Début de l'épisode 2 : Amnésie totale dans la partie Charmed saison 10

Continuité de l'épisode 6 : Prisonnières dans la partie One Tree Hill : Missing

Continuité du chapitre 1 : Le pouvoir dans la partie Rising King.

Fin du chapitre 16 : Retour aux sources dans la partie Revenge (Kidnapping 2)

Ajout du chapitre 17 : Course-poursuite qui arrivera bientôt dans la partie Revenge (Kidnapping 2)

Modification de l'article sur les titres des chapitres de Revenge (Kidnapping 2) dans la partie Revenge (Kidnapping 2)

Continuité de l'épisode 6 : Prisonnières dans la partie One Tree Hill : Missing

Continuité du chapitre 1 : Le pouvoir dans la partie Rising King

Ajout d'une photo dans la galerie Veronica Mars : Revenge (Kidnapping 2).

Continuité du chapitre 16 : Retour aux sources dans la partie Revenge (Kidnapping 2)

Continuité de l'épisode 6 : Prisonnières dans la partie One Tree Hill : Missing

Début du chapitre 1 : Le pouvoir dans la partie Rising King.

"Mon fils, si je t'ai éloigné de moi, c'est pour mieux te protéger de la guerre qui se profile à l'horizon. Malheureusement pour moi, mon règne s'achève et tu te rendras compte de la tâche qui t'incombe au moment où je disparaîtrais. Tu es ma vie mon fiston, tu es tout pour moi, et j'aurais tellement voulu que les choses soient autrement, mais notre condition a fait de nous des êtres à part, dans un monde qui combat les ténèbres, même ceux au plus profond de notre être. Mon fils, je t'aime à jamais, et n'oublie jamais que la confiance ne se donne qu'à des personnes qui ont de la valeur.

Sa majesté William Spencer."

Ce petit mot a été envoyé à son fils Matthew réfugié dans une ville à New York depuis plus de 10 ans maintenant alors qu'une bataille avec ses deux autres frères avait eu lieu pour une histoire de filles. Matthew Brian Spencer était dans cette ville, en tant que professeur d'histoire contemporaine, un métier qui lui tenait particulièrement à coeur, lui aimant l'histoire et désirant comprendre les aspects de ce monde en perpétuel mouvement. D'ailleurs les mystères le passionnaient davantage. Il vivait seul depuis maintenant 2 ans. Il était marié à une belle et jolie jeune femme prénommée Melody, mais celle-ci s'est retrouvée prise entre deux feux par deux familles mafieux qui se livraient une guerre sans merci. Depuis ce jour, il espérait sans cesse trouver des réponses, mais cette lettre qu'il avait reçu, le contraint à retrouver une place qu'il n'avait plus occupé depuis longtemps. Il préparait ses affaires et prenait un billet d'avion en direction de Londres, Buckingham Palace où l'attendait toute sa famille qui n'avait plus de nouvelles de lui depuis un moment. Il avait gardé précieusement la lettre, afin de la montrer au cas où on le prendrait pour un fou. Seulement des personnes n'entendaient pas de cette oreille de le laisser partir pour rejoindre son clan. Ils lui tendaient un piège à l'aéroport. Celui-ci n'y voyait que du feu jusqu'à ce qu'une jeune femme ne tire sur les assaillants avec son arme. Elle relevait Matthew le regardant à la fois d'une manière tendre et perverse.

C : "Vous allez bien ?

M : Mais qui êtes-vous ?

C : Je m'appelle Cassandra Alexandra Davenport, je suis envoyée par votre père pour vous protéger du danger.

M (plutôt fier) : Je suis capable de me débrouiller tout seul.

C : Il le sait, mais il m'a chargé de vous protéger. Si vous savez à quel point le monde n'est plus ce qu'il est, vous comprendrez assez vite qu'il vous faut des alliés.

M : Qu'est-ce qui peut me garantir votre fiabilité ?

C (le regardant coquinement) : Mais après tout, le risque c'est le sel de la vie, et ça provoque de sacrés mouvements.

M : Vous savez ce que vous voulez au moins.

C : En présence d'un charmant beau gosse, qu'est-ce qu'on ne ferait pas."

Cassandra lui faisait un clin d'oeil des plus coquins. Matthew n'était pas insensible qu'il la prenait par la taille.

M : "Donc, vous viendrez avec moi ?

C (souriant) : C'est que vous n'avez pas le choix."

Entre eux, naissait une complicité qu'ils allaient à l'accueil de l'aéroport. Cassandra avait l'habitude de nouer des contacts facilement. Elle était en charge de protéger des grands noms soit célèbres ou des personnes influentes dans la société mais du côté personnel, jamais elle ne laissait rentrer qui que ce soit. Sa première rencontre avec Matthew avait eu l'effet sur elle d'un élétrochoc voyant un homme séduisant et d'un charme qu'elle n'avait jamais rencontré nulle part ailleurs. Souriant à l'idée de visiter un autre pays, elle le regardait alors que celui-ci mettait tout en oeuvre pour obtenir les billets et ce n'était pas le gros lourd qui pouvait faire quoi que ce soit. Alors que le tout était obtenu avec grande classe, ils allaient embarquer dans l'avion au moment où des types armés les attaquaient. Cassandra prenait son arme et tirait sans sommation sur les assaillants se réfugiant avec son protégé au coeur de l'avion. Un assaillant se faisait tuer et l'autre s'enfuyait en voyant la police rappliquer. Au coeur de l'avion, le duo s'installait. Matthew la regardait plutôt admirative de ce qu'elle était capable de faire pour le protéger. Seulement, il savait pertinemment qu'il ne la connaissait pas et aimerait bien la croire sur d'où elle venait et surtout si c'était son père qui l'avait engagée. Disons-le, les actes montreront si elle était digne de foie. Pour éviter de se poser des questions, il prenait la main de la belle pour se sentir rassurer et l'avion décollait.

Au coeur de Bucckingham, les servantes s'attelaient à préparer une réception digne des dieux. Elles étaient sous-exploitées par des chefs qui les fouettaient sans relâche. Soudain, tout s'arrêta au moment où un homme descendait. Celui-ci avait suffisamment de pouvoirs pour mettre chacune des personnes à genoux. Il s'agissait d'Andrew Michael Spencer, un des frères de Matthew qui avait pris ses fonctions comme s'il était le roi du domaine. Il semblait bien arrogant, hautain et prêt à tout pour obtenir ce qu'il désirait. Il arrivait devant l'un de ses plus fidèles sujets qui s'agnouillait devant lui.

A (furieux) : "Est-ce que je t'ai payé à glander connard ?

Le chef (honteux) : Non, mon seigneur.

A (furieux) : Alors qu'est-ce que tu attends pour te mettre au travail ? On célèbre mon père je vous rappelle bande de lâches.

Le chef : On le fait de suite.

A(déterminé) : Merci."

Andrew se dirigeait vers le salon alors qu'une autre personne était assise et regardant les nouvelles. Il buvait une gorgée de vin, son précieux nectar. Andrew aimait prendre toutes les décisions et la voir devant lui, semblait bien lui déplaire surtout qu'il s'agissait de son frère Ryan Spencer.

A (colérique) : "T'as pas honte de ne rien faire alors que l'on célèbre notre père ?

R (colérique) : Tu es plutôt gonflé de dire ça alors que tu es le plus égoiste qui soit, ne pensant qu'à ton précieux confort et à une place prédominante dans le royaume.

A (colérique) : Tu me dis directement que je suis opportuniste ?

R (colérique) : Tu es mon frère, mais je te reproche tout le mal que tu fais et même encore plus à nos parents. Je suis là pour te faire la leçon et te rappeler les devoirs d'un prince.

A (furieux) : On est mieux que n'importe qui frérot et personne ne peut nous battre, tu m'entends ?

R (colérique) : Je ne veux pas en entendre plus, laisse-moi, et va t'occuper de tes sales besognes. Un jour frangin, tu paieras pour tes pêchés.

A (faisant l'innocent) : Tu as vu un homme d'église ?

R (étonné) : Non.

A (s'approchant au plus près de son frère) : Alors tu n'es pas prêt d'arrêter mon ambition."

Andrew souriait. Cela montrait toute la noirceur qu'il avait au fond de son coeur. Ryan était nettement plus posé, un homme qui fait la fierté de son père de par ses décisions et aussi de la demoiselle qu'il avait choisi pour épouse, une femme au coeur pur et généreux comme dans tous les contes de fées. Seulement la donne changeait quand une jeune femme venait vers lui, annonçant que son père était mort. Il était attristé. Andrew l'était aussi, mais on avait l'impression que c'était une façade. Ryan prenait les devants, organisant le tout pour les funérailles et appelant toutes les personnes pour la cérémonie. Andrew tentait de l'en empêcher, étant l'ainé et pouvant passer sur le trône, règnant en maître impitoyable sur tout le monde. Un combat entre les deux frères s'en suivait où Ryan flanquait un coup de poing à son grand frère qui restait au sol complètement sonné. Ryan partait le laissant sur place.

Andrew était triste cependant d'avoir perdu son père mais une jeune fille venait à lui, massant son dos et son torse de manière plutôt tendre et coquine. Andrew souriait et se tournait. Il voyait Alyson Margaret Blake, sa petite amie depuis maintenant plus d'un an. Devant elle, celui-ci était plutôt doux comme un agneau, prêt à tout pour satisfaire le moindre caprice de la belle. Elle en profitait pour mordiller le lobe de son oreille et lui murmurait à quel point il était l'homme de la situation, l'homme qui pouvait sauver le royaume, et surtout qu'il mériterait de se faire kidnapper le corps par ses attentions bien coquines. Andrew souriait, l'attrapant par la taille et l'amenant sur les genoux, l'embrassant sauvagement. Alyson amenait directement sees mains sur son corps de déesse l'incitant à lui enlever ses vêtements et lui murmurant de la prendre et de suite. Alyson était une de ses jeunes femmes mystérieuses qui ne se dévoilait qu'au moment venu. Elle avait visiblement un plan en tête, mais restait à savoir si ses intentions étaient bonnes ou mauvaises. Maintenant que le roi était mort, le temps dira si elle est bonne ou mauvaise.

Al : "Coucou mon chou, tu sais que tu es un beau gosse, un canon qui mériterait de connaître le mot plaisir et tout de suite.

An (triste) : Ce n'est pas le moment ma chérie.

Al (faisant une moue) : Bébé, tu as besoin de te détendre, de savourer les moments heureux avec ta chère et tendre. Tu ne vas pas rester dans ton coin après tout.

An (affichant un léger sourire) : C'est que tu aurais raison en plus.

Al (souriant coquinement) : Tu ne devrais pas me défier chéri.

An : Bien sûr.

Al : Aide-moi à enlever mes vêtements et je te promets en cadeau ma poitrine et mes fesses que tu adores tant.

An : Tu me rendrais fou là, de suite.

Al : D'après toi, c'est ce que j'essaye de faire trésor."

Alyson lui faisait un clin d'oeil. Andrew était complètement raide dingue de cette blonde sexy et diabolique qu'il désirait depuis toujours. Elle l'allumait davantage quand elle plaçait sa main près de son intimité, le malaxant pour le faire bouillir de désir qu'il rêvera de lui faire l'amour sur le champ. D'ailleurs, cela avait l'effet escompté sur le prince qui lui enlevait le haut et la couvrait de baisers sauvages, l'entraînant sur le canapé. Il lui enlevait complètement ses vêtements. Elle était satisfaite de le voir aussi dingue mais elle n'aimait pas être soumise qu'elle le basculait sur le dos, arrachant ses vêtements et effectuant des mouvements torrides pour le faire craquer qu'il ne lui résistera pas. Il était dans ses filets qu'ils passèrent rapidement à l'acte. Andrew souriait en voyant sa belle. C'était là où il pouvait montrer un peu d'humanité.

Pendant ce temps, Matthew et Cassandra s'endormaient profondément jusqu'à ce que l'avion attérisse à l'aéroport de Londres. Mais comme à New York, leurs péripéties n'étaient pas terminées avant qu'ils n'arrivent à la demeure royale. Lors de leur sortie, des hommes les attendaient leur tirant dessus sans sommation. Cette fois-ci, Matthew réussissait à sauver Cassandra d'une mort certaine alors que l'un de leurs ennemis était sur le point de tirer sur la jeune femme d'un coup de pistolet entre les deux yeux. Il utilisait une prise facile, mettant l'assaillant à terre. Celui-ci restait sonner alors que le duo s'enfuyait dans l'un des taxis de la ville. Les assaillants étaient encore en défaite, mais ceux-ci appelaient leur chef pour connaître la nouvelle mission.

Le chef : "Oui, dites-moi.

L'un des assaillants : On a échoué à leur entrée dans Londres.

Le chef (en colère) : Non mais vous vous foutez de la gueule du monde ou quoi ? Il ne doit pas monter sur le trône vous m'entendez ? Je ne veux pas que Matthew prenne sa place légitime alors vous allez vous démerder comme vous pouvez mais je veux voir Matthew crever et apportez-moi son cadavre pour me montrer votre réussite !

L'un des assaillants : Pourquoi vous le voulez mort ?

Le chef (furieux) : Je ne vous paye pas pour poser des questions alors démerdez-vous pour m'amener son cadavre !"

Le chef raccrochait au nez de ses sbires ne laissant à aucun d'eux le soin de pouvoir répondre. C'est que pour lui, ceux-ci étaient des incapables par nature. Les sbires partaient à la recherche de ses cibles.

Pendant ce temps, Ryan regardait certaines photos quand soudain, il sentait des mains sur ses yeux, entendant le doux murmure d'une voix sublime au creux de son oreille. Il reconnaissait sa dulcinée, la personne qui faisait battre son coeur depuis près de 3 ans maintenant, mais dont il avait osé avouer son amour qu'il y a quelques mois de peur qu'elle ne ressente pas la même chose que lui. Il s'agissait de Brooklyn Matthews une jeune femme bibliothécaire et qui ne rêvait que d'aventures et de changer sa routine. Elle était servie avec Ryan. Quand elle l'avait rencontré, elle avait vu un être perdu et qui se trouvait au milieu d'un combat entre son frère ainé et son cadet. D'ailleurs, elle trouvait bien curieux que celui-ci n'évoque pas son petit frère mais elle avait bien l'intention au nom de sa gentillesse de rencontrer tout son petit monde au nom de la paix dans le monde. Elle se montrerait d'une finesse à toute épreuve pour réussir sa mission. Ryan la prenait dans ses bras et l'embrassait tendrement, caressant délicatement son doux visage et effleurant le lobe de son oreille du bout des lèvres. Brooklyn souriait heureuse, en étant contre lui, qu'elle lui caressait ses cheveux et effleurait son cou en le griffant légèrement au niveeau de son cou. Il était tellement fou qu'elle mordillait le creux de son cou le léchant coquinement.

R : "Tu sais que tu me rends fou.

B : Et toi tu me fais vibrer mon trésor.

R : J'avais tant besoin de te voir.

B (compatissante) : Dis-moi ce qui t'arrive mon chéri.

R : J'ai appris il y a peu que mon père vient de mourir.

B (triste) : Oh mon amour, je suis désolée pour toi.

R (triste) : J'étais si proche de lui.

B (compréhensive) : Je sais que tu l'aimais.

R : Je n'aurais pas voulu ça pour lui.

B : Tu sais de quoi il est mort ?

R : Il était malade depuis quelques temps, mais normalement il n'aurait pas dû mourir aussi rapidement.

B : Tu penses qu'il a été tué par quelqu'un ?

R (effrayé) : J'en ai bien peur.

B (calinant son homme) : Fais ton enquête mon chéri, fais tout pour découvrir la vérité, et peut-être que ton petit frère pourra t'aider.

R (triste) : Je ne l'ai pas vu depuis longtemps.

B : Tu as pensé à le retrouver ?

R : J'ai essayé pendant un moment, mais j'ai échoué.

B : N'abandonne pas mon amour, tu réussiras à le retrouver. D'ailleurs comment il s'appelle ?

R : Matthew.

B : Joli prénom.

R : C'est vrai.

B : Tu penses à un endroit où il aurait pu être ?

R : Je pensais à New York, là où notre père nous avait emmené en famille il y a longtemps pour découvrir les joies du capitalisme libéral.

B : Il avait quand même de sacrés coutumes.

R : C'est vrai, mais j'aimais tant mon père.

B : Commence par New York et tu retrouveras Matthew.

R : Tu as raison, mais avant, j'ai envie de profiter de tes bras, de tes caresses, de tes baisers. Tu m'as tant manqué."

Ryan lui souriait tendrement. Brooklyn ne pouvait pas résister au charme de son beau mâle qu'elle venait à l'embrasser 'une manière bien passionnée et sauvage, montrant tout ce qu'elle ressentait pour lui. Il était tout heureux qu'il la guidait, se couchant sur le canapé, et enlevant lentement son haut, caressant sa poitrine avec une tendresse et une passion des plus folles, la couvrant de baisers. Frémissant sous ses attentions, elle poussait un léger gémissment, prenant ensuite les devants et retournant son canon, le déshabillant entièrement, griffant son torse et le léchant par endroit. Complètement fou, celui-ci prenait le visage de la belle à pleine main, l'embrassant sauvagement puis ils passèrent à l'acte qui était des plus charnels et intenses qu'ils n'en oublieraient pa chaque instant. Epuisés l'un et l'autre, ils s'endormaient respectivement heureux d'être ensemble, formant le couple dont ils avaient toujours rêvés. 

De leur côté, Matthew et Cassandra étaient dans le taxi. Le chauffeur attendait l'indication de la direction vu qu'il roulait à l'aveugle depuis quelques minutes. 

M : "Au palais."

Le chauffeur semblait surpris et surtout reconnaissait la voix de celui qui était dans sa voiture. Il positionnait son rétro correctement et voyait Matthew. On remarquait au volant que c'était une jolie jeune femme, une brunette.

Me : "Matthew ?

Ma : Oui.

Me : C'est moi, Melody.

Ma (surpris) : Quoi ?

Me : Tu ne t'y attendais pas.

Ma (déboussolé) : Non, du tout.

Me : Ca fait longtemps que l'on ne s'est pas vus.

Ma (songeur) : Il y a 10 ans maintenant, et mon père nous a séparés, me forçant à partir pour New York.

Me : Il m'a éloigné du palais et a fait courir tellement de rumeurs sur moi qu'il a causé ma perte.

Ma (déterminé) : Je lui parlerais, ne t'inquiète pas.

Me : Ce n'est pas la peine, et je suis certaine que ton frère l'a influencé et correctement.

Ma (choqué) : Tu n'es plus avec Andrew ?

Me : Il m'a jeté comme une vieille chaussette peu de temps après que tu n'étais plus en ville.

Ma (la regardant avec tristesse) : Je suis désolé pour toi ma douce.

Me : C'est à moi de l'être vu ce que l'on vivait avant qu'il ne me tente.

Ma : Ce n'est pas à toi de t'en vouloir. Je sais comment est mon frère et je te promets qu'un jour, il paiera pour son erreur.

Me : Allez au palais est une erreur, crois-moi.

Ma (voulant la rassurer) : Ca ira. Je dois voir mon père.

Me : Il souhaite te voir ?

Ma : Au vu de ce que j'ai reçu, il faut que je le fasse au plus vite.

Me (inquiète) : Fais attention, d'accord ?

Ma : Ne t'inquiète pas ma puce, et je suis protégée comme tu peux le constater. Je te présente Cassandra Alexandra Davenport, ma garde du corps.

Me : Enchantée, moi c'est Melody Evans.

C : Enchantée aussi.

Ma : Je te promets d'être prudent Melody, et puis, on pourra se revoir, d'accord ?

Me : D'accord, tu sauras me retrouver en centre-ville si tu as besoin. J'habite au-dessus du restaurant où tu avais l'habitude de m'emmener.

Ma : J'aimais te faire plaisir, tu sais.

Me : Je me souviens toujours de ses instants bel ange.

Ma : Ca me fait plaisir."

Matthew souriait à l'idée de rattraper le temps perdu, mais en même temps son passé et ce qu'il avait connu à New York le freinait. Il avait peur de la perdre également et ça, il ne le supporterait pas. Melody Evans était une personne importante dans la vie de Matthew vue qu'à l'époque, ils se fréquentaient et même ils étaient très amoureux l'un de l'autre. Seulement Andrew le savait et avait tout fait pour séduire la jeune femme quitte à la piquer à son petit frère. Cette fille avait été à l'origine de la brouille entre les deux frères. Elle semblait être sincère, mais le fait qu'elle semblait troublée en revoyant Matthew montrait qu'elle cachait un secret depuis cet instant. Qu'est-ce que c'était ? Là, tout était le mystère. Ils arrivaient finalement devant le palais. Melody déposait le duo devant, ne désirant pas rentrer. Elle avait très peur de ce qu'elle pouvait trouver. Matthew prenait sa main et la regardait avec tendresse.

Ma : "Tu ne veux pas rentrer ?

Me : Je ne serais pas le bienvenu encore aujourd'hui, et surtout, je suis interdite de séjour.

Ma (en colère) : Mon père va m'entendre.

Me (essayant de le calmer) : Je ne veux pas te causer d'ennuis.

Ma : Tu ne mérites pas tous ses malheurs, surtout que c'est Andrew à l'origine de tout ça.

Me (inquiète) : Tu fais attention à lui, d'accord ?

Ma : D'accord.

C : Et je veillerais à sa sécurité.

Me (souriant légèrement) : Merci.

Ma : Je te dois quelque chose ?

Melody : Ce n'est pas la peine, c'est pour moi, afin de te souhaiter bon retour.

Matthew : Tu es un ange.

Melody : Et toi si charmant."

Melody souriait, rougissant légèrement puis Cassandra et Matthew sortaient. Celui-ci frappait à la portière de la voiture. Celle-ci baissait la vitre, le regardant.

Ma : "Je désirais voir ce si beau visage qui hantait mes nuits et mes jours pendant si longtemps.

Me (rougissant) : Tu es si attentionné.

Ma : Je reviendrais te voir.

Me (souriant) : Je serais à l'endroit que je t'ai indiqué.

Ma : A tout à l'heure alors.

Me (heureuse) : A tout à l'heure."

Matthew déposait un doux baiser sur la joue de la belle puis elle partait, laissant l'équipe face au destin du palais qui les attendait. Devant il y avait un garde qui barrait la route, leur indiquant qu'ils ne pouvaient pas passer. Matthew en colère avait enfin l'occasion de montrer sa véritable identité au monde entier.

M : "Bande d'incapable que tu es, je suis le prince Matthew Brian Spencer, alors laissez-moi passer avant que mon père ne vous fasse écarteler !

Le garde (confus) : Pardonnez-moi, je vous laisse entrer.

M : Et elle passe avec moi.

Le garde : Bien entendu, allez-y.

M : C'est trop aimable de votre part.

Le garde : Cependant vous arrivez à un jour assez triste pour nous tous.

M : Dites-moi.

Le garde : Votre père est décédé.

Matthew (triste) : Quoi ?

Le garde : Je suis désolé.

M : Faites attention à ceux qui souhaitent entrer. Maintenant c'est moi votre chef."

Matthew avait indiqué ses ordres tout naturellement comme si la succession s'était faite naturellement. Ils se dirigeaient ensemble à l'intérieur du palais. Les domestiques les accueillaient comme ils se devaient. Certains se souvenaient de Matthew il y a des années de cela, et pensaient que la situation à l'intérieur allait changer. Andrew de son côté avec Alyson avait entendu le remue-ménage à l'entrée et décidaient ensemble d'aller voir. Ryan avec Brooklyn avait entendu également le bruit et allaient voir aussi. Matthew reconnaissait par coeur le palais, et se souvenait des plus beaux moments en compagnie de son père, de sa mère, mais aussi de ses frères. Cassandra elle, était plutôt méfiante de ce monde rempli de strass, de paillettes, et surtout, rempli d'une envie que l'on ne pouvait jamais se défaire : la quête du pouvoir. Les choses allaient vite changer quand Ryan arrivait vers eux pour les accueillir en compagnie de Brooklyn. Celle-ci restait à distance alors que Ryan serrait son frère dans ses bras. Il affichait un grand sourire de bonheur. Matthew était surpris par un tel accueil mais il était également heureux de voir son grand frère, lui toujours aussi posé et le médiateur, celui qui résolvait tous les problèmes.

R : "Je suis si heureux de te voir Matthew, tu ne sais pas à quel point et dans de telles circonstances.

M : Moi aussi grand frère. Je sais ce qui est arrivé, et j'en suis navré, j'aurais dû être là.

R : Ne t'en veux pas petit frère.

M : Il m'a envoyé là-bas, et j'aurais dû lui tenir tête.

R : Ce qui est fait est fait Matthew et entre toi et Andrew, ça n'aurait pu s'arranger qu'en vous séparant.

M : Ou bien, ça va au contraire nous détruire.

R : La confrontation risque d'être tendue c'est sûr.

M : Je suis d'accord.

R : Tu me présentes la belle demoiselle ?

M : Elle s'appelle Cassandra Alexandra Davenport et elle a été envoyée par Papa.

R : Je sais, ravi de te revoir Cassandra.

C : Moi de même.

M (choqué) : Quoi ?

R : J'étais présent quand Papa l'a envoyée de te trouver mais je ne savais pas dans quelle ville tu étais.

M : Oh, je vois, et tu me présentes ?

R : Voici ma petite amie Brooklyn Matthews.

M : Je suis ravi que tu ais trouvé ta moitié.

R : Et toi frangin ?

M (se cachant) : Je préfère ne pas en parler maintenant si tu ne vois pas d'inconvénient.

R (gêné) : Pardon, je suis trop indiscret.

M : Ce n'est pas grave.

A (interrompant la discussion) : Ais-je droit moi aussi à cette même considération ?"

Ryan et Matthew étaient surpris de voir Andrew arriver et avec sa dulcinée qui restait à distance. Matthew gardait son calme ayant appris ce que Melody avait vécu avec lui.

M (s'éloignant de Ryan) : "Andrew, ça faisait longtemps.

An (restant froid) : C'est vrai petit frère.

M : Tu as perdu ce droit il y a longtemps.

An : Aujourd'hui, alors que notre père est mort aujourd'hui, on devrait s'unifier, toi, moi et Ryan, nous les frères Spencer, reprenant ce que notre père avait construit.

M (en colère) : Tu es mal placé pour parler d'unification alors que tu as causé tant de souffrances.

An (essayant de l'amadouer) : Oh, mais même s'il y a eu des erreurs, on devrait passer à autre chose petit frère, celui que j'ai tant guidé pendant tout ce temps.

M (perdu) : Je.... ne sais pas quoi dire.

An : Enterrons notre père alors, et pensons à l'avenir.

M (sceptique) : On devrait lui rendre hommage. D'ailleurs, tu présentes ta dulcinée ?

An : Je te présente Alyson Margaret Blake, ma douce et tendre.

Al (s'approchant et regardant ce bel homme devant elle avec douceur et perversité) : Enchantée Matthew de te connaître enfin.

M (troublé) : Enchanté aussi.

R (se posant des questions) : Et si on laissait s'installer tout ce monde ?

An : C'est que Matthew a oublié de présenter celle qui l'accompagnait.

M (confus) : Suis-je maladroit, voici Cassandra Alexandra Davenport.

C : Enchantée.

An (pensant déjà à reproduire le coup d'il y a 10 ans) : Oh, moi de même.

Matthew (voyant son petit manège) : N'y pense même pas.

An : Oh mais pourquoi le ferais-je alors que je suis auprès de la plus belle et de la plus ravissante des jeunes femmes qui m'était donnée de connaître.

Al (souriant) : Tu n'es qu'un charmeur chéri.

An (affichant un sourire coquin) : Mais c'est que tu m'aimes comme ça trésor.

Al (jouant les personnes gênées en rougissant) : Oh pas devant tout le monde quand même.

An (faisant un clin d'oeil) : Je vais me gêner princesse.

R : Bon, si on laissait Matthew et Cassandra s'installer, ensuite, ils viendront nous rejoindre pour les préparatifs et la cérémonie en l'hommage de notre père.

An : Je suis d'accord.

M : On vous laisse alors.

R : Les domestiques vont te montrer la chambre.

M : D'accord, on les suit."

Matthew partait avec Cassandra et les domestiques vers les chambres.

Au même moment, d'autres domestiques s'attardaient en cuisine préparant un festin digne des rois. Parmi les personnes se trouvaient Megan Sinclair, nouvelle arrivée au sein du personnel de la Cour Royale. Celle-ci semblait être plutôt éteinte, ayant accepté ce job de par sa mère, mais également, l'un de ses patrons lui promettait une vie bien meilleure si elle savait utiliser son joli minois à bon escient. Megan plutôt gentille et naïve ne voulait pas pervertir son coeur par des manipulations complètement stupides. Très croyante, elle prônait de trouver le grand amour. Alors qu'elle préparait le dessert des convives : un moelleux au chocolat accompagné d'une crème anglaise faite maison, l'un des princes Andrew venait les surveiller et se montrait plutôt entreprenant en lui pinçant les fesses. Celle-ci ayant des principes se retournait vers lui et le giflait. Andrew n'en revenait pas qu'il prenait le bras de la belle s'approchant de son oreille et lui murmurant qu'il disposait des domestiques comme bon lui semblait. Megan ne tardait pas à répliquer étant bien têtue sur les bords.

M (en colère) : "Je ne suis pas votre chose !

A : Vous ne pouvez rien faire contre moi très chère.

M : Je ne suis pas quelqu'un en dessous de vous. J'ai des valeurs et des principes que vous ne comprendrez jamais.

A : Tant que vous ne comprendrez pas qui détient le pouvoir, vous serez toujours à cette place de pauvresse.

M : Je suis digne de ma place, mais pas vous de la votre.

A : Vous êtes caractériel."

Alyson entendant au loin la conversation alors qu'elle était avec Brooklyn et Ryan décidait de rejoindre son prince.

A : "Excusez-moi tous les deux.

R : Ce n'est pas grave, mon frère aime provoquer la zizanie chez les domestiques.

A : Je vais y mettre un bon ordre, crois-moi.

R : Je te fais confiance là-dessus."

Ryan ne savait pas que de donner la confiance à quelqu'un pouvait se révéler néfaste et se retourner contre soi.

Déterminée, Alyson rejoignait son prince et le regardait avec insistance, montrant sa désapprobation face à son attitude plutôt puérile et indigne d'un membre de la Cour Royale. Andrew était doux comme un agneau en la voyant qu'il rejoignait son frère et Brooklyn, laissant Alyson avec Megan.

La domestique avait plutôt peur de la réaction d'Alyson. La copine d'Andrew était quelqu'un d'imprévisible, dont on ne pouvait prévoir ses coups de colère. Alyson s'approchait, affichant un sourire à a fois poli et contrariée.

A : "Vous savez que je peux vous envoyez au cachot et vous faire décapiter sur le champ mademoiselle ?

M (effrayée) : Vous ne me faites pas peur.

A : Je sais que c'est tout le contraire très chère, mais vous pouvez vous faire pardonner de votre délicate méprise.

M : Comment ça ?

A (doucement) : Occupez-vous de l'un des deux frères, de préférence le dernier et je vous couvrirais d'or.

M : Ca jamais !

A (se montrant insistante) : Vous n'avez pas le choix. Vous désirez au fond la richesse, vous sortir de ce cadre misérable, c'est l'occasion.

M (résignée) : Que dois-je faire ?

A : Mettez-vous en valeur et faites le nécessaire."

Alyson souriait devant une Megan qui baissait sa tête honteuse. Elle réussissait à établir un plan pour semer une future discorde entre frères et le fait qu'elle ait vu les retrouvailles l'avait inspirées. Qu'attendait-elle réellement ? Bientôt le mystère allait être levé.

Matthew et Cassandra étaient arrivés à destination. La jeune femme méfiante sur les bords préférait inspecter les lieux, vérifiant chaque objet ou vêtement, et même les meubles pour éviter des attaques surprises. Matthew la regardait attentivement, et voyait tellement de similitudes avec son épouse. Il se souvenait d'elle si combative, si douce et merveilleuse. Il était songeur, repensant à ses instants merveilleux, mais Cassandra le sortait de sa torpeur, le tapant légèrement sur l'épaule.

C : "Il faut que l'on reste attentifs.

M (reprenant ses esprits) : Tu as raison.

C : Cette demeure est le pire endroit pour ta sécurité.

M (se montrant rassurant) : Je sais me défendre tu sais, surtout que j'ai quelqu'un à aller voir.

C (inquiète) : Tu comptes sortir tout seul ?

M : Je connais des passages secrets et je serais revenu rapidement.

C : Ca ne m'inspire pas Matthew.

M : Je sais, mais tu devrais avoir confiance en moi.

C : Je te laisse faire, mais je ne serais pas loin pour te secourir en cas de problème, d'accord ?

M : Ais-je le choix ?

C (déterminée) : Euh, non très cher."

Cassandra lui faisait un clin d'oeil. Matthew savait qu'il ne pouvait pas être seul et se détourner de la belle protectrice. Celui-ci regardait s'il y avait quelqu'un aux alentours qui pouvait le surprendre. Comme il n'y avait personne, il frappait au niveau du mur et entendant le son creux, il ouvrait le passage. Cassandra était surprise en voyant ce passage. Elle savait que les personnes riches et vivant dans le luxe avaient des coutumes particulières, mais des secrets comme ça non. Pourtant, elle savait qu'elle aurait dû s'y attendre avec des personnes issues de la Cour Royale. Mensonges, trahisons, luxe, tels étaient les ingrédients d'une vie dans le palais. Elle craignait de voir ce qui pouvait arriver à l'intérieur, mais le voyant sourire, elle ne résistait pas à cette envie de le suivre. Ils parcouraient les sous-sols du palais, entendant par-ci, par-là des conversations qu'ils ne devraient pas entendre et arrivaient à la sortie. Matthew donnait un baiser sur la joue de la belle femme caressant sa joue légèrement.

M : "Je vais y aller maintenant.

C : Sois prudent, d'accord ?

M (confiant) : Bien sûr, compte sur moi."

Matthew était du genre à rassurer les personnes mais au fond, il savait qu'il se rendait vers un endroit dont il n'aurait aucun contrôle. C'était que Melody Evans avait encore de l'influence sur le bel homme après toutes ses années d'absence. Il partait chez elle. Cassandra laissait un peu d'avance à sa cible avant finalement de partir aussi.

Au palais, Megan allait vers les chambres, là où étaient Matthew et Cassandra. Elle se dirigeait vers celle de Matthew. Elle ne voyait personne ce qui était problématique pour elle, surtout qu'Alyson l'attendait au tournant. Cependant, elle recevait un coup de téléphone d'une personne assez mystérieuse et répondait immédiatement.

M : "Oui.

Le chef : Alors tu es en place ?

M : Oui, et Andrew a voulu me prendre pour cible.

Le chef : Tu sais ce que tu dois faire pour moi.

M : Ais-je le choix ?

Le chef : Tu m'appartiens chérie.

M : Je n'aime pas faire du mal.

Le chef : Comment se passe l'infiltration ?

M : Alyson s'est avérée être différente me demandant de m'interposer.

Le chef : Essaye de faire ce qu'elle demande, sinon, imagine un prétexte pour gagner du temps.

M : Lequel ?

Le chef : Sers-toi d'Andrew ma chère et force-le à te vouloir.

M (résignée) : Très bien."

Megan raccrochait. Elle semblait être prise au piège dans des plans de personnes beaucoup plus tordues qu'elle et ça, elle n'avait pas un moyen pour s'en sortir, vraiment aucun à sa connaissance. Elle essayait de réfléchir, de penser à une solution mais vraiment rien ne venait qu'elle frappait contre le mur avant de descendre.

Pendant ce temps, Andrew et Ryan, sous le regard de Brooklyn s'observaient. Visiblement l'un et l'autre attendaient leurs premières paroles pour pouvoir répliquer. C'était Ryan qui cédait.

R : "Que tu accueilles notre frère aussi bien, ça m'étonne toi qui lui en a voulu pendant des années et qui ne désirait plus le revoir.

An : La paix de la famille, tu connais ?

R : Je sais que tu n'es pas comme ça mon frère.

An (faisant l'innocent) : Qui sait, les personnes peuvent changer.

R : A d'autre, surtout vu ton passé.

An : Pourtant tu devrais me croire. Depuis la mort de notre père, je me suis bien rendu compte que la famille était importante.

R (comprenant son petit jeu et lui murmurant) : En fait, tu as peur que le pouvoir de notre famille ne soit pas entre tes mains.

An (piégé et murmurant mais il avait trouvé un moyen de rebondir) : Oh, mais qui te dit mon cher frère que tu ne t'inquiètes pas de ton propre sort.

R : J'ai toujours été simple concernant les affaires de notre famille.

An (souriant) : Tu ne le seras plus longtemps, vu le contexte actuel.

R : Nous le verrons bien.

B (intervenant) : Vous croyez franchement que c'est le moment les secrets alors que le roi est mort ?

An (en colère) : Ryan, tu vas mettre ta pétasse à la niche, ce n'est pas ses affaires !

R (furieux et assenant un coup de poing en pleine tronche de son frère) : Ca t'apprendra à insulter ma dulcinée qui deviendra ma femme non mais.

A : .......

R (furieux) : D'ailleurs, tu aimes bien te faire frapper on dirait !

An : Et toi, tu mériterais une correction mon frère pour cela !

Al (arrivant au bon moment) : C'est le moment les gars ?

An (se calmant et étant doux comme un agneau) : Pardon mon coeur.

Al : Je préfère ça.

R : Et après tu oses insulter ma dulcinée ? Demande-lui pardon !

An (furieux) : Mais.....

Al (l'interrompant et malaxant l'intimité de son homme) : Chéri, il a raison, demande-lui pardon, sinon, tu pourras rêver pour ta surprise. Tu vois ce corps devant toi ? Tu pourras courir pour insérer ceci en lui.

An (pris au piège) : Pardonne-moi Brooklyn.

B (étant gentille) : Ce n'est rien.

Al : Voilà qui est le mieux dans le meilleur des mondes. D'ailleurs, il ne manque plus que Matthew et Cassandra, où sont-ils ?

R : Toujours là haut.

An : Je vais les chercher.

Al : Non, laissons-les un instant, et après si d'ici une heure, on ne voit rien, on ira voir.

An : D'accord.

Al : Après tout, on a tout notre temps.

R : C'est vrai."

Alyson s'insérait au mieux dans la famille que personne ne pourrait la déloger.

De son côté, Matthew fraichement dehors arrivait chez Melody et frappait à sa porte. La belle femme était arrivée depuis le temps, se reposant tranquillement devant la télé, et regardant des vieilles photos où elle était avec Matthew avant que celui-ci ne soit forcé de partir à cause de son père. Elle souriait et en entendant frapper, elle savait pertinemment que c'était lui. Elle y allait doucement et ouvrait. Elle était heureuse de le voir et voyant son visage, lui aussi. Il s'approchait caressant le visage de la belle. Elle lui laissait une place pour rentrer. Matthew passait à l'intérieur et elle lui enlevait son manteau, le déposant sur un ceintre. Il admirait l'intérieur, voyant toujours ce qu'elle aimait à savoir les décorations en référence à l'Asie, au calme et à la zen attitude. Il la regardait avec beaucoup de tendresse et l'amour qu'il pouvait encore ressentir à son égard. Melody rougissait légèrement.

Me : "Je suis si heureuse que tu sois là.

Ma : Comment pourrais-je ne pas venir alors que l'on s'est quittés brutalement ?

Me (honteuse) : Je pensais que tu me détestais, que tu m'en voudrais d'avoir causé tant de souffrance dans ta famille, dans ta vie.

Ma (se rapprochant d'elle et la prenant dans ses bras) : Pourquoi faire ça alors que je sais qui est le fautif : mon frère. Je n'ai pas arrêté pendant toutes ses années de penser à toi, de savoir ce que tu devenais. Ce que je me disais, c'était que si tu étais auprès de mon frère, c'était que tu étais plus heureuse auprès de lui. Ce qui me décevait le plus, c'était que je ne puisse pas te donner ce que tu désirais tant, que tu étais en droit d'avoir.

Me (le regardant et pleurant légèrement) : Tu m'as toujours tout donné mon ange, à chaque instant. J'étais si faible, si stupide et j'ai tout gâché entre nous.

Ma (l'embrassant sur la joue) : Tu es toujours tout à mes yeux.

Me : Même après toutes ses années ?

Ma : J'ai fait ma vie c'est vrai, mais tu occupes toujours une place dans mon coeur. Tu es mon premier amour, un qui restera à tout jamais.

Me : Tu es toujours aussi charmant, attentionné et encore plus bel homme qu'auparavant.

Ma (se laissant gagner par la beauté de la belle) : Et toi une déesse, une beauté qui ne cesse de s'embellir avec les années. Tu représentes la grâce à l'état pure ma chérie. Crois-moi, les femmes ne t'arrivent pas à la cheville tellement tu es divine.

Me (rougissant) : Tu me fais toujours autant vibrer.

Ma (souriant) : Et toi tu me charmes comme personne.

Me (effleurant les lèvres de son bel homme avec son index le plaçant légèrement en bouche) : Je.....

Ma (posant son index sur ses lèvres et caressant ses cheveux) : Ne dis rien.

Me (effleurant le cou de son homme puis son torse en glissant ses mains sous sa chemise) : Garde-moi contre toi beau gosse, j'ai tant rêvé de cet instant."

Matthew serrait fort cette belle jeune femme dans ses bras. Elle le regardait avec douceur et perversité le titillant du bout des lèvres puis l'embrassant avec une fougue et une passion des plus démesurées. Cédant à l'appel du désir, Matthew effleurait le dos de celle-ci mordillant la peau de son cou et lui murmurant à l'oreille à quel point elle le rendait toujours aussi fou. Matthew se sentait quelque peu coupable qu'il posait son front contre celui de sa belle mais celle-ci sentait son malaise. Elle plaçait son index sur ses lèvres comme pour calmer son amant. Elle ne désirait pas qu'il parte alors qu'ils venaient de se retrouver. La chaleur de son être l'avait tant manqué depuis toutes ses années qu'elle était capable de tout pour rester dans ses bras.

Ma (gêné) : "Pardon mon ange.

Me (compréhensive) : Ce n'est rien bébé.

Ma : J'aimerais prendre notre temps pour retrouver ce que l'on a perdu il y a tant d'années.

Me (caressant sa jambe coquinement) : Tu es si merveilleux. J'ai tellement envie d'être dans tes bras.

Ma : Je le veux aussi. J'ai tellement envie de toi.

Me (lui faisant un clin d'oeil et amenant les mains de son homme sur son corps) : Moi aussi trésor. Embrasse-moi mon chéri, prends-moi dans tes bras.

Ma : Tes désirs sont des ordres mi amor."

Matthew caressait cette belle femme, retirant son haut et le couvrant de baisers passionnés jusqu'à sa poitrine. Frémissant de désir, Melody caressait le bas du corps de son amant arrivant jusqu'à ce qu'elle désirait, le malaxant pour le rendre dingue qu'il lui fera vivre un instant charnel. Complètement sous son charme, celui-ci la guidait sur le canapé, l'allongeant et l'embrassant par un baiser passionné, soulevant le bas et procurant une caresse coquine au niveau de ses jambes. Ne pouvant plus résister, elle inversait les rôles se retrouvant à califourchon sur lui, l'embrassant à la fois langoureusement et passionnément, arrachant sa chemise, caressant et griffant coquinement son torse pour l'allumer qu'il lui fera l'amour. Ne pouvant plus se contrôler, ils passaient tous les deux à l'acte dans un instant charnel et intense. Epuisés, ils se trouvaient dans les bras l'un de l'autre. Matthew embrassait tendrement le cou de sa dulcinée, la serrant contre lui. Sentir sa peau, sa chaleur était si merveilleux pour lui, mais une part de lui ressentait de la culpabilité envers celle qui était décédée à cause de la mafia. Il n'y pensait plus, ne regardant que celle à ses côtés. Il souriait plutôt heureux. Elle le regardait et admirait le visage sexy de son beau gosse. Elle se trouvait sur un nuage qu'elle l'embrassait tendrement du bout des lèvres caressant ses cheveux.

Me (souriant) : "Je suis si bien près de toi.

Ma (souriant également) : Moi aussi.

Me (faisant une moue) : Tu veux bien rester avec moi ?

Ma (ne pouvant pas résister) : D'accord ma douce.

Me (l'embrassant dans le creux de son cou) : Tu es tellement tout pour moi.

Ma (frôlant sa joue) : Et toi ma raison d'être.

Me (le regardant avec douceur et perversité) : Je peux te parler de quelque chose ?

Ma (plutôt inquiet) : Tu me fais peur.

Melody (le rassurant tout en caressant le torse de son amant) : Ce n'est rien d'effrayant mais promets-moi de m'écouter juste avant de dire quoi que ce soit, d'accord ?

Matthew (la regardant tendrement) : Ne t'inquiète pas, je t'écoute.

Melody : Tu es merveilleux.

Matthew : Et toi remarquable, une déesse."

Melody rougissait, mais elle prenait en même temps une inspiration pour pouvoir avouer quelque chose qui risquait de changer à jamais la situation.

Me : "Alors ce que j'ai à t'annoncer est assez difficile, j'en suis émue si tu savais.

Ma (la rassurant en posant sa main sur son épaule, l'effleurant légèrement) : Je ne vais pas t'en vouloir sur ce que tu vas m'annoncer mon ange.

Me : J'ai un fils.

Ma (surpris) : Je suis si heureux pour toi ma chérie.

Me : Mais ce n'est pas tout.

Ma (curieux) : Comment ça ?

Me (baissant sa tête en craignant sa réaction) : C'est ton fils.

Ma (choqué) : Quoi ?

Me : Quand ton père t'a envoyé au loin, et qu'il m'a chassé loin de la famille, j'étais enceinte. Je sais que c'est ton fils.

Ma (heureux) : Ma famille est au courant ?

Me : Tu es le seul à savoir, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il ne porte pas le nom.

Ma (ému) : Tu as pensé à sa protection. J'aimerais tellement le voir. Tu ne sais pas à quel point tu fais de moi le plus heureux des hommes.

Me (pleurant de bonheur) : Tu fais de moi une femme comblée mon chéri.

Ma (ému) : C'est notre fils, j'en ai au fond toujours rêvé. Tu es la femme qui a toujours occupé la plus grande place dans mon coeur. Tu es ma déesse aux courbes qui me fait tant vibrer. J'aimerais être auprès de lui, le connaître et rattrapez le temps perdu.

Me : On va y arriver ensemble mon amour.

Ma : Cette fois-ci personne ne nous séparera.

Me (effrayée) : J'espère qu'Andrew ne fera pas tout pour nous effrayer.

Ma (déterminé) : Je ferais tout pour que mon frère ne s'approche pas de toi. Il ne va pas m'avoir crois-moi.

Me : Tu es toujours aussi courageux.

Ma : C'est toi qui me donne cette force de dépasser mes limites.

Me : Il est chez un ami mais je vais l'appeler. Il sera heureux de te voir.

Ma : Je suis plus que surexcité.

Me : Moi aussi et je suis heureuse que l'on se soit retrouvés.

Ma : Je vais tout faire pour vous réintégrez dans ma vie au coeur du palais.

Me : Je ne veux plus qu'il y ait le moindre nuage.

Ma : Mais c'est que vous êtes ce qui m'est arrivé de mieux."

Le couple était si heureux d'être enfin ensemble. Matthew ressentait au début de la culpabilité de ne avoir vécu ce moment avec sa femme, mais le vivre auprès de son premier amour, de réparer cette erreur commise par son père il y a des années le comblait de bonheur. Il ne voulait pas que ça s'arrête. Cependant, il pensait à l'instant à quel prénom avait son petit gars, à quoi il pouvait bien ressembler. Il rêvait de voir son petit sourire sur son visage, de pouvoir le serrer dans ses bras. Melody le sortait de ses rêves en lui volant un tendre baiser et souriant affectueusement, effleurant son menton avec son index.

Me : "A quoi tu penses mon trésor ?

Ma : A quoi ressemble notre petit gars et surtout comment il s'appelle.

Me : Son prénom est Ethan Matthew.

Ma (ému) : Tu lui as donné mon prénom comme second prénom ? Je ne sais pas quoi dire.

Me : Il te ressemble tu sais.

Ma : J'ai envie de le voir, tu sais.

Me : Je sais mon chéri. Je vais te chercher une photo."

Melody l'embrassait tendrement sur le front avant d'aller vers son sac à main et son portefeuille. Elle prenait la photo et la donnait à son bel amant. Il la prenait, et ne pouvait pas s'empêcher d'être heureux. Il se reconnaissait en lui qu'il embrassait sa belle avec passion.

Au même moment, Cassandra était au dehors, surveillant les alentours jusqu'à ce qu'elle voit des mouvements suspects. Elle sortait une arme, allant dans cette direction jusqu'à ce qu'elle rencontre quelqu'un.

C (effrayée) : "Qui va là ?"

Personne ne répondait jusqu'à ce qu'une voiture arrivait vers elle et ne vienne la percuter. Cassandra roulait violemment à terre, tombant inconsciente.

Pendant ce temps, Megan redescendait vers la cuisine, jusqu'à ce qu'elle recoive un sms lui annonçant que Cassandra était hors jeu et qu'elle pouvait passer à l'action. Megan résignée s'eclipsait discrètement, se basant sur le sms pour rejoindre les lieux où Matthew se trouvait.

Au même instant, un inconnu était au-dessus de Cassandra, mettant une lettre menaçant Matthew de quitter les lieux et de renoncer au trône. Il partait vite en courant.

Matthew ne se doutait pas de ce qui se passait au dehors restant auprès de sa belle quand soudain le téléphone sonnait. Le temps filait à tout allure ne s'étant pas rendu compte que son escapade secrète avait duré plus longtemps qu'il ne le pensait au départ. Il prenait la communication et se rendait compte que c'était Andrew.

M (froid) : "Qu'est-ce que tu me veux ?

A (faisant l'innocent) : C'est que l'on s'inquiète pour toi.

M : Toi, vraiment ?

A : Tu es mon petit frère après tout.

M (rigolant légèrement) : Oh, mais là, je me retrouve dans la 4ème dimension après ce que tu m'as fait.

A (restant calme) : Alors tu arrives frangin, je te rappelle réunion.

M : J'arrive mais tu devras attendre.

A : Je n'ai pas la même patience que toi.

M : Je sais ce que tu attends de moi.

A (faisant l'innocent) : Quoi donc ?

M : Le pouvoir mon cher.

A : Qui te dit que je le veux ?

M : Je le sais, mais avec moi, tu vas devoir ramer."

Matthew raccrochait au nez de son frère, se blottissant dans les bras de sa belle pour se calmer. Melody savait que c'était Andrew au téléphone et qu'au fond, il savait où était son petit frère. Décidément, l'ainé ne voudra jamais la paix avec son cadet. Elle était si triste mais restait digne pour son amant.

Me : "Tu vas bien ?

Ma : Pas vraiment, mais je ne me laisserais pas faire par mon frangin.

Me (compréhensive et embrassant son bel ange du bout des lèvres) : Ne nous préoccupons pas de lui, restons ensemble trésor.

Ma : Oui mon amour, et tu es la seule à faire de moi l'homme le plus heureux de la Terre.

Me (faisant une moue) : Garde-moi dans tes bras, je ne veux plus jamais y en sortir.

Ma : Oh, comme c'est si joliment demandé, je ne peux qu'accéder à ta volonté très chère, viens par là toi.

Me (se faisant attraper par la taille et rigolant de bonheur) : Oh, j'aime quand tu agis ainsi.

Ma (souriant de bonheur) : Tu m'inspires mon ange.

Me : Embrasse-moi bébé."

Matthew l'embrassait avec une passion des plus folles.

Au même moment, une personne arrivait et c'était Megan. Elle mettait le plan à exécution en criant pour demander à l'aide. Melody à ce moment-là entendait du bruit et prenait peur. Matthew pour la protéger et ne pas revivre le fait de perdre la femme en qui il tenait le plus au monde l'incitait à venir avec lui pour sa protection. Ils arrivaient ensemble sur le lieu du bruit et voyait Cassandra inconsciente. Matthew paniquait et appelait l'ambulance.

M (paniqué) : "Allo, une femme a été renversée par une voiture près du bar local, venez vite !

L'ambulancier : On arrive immédiatement."

Melody était effrayée mais pensait au statut de son homme posant sa main sur son épaule.

Me : "On ne doit pas te trouver plus longtemps ici mon amour.

Ma (complètement sous le choc) : Tu as raison.

Me : Retournons à l'intérieur et tu pars dans cinq minutes la rejoindre.

Ma (trouvant la lettre et la lisant dans sa tête) : On a fait ça pour me punir.

Me (prenant dans ses bras son homme) : Tu n'y es pour rien.

Ma : Mais qu'est-ce que je peux faire ?

Me : J'ai confiance en toi. Tu trouveras un moyen.

Ma : Je n'ai pas envie de te perdre ni de perdre notre fiston.

Me : Jamais tu ne nous perdras mon amour.

Ma (en colère) : En tout cas, Andrew va payer.

Me : Tu crois que c'est lui ?

Ma : Je ne vois pas qui d'autre serait responsable de ce carnage.

Me : Ne tire pas de conclusions trop hatives chéri.

Ma (voyant la sagesse de sa belle) : Tu as raison.

Me : J'ai confiance en toi mon amour. Je sais que tu trouveras la vérité.

Ma : Tu veux rester avec moi ?

Me : Bien sûr.

Ma : Je vais te protéger en te ramenant à la demeure familiale avec notre fils. Je ne veux pas que vous restez ici, c'est trop dangereux.

Me : Si on allait le chercher, tu ne crois pas ? Et ensuite on partira pour l'hôpital.

Ma : J'aimerais rester auprès d'elle mais tu vises juste.

Me : Allons-y alors."

Les deux partaient rechercher Ethan.

Megan de son côté avait assisté à toute la scène au loin. L'ambulance arrivait et transportait Cassandra à l'hôpital. Megan recevait un coup de téléphone et elle répondait.

M : "Oui.

Le chef : Alors ?

M : Trop tard, Matthew a retrouvé Melody et ils sont de nouveaux complices.

Le chef : Oh, et l'accident ?

M : Alors Matthew l'a vu et si c'est bien fait, Melody arrivera à la demeure royale très vite.

Le chef : Bien, j'avais besoin de tout le monde là-bas.

M : Et l'amadouer, je ne peux pas ?

Le chef : Tu pourras en prétextant être un témoin et il te fera confiance.

M : Après est-ce que je serais libre de vous ?

Le chef : Quand je l'aurais décidé mais pas avant.

M : Je ne peux rien faire pouvant accélérer les choses ?

Le chef : A part tuer un des frères, on fait comme je l'ai décidé. Je sais fortement très chère que tu ne peux pas tuer.

M : C'est vrai.

Le chef : Mais tu auras le courage de le faire.

M : Je me refuse d'otter la vie.

Le chef : Mais si c'est pour ta liberté, je sais que tu le feras. Allez retourne à la demeure et fais-toi bien voir de la cour.

M : J'y vais."

Megan partait.

De leur côté, Andrew, Ryan, Alyson et Brooklyn attendaient toujours Cassandra et Matthew mais rien n'arrivait jusqu'à ce qu'une coupure mette tout le monde dans le noir. Les quatre se regardaient, essayaient de rester entre eux pour une certaine sécurité, mais le pire se produisit quand la lumière revenait. Andrew regardait un peu tout le monde à commencer par Alyson sa dulcinée, puis elle regardait Ryan mais là il n'y avait pas Brooklyn. Le deuxième des frères était anéanti en constatant que Brooklyn avait disparu sans laisser de traces. Ryan prenait son verre et le jettait violemment contre le mur avant d'aller vers Andrew et de lui flanquer un violent coup de poing en plein visage.

R : "Ordure, tu es responsable de ça !

An : Je n'ai rien fait.

R (furieux) : Je te jure que je vais découvrir la vérité et tu vas payer pour ton erreur enfoiré.

Al (tentant de calmer le jeu) : Calme-toi.

R (colérique) : Ma belle princesse vient de disparaître alors le calme non merci et tu ferais mieux de retourner à la place qui est la tienne.

Al : Mais....

An (retenant sa belle) : Laisse chérie, il ne sait pas réfléchir.

R : Je te hais Andrew, tu m'as bien entendu, je te hais !!!!!"

Ryan partait furieux. Andrew était carrément surpris par ce qui se passait. Alyson jouait la surprise, mais au fond, elle savait qu'en s'en prenant à la belle de Ryan, une guerre allait s'ouvrir. Etait-ce Alyson la responsable ? Andrew peut-être ? Finalement ce n'était pas le cas.

Dans une demeure bien secrète, Brooklyn était amenée sur une chaise, ligotée et baillonée alors qu'une ombre se frottait les mains.

Le chef : "Parfait, la guerre va débuter maintenant et tu seras Brooklyn, l'un des objets de celle-ci."

Il rigolait de plus bel.

Fin du chapitre.