point. Pour lui, elle passait trop de temps ici et il savait la trouver en cas de besoin. Sachant qu'il l'avait trompée, il voulait s'expliquer et se racheter, mais c'était sans compter sur Alyson qui elle ne voulait plus entendre parler du connard qui était sous ses yeux.

     

    (folle de rage) : « Dégage connard, je ne veux plus te voir, tu as compris ? Fais pas chier !

     

    (complètement désespéré) : Chéri, vraiment pardonne-moi.

     

    (furieuse) : Attends que je me marre parce que là niveau connerie tu atteins le record du monde. Mais franchement, tu es minable là, laisse-moi ! Lâche-moi la grappe sinon j'appelle les flics, t'as compris ou il faut que je te fasse un dessin ?

     

    (perdu) : Mais je ne peux être heureux sans toi.

     

    (lui flanquant une gifle définitivement folle de rage) : Non, mais va chier, casse-toi !!!!!!

     

    (curieux) : Tu préfères voir mon cousin au lieu de moi, mais qu'est-ce qu'il a de plus que moi ?

     

    (voyant l'occasion de l'humilier et criant) : C'est un mec au moins lui ! »

     

    Duncan avait entendu un cri à l'extérieur et il avait reconnu que c'était Alyson. Il se sentait bien gêné et coupable qu'il faisait signe aux filles de partir le plus vite possible et sans discuter, elles s'exécutaient, satisfaites de leur manœuvre. Duncan s'habillait et sortait afin de voir ce qui se passait. Il voyait Alyson avec Andrew. Elle était carrément énervée et désespérée qu'en voyant Duncan, elle allait tout près de lui, se blottissant à ses côtés.

     

    (défendant la belle Alyson) : «Andrew, tu la laisses oui ! Je ne sais pas ce que tu lui as fait, mais tu la laisses.

     

    (énervé) : Non, mais de quoi tu te mêles, c'est des conversations de grande personne ?

     

    (se montrant en véritable chevalier servant) : Je fais ce que je veux. Tu es dans ma propriété et même si tu es mon cousin, je te ferai corriger comme personne, t'as saisi ?

     

    (le provoquant) : Toi ? Qui n'a même pas de muscle, tu penses me faire la morale ? Mais je me marre.

     

    (énervé) : Le gamin t'emmerde. Il pourrait même te faire arrêter pour invasion de domicile. A ce que je sache, je ne t'ai jamais invité. Ta présence en ces murs est donc superflue. Dégage connard avant que je ne me décide à te faire arrêter. »

     

    Seulement Andrew énervé, frappait son cousin. En effet, la famille Spencer avait une autre lignée directement liée à elle : les Collins, et Duncan était de la dernière génération, le cousin direct d'Andrew, de Ryan et de Matthew. Duncan se retrouvait à terre et Alyson allait vers lui, regardant s'il allait bien. Elle voyait sa lèvre fendue. Là, Alyson le regardait avec tendresse et perversité touchant légèrement sa lèvre.

     

    (inquiète) : « Oh, je suis tellement désolée mon bel ange.

     

    (désirant la rassurer car il n'aimait pas la voir dans tous ses états, vu que pour lui, elle était la plus belle femme qui soit) : Ne t'en fais pas, je vais bien, mais je m'inquiète surtout pour toi. Il te fait souffrir et ça, je ne le supporte pas.

     

    (effleurant la joue de son chou, souriant légèrement, faisant une moue afin de faire une proposition dont son chou ne pourra pas refuser) : Tu es un tel amour, mon prince. Et je n'aime pas qu'il t'ai fait cela, alors s'il te plait, j'aimerai te voir en sécurité, être protégé de lui, que l'on soit tous les deux protégés de lui.»

     

    Là, la belle voyait l'occasion d'humilier Andrew et comme il faut car en s'occupant de son cousin, avec une telle tendresse, il en deviendra dingue. La preuve, il ne savait plus quoi faire vu comment il faisait les cents pas. Ira-t-elle plus loin ? 

     

     

    Fin du chapitre. 


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  • Episode 10 Faux-semblants
     
    Trouver Michael dans cette demeure avait été un choc pour Lucas, Elizabeth et Brooke. Mais pour ce dernier, c'était également un choc. Il ne pensait pas du tout que quelqu'un viendrait et en particulier les trois. De plus, voir Elizabeth était encore plus éprouvant pour lui. La dernière fois qu'il l'avait vu, c'était en compagnie de son frère et au moment où il était encore lui-même. Les quatre se regardaient dans les yeux. Lucas bien décidé, allait de nouveau poser des questions dans le but de connaître des réponses et le plus vite sera le mieux. 
     
     (insistant) : J'ai posé une question il me semble bien Michael alors il faut me répondre. 
     
     (gêné) : Excusez-moi, votre venue est plutôt un choc à mes yeux. Je suis là, parce que je désire retrouver mon frère et essayer de me réconcilier avec lui. 
     
     (choqué) : Mais vous avez fumé ou quoi ? 
     
     (comptant bien le dérouter) : Pourquoi ? Alors que je souhaite simplement la paix dans ma famille. On ferait n'importe quoi pour les siens, est-ce que vous n'êtes pas d'accord avec cela ? 
     
     (dérouté) : Si, et je vous comprends. Je souhaite me réconcilier avec mon frère de tout mon coeur, mais Claire m'en empêche, et je souhaite en savoir plus sur elle. 
     
     (essayant d'être compréhensif) : Je comprends votre démarche, mais vous savez, certaines enquêtes sont difficiles à mener, et mieux vaut que certaines choses restent sous terre. Le fait que certaines vérités soient mises en lumière ne font que plus de mal. 
     
     (essayant de déstabiliser cet inconnu) : Mais vous savez, la vérité est pourtant la seule chose qui nous tient dans ce monde, faisant que les relations sont honnêtes et dures avec le temps. 
     
     (tenant tête à la jeune femme) : Pour une belle inconnue, voilà que le plus important, ce sont les contes de fées. Cela n'existe plus depuis longtemps, et le commun des mortels ne croit plus en cela. 
     
     (obstinée) : Vous vous trompez lourdement. Vous n'avez pas froid aux yeux pour essayer de me déstabiliser.
     
     (curieux) : Quel est votre nom belle demoiselle ? 
     
     (calme) : Brooke, Brooke Davis et vous ? 
     
     (souriant) : Enchantée Brooke. Je m'appelle Michael Hawkins. 
     
     (curieuse) : Où est votre frangin ? 
     
      (essayant de la dérouter) : Mais vous ne préférez pas être avec moi ? 
     
     (essayant de le faire chanter) : Vous aurez un moment avec moi à condition que vous me révélez la vérité sur ce qui se passe dans cette ville et si votre frère est impliqué, même vous aussi. 
     
     (essayant de remettre les choses en place) : Michael, ravie de te revoir, ça faisait longtemps. 
     
     (troublé et triste) : Je ne suis pas un méchant garçon. En tout cas, ravi de te revoir aussi Elizabeth. Tu es toujours aussi belle, même si le temps a passé depuis le temps. 
     
     (souriant légèrement) : Toujours aussi charmeur à ce que je vois. 
     
      (curieux) : Toi aussi, tu recherches mon frère ? 
     
     (calme) : Je veux pouvoir enfin savoir si ton frère est devenu aussi violent pour commettre de telles atrocités comme des meurtres ou même des kidnapping. 
     
     (tentant de protéger son frère) : Tu connais mon frère Elizabeth. 
     
     (doutant) : Je ne sais plus Michael. Je ne sais plus quoi penser. 
     
     (s'approchant d'elle et caressant sa joue) : Tu sais que tu peux tout me dire. 
     
     (le regardant émue) : Mon meilleur ami m'a manqué. 
     
     (charmé) : Tu étais plus que cela, tu le sais. 
     
     (résistant) : Mais j'ai changé de vie, tu le sais. 
     
     (choquée) : Quoi ? Tu aurais été infidèle ? 
     
     (calme) : On a succombé une fois, mais c'est terminé. 
     
     (un peu effrayé) : Mon frère n'est pas au courant. 
     
     (encore étonné par ses révélations) : Décidément la famille Hawkins, vous êtes étonnant. 
     
      (curieux) : Je suppose qu'avec ce qui a été dit, vous allez me faire chanter ? 
     
     : Cela ne serait pas justifié pour avoir ce que l'on veut ? 
     
      (souriant, bien charmé par cette jeune femme) : Décidément Brooke Davis, vous êtes stupéfiante.
     
     (curieuse et jouant pour mieux obtenir ce qu'elle souhaite) : Ne seriez-vous pas en train d'essayer de me charmer ? Je ne suis pas une de ses poulettes que l'on peut avoir avec de la bonne flatterie. Si vous n'êtes pas créatif, vous n'aurez que vos yeux pour pleurer. 
     
     (calme et allait jouer pour mieux la déstabiliser) : C'est un défi que je relève très chère. 
     
      (continuant de jouer) : Essaye pour voir, mais d'abord, je veux savoir la vérité. 
     
     (murmurant à l'oreille de Brooke) : Mais qu'est-ce que tu fais ? 
     
     (murmurant à l'oreille de Lucas) : On veut des réponses ? Alors laisse-moi faire, tu me connais voyons. 
     
      (murmurant) : D'accord. 
     
     (hésitant) : Je......
     
     (insistant pour mieux le piéger) : Mais alors, vous avez perdu votre langue ? Vous savez que si vous ne dites rien, vous perdrez une occasion ? 
     
     (hésitant) : Je......... ne sais rien. 
     
     (jouant la vexée) : Minable, vraiment un véritable minable. Allez Elizabeth et Lucas, on se casse d'ici. Je ne veux en aucun cas voir des minus qui n'ont que dans la tête que de cacher la vérité. Je déteste ce genre de personnes, ça me fait vomir."
     
    Ils commençaient à partir, mais Michael tellement troublé et déstabilisé prenait le bras d'Elizabeth pour les stopper. Allait-il dire la vérité ? Là, telle était la question. Pendant ce temps, Nathan et Haley étaient encore bien déstabilisés par ce qui venait d'arriver à Claire, récemment kidnappée. Nathan était rassuré par le fait qu'Haley soit là, mais il n'avait qu'une obsession : retrouver Claire à tout prix. Après ce câlin, Nathan marchait dans tous les sens, ce qui déstabilisait bien Haley, l'agaçant quelque peu.
     
      (agacée) : "Non, mais tu peux arrêter de faire les cents pas, il n'y a rien de plus qui m'angoisse. 
     
     (inquiet) : Mais je pense encore à Claire, et je ne peux pas la laisser dans cette situation. Je ne veux pas la perdre. 
     
     (curieuse) : Mais je croyais t'avoir rassuré, te montrant que le tout s'arrangera. 
     
     (calme) : Je sais ma puce, et j'aime ta grande qualité optimiste, mais je sais que les choses ne s'arrangeront jamais. 
     
     (agacée) : Non, mais tu crois quoi ? Que je ne sais pas voir les choses comme elles sont ? Il faut garder espoir. 
     
     (inquiet) : Avec ce qui se passe, mais comment le faire ? 
     
     (furieuse) : Mais merde, pense à moi, ou à notre fils Jaimie. A priori, tu ne penses qu'à ton gros cul. Voilà, j'en ai marre. J'essaye de te rassurer, et toi tu ne montres que ton inquiétude. Il n'y en a que pour toi. Ta femme et ton fils alors ? Ils pensent à toi, au fait que l'on a failli par te perdre. On a peur mais tu ne comprends pas ça bordel ?  Ton devoir de père tu en fais quoi ? Vrament tu me fais chier, je me casse, et n'essaye pas de me voir, tu ne recevras qu'une bonne baffe en retour."
     
    Haley claquait la porte, partant furieue de la demeure des Scott et se rendant à son travail qu'elle avait pris depuis qu'elle avait fini le lycée et qu'elle avait donné naissance à son fils. Allait-elle pouvoir se calmer ? Là, telle était la question. Pendant ce temps, Rachel était toujours aussi énervée, même carrément furieuse. Voir Claire la titillait avait éveillé en elle ce sentiment de lui mettre des bâtons dans les roues rien que pour lui rabattre son caquet et de montrer finalement qui règnait au sein de Tree Hill. Elle s'était assagie pendant un temps auprès de Micro, mais ce qui est arrivé lui a fait prendre conscience qu'elle s'ennuyait profondément. Au moins, avec n'importe lequel des Scott, il y avait de l'aventure. Elle désirait quelque chose de plus excitant et elle était décidée à y arriver. Micro n'était pas loin. Il réfléchissait à ce qu'avait pu lui dire celle qu'il aimait si fort. Il attendait patiemment qu'elle sorte pour qu'enfin ils puissent parler. Finalement, Rachel sortait après être restée de bonnes minutes à la salle de bains. Elle était toujours aussi énervée. Micro n'osait pas s'approcher. C'était Rachel qui faisait le premier pas, étant bien déterminée à sortir de cette situation qui l'ennuyait. 
     
     
     (déterminée) : "Il faut que l'on parle.
     
     (timide) : Je suis d'accord, dis-moi. 
     
     (curieuse) : As-tu réfléchi en rapport avec Claire et à ce qui est arrivé ? 
     
     (calme) : Oui. Et je pense que l'on ne doit pas juger. Il s'agit de la soeur de l'un de mes meilleurs amis. Comment je passerais devant lui ? Comment il réagirait face à cela ? 
     
     (furieuse) : Mais t'es aveugle ou quoi ? On ne sait pas qui elle est et ce qu'elle a fait alors que l'on discutait organisation de mariage, tu y as pensé ? Elle est le mal incarné cette fille. 
     
     (essayant de la calmer) : Je sais, mais sur une simple chose, on ne doit pas établir de conclusions attentives.
     
     (énervée) : Et me faire confiance, tu as oublié ? 
     
     (essayant de la rassurer) : Ma chérie, j'ai une totale et pleine confiance en toi. 
     
     (souriant ironiquement) : Tu me fais confiance et tu oses dire qu'il ne faut pas faire de conclusions, la belle affaire. Tu te fous de ma gueule, c'est pas possible autrement. 
     
     (continuant sa manoeuvre car il voudrait retrouver sa chérie) : Vraiment j'ai confiance.
     
     (déterminée et le défiant) : Alors prouve-le moi. 
     
     (essayant de bien choisir ses mots) : Je dois penser aux personnes qui sont autour de moi, à Nathan et à Lucas.
     
     (folle de rage) : Donc tes amis passent avant moi ? Non, mais c'est le comble de l'horreur. Je compte pas pour toi ? Tu ne tiens pas à moi. Bordel, je me suis bien trompée sur toi. Je te pensais si gentil, prévenant et se souciant des autres, alors que finalement, tu me considères juste comme un chien, une chose que tu peux trimballer partout en te disant : chouette elle est avec moi. Tu vois coco ? Et bien la dame que tu vois, ses courbes, ce visage, et bien tu ne toucheras plus rien du tout. Inutile de me revoir, de m'appeler ou de faire quoi que ce soit sale rat. Dégage de mon chemin, dégage de ma vie à jamais ! Tu n'es qu'un moins que rien à mes yeux. Et mariage ? Ah, finito, nada, niet. Tu peux rêver. 
     
     (triste et surpris) : Mais.....
     
     (déterminée et l'interrompant) : Inutile, je ne changerai pas d'avis. Tchao à jamais."
     
    Rachel partait en trombe laissant un Micro complètement triste. ll n'avait pas trop compris ce qui se passait, mais en même temps, il se rendait compte d'avoir commis une erreur, même l'ultime erreur en faisant passer ses amis avant celle qu'il aimait. Rachel elle, avait obtenu ce qu'elle désirait et elle pourra vivre tout plein d'aventures. D'autant plus, avec cette conversation, elle se rendait compte qu'elle comptait beaucoup moins que les amis de toujours, et ça, ça l'a profondément blessée. Elle croyait avoir obtenu un statut particulier, être au même rang que les autres, mais Micro, lui a prouvé le contraire. Désormais pour elle, toutes les portes lui étaient ouvertes et elle n'hésitera pas une seule seconde à les franchir. Pendant ce temps, Elizabeth, Lucas, et Brooke étaient avec Michael qui finalement s'était laissé prendre au piège. La manoeuvre de Brooke était une réussite qu'il s'en trouvait déstabiliser et obnubiler par la belle si sûre d'elle. Cependant en agissant ainsi, il savait que certains secrets seraient découverts, que malheureusement son grand frère Ethan allait beaucoup lui en vouloir. Entre les deux hommes c'était jusqu'à présent une guerre, mais Michael avait réussi à se rapprocher de lui. Seulement, il savait qu'en discutant avec eux, il risquait de perdre son frère. Il était plutôt songeur, mais le regard qu'il croisait d'Elizabeth si tourmenté le faisait réfléchir. Il était décidé à répondre à leurs questions le mieux possible.
     
     (essayant de rassurer Elizabeth) : "Je suis désolé pour tout ce que tu endures. 
     
     (perdue) : J'ai été perdue depuis bien trop longtemps, entre toi, lui. Et le fait de penser que ton frère a carrément changé, ça me rend malade. 
     
     (curieux) : Tu l'aimes toujours ? 
     
     (calme) : J'en ai terminé avec lui, mais le passé, enfin le début de notre histoire, ça, je ne peux l'oublier. Et tu m'as montré la voie pour que je puisse évoluer, sinon je serais restée cette fille complètement apeurée, et ne prenant aucune décision. 
     
     (souriant légèrement) : Je suis ravi d'avoir pu t'aider. 
     
     (faisant une moue) : Tu le peux encore si tu réponds à nos questions. 
     
     (hésitant) : Je.......
     
     (intervenant afin de mieux piéger Michael) : A croire que vous n'avez pas retenu la leçon. 
     
     (déstabilisé) : Vous êtes plus qu'étonnante Brooke. D'accord, j'accepte. Posez-moi vos questions et j'essayerais de vous répondre. Alors, après j'aurais ce que je désire ? 
     
     (évasive) : Vous verrez bien, d'abord répondez à nos questions. 
     
     (résigné) : J'écoute. 
     
     (se mêlant à la conversation désirant poser la première question) : Pourquoi Ethan est arrivé à Tree Hill ? 
     
     (répondant mais laissant en retrait une partie de la réponse) : Il est venu pour être de nouveau avec Elizabeth. 
     
     (surpris) : Juste ça ? C'est plutôt étonnant. 
     
     (déterminée) : Je lui ai bien montré que c'était fini entre nous.
     
     (intuitive, sentant qu'il ne disait pas tout) : Mais alors, est-ce tout ce qu'il fait ou cet homme aurait des faces cachées ? 
     
     (se confiant) : Vous savez, avec mon frère, c'est plutôt compliqué et même tendu. On s'est disputés à plusieurs occasions. On avait même pris nos distances et je suis revenu pour recoller les morceaux. 
     
     (curieuse) : Qu'est-ce qui s'est passé ? 
     
     (se confiant) : Disons que j'ai mis des bâtons dans les roues d'un point de vue professionnel et ça l'a mis en colère. Il m'en a voulu pour Elizabeth, et j'ai essayé de le sortir de ses addictions. Il a tendance un peu à trop jouer et ça lui a causé de nombreux problèmes. 
     
     (curieuse) : Donc s'il reste à Tree Hill, c'est pour effacer ses dettes ? 
     
     (se confiant) : Je suppose. 
     
     (curieux) : C'est quand même étrange que kidnapping et meurtre rythment nos vies en sa présence. 
     
     (comprenant la manoeuvre qu'il joue les vexés) : Qu'est-ce que vous insinuez ? Que mon frère serait responsable ? Qu'il serait devenu un meurtrier ? Il est peut-être brute, violent je l'accorde mais de là à tuer, ce n'est pas son genre. Je connais mon frère. 
     
     (essayant de calmer le jeu) : Mais je ne l'accuse pas. 
     
     (jouant les personnes énervées) : Vous le faites pourtant."
     
    Michael marchait dans tous les coins, jouant bien la personne enragée. Elizabeth voyait qu'ils perdaient le contrôle face à Michael. Elle s'approchait de lui, posant sa main sur son épaule, mais là, Michael savait qu'ils avaient manoeuvré. Le fait que Lucas ait finalement accusé de manière bien déguisé Ethan de tous les évènements qui arrivaient à Tree Hill avec le kidnapping de sa mère, la mort de Caitlin l'avocate de son foutu paternel, la mort de Peyton, était le déclencheur pour Michael. Pour le trio, connaître davantage Ethan et savoir s'il était responsable de tout ce qui arrivait, partait en fumée. Brooke, sachant qu'elle avait de l'emprise, s'approchait à son tour. Elle sentait qu'il était de nouveau déstabilisé. Son charme faisait de l'effet. Peut-être que le groupe reprendra de nouveau l'avantage, mais là, Michael se montrait plutôt joueur et mystérieux. 
     
     (joueur) : "Brooke Davis, vous voulez jouer avec moi ? 
     
     (tenant tête) : Plutôt, vous, vous voulez jouer avec moi très cher. 
     
     (réaliste) : Partez et ce, le plus vite possible. Cela vaut mieux pour vous. 
     
     (têtue) : Et si on ne veut pas, vous ferez quoi hein ? 
     
     (étant rentré sans que personne ne s'en rende compte et étant furieux) : Lui rien, mais moi si, dehors de chez moi !"
     
    A la surprise générale, Ethan était arrivé, et il était plutôt en colère. Il y avait de quoi en voyant Lucas, la personne qui n'arrêtait pas d'enquêter sur son passé, le fait qu'il voyait justement le groupe avec son frère. Cela en était plus qu'insupportable pour lui. Qu'allait-il faire ? Là, c'était la question. Au même instant, Haley arrivait à son travail. Elle était devenue enseignante pour faire face aux dépenses de la famille et particulièrement de son enfant. Par contre, elle était encore furieuse contre Nathan et plus que ça, elle était enragée. Elle pensait de lui que c'était quelqu'un devenu responsable, qui se préoccupait des siens. Seulement, il était tellement obsédé par cette Claire, cette soi-disant soeur que le reste était invisible. Elle ne pouvait pas commencer à travailler dans ses conditions qu'elle s'arrêtait pour prendre un jus de pomme, une boisson dont elle ne pouvait s'en passer tellement c'était délicieux. Là, elle se trouvait face à un jeune homme plutôt charmant et séduisant qui commandait lui un bon jus d'orange. C'était un de ses élèves. Il s'agissait de Derek Oliver Monroe qui s'avérait être quelqu'un de plutôt brillant et dont elle admirait sa force de travail. En le regardant, elle se sentait attirée par lui. Elle voyait un beau gosse en devenir qu'elle désirait se retrouver près de lui, l'attraper entièrement et sentir ses attentions. Elle aimait d'autant plus quand il se montrait plutôt prévenant, simplement en demandant s'il allait bien. Là, en l'observant, elle le voyait soucieux. Et elle comptait bien en profiter pour se retrouver seule avec lui. Là, elle se montrerait prévenante et charmante pour mieux le charmer et le manipuler qu'elle se retrouvera dans ses bras et ainsi, elle le possèderait. Elle s'approchait de lui, posant sa main sur son épaule pour attirer son attention, et ça fonctionnait. Il se tournait, souriant légèrement. 
     
     (se montrant prévenante pour le toucher) : "Bonjour Derek, c'est un plaisir que de vous revoir mais je vois que vous n'allez pas très bien. Dites-moi ce qui ne va pas et je pourrais peut-être vous aider. 
     
     (gêné) : Bonjour Mme Scott, c'est également un plaisir de vous revoir. Mais je ne voudrais pas vous déranger.
     
     (jouant les rassurantes et les serviables, effleurant innocemment sa joue pour mieux l'attendrir) : Jamais vous ne me dérangerez. Sachez que je serais toujours là pour vous. Dites-moi ce qui ne va pas.
     
     (troublé) : Oh, c'est gentil. Je ne sais pas quoi dire.
     
     (sentant un peu de timidié en lui qu'elle effleurait lentement ses cheveux pour le rassurer) : Soyez tranquille, jamais je ne vous jugerai. Je suis prête à vous écouter.
     
     (souriant légèrement) : C'est que j'ai un souci dans la fiche de lecture de la pièce de WIlliam Shakespeare : Roméo & Juliette. Est-ce que vous pouvez me donner votre avis ? J'espère que je ne vous dérange pas trop en demandant cela.
     
     (se montrant rassurante et le soutenant pour mieux l'amadouer qu'il ne se doutera pas de ses intentions) : Rassurez-vous, vous aidez est ce qu'il y a de mieux.
     
     (séduit) : Vous êtes une prof merveilleuse.
     
     (jouant les touchées et celle qui avait peu d'attentions, le flattant, effleurant délicatement son épaule puis son coup en se mordillant légèrement la lèvre pour faire une proposition qu'il acceptera) : Oh, vous allez me faire rougir. C'est que je suis si touchée alors que l'on m'en dit si peu. Vous êtes si charmant et un tel bel ange que je suis chanceuse de vous avoir dans ma classe. Que diriez-vous que nous allions dans une salle où nous pourrons travailler vous et moi ?
     
     (gêné) : Vous faites tellement de choses pour moi que je ne sais pas si je le mérite. Je ne comprends pas que l'on ne vous dise pas plus de compliments surtout que vous êtes divine. Il n'y a pas de mots pour décrire une femme aussi exceptionnelle et intelligente que vous. C'est que je corrigerai l'injustice qu'il y a à votre encontre en vous disant des compliments.
     
     (jouant la troublée et le rassurant effleurant le lobe de son oreille puis l'arrière de son cou et l'embrassant sur la joue pour le toucher et l'apaiser) : Crois-moi, tu.... vous le méritez amplement. Vous avez un tel avenir que je souhaite vous accompagner dans le déroulement de votre parcours. J'en serais très heureuse si vous m'appelez Haley et que l'on puisse se tutoyer.
     
     (rougissant) : C'est gentil, vraiment. Et bien sûr, je le ferais. Je ne sais pas si je vais arriver à vous tutoyer. 
     
     (curieuse et voyant l'occasion de le manipuler en se mordillant malicieusement la lèvre, effleurant son nez, ses lèvres, son menton et le haut de son torse pour le déstabiliser) : Serait-ce moi qui te fait rougir ainsi ? Chut, n'ai pas peur de me tutoyer, et tu pourras le faire sans crainte quand nous serrons dans cette salle et que nous étudierons Roméo & Juliette.
     
     (séduit et tentant de se reprendre) : J'avoue oui. Mais je n'aimerais pas prendre trop de votre... ton temps.
     
     (étant entreprenante en effleurant le lobe de son oreille se rapprochant doucement de lui que son souffle agissait sur son cou) : Tu ne me déranges et je fais cela avec plaisir. Je vais m'occuper de toi, sois en certain. 
     
     (souriant grandement incapable de résister) : Je pourrais parler d'autre chose aussi ? 
     
     (voyant l'occasion d'attraper son chou en étant douce et conciliante) : Bien sûr, tu peux parler de tout avec moi.
     
      (se sentant déstabilisé) : J'ai une perle rare en face de moi. 
     
     (se permettant un doux baiser sur sa joue ayant grandement effleuré le coin de ses lèvres pour le faire frémir) : C'est que tu mérites tellement d'attentions et je suis prête à te donner tout ce dont tu rêves. 
     
     (charmé) : Je suis en plein rêve. 
     
     (effleurant ses lèvres avec son index pour attiser du désir) : Non, c'est la réalité, et je peux t'offrir bien davantage. Suis-moi bel ange, et je te promets que tu ne le regretteras pas. 
     
     (se laissant influencer) : Je suis. Et ainsi pouvoir te sentir tout près de moi. 
     
     (plaçant les mains de son chou discrètement au niveau de sa taille remontant lentement à sa poitrine, procurant une douceur à son oreille, murmurant de douces paroles en jouant la stratégie du secret pour le tenter) : En voilà un avant-goût. Allons-y beau brun et tu en découvriras davantage. 
     
     (souriant grandement) : Oh oui."
     
     
    Haley ne prononçait pas d'autres mots qu'elle l'emmenait directement dans une salle où elle pourra tranquillement profiter d'être avec lui. Elle comptait user de ses charmes pour arriver à ses fins. Jamais un homme ne lui avait inspiré autant de pensées. Elle se mettait à le désirer et de plus en plus. Elle était capable de tout pour arriver à ses fins, et le sentant influencer, elle se montrera entreprenante pour le faire totalement succomber. Derek avait toujours ressenti une certaine sympathie pour Haley. Cette prof était là dans tous les instants où il en avait besoin et il était heureux de la voir. Il se sentait à l'aise, et il appréhendait ce qui pourrait éventuellement arriver. Il sentait un tel désir en lui qu'il essayait de réprimer mais en face d'une créature divine, il se rendait compte que c'était plus que difficile. Qu'est-ce qui allait arriver entre eux ? Pendant ce temps, dans un endroit tenu secret, on voyait une jeune femme qui criait, et il se trouvait que c'était Claire. Que lui était-il arrivé ? Elle essayait de se détacher de la chaise sur laquelle elle se trouvait. Les liens qui la retenaient étaient assez solides mais elle n'avait pas dit son dernier mot. 
     
     (énervée) : "Tu vas te casser putain de lien de merde !"
     
    Claire n'était pas du genre à abandonner bien au contraire qu'elle continuait sa manoeuvre même si cela prendra longtemps. Pendant ce temps, Nathan était toujours dans la demeure des Scott à ruminer la dispute qu'il avait subi quand il était avec son épouse. Cependant, il avait une idée. Pour lui, tout ceci ne serait pas arrivé si les policiers avaient fait leur travail correctement. Il ouvrait la porte, espérant trouver un policier et ainsi dire ce qu'il pensait. Il avait encore en tête ce qui était arrivé à Claire, la manière dont elle avait été arrachée de manière si brutale. Pour lui, c'était inadmissible et il désirait la sauver. Il ne se rendait pas compte que son obsession pour sa soeur qu'il ne connaissait que depuis peu de temps altérait son jugement. Ainsi, il observait le dehors. C'était calme, tranquille. Soudain, il en voyait un et sortait comme une furie. Là, il frappait un des policiers qui se retrouvait à terre. Son collègue venait directement en renfort et arrachait Nathan des mains de son collègue le mettant à terre. Le policier blessé se relevait difficilement. 
     
     (énervé) : "Vous n'êtes que des merdes, vous ne servez à rien, alors dégagez bande de lâches !"
     
    Le policier blessé regardait son collègue. Celui-ci lui faisait signe de le laisser faire. Nathan en le regardant reconnaissait quelqu'un qu'il connaissait que trop bien. Il ressentait une haine viscérale pour celui-ci. Du côté du policier, il connaissait bien Nathan, mais il se foutait royalement de ce qu'il pouvait penser de sa personne. Quand on lui avait confié cette mission avec un collègue qu'il ne pouvait pas blairer, jamais il n'aurait imaginé qu'il retrouverait Nathan. Par le passé, le policier avait vu celui-ci en compagnie de la magnifique Haley à Tree Hill. Haley avait été attirée par celui-ci, même qu'elle le trouvait séduisant et qu'elle voyait en lui un confident, là où elle savait pertinemment que Lucas était incompétent. Le policier s'apppelait Logan Matthew Hamilton, et pour celui-ci, revenir à Tree Hill était une épreuve sachant qu'il devait affronter son passé. En voyant Nathan, il sortait vite de ses pensées, déterminé à ne pas laisser cet homme gagner une nouvelle fois. 
     
     (tenant tête énervé) : "Lâche ? Mais si je n'étais pas là, ton cul de merdeux aurait vite rendu l'âme.
     
     (furieux) : J'aurais préféré que ce soit quelqu'un d'autre que toi Logan. Tu m'exaspères. 
     
     (choisissant les bons mots pour le remettre à sa place) : Vraiment je ne vois pas ce qu'Haley te trouve. Tu as vieilli depuis, et tu as toujours cette tête de cul qui te caractérise tant. 
     
     (ayant bien l'intention de faire mal à son rival) : Mais c'est qu'elle m'aime très cher, et elle m'aimera pour toujours, tels sont les liens sacrés du mariage. 
     
     (ne tenant pas à le laisser gagner) : Mais sait-elle au moins la vérité ? 
     
     (faisant comme s'il ne savait rien) : Voyons, je ne sais pas de quoi tu parles. 
     
     (insistant) : Je sais très bien que tu mens alors réponds !
     
     (faisant l'innocent) : Vraiment je ne vois pas et puis tu oserais me faire quoi hein ? 
     
     (sachant qu'il avait un moyen très simple de faire parler celui qui était juste sous ses yeux) : Oh, je peux faire ce que tu as fait à mon collègue mais ce serait me salir pour une tête de cul, tu n'en vaux même pas la peine. Par contre, te voir au trou, là, c'est jouissif.
     
     (le défiant) : Tu n'as rien contre moi. Je suis un Scott je te rappelle. 
     
     (rigolant) : Tu vois ça ? J'en ai rien à foutre. 
     
     (essayant de se sortir de ce pétrin) : Mais elle te détestera ? 
     
     ; Oh non, surtout quand elle saura ce que tu as fait. 
     
     (déterminé) : Elle a toujours été à moi et j'ai fait en sorte qu'elle soit à moi à jamais. 
     
     (furieux) : En me piégeant avec cette fille que tu m'as envoyée et que tu as fait souffrir Haley par la même occasion. Au moins justice sera rendu, et surtout, je ferai en sorte que tu sois auprès de ton paternel, dans la même cellule. Là, c'est plutôt jouissif. Deux connards dans la même cellule, voilà un spectacle à ne pas manquer. 
     
     (pris au piège) : S'il te plait, ne fais pas ça. Et en échange, je te rendrais un immense service. Tu pourras me demander ce que tu veux. 
     
     (déterminé) : Je ne négocie pas avec les connards.
     
     (essayant de se mettre en valeur) : Je pourrais tellement t'offrir de choses. 
     
     (furieux) : Va te faire foutre, c'est clair avec ton offre à la noix ! D'ailleurs, voilà ma grande réponse. Je vous arrête Mr Scott, tout ce que vous direz sera retenu devant un tribunal. Vous avez le droit à un avocat. Si vous n'en avez pas un, il vous en sera commis un d'office. Avez-vous compris vos droits espèce d'enfoiré ?"
     
    Logan avait pris soin de prendre les menottes, de prendre les bras de celui qu'il détestait au point que cela en était rude et lui attachait les mains. Nathan savait qu'il ne pouvait rien faire, qu'il était fait comme un rat. Logan le regardait déterminé, attendant avec impatience sa réponse. Nathan réflécissait à un moyen de s'en sortir, mais il n'y avait rien à faire. Alors il n'avait pas d'autre choix que de se rendre.
     
     (résigné) : "J'ai compris mes droits." 
     
    Logan était satisfait d'avoir arrêté celui qui avait détruit sa belle relation avec Haley il y a de cela longtemps. L'amener au poste de police sera un gage de victoires pour lui. Alors il le prenait avec insistance, l'amenant dans la voiture et partant pour le poste de police. De leur côté, le groupe était en face d'Ethan. Avec lui, cela ne sera pas facile de le manipuler. Lucas décidait finalement de s'approcher, protégeant ainsi les filles. Il ressentait au fond de lui une certaine peur. Ethan était du genre imprévisible. 
     
     (déterminé) : "On ne va pas s'en aller sans avoir nos réponses. 
     
     (souriant ironiquement) : Vous vous foutez de ma gueule, mais copieusement. Si vous croyez que je vais répondre à vos questions de trou du cul, vous vous mettez le doigt et bien profond. 
     
     (insistant) : On est déterminé, et on ne va pas laisser des questions en suspens. Vous êtes un mystère à vous tout seul. Alors on veut savoir pour enfin connaître la vérité sur les kidnappings et les meurtres. 
     
     (commençant à le manipuler) : Oh, vous pensez que je suis responsable de tout ? Si c'était le cas, je vous aurais immédiatement tué. Mais en y réfléchissant, c'est plutôt à moi de me plaindre de votre harcèlement. La police sera ravie de le savoir qu'elle arrêtera un Scott. Après tout, ne serait-ce pas de famille ? Tel père, tel fils. 
     
     (furieux) : Je ne suis pas lui, un meurtrier qui ose tuer son frère ! 
     
     (satisfait intérieurement de sa manoeuvre) : Vous voyez, au lieu d'accuser quelqu'un de nouveau dans cette ville, regardez-vous les uns et les autres. Après tout, en chacun d'entre vous sommeille quelqu'un qui peut s'emporter et faire des choses horribles. 
     
     (vexé) : Quoi ? Vous m'accusez ? 
     
     (souriant ironiquement) : Si je disais oi, ça vous ferait quoi ?
     
     (furieux) : Je vous tuerai. Je n'ai rien fait moi. 
     
     (satisfait d'avoir donné sa leçon du jour) : Alors la prochaine fois que vous accuserez quelqu'un, vérifiez."
     
    Lucas ne savait plus quoi faire face à lui. Il posait ses mains sur le bras de Brooke et d'Elizabeth afin de pouvoir partir. Lucas serait-il quelqu'un de trouillard ? Elizabeth en voyant son ex n'osait pas s'approcher. Leur dernière rencontre s'était soldée par des explications. Ethan avaot tenté de demander pardon à Elizabeth, mais celle-ci en avait terminé pour de bon avec son passé. Elle prenait sur elle, s'approchant de lui. Elle le regardait avec un air de dégoût. Toutes ses images où Ethan l'avait fait souffrir, s'était montré violent, revenaient dans sa tête et c'était une véritable torture. Elle prenait un grand élan lui flanquant la gifle du siècle, chose qu'elle lui avait promis la dernière fois qu'ils s'étaient revus et qu'elle avait demandé pourquoi ce changement en lui.
     
     (folle de rage) : "Je te l'avais promise n'est-ce pas ?
     
     (essayant d'amadouer son ex pour mieux la récupérer) : Tu es venu à moi cette fois-ci, dans ma demeure. 
     
     (le recadrant) : J'ai dit si jamais je ne te revoyais je te rappelle ! Je n'ai jamais rien dit sur les circonstances. Alors, au lieu de t'énerver, de te mettre en colère et de jouer les gros machos comme tu fais d'habitude, réponds-nous. Donne pour la première fois de ta vie la vérité. 
     
     (essayant de toucher la joue d'Elizabeth) : Tu sais ben que j'ai toujours dit la vérité. 
     
     (furieuse, poussant la main de son ex avec violence) : Non, mais si tu crois que je vais revenir, tu te trompes complètement. Je ne suis plus amoureuse de toi. Je te hais c'est clair dans ta petite tête ? 
     
     (la faisant chanter) : Oh, mais si tu souhaites réellement des réponses, toutes les réponses, tu devrais revenir, car après tout, en dévoilant tout, je devrais tout dévoiler de toi. 
     
     (furieuse) : J'ai parlé de ma relation avec Claire alors tes menaces tu peux te les garder ! 
     
     (souriant car il avait un moyen de faire pression) : As-tu parlé d'absolument tout très chère ? 
     
     (énervée) : J'ai aussi parlé de Michael, alors tu n'as rien contre moi ! 
     
     (souriant satisfait) : Détrompe-toi, j'ai tellement de choses à ton sujet, alors n'essaye pas de te la jouer supérieure. 
     
     (intervenant) : Elizabeth, de quoi il parle ? 
     
     (surprise) : Oui, dis-nous tout. 
     
     : Il essaye de nous diviser ! 
     
     (se frottant les mains) : Je ne me trompe jamais voyons. 
     
     (énervé) : J'avais dit plus de mensonges, allons-nous expliquer dehors et tout de suite !!
     
     (curieuse) : Moi aussi, je veux savoir. 
     
     (essayant de se justifier) : Vous jouez son jeu là, arrêtez. 
     
     (énervé) : Tu nous suis et plus vite que ça !"
     
    Lucas entraînait Elizabeth avec lui au dehors. Brooke les suivait et Michael la regardait avec insistance de haut en bas, désirant plus que tout être avec elle. Ethan n'était pas aveugle et il allait règler cela voyant en Brooke un danger plus que certain. Cependant, il était quand même satisfait de sa manoeuvre. Michael le regardait avec admiration. 
     
     (admiratif) : "Tu as réussi à sauver ton cul encore frangin ! 
     
     : Heureusement, car je parie que tu aurais absolument tout balancé comme à ton habitude, et je te préviens, si tu t'approches de Brooke Davis, je te ferais la peau. 
     
     (curieux) : Comment tu as deviné ? 
     
     : Plutôt belle, intriguante, et fascinante, c'est le genre de files qui te plait bien, alors tu t'éloignes d'elle, compris ? 
     
     (surpris) : Mais.....
     
     (l'interrompant) : Il n'y a pas de mais qui tienne. Tu fais et puis c'est tout.
     
     (résigné) : D'accord."
     
    Michael ne désirait plus contrarier son frère. Cependant, Brooke avec sa manoeuvre avait réussi à le déstabiliser, même complètement, et même s'il s'était défendu auparavant, l'attirance qu'il ressentait pour elle était intacte. Allait-il contrarier son frère en bravant l'interdiction ? Là, telle était la question. Pendant ce temps, Haley arrivait avec Derek devant la salle privée. Elle prenait la clé qu'elle avait en sa possession. Elle ouvrait la porte laissant son chou passer en premier. Elle s'était débrouillée en laissant un espace plus que réduit pour ressentir un peu de sa chaleur contre elle. Derek ressentait de son côté une certaine attirance qu'il essayait de réprimer mais c'était plus que compliqué. Jamais Derek n'avait ressenti ce genre de sentiment auprès d'une femme de ce genre. Elle occupait ses pensées que tout ce qu'il avait à faire comme rejoindre sa famille, penser à travailler son avenir n'avait aucune importance. Elle était si belle, si attirante et de généreuse. Il était impossible d'éviter une femme de ce genre. Alors que Derek était dans la salle, elle fermait discrètement la porte. Derek lui en profitait pour s'installer sur une chaise prenant son livre en main pour pouvoir étudier l'oeuvre comme il se doit. Haley se rapprochait de lui, s'installant sur la chaise voisine. Elle le regardait avec tendresse et perversité effleurant innocemment sa main pour l'ensorceler. Il ne pouvait éviter son regard aussi envoûtant mais il essayait de résister aux charmes de la belle. 
     
     (gêné) : "Et si on commençait à travailler sur cette oeuvre ?
     
     (se montrant entreprenante, le flattant, en effleurant sa main remontant ses doigts sous sa manche et posant sa main sous sa joue pour attiser un tel désir en lui qu'il ne pourra pas résister) : Cette oeuvre est magique mais pas autant que toi beau brun. 
     
     (rougissant et complètement déstabilisé) : Je ne sais pas quoi dire face à un tel compliment. Vous... tu es un ange tombé du ciel et dont j'ai la chance d'être à ses côtés.
     
     (posant son index sur ses lèvres, effleurant son cou malicieusement, descendant sur le haut de son torse et plus bas pour le faire frémir de désir qu'il la réclamera) : C'est moi qui suis chanceuse d'être aux côtés d'un bel ange comme toi si prévenant, si charmant, si attentionné. Jamais on n'a fait attention à moi comme tu le fais. 
     
     (complètement sous le charme et gêné) : C'est pas normal qu'une femme si merveilleuse ne puisse avoir en retour toutes les attentions qu'elle mérite. 
     
     (voyant une occasion de le manipuler en jouant la tristesse, arrivant au niveau de sa cuisse la caressant coquinement pour mieux ) : Si seulement je pouvais trouver cette personne qui puisse enfin voir qui je suis et fasse ainsi attention à moi. 
     
     (se laissant influencer même s'il savait que ce n'était pas bien car elle était professeur et lui un élève) : Je suis là pour te donner tout ce dont tu as besoin. 
     
     (procurant une douceur à son oreille, descendant ses lèvres à sa joue et ensuite lui déposait un baiser doux et pervers pour l'enflammer) : Tu es un si beau jeune homme, c'est que je ne désire pas te causer le moindre ennui. 
     
     (charmé et prêt à tout) : Ce baiser, je rêve d'en ressentir plein d'autres tellement il me transporte. Non, tu ne m'attires pas d'ennuis. Je veux être à tes côtés. 
     
     (pensant au secret pour mieux piéger sa cible) : Voyons-nous mais en secret toi et moi. Profitons de cet instant tous les deux. 
     
     (prêt à tout) : Tous tes désirs sont des ordres mon ange. Je désire profiter un maximum d'être près de toi. Je suis perdu sinon. 
     
     (jouant les perverses en guidant les mains de Derek sur sa poitrine l'incitant à les caresser puis descendant sur le long de son corps, ses cuisses qu'il en était proche de son intimité pour le rendre fou qu'il voudra lui faire l'amour) : Approche bébé, viens près de moi, sinon mieux vaut que je ne reste pas ici."
     
    Haley faisait mine de partir mais Derek la retenait, caressant sa main puis son bras avec tendresse. Voyant qu'elle avait réussi, elle se mettait sur ses genoux, l'embrassant avec une telle fougue et une telle passion. Derek s'éloignait légèrement, la regardant dans les yeux. On voyait qu'il était complètement sous son emprise.
     
     (déterminé) : "Reste avec moi ma déesse.
     
     (satisfaite mais n'affichait qu'un léger sourire, se mordillant la lèvre) : Jamais je ne bougerai bel ange. Tu es mon beau gosse à moi."
     
    Haley lui mordillait la lèvre, la léchant pour le torturer qu'il sera obsédé par elle. Inspirée, la belle laissait transparaître la perverse qui était en elle. Elle le regardait avec une telle envie, l'embrassant vigoureusement, laissant sa langue titiller la sienne dans une danse des plus endiablées. Derek désirait résister mais c'était impossible tellement la belle lui faisait un tel effet. Haley voyant sa cible complètement charmée, laissant lentement glisser sa main sur le bas de son torse, arrivant à son pantalon et sous son boxer en malaxant coquinement son intimité, faisant des va et viens torrides pour le mettre au supplice qu'il ne pourra pas se contrôler. Il était tellement fou qu'il l'embrassait dans le creux de son cou, descendant lentement sur sa poitrine. La belle en profitait qu'elle baissait son haut laissant en évidence ses formes généreuses, coinçant sa tête dessus pour en ressentir de douces attentions. Il était complètement séduit qu'elle guidait ses mains afin de lui faire enlever ses vêtements. Derek voyait une si belle créature dans une tenue si sexy qu'il pensait rêver. Il fermait les yeux un instant mais en les rouvrant, il se sentait des plus chanceux. Il était tellement séduit qu'il parcourait le corps de la belle avec une telle tendresse et guidéé par la belle, il arrivait près de son intimité qu'il ressentait un désir bien ardent. Elle en profitait, enlevant tous les vêtements de sa cible, l'embrassant perversement dans le cou, y laissant une belle trace, le léchant coquinement jusqu'à son torse, le griffant légèrement, et allant jusqu'à ce qu'elle désire, lui procurant une douceur incomparable. Il était tellement sous son charme qu'il la regardait avec admiration. Là, elle profitait pour l'amener vers la table, jouant de ses hanches pour le chauffer. Il se laissait faire alors qu'elle se couchait sur la table, l'emmenant tout près d'elle. Là, il en profitait pour la couvrir de baisers des plus fougueux, parcourant chaque parcelle de sa peau et effleurant par ses mains ses cuisses jusqu'à l'intérieur. Elle était aux anges, mais tellement elle désirait ce jeune homme, elle voulait prendre le contrôle. Alors, elle le mettait sur le dos, griffant telle une perverse son torse et bougeant diaboliquement près de son intimité. Là, elle s'empalait sur ce qu'elle désirait, kidnappant sa taille avec sa jambe. Derek ne pouvait s'en sortir. Les deux passaient à l'acte dans un moment charnel et torride. De son côté, Claire se trouvait toujours prisonnière. Déterminée à s'en sortir, elle ne lâchait pas le morceau mais elle tombait immédiatement à terre. C'était plutôt violent qu'elle se blessait au visage. Elle continuait sa manœuvre afin de casser ses liens. Elle arrivait à les casser qu'elle en avait mal aux mains. Déterminée à ne pas rester à l'intérieur, elle tentait d'ouvrir la porte qui servait à sa prison, mais c'était fermé à clé. Elle était bien énervée qu'elle tapait sur le sol. Soudain, elle voyait la poignet de la porte qui s'ouvrait et elle s'éloignait. Elle faisait mine d'être toujours attachée en remettant la chaise à sa place et mettant ses bras à l'arrière. La personne responsable de tout ce qui pouvait arriver dans cette ville amenait une autre personne avec elle, bien amochée qu'elle balançait à terre. Il se trouvait que c'était Karen qui était toujours en vie. Sa captivité durait depuis de longues semaines et elle s'en trouvait amaigri. Cette personne qui la détenait la mettait immédiatement à terre. Elle ne pouvait pas s'en relever. Karen n'était pas une de ses personnes qui se laissait faire, même, elle était quelqu'un de courageuse. Elle osait la regarder en face déterminée à s'en aller, vue qu'il y avait possibilité.
     
     (déterminée) : « Quand vous allez me lâchez espèce d'enfoiré ! Mais quand bon sang, quand ! Je ne vous ai rien fait ! »

    L'individu ne répondait même pas et se rapprochait de Claire qui la giflait violemment. Claire ne criait pas, mais elle regardait la personne qui lui avait fait ça sans montrer de peur. Là, l'individu lui réclamait de parler des Scott, de tout ce qu'elle savait. Là, Claire voyait une occasion d'obtenir ce qu'elle désirait au travers de cette situation difficile. En effet, Karen était bien liée aux Scott et particulièrement à Lucas. Sachant que celui-ci tenait à sa mère, c'était un moyen de pression pour l'arrêter. Claire n'aimait pas qu'il enquête sur elle. Il fallait qu'elle se retrouve avec la mère de Lucas et seule de préférence pour avoir les informations nécessaires. Alors elle prévoyait de s'échapper, et le plus vite sera le mieux avec Karen. Elle dévoilait son jeu, se levant et faisant un croche-pattes à cet individu qui se retrouvait au sol. Claire donnait la main à Karen qui ne savait pas du tout si elle pouvait faire confiance à cette jeune femme. Claire devait jouer de finesse et de subtilité en jouant la fille prévenante pour amadouer sa cible qu'elle obtiendra les informations nécessaires.

    (se montrant la plus gentille possible) : « Vous désirez sortir, retrouvez votre fils bien aimé ? Venez avec moi, faites-moi confiance. Après tout Lucas est aussi de ma famille, et je ne souhaite que son bien-être tout comme à Nathan, Haley et leur fils Jaimie. Pourquoi ne pas faire cause commune vous et moi ?

     

    (sceptique) : Je ne sais pas qui vous êtes en réalité mademoiselle. Comment puis-je vous faire confiance ?

     

    (se montrant philosophe et réaliste pour attirer l'attention) : Je comprends bien que la confiance, on ne la donne pas à n'importe qui mais regardez où nous sommes. C'est un lieu sordide où on a été enfermé par un individu qui ne va pas rester au sol pendant bien longtemps. Vous avez un choix qui s'offre à vous : restez ici au risque de dépérir comme vous le faites ou bien venir avec moi et je vous garantis que vous retrouverez Lucas. Moi, mon choix il est fait. Je veux être libre et profiter à chaque instant des moments de bonheur auprès des miens.

     

    (dubitative) : Mais vous êtes la fille de.... ?

     

    (l'interrompant, jouant les offusquées pour mieux déstabiliser sa cible) : Je vous arrête de suite. Ce n'est pas parce que je suis la fille d'un père qui n'a pas voulu s'occuper de moi que je suis comme lui. Je ne suis pas une grognasse tout de même.

     

    (se sentant coupable) : Je suis désolée si je vous ai offensé en parlant de lui.

     

    (ayant la possibilité de la manipuler qu'elle pourra lui faire une proposition impossible à refuser) : Ce n'est pas grave. Cependant, si vous me suivez, je vous en serais très reconnaissante.

     

    (n'aimant pas avoir commis une faute) : Je viens avec vous.

     

    (satisfaite ne laissant rien transparaître sur son visage) : Alors parfait, nous y allons et le plus vite possible. Je le vois en train de bouger. J'espère que vous tiendrez le choc. »

     

    Claire observait l'individu qui les avait emprisonnées toutes les deux. En effet, celui-ci bougeait tout doucement ses mains puis ses bras. Pour les deux jeunes femmes, le temps était plus que compté. Claire prenait Karen auprès d'elle. Ensemble, elles partaient vers la sortie. Le meurtrier et kidnappeur allait se rapprocher d'elles, mais quand Claire tournait légèrement sa tête, croisant son regard, celui-ci restait comme figé quelques instants puis pointait son flingue directement vers les filles. Il tirait sans sommation. Claire se baissait avec Karen courant ensuite le plus loin possible de lui. Les filles se trouvaient dans un endroit plutôt discret de la ville. Il y avait peu de personnes qui vivaient dans le coin. Les filles marchaient en attendant de trouver une solution. Claire avait une idée pour se sortir de ce pétrin : prendre la voiture de leur ravisseur.

     

    (se montrant calme) : « Ne vous inquiétez pas, on va trouver une voiture. Je n'ai qu'une seule idée qui me vient : prendre la voiture de celui ou celle qui nous a fait ça. Ca vous convient ?

     

    (effrayée) : Mais vous êtes dingue ? Il ou elle peut vous reprendre. Vous y avez pensé ?

     

    (se montrant rassurante pour mieux l'amadouer) : Ca va aller et je serais revenue en moins de deux, vous verrez. Et puis, vous ne pouvez pas agir, vu votre état. Si vous voulez, dès mon retour, on pourra parler.

     

    (rassurée) : Ca me convient, mais soyez prudente surtout. Je resterais cachée ici.

     

    (jouant la prévenante pour mieux déstabiliser sa proie) : C'est parfait, mais surtout ne faites pas de bruit. Je ne désire pas qu'il vous arrive quelque chose.

                (souriant légèrement et voulant rassurer celle qui lui a sauvé la vie) : Soyez sans crainte, je ferais attention.     

     

     

    (satisfaite) : Alors j'y vais. »      

     

    Claire s'éloignait, cherchant la voiture de celui ou celle qui l'avait enlevée. Qu'allait-elle faire lorsqu'elle retrouvera la voiture ? Au même instant, Lucas était dehors ayant avec lui Elizabeth et dont il lui tenait le bras. Il la lâchait violemment. Elizabeth essayait de parler, de lui faire entendre raison mais Lucas plaçait sa main vers l'avant pour la stopper. Le fait qu'Ethan ait parlé de secrets qu'elle n'aurait pas dévoilés, avait éveillé en Lucas une grande méfiance pour Elizabeth. Il se sentait même trahi. Il perdait tout ce qui comptait à ses yeux. Il avait perdu Peyton à jamais, sa mère était aux prises avec un inconnu et il ne savait pas si elle était encore en vie, il haissait sa sœur Claire. Il avait assez de vivre tout cela et pour lui, les secrets étaient nuisibles à toute relation. Il allait tout faire pour connaître la vérité.

     

    (furieux) : « Qu'est-ce qu'il a voulu dire par autre secret ?

     

    (jouant l'énervée car elle n'avait pas l'intention de parler alors qu'Ethan ou même Michael était capable d'entendre chaque mot) : Non, mais t'es débile ou quoi ? Tu es en train de jouer le jeu de cet enfoiré ! Tu n'as pensé que son simple but était de diviser pour mieux règner. Il a vu ta méfiance envers les gens et ta détermination à vouloir trouver les choses. Lucas réfléchis bon sang !

     

    (fou de rage) : J'en ai rien à foutre de sa stratégie, j'en ai rien à foutre de ce salopard ! Tout ce que je vois, c'est que tu ne m'as peut-être pas encore tout dit et ça, ça m'énerve. Tu vois, je fais confiance de nouveau et cela ne m'est pas arrivé depuis la perte de Peyton. Alors je t'en prie, dis-moi tout et maintenant !

     

     

    (désorientée) : Attends, tu n'es pas en train de me dire que.... ? 

       (gêné et énervé) : Si, et si je ne peux pas te faire confiance, comment je peux envisager une relation avec toi tu peux me dire ?  

     

    (énervée) : Non, mais attends, tu ne te demandes même pas s'il a tort ? Tu ne me demandes même pas ce que je peux ressentir ? Mais tu ne penses qu'à ta putain de gueule ma parole ! Et moi, je compte pour du beurre ? Non, mais ça sert à rien de parler comme ça à un merdeux. Tu me fais chier Lucas ! J'essaye de te faire comprendre les choses mais toi, non. Le pire, c'est que tu ne me laisses même pas le bénéfice du doute. Je pensais que tu étais quelqu'un de différent, que tu étais généreux, mais je me suis lourdement trompée.

    (essayant de se racheter) : Je suis exactement celui que tu penses....

     

    (l'interrompant) : Non, sinon, tu ne m'aurais pas jugée Lucas. Tu te serais dit qu'il s'est trompé ou tu m'aurais posé une question, mais non, au lieu de ça, tu lui as donné raison. Tu me considères comme une merde de bas étage. Alors tout ce que tu peux me dire, tu peux te le carrer bien profond. Je ne veux pas voir ton visage de connard ! Alors casse-toi, dégage ! !

     

    (triste) : Oh.... »

     

    Seulement Elizabeth partait le plus vite possible sans dire un mot tellement elle était en colère. Lucas allait partir pour la rattraper mais Brooke lui prenait le bras pour l'empêcher de faire une connerie.

    (le recadrant) : « Laisse Lucas, là, tu as merdé sur le coup. Et puis, tu aggraveras les choses. C'est que tu répètes encore les mêmes conneries qu'au lycée à croire que tu n'as rien appris.

     

    (triste) : Mais tu voulais la vérité tout aussi bien que moi.

     

    (philosophe) : Il y a une différence entre agresser quelqu'un avec des paroles et poser des questions pour savoir des choses.

     

    (curieux) : Depuis quand Mademoiselle Davis se montre philosophe ?

     

    (le recadrant) : Je sais faire la part des choses, et je dois le faire surtout quand tu te comportes comme un grand crétin.

     

    (se faisant petit) : En effet.

     

    (lui faisant la morale) : Tu as même été pire qu'un crétin. Tu as été un connard sur le coup. Je comprends sa réaction.

     

    (se sentant coupable) : Tu as raison. »

     

    Soudain, le téléphone de Brooke sonnait. Celle-ci faisait signe à Lucas d'attendre une seconde. Et elle répondait.

     

    (énervée en apprenant la nouvelle au téléphone) : Quoi ? Non mais de quel droit cette grognasse ose vouloir mon local. Il est à moi, rien qu'à moi. Le contrat vous en faites quoi ? Vous vous êtes torché avec ou quoi ? On a signé et vous n'avez pas à le passer à cette grognasse de Victoria Callahan. Je vais lui en toucher deux mots à cette bonne femme, et il est hors de question qu'elle me le prenne. Alors ne bougez pas, je rapplique de suite, c'est clair ? »

     

    Elle raccrochait immédiatement, énervée par la situation. Il se trouvait que Brooke désirait bien s'installer dans sa ville qui lui manquait tant, avec ses habitudes qui allaient avec. Elle s'était entendue pendant son excursion à New York avec Karen qu'elle prendrait l'ancien Karen's Café. Seulement maintenant, une autre personne était sur le coup, depuis que Karen avait disparu. Brooke n'aimait pas la concurrence, les rivales, et elle était intraitable sur leur sort. Elle se souvenait du traitement qu'elle avait réservé que ce soit à Rachel ou même à Peyton qui était sa meilleure amie. Cette Victoria allait savoir qui était la Brooke Davis célèbre de Tree Hill et femme d'affaires intraitable. Lucas essayait d'être compréhensif en se rapprochant tel un ami mais Brooke le stoppait rien qu'avec la main.

    (clair) : « J'ai pas besoin de ça. Tout ce que je veux c'est que tu m'amènes au local où ta mère avait le café à l'époque.

     

    (surpris) : Quoi ? Mais tu aurais pu m'en parler ?

     

    : Ta mère t'en aurait parlé, mais voilà, tu sais qu'elle ne l'a pas fait, et il y a une grognasse qui veut me piquer la place, alors, tu me conduis là-bas et que ça saute.

     

    (hésitant) : Euh.....

     

    (le stoppant) : Discuter une recommandation de Brooke Davis ? Tu sais qu'il ne faut pas le faire, alors qu'est-ce que t'attends pour me conduire là-bas ?

     

    : A vos ordres. »

    Brooke et Lucas partaient le plus vite possible en direction du local. En même temps, Ethan était satisfait des évènements ayant tout entendu de la conversation. Michael lui avait un avis bien différent sur ce qui était arrivé, et ayant entendu comment Brooke avait agi, il comprenait que cette fille était plus qu'exceptionnelle et une personne rare. Il avait promis à son frère qu'il n'allait pas revoir Brooke, mais c'était si difficile. Une fille belle, intelligente, qui savait défendre ses propres convictions, plutôt marrante, cela ne courrait pas dans tous les coins de rue. Il était bien pensif et se demandait comment il allait s'éclipser. Il allait improviser.

    (hésitant mais tentant de ne rien laisser transparaître pour pouvoir sortir) : « Avec tout ce qui est arrivé, j'ai besoin de faire un tour. Tu as besoin de quelque chose frangin ?

     

    (suspicieux mais avait bien l'intention de voir jusqu'où son frère pouvait aller) : Un tour ? Est-ce que tu es lâche au point de ne pas affronter les choses ? Cela en est trop pour toi ? Faut le dire de suite. Car si je veux pouvoir compter sur toi, je dois absolument être sûr que tu tiendras le choc.

     

    (le rassurant) : Ca va dans tous les domaines et tu peux compter sur moi. Si je suis venu vers toi, c'est pour que l'on soit à nouveau frères comme avant. J'ai juste besoin de prendre l'air, de pouvoir m'acclimater avec cette ville. Tu veux que je connaisse tous les recoins de ce lieu n'est-ce pas ? Alors je dois sortir.

     

    (voyant que son frère pensait bien, mais allait lui laisser penser qu'il le croyait) : Hum, c'est vrai, tu vises complètement juste. Fais un tour, mais attention, tu as promis, tu te souviens ?

     

    (mentant en croisant ses doigts derrière son dos) : J'ai promis oui. Alors je te dis à tout à l'heure frérot.

     

    : A tout à l'heure. »

    Michael partait laissant Ethan tout seul. Celui-ci attendait quelques instants puis il se préparait. C'était que celui-ci n'avait pas confiance du tout en son frère qu'il préférait le suivre. Qu'allait-il arriver entre les deux ? Pendant ce temps, Deb était restée isolée auprès de Jaimie dans sa chambre dans la demeure Scott quand soudain, elle recevait un coup de téléphone. Elle ne répondait pas car elle était occupée avec Jaimie quand le message du répondeur l'alertait. Elle apprenait que son fils Nathan était emprisonné pour avoir tabassé un policier. Elle était carrément choquée de savoir comment Nathan se comportait. Elle le pensait si changer surtout depuis qu'il était marié à Haley et qu'ils avaient un enfant. Elle n'allait pas l'abandonner pour autant. Elle partait en direction du poste de police, prenant quand même soin de laisser Jaimie à la deuxième baby-sitter. En même temps, Haley et Derek étaient dans les bras l'un de l'autre, profitant de ses instants de bonheur. Derek ne pouvait pas s'empêcher de la regarder tellement que cette jeune femme était divine. Haley se plongeait dans son regard des plus envoûtants, titillant ses lèvres telle une perverse qu'il en sera tout retourné.

    (se mordillant la lèvre pour mieux le captiver) : « Alors trésor, à quoi tu penses ?

     

    (sortant de ses pensées et souriant en voyant le visage si radieux de la belle) : A toi, à ta divine beauté. Tu illumines cette pièce et tu me donnes un sourire si radieux.

     

    (faisant mine de rougir pour mieux l'attendrir) : Oh, tu sais parler aux femmes.

     

    (complètement sous le charme effleurant la joue avec une tendresse folle) : Tu es plus que cela, tu es une déesse à mes yeux. Tu es ce dont j'ai toujours désiré et je veux rester à tes côtés à jamais. Tu me rends fou.

     

    (le flattant et jouant de ses charmes pour le rendre dingue qu'il sera obsédé par elle) : Tu me rends dingue aussi bel ange. Je suis charmée par le beau gosse que tu es. Je veux être aussi près de toi.

     

    (se sentant perdu) : Rien que de penser que l'on va être séparé, je suis perdu. C'est que je ne veux pas aller en cours.

     

    (voyant une occasion de le manipuler en lui faisant une proposition, se montrant entreprenante, caressant coquinement ce qu'elle désire tant, procurant une douceur incomparable sur celle-ci et à l'oreille pour l'apâter qu'il acceptera) : Toi et moi, voyons-nous ailleurs. Rejoins-moi directement chez moi dès que ton cours sera terminé. Je t'attends avec une surprise que tu vas savourer.

     

    (hésitant) : Euh....

     

    (prenant à pleine main ce qu'elle désirait, faisant des va et viens qu'elle le sentait complètement sous son contrôle) : Et maintenant ?

     

    (charmé) : Oh, je viens, pas moyen. Tu fais de moi ce que tu veux déesse.

     

    (souriant et lui faisant un clin d'oeil) : Oh, j'y compte bien. »

     

    Haley l'embrassait avec une fougue et une passion des plus démesurées, griffant tout son torse et laissant sa langue parcourir les traces pour le rendre fou qu'il sera obsédé. Là, elle le laissait littéralement en plan, se rhabillant et partant vers chez elle, préparant une surprise à son chou. Il n'allait pas l'oublier de sitôt. Derek s'habillait juste après, se souvenant de cet instant torride qu'il avait passé avec Haley. Il lui tardait de retrouver la belle et alors qu'il sortait de la salle, il se faisait aborder par une personne qui plaçait sa main sur son épaule, l'effleurant avec une tendresse et une perversité des plus déconcertantes jusqu'à son cou. Il frémissait d'avance qu'il pensait qu'Haley était de retour, mais en se retournant, à sa grande surprise, il se retrouvait face à une femme plus que belle qui se montrait bien entreprenante. Il ne savait pas réellement ce qu'elle lui désirait. Cette fille était le mystère à elle toute seule.

     
     
     (jouant en insistant bien sur les mots) : « C'est l'heure du cours chéri, tu ne veux pas rater cela j'espère ? »

     

    Derek était plus que surpris d'être face à elle. Quinn Jane Callahan était une de celles dont il était difficile de dire non vu sa beauté. Il essayait de tant que bien de résister mais cela s'avérait difficile. Pendant les cours, elle en profitait pour être sa voisine, caressant à chaque fois l'intérieur de sa cuisse et jouant avec les mots. Il aimerait au moins la connaître mais tout ce dont il pensait, ce qui l'obsédait c'était Haley. Il lui tardait de retrouver la belle Haley dans sa demeure. Qu'allait faire Quinn ? Que désirait-elle ? De son côté, Deb seule arrivait au poste de police désirant payer la caution de son fils. C'était un certain montant mais le policier devait la conduire vers la personne qui l'avait arrêtée et qui se trouvait auprès de Nathan. Deb arrivait vers le lieu où était détenu Nathan et le policier était à ses côtés. Elle le reconnaissait voyant ce chou qu'elle avait croqué alors qu'il était encore au lycée. A l'époque, elle était mariée mais sachant bel et bien que son mari était quelqu'un d'absent. Elle en profitait pour croquer de beaux jeunes hommes qui la mettaient en valeur. Logan était pour elle quelqu'un d'exceptionnel et le fait qu'il avait quitté la ville après le lycée avait été un coup dur pour elle. Il lui avait tellement manqué. Logan en la voyant, se souvenait de ses instants où il se retrouvait dans ses bras, ses baisers qu'il donnait sur le corps de cette déesse. Ne pas lui avoir dit qu'il quittait la ville était pour lui une déchirure. Il aimait être à ses côtés. Il était attiré par elle comme personne. D'ailleurs, en la revoyant, il se sentait attiré par elle, mais il essayait de résister. Deb voyant ce beau gosse se plongeait dans son regard se mordillant la lèvre pour attirer son attention qu'il la désirera. Elle comptait bien l'attirer dans ses filets de nouveau dans ses filets, se mettant à le séduire comme au premier jour. C'était que Nathan n'était pas au courant de leur histoire à l'époque. Elle usera de tous ses charmes se montrant maternelle et entreprenante pour le posséder.

    (se montrant douce, le flattant pour le toucher qu'il viendra vers elle) : « Pourquoi un beau gosse comme vous a-t-il arrêté mon fils ?

     

    (troublé mais tentant d'y résister) : C'est très gentil à vous Mme Scott et je suis désolé qu'une si belle femme aussi charmante que vous se déplace pour une affaire comme celle-ci.

     

    (s'approchant en laissant délicatement sa main effleurer sa main puis son avant-bras se plongeant dans son regard et choisissant les bons mots pour l'ensorceler) : Ne vous excusez pas, ce n'est pas de votre faute, mais de celle de mon fils. D'ailleurs je suis venue pour payer sa caution. Voir un policier aussi charmant que vous est un bonus des plus agréables.

     

    (étant bien impatient et les interrompant) : Ce n'est pas que je vous dérange, mais je suis au trou maman, alors remue-toi que je sorte d'ici !

     

     (recadrant celui qu'il déteste tant) : Ta gueule tête de con, ici, c'est moi qui décide qui parle. Dans mon commissariat, t'as qu'un droit et c'est celui de la fermer. Tu l'as ramené moins quand je t'ai botté le cul, t'es soudainement plus courageux devant ta maman. Dommage que ta maman soit venu, ta gueule de pédale aurait fait de toi la star du pénitencier. »

     

    Nathan était plus que pressé de sortir, interrompant même les deux qui se regardaient dans les yeux et repensant à leur passé. Logan l'avait recadré, savourant cet instant de justice après tout ce que Nathan lui avait fait par le passé en l'ayant piégé. Cependant, comment Deb allait réagir face à son fils qui agissait comme un crétin ?

     
     
    Fin de l'épisode.

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  • Début du chapitre 1 : La vengeance en héritage dans la partie The Devil Within

     

    Continuité du chapitre 4 : Un passé caché dans la partie King Rising

     

    Fin de l'épisode 9 Mensonge ou vérité ? dans la partie One Tree Hill : Missing

     

    Modification de l'article sur les titres des épisodes de la fic One Tree Hill : Missing dans la partie One Tree Hill : Missing

     

    Ajout de l'épisode 10 : Faux-semblants qui va bientôt arriver dans la partie One Tree Hill : Missing

     

    Ajout d'ne photo dans la galerie One Tree Hill : Missing.


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  • Fin de l'épisode 4 : Trahison dans la partie Charmed saison 10  

     

    Modification de l'article sur le casting de Charmed saison 10 dans la partie Charmed saison 10

     

    Modification de l'article sur les titres des épisodes de la fic Charmed saison 10 dans la partie Charmed saison 10

     

    Ajout de l'épisode 5 : Nouvelle donne qui va bientôt arriver dans la partie Charmed saison 10

     

    Ajout de l'article sur le casting de The Devil Within dans la partie The Devil Within

     

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    Ajout du chapitre 1 : La vengeance en héritage qui va bientôt arriver dans la partie The Devil Within

     

    Continuité du chapitre 4 : Un passé caché dans la partie King Rising

     

    Continuité de l'épisode 9 : Mensonge ou vérité ? dans la partie One Tree Hill : Missing. 

     

    Ajout de photos dans la galerie Charmed saison 10

     

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  • Chapitre 1 La vengeance en héritage
     
     
    En août 1943 du côté de Bordeaux, la place Gambetta ruait de soldats allemands qui surveillaient les moindres faits et gestes des habitants. C'était le soir, et quelqu'un courait pour échapper à un grand danger. Elle lançait désespérement un pouvoir d'énergie sur son agresseur mais rien n'y faisait. Il était d'autant plus coriace et continuait de la courser, ayant un poignard à la main. La jeune demoiselle continuait empruntant des petites ruelles jusqu'à ce qu'elle soit coincée et celui-ci se réjouissait d'avoir piégé la sorcière. Il en souriait tellement il était satisfait. La jeune femme était prête à se battre, et ce jusqu'à la mort si nécessaire qu'elle armait une boule de feu et allait le lancer. Elle préférait le prévenir des tourments qu'il allait subir en s'attaquant à une sorcière aussi puissante qu'elle. 
     
      (énervée) : "Tu t'attaques à une Harlington enfoiré, comment oses-tu te mesurer à moi ? Oh, c'est parce que je ne t'ai pas choisi, que je n'ai pas voulu que tu me prennes comme une chienne ? Salopard, espèce de collabo que tu es. Avec ce que tu as en dessous de la ceinture, tu ne m'aurais pas satisfaite et ton frère est nettement mieux. Et je l'aime, tu m'entends, je l'aime ! Alors, tu as le choix entre soit fuir telle une femmlette, soit te faire pulvériser par ma boule de feu que je t'expédie en enfer."
     
    Cependant son agresseur ne préférait pas répondre, ne bougeant que son poignard et affichant un sourire digne des plus grands faux-cul de la planète. Les deux se regardaient dans les yeux, attendant qu'un fasse le premier pas quand soudain, une autre personne arriva. Celle-ci était horrifié de voir ce qui arrivait qu'il cria. 
     
     (effrayé) : "Laisse-là, c'est ma future femme. Si tu la touches, je te jure que je te tue, et je te ferais souffrir. Elle est ce que j'ai de plus cher, ma raison de vivre. J'espère que tu as compris ? Et surtout ne me fais pas ton sourire de faux-cul, car là, je te massacre. 
     
     (défaitiste) : Mais ça m'étonnerait qu'il t'écoute. Il ne comprend rien à rien. Sauf s'il est arrivé à se greffer un cerveau, là, ce sera un miracle sans précédent. 
     
     (la rassurant) : Ma chérie, ne t'inquiète pas, je vais raisonner mon frère et te sauver. Je ne peux pas vivre sans toi. Je t'aime, je t'aime tellement. Tu occupes mes pensées, mes rêves les plus fous. Chaque parcelle de mon être t'appartient à tout jamais. Tu me rends fou. 
     
     (émue) : Mon amour, tu es tout pour moi, tu éveilles chaque parcelle de mon être. Tu es ma vie, mon âme. Tu occupes mes pensées, mes rêves, et là, tout de suite, je viendrais t'embrasser, te montrer tout mon amour. Tu es l'homme dont j'ai toujours rêvé et jamais on ne sera séparé, peu importe la vie que l'on vivra. Je t'aime aussi plus que tout sur cette Terre."
     
    Là, l'agresseur avait décidé d'agir autrement et se tournait vers son propre frère. Il s'avançait rapidement. La jeune femme ne voulant pas perdre son bien-aimé se mettait à courir, afin d'arrêter ce futur massacre et là, l'agresseur se tourna, poignardant la jeune femme en plein estomac et recommençait l'expérience. A ce moment-là, la sorcière sentait la vie qu'elle avait en elle s'en aller. Son bien-aimé était carrément horrifié. La sorcière tombait à terre, visiblement bien enragée et allait sceller le clan de son bien-aimé tout entier. 
     
     (faible et folle de rage) : "Je vous maudis les Hawkins tous autant que vous êtes. Vous ne vous en douterait même pas, mais dans 70 ans, je reviendrais, et je tuerais chacun d'entre vous dans d'atroces souffrances. Ma vengeance sera terrible. A partir de cet instant, vous n'aurez plus jamais le repos."
     
    Son bien-aimé allait vers son frère bien furieux et brise la nuque de son propre frère. Il versait des larmes en prenant sa dulcinée tout contre lui et l'embrassait sur le front puis sur ses lèvres passionnément. La sorcière était bien émue et versait des larmes à la suite de cette attention. Il prenait l'occasion de lui dire au revoir. 
     
     (désespéré) : "Je ne veux pas que tu meurs ma chérie. Reste avec moi, reste avec moi, je t'en prie. Je t'aime. 
     
     (bien faible) : Je t'aime mon ange. Je ne tiendrais plus longtemps. Chéri, on se reverra dans une autre vie, je t'en fais la promesse et ne t'inquiète pas. Dans cette autre vie, tu me reconnaitras et on s'aimera comme avant. 
     
     (désespéré) : Tu es un ange. Mais tiens le coup, je vais te sauver. 
     
     (faible) : Je ne serais pas sauvé. Au revoir mon amour, on va se retrouver. 
     
     (triste) : Au revoir bel ange de ma vie."
     
    Sa bien-aimée venait de mourir et il s'en trouvait bien inconsolable. Peu de temps plus tard, une pierre tombale était érigée du côté de la barrière judaique. On pouvait voir le nom de la sorcière. Elle s'appelait Eleanore Harlington. De nos jours, à New York, une jeune femme blonde et assez dynamique se rendait à son travail au coeur même de la ville de New York. Elle était épanouie que tous ceux qui la fréquentaient sentaient sa belle lumière. Elle arrivait à un lieu bien réputé : une bibliothèque où bon nombre de personnes venaient chercher le livre qui ne se trouvait nulle part ailleurs. Un agent de la sécurité faisait signe en lui disant bien "Bonjour Mademoiselle Cassandra Eleanore Harlington." Cassandra se contentait de sourire, un bien communicatif. Celle-ci allait donc commencer son travail, faisant un inventaire des livres évoquant la France et le Sud-Ouest en particulier quand soudain, elle entendait une voix appelant à l'aide. Cassandra pensait que ce n'était que son imagination, n'ayant pas beaucoup dormi la nuit dernière. Elle se remettait au travail, voyant l'expansion des vignobles du Médoc en particulier ceux appartenant aux Rotschild quand la voix se mettait à parler et là, Cassandra pouvait entendre un "aide-moi." Elle était courageuse qu'elle osait l'affronter. 
     
     (déterminée) : "Qui va là ? Qu'est-ce que vous voulez ?"
     
    Et là, au lieu de répondre, une force invisible se mettait à envahir la pièce. Cassandra tentait de partir, mais cette force bloquait les accès, faisant que la jeune femme soit à sa merci. Là, la jeune femme prenait peur, criant de toutes ses forces. Cependant la force venait près d'elle, s'insinuait tout au fond de son être. Un chamboulement avait lieu et tout revenait à la normal, comme si rien ne c'était passé. Cassandra avait fermé les yeux et les rouvrait, souriant et rigolant. 
     
      (satisfaite) : "Maintenant il est temps de jouer." 
     
    Cassandra faisait apparaître dans sa main une petite glace où elle pouvait admirer son nouveau elle. Elle se trouvait magnifique mais elle avait son objectif toujours en tête, ce qu'elle avait promis il y a de cela plus de 70 ans. Alors, elle savait quoi faire pour obtenir ce qu'elle désirait. Elle fermait les yeux très fort, pensant à trouver un Hawkins de cet époque. A ce moment-là, des images défilaient dans la glace montrant des images de son bien-aimé après sa mort tué quelques mois plus tard, lors du débarquement en Normandie afin de repousser l'ennemi nazi. Ensuite, elle prenait connaissance de ce qui était arrivé à la famille Hawkins au cours de ses décennies. Le malheur les avait frappé de plein fouet. Les descendants de son bien-aimé et du reste de sa famille étaient partis de la France pour s'exiler aux Etats-Unis. Là, l'un d'entre eux était mort pendant la guerre du Vietnam, d'autres sont morts des suites de maladie, ou d'accidents mortels. Un, prénommé Matthew avait tenté de revenir en France, mais le malheur avait vite frappé, car étant un militaire, il avait été envoyé en Algérie où malheureusement il fut tué pr un de ceux se battant pour une Algérie libre de la colonie française. Les années 1980, 1990 n'étaient pas des plus florrissantes pour la famille qui connaissèrent un destin tragique. Elle arrivait jusqu'à notre époque où elle pouvait observer que dans la famille Hawkins, il ne restait qu'une mère veuve et seul un Hawkins : Declan John. Voyant son visage, Cassandra souriait enfin jusqu'à ce que l'une de ses collègues ne vienne la voir afin de savoir où elle en était dans son inventaire. La jeune femme était carrément énervée qu'elle propulsait d'un simple geste de la main contre le mur. Sa collègue était effrayée. Cassandra souriant, s'approchait de sa victime et d'un geste délicat de la main brisait la nuque. Sa victime tombait sur le sol telle une crêpe et disparaissait dans un nuage de fumées afin de retrouver sa proie. Pendant ce temps, un homme arrivait sur une scène de crime. Tout le monde le laissait passer afin de voir la victime. Le meurtre avait eu lieu tard la veille au soir sur ce lieu appartenant à une riche milliardaire spécialisée dans l'informatique et dont beaucoup d'employés auraient pu remarquer quelque chose de suspect. La victime était une femme d'une trentaine d'années blonde, visiblement étranglé. Quelqu'un le regardait, afin qu'il donne sa conclusion.
     
       (agacé) : "Non, mais vous croyez que je suis devin ou quoi ?"
     
    Cet homme était écouté. En effet, il pouvait l'être vu qu'il s'agissait de l'inspecteur chargé de l'enquête Michael Turner. Depuis plusieurs semaines, des cas avérés de femmes blondes plutôt dans la trentaine étaient retrouvées Il patogeait n'ayant pas de pistes sérieuses, mais par contre, il pensait en avoir en allant voir la propriétaire de cet établissement. Celle-ci s'appelait Lauren Jane Clark et elle avait obtenu son statut en se battant contre cet univers bien masculin, mais niveau vie privée, elle semblait cacher le tout derrière une porte bien fermée afin que personne ne puisse deviner ce qu'elle ressente. Michael venait vers elle. Alors qu'elle semblait être seul, elle recevait comme une sorte de message télépathique et elle semblait énervée. Cependant, sur son visage, rien ne transparaissait de son état émotionnel.
     
        (montrant ce qu'elle ressentait par télépathie) : "Pardon ? Donc la sorcière a réussi à revenir d'entre les morts. Il faut la remettre six pied sous terre, sinon, vous pouvez être certain que nos plans seront mis à rude épreuve. Je m'occupe du dernier Hawkins, mais aussi de l'inspecteur. Attaquons la sorcière sur les deux tableaux."
     
    Son conseil était bien passé. Sur le chemin, Michael en profitait pour appeler celle qui faisait battre son coeur, mais visiblement, elle ne répondait pas, et cela l'inquiétait. 
     
     (se posant des questions) : "Mon amour, où tu es ? C'est que je n'ai aucune nouvelle de toi, alors que l'on devait se retrouver pour un moment en amoureux. Je t'aime et tu me manques horriblement. Je ne supporterais pas qu'il t'arrive quelque chose. Rappelle-moi au plus vite."
     
    Il raccrochait au moment d'arriver près de la patronne de l'entreprise. Celle-ci en voyant l'inspecteur remarquait bien que Cassandra avait très bon goût, et détourner ce bellâtre d'elle serait déjà la première victoire. Prendre également sa proie pour l'empêcher de se venger serait l'aboutissement total. La belle brune s'approchait d'un pas décidé et déterminé, roulant des hanches afin d'installer une vision de rêve qu'il en sera subjugué. Se mordillant la lèvre, elle bougeait délicatament ses cheveux pour montrer qu'elle menait le jeu. Michael était légèrement déstabilisé, mais ne laissait rien transparaître afin de pouvoir mener le dialogue là où il le souhaitait.
     
      (déterminé) : "Madame Clark, connaissez-vous cette jeune femme ? 
     
     (s'approchant tout près de sa proie au point qu'il pouvait sentir le souffle de la belle sur son corps et l'achève avec un clin d'oeil) : Appelez-moi Lauren mon chou, j'y tiens. Madame, ça fait tellement cliché et formel. Sinon, cette jeune femme faisait partie de mon staff personnel. 
     
     (troublé) : Oh, je vous appelerai Lauren dans ce cas. Mais quand avez-vous vu pour la dernière fois cette jeune femme ? 
     
     (comptant bien troubler sa proie en touchant son nez avec son index) : La moindre des choses mon chou serait que je connaisse votre prénom non ? Ne pas connaître un homme avec un visage d'ange comme le vôtre serait un sacrilège. 
     
     (souriant légèrement) : Appelez-moi Michael mais s'il vous plait, pas devant tout le monde. 
     
     (lui faisant un clin d'oeil coquin) : Comptez sur moi beau brun. 
     
     (tentant de résister à la belle) : Cependant, vous n'avez pas répondu à ma question. Alors votre employée, quand l'avez-vous vu pour la dernière fois. 
     
     (mimant le fait d'être gênée) : Oh, excusez-moi. Alors, je l'ai vu hier dans la journée. Elle me montrait ses progrès sur notre prochain logiciel qui sera bientôt commercialisé. 
     
     : Il faudrait me montrer ce logiciel. 
     
     (s'approchant du bellâtre et effleurant son épaule tout en mordillant sa lèvre pour éveiller un tel désir qu'il succombera) : Oh, je vous montrerais absolument tout. 
     
     (se sentant vibrer mais reprend ses esprits en repoussant légèrement la belle) : Par contre, je vous préviens de suite, j'ai quelqu'un. 
     
     (étant entreprenante) : Mas je ne vois aucune alliance, alors elle ne vous a pas enchaîné, et puis je ne la vois nulle part. Suivez-moi, et je vous ferais découvrir mon univers."
     
    Michael en prenant cette enquête n'avait jamais pensé se retrouver devant une telle femme qui savait ce qu'elle désirait. Allait-il pouvoir résoudre cette enquête corectement ou tomber dans le piège de cette créature sans scrupule ? Et au fond qui était-elle pour parler par télépathie ? En même temps, dans la demeure Hawkins, Declan John se sentait comme prisonnier d'un endroit, d'une situation qu'il n'a lui-même jamais voulu. Depuis tout petit, il a été grandement entouré et protégé par des gardes du corps, par des personnes qui devaient s'assurer que rien ne lui arrive que ce soit accident, ou même à un éventuel assassinat. C'était sa mère qui avait organisé tout cela, et pour lui, même s'il aimait, il n'avait pas l'occasion de vivre sa propre expérience sans être surveillé 24h/24. Sans cesse, on lui répétait qu'il était le dernier descendant mâle Hawkins qui pourrait continuer à perpétrer la valeur familiale. Sa mère lui répétait même qu'il deviendrait quelqu'un de vraiment important, au destin hors du commun s'il faisait attention. Cependant, à cette surveillance très stricte, il avait le droit de voir une personne, une amie bien proche, voire plus si affinités, mais en regardant l'heure, celle-ci était en retard. Il la connaissait se disant qu'elle se faisait désirer. Declan tournait en rond et cela l'énervait de ne pas la voir arriver que soudain, un vase explosait sans qu'il le touche. Il ne faisait pas attention, mais sans le savoir, son destin de sorcier était lancé. Son amie s'appelait Melody Collins, et elle était souvent regardée par les personnes qui pouvaient la croiser sur son passage. Seulement, celle-ci était coincée par un des gardes du corps qui prenait à coeur le fait que Declan reste en vie. Il s'appelait Carter Bennet et cela faisait une semaine qu'il était engagé par la maîtresse de maison pour prendre soin du jeune homme. C'était un homme qui gardait son passé pour lui, ne donnant pas sa confiance à n'importe qui. Son passé était bien mystérieux et cela faisait deux semaines seulement qu'il était arrivé à New York. Dans quel but il était là ? Là, c'était la question. Simplement, il stoppait la demoiselle avec la main, mais celle-ci n'avait pas dit son dernier mot. En effet, elle désirait au fond posséder Declan, et elle n'allait pas tout laisser tomber alors qu'elle se comportait telle une confidente et elle sentait bien qu'elle pouvait l'avoir en usant délicatement de ses charmes. Elle devait passer cet obstacle, et elle devait l'avouer, la mère de Declan avait très bon goût. Elle trouvait Carter plutôt beau gosse et bien bâti. Alors, elle s'approchait de lui, se mettant au plus près, et jouant de son visage angélique pour le charmer.
     
     (entreprenante en touchant légèrement la joue de sa cible) : "La famille me connait bien. Et elle sait que je dois venir alors vous devriez me faire cette faveur, et je dirais un mot gentil à Mme Hawkins, qu'en dites-vous ? 
     
     (plutôt déstabilisé mais ne laissait rien transparaître, préférant jouer les curieux afin de déstabiliser la belle) : Oh, mais c'est que je n'ai rien reçu comme consigne de la part de Mme Hawkins, qui me dit que vous ne me mentez pas, que vous n'essayez pas de passer pour faire du mal à cette famille ? 
     
     (coquine en descendant légèrement sa main au niveau du cou du bellâtre, se mordillant la lèvre légèrement pour le faire fondre) : Regardez-moi, une fille si gentille, qu'est-ce qu'elle peut faire de si mauvais dites-moi ?
     
     (prenant la main de la jeune femme pour tenter de lui résister) : Vous savez, chaque personne est différente et peut apporter son lot de surprises bon comme mauvais et c'est généralement celles avec un visage si angélique qu'elles en apportent le plus. 
     
     (souriant malicieusement tout en caressant l'intérieur de sa main pour le troubler et le faire douter) : Qui vous dit que je fais partie de ses personnes apportant leur lot de surprises ? Et puis, on peut apprendre à se connaître avant de juger une personne, vous ne croyez pas ? 
     
     (légèrement déstabilisé et compte bien voir où elle peut aller) : Bien sûr que l'on peut apprendre à se connaître, mais comme je suis en service, je ne peux pas maintenant. 
     
     (coquine et entreprenante comptant bien tout faire pour avoir un laisser-passer permanent pour voir Declan en touchant légèrement son torse avec sa main, se rapprochant dangereusement des lèvres de celui-ci et lui faisant un clin d'oeil) : Vous n'aimez pas le danger ? Vous n'aimez pas ce que cela peut procurer ? On peut le faire maintenant vous et moi, et personne ne le saura. Je garderais le secret, promis.
     
     (curieux) : Où souhaitez-vous être avec moi ? 
     
     (voyant l'extérieur la terrasse et les chaises, le lieu idéal et lui murmurait à l'oreille en montrant au bellâtre) : Là-bas, on sera plus tranquille beau brun, ça vous intéresse ? 
     
     (charmé) : Je vous suis mais tout d'abord, je souhaiterais connaître votre nom. 
     
     (touchant son nez avec son index pour le titiller) : Je m'appelle Melody mon chou et toi beau brun ? 
     
     (souriant) : Je m'appelle Carter. 
     
     (entreprenante en l'incitant à venir avec elle) : Venez avec moi, mantenant on va parler de tout ce que vous désirez et plus encore."
     
    Melody faisait un clin d'oeil à Carter et l'emmenait à l'endroit indiqué. De son côté, Michael se sentait bien pris au piège par le charme de la belle Lauren, mais il pensait à son objectif, et reprenait ses esprits. Il la regardait et était prêt à la suivre, sans savoir finalement ce qu'il pouvait voir là-bas. 
     
     (prêt à suivre toutes les voies pour connaître la vérité sur le meurtre de la jeune femme) : "Je suis prêt à vous suivre Lauren. 
     
     (coquine en caressant subtilement son cou et son épaule puis prenant la main de sa proie en caressant l'intérieur avec son pouce) : Alors partons-vite pour la visite, vous ne le regretterez pas, croyez-moi. 
     
     (essayant de résister) : Mais c'est surtout professionnel. 
     
     (se plongeant dans le regard de sa proie pour l'ensorceler) : Oh, mais qui vous dit que vous direz cela à l'intérieur ?"
     
    Elle ne le laissait pas répondre qu'elle l'entraînait vers l'intérieur, où sans le savoir, Michael se promenait avec une véritable diablesse. Au même instant, Cassandra apparaissait discrètement dans la demeure des Hawkins. Ne voyant personne pour l'instant, elle déambulait dans cet endroit qui était une réplique de celle qu'elle avait connu juste à la sortie de Bordeaux. Elle voyait les portraits des différents Hawkins qui avaient foulé cet endroit. Elle passait devant celu de son bien-aimé, s'y arrêtant un moment et le touchant délicatement avec sa main. Pendant un bref instant, elle repensait à cette vie qu'elle avait aimé mais ensuite qui lui avait été sauvagement arrachée. Elle reprenait ses esprits en voyant du personnel et se cachait discrètement dos à une porte pour ne pas se faire remarquer. De là où elle était, elle pouvait discrètement en neutraliser certains, les faisant s'endormir. Ainsi, elle n'attirait pas l'attention et elle se remettait en marche, sentant que sa proie était toute proche. Declan de son côté voyait le temps passer et il n'y avait pas de Melody. Il s'inquiétait et comptait bien avoir des explications avec sa mère pour savoir si elle n'était pas par hasard intervenue avec Melody quand soudain, il entendait du bruit. Il ne bougeait pas, préférant attendre et là, il voyait une femme plutôt belle et somptueuse, avec un charme qu'il n'aurait jamais cru voir. Celle-ci se tournait, voyant un jeune homme au visage d'ange et là, elle voyait l'occasion de se venger de celle qui lui avait fait autant de mal et il s'agissait de la mère de Declan. Elle s'approchait de lui. Celui-ci était sous le charme de cette belle créature. D'ailleurs, jamais il n'aurait pensé voir une femme comme elle. Quand elle était toute proche de lui, il se sentait perdu et déstabilisé, qu'il ne savait pas quoi dire. Pour la demoiselle, il était temps d'agir en étant à la fois subtile, maternelle et charmante pour le manipuler et ainsi obtenir ce qu'elle désirait. 
     
     (se montrant à la fois douce et entreprenante) : "Serais-je à l'origine de ce teint rougeâtre sur tes joues ?
     
     (charmé et tentant de se reprendre) : C'est que vous êtes belle. 
     
     (sentant un peu de timidité qu'elle laissait glisser sa main sur la joue du jeune homme pour le rassurer et l'attendrir) : Tu es si charmant, ce n'est pas souvent que l'on me dit ce genre de compliments. Mais tu sais, tu peux me tutoyer. 
     
     (gêné) : Oh bien sûr, je vais essayer. Et je ne comprends pas qu'avec une femme aussi charmante, il n'y a pas souvent des compliments. C'est une injustice à votre... ton encontre.
     
     (le rassurant tout en donnant un léger baiser sur sa joue) : Ne t'inquiète pas. Avec moi, tu peux parler sans crainte et dire ce que tu penses. Appelle-moi Esperanza, j'en serais même très touchée. 
     
     (souriant et déstabilisé) : C'est un magnifique prénom et moi, c'est Declan. Jamais je n'ai osé surtout avec toutes ses personnes autour de moi.  
     
     (pensant à celle dont elle voulait se venger et voyant l'occasion de le manipuler en commençant par placer son index sur ses lèvres, descendant subtilement jusqu'à son menton) : Chut. N'ai pas peur. Je sens que tu as besoin de libertés, de pouvoir prendre ta vie en main. Et je peux t'y aider. 
     
     (ne voulant pas se faire avoir voyant que Melody n'était toujours pas là) : Je ne voudrais surtout pas déranger, ni faire fuire une si belle femme. 
     
     (jouant la maternelle en le prenant dans ses bras et caressant ses cheveux) : Tu ne me déranges pas bel ange, bien au contraire. Et tu mérites de si belles choses. Personne ne devrait t'empêcher de faire ce dont tu as envie. 
     
     (souriant) : Je ne mérite pas autant de gentillesse de ta part. Tu es la première à me laisser autant de libertés. 
     
     (caressant subtilement et malicieusement son oreille, effleurant légèrement son cou puis le début de son torse, se mordillant légèrement la lèvre) : Un beau brun mérite de si belles attentions. Dis-moi qui ose te restreindre le tout. 
     
     (se laissant influencer) : Ma mère est la responsable. 
     
     (se montrant compréhensive et commençant sa manipulation) : Pourtant tu es un beau jeune homme capable de prendre ses responsabilités, je ne comprends pas. 
     
     (perdu) : Je ne comprends pas non plus. 
     
     (se permettant de donner un doux baiser sur les lèvres de sa proie pour le faire frémir) : Avec moi, tu peux être toi-même, te confier, et je t'aiderais à devenir quelqu'un. 
     
     (charmé) : Ce baiser, ses mots, j'ai l'impression de rêver.  
     
     (pensant au plan du secret pour attraper sa proie) : Oh, mais c'est la réalité, mais cependant on doit se voir en secret. 
     
     (prêt à tout) : Mais si c'est ma mère qui fait peur, je l'affronterais pour pouvoir te voir davantage. Je voudrais de nouveau te sentir contre moi. Je suis perdu déjà. 
     
     (se montrant bien coquine en plaçant les mains du jeune homme sur son corps, le remontant sur ses cuisses puis vers sa poitrine pour l'apâter) : Pense déjà à ceci. Rien que de sentir tes mains, tu fais de moi une femme comblée.
     
     (complètement charmé prenant la main de la belle) : Reste avec moi. 
     
     (procurant une légère douceur à son oreille et lui murmurant de douces paroles) : Fais tout pour me rejoindre chez moi, et on finira cette discussion.
     
     (heureux) : D'accord."
     
    Esperanza avait réussi son pari que le jeune homme était sous son charme. Elle partait, n'ayant plus qu'à attendre chez elle que le poisson morde à l'hameçon. Maintenant, elle avancerait petit à petit pour arriver à ses fins. Esperanza Maria Cruz était au début une femme profitant d'une vie de richesse mais la mère de Declan lui avait pris ce qui lui permettait de vivre constamment dans le luxe. Elle se promettait de tout faire pour lui faire payer. Seulement, ce qu'Esperanza ignorait, c'était que Cassandra n'était pas loin, et qu'elle allait tout faire pour contrecarrer ses plans. De son côté, Melody était toujours déterminée à avoir son laisser-passer, et sachant sa proie Carter presque sous son charme, elle allait être bien entreprenante, coquine et subtile pour réussir à passer la barrière et voir Declan. Ils étaient à la terrasse et Carter, en bon gentleman, laissait Melody s'installer d'abord et s'asseyait ensuite. 
     
     (jouant les curieuses tout en prenant la main de sa proie, caressant l'intérieur avec son pouce et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler) : Alors comment un bellâtre comme vous est venu à être au service de Mme Hawkins ? 
     
     (charmé, mais tentait de ne rien laisser transparaître) : Oh, vous savez j'ai sauté sur l'offre d'emploi comme tout le monde. 
     
     (montant son pouce vers son poignet le caressant vigoureusement et jouant sur les mots pour le déstabiliser) : Oh, comme tout le monde ? Je refuse de le croire, surtout un beau gosse tel que vous. 
     
     (essayant de renverser la manoeuvre de la belle) : Ne seriez-vous pas en train d'essayer de me faire rougir ? 
     
     (la jouant coquine caressant la joue malicieusement de sa proie et laissant son pied remonter contre celui de sa cible) : Si je vous dis que oui, comment serait votre réaction ? 
     
     (souriant) : Je serais plutôt enchanté, surtout d'une femme aussi belle que vous. 
     
     (la jouant perverse en s'approchant dangereusement du visage de sa cible et touchant son nez avec son index pour le troubler) : Ne serait-ce pas vous maintenant qui essayait de me faire rougir ? 
     
     (essayant de ne rien laisser transparaître mais c'était si difficile de résister) : J'essaye, car je serais curieux de voir ce teint rougeâtre sur vos joues. 
     
     (jouant la gênée, guidant la main de sa proie vers sa joue, et le laissant descendre sur son cou, même le haut de sa poitrine pour le tenter) : Vous le voyez maintenant et comment je suis ? 
     
     (charmé, sentant le désir monter en lui) : Qui êtes-vous mademoiselle ? 
     
     (jouant la coquine en se levant de sa chaise et s'asseyant sur les genoux de son bellâtre, caressant ton torse et glissant ses doigts sous sa chemise pour éveiller un tel désir qu'il ne pourra résister) : Chut, ce n'est pas l'important sur l'instant. Il y a vous, il y a moi. Il y a nous deux et rien d'autre. Je sens que vous me désirez alors qu'attendez-vous pour sentir mes lèvres sur les vôtres ?"
     
    Là, elle lui faisait un clin d'oeil, guidant sa main sur ses cuisses et titillant ses lèvres avec les siennes pour le mettre au supplice. Plaçant sa main à l'arrière de sa tête, caressant ses cheveux, Melody toujours aussi déterminée regardait sa proie avec une telle envie, laissant transparaître la diablesse qui était en elle. Elle l'embrassait sauvagement, mêlant sa langue à la sienne. Carter dans son esprit aurait voulu résister. Il le désirait, mais cette femme lui faisait un tel effet qu'il le prolongeait, se laissant avoir par son charme et ce visage d'ange. De leur côté, Michael pénétrait dans l'univers de Lauren. Celle-ci, discrètement, lançait un sortilège afin que l'entreprise reflète parfaitement l'idée de ce que tout commun des mortels verrait. Michael voyait donc en apparence comment l'entreprise fonctionnait, avec ses employés qui couraient dans tous les sens car ils étaient sur une idée lumineuse. Il admirait le tout, mais ne laissait rien transparaître. Lauren savait qu'il fallait passer à la vitesse supérieure afin d'avoir sa proie. En plus, elle pensait piéger Cassandra en se servant de celui qui était son petit ami dans cette vie-ci. Un sortilège subtil ? Après de multiples sorts possibles, elle finissait par penser à un bien subtil : le baiser. Elle userait de charme, de finesse et se montrant entreprenante pour arriver à ses fins. Elle posait innocemment sa main sur l'épaule de sa cible l'effleurant jusqu'à son cou pour l'envoûter. Michael se tournait, et il croisait le regard de la belle qui était plus qu'ensorcelant.
     
      (jouant les curieuses pour mieux le piéger) : "Comment trouvez-vous l'entreprise ? 
     
     (plutôt impressionné mais tentait surtout de ne pas le montrer) : Je dois dire que votre entreprise sait y faire, et la voyant ainsi, comment votre employée se débrouillait ? 
     
     (se montrant entreprenante en glissant ses mains sur son cou et le bout de ses doigts sous le haut de sa chemise) : Plutôt bien, mais si vous souhaitez voir davantage, je peux vous montrer tous les avantages de cet environnement particulier et vous ne voudrez plus en sortir croyez-moi. 
     
     (complètement déstabilisé mais essayant de résister) : Comment pouvez-vous savoir que je ne résisterais pas  ? 
     
     (étant entreprenante, glissant une de ses mains près de ce qu'elle désirait et lui faisant un clin d'oeil) : Parce que vous êtes attirés par moi mon chou. 
     
     (comptant jouer avec elle pour connaître ses intentions) : Si je vous dis que c'est le cas, qu'est-ce que vous ferez ?
     
     (lui faisant un clin d'oeil et lui procurant une douceur à son oreille) : D'après toi beau brun. 
     
     (essayant de résister) : Je ne peux pas. 
     
     (le plaquant contre un mur et laissant sa jambe caresser le corps du bellâtre) : Maintenant tu n'as pas le choix. 
     
     (charmé) : Vous n'avez peur de rien. 
     
     (souriant satisfaite) : Crois-moi, tu diras autre chose après ça."
     
    Lauren s'approchait dangereusement de sa proie, titillant les lèvres de celle-ci avec les siennes puis l'embrassant telle une perverse, glissant sa main sous son haut pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister. Il essayait de ne pas succomber, mais c'était peine perdue. Il prolongeait ce baiser sans savoir que celui-ci allait être un moyen de piéger sa petite amie. Lauren désirait affaiblir sa rivale, la neutraliser, et cela commençait par sa puissance. Le sentant même à point, Lauren prenait sa main l'emmenant dans une pièce bien privée. Il se laissait faire étant complètement sous le charme et celle-ci fermait la porte derrière elle. Etait-il complètement piégé ? De son côté, Cassandra sortait de sa cachette et continuait à déambuler quand elle sentait bien sa proie toute proche. Entendant la voix d'une femme, elle usait de télékinésie pour coincer la porte, afin qu'elle ne soit pas dérangée lorsqu'elle agira. Declan en même temps, essayait de voir pour s'éclipser de cette demeure, cete prison qui l'empêchait de vivre. Cassandra continuait sa route également et là, elle voyait le jeune homme. En lui, elle pouvait reconnaître ce qui faisait toutes les caractéristiques de l'homme qu'elle avait aimé, mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de se souvenir de celui qui lui avait ôté la vie. Là, elle avait une idée, et elle allait se la jouer fine pour attirer l'attention du jeune homme. Elle avançait, et faisant mine de le percuter. Declan était déstabilisé et voyait une femme blonde. Il pensait que c'était même irréel. Cassandra comptait se la jouait gêner afin de le charmer. 
     
      (la jouant confuse) : "Oh, pardonnez-moi.  
     
     (se montrant gentil) : Ce n'est pas grave mademoiselle. C'est la première fois que je vous vois ici. 
     
     (usant de mensonges pour le manipuler) : J'étais engagée pour travailler dans la rénovation de votre demeure. C'est que j'aime connaître l'histoire, et cette demeure en contient. 
     
     (triste mais aussi curieux) : J'ai surtout l'impression que l'on a construit une prison. Mais que comptez-vous faire avec celle-ci ? 
     
     (ayant touché le point sensible et allant s'y engoufrer pour mieux pour le manipuler tout en étant entreprenante en glissant malicieusement sa main sur sa joue et son cou) : Oh j'en suis désolée et je comprends rien qu'à voir comment est cette demeure. Je compte apporter de la lumière, montrer que c'est un espace où on peut être serein et aussi faire tout ce que l'on a envie, même les plus inavouables. 
     
     (troublé) : Jamais je n'ai rencontré une femme telle que vous. 
     
     (procurant une douceur à l'oreille de sa proie) : Appelle-moi Cassandra trésor. 
     
     (rougissant) : Oh, mais vous cherchez à me faire rougir. 
     
     (coquine en effleurant le torse de sa cible, glissant légèrement ses doigts sous son vêtement) : Et même davantage que tu ne pourras l'imaginer. 
     
     
     (essayant de penser à celle qui occupait ses pensées Esperanza) : Je ne peux rester longtemps, j'ai rendez-vous. 
     
     (effectuant comme des dessins sur sa peau, faisant une moue et avec son pied, elle caressait le bas de sa jambe pour le mettre au supplice) : Vous ne voudriez pas rester avec moi ne serait-ce qu'un petit peu ? Je serais triste sinon."
     
    Elle avait l'occasion de le manipuler, et elle allait vite savoir si sa manoeuvre fonctionnait. Sinon, elle lira dans les pensées de sa victime et le retournera contre lui. Au même instant, Carter était auprès de Melody, qui faisait durer ce baiser le plus longtemps possible, allant jusqu'à lentement enlever ce que portait le bellâtre, admirant le torse de sa proie et le griffant coquinement. Là, Carter avait réussi à s'éloigner quelques instants de la séductrice, la regardant dans les yeux. 
     
      (se plongeant dans le regard de la belle) : "Je suis au travail. C'est impensable de faire cela, surtout si ma patronne vient à nous surprendre.  
     
     
     (coquine et posant son index sur les lèvres de sa cible) : Chut mon chou. Je suis certaine que tu n'as pas envie que je parte. Dis-le moi bébé, dis-moi que tu as envie de moi. Je le sais, je le sens. Ton corps ne cesse de me réclamer. 
     
     (ne pouvant résister) : Je ne peux pas. Tu es un ange tombé du ciel. J'aurais dû te rencontrer plus tôt. J'ai envie d'être près de toi. 
     
     (le titillant du bout des lèvres) : Tu vas voir, je vais combler tous tes désirs et plus encore."
     
    Melody en profitait pour laisser sa main glisser sous le pantalon de sa proie, arrivant là où elle le désirait, et elle le malaxait coquinement, tout en couvrant de baisers Carter qui tombait de plus en plus sous son charme. Elle remontait sa main tranquillement, afin d'éveiller un tel désir en lui qu'il ne pourra se contrôler. Il en devenait fou qu'il l'embrassait dans le creux de son cou. Melody en profitait pour descendre son haut suffisamment pour laisser apparaître sa poitrine et là, elle le guidait vers celui-ci pour ressentir ses attentions. Carter la couvrait de baisers les plus fougueux qui soit et elle le coinçait dessus. Il devenait de plus en plus fou que celle-ci se déshabillait devant lui pour le torturer, et elle enlevait le reste des vêtements de sa cible. Il était carrément charmé qu'il caressait tout le corps de la belle mais celle-ci comptait bien aller plus loin. Aimant le contrôle, elle s'empalait sur ce qu'elle désirait, bougeant telle une déesse et coinçant la taille avec sa jambe. Carter était à sa merci. Les deux passèrent à l'acte dans un moment des plus torrides et endiablés. Ainsi, Melody comptait bien demander le laisser-passer permanent et elle était sûre de l'obtenir. Pendant ce temps, Declan était coincé avec Cassandra. Il désirait aller voir Esperanza le plus vite possible, mais l'attitude à la fois chaleureuse et coquine de la belle blonde avait vite fait de le troubler. Il ne savait pas quoi répondre à la demande. 
     
     (troublé) : "Je ne sais pas quoi dire. 
     
     (ayant ses doigs sous sa chemise et caressant sa peau avec une perversité déconcertante) : Tu n'as qu'à dire oui mon chou, et tu ferais de moi une femme absolument comblée. 
     
     (déstabilisé et ne sachant pas quoi dire) : Je..... 
     
    Cassandra ne comptait pas attendre bien longtemps la décision de Declan qu'elle remontait coquinement le torse de ce bel ange, y allant telle une diablesse et apposait sa main dessus, provoquant un sortilège. Là, Declan sentait que quelque chose clochait, mais n'avait pas le temps de savoir qu'il était foudroyé, s'écroulant subitement. Cassandra le prenait dans ses bras et l'emmenait ailleurs. S'était-elle vengée déjà ? 
     
     
     
     
    Fin du chapitre. 

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