• Chapitre 1 : La vengeance en héritage

    Chapitre 1 La vengeance en héritage
     
     
    En août 1943 du côté de Bordeaux, la place Gambetta ruait de soldats allemands qui surveillaient les moindres faits et gestes des habitants. C'était le soir, et quelqu'un courait pour échapper à un grand danger. Elle lançait désespérement un pouvoir d'énergie sur son agresseur mais rien n'y faisait. Il était d'autant plus coriace et continuait de la courser, ayant un poignard à la main. La jeune demoiselle continuait empruntant des petites ruelles jusqu'à ce qu'elle soit coincée et celui-ci se réjouissait d'avoir piégé la sorcière. Il en souriait tellement il était satisfait. La jeune femme était prête à se battre, et ce jusqu'à la mort si nécessaire qu'elle armait une boule de feu et allait le lancer. Elle préférait le prévenir des tourments qu'il allait subir en s'attaquant à une sorcière aussi puissante qu'elle. 
     
      (énervée) : "Tu t'attaques à une Harlington enfoiré, comment oses-tu te mesurer à moi ? Oh, c'est parce que je ne t'ai pas choisi, que je n'ai pas voulu que tu me prennes comme une chienne ? Salopard, espèce de collabo que tu es. Avec ce que tu as en dessous de la ceinture, tu ne m'aurais pas satisfaite et ton frère est nettement mieux. Et je l'aime, tu m'entends, je l'aime ! Alors, tu as le choix entre soit fuir telle une femmlette, soit te faire pulvériser par ma boule de feu que je t'expédie en enfer."
     
    Cependant son agresseur ne préférait pas répondre, ne bougeant que son poignard et affichant un sourire digne des plus grands faux-cul de la planète. Les deux se regardaient dans les yeux, attendant qu'un fasse le premier pas quand soudain, une autre personne arriva. Celle-ci était horrifié de voir ce qui arrivait qu'il cria. 
     
     (effrayé) : "Laisse-là, c'est ma future femme. Si tu la touches, je te jure que je te tue, et je te ferais souffrir. Elle est ce que j'ai de plus cher, ma raison de vivre. J'espère que tu as compris ? Et surtout ne me fais pas ton sourire de faux-cul, car là, je te massacre. 
     
     (défaitiste) : Mais ça m'étonnerait qu'il t'écoute. Il ne comprend rien à rien. Sauf s'il est arrivé à se greffer un cerveau, là, ce sera un miracle sans précédent. 
     
     (la rassurant) : Ma chérie, ne t'inquiète pas, je vais raisonner mon frère et te sauver. Je ne peux pas vivre sans toi. Je t'aime, je t'aime tellement. Tu occupes mes pensées, mes rêves les plus fous. Chaque parcelle de mon être t'appartient à tout jamais. Tu me rends fou. 
     
     (émue) : Mon amour, tu es tout pour moi, tu éveilles chaque parcelle de mon être. Tu es ma vie, mon âme. Tu occupes mes pensées, mes rêves, et là, tout de suite, je viendrais t'embrasser, te montrer tout mon amour. Tu es l'homme dont j'ai toujours rêvé et jamais on ne sera séparé, peu importe la vie que l'on vivra. Je t'aime aussi plus que tout sur cette Terre."
     
    Là, l'agresseur avait décidé d'agir autrement et se tournait vers son propre frère. Il s'avançait rapidement. La jeune femme ne voulant pas perdre son bien-aimé se mettait à courir, afin d'arrêter ce futur massacre et là, l'agresseur se tourna, poignardant la jeune femme en plein estomac et recommençait l'expérience. A ce moment-là, la sorcière sentait la vie qu'elle avait en elle s'en aller. Son bien-aimé était carrément horrifié. La sorcière tombait à terre, visiblement bien enragée et allait sceller le clan de son bien-aimé tout entier. 
     
     (faible et folle de rage) : "Je vous maudis les Hawkins tous autant que vous êtes. Vous ne vous en douterait même pas, mais dans 70 ans, je reviendrais, et je tuerais chacun d'entre vous dans d'atroces souffrances. Ma vengeance sera terrible. A partir de cet instant, vous n'aurez plus jamais le repos."
     
    Son bien-aimé allait vers son frère bien furieux et brise la nuque de son propre frère. Il versait des larmes en prenant sa dulcinée tout contre lui et l'embrassait sur le front puis sur ses lèvres passionnément. La sorcière était bien émue et versait des larmes à la suite de cette attention. Il prenait l'occasion de lui dire au revoir. 
     
     (désespéré) : "Je ne veux pas que tu meurs ma chérie. Reste avec moi, reste avec moi, je t'en prie. Je t'aime. 
     
     (bien faible) : Je t'aime mon ange. Je ne tiendrais plus longtemps. Chéri, on se reverra dans une autre vie, je t'en fais la promesse et ne t'inquiète pas. Dans cette autre vie, tu me reconnaitras et on s'aimera comme avant. 
     
     (désespéré) : Tu es un ange. Mais tiens le coup, je vais te sauver. 
     
     (faible) : Je ne serais pas sauvé. Au revoir mon amour, on va se retrouver. 
     
     (triste) : Au revoir bel ange de ma vie."
     
    Sa bien-aimée venait de mourir et il s'en trouvait bien inconsolable. Peu de temps plus tard, une pierre tombale était érigée du côté de la barrière judaique. On pouvait voir le nom de la sorcière. Elle s'appelait Eleanore Harlington. De nos jours, à New York, une jeune femme blonde et assez dynamique se rendait à son travail au coeur même de la ville de New York. Elle était épanouie que tous ceux qui la fréquentaient sentaient sa belle lumière. Elle arrivait à un lieu bien réputé : une bibliothèque où bon nombre de personnes venaient chercher le livre qui ne se trouvait nulle part ailleurs. Un agent de la sécurité faisait signe en lui disant bien "Bonjour Mademoiselle Cassandra Eleanore Harlington." Cassandra se contentait de sourire, un bien communicatif. Celle-ci allait donc commencer son travail, faisant un inventaire des livres évoquant la France et le Sud-Ouest en particulier quand soudain, elle entendait une voix appelant à l'aide. Cassandra pensait que ce n'était que son imagination, n'ayant pas beaucoup dormi la nuit dernière. Elle se remettait au travail, voyant l'expansion des vignobles du Médoc en particulier ceux appartenant aux Rotschild quand la voix se mettait à parler et là, Cassandra pouvait entendre un "aide-moi." Elle était courageuse qu'elle osait l'affronter. 
     
     (déterminée) : "Qui va là ? Qu'est-ce que vous voulez ?"
     
    Et là, au lieu de répondre, une force invisible se mettait à envahir la pièce. Cassandra tentait de partir, mais cette force bloquait les accès, faisant que la jeune femme soit à sa merci. Là, la jeune femme prenait peur, criant de toutes ses forces. Cependant la force venait près d'elle, s'insinuait tout au fond de son être. Un chamboulement avait lieu et tout revenait à la normal, comme si rien ne c'était passé. Cassandra avait fermé les yeux et les rouvrait, souriant et rigolant. 
     
      (satisfaite) : "Maintenant il est temps de jouer." 
     
    Cassandra faisait apparaître dans sa main une petite glace où elle pouvait admirer son nouveau elle. Elle se trouvait magnifique mais elle avait son objectif toujours en tête, ce qu'elle avait promis il y a de cela plus de 70 ans. Alors, elle savait quoi faire pour obtenir ce qu'elle désirait. Elle fermait les yeux très fort, pensant à trouver un Hawkins de cet époque. A ce moment-là, des images défilaient dans la glace montrant des images de son bien-aimé après sa mort tué quelques mois plus tard, lors du débarquement en Normandie afin de repousser l'ennemi nazi. Ensuite, elle prenait connaissance de ce qui était arrivé à la famille Hawkins au cours de ses décennies. Le malheur les avait frappé de plein fouet. Les descendants de son bien-aimé et du reste de sa famille étaient partis de la France pour s'exiler aux Etats-Unis. Là, l'un d'entre eux était mort pendant la guerre du Vietnam, d'autres sont morts des suites de maladie, ou d'accidents mortels. Un, prénommé Matthew avait tenté de revenir en France, mais le malheur avait vite frappé, car étant un militaire, il avait été envoyé en Algérie où malheureusement il fut tué pr un de ceux se battant pour une Algérie libre de la colonie française. Les années 1980, 1990 n'étaient pas des plus florrissantes pour la famille qui connaissèrent un destin tragique. Elle arrivait jusqu'à notre époque où elle pouvait observer que dans la famille Hawkins, il ne restait qu'une mère veuve et seul un Hawkins : Declan John. Voyant son visage, Cassandra souriait enfin jusqu'à ce que l'une de ses collègues ne vienne la voir afin de savoir où elle en était dans son inventaire. La jeune femme était carrément énervée qu'elle propulsait d'un simple geste de la main contre le mur. Sa collègue était effrayée. Cassandra souriant, s'approchait de sa victime et d'un geste délicat de la main brisait la nuque. Sa victime tombait sur le sol telle une crêpe et disparaissait dans un nuage de fumées afin de retrouver sa proie. Pendant ce temps, un homme arrivait sur une scène de crime. Tout le monde le laissait passer afin de voir la victime. Le meurtre avait eu lieu tard la veille au soir sur ce lieu appartenant à une riche milliardaire spécialisée dans l'informatique et dont beaucoup d'employés auraient pu remarquer quelque chose de suspect. La victime était une femme d'une trentaine d'années blonde, visiblement étranglé. Quelqu'un le regardait, afin qu'il donne sa conclusion.
     
       (agacé) : "Non, mais vous croyez que je suis devin ou quoi ?"
     
    Cet homme était écouté. En effet, il pouvait l'être vu qu'il s'agissait de l'inspecteur chargé de l'enquête Michael Turner. Depuis plusieurs semaines, des cas avérés de femmes blondes plutôt dans la trentaine étaient retrouvées Il patogeait n'ayant pas de pistes sérieuses, mais par contre, il pensait en avoir en allant voir la propriétaire de cet établissement. Celle-ci s'appelait Lauren Jane Clark et elle avait obtenu son statut en se battant contre cet univers bien masculin, mais niveau vie privée, elle semblait cacher le tout derrière une porte bien fermée afin que personne ne puisse deviner ce qu'elle ressente. Michael venait vers elle. Alors qu'elle semblait être seul, elle recevait comme une sorte de message télépathique et elle semblait énervée. Cependant, sur son visage, rien ne transparaissait de son état émotionnel.
     
        (montrant ce qu'elle ressentait par télépathie) : "Pardon ? Donc la sorcière a réussi à revenir d'entre les morts. Il faut la remettre six pied sous terre, sinon, vous pouvez être certain que nos plans seront mis à rude épreuve. Je m'occupe du dernier Hawkins, mais aussi de l'inspecteur. Attaquons la sorcière sur les deux tableaux."
     
    Son conseil était bien passé. Sur le chemin, Michael en profitait pour appeler celle qui faisait battre son coeur, mais visiblement, elle ne répondait pas, et cela l'inquiétait. 
     
     (se posant des questions) : "Mon amour, où tu es ? C'est que je n'ai aucune nouvelle de toi, alors que l'on devait se retrouver pour un moment en amoureux. Je t'aime et tu me manques horriblement. Je ne supporterais pas qu'il t'arrive quelque chose. Rappelle-moi au plus vite."
     
    Il raccrochait au moment d'arriver près de la patronne de l'entreprise. Celle-ci en voyant l'inspecteur remarquait bien que Cassandra avait très bon goût, et détourner ce bellâtre d'elle serait déjà la première victoire. Prendre également sa proie pour l'empêcher de se venger serait l'aboutissement total. La belle brune s'approchait d'un pas décidé et déterminé, roulant des hanches afin d'installer une vision de rêve qu'il en sera subjugué. Se mordillant la lèvre, elle bougeait délicatament ses cheveux pour montrer qu'elle menait le jeu. Michael était légèrement déstabilisé, mais ne laissait rien transparaître afin de pouvoir mener le dialogue là où il le souhaitait.
     
      (déterminé) : "Madame Clark, connaissez-vous cette jeune femme ? 
     
     (s'approchant tout près de sa proie au point qu'il pouvait sentir le souffle de la belle sur son corps et l'achève avec un clin d'oeil) : Appelez-moi Lauren mon chou, j'y tiens. Madame, ça fait tellement cliché et formel. Sinon, cette jeune femme faisait partie de mon staff personnel. 
     
     (troublé) : Oh, je vous appelerai Lauren dans ce cas. Mais quand avez-vous vu pour la dernière fois cette jeune femme ? 
     
     (comptant bien troubler sa proie en touchant son nez avec son index) : La moindre des choses mon chou serait que je connaisse votre prénom non ? Ne pas connaître un homme avec un visage d'ange comme le vôtre serait un sacrilège. 
     
     (souriant légèrement) : Appelez-moi Michael mais s'il vous plait, pas devant tout le monde. 
     
     (lui faisant un clin d'oeil coquin) : Comptez sur moi beau brun. 
     
     (tentant de résister à la belle) : Cependant, vous n'avez pas répondu à ma question. Alors votre employée, quand l'avez-vous vu pour la dernière fois. 
     
     (mimant le fait d'être gênée) : Oh, excusez-moi. Alors, je l'ai vu hier dans la journée. Elle me montrait ses progrès sur notre prochain logiciel qui sera bientôt commercialisé. 
     
     : Il faudrait me montrer ce logiciel. 
     
     (s'approchant du bellâtre et effleurant son épaule tout en mordillant sa lèvre pour éveiller un tel désir qu'il succombera) : Oh, je vous montrerais absolument tout. 
     
     (se sentant vibrer mais reprend ses esprits en repoussant légèrement la belle) : Par contre, je vous préviens de suite, j'ai quelqu'un. 
     
     (étant entreprenante) : Mas je ne vois aucune alliance, alors elle ne vous a pas enchaîné, et puis je ne la vois nulle part. Suivez-moi, et je vous ferais découvrir mon univers."
     
    Michael en prenant cette enquête n'avait jamais pensé se retrouver devant une telle femme qui savait ce qu'elle désirait. Allait-il pouvoir résoudre cette enquête corectement ou tomber dans le piège de cette créature sans scrupule ? Et au fond qui était-elle pour parler par télépathie ? En même temps, dans la demeure Hawkins, Declan John se sentait comme prisonnier d'un endroit, d'une situation qu'il n'a lui-même jamais voulu. Depuis tout petit, il a été grandement entouré et protégé par des gardes du corps, par des personnes qui devaient s'assurer que rien ne lui arrive que ce soit accident, ou même à un éventuel assassinat. C'était sa mère qui avait organisé tout cela, et pour lui, même s'il aimait, il n'avait pas l'occasion de vivre sa propre expérience sans être surveillé 24h/24. Sans cesse, on lui répétait qu'il était le dernier descendant mâle Hawkins qui pourrait continuer à perpétrer la valeur familiale. Sa mère lui répétait même qu'il deviendrait quelqu'un de vraiment important, au destin hors du commun s'il faisait attention. Cependant, à cette surveillance très stricte, il avait le droit de voir une personne, une amie bien proche, voire plus si affinités, mais en regardant l'heure, celle-ci était en retard. Il la connaissait se disant qu'elle se faisait désirer. Declan tournait en rond et cela l'énervait de ne pas la voir arriver que soudain, un vase explosait sans qu'il le touche. Il ne faisait pas attention, mais sans le savoir, son destin de sorcier était lancé. Son amie s'appelait Melody Collins, et elle était souvent regardée par les personnes qui pouvaient la croiser sur son passage. Seulement, celle-ci était coincée par un des gardes du corps qui prenait à coeur le fait que Declan reste en vie. Il s'appelait Carter Bennet et cela faisait une semaine qu'il était engagé par la maîtresse de maison pour prendre soin du jeune homme. C'était un homme qui gardait son passé pour lui, ne donnant pas sa confiance à n'importe qui. Son passé était bien mystérieux et cela faisait deux semaines seulement qu'il était arrivé à New York. Dans quel but il était là ? Là, c'était la question. Simplement, il stoppait la demoiselle avec la main, mais celle-ci n'avait pas dit son dernier mot. En effet, elle désirait au fond posséder Declan, et elle n'allait pas tout laisser tomber alors qu'elle se comportait telle une confidente et elle sentait bien qu'elle pouvait l'avoir en usant délicatement de ses charmes. Elle devait passer cet obstacle, et elle devait l'avouer, la mère de Declan avait très bon goût. Elle trouvait Carter plutôt beau gosse et bien bâti. Alors, elle s'approchait de lui, se mettant au plus près, et jouant de son visage angélique pour le charmer.
     
     (entreprenante en touchant légèrement la joue de sa cible) : "La famille me connait bien. Et elle sait que je dois venir alors vous devriez me faire cette faveur, et je dirais un mot gentil à Mme Hawkins, qu'en dites-vous ? 
     
     (plutôt déstabilisé mais ne laissait rien transparaître, préférant jouer les curieux afin de déstabiliser la belle) : Oh, mais c'est que je n'ai rien reçu comme consigne de la part de Mme Hawkins, qui me dit que vous ne me mentez pas, que vous n'essayez pas de passer pour faire du mal à cette famille ? 
     
     (coquine en descendant légèrement sa main au niveau du cou du bellâtre, se mordillant la lèvre légèrement pour le faire fondre) : Regardez-moi, une fille si gentille, qu'est-ce qu'elle peut faire de si mauvais dites-moi ?
     
     (prenant la main de la jeune femme pour tenter de lui résister) : Vous savez, chaque personne est différente et peut apporter son lot de surprises bon comme mauvais et c'est généralement celles avec un visage si angélique qu'elles en apportent le plus. 
     
     (souriant malicieusement tout en caressant l'intérieur de sa main pour le troubler et le faire douter) : Qui vous dit que je fais partie de ses personnes apportant leur lot de surprises ? Et puis, on peut apprendre à se connaître avant de juger une personne, vous ne croyez pas ? 
     
     (légèrement déstabilisé et compte bien voir où elle peut aller) : Bien sûr que l'on peut apprendre à se connaître, mais comme je suis en service, je ne peux pas maintenant. 
     
     (coquine et entreprenante comptant bien tout faire pour avoir un laisser-passer permanent pour voir Declan en touchant légèrement son torse avec sa main, se rapprochant dangereusement des lèvres de celui-ci et lui faisant un clin d'oeil) : Vous n'aimez pas le danger ? Vous n'aimez pas ce que cela peut procurer ? On peut le faire maintenant vous et moi, et personne ne le saura. Je garderais le secret, promis.
     
     (curieux) : Où souhaitez-vous être avec moi ? 
     
     (voyant l'extérieur la terrasse et les chaises, le lieu idéal et lui murmurait à l'oreille en montrant au bellâtre) : Là-bas, on sera plus tranquille beau brun, ça vous intéresse ? 
     
     (charmé) : Je vous suis mais tout d'abord, je souhaiterais connaître votre nom. 
     
     (touchant son nez avec son index pour le titiller) : Je m'appelle Melody mon chou et toi beau brun ? 
     
     (souriant) : Je m'appelle Carter. 
     
     (entreprenante en l'incitant à venir avec elle) : Venez avec moi, mantenant on va parler de tout ce que vous désirez et plus encore."
     
    Melody faisait un clin d'oeil à Carter et l'emmenait à l'endroit indiqué. De son côté, Michael se sentait bien pris au piège par le charme de la belle Lauren, mais il pensait à son objectif, et reprenait ses esprits. Il la regardait et était prêt à la suivre, sans savoir finalement ce qu'il pouvait voir là-bas. 
     
     (prêt à suivre toutes les voies pour connaître la vérité sur le meurtre de la jeune femme) : "Je suis prêt à vous suivre Lauren. 
     
     (coquine en caressant subtilement son cou et son épaule puis prenant la main de sa proie en caressant l'intérieur avec son pouce) : Alors partons-vite pour la visite, vous ne le regretterez pas, croyez-moi. 
     
     (essayant de résister) : Mais c'est surtout professionnel. 
     
     (se plongeant dans le regard de sa proie pour l'ensorceler) : Oh, mais qui vous dit que vous direz cela à l'intérieur ?"
     
    Elle ne le laissait pas répondre qu'elle l'entraînait vers l'intérieur, où sans le savoir, Michael se promenait avec une véritable diablesse. Au même instant, Cassandra apparaissait discrètement dans la demeure des Hawkins. Ne voyant personne pour l'instant, elle déambulait dans cet endroit qui était une réplique de celle qu'elle avait connu juste à la sortie de Bordeaux. Elle voyait les portraits des différents Hawkins qui avaient foulé cet endroit. Elle passait devant celu de son bien-aimé, s'y arrêtant un moment et le touchant délicatement avec sa main. Pendant un bref instant, elle repensait à cette vie qu'elle avait aimé mais ensuite qui lui avait été sauvagement arrachée. Elle reprenait ses esprits en voyant du personnel et se cachait discrètement dos à une porte pour ne pas se faire remarquer. De là où elle était, elle pouvait discrètement en neutraliser certains, les faisant s'endormir. Ainsi, elle n'attirait pas l'attention et elle se remettait en marche, sentant que sa proie était toute proche. Declan de son côté voyait le temps passer et il n'y avait pas de Melody. Il s'inquiétait et comptait bien avoir des explications avec sa mère pour savoir si elle n'était pas par hasard intervenue avec Melody quand soudain, il entendait du bruit. Il ne bougeait pas, préférant attendre et là, il voyait une femme plutôt belle et somptueuse, avec un charme qu'il n'aurait jamais cru voir. Celle-ci se tournait, voyant un jeune homme au visage d'ange et là, elle voyait l'occasion de se venger de celle qui lui avait fait autant de mal et il s'agissait de la mère de Declan. Elle s'approchait de lui. Celui-ci était sous le charme de cette belle créature. D'ailleurs, jamais il n'aurait pensé voir une femme comme elle. Quand elle était toute proche de lui, il se sentait perdu et déstabilisé, qu'il ne savait pas quoi dire. Pour la demoiselle, il était temps d'agir en étant à la fois subtile, maternelle et charmante pour le manipuler et ainsi obtenir ce qu'elle désirait. 
     
     (se montrant à la fois douce et entreprenante) : "Serais-je à l'origine de ce teint rougeâtre sur tes joues ?
     
     (charmé et tentant de se reprendre) : C'est que vous êtes belle. 
     
     (sentant un peu de timidité qu'elle laissait glisser sa main sur la joue du jeune homme pour le rassurer et l'attendrir) : Tu es si charmant, ce n'est pas souvent que l'on me dit ce genre de compliments. Mais tu sais, tu peux me tutoyer. 
     
     (gêné) : Oh bien sûr, je vais essayer. Et je ne comprends pas qu'avec une femme aussi charmante, il n'y a pas souvent des compliments. C'est une injustice à votre... ton encontre.
     
     (le rassurant tout en donnant un léger baiser sur sa joue) : Ne t'inquiète pas. Avec moi, tu peux parler sans crainte et dire ce que tu penses. Appelle-moi Esperanza, j'en serais même très touchée. 
     
     (souriant et déstabilisé) : C'est un magnifique prénom et moi, c'est Declan. Jamais je n'ai osé surtout avec toutes ses personnes autour de moi.  
     
     (pensant à celle dont elle voulait se venger et voyant l'occasion de le manipuler en commençant par placer son index sur ses lèvres, descendant subtilement jusqu'à son menton) : Chut. N'ai pas peur. Je sens que tu as besoin de libertés, de pouvoir prendre ta vie en main. Et je peux t'y aider. 
     
     (ne voulant pas se faire avoir voyant que Melody n'était toujours pas là) : Je ne voudrais surtout pas déranger, ni faire fuire une si belle femme. 
     
     (jouant la maternelle en le prenant dans ses bras et caressant ses cheveux) : Tu ne me déranges pas bel ange, bien au contraire. Et tu mérites de si belles choses. Personne ne devrait t'empêcher de faire ce dont tu as envie. 
     
     (souriant) : Je ne mérite pas autant de gentillesse de ta part. Tu es la première à me laisser autant de libertés. 
     
     (caressant subtilement et malicieusement son oreille, effleurant légèrement son cou puis le début de son torse, se mordillant légèrement la lèvre) : Un beau brun mérite de si belles attentions. Dis-moi qui ose te restreindre le tout. 
     
     (se laissant influencer) : Ma mère est la responsable. 
     
     (se montrant compréhensive et commençant sa manipulation) : Pourtant tu es un beau jeune homme capable de prendre ses responsabilités, je ne comprends pas. 
     
     (perdu) : Je ne comprends pas non plus. 
     
     (se permettant de donner un doux baiser sur les lèvres de sa proie pour le faire frémir) : Avec moi, tu peux être toi-même, te confier, et je t'aiderais à devenir quelqu'un. 
     
     (charmé) : Ce baiser, ses mots, j'ai l'impression de rêver.  
     
     (pensant au plan du secret pour attraper sa proie) : Oh, mais c'est la réalité, mais cependant on doit se voir en secret. 
     
     (prêt à tout) : Mais si c'est ma mère qui fait peur, je l'affronterais pour pouvoir te voir davantage. Je voudrais de nouveau te sentir contre moi. Je suis perdu déjà. 
     
     (se montrant bien coquine en plaçant les mains du jeune homme sur son corps, le remontant sur ses cuisses puis vers sa poitrine pour l'apâter) : Pense déjà à ceci. Rien que de sentir tes mains, tu fais de moi une femme comblée.
     
     (complètement charmé prenant la main de la belle) : Reste avec moi. 
     
     (procurant une légère douceur à son oreille et lui murmurant de douces paroles) : Fais tout pour me rejoindre chez moi, et on finira cette discussion.
     
     (heureux) : D'accord."
     
    Esperanza avait réussi son pari que le jeune homme était sous son charme. Elle partait, n'ayant plus qu'à attendre chez elle que le poisson morde à l'hameçon. Maintenant, elle avancerait petit à petit pour arriver à ses fins. Esperanza Maria Cruz était au début une femme profitant d'une vie de richesse mais la mère de Declan lui avait pris ce qui lui permettait de vivre constamment dans le luxe. Elle se promettait de tout faire pour lui faire payer. Seulement, ce qu'Esperanza ignorait, c'était que Cassandra n'était pas loin, et qu'elle allait tout faire pour contrecarrer ses plans. De son côté, Melody était toujours déterminée à avoir son laisser-passer, et sachant sa proie Carter presque sous son charme, elle allait être bien entreprenante, coquine et subtile pour réussir à passer la barrière et voir Declan. Ils étaient à la terrasse et Carter, en bon gentleman, laissait Melody s'installer d'abord et s'asseyait ensuite. 
     
     (jouant les curieuses tout en prenant la main de sa proie, caressant l'intérieur avec son pouce et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler) : Alors comment un bellâtre comme vous est venu à être au service de Mme Hawkins ? 
     
     (charmé, mais tentait de ne rien laisser transparaître) : Oh, vous savez j'ai sauté sur l'offre d'emploi comme tout le monde. 
     
     (montant son pouce vers son poignet le caressant vigoureusement et jouant sur les mots pour le déstabiliser) : Oh, comme tout le monde ? Je refuse de le croire, surtout un beau gosse tel que vous. 
     
     (essayant de renverser la manoeuvre de la belle) : Ne seriez-vous pas en train d'essayer de me faire rougir ? 
     
     (la jouant coquine caressant la joue malicieusement de sa proie et laissant son pied remonter contre celui de sa cible) : Si je vous dis que oui, comment serait votre réaction ? 
     
     (souriant) : Je serais plutôt enchanté, surtout d'une femme aussi belle que vous. 
     
     (la jouant perverse en s'approchant dangereusement du visage de sa cible et touchant son nez avec son index pour le troubler) : Ne serait-ce pas vous maintenant qui essayait de me faire rougir ? 
     
     (essayant de ne rien laisser transparaître mais c'était si difficile de résister) : J'essaye, car je serais curieux de voir ce teint rougeâtre sur vos joues. 
     
     (jouant la gênée, guidant la main de sa proie vers sa joue, et le laissant descendre sur son cou, même le haut de sa poitrine pour le tenter) : Vous le voyez maintenant et comment je suis ? 
     
     (charmé, sentant le désir monter en lui) : Qui êtes-vous mademoiselle ? 
     
     (jouant la coquine en se levant de sa chaise et s'asseyant sur les genoux de son bellâtre, caressant ton torse et glissant ses doigts sous sa chemise pour éveiller un tel désir qu'il ne pourra résister) : Chut, ce n'est pas l'important sur l'instant. Il y a vous, il y a moi. Il y a nous deux et rien d'autre. Je sens que vous me désirez alors qu'attendez-vous pour sentir mes lèvres sur les vôtres ?"
     
    Là, elle lui faisait un clin d'oeil, guidant sa main sur ses cuisses et titillant ses lèvres avec les siennes pour le mettre au supplice. Plaçant sa main à l'arrière de sa tête, caressant ses cheveux, Melody toujours aussi déterminée regardait sa proie avec une telle envie, laissant transparaître la diablesse qui était en elle. Elle l'embrassait sauvagement, mêlant sa langue à la sienne. Carter dans son esprit aurait voulu résister. Il le désirait, mais cette femme lui faisait un tel effet qu'il le prolongeait, se laissant avoir par son charme et ce visage d'ange. De leur côté, Michael pénétrait dans l'univers de Lauren. Celle-ci, discrètement, lançait un sortilège afin que l'entreprise reflète parfaitement l'idée de ce que tout commun des mortels verrait. Michael voyait donc en apparence comment l'entreprise fonctionnait, avec ses employés qui couraient dans tous les sens car ils étaient sur une idée lumineuse. Il admirait le tout, mais ne laissait rien transparaître. Lauren savait qu'il fallait passer à la vitesse supérieure afin d'avoir sa proie. En plus, elle pensait piéger Cassandra en se servant de celui qui était son petit ami dans cette vie-ci. Un sortilège subtil ? Après de multiples sorts possibles, elle finissait par penser à un bien subtil : le baiser. Elle userait de charme, de finesse et se montrant entreprenante pour arriver à ses fins. Elle posait innocemment sa main sur l'épaule de sa cible l'effleurant jusqu'à son cou pour l'envoûter. Michael se tournait, et il croisait le regard de la belle qui était plus qu'ensorcelant.
     
      (jouant les curieuses pour mieux le piéger) : "Comment trouvez-vous l'entreprise ? 
     
     (plutôt impressionné mais tentait surtout de ne pas le montrer) : Je dois dire que votre entreprise sait y faire, et la voyant ainsi, comment votre employée se débrouillait ? 
     
     (se montrant entreprenante en glissant ses mains sur son cou et le bout de ses doigts sous le haut de sa chemise) : Plutôt bien, mais si vous souhaitez voir davantage, je peux vous montrer tous les avantages de cet environnement particulier et vous ne voudrez plus en sortir croyez-moi. 
     
     (complètement déstabilisé mais essayant de résister) : Comment pouvez-vous savoir que je ne résisterais pas  ? 
     
     (étant entreprenante, glissant une de ses mains près de ce qu'elle désirait et lui faisant un clin d'oeil) : Parce que vous êtes attirés par moi mon chou. 
     
     (comptant jouer avec elle pour connaître ses intentions) : Si je vous dis que c'est le cas, qu'est-ce que vous ferez ?
     
     (lui faisant un clin d'oeil et lui procurant une douceur à son oreille) : D'après toi beau brun. 
     
     (essayant de résister) : Je ne peux pas. 
     
     (le plaquant contre un mur et laissant sa jambe caresser le corps du bellâtre) : Maintenant tu n'as pas le choix. 
     
     (charmé) : Vous n'avez peur de rien. 
     
     (souriant satisfaite) : Crois-moi, tu diras autre chose après ça."
     
    Lauren s'approchait dangereusement de sa proie, titillant les lèvres de celle-ci avec les siennes puis l'embrassant telle une perverse, glissant sa main sous son haut pour le faire frémir qu'il ne pourra pas résister. Il essayait de ne pas succomber, mais c'était peine perdue. Il prolongeait ce baiser sans savoir que celui-ci allait être un moyen de piéger sa petite amie. Lauren désirait affaiblir sa rivale, la neutraliser, et cela commençait par sa puissance. Le sentant même à point, Lauren prenait sa main l'emmenant dans une pièce bien privée. Il se laissait faire étant complètement sous le charme et celle-ci fermait la porte derrière elle. Etait-il complètement piégé ? De son côté, Cassandra sortait de sa cachette et continuait à déambuler quand elle sentait bien sa proie toute proche. Entendant la voix d'une femme, elle usait de télékinésie pour coincer la porte, afin qu'elle ne soit pas dérangée lorsqu'elle agira. Declan en même temps, essayait de voir pour s'éclipser de cette demeure, cete prison qui l'empêchait de vivre. Cassandra continuait sa route également et là, elle voyait le jeune homme. En lui, elle pouvait reconnaître ce qui faisait toutes les caractéristiques de l'homme qu'elle avait aimé, mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de se souvenir de celui qui lui avait ôté la vie. Là, elle avait une idée, et elle allait se la jouer fine pour attirer l'attention du jeune homme. Elle avançait, et faisant mine de le percuter. Declan était déstabilisé et voyait une femme blonde. Il pensait que c'était même irréel. Cassandra comptait se la jouait gêner afin de le charmer. 
     
      (la jouant confuse) : "Oh, pardonnez-moi.  
     
     (se montrant gentil) : Ce n'est pas grave mademoiselle. C'est la première fois que je vous vois ici. 
     
     (usant de mensonges pour le manipuler) : J'étais engagée pour travailler dans la rénovation de votre demeure. C'est que j'aime connaître l'histoire, et cette demeure en contient. 
     
     (triste mais aussi curieux) : J'ai surtout l'impression que l'on a construit une prison. Mais que comptez-vous faire avec celle-ci ? 
     
     (ayant touché le point sensible et allant s'y engoufrer pour mieux pour le manipuler tout en étant entreprenante en glissant malicieusement sa main sur sa joue et son cou) : Oh j'en suis désolée et je comprends rien qu'à voir comment est cette demeure. Je compte apporter de la lumière, montrer que c'est un espace où on peut être serein et aussi faire tout ce que l'on a envie, même les plus inavouables. 
     
     (troublé) : Jamais je n'ai rencontré une femme telle que vous. 
     
     (procurant une douceur à l'oreille de sa proie) : Appelle-moi Cassandra trésor. 
     
     (rougissant) : Oh, mais vous cherchez à me faire rougir. 
     
     (coquine en effleurant le torse de sa cible, glissant légèrement ses doigts sous son vêtement) : Et même davantage que tu ne pourras l'imaginer. 
     
     
     (essayant de penser à celle qui occupait ses pensées Esperanza) : Je ne peux rester longtemps, j'ai rendez-vous. 
     
     (effectuant comme des dessins sur sa peau, faisant une moue et avec son pied, elle caressait le bas de sa jambe pour le mettre au supplice) : Vous ne voudriez pas rester avec moi ne serait-ce qu'un petit peu ? Je serais triste sinon."
     
    Elle avait l'occasion de le manipuler, et elle allait vite savoir si sa manoeuvre fonctionnait. Sinon, elle lira dans les pensées de sa victime et le retournera contre lui. Au même instant, Carter était auprès de Melody, qui faisait durer ce baiser le plus longtemps possible, allant jusqu'à lentement enlever ce que portait le bellâtre, admirant le torse de sa proie et le griffant coquinement. Là, Carter avait réussi à s'éloigner quelques instants de la séductrice, la regardant dans les yeux. 
     
      (se plongeant dans le regard de la belle) : "Je suis au travail. C'est impensable de faire cela, surtout si ma patronne vient à nous surprendre.  
     
     
     (coquine et posant son index sur les lèvres de sa cible) : Chut mon chou. Je suis certaine que tu n'as pas envie que je parte. Dis-le moi bébé, dis-moi que tu as envie de moi. Je le sais, je le sens. Ton corps ne cesse de me réclamer. 
     
     (ne pouvant résister) : Je ne peux pas. Tu es un ange tombé du ciel. J'aurais dû te rencontrer plus tôt. J'ai envie d'être près de toi. 
     
     (le titillant du bout des lèvres) : Tu vas voir, je vais combler tous tes désirs et plus encore."
     
    Melody en profitait pour laisser sa main glisser sous le pantalon de sa proie, arrivant là où elle le désirait, et elle le malaxait coquinement, tout en couvrant de baisers Carter qui tombait de plus en plus sous son charme. Elle remontait sa main tranquillement, afin d'éveiller un tel désir en lui qu'il ne pourra se contrôler. Il en devenait fou qu'il l'embrassait dans le creux de son cou. Melody en profitait pour descendre son haut suffisamment pour laisser apparaître sa poitrine et là, elle le guidait vers celui-ci pour ressentir ses attentions. Carter la couvrait de baisers les plus fougueux qui soit et elle le coinçait dessus. Il devenait de plus en plus fou que celle-ci se déshabillait devant lui pour le torturer, et elle enlevait le reste des vêtements de sa cible. Il était carrément charmé qu'il caressait tout le corps de la belle mais celle-ci comptait bien aller plus loin. Aimant le contrôle, elle s'empalait sur ce qu'elle désirait, bougeant telle une déesse et coinçant la taille avec sa jambe. Carter était à sa merci. Les deux passèrent à l'acte dans un moment des plus torrides et endiablés. Ainsi, Melody comptait bien demander le laisser-passer permanent et elle était sûre de l'obtenir. Pendant ce temps, Declan était coincé avec Cassandra. Il désirait aller voir Esperanza le plus vite possible, mais l'attitude à la fois chaleureuse et coquine de la belle blonde avait vite fait de le troubler. Il ne savait pas quoi répondre à la demande. 
     
     (troublé) : "Je ne sais pas quoi dire. 
     
     (ayant ses doigs sous sa chemise et caressant sa peau avec une perversité déconcertante) : Tu n'as qu'à dire oui mon chou, et tu ferais de moi une femme absolument comblée. 
     
     (déstabilisé et ne sachant pas quoi dire) : Je..... 
     
    Cassandra ne comptait pas attendre bien longtemps la décision de Declan qu'elle remontait coquinement le torse de ce bel ange, y allant telle une diablesse et apposait sa main dessus, provoquant un sortilège. Là, Declan sentait que quelque chose clochait, mais n'avait pas le temps de savoir qu'il était foudroyé, s'écroulant subitement. Cassandra le prenait dans ses bras et l'emmenait ailleurs. S'était-elle vengée déjà ? 
     
     
     
     
    Fin du chapitre. 

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :