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     Keith et l'inconnu continuent à avancer dans la ruelle sombre. Keith dit :

    Keith : "Qui êtes-vous ?

    L'inconnu : Je suis un vieil ami de votre fille.

    Keith : Je répète ma question.

    L'inconnu : Je m'appelle Michael.

    Keith : Comment connaissez-vous Veronica ?

    Michael : Elle est venue me voir.

    Keith : D'où venez-vous ?

    Michael : Du futur.

    Keith : Si c'est une blague, elle est de très mauvais goût.

    Michael : Je t'assure que non. Je suis au contraire très sérieux. Ta fille a fait un voyage dans le futur et a pu se rendre compte à quel point tu l'avais déçu.

    Keith : Comment ça ?

    Michael : Mon pauvre. Tu n'as jamais avoué ton secret à qui que ce soit. Les Summers ont été épargnés.

    Keith : Que voulez-vous ?

    Michael : Si tu veux que ta fille et sa famille s'en sortent vivants, tu as intérêt à suivre mes instructions.

    Keith : Que dois-je faire ?

    Michael : Tu dois éviter que Veronica n'enquête sur moi.

    Keith : Comment elle peut enquêter sur vos..... ?

    Michael (en lui coupant la parole) : ....Tu peux me tutoyer.

    Keith : ..... tes origines.

    Michael :C'est Veronica.

    Keith : Je devrais arrêter de me poser la question.

    Michael : Arrête-la avant le drame, tel était notre accord dans le futur. Je ne fais que le respecter. Elle enquête sur les Summers et sur toutes les affaires qui sont liées à cette famille.

    Keith : Je ferais le nécessaire.

    Michael : Très bien.

    Keith : Comment vas-tu faire pour repartir ?

    Michael : On va devoir me tuer.

    Keith : Quoi ?

    Michael : Je viens en fait de me faire tirer dessus dans mon présent. Il faut que cela se répercute ici.

    Keith : Comment ?

    Michael : A toi de me tirer dessus, Keith.

    Keith (effrayé) : C'est surréaliste !!!!

    Michael : Exact.

    Keith (effrayé) : Je vais le faire."

    Keith prend son arme et tire sur Michael de sang froid. Il n'arrive pas à croire qu'il ait pu faire ça. Michael s'écroule et dit :

    Michael (faible) : "Merci, Keith. Tu m'as rendu un grand service.

    Keith : Je suis désolé.

    Michael (faible) : Ce n'est pas grave."

    Michael s'endort sous les yeux étonnés de Keith. Celui-ci disparaît à sa plus grande stupéfaction. Keith part vers le bureau du shérif. De leur côté, Logan, Veronica, Sarah et Wallace sont devant la maison des Summers. Veronica frappe à la porte. Jack descend. Il se rend compte qu'il ne reste plus que lui et Sam. Il ouvre la porte et découvre toute la bande. Il dit :

    Jack : "Vous en avez déjà assez fait comme ça, non ?

    Veronica : On veut la vérité.

    Jack : Crois-moi, Veronica. Il vaut mieux que la vérité reste sous terre sinon elle nous détruira.

    Veronica : On veut savoir pour votre frère et votre père.

    Jack : Cette fois-ci, tu veux savoir en plus de ce qui est arrivé à ma famille, ce qui est arrivé à mon frère et à mon père.

    Veronica : On veut savoir.

    Jack : Ils sont morts, fin de la discussion.

    Logan : Votre femme avait un cancer.

    Jack (surpris) : Quoi ?

    Sarah : On dirait que vous n'étiez pas au courant ?

    Jack (surpris) : Elle était partie ce jour-là. Elle a préféré se confier à Keith plutôt qu'à moi.

    Logan : Elle a même précisé que vous mentiez sur la mort de votre frère et de votre père.

    Jack (en colère) : Je hais, Keith. Je le hais !!!!!!

    Veronica : Ce n'est pas la peine d'en vouloir à mon père.

    Jack (en colère) : Ton père a............

    Veronica (en attendant la fin de sa phrase) : ........ fait quoi ?

    Jack (en se calmant) : ...... m'a fait souffrir.

    Logan : Pourquoi vous ne dîtes rien ?

    Jack : Arrêtez de poser des questions sur ma famille et sur ma vie également.

    Sarah : Vous seul avez toutes les réponses. Vous allez tout nous dire !!!!

    Jack : J'aimais ma femme. J'aimais mon frère et mon père. C'est suffisant, je crois à moins que vous pensiez que j'ai quelque chose à voir avec leur mort. Pensez-vous sérieusement que j'aurais voulu tuer ma famille toute entière ? Si vous pensez cela, normalement, John, Adam, Peyton et Sam ne seraient plus là aujourd'hui.

    Veronica : Qu'est-ce qu'à fait mon père ? Qui est cet inconnu qui vous poursuit ?

    Jack : Tu penses avoir une bonne image de ton père mais il va falloir que tu fouilles en profondeur Veronica. Pour ce qui est de l'inconnu, je ne peux rien réveler."

    Soudain, Jack voit comme une apparition. C'est celle de sa femme défunte. Il dit :

    Jack : "Je m'en veux Isabel, j'aurais voulu être là et te sauver. Je ne l'ai pas assez prouvé mais je t'aimais comme un fou. Je ne pouvais pas me passer de toi.

    Veronica : Qui est avec nous ?

    Isabel (en fantôme) : Jack, il est temps de te libérer d'un point qui pèse sur ta conscience depuis des années. Je t'en prie, n'en veux pas à Keith. Il est temps que la paix règne de nouveau entre vous deux.

    Jack (en colère) : Jamais je ne pourrais refaire confiance à Keith. Il m'a trahi. Il a détruit notre vie !!!!!!!!

    Logan : Qui est avec nous ?

    Jack (ému) : Ma femme est ici. Elle me manque.

    Wallace : Elle hante plutôt cette famille.

    Jack (triste) : Elle me manque chaque jour. Depuis sa mort, je vis un véritable enfer. Je n'arrive pas à me relever depuis. Mes fils étaient là pour m'aider ainsi que ma fille. Ensuite, la malédiction a continué. On m'a enlevé ma fille. On m'enlève ce que j'ai de plus cher. Keith en est le principal fautif.

    Veronica : Il veut se réconcilier. 

    Jack : C'est beau. Tu essayes de le défendre mais réfléchis à ce que je t'ai dit. Ton père n'est pas celui que tu crois.

    Wallace : Keith est un homme bien !!!!!!

    Logan : Qu'est-ce qui s'est passé ?

    Veronica : Tout est lié au braquage. Mais par contre, pour la mort de son père et de son frère, il n'est pour rien.

    Jack : Ne vous mêlez pas de cette histoire, crois-moi. Sur ce, j'y vais.

    Veronica : D'accord. Mais je saurais la vérité, Jack. Je saurais tout."

    Jack s'éloigne. La bande suit discrètement et écoute. Le fantôme de sa femme suit. Elle dit :

    Isabel (en fantôme) : "Tu as caché à Keith des informations sur l'accident de ton père et de ton frère !!!!!

    Jack : C'est pour la bonne cause si j'ai caché certaines informations. J'en paye le prix aujourd'hui. On veut me tuer et on accuse ma famille d'être responsable des meurtres.

    Isabel (en fantôme) : Tu devrais faire attention aux enfants.

    Jack : Je suis au courant."

    Isabel disparaît. Jack part. La bande est étonnée. Veronica dit :

    Veronica : "Qu'est-ce qu'il peut cacher exactement ?

    Logan : Il peut cacher n'importe quoi. C'est soit en rapport avec ses enfants, soit en rapport avec sa femme, soit en rapport avec son passé, soit en rapport avec l'enquête..... Cela peut être n'importe quoi.

    Veronica : Justement, on devrait retourner au bureau. Nous allons rassembler tous les élements et découvrir enfin la vérité.

    Wallace : Je suis d'accord.

    Sarah : Moi aussi.

    Logan : On te suit."

    Toute la bande part au bureau. Au même moment, Jason et James arrivent devant la grotte. Ils entrent à l'intérieur et sortent leurs armes. John et Peyton ne sont pas loin. Ils voient la voiture de Jessica. Ils avancent vers la grotte. Jessica quand à elle dit :

    Jessica : "Ne continue pas à me mentir sinon, je seraits obligée d'agir.

    Adam : Petite fille tout à fait innocente.

    Jessica (en criant) : Arrête.

    Adam : Si tu crois que la mort me fait peur, tu te trompes. Je ne trahirais jamais ma famille.

    Jessica : Tu vas me dire pourquoi avoir engagé mon frère et ensuite ce que vous cachez en rapport avec Keith Mars ?

    Adam : Cela ne te regarde pas. Tu n'es plus avec moi maintenant et tu le sais.

    Jessica : Ce n'est pas une raison. Il s'agit de personnes que j'apprécie tout particulièrement.

    Adam : C'est pareil pour ma famille. Tu vois, nous sommes coincés.

    Jessica : Je suis capable de te frapper encore et encore jusqu'à ce que tu me dises tout.

    Adam : Je t'ai toujours attiré, avoue-le !!!!

    Jessica : Il n'y a plus rien entre nous depuis longtemps, depuis que tu m'as laissée seule.

    Adam (triste) : Je suis désolé mais tu ne devais pas rester avec moi. C'était trop dangereux.

    Jessica (triste) : Mais pourquoi ?

    Adam : Je voulais que tu restes en vie. Tu fais ta vie avec quelqu'un d'autre et cela me suffit.

    Jessica (triste) : Il est temps de tout stopper."

    Jason et James arrivent à ce moment-là. Jason dit :

    Jason : "Tu es sorti avec lui ?

    Jessica : Oui.

    James : Poser des questions ne servira à rien surtout dans cette situation.

    Jason : D'ailleurs, pourquoi c'était dangereux ?

    James : Je peux répondre à cette question. Ils ont perdu beaucoup de personnes et particulièrement des femmes.

    Adam : C'est exact. 

    Jason : Je t'en prie, Jessica. Pose cette arme et donne-la moi."

    Jessica après quelques hésitations, donne l'arme à Jason. Mais soudain, John et Peyton arrivent dans la grotte. John prend une arme caché à sa cheville. Il la donne à Peyton et prend l'arme caché dans sa voiture. Peyton dit :

    Peyton : "Tu as des armes ?

    John : J'ai un permis pour ça. C'est à cause de mon statut."

    Ils continuent leur route et arrivent devant Jason, James, Jessica et Adam. La tension est à son comble. John dit :

    John : "Posez vos armes, maintenant !!!!

    Peyton : Vous avez entendu ce que mon père a dit ?"

    James et Jason commencent à poser leurs armes. Elles se retrouvent à terre. James dit :

    James : "Il n'est pas nécessaire de s'énerver John.

    John (énervé) : Elle a enlevé mon petit frère, c'est une raison. Tu oses me faire des réflexions, James. Il ne vaudrait mieux pas.

    James : Tu cherches la bagarre ?

    John (énervé) : Exactement.

    Jason (se mettant devant son frère) : James, ne l'écoute pas. On est venu pour Jessica et on repartira avec elle.

    Jessica : Merci, les gars.

    Jason : Par contre, tu vas devoir m'expliquer certaines choses, c'est compris ?

    Jessica (en regardant fixement Adam) : Oui.

    Jason : Très bien."

    Ils se regardent encore pendant un bon moment. Puis, John se précipite vers son frère. Il dit :

    John (en courant) : "Peyton, surveille mes arrières !!!!!

    Peyton : D'accord, Papa."

    James voit John qui se précipite vers son frère. Pour lui, ce serait l'occasion enfin d'éclairer toute cette histoire. Il tente de s'interposer mais Peyton tire un coup de feu en l'air. Tout le monde se retourne vers elle. John est surpris. Il vient vers son frère et lui prend le bras. Peyton dit :

    Peyton : "Si vous bougez, je n'hésiterais pas à tirer.

    James (effrayé) : Peyton, il y en a marre des secrets. Il est temps de tout stopper et tu peux le faire.

    Peyton : Si tu crois que je vais être influencé par toi, tu te trompes.

    John (avec son frère) : Il est temps de partir Peyton. Au fait, bien joué.

    Peyton : Merci d'être venu.

    Adam : Merci d'être venu me chercher.

    John : C'est normal. On ne veux pas te perdre et tu le sais.

    Adam : Merci.

    Jessica : On veut savoir la vérité. Qu'est-ce qui se passe entre votre famille et Keith ?

    Adam : On ne dira rien.

    John (déterminé) : Jamais !!!!"

    John, Peyton et Adam partent de la grotte. Jessica est comme boulversée. James reprend les armes et dit :

    James : "Tout va bien ?

    Jessica : Ca va.

    Jason : Je te connais Jessica.

    Jessica : Cela était bizarre cette confrontation.

    Jason : Des souvenirs sont remontés à la surface ?

    Jessica : Exactement.

    James : Tu es sorti avec Adam Summers ?

    Jessica : Exactement.

    Jason : Qu'est-ce qui s'est passé ?

    Jessica : Il m'a laissé tombée. Cela a été la fin de tout. C'était d'ailleurs au moment où John avait engagé Shawn.

    Jason (surpris) : Quoi ?

    Jessica : Je suis désolée.

    Jason : Ce n'est pas grave. Votre relation était sérieuse ?

    Jessica : Ca pouvait le devenir.

    Jason : Je vois.

    Jessica : Je n'ai rien obtenu malheureusement.

    James : Les autres auront plus de chances.

    Jason : Retournons au bureau du shérif.

    Jessica : D'accord."

    Jessica, Jason et James partent également. Au même moment, Melinda arrive devant son patron. Celui-ci dit :

    L'inconnu : "Tu m'as trahi Melinda !!!!

    Melinda : Ce n'était pas comme ça qu'il fallait procéder.

    L'inconnu : Je t'ai dit de ne jamais discuter mes ordres. Je hais les traîtres et tu le sais.

    Melinda (effrayée) : Je sais.

    L'inconnu : Tu sais également ce que je fais aux traîtres.

    Melinda (effrayée) : Je t'en prie, ne fais pas ça !!!!

    L'inconnu : Pourquoi je ne me gênerais pas au contraire ?

    Melinda (effrayée) : Je suis la seconde personne à être au courant de tous tes petits secrets.

    L'inconnu : Tu me menaces ?

    Melinda (déterminée)  : Je suis capable de tout raconter à qui tu sais.

    L'inconnu (en prenant le bras de Melinda) : Je ne te le conseille pas.

    Melinda (déterminée) : C'est ce qu'on verra.

    L'inconnu : N'essaye pas de me doubler. J'ai été très gentil avec toi. Ne m'oblige pas à montrer mon véritable visage.

    Melinda (déterminée) : J'en ai terminé maintenant.

    L'inconnu : Je t'en prie, ne me laisse pas seul.

    Melinda : Il est temps de faire la paix.

    L'inconnu (triste) : Jamais."

    L'inconnu sort son arme et le braque sur Melinda. Il dit :

    L'inconnu : "Je te considérais comme ma propre fille !!!

    Melinda : Je n'ai pas peur !!!

    L'inconnu : Très bien."

    L'inconnu commence à appuyer sur la détente. C'est à ce moment-là que Weevil et Shawn arrivent. Weevil saute sur l'inconnu et le désarme. Melinda se réfugie dans les bras de Shawn. Weevil le frappe au visage. Il dit :

    Weevil : "Approche-toi de Melinda et je te jure que je te tuerais.

    L'inconnu : Tu n'as jamais tué pour moi quand tu étais sous mes ordres. Pourquoi le ferais-tu maintenant ?

    Weevil : Parce que j'aime Melinda, voilà !!!!!. Allez, on y va maintenant."

    Weevil, Shawn et Melinda commencent à partir. L'inconnu dit : 

    L'inconnu : "Vous n'êtes pas près de me voir partir de Neptune et de ses alentours !!! Vous allez tous payer !!!!"

    Weevil, Shawn et Melinda ne se retournent pas et partent devant l'inconnu surpris mais déterminé à continuer son travail coûte que coûte. Keith de son côté arrive au bureau. Il ne voit que Dick. Celui-ci dit :

    Dick : "Où vous étiez passé ?

    Keith : Je réfléchissais. Veronica m'en veut et c'est évident.

    Dick : Elle est actuellement occupée.

     Keith : Tu sais à quoi exactement ?

    Dick : Elle est partie alors que je venais de revenir de balade.

    Keith : Tu me mens, n'est-ce pas ?

    Dick : Comme vous mentez à votre fille.

    Keith : C'est trop dangereux pour elle. Un drame va se produire si elle continue.

    Dick : Et quoi ?

    Keith : Je ne dois rien dire."

    C'est à ce moment-là que James, Jason et Jessica arrivent. Keith sort son pistolet. Il dit :

    Keith : "C'est mon jour de chance !!!

    Jason : Nous sommes là pour vous aider. Nous avons sauvé votre fille, je rappelle.

    Dick : Ils sont là pour nous aider à comprendre ce que veux l'ex-patron de James et aussi ce que cache Jack et sa famille.

    Keith : Il faut tout stopper.

    James : Les Summers nous ont tous faits souffrir. On doit découvrir ce qu'il se passe.

    Dick : Il ne faut pas les arrêter.

    Jason : Tu nous as promis de ne pas le faire.

    Keith : C'est vrai. Je ferme les yeux.

    Jason : Merci.

    Keith : Est-ce que vous savez où est partie Veronica ?

    James : On ne sait pas du tout. On s'est occupé de Jessica. Elle a voulu interroger seule Adam mais d'une manière assez douteuse.

    Jessica : Je ne le referais plus.

    Keith : Je vois. Où sont Weevil et Shawn ?

    Shawn (en arrivant) : On est là avec une nouvelle alliée.

    Melinda : Bonjour !!!

    James : Elle a voulu tuer ma famille !!!!

    Melinda : Je suis désolée. Je me suis rendue compte qu'il était devenu amer et rempli de colère contre toi mais aussi contre Jack.

    Keith : Il faut que je retrouve Veronica à tout prix.

    Jason : On va la retrouver."

    Justement, Veronica, Logan, Sarah et Wallace reviennent. Dick décide quand à lui de s'eclipser. Il se dit :

    Dick : "Le légiste peut me donner des informations sur le meurtre de Parker et de Madison. Il aura plus de renseignements."

    Il part voir le légiste à la morgue. Veronica rentre dans le bureau de son père avec Logan, Wallace et Sarah. Elle est en train de regarder le rapport du légiste. Le premier concerne le meurtre de Parker. Elle le regarde attentivement quand soudain son père décide de rentrer dans le bureau. La tension est à son comble. Le reste de la bande préfère sortir laissant le père et la fille seule. Keith s'approche et dit :

    Keith : "Tu es en vie et c'est ce qui est le plus important !!! Tu m'as tellement manqué !!!!

    Veronica : Ce n'est pas le moment de faire dans le sentimentalisme, Papa. On est en train d'enquêter.

    Keith : Tu es cruel.

    Veronica : Je suis réaliste, Papa. Tu me mens depuis le début et c'est ce que je déteste le plus.

    Keith : Tu n'aimes pas que ceux qui t'aiment te mentent.

    Veronica : Exactement.

    Keith : Même si c'est pour leur bien ?

    Veronica : Les personnes ont le droit de savoir. C'est tout. Même à toi, on t'a menti.

    Keith : Comment ça ?

    Veronica : On enquête sur l'accident du frère de Jack et de son père.

    Keith (en se souvenant de ce que Michael lui avait dit) : Je vois !!!!

    Veronica : Qu'est-ce qui se passe ?

    Keith : Il vaut mieux que tu te concentres sur les meurtres de Parker et de Madison.

    Veronica : Tu me caches quelque chose ?

    Keith (en mentant) : Non. Je ne te mens pas. Je préfère mieux enquêter sur cet accident et règler les problèmes avec Jack. Il vaut mieux que j'affronte mes démons et seul.

    Veronica (résignée) : Je te laisse faire.

    Keith : C'est gentil, merci."

    Keith sert sa fille dans ses bras mais on sent bien que la complicité qui liait ses deux personnes est altérée. Veronica dit :

    Veronica : "Juste une chose.

    Keith : Quoi ?

    Veronica : La voiture a été sabotée.

    Keith (supris) : Quoi ?

    Veronica : Tu as bien entendu.

    Keith : Tu veux dire que c'est un meurtre ?

    Veronica : Exactement.

    Keith : Je vais mener mon enquête.

    Veronica : Très bien."

    Keith s'éloigne laissant Veronica seule. Logan revient dans le bureau avec le reste de la bande. Jason, James et Jessica les rejoignent. Veronica dit en refermant le dossier :

    Veronica : "Salut !!!

    Jason : C'est bizarre de se retrouver tous ici.

    James : Je sais. Cela me fait la même chose.

    Shawn (en entrant avec Melinda et Weevil) : On est tous là !!!

    Veronica (en sortant une arme du bureau) : Comment oses-tu te présenter ici ?

    Melinda : Je suis avec vous.

    Sarah : Elle a essayé de me tuer tout à l'heure !!!!!

    Melinda : Je sais. Je travaillais avec lui mais je l'ai quitté.

    Veronica (en le rangeant) : Sérieusement ?

    Melinda : Oui, je l'ai quitté.

    Weevil : Tu peux lui faire confiance.

    Veronica : D'accord.

    James : J'espère que vous n'avez pas eu à souffrir avec lui.

    Shawn : Ne t'inquiète pas, James. On l'a sorti sans qu'il ne blesse quelqu'un.

    Jason : Tu me rassures.

    Veronica : Vous vous connaissez tous les trois ?

    Jessica : Tu devrais me compter aussi Veronica !!!!!!

    James : En fait, je ne connaissais pas vraiment Shawn jusqu'à présent mais Jason oui.

    Shawn : On était à l'agence ensemble.

    Veronica (en colère) : Tu aurais pu me mettre au courant !!!!

    Shawn : Et tu ne m'aurais rien dit par hasard ?

    Veronica (en y réfléchissant) : Si, j'aurais dit quelque chose.

    Shawn : J'ai voulu le protéger. Mais j'ai fait une erreur en acceptant de travailler pour les Summers à l'époque.

    Veronica : Quoi ?

    Shawn : Les Summers voulaient que je retrouve les Benett avant le FBI.

    Veronica : Je n'arrive pas à le croire.

    Shawn : Je sais, je suis désolé.

    Veronica : Bon, je pardonne.

    Logan : Tu es sûr ?

    Veronica : Oui. On a besoin de tout le monde sur cette affaire.

    Logan : Tu n'as pas envie de.......

    Veronica (en lui coupant la parole) : Il a choisi le bon camp, tout va bien.

    Logan : Pense à te ménager.

    Veronica : Je sais, chéri.

    Shawn : Est-ce que tu vas laisser ton père faire ses propres investigations ?

    Veronica : Bien sûr que non. D'ailleurs, on va voir quelqu'un.

    Shawn : Comment ça ?

    Veronica : On va voir le légiste. Il va tout nous dire sur ce qui s'est passé lors de l'accident du frère et du père de Jack.

    Jessica : On enquête là-dessus ?

    Veronica : Oui. Les Summers cachent quelque chose d'important, j'en suis convaincue. Tout le monde est concerné.

    Shawn : Y compris Peyton ?

    Veronica : Oui.

    Shawn : Je vois.

    Veronica : N'essaye pas de compromettre l'enquête car sinon, je te tue.

    Shawn : Très bien.

    Veronica : Mais où est Dick ?

    Shawn : Personne ne le sait.

    Veronica : On y va."

    Toute la bande va voir le légiste. Dick de son côté est allé voir le légiste quand soudain, il entend plusieurs voix. La première dit :

    La première voix : "Vous avez trouvé des preuves mais vous ne les divulgerez pas à Veronica Mars !!!!

    La deuxième voix : Il a raison. Vous ne les divulgerez pas à Veronica.

    La troisième voix : Oh, non !!!!!

    Le légiste (effrayé) : Dîtes-moi ce que vous voulez et je vous le donne tout de suite.

    La première voix : Que tu meures avec toutes tes preuves."

    Dick entend tout. Il est effrayé également. La première voix tire sur le légiste qui meurt aussitôt. La deuxième voix dit :

    La deuxième voix : "Il nous faut effacer toute trace. Veronica ne doit rien trouver.

    La première voix : Je suis d'accord."

    La deuxième voix allume un briquet et brûle ensuite les papiers du légiste. La morgue commence à brûler. Dick décide de partir mais il fait beaucoup trop de bruits. La troisième voix le repère. Elle dit :

    La troisième voix : "Dick est là !!!!

    La première voix : Tue-le !!!!

    La troisième voix : D'accord."

    La troisième voix tire sur Dick. Elle le touche à l'épaule. La première voix dit :

    La première voix : "Bien joué !!!

    La troisième voix : Je suis d'accord."

    Dick en profite pour s'enfuir. Les trois personnes s'enfuient également. La bande arrive à ce moment-là et voit trois silhouettes s'enfuir. Dick arrive en même temps quand soudain tout explose. Logan se précipite vers la personne et découvre que c'est Dick. Il l'emmène devant la bande. Dick dit :

    Dick : "Je suis un peu amoché mais ce n'est pas grave.

    Logan : On va l'enlever cette balle.

    Dick : On pourra découvrir qui m'a tiré dessus. Le légiste est mort car il avait découvert quelque chose. Si j'avais su, j'aurais pu le sauver.

    Logan : Tu ne pouvais rien y faire. Tu le sais.

    Veronica : Rentrons et enlevons cette balle. Les pompiers vont bientôt arriver."

    Toute la bande rentre au bureau. Pendant ce temps, Jack arrive au cimetière. Il est toujours hanté par son passé. Il est devant la tombe de sa femme. Il dit :

    Jack : "Je suis désolé. Je t'ai perdu et c'est ma faute.

    Keith (en arrivant) : Je savais que je te trouverais là.

    Jack (en sortant une arme de sa cheville) : Qu'est-ce que tu viens faire là ?

    Keith (en colère) : Tu m'as menti !!!! Ton frère et ton père ne sont pas morts dans un simple accident de voiture.

    Jack : Ne te mêle pas de ça, Keith. Tu m'as déjà fait souffrir. Ne recommence pas car sinon, tu vas le payer très cher.

    Keith (en colère) : Quoi, tu vas me tuer ? Qu'est-ce que tu caches ? Qu'est-ce que tes enfants cachent ?

    Jack : Ne t'approche plus de ma famille désormais.

    Keith (en colère) : Je découvrirais la vérité, Jack. Tu peux me faire confiance là-dessus.

    Jack (en rangeant son arme) : Ne compte pas sur moi alors pour cacher plus longtemps la vérité à Veronica."

    Jack part. Keith est effrayé. Il se tient devant la tombe de la femme de Jack. Il pleure et décide de partir. Keith dit :

    Keith (en pleurs) : "Je t'ai aimé, Isabel si tu savais. Si seulement, Veronica pouvait connaître la vérité à ton sujet. J'aimerais tellement tout lui dire mais elle me détesterais. J'ai déjà détesté cette journée où je t'ai perdu. Je ne veux pas continuer à en vivre d'autres."

    Il décide de partir et passe devant la tombe du frère de Jack. Il dit :

    Keith : "Si seulement tu pouvais me dire ce qui c'était passé."

    Keith part mais il était surveillé. Un inconnu arrivait et le regardait au loin. Il dit :

    L'inconnu : "Oh, tu vas vivre le pire de tes cauchemards, Keith. Jack n'est rien comparé à moi."

    L'inconnu part.

     

    Fin du chapitre.


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  • L'inconnu revient chez lui. Il voit un journal et le prend. Il se rend compte que deux enterrements vont avoir lieu. Il se dit :

    L'inconnu : "Ce sera l'occasion rêver pour punir les traîtres et enfin me venger."

    Il se prépare pour l'occasion et repart. De son côté, Jack revient chez lui. John, Peyton et Adam arrivent en même temps. Jack dit :

    Jack : "Je croyais que vous êtiez à la maison quand je suis parti ?

    John : On peut te demander la même chose, Papa.

    Jack : Pourquoi êtiez-vous dehors ?

    John : Adam avait été kidnappé. Je l'ai ramené avec Peyton.

    Jack : On dirait que vos relations sont moins tendues.

    Peyton : Oui, on s'est rapproché.

    Jack : Je vois.

    Adam : Et toi, Papa ?

    Jack : Veronica est venu encore me rendre visite.

    John : Qu'est-ce qu'elle voulait ?

    Jack : Elle voulait encore me poser des questions par rapport à Keith. Mais aussi par rapport à votre oncle et grand-père.

    John : Elle va arrêter d'enquêter !!! Elle doit laisser notre famille en paix.

    Jack : Il est temps que tout s'arrête. Je suis avec vous.

    Peyton : Bienvenue, Papi.

    Jack : Tu es au courant ?

    Peyton : Je suis au courant.

    Jack : John, c'est ta fille !!!! Elle est trop jeune !!!!

    John : Elle sait très bien se débrouiller. Ne t'inquiète pas.

    Jack : Très bien, c'est toi qui voit.

    Sam (en descendant) : Mais je vous ai cherché partout !!!!!

    Jack : Sam !!!!

    Sam : J'ai quelque chose à vous montrez.

    Jack : Quoi ?

    Sam : Il va y avoir deux enterrements.

    Jack (en prenant le journal) : Deux enterrements ?

    John : Lexquels Papa ?

    Jack : Celui de Madison et de Parker.

    John : C'est l'occasion d'y aller. Nous verrons les Benett. C'est ce qui compte.

    Jack : Je suis d'accord. Je mettrais quand à un moi un terme définitif à mon amitié avec Keith. Dorénavant, c'est mon ennemi."

    Jack part se préparer comme tout le reste de sa famille. Toute la bande revient au bureau. Veronica attrape une trousse de secours. Elle dit :

    Veronica : « Il faudrait que tu ailles à l’hôpital ! 

    Dick : Il n’en n’est pas question. Je ne suis pas un bébé, enlève-moi cette balle !

    Logan : Elle t’a prévenue ! 

    Dick : Je sais. »

    Veronica enlève la balle. Dick crie de douleur. Elle soigne ensuite la blessure. Elle dit :

    Veronica : « Tu as une blessure de guerre !

    Dick : Merci, au moins, je peux dire que je suis quelqu’un de spécial  

    Veronica : Sacré Dick !

    Jessica : Pour moi, c’est un héros !

    Logan : Il a réussi encore !

    Dick : Tu me connais 

    Jason : Au moins, on est content que tu n’ais rien. 

    Dick : Merci. 

    Jason : Je sais que ce que nous avons fait était horrible mais maintenant, on souhaite se racheter. »

    Près d’eux, se trouvaient Weevil et Melinda inquiets. Ils entendent une chanson passer en boucle dans la radio du bureau. C’est une musique de Westlife : Us against the world :

    "You and I, we've been at it so long
    I still got the strongest fire
    You and I, we still know how to talk
    know how to walk that wire

    Sometimes I feel like the world is against me
    The sound of your voice baby that's what saves me
    When we're together I feel so invincible

    'Cause it's us against the world
    You and me against them all
    If you're listening to these words
    Know that we are standing tall
    I don't ever see the day that I won't catch you when you fall
    'Cause it's us against the world tonight

    There'll be days we'll be on different sides
    But that doesn't last too long
    We find ways to get it on track
    We know how to turn back on

    Sometimes I feel I can't keep it together
    then you hold me close and you make it better
    When I'm with you I can feel so unbreakable

    'Cause it's us against the world
    You and me against them all
    If you're listening to these words
    Know that we are standing tall
    I don't ever see the day that I won't catch you when you fall
    'Cause it's us against the world tonight
    We're not gonna break 'cause we both still believe
    We know what we've got and we've got what we need alright
    We're doing something right

    'Cause it's us against the world
    You and me against them all
    If you're listening to these words
    Know that we are standing tall
    I don't ever see the day that I won't catch you when you fall

    Us against the world
    You and me against them all
    If you're listening to these words
    Know that we are standing tall
    I don't ever see the day that I won't catch you when you fall
    Us against the world
    And it's us against the world, baby
    Us against the world tonight"

    Melinda dit en remarquant le journal d’aujourd’hui :

    Melinda : « L’enterrement de Madison et de Parker a lieu aujourd’hui  

    Weevil : J’ai comme l’impression qu’il se passe quelque chose de bizarre.

    Melinda : Tu peux le dire. Mon ex-patron peut en profiter pour nous tuer tous.

    Weevil : Que peut-on faire ?

    Melinda : On doit partir de Neptune et ne plus jamais revenir.

    Weevil : Je ne peux pas les quitter.

    Melinda : Tu sais comment est mon ex-patron ! Tu l’as vu ! On met en danger toute la bande si on reste ici. Il faut partir !

    Weevil : Il faut leur dire.

    Melinda : Tu acceptes de venir ?

    Weevil : Je savais que c’était une proposition.

    Melinda : Je ne t’ai jamais oublié !

    Weevil : Moi, non plus. »

     

    Ils s’embrassent. De leur côté, Sarah et Wallace discutent également. Sarah dit :

    Sarah : « Je dois absolument savoir ce que les Summers cachent. C’est essentiel  

    Wallace : Ses personnes n’ont causé que douleur et souffrance tout autour d’eux. Il vaut mieux que tu ne sois pas toute seule. Je te protègerais d’eux 

    Sarah : Tu es mon chevalier servant !

    Wallace : C’est la première fois que l’on m’appelle ainsi !

    Sarah : C’est normal. Tu me protèges du danger même si Veronica ne m’apprécie pas trop. 

    Wallace : Parce que tu as voulu te mettre également sur l’enquête ? Elle est comme ça et en plus, elle est enceinte ! 

    Sarah : Je vois, les hormones !

    Wallace : Tu comprends très vite. Si tu veux aller voir les Summers, je viendrais avec toi. 

    Sarah : C’est gentil.

    Shawn (en ayant entendu un petit peu de la conversation) : Sarah, je ne te conseille pas de faire ça.

    Sarah : Je ne t’ai pas demandé ton avis !

    Shawn : Crois-moi, il faut fuir cette famille ! 

    Sarah : Pourquoi ?

    Shawn : Elle a voulu me séparer de mon meilleur ami. Je t’en prie, ne fais pas ça.

    Sarah (en colère) : Je veux des réponses et je les aurais !

    Shawn : Tu n’auras que des ennuis. 

    Melinda (en entendant la dispute) : Que se passe-t-il ?

    Veronica : Oui, racontez-moi !!!

    Shawn : Elle veut aller voir les Summers !

    Veronica : Tu sais très bien que Jack n’a rien dit !

    Sarah : Mais je vais là-bas pour trouver des réponses me concernant. Je tiens à savoir. Veronica, tu sais très bien que tu ne m’arrêteras pas. De plus, tu es comme moi. Tu veux également savoir ce que cette famille cache.

    Veronica : C’est vrai.

    Logan : Mais il vaut mieux te reposer.

    James : C’est de la folie, crois-moi Sarah, ma famille en a payé le prix fort. Cette famille cause plus de souffrances que de bonheurs.

    Sarah : J’en prends le risque.

    Weevil : Vous saviez qu’il y avait l’enterrement de Madison et de Parker aujourd’hui ?

    James : Non ! Mais maintenant on le sait.

    Jason : Tout le monde sera présent. 

    Veronica : On y sera mais il faudra être très prudent.

    Melinda : D’ailleurs, à propos de prudence, nous avons décidé Weevil et moi de partir après l’enterrement loin de Neptune.

    Veronica : Tu vas nous quitter ?

    Logan : Avec qui je vais pouvoir me disputer ? 

    Dick : Oui, avec qui ? On n’avait pas une vie monotone sans toi ?

    Weevil : Désolé mais je pense à mon avenir. C’est elle !!!!

    Logan : On est heureux pour toi.

    James : On est vraiment heureux.

    Sarah : Tu as trouvé celle qui te correspond même si elle a voulu me tuer il n’y a pas longtemps  

    James : Je peux dire également la même chose !

    Jason : Moi aussi !

    Veronica : En gros, tout le monde.

    Jessica : Je suis d’accord là-dessus.

    Shawn : On vous protègera, on se protègera les uns des autres. » 

    Tout le monde se sert dans les bras. Veronica dit :

    Veronica : « Alors, tu es décidé Sarah ?

    Sarah : Je vais retourner les voir.

    Wallace : Je l’accompagne, Veronica.

    Veronica : Faîtes attention tous les deux, on ne sait pas ce que réserve la famille Summers. Mais il faudrait que vous nous rejoigniez aux funérailles de Parker et de Madison.

    Logan : Je pensais, chéri, que tu n’irais pas surtout aux funérailles de Madison.

    Veronica : Même si c’était une peste, j’irais. Elle mérite quand même justice vu ce qu’elle a subi.

    Dick : Je suis d’accord.

    Wallace : On reviendra, ne t’inquiète pas.

    Veronica : Merci. » 

    Wallace et Sarah partent. Logan dit :

    Logan : « C’est un risque que tu viens de prendre ?

    Veronica : Je sais mais tu me connais.

    Logan : Je te rappelle que tu es enceinte !!!!

    Veronica : Tu me connais donc. Je ne suis pas quelqu’un qui se repose. Je tiens à connaître la vérité comme tout le monde. La famille Summers a quand même fait souffrir ton frère James. De plus, mon père les connaît personnellement mais je ne sais pas pourquoi. Il faut reprendre tout à zéro. Mais le plus important, pour l’instant est d’aller à l’enterrement. Si ça se trouve, la famille Summers fera un mauvais pas.

    Jason : On ne sera pas présent.

    Veronica : Je comptais sur toi, Jason.

    Jason : Je tiens à aller sur la tombe de ma mère avec James.

    James : Tu es sûr ?

    Jason : Il est temps qu’on lui rende hommage. Je te rappelle que nous n’étions même pas à son enterrement.

    Logan : Je suis inquiet à savoir que vous ne serez que tous les deux.

    James : Ne t’inquiète pas, Logan. Grâce à toi et à toute cette bande, je sais maintenant où est ma véritable place et je ne vais pas gâcher ça.

    Jason : Il a raison.

    Logan : Soyez prudents.

    Veronica : On vous appelle s’il y a du nouveau.

    Jason : Tu vas profiter de l’enterrement afin de reprendre l’enquête à zéro.

    Veronica : Exactement. Tu m’as quand même formé.

    Jason : Soyez prudents vous aussi.

    Dick : On sera sur notre garde.

    James : Il est temps d’y aller.

    Jason : On y va. »

    Jason et James partent. Shawn dit :

    Shawn : « Attendez-moi les gars !!!

    Jessica : Qu’est-ce que tu fais Shawn ?

    Shawn : Je serais avec eux afin de les protéger.

    Veronica : Bravo, Shawn.

    Jason : On n’avait pas besoin de baby-sitter mais on accepte.

    Shawn : J’aurais un œil plus reculé sur l’enterrement de Madison et de Parker.

    Veronica : C’est une bonne idée, Shawn.

    Jason : Bienvenue à bord.

    Shawn : Merci, les gars. »

    Jason, James et Shawn partent. Logan est inquiet. Veronica dit :

    Veronica : « Ce sont de grands garçons !

    Logan (inquiet) : Je sais. Mais j’ai eu l’occasion de m’approcher de ma famille alors que je pensais être seul après la mort de mon père. Au final, je me retrouve avec deux demi-frères.

    Veronica : Tu es mon héros ! »

    Veronica embrasse Logan. Dick dit :

    Dick : « Désolé de vous interrompre mais il est temps d’y aller. Keith n’est peut-être pas loin 

    Logan : On sait.

    Veronica : Il n’a pas besoin de savoir ce que je fais.

    Jessica : Tu as raison.

    Veronica : Allons nous préparer pour l’enterrement. »

    Veronica, Logan, Dick, Jessica, Weevil et Melinda partent. Alors que tout le monde est parti du bureau, Keith quand à lui arrive. Il découvre le journal où est inscrit l’annonce de l’enterrement de Madison et de Parker. Il se dit :

    Keith : « Il risque d’y avoir des problèmes ! Il faut que j’y assiste ! »

    Keith part direction le lieu de l’enterrement. Pendant ce temps, la famille Summers a fini de se préparer. Elle voulait partir quand soudain, la sonnette retentit. Jack dit :

    Jack : « Je croyais être tranquille !

    John : Keith n’osera pas venir ici quand même ! 

    Adam : Non, ce n’est pas lui.

    Peyton : Veronica alors ?

    John : Je vais ouvrir.  

    Jack ouvre la porte et découvre que c’est Sarah et Wallace. Sam dit :

    Sam : « Salut !

    Wallace : Salut mon petit Sam, comment ça va ?

    Sam : Je vais bien.

    Jack : Que venez-vous faire ici ?

    Sarah : Nous sommes venus pour obtenir des réponses.

    Jack : Je vous ai répondu alors que vous étiez avec la fille de Keith que je ne savais rien.

    Sarah : Je suis venu essentiellement pour connaître des réponses quand à mon passé.

    Jack: Je vois, entrez tous les deux. » 

    Sarah et Wallace entrent dans la maison. John dit :

    John : « Pourquoi les fais-tu rentrer Papa ? 

    Jack : Cette entrevue n’a rien avoir avec l’affaire de meurtre et le passé de notre famille. 

    John : Très bien. 

    Jack : Laissez-moi seul avec eux.

    Adam : Tu es sûr Papa ?

    Jack : J’en suis sûr. Mieux encore, allez à l’enterrement, je vous rejoins après.

    Peyton : On y va à ce moment-là. 

    John : A tout à l’heure. »

    Peyton, John, Adam et Sam partent pour l’enterrement. Jack dit :

    Jack : « Nous sommes seuls maintenant. Vous allez pouvoir me poser vos questions. 

    Sarah : Voilà, je vous explique. Je suis Sarah Mitchell. J’ai été adoptée et ma famille naturelle a été tuée sauf ma sœur. Je souhaite savoir ce que vous savez sur ce dossier.

    Jack : Je vois. En effet, j’ai enquêté sur le dossier à l’époque. 

    Sarah : Vous étiez responsable de l’enquête à ce moment-là ?

    Jack : C’était une grande enquête pour moi.

    Sarah : Que savez-vous sur ce dossier ?

    Jack : Votre père et votre mère sont morts assassinés. C’est ce qu’on voulait nous faire croire.

    Sarah : Comment ça ?

    Jack : La mort de ses deux personnes était une mise en scène. 

    Sarah (surprise) : Quoi ?

    Jack : En effet, on a découvert que les personnes que nous pensions être vos parents ne le sont pas en réalité. On a découvert plus tard qu’ils ont été payés pour vous garder.

    Sarah (surprise) : Mais qui ?

    Jack : Vous n’allez sûrement pas me croire si je vous le disais.

    Wallace : Ce que vous racontez n’est que pure invention. 

    Jack : Elle a le droit de savoir d’où elle vient.

    Wallace : Alors, pourquoi ne pas le révéler pour Veronica ?

    Jack : Je croyais que ce n’était pas mon interrogatoire ! 

    Sarah : Ne vous inquiétez pas, je vous écoute. 

    Jack : Voilà, après mon enquête, j’ai découvert vos parents biologiques.

    Sarah : Je veux savoir où ils se trouvent ! 

    Jack : Votre mère est malheureusement morte mais votre père lui est encore en vie.

    Sarah : Est-ce que j’ai donc une sœur ?

    Jack : Oui, vous avez une sœur.

    Sarah : Qui sont-ils ?

    Jack : Je vais vous expliquer tout depuis le début. Dans ma famille, un de ses membres a été enlevé à la naissance et nous n’avions jamais eu de nouvelles. C’était une tragédie. Nous avions fait notre deuil jusqu’à votre apparition.

    Sarah : Vous voulez dire que….

    Jack : On ne voulait rien transparaître devant Veronica mais en fait, vous faîtes partie de notre famille et plus particulièrement de la famille de mon fils, John.

    Sarah (surprise) : Je suis la fille du substitut du procureur !!!!! J’enquête sur ma propre famille ! Oh, mon dieu !

    Wallace : Est-ce la vérité ?

    Jack : Oui, Sarah est ma seconde petite fille.

    Sarah (en pleurs) : Je suis désolée de ce que je vous ai fait subir !

    Jack : Ce n’est rien, je suis tellement heureux de t’avoir retrouvé et mon fils pourra retrouver le sourire après des années. »

    Jack prend Sarah dans ses bras sous les yeux de Wallace ému. Sarah dit :

    Sarah : « Je ne pensais pas que vous déteniez la vérité !!!

    Jack : Mais si, mon fils a été très fort pour tout le monde. Mais au fond, je savais qu’il souffrait terriblement.

    Sarah : Où est-il ?

    Jack : Je vais vous accompagner là-bas. Ainsi, tu vas pouvoir voir toute la famille. 

    Sarah (surprise) : Là-bas ?

    Jack : La famille a décidé d’assister à l’enterrement. 

    Wallace : D’accord à ce moment-là.

    Sarah : Je suis d’accord.

    Jack : Cela me fait plaisir. »

    Jack, Sarah et Wallace partent pour l’enterrement. Au même moment, l’inconnu arrive au cimetière et trouve le lieu de l’enterrement. Il se dit :

    L’inconnu : « J’ai une vue superbe ! C’est parfait ! »

    Il constate l’arrivée des frères Benett et de Shawn. Il se dit :

    L’inconnu : « Alors, James, tu te sens menacer ? Tu devrais. »

    Il remarque également l’arrivée de Keith sur les lieux. Il se dit :

    L’inconnu : « Même Keith est là, c’est impressionnant ! Je vais adorer cette journée. »

    En effet, l’inconnu est armé. Il voit enfin l’arrivée de John, Peyton, Sam et Adam Summers. Il se dit :

    L’inconnu : « Décidemment, c’est une réunion de famille ! J’adore vraiment cette journée ! »

    L’inconnu attend l’arrivée du reste de la bande. De leur côté, Veronica et Logan sont rentrés pour se changer. Dick, Weevil, Melinda et Jessica ont fait également la même chose et sont partis rejoindre Veronica et Logan. Chez Keith, Veronica est inquiète. Logan dit :

    Logan : « Qu’est-ce qui se passe, Veronica ?

    Veronica : J’ai un mauvais pressentiment.

    Logan : Pourquoi venir chez ton père ?

    Veronica : C’était plus près et c’était l’occasion pour moi de fouiller dans ses affaires.

    Logan : Ce n’est pas le moment. »

    Soudain, quelqu’un frappe. Veronica ouvre et découvre le reste de la bande. Dick dit :

    Dick : « Ce n’est pas le moment de rester là !!!

    Logan : D’accord. Veronica, on fera ça plus tard !!!!

    Veronica (résignée) : D’accord, mais après je le fais. »

    Elle faisait en effet la moue. Logan dit :

    Logan : « D’accord, chérie !

    Veronica : J’ai encore gagné !

    Jessica : Allez, il est temps d’y aller ! »

    Toute la bande repart pour le cimetière. De leur côté, Jason et James étaient devant la tombe de leur mère accompagné de Shawn. Jason pleure. James tente de le consoler et dit :

    James : « Tu étais très proche de maman mais sache que nous resterons ensemble !

    Jason (en pleurs) : Je ne tiens pas à te perdre, non plus.

    James : C’est de ma faute, je le reconnais.

    Jason (en pleurs) : Tu es mon frère et j’avais accepté de faire exactement la même chose que toi. Je voulais t’aider. Je suis aussi responsable de la mort de Maman.

    Shawn : C’est cette famille qui en est responsable !

    James : Je sais. Mais j’étais quand même amoureux de la plus merveilleuse des femmes. Je pense également à mon fils. Cette famille ne veut surtout pas que je m’en approche sinon, elle risque de me faire retourner en prison.

    Shawn : Tu le reverras ton fils.

    James (en pleurs) : Merci, Shawn d’être avec nous. Maman, je suis désolé de ce qui s’est passé. J’aurais du rester auprès de toi au lieu de vouloir me venger d’Aaron. Je m’en veux. »

    Jason décide de prendre son frère dans ses bras sous les yeux de Shawn. Celui-ci dit :

    Shawn : « Vous pouvez être heureux d’être tous les deux ! Vous êtes une famille !

    James : Merci, Shawn.

    Jason (en séchant ses larmes) : Merci. »

    Les trois garçons restent devant la tombe de Sandra Benett. De leur côté, Veronica et le reste de la bande arrive au cimetière sur le lieu de l’enterrement. Ils voient la famille Summers. Ils remarquent également l’arrivée de Jack avec Sarah et Wallace. Ils sont sous le choc. Veronica dit :

    Veronica (sous le choc) : « Comment ils peuvent nous faire ça ?

    Logan : Je n’en sais rien.

    Veronica (en colère) : Wallace passe à l’ennemi !

    Logan : « Calme-toi, je te rappelle que nous sommes à un enterrement !

    Veronica (en se calmant) : D’accord, je pense à notre enfant mais tu peux t’assurer une chose.

    Logan : Quoi ?

    Veronica : Il va entendre parler du pays !

    Jessica : Nous sommes à un enterrement, nous règlerons cela après la cérémonie. 

    Melinda : Je suis d’accord, rappelez-vous qu’ensuite Weevil et moi partons.

    Veronica : C’est vrai.

    Dick : Je suis au moins sûr d’une chose, Jessica est géniale !

    Jessica : Merci, Dick.

    Dick : C’est pour cela que je l’aime !

    Logan : Attendons le début de la cérémonie. »

    Tout le monde attend le début de la cérémonie. Logan voit la famille Summers et voit son neveu Sam. Il le regarde avec beaucoup d’émotion. Il était près à l’élever jusqu’à ce que James revienne. Il regarde encore tout autour et voit James, Shawn et Jason de l’autre côté. Il voit également Keith au loin. Le prêtre arrive. La cérémonie peut enfin débuter. Le prêtre dit :

    Le prêtre : « Nous sommes ici afin de célébrer la mémoire de Madison et de Parker, deux enfants du seigneur ! Soyez en paix mes enfants ! Amen !

    Toute l’assemblée : Amen ! »

    L’inconnu voit que tout le monde est réuni en ce jour de deuil. Il dit :

    L’inconnu : « L’heure est venu pour moi d’exaucer mon vœu le plus cher. »

    Il part directement vers sa voiture et sort le fusil pour les tireurs d’élite. Il revient vers ses cibles. L’inconnu dit :

    L’inconnu : « J’ai tout ce qu’il me faut ! »

    L’inconnu prépare son arme et vise directement Jack. Il tire sur Jack. Celui-ci tombe à terre. Tout le monde assiste à la scène. Sarah est auprès de lui. Elle dit :

    Sarah : « Non !!!! 

    John : Couchez-vous !!!! »

    L’inconnu continue de tirer sur l’assistance. Keith remarque ce qui se passe et se dirige vers le lieu d’où proviennent les coups de feu. Melinda dit :

    Melinda : « Il est là !

    Weevil : Qui ?

    Melinda : Tu sais très bien qui !

    Weevil : To ex-patron ?

    Melinda : Notre ex-patron !!! Il est temps de s’enfuir au plus vite.

    Veronica : Allez-y !!! Je vous couvre !

    Weevil : Bonne chance à vous tous !

    Logan : A vous aussi !!! »

    Melinda et Weevil s’enfuient. L’inconnu continue de tirer mais Veronica réplique. Logan dit :

    Logan : « Fais attention, je t’en prie !

    Veronica : Je serais prudente. Mais en tout cas, il faut que vous restiez tous coucher et partez.

    Dick : D’accord, on y va.

    Jessica : Merci. »

    Dick et Jessica partent le plus vite possible vers un lieu sécurisé. Veronica tend une arme à Logan qui la prend volontiers. De leur côté, Jason, James et Shawn remarquent ce qui se passe. Jason dit :

    Jason : « Tu as ton arme ?

    James : Oui et toi ?

    Jason : Je l’ai.

    Shawn : Il faut partir vers les coups de feu. »

    Jason, James et Shawn prennent leurs armes et vont vers les coups de feu. Ils tirent afin de stopper les coups de feu. Shawn se fait toucher à l’épaule. Ils continuent tout de même. La famille Summers est auprès de Jack, blessé à la poitrine. John dit :

    John : « Je t’en prie, Papa, reste avec nous !

    Jack (blessé) : Je suis là, les enfants.

    Adam : On va te sortir de là.

    Jack (blessé) : J’aurais voulu que tout se passe autrement.

    Adam : Ne dis pas ça !

    Sam : Tu vas t’en sortir, grand-père !

    John : Adam, occupe-toi de Papa. Emmène-le à l’hôpital !

    Adam (déterminé) : Je ne veux pas te laisser ici seul à affronter la personne qui a tiré sur Papa !

    John (en colère) : Je ne tiens pas à revivre la perte d’une personne de notre famille !

    Peyton : Je reste avec toi, Papa.

    John : Merci.

    Adam : Je reste aussi.

    Sarah : On l’accompagne à l’hôpital.

    John : Pourquoi d’ailleurs êtes vous venu ici avec mon père ?

    Wallace : Ce n’est pas le moment.

    Jack (blessé) : Je t’expliquerais plus tard, mon fils.

    John : D’accord, Papa.

    Sarah : Allez, on y va.

    Jack (blessé) : Sarah, prend mon arme et tire si besoin.

    Sarah : D’accord

    John : Prenez également Sam, il a besoin d’être protégé !

    Sarah : D’accord

    Sam : Soyez prudent. »

    Sarah prend l’arme de Jack qui était caché au niveau des cuisses. Sarah, Wallace, Jack et Sam partent. Ils croisent par hasard Veronica et Logan mais aussi Jason, James et Shawn. Une vive émotion se fait sentir. Sarah ne veut pas perdre de temps et part immédiatement avec Wallace, Jack et Sam. Veronica dit :

    Veronica : « Je sais que c’est dur !

    Logan : Tu ne sais pas à quel point.

    James : J’ai vu mon fils !

    Jason : Je sais.

    Shawn : Mais il faut y aller. »

    Le groupe part immédiatement vers l’origine du coup de feu. De son côté, Keith part également vers celle-ci. L’inconnu voit qu’il s’est fait repérer. Il fuit. Veronica dit :

    Veronica (en criant) : « Stop !!!!! »

    L’inconnu s’arrêta net. Il cacha son visage afin de ne pas être reconnu. Veronica dit :

    Veronica : « Pourquoi avoir fait ça ?

    L’inconnu : Demande à la famille Summers mais aussi à James Benett.

    James : Qu’est-ce que vous me voulez ? 

    L’inconnu : Te faire payer ! Tu t’es vengé, c’est à moi de le faire ! Les deux familles vont payer. Ne sois pas sur mon chemin Veronica, sinon tu subiras ma vengeance également. »

    L’inconnu commence à partir. Veronica dit :

    Veronica : « Je vous arrête !

    L’inconnu : Tu ne m’arrêteras pas Veronica, tu veux la vérité, je vais te la faire éclater au grand jour mais à ma manière ! »

    L’inconnu fuit. Il prend sa voiture et part. Keith a assisté à toute la scène cachée afin de ne pas gêner sa fille. James dit :

    James : « Qu’est-ce qu’il me veut ?

    Veronica : Visiblement, cet individu est lié à ton passé. Il va falloir que nous cherchions dans cette voie.

    James : Tu as raison.

    Jason : Shawn, maintenant, il faut aller à l’hôpital.

    Shawn : D’accord. »

     

    Le groupe part à l’hôpital. Keith de son côté part de son côté également à l’hôpital. Weevil et Melinda arrivent à sortir de la ville. Ils regardent une dernière fois Neptune avant de partir pour de bon. Ils s’en vont le cœur lourd. John, Adam et Peyton arrivent sur les lieux d’où provenaient les coups de feu. John dit :

    John : « On l’a raté !!!

    Adam : Qu’est-ce que nous faisons ?

    John : Cela ne doit en aucun nous détourner de notre but ultime.

    Peyton : Tu crois que c’est une personne qui veut tout faire échouer ?

    John : J’en suis convaincue. Papa s’est fait beaucoup d’ennemis.

    Peyton : Que peut-on faire alors ? 

    John : Nous allons voir ton grand-père Peyton.

    Adam : C’est ce à quoi nous devons penser en premier.

    Peyton : Très bien. »

    John, Adam et Peyton partent à l’hôpital. Sarah, Sam, Wallace et Jack arrivent à l’hôpital. Jack est transporté dans une salle d’opération immédiatement. Sarah attend avec impatience de savoir si son grand-père qu’elle vient de retrouver va s’en sortir. Wallace la soutient de même que Sam. Il dit :

    Sam : « Mon grand-père est costaud !

    Wallace : C’est ce qu’il faut se dire, Sam.

    Sarah : Je sais.

    Wallace : Sam, est-ce que tu sais certaines choses concernant la famille Summers. 

    Sarah : Ce n’est pas le moment !

    Sam : Je te rappelle que tu enquêtais sur notre famille. Je ne veux pas qu’il arrive quoi que ce soit à ma famille. J’ai déjà trop souffert.

    Wallace : Rappelle-toi ce qu’avait fait ton père.

    Sam : Je sais ce qu’il veut. Il souhaite que je sois une personne honnête.

    Wallace : C’est ça.

    Sam : Je sais qu’il se passe certaines choses. Il y a beaucoup de secrets. Je vais me renseigner. Mais il me semble déjà que mes oncles s’absentent beaucoup.

    Wallace : Tu penses qu’ils ont quelque chose dans l’affaire des meurtres mais aussi de la fusillade dans le bureau du shériff ?

    Sam : Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’ils se cachent généralement dans le bureau de mon oncle John.

    Wallace : Voilà, la clé ! »

    Sarah, Wallace et Sam attendent. Veronica, Shawn, James, Jason et Logan arrivent. Veronica fait signe à un médecin de prendre en charge Shawn. Celui-ci va dans une chambre. Sam remarque que son père mais également ses oncles sont présents. Il va les voir en courant. James prend son fils dans ses bras et ils pleurent ensemble sous les yeux de Veronica, Logan, Sarah, Wallace et Jason. Wallace dit :

    Wallace : « J’ai une information !

    Veronica : Tu es venu avec la famille Summers !

    Wallace : Il y a une raison.

    Logan : Laquelle ?

    Wallace : Sarah est la fille de John.

    James (en reprenant ses esprits) : Quoi ?

    Wallace : J’ai appris grâce à Sam que les frères Summers s’absentent souvent. Ils se cachent dans le bureau de John.

    Veronica : C’est le moment d’aller faire un tour. Mais avant, on va attendre afin de savoir la situation de Shawn.

    Jason : Bonne idée.

    Sarah : Merci mais également pour mon grand-père

    Logan : D’accord.

    Veronica : Je pensais faire la tête à Wallace mais non au vu des informations. »

    Le groupe attend que Jack et Shawn se rétablissent. Keith arrive discrètement mais préfère se cacher alors que John, Adam et Peyton commencent à arriver. Il se dit :

    Keith (à voix basse) : « Jack, pourquoi on t’a tiré dessus, est-ce qu’il y a un rapport avec l’accident de ton père et de ton frère ou est-ce par rapport aux derniers évènements. »

    Shawn de son côté se fait soigner sa blessure quand il remarque Peyton et sa famille. Il se dit :

    Shawn : « Oh, non ! Tu travailles avec eux ! »

    L’inconnu de son côté regarde s’il n’est pas suivi. Il ne voit personne. Il regarde une liste avec des photos. Tout est inscrit. Il y a des éléments concernant les affaires de meurtre lors du passage de James Bennett, des éléments concernant les meurtres de Madison et de Parker, des éléments concernant le braquage de banque, des éléments concernant l’accident de voiture. Il se dit :

    L’inconnu : « Jack est éliminé, au suivant ! C’est à toi, John maintenant ! »

     

    Fin du chapitre.


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  •  

    Jack est dans le bloc opératoire. On lui retire la balle. Il rêve. Il se souvient de l’accident de voiture. Juste avant sa nomination comme chef du fbi. En effet, ce jour-là, il était avec son frère et son père dans cette voiture. Soudain, l’accident a lieu comme prévu. La voiture fait plusieurs tours avant de tomber dans un fossé. Jack se relève difficilement et tente de sortir son frère puis son père. Il n’y arrive pas. Jack dit :

    Jack (affolé) : « Je n’y arrive pas !!!!

    Mickaël (faible) : Sauve-toi mon fils, sauve-toi. Je veux que tu restes en vie.

    Jack (affolé) : Mais….

    Mickaël (affolé) : Regarde si ton frère va bien ! »

    Jack commence à se précipiter vers son frère quand soudain, il entend un coup de feu. C’est à ce moment-là que Jack revient à lui. Le médecin venait de l’emmener dans sa chambre. Il prend conscience qu’il a perdu beaucoup de choses à commencer par l’amour de son père qui l’admirait tellement. Le médecin dit :

    Le médecin : « Tout va bien ?

    Jack : Je souhaite rassurer ma famille au plus vite.
     

    Le médecin : Je vais les contacter.

    Jack : Merci. Prévenez également Sarah Mitchell que je vais mieux.

    Le médecin : Qui est-elle ?

    Jack : C’est grâce à elle que je suis ici. C’est ma petite fille.

    Le médecin : Je vois.»

    Le médecin sort. Il recherche une jeune fille en train d’attendre et repère un grand nombre de personnes. Il dit :

    Le médecin : « Excusez-moi mais je recherche la petite fille de Jack Summers.

    Sarah : C’est moi ! Comment va-t-il ?

    Le médecin : Il est sortit du bloc et vous pourrez aller le voir.

    Sarah (heureuse) : Merci ! Quelle est sa chambre ?

    Le médecin : Vous allez tout droit et c’est la première à droite !

    Sarah : Merci, encore !

    Le médecin : C’est normal mais où sont les autres membres de la famille ? »

    Tout le monde arrête de parler. A l’extérieur, John, Adam et Peyton arrivent alors que Keith restait à distance de Veronica et du reste de la bande. Mais Adam remarque la présence de Keith. Il dit :

    Adam (énervé): « Vous n’avez rien à faire ici !!!!!

    Keith : Je suis repéré !

    John : Qu’est-ce qui se passe ?

    Adam (en se calmant) : Regarde qui j’ai trouvé !!!!

    John : Garde ton calme, mon frère. Cette fusillade nous a encore prouvé que Keith n’est pas digne de confiance.

    Keith : Vous me reprochez la mort de votre mère, celle de ta femme et celle de ton frère, John !

    Adam : Elle allait devenir ma femme !!! J’allais lui demander sa main !

    Peyton : Ma mère n’est plus là pour moi.

    Keith : Je suis désolé.

    Peyton : Mon grand-père ne peut compter sur toi. 

    Keith : Ils t’ont lavé le cerveau Peyton !

    John (en s’énervant) : Je t’interdis de dire comment je dois élever ma fille !

    Adam : Il ne fait que te provoquer.

    Keith : Sachez que je serais toujours là pour Jack même s’il ne m’a jamais dit la vérité.

    Adam : On ne veut pas te voir ici.

    Peyton : Il vaut mieux que tu partes.

    Keith : Je m’en vais. » 

    Keith part. John peut se calmer. Adam dit :

    Adam : « John, tu sais très bien que tu es un bon père pour Peyton !

    John (en se calmant) : Heureusement que tu es là petit frère.

    Adam : Je sais, je suis heureux que tu sois là aussi. Rassure-toi, John, on réussira.

    John : Je l’espère.

    Peyton : Nous réussirons, je le sais. Mais il faut aller voir…..

    John (en lui coupant la parole) : Je sais. »

    John, Peyton et Adam rentrent dans l’hôpital. La manière dont Sarah regarde le reste de la famille Summers suffit au médecin. Il comprend tout de suite que c’est la famille de Jack Summers. Le médecin leur fait signe de venir. La famille le suit. Une musique se fit entendre dans l'hôpital. C'est une musique d'Hoobastank : The Reason :

    "I'm not a perfect person
    There's many things I wish I didn't do
    But I continue learning
    I never meant to do those things to you
    And so I have to say before I go
    That I just want you to know

    I've found a reason for me
    To change who I used to be
    A reason to start over new
    and the reason is you

    I'm sorry that I hurt you
    It's something I must live with everyday
    And all the pain I put you through
    I wish that I could take it all away
    And be the one who catches all your tears
    Thats why I need you to hear

    I've found a reason for me
    To change who I used to be
    A reason to start over new
    and the reason is You [x4]

    I'm not a perfect person
    I never meant to do those things to you
    And so I have to say before I go
    That I just want you to know

    I've found a reason for me
    To change who I used to be
    A reason to start over new
    and the reason is you

    I've found a reason to show
    A side of me you didn't know
    A reason for all that I do
    And the reason is you"

    Jack pensait toujours à ce qui s'était passé. John dit :

    John : "Te revoilà ! On a eu si peur ! Qui nous a tiré dessus ?

    Jack (en restant évasif) : Je ne sais pas.

    Adam : Papa, tout va bien ?

    Jack : Je vais bien. Ne vous en faîtes pas pour moi, les garçons. L'importance c'est que vous allez bien.

    Peyton : On va bien mais toi ?

    Jack : Je vais bien.

    Sam : Pourquoi est-elle ici avec nous ?

    Peyton (en la voyant) : Pourquoi la journaliste est-elle ici ?

     Jack : Je vais vous expliquer ce qui se passe. Il vaut mieux que vous vous asseyez tous !"

    Tout le monde écoute Jack. Il commence à raconter l'histoire. Il dit :

    Jack : "Mes enfants, Peyton, Sam, voici l'histoire. John était heureux avec sa femme. Je ne l'avais jamais vu autant heureux alors qu'il supportait toutes les responsabilités. Je sombrais un peu plus chaque jour. John m'avait ramené à la raison et à ce qui était essentiel pour moi d'ailleurs : la famille.

    Adam : Que s'est-il passé ?

    John : Papa ne me l'avait jamais dit d'ailleurs.

    Jack : Bref, j'ai du moi aussi l'aider dans ses moments difficiles.

    John : Tu évoques la perte de mon enfant ?

    Jack : Oui, il se trouve qu'il y a un rebondissement là-dessus.

    John : Ceux qui me l'ont pris m'ont toujours dit que ma fille était morte !!!!! Comment peut-il y avoir un rebondissement ?

    Jack : Parce qu'il se trouve qu'elle nous a retrouvés !!!

    Adam : Quoi ?

    Peyton : Je ne comprends pas, j'ai une soeur quelque part.

    Jack : Il se trouve, Peyton qu'elle n'est pas loin.

    John (en pleurs) : Je ne comprends pas.

    Jack : Sarah est ta fille.

    John (en pleurs) : Oh, mon dieu !

    Sarah : Je suis là, Papa !

    Peyton (en pleurs) : J'ai retrouvé ma soeur !

    Sarah (en pleurs) : Oui !"

    John prend ses filles dans ses bras. Toute la famille est folle de joie ! Au même moment, Veronica et le reste de la bande attendaient toujours. Jason dit :

    Jason : "Je trouve que c'est long et vous ?

    Logan : C'est pareil !

    Wallace : Voilà un médecin !"

    Le médecin arrive vers le groupe. Il dit :

    Le médecin : "Est-ce qu'il y a une personne de la famille ici ?

    Veronica : Je m'appelle Veronica et je suis le supérieur de Shawn.

    Le médecin : Très bien, nous avons pu le soigner. Il va pouvoir sortir. Vous n'avez qu'à signer ses formulaires."

    Le médecin tend à Veronica les formulaires. Celle-ci les signe. Le médecin dit :

    Le médecin : "Merci. Vous le trouverez juste en face de la salle d'attente.

    Veronica : Merci."

    Le médecin part. Jason dit :

    Jason : "Je vais y aller ! Il faut prévenir Jessica !

    James : Je reste avec toi.

    Jason : Très bien.

    Veronica : Je vais rentrer avec Logan et Wallace.

    Wallace : Je préfère rester ici. J'attends Sarah.

    Veronica : Très bien. De notre côté, nous allons retrouver Jessica et Dick.

    Logan : Allons-y !!!"

    Veronica et Logan partent. Au même moment, l'inconnu commençait à préparer son plan. Il se dit :

    L'inconnu : "John, tu vas payer maintenant, crois-moi !!!! Tu vas perdre ce que tu as de plus cher sur cette planète ! Mais d'abord, si jamais tu ne payes pas, je peux t'assurer que d'autres personnes feront mon travail."

    En effet, dans ses affaires se trouvait l'adresse de Keith Mars ! Il se dit :

    L'inconnu : "Je vais envoyer certaines preuves et surveiller cette chère Veronica Mars !!"

    Il part. A l'hôpital, James et Jason se sont fait prendre de cours par Veronica et Logan. Ils s'éclipsent. James dit :

    James : "Pourquoi tu voulais aller voir Jessica ? Tu voulais vraiment la prévenir ?

    Jason : Non.

    James : Que veux-tu faire ?

    Jason : T'aider à retrouver ton fils.

    James : Avec toute la famille, c'est du suicide !!

    Jason : Non, il est temps pour cette famille de payer pour ses erreurs !

    James : Je ne veux pas détruire ta vie !

    Jason : Tu es mon frère et c'est tout ce qui compte. On va les affronter ensemble."

    James et Jason se dirigent vers la chambre de Jack. Justement, dans cette chambre, toute la famille reprend ses esprits. Peyton dit :

    Peyton : "Je suis heureuse de t'avoir retrouvée mais je dois sortir un moment.

    John : Tu évites d'aller voir l'agent du FBI !

    Peyton : Papa, je ne lui dirai rien.

    Sarah : Quoi exactement ?

    John : Ce n'est rien. Tu le sauras en temps et en heure.

    Sarah : Très bien, je ne vais pas poser de questions alors que je viens de retrouver ma famille.

    Adam : Tu as fréquenté Veronica Mars trop longtemps.

    Sarah : Oui.

    Peyton : J'y vais alors."

    Peyton sort mais ne croise pas le regard de James et Jason. Elle ne se rend pas compte qu'ils se dirigent vers la chambre de son grand-père. Dans la chambre, Jack dit :

    Jack : "La famille est au complet, on va pouvoir de nouveau vivre heureux dès que cette histoire sera terminée et que la famille Mars nous laissera tranquille.

    John : Je suis d'accord."

    Soudain, James et Jason font irruption dans la chambre. John se met immédiatement devant Sam afin que James ne le prenne pas. Jason a l'intention de prendre une arme mais Jack dit :

    Jack : "C'est nous qui sommes en position de force, Jason. Tu es le plus sérieux des deux. As-tu l'intention de retourner en prison ?

    Jason (en renoncant) : James a le droit de voir son fils.

    Jack : Il n'aurait pas du faire de mal à ma fille.

    James : C'est votre fils, John qui a voulu notre séparation. C'est votre cas également. C'est le cas de toute la famille d'ailleurs.

    Jack : Selon toi, pourquoi ? Car tu avais une dent contre ton père, tu voulais qu'il paye. Ta vengeance a eu raison de toi. Sam ne doit plus te voir. Tu es un danger pour lui. Nous sommes sa famille.

    Jason : Il a le droit de dire ce qu'il pense, non ?

    Jack : C'est moi qui prend les décisions.

    Sam : Mais.....

    Jack (en l'interrompant) : Je suis le mieux pour t'élever à présent. Adam, sors de la chambre. Fais en sorte que Veronica et Logan ne rentrent pas.

    Jason : Qu'avez-vous l'intention de faire ?

    Jack : J'ai l'intention de protéger mes arrières. Mon fils John me l'a bien fait comprendre.

    John : Vous n'êtes rien ! "

    Adam sort. Sarah préfère partir également et sort sans rien dire. Jason dit :

    Jason : "Pourquoi Sarah est-elle sortie ?

    John : Sarah est sortie car elle ne préfère pas vous voir.

    Jason : Pourquoi ?

    John : C'est ma fille.

    Jason : Tu savais James qu'il avait une autre fille ?

    James : Non. Il ne crie pas sur tous les toits ses petits secrets.

    John : Ma fille m'avait été enlevée et je l'ai retrouvée, c'est le principal.

    James : C'est mon fils, John. Je serais capable de faire n'importe quoi pour le récupérer.

    John : Quitte à me tuer, tu sais très bien le faire.

    James (en le prenant par le cou) : Je peux te tuer tout de suite.

    Jason (en l'arrêtant) : Stop ! Jack, essayez de nous comprendre. Sam est la seule chose qu'il nous reste. Il fait partie de notre famille. Il ne reste que moi, James et Logan. Sam est notre avenir. Laissez-nous une chance.

    John : Je trouve Papa que tu devrais dire non de suite.

    Jack (pensif) : On ne va pas s'en sortir ainsi.

    John : Tout va bien, Papa ?

    Jack (reprenant ses esprits) : Je vais bien.

    Jason : La fusillade est la cause de votre état.

    Jack (en profitant) : C'est ça !

    James : Comme quoi les Summers ne sont pas la cause de tous les malheurs dans notre vie.

    Jason : On a essayé de plaider notre cause. Partons ! "

    Jason et James partent mais en regardant attentivement Sam qui était en train de pleurer. James pleure également. Il espère sincèrement trouver enfin la sérénité avec son fils. Ils s'éloignent. Dick arrive avec Jessica vers le lieu sécurisé. Il se trouve que c'est chez lui. Veronica et Logan arrivent juste après. Veronica et Logan étaient ravis de les voir. Dick dit :

    Dick : "Alors ? Comment ça se passe ?

    Veronica : Vous n'allez pas me croire.

    Jessica : Comment ça ?

    Veronica : Sarah est la fille de John Summers.

    Dick : Quoi ?

    Logan : Tu as bien entendu.

    Jessica : Qu'est-ce que cela implique ?

    Veronica : Cela implique que nous devons connaître absolument tout du passé de cette famille. Il s'est passé quelque chose il y a longtemps et mon père est impliqué.

    Logan : Tout finira par s'arranger mais tu dois te ménager.

    Veronica : Je ne me ménagerais pas tant que je ne saurais pas la vérité."

    L'inconnu est passé chez Keith. Il a déposé des preuves mais comme il n'y avait personne, il part voir Logan. Dick va vers la boîte aux lettres. Il vient de voir passer une personne en voiture. Il essaye de savoir qui c'était mais il n'a rien vu. Il voit une enveloppe dans la boîte aux lettres. Il la prend et rentre. Veronica dit :

    Veronica : "Qu'est-ce qui se passe ?

    Dick : Une enveloppe vient d'arriver."

    Veronica ouvre l'enveloppe et découvre des choses compromettantes. En effet, ils voient plusieurs photos. La première concerne Adam avec Madison. Ils étaient très proches. Ensuite, on pouvait voir John en pleine discussion avec Shawn. Il y avait une photo également de Jack et de Keith alors qu'ils étaient amis. lls étaient vraiment tous choqués.

    Veronica : "Je sais ce qu'il me reste à faire.

    Logan : Quoi ?

    Veronica : On va interroger Adam Summers.

    Dick : Je vais essayer de trouver des empreintes. Je veux être un bon agent.

    Jessica : C'est risqué.

    Dick : Veronica et Logan sont capables de découvrir la vérité, pourquoi pas moi. Je ne veux pas être une victime.

    Logan : D'accord mais Jessica restera avec toi.

    Dick : D'accord.

    Veronica : On y va chéri. On va trouver des réponses. On retourne à l'hôpital."

    Veronica et Logan partent. Adam à l'hôpital regardait attentivement les personnes en train de passer devant la chambre. Il poussait un ouf de soulagement ayant peur que James et Jason refassent surface. Il voit Sarah au loin. Le fait de voir sa famille réunie était pour lui une bénédiction après les terribles évènements. Il lui souriait. Pour lui, voir son frère heureux était le plus important. Soudain, Adam voit quelqu'un se postant derrière Sarah. Il se précipite vers elle afin de la sauver délaissant ainsi le poste. Il préfère voir sa nièce en vie.

    Adam : "Sarah !!!!!!!!!"

    Il arrive sur le lieu. Sarah était en train de crier de toutes ses forces. Cependant, son agresseur était trop fort. Il arrivait à l'emmener jusqu'à sa voiture. Adam court le plus vite possible. Il arrive au niveau de l'agresseur mais celui-ci le blesse au niveau du ventre. Il tombe à terre. Sarah était désespérée.

    Sarah : "Oncle Adam !!!!!!

    L'inconnu : Tu ne peux rien pour lui. Pour toi, ce sera bientôt terminée."

    L'inconnu baillonne Sarah, l'attache à l'arrière et se place du côté du chauffeur. Il part à toute vitesse alors que Veronica et Logan arrivent à l'hôpital. Ils ne font malheureusement pas attention à la voiture déboulant à toute vitesse. Ils arrivent alors qu'Adam était à terre. Logan et Veronica ne pensaient pas qu'ils allaient se retrouver face à cette situation. Adam se relève difficilement. Veronica arrête la voiture et Logan se précipite vers Adam. Il l'aide à se relever et voit la blessure au niveau du ventre. Il dit :

    Logan : "Tu devrais voir un médecin !

    Veronica : C'est quelque chose de primordiale.

    Adam : Je n'ai rien à faire du médecin ! Tout ce qui m'intéresse c'est de sauver Sarah.

    Veronica : Tu veux la sauver elle ? Mais pourquoi ?

    Adam (désespéré) : C'est la fille de mon frère, voilà pourquoi !"

    Veronica et Logan ne savaient pas quoi dire. Il fallait qu'Adam se fasse soigner. Ils le prennent avec eux et l'emmène vers une infirmière qui prend de suite le nécessaire pour l'examiner. Adam n'avait pas le choix et attend patiemment. Veronica dit :

    Veronica : "Chéri, tu peux t'occuper d'appeler la police, je vais parler avec Adam Summers.

    Logan : Sois prudente !

    Veronica : Oui, je le serais."

    Logan s'éloigne le temps d'appeler la police. Veronica et Adam étaient seuls. Veronica dit :

    Veronica : "Il est temps maintenant Adam de nous faire des révélations.

    Adam : Tout a un prix avec vous ! Ma nièce vient de se faire enlever et je me fais interroger.

    Veronica : Votre famille garde des secrets, c'est normal que je mette le nez dans vos affaires. Je déteste les secrets surtout lorsque cela concerne mon père.

    Adam : Il ne vaut mieux pas s'en mêler Veronica.

    Veronica : J'obtiens toujours ce que je veux.

    Adam : Pas avec moi.

    Veronica : Quels étaient vos relations avec Madison ?."

    Adam était surpris, réellement surpris. Il se demandait comment elle pouvait en connaître long sur son passé. Il ne savait pas quoi répondre.

    Adam : "Veronica ressemble à son père. Je ne connais pas de Madison.

    Veronica : Il y a une certaine ressemblance avec votre famille.

    Adam : Je ne vous dirais rien.

    Veronica : J'ai une photo de vous deux.

    Adam (étonné) : Impossible

    Veronica : Rien n'est jamais impossible avec moi, il faut le savoir. On sait pour Shawn et John. On a une photo de mon père et de Jack ensemble alors qu'ils étaient amis. Il ne faut pas nous mentir.

    Adam : J'ai connu Madison, c'est vrai. Elle était quelqu'un d'important pour moi. Mais sur ce, je dois retrouver la fille de mon frère alors laissez notre famille tranquille !"

    Adam part. Logan revient.

    Logan : "J'ai pu prévenir la police."

    Veronica : Merci, mon chéri, tu es un amour.

    Logan : Normal, je suis ton mari adoré. Je ferais tout pour satisfaire ma princesse.

    Veronica : Nous devons aller au bureau.

    Logan : Il faut en effet répertorier les indices et retrouver Dick. 

    Veronica : Allons voir Dick et Jessica."

    Veronica et Logan repartent. De son côté, Shawn avait terminé de se faire soigner sa blessure. Il décide d’en avoir le cœur net sur les intentions de Peyton. Il n’arrive toujours pas à croire qu’elle s’entende si bien avec sa famille. Il y avait quelque chose de pas clair, c’est certain. Finalement, les questions de Veronica concernant cette famille étaient en train d’envahir son esprit. Il arrive vers la chambre de Jack. Il rentrait normalement. John et Peyton s’y trouvaient encore. Quand il rentre dans la chambre, John n’était pas ravi de le revoir. Il était plutôt hostile à son égard.

    John : « Shawn , tu n’es pas le bienvenu ici. Mon père a besoin de repos.

    Shawn : Je suis là pour parler à Peyton.

    John : Est-ce officiel ? Car si c’est le cas, je dois être présent.

    Shawn : Cela ne vous regarde pas John.

    John : Je ne vous conseille pas de lui faire du mal car je peux vous assurer que vous allez le regretter.

    Shawn : Est-ce que c’est une menace John ? Je vous rappelle que je vous ai rendu certains services.

    John : N’essaye pas de me faire chanter. Je n’ai qu’une exigence : parler à votre fille. »

    Peyton regardait son père et Shawn en train de discuter sans réagir. Elle était au courant maintenant de tout ce qui se passait et elle n’avait rien dit à Shawn. Elle savait qu’il était là pour son changement d’attitude envers sa famille. Elle était en train de réfléchir à ce qu’elle allait dire mais tout dépendait maintenant de son père. Finalement, Peyton regardait son père et dit :  

    Peyton : « Papa, je m’en occupe, ne t’inquiète pas.

    John : En es-tu aussi sûr ?

    Peyton : Oui. Je vais sortir avec lui afin que nous puissions parler tranquillement. Surtout ne nous surveille pas. Tout se passera bien. 

    John : Très bien, vas-y mais sois prudente. »

    Peyton invite Shawn à sortir. Ils sortent. John est inquiet. Jack dit :

    Jack : « Mon fils, tu dois apprendre à déléguer. Je sais que j’ai pu être si exigeant surtout avec toi par le passé par rapport à ce que j’ai vécu.

    John : Je sais Papa, je sais mais tu as tellement souffert surtout à cause de Keith que je ne veuille pas que cela recommence.

    Jack : Ça ira pour moi.

    John : Tu es ce qu’il nous reste Papa. On serait perdus Adam et moi sans toi. On a déjà perdu notre mère, notre sœur. On ne veut pas que cela recommence. 

    Jack : Bientôt, tout sera terminé John.

    John : Tu as entièrement raison. Tu dois te reposer maintenant. Je vais te laisser. Je vais attendre Peyton avant de rentrer. Je pourrais également ramener Sam.

    Sam : Il est temps de rentrer.

    John : Je suis désolé que tu doives encore vivre avec cette souffrance. Tu auras bientôt la vie que tu mérites. C’est ce que ta mère aurait voulu.

    Sam : Oui. »

    Sam était pensif. Au fond de lui, il pensait à son père, la seule personne qui pourrait de nouveau le rendre heureux tout comme Logan, Veronica ou le reste de la bande. Même si son arrivée en ville était dû à cause d’une future catastrophe, il s’est attaché à des personnes qui comptent pour lui-même pour son jeune âge.  De l’autre côté, Shawn et Peyton étaient seuls. C’était l’occasion pour Shawn d’apprendre la vérité.

    Shawn : « Peyton, j’espère pour toi que tu n’es pas avec ta famille ! Je croyais que tu étais contre eux. Ne me dis pas que tu as changé d’avis, je t’en prie. Tu es quelqu’un de bien. Ne te laisse pas corrompre par eux.

    Peyton : C’est ma famille et tu devrais me comprendre mieux que personne ce qu’il faut faire pour protéger les siens. Tu ne devrais pas me faire la morale sur ce sujet Shawn. Je suis désolée si je peux te paraître plus froide ou distante.

    Shawn : J’ai réussi à le libérer d’eux. Tu y arriveras toi aussi.

    Peyton : Je pense au contraire que Veronica a réussi à te faire douter de ma famille.

    Shawn : Elle a réussi au contraire à m’améliorer comme pour beaucoup d’autres personnes.

    Peyton : Je pense que nous avons un problème.

    Shawn : Cela m’ennuie de savoir que ce qui nous entoure a causé des problèmes entre nous.

    Peyton : Tu ferais mieux de rester en dehors de tout ça. Je tiens quand même à toi. Tu ferais mieux de t’en aller. Tu pourras me détester par la suite et il vaut mieux que tu te souviennes de moi comme quelqu’un de généreuse et de gentille.

    Shawn : Je….

    Peyton : Tu n’as pas besoin de me le dire, je le sais. »

    Peyton était plus que tiraillée entre sa famille et Shawn. Elle ressentait des émotions la mettant en porte-à-faux, mais elle était fidèle à ses engagements. Sa famille comptait plus que tout à ses yeux, et après avoir perdu sa tante Jessica, elle ne voulait pas perdre un autre membre.

    Shawn : "Reste auprès de moi, on va parler tous les deux, de tout ce que tu désires.

    Peyton : Je ne peux pas, je dois y aller."

    Peyton savait qu'il ne fallait pas rester trop longtemps sinon, elle allait craquer. Elle partait rejoindre sa famille, laissant Shawn dans le plus grand désarroi. De leur côté Dick et Jessica profitaient d'un moment de tranquilité dans les bras l'un de l'autre jusqu'à ce que l'on frappe à la porte. Dick n'aimait jamais être dérangé surtout dans un moment pareil.

    Dick : "Merde ! Qui vient me faire chier à cette heure ?

    Veronica : Tes vieux copains !

    Dick (soulagé) : C'est ouvert !"

    Logan et Veronica rentraient. Jessica se tenait juste derrière. Veronica venait finalement à faire son compte-rendu à Dick.

    Veronica : "Tu vas être choqué par ce que l'on a pu apprendre.

    Dick : Dis-moi ?

    Veronica : Sarah a été kidnappée.

    Dick : Le cirque ne va pas recommencer j'espère.

    Logan : Malheureusement, si, et ce n'est pas mes frères à l'origine.

    Dick : Au moins un mystère de résolu, mais qui s'en est pris à Sarah ?

    Logan : Les Summers doivent avoir un ennemi.

    Veronica : Tout risque de tomber sur mon père."

    Veronica était triste. Il y avait là une grande machination que si elle ne déjouait pas très vite, son père risquait d'en payer le prix fort. Logan la prenait tout contre elle, voulant éviter à tout prix de perdre le petit être qui grandissait à l'intérieur du ventre de sa belle épouse. Dick essayait de reprendre ses esprits, mais surtout de remettre les indices en place.

    Dick : "Donc Sarah a été kidnappée. Et si le kidnappeur était lié aux Summers ou bien à ton père et à cette famille ?

    Veronica : Une possibilité oui.

    Dick : On devrait remonter à leur dispute.

    Veronica : Ils se sont disputés en effet. On devrait pirater les données de la famille.

    Logan : Comment ça ?

    Veronica : Direct dans les données du bureau du procureur.

    Dick : T'es folle ?

    Veronica : Non, au contraire. Tu peux faire ça ?

    Dick : Moi non...

    Jessica (en coupant la parole) : Mais moi si."

    Dick appréciait d'autant plus la jeune femme qui était à ses côtés. Si en plus, elle savait prendre des risques, il se disait qu'il avait devant lui la perle rare et qu'elle ne devait pas s'échapper comme les autres. Si Logan avait trouvé sa moitié alors lui aussi pouvait le faire. Jessica se plaçait devant l'ordinateur et attendait les instructions.

    Veronica : "Celui de l'adjoint au procureur.

    Logan : Mais même pas peur ma femme on dirait.

    Veronica : Tu me connais si bien.

    Jessica : On le fait, mais ça va prendre un peu de temps."

    Toute la petite bande patientait pendant que Jessica manoeuvrait pour rentrer dans le serveur de John. A l'hôpital, John restait avec son père. Celui-ci était pensif.

    John : "Dis-moi ce qu'il y a Papa.

    Jack : Tu me ressembles plus que tu ne le crois fiston.

    John : Je sais, comme deux gouttes d'eau niveau caractère.

    Jack : Si jamais, il devait m'arriver quelque chose, tu prendrais en charge absolument tout ?

    John : Qu'est-ce que tu me fais là ?

    Jack : Promets-le à ton vieux père !

    John (inquiet) : D'accord, mais ne fais pas de conneries.

    Jack : Oh, tu me connais.

    John : Tu vas voir Keith ? 

    Jack : Oui.

    John : Que comptes-tu faire ?

    Jack : Absolument tout pour qu'il ne puisse plus nous mettre des bâtons dans les roues.

    John : Je te couvre. Je préviendrais Adam.

    Jack : Très bien."

    Jack s'organisait pour défaire sa perfusion, et partir sans qu'aucun médecin ni infirmière ne se doute de rien. John prévenait la sécurité que personne ne devait rentrer dans la chambre. Keith de son côté décidait enfin de prendre les devants suite à son départ houleux en présence de la famille Summers. Heureusement pour lui, il n'avait pas revu Jack. Il avait eu l'idée de revenir vers les anciens contacts de son passé, un grand retour aux sources où lui et Jack étaient des amis proches quand soudain, une voiture arriva et se mettait à lui tirer dessus. Wallace n'ayant aucune nouvelle de personne avait décidé de sortir de l'hôpital et de se promener. En voyant la scène, il courra vite vers Keith et lui sauta dessus. La voiture partait immédiatement. Keith regardait son sauveur.

    Keith : "Merci Wallace.

    Wallace : Qu'est-ce qui est arrivé ?

    Keith : Une enquête sur les Summers et voilà le résultat.

    Wallace : Cette famille nous causera notre perte.

    Keith : Oui, mais tu ne dois rien dire à Veronica, d'accord ?

    Wallace : D'accord, mais il faut se montrer prudent. "

    Seulement Keith entendait du bruit, et qui n'était pas plaisant. Il faisait signe à Wallace de partir. Une voix retentissait.

    La voix : "Keith."

    Keith faisait un grand signe à Wallace de s'enfuir, et il le faisait. Keith reconnaissait la voix, et il n'avait pas peur des conséquences.

     

     

     

     

     

    Fin du chapitre


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  • Chapitre 16 Retour aux sources
     
    Keith se retrouvait seul auprès de cette personne qui l'avait interpellé. Visiblement elle était bien en colère voyant sa démarche pour s'approcher de sa cible. Keith restait sur ses gardes reconnaissant bien son vieil ami qui aujourd'hui était celui à combattre. Jack était proche de lui quand il le frappa d'un coup de poing assez violent.
     
    Jack (en colère) : "Visiblement, tu n'en as pas marre de pourrir la vie de ma famille. 
     
    Keith : Jack, arrête !
     
    Jack : Pourquoi j'arrêterais ? Il y avait ma femme, ensuite tu t'en prends à ma fille avec l'aide des Bennet, à mes fils maintenant et à mes petites filles, tu as quoi contre moi ?
     
    Keith : Mais rien, tu es mon ami.
     
    Jack (furieux) : Ami ? Tu te fous de ma gueule, mais comment oses-tu prononcer ses mots alors que tu désirais être auprès de ma femme.
     
    Keith (tentant de calmer le jeu) : Arrête de dire n'importe quoi, elle t'aimait.
     
    Jack (furieux) : Tu lui tournais autour, arrête ton baratin Keith !
     
    Keith : On doit arrêter nos disputes pour nos familles respectives.
     
    Jack : Tu n'as jamais rien arrêter avec moi, arrête."
     
    Jack soufflait un bon coup tellement il était exaspéré par la situation. Keith était vraiment bien proche de son ami, tentant de prendre la main de son ami pour essayer de le calmer et soudain Jack le mettait à terre le frappant sans relâche jusqu'à ce qu'il saigne.
     
    Jack (furieux) : "Tu es un connard, un espèce 'enfoiré, un salaud."
     
    Jack continuait de frapper son ex-ami. Keith décidait de subir les coups comme s'il méritait de payer jusqu'à ce qu'il cède à la violence, l'assénant de coups de poings sur le visage et son ventre. Keith ne se contrôlait plus. Il pensait le préserver encore, mais l'instinct animal avait repris le dessus.
     
    Keith : "Tu cherches la bagarre ? et bien tu l'as trouvé Jack. Je pensais te raisonner et bien j'ai eu tort et je vais faire ta fête."
     
    Keith continuait de le frapper sans relâche. Jack se débattait. Il hurlait même sur son ex-ami.
     
    Jack : "Je te hais !!!!"
     
    Ils se frappaient mutuellement, ne pouvant plus contrôler l'appêtit animal qu'il y avait en eux, mais les choses prenaient une toute autre tournure au moment où Jack sortait une arme la pointant vers Keith.
     
    Keith (effrayé) : "Arrête Jack !
     
    Jack : Tu es responsable du kidnapping de ma fille enfoiré !
     
    Keith : Tu es fou !
     
    Jack : Non, mais c'est plutôt le contraire."
     
    Au loin une jeune femme apparaissait, et elle avançait vers eux. On remarquait que c'était Veronica. Elle courrait vers eux, et se mettait devant son Papa pour le protéger. Jack baissait son arme en voyant la jeune femme si déterminée.
     
    Veronica : "Vous avez fini votre cirque !
     
    Jack : Mais.....
     
    Veronica (lui coupant la parole) : Stop vous deux, c'est compris !"
     
    Veronica n'allait pas se laisser faire. Keith n'aimait pas le regard de Veronica alors qu'il aimerait ménager sa fille mais c'était mission impossible. Jack lui mettait un coup de poing de nouveau et Veronica cria. Keith la regardait l'air coupable.
     
    Keith : "Laisse-nous Veronica, cela ne te concerne pas.
     
    Veronica : Papa, tu te fous de ma gueule ou quoi ?
     
    Keith : Je ne veux pas que tu penses autre chose que du bien.
     
    Veronica : Papa, tout le monde a ses secrets mais quand ça devient trop lourd ça me concerne.
     
    Jack : Comme quoi ta fille est aussi curieuse que toi.
     
    Keith : Et alors ?
     
    Jack : Elle détruira des familles comme tu l'as fait !

    Keith : Arrête ou c'est moi qui vais t'en coller une !
     
    Jack : Tu n'en auras pas l'occasion.
     
    Veronica : Stop !"
     
    Veronica tentait de s'interposer mais Jack assénait de sérieux coups à son rival qui était ko. Veronica se précipitait vers son Papa pleurant et regardant en colère Jack.
     
    Veronica (en colère) : "Vous êtes une véritable ordure !
     
    Jack : C'est lui qui a tenté de détruire ma famille, je ne le laisserais plus faire.
     
    Veronica (curieuse) : Comment ça ?
     
    Jack : Demande-lui, s'il n'a jamais ressenti de sentiments pour ma femme. Même je l'accuse pour ma petite-fille.
     
    Veronica : Je vais la retrouver.
     
    Jack : Non, ce sera la famille Summers et puis c'est tout."
     
    Jack partait laissant Veronica dans le plus grand désarroi. Elle regardait son père avec une certaine détresse. Keith caressait tendrement sa joue pour la rassurer. Il ne fallait surtout pas qu'elle panique pour sa santé et celle de l'enfant. Veronica appella la police et l'ambulance pour le soigner. Keith tenait affectueusement la main de sa fille.
     
    Keith : "Tu n'aurais pas dû.
     
    Veronica : Non, mais tu te fous réellement de moi ou quoi ?
     
    Keith : J'aimerais règler ça en privé.
     
    Veronica : Papa, il t'a fait du mal, il a franchi un cap.
     
    Keith : Le système le protègera.
     
    Veronica : Pas pour un délit pareil.
     
    Keith : Je me ferais arrêté aussi.
     
    Veronica : Non.

    Keith : J'ai participé aussi à la bataille tu sais.
     
    Veronica : Tu ne l'as pas provoqué.
     
    Keith : C'est un ami.
     
    Veronica : C'était plutôt vu comment il se comporte avec toi.
     
    Keith : Je tenterais de le raisonner.
     
    Veronica : J'ai peur pour toi Papa.
     
    Keith : Ca va aller.
     
    Veronica : Par contre, tu iras à l'hôpital que tu le veuilles ou non.
     
    Keith : Je ne discute pas."
     
    Keith embrassa affectueusement sa fille alors que les bruits de l'ambulance se faisaient entendre. Veronica regardait au loin plutôt inquiète mais quand elle regardait son père, ses peurs s'envolèrent en un clin d'oeil.
     
    Veronica : "Papa, est-ce qu'il t'a accusé de quelque chose ?
     
    Keith : D'avoir kidnappé sa fille. 
     
    Veronica : En effet, il est fou, mais par contre, j'ai quelque chose à te dire avant que l'ambulance ne soit là.
     
    Keith : Je t'écoute.
     
    Veronica : Sa petite fille a été kidnappée.
     
    Keith : Peyton ?
     
    Veronica : Non, Sarah."
     
    Keith était sous le choc d'apprendre cela et désirait du plus profond de son être participer à la recherche de la jeune femme mais il ne pouvait prononcer quoi que ce soit voyant l'ambulance arriver. Veronica l'accompagnait jusqu'à l'intérieur et l'embrassait sur la joue avant de partir et de lui faire un signe d'au revoir. Keith était triste mais il savait au fond de lui qu'il ne pouvait pas raisonner sa fille chérie, aussi têtue que lui. Veronica quand à elle partait pour rejoindre son homme et enfin prendre les devants pour retrouver Sarah. John de son côté avait couvert les arrières de son père mais semblait être très inquiet pour lui, ne désirant pas le perdre comme il avait perdu sa femme et sa soeur. Cela en serait trop pour lui. Alors qu'il réfléchissait, Adam arrivait vers lui bien soucieux et visiblement se demandant comment il pourrait annoncer la mauvaise nouvelle à son grand frère. John le voyait et serrait son frère dans ses bras.
     
    Adam : "Depuis quand tu me fais un câlin ?
     
    John : Depuis maintenant.
     
    Adam : Où est Papa ?
     
    John : Il voulait règler certaines choses et seul.
     
    Adam (choqué) : Quoi ?
     
    John : Il m'a demandé de prendre les devants au cas où il lui arriverait quelque chose.
     
    Adam : Je parie que c'est à cause de Keith.
     
    John : Je n'en sais rien, mais il passe à la vitesse supérieure.
     
    Adam : Pourquoi tu ne l'as pas retenu ?
     
    John : Non, mais tu crois que l'on peut retenir Papa comme ça ?
     
    Adam : Tu as raison.
     
    John : Il ira bien, et on fera tout pour que l'on soit ensemble.
     
    Adam : Par contre, j'aimerais que tu sois assis pour ce que j'ai à te dire.
     
    John : Tu me fais peur.
     
    Adam : Fais ce que je te dis frangin pour une fois.
     
    John : D'accord."
     
    John s'asseyait appréhendant ce que son frère pouvait lui annoncer. Il craignait un grand malheur. Adam prenait une inspiration avant d'annoncer la nouvelle à son frère.
     
    Adam : "Tu ne vas pas aimer.
     
    John : J'ai besoin de savoir.
     
    Adam : Sarah a été kidnappée.
     
    John (choquée) : Quoi ? Qui a fait ça ? Les Benett j'en suis sûr. Si je trouve James, je te jure que je lui fais la peau.
     
    Adam : On ne sait pas si c'est eux.
     
    John (en colère) : Je veux qu'on les retrouve !
     
    Adam : Je sais mais attends de voir, ce n'est peut-être pas eux.
     
    John (furieux) : Ils ont toujours voulu détruire notre famille alors je ne vois qu'eux dans le viseur.
     
    Adam : Menons notre enquête et découvrons qui est responsable.
     
    John : Je te jure que peu importe qui c'est, il va payer pour son geste.
     
    Adam (faisant un câlin à son frère) : Je suis d'accord, allons retrouver Peyton et Papa et partons enquêter tous ensemble.
     
    John : Il est où d'après toi Papa ?
     
    Adam : Je te parie que Keith ne sera pas loin.
     
    John : J'avais promis que je le couvrirais.
     
    Adam : Tu le peux.
     
    John : Je vais agir en ma qualité de substitut du procureur.
     
    Adam : Bien, je t'attends."
     
    Adam attendait avec impatience son frère alors que celui-ci faisait venir un policier demandant de garder la chambre de son père. Maintenant les deux partaient rejoindre Peyton. D'ailleurs la jeune fille était sur le point de rejoindre le reste de sa famille. Ils se croisaient en plein milieu du chemin. John prenait par réflexe sa fille dans ses bras, ne désirant pas la perdre comme il avait perdu Sarah qui a été kidnappée par une personne des plus mystérieuses. Peyton voyant le regard inquiet de son père l'embrassait tendrement sur la joue.
     
    Peyton : "Papa, qu'est-ce qui se passe ?
     
    John : On doit mener notre enquête sur une affaire particulière.
     
    Peyton : Dis-moi tout.
     
    John : Je ne sais pas comment te l'annoncer ? Ca risque d'être douloureux.
     
    Peyton : Ne me fais pas attendre, je déteste ça.
     
    John : Sarah a été kidnappée."
     
    Peyton pleurait dans les bras de son Papa, le tapant légèrement sur son torse comme si pour elle le cauchemar n'était jamais finie. Elle avait l'impression que sa famille était complètement maudit, surtout chez les femmes.
     
    Peyton (en colère) : "Je veux coincer l'ordure qui a fait ça.
     
    Adam : On l'aura, je te le promets.
     
    Peyton : Merci tonton.
     
    John : Mais surtout, on ne prévient personne.
     
    Peyton : D'accord.
     
    John : On se débrouille seuls, on aura plus de résultats.
     
    Peyton : Allons-y et vite.
     
    Adam : C'est parti."
     
    Les trois Summers partaient pour mener leur enquête. De son côté Sarah était tombée inconsciente pendant son enlèvement. Elle se réveillait dans un endroit qui lui était totalement inconnu et elle était attachée à un radiateur. Elle essayait de se débattre, de tout faire pour se sortir de là mais ses liens étaient trop serrés. Elle criait à l'aide mais personne venait, personne sauf la personne qui l'avait enlevée.
     
    L'inconnu : "La ferme !
     
    Sarah : Non, et je peux vous garantir que je ne vous obéirai pas comme un petit toutou tant que je ne sais pas ce que je fais ici.
     
    L'inconnu : Plutôt coriace pour une Summers.
     
    Sarah : C'est parce que je fais partie de cette famille si vous m'avez enlevé ?
     
    L'inconnu : A toi de réfléchir.
     
    Sarah : Vous n'allez pas me répondre, c'est ça ?
     
    L'inconnu : Tu as tout gagné.
     
    Sarah (énervée) : Mais répondez-moi à la fin !
     
    L'inconnu : De par ton métier, tu trouveras bien la solution n'est-ce pas ?
     
    Sarah : Vous me connaissez en plus ?
     
    L'inconnu : D'après toi ?
     
    Sarah : Je ne sais rien de vous alors que vous connaissez tout de moi, ça m'agace
     
    L'inconnu : C'est ce que l'on appelle avoir du pouvoir et ton entêtement ne servira à rien pour te faire sortir d'ici, alors obéis-moi et tu auras la chance de t'en sortir, sinon je te tuerai de mes propres mains.
     
    Sarah (effrayée) : Cela ne sert à rien de me menacer.
     
    L'inconnu : Alors fais ce que je te dis ma chère et maintenant.
     
    Sarah : D'accord.
     
    L'inconnu : Tu restes tranquille et je t'apporte à manger sinon je te forcerais à faire une grève de la faim.
     
    Sarah : Je vous attends."
     
    L'inconnu allait chercher à manger tandis que Sarah étudiait les lieux pour s'échapper. Elle ne comptait pas rester dans cet endroit pendant longtemps. De leur côté, les Benett étaient parti chez les Summers, afin de retrouver Sam le fils de James. Celui-ci lui manquait terriblement et là, il le voyait aux côtés du reste de la famille qu'il rentrait. Ils remarquaient que Sarah n'était pas à leurs côtés.
     
    James : "C'est curieux que Sarah ne soit pas avec eux.
     
    Jason : Je suis d'accord.
     
    James : Peut-être que l'on pourrait intervenir et dès maintenant ?
     
    Jason : Tu es sérieux ?
     
    James : Bien sûr, cette famille nous mène la vie dure et maintenant ils devraient payer pour ça.
     
    Jason : On devrait penser à un autre plan.
     
    James : J'en ai marre frangin de penser !
     
    Jason : Je comprends.
     
    James : Je veux mon fils à mes côtés, c'est tout ce qu'il me reste d'elle.
     
    Jason (voyant qu'il souffrait) : Intervenons toi et moi.
     
    James : C'est que nous aurons l'avantage de la surprise au moins.
     
    Jason : Exactement."
     
    James et Jason s'introduisaient dans la demeure des Summers afin d'obtenir ce qu'il désirait. C'est là qu'ils voyaient Peyton pas loin. James la prenait dans ses bras et mettait sa main devant la bouche de celle-ci. John et Adam étaient encore secoués par ce qui venait d'arriver à Sarah quand soudain, ils voyaient les Benett tenant Peyton dans leurs griffes. John était furieux et était prêt à prendre une arme, mais Adam le stoppait, pensant à sa nièce. Il était nettement plus lucide et ne désirait pas qu'une autre femme Summers ne perde la vie.
     
    Adam : "Qu'est-ce que tu veux espèce d'enfoiré ?
     
    James : Oh, ce n'est pas bien de parler comme ça alors que je tiens la fille de John entre mes mains.
     
    John : Lâche-là, tu as déjà mon autre fille !
     
    James : Oh, je n'ai que celle-là.
     
    John (en colère) : Arrête de faire l'innocent !
     
    James (voyant une occasion d'obtenir ce qu'il désirait) : Je te tiens, alors voilà ce que je veux : tu auras tes filles si tu me rends mon fils Sam maintenant !
     
    John (pris au piège) : C'est mon neveu et je ne le laisserais pas entre tes pattes de sale rat.
     
    Jason : Tu ferais mieux d'obéir John.
     
    John : Tu aurais pu bien tourner Jason, mais ton frère a détruit ta vie.
     
    Jason (en colère) : Retire ça et de suite !
     
    James (le regardant pour le rassurer) : Il tente de nous pousser à la faute et ça ne marchera pas.
     
    John : Tu es nettement plus malin qu'autrefois.
     
    James : Oui, maintenant on fait l'échange.
     
    John : On procède comment ?
     
    James : Tu me passes mon fils maintenant et je te passe Peyton. Dès que j'aurais mon fils et étant loin de toi, je te passerais Sarah.
     
    John (résigné) : Comment pourrais-je te croire ?
     
    James : Crois en l'homme incrédule que tu as manipulé autrefois.
     
    John : Allons-y que l'on en finisse.
     
    Adam : Tu es sûr de toi John ?
     
    John : On n'a pas le choix. Va chercher Sam.
     
    Adam : D'accord."
     
    Adam va chercher son neveu. Peyton essayait de se débattre et de sortir des griffes de James mais rien à faire. Elle ne désirait pas que Sam s'en aille, mais rien à faire. Adam de son côté était dans la chambre de Sam alors que celui-ci jouait avec son petit train éléctrique. Il était pour le moment heureux alors que le reste autour de lui semblait s'écrouler comme un château de cartes. Il voyait son oncle et se blottissait dans ses bras. Adam affichait un léger sourire de circonstances pour cacher ce qui arrivait et surtout ses angoisses les plus profondes. L'étau d'une certaine "malédiction" était en train de se resserrer sur la famille et il était hors de question de perdre l'avenir de la génération Summers au travers de Sam, mais c'était impossible. Choisir entre deux membres de sa famille était une déchirure mais il se promettait qu'à un moment ou à un autre, il récupèrera avec John et Peyton ce petit bout.
     
    Sam : "Tonton, qu'est-ce qui se passe ?
     
    Adam : Rassure-toi petit prince, c'est quelque chose d'heureux.
     
    Sam : J'ai l'impression que non.
     
    Adam : Tu vas revoir des personnes que tu n'as plus vu depuis un moment.
     
    Sam : Papa est ici ?
     
    Adam : Oui, avec ton oncle Jason.
     
    Sam : Chouette, descendons vite alors.

    Adam : Prends certaines affaires tout d'abord.
     
    Sam : Oh oui."
     
    Sam était heureux mais cela n'empêchait pas Adam de s'inquiéter pour lui. Sam prenait certaines de ses affaires les plus précieuses afin d'être paré. Il descendait avec son oncle. James était prêt à lâcher Peyton dès qu'il verrait son fils en face de lui. Sam arrivait en bas et voyait son Papa avec Peyton tout près de lui. Il ne comprenait pas. Il était plutôt angoissé. John l'empêchait d'aller vers son père.
     
    John : "Maintenant, tu fais avancer ma fille et je fais avancer ton fils, cela en même temps.
     
    James : Je n'ai pas réellement confiance en toi.
     
    John : Crois mon pouvoir manipulateur comme je dois croire en ton incrédulité."
     
    John savait attaquer ses cibles avec des mots ce qui pouvait faire très mal. James n'avait pas d'autre choix et faisait avancer Peyton alors que John donnait l'autorisation à Sam d'avancer. Ce petit bout souriait rien qu'en s'approchant de son père. John regardait Peyton et lui faisait signe de prendre Sam dès qu'elle en avait l'occasion. Jason surveillait le déroulé de l'échange quand il remarquait le manège de John. Là, il faisait signe à Sam de courir. Celui-ci s'exécuta. Peyton râtait sa cible. Sam se réfugiait dans les bras de son père et souriait tendrement. John allait courir vers la commode pour prendre une arme mais Jason lui asséna un violent coup de poing le mettant au sol. Adam courait vers lui pour savoir si tout va bien. John l'ordonnait de prendre Sam, mais James partait vite avec lui, de même que Jason. John frappait partout de rage ayant perdu le seul être lui rappelant sa soeur.
     
    John : "Il va me le payer.

    Adam : Oui, nous avons beaucoup à faire.
     
    John : Retrouvons Sarah puis Sam.
     
    Peyton : Je sais par quoi passer.
     
    John : Comment ça ?
     
    Peyton (en colère) : Une personne va payer pour tout le mal.
     
    John : Ma chérie, ne fais pas ça.
     
    Peyton : C'est à cause de moi si on a perdu Sam.
     
    Adam (tentant de se montrer rassurant) : Tu n'y es pour rien. Ce sont eux les véritables coupables.
     
    Peyton : Je veux me racheter, tu comprends ?
     
    Adam : Oui.
     
    John : Mais pas en faisant payer les mauvaises personnes.
     
    Peyton : Oh, avec la personne que je compte viser, j'atteindrais les coupables.
     
    John : Tu es bien la fille de ton vieux père.
     
    Peyton (faisant un clin d'oeil) : Je sais.
     
    John : Qui comptes-tu viser ?
     
    Peyton : Veronica.
     
    John : Tu es sérieuse ?
     
    Peyton : Oui, après tout, elle est leur belle-soeur.
     
    John : C'est parfait ma fille.
     
    Adam : Tu es sûr de toi mon frère ? 
     
    John : Oui.
     
    Adam : Un plan en deux temps, bravo.
     
    John : Peyton va viser Veronica alors que nous on va chercher Sarah et notre père.
     
    Adam : Il doit combattre avec nous.
     
    John : Je sais par où chercher.
     
    Adam : Dis-moi comment ?
     
    John : On va se venger sur Keith et remonter la piste.
     
    Adam : Parfait.
     
    Peyton : On se retrouve où ?
     
    John : Prends ton téléphone avec toi, et on t'appelle dès que l'on a quelque chose. On se retrouvera à notre café favori.
     
    Peyton : Merci Papa de me faire confiance.
     
    John : Tu es tout pour moi.
     
    Peyton : A tout à l'heure vous deux.
     
    John (prenant sa fille dans ses bras) : A tout à l'heure.
     
    Adam : A tout à l'heure. "
     
    John embrassait sa fille sur la joue puis elle s'en allait. Adam aidait son frère à se relever. John était encore un peu sonné mais il reprenait ses esprits tranquillement. Les deux frères partaient ensuite pour retrouver leur père. De son côté Veronica retrouvait son bien-aimé mais aussi Dick et Jessica qui enquêtaient toujours sur la famille Summers. Logan n'aimait pas quand elle s'absentait tout d'un coup, mais il ne pouvait rien faire quand celle-ci était décidée. Veronica embrassait sauvagement et fougueusement Logan, mordillant coquinement son cou. Logan savait que celle-ci avait fait quelque chose de dangereux. Il était plutôt inquiet.
     
    Logan : "Qu'est-ce que tu as fait ?
     
    Veronica (faisant l'innocente) : Rien voyons.
     
    Logan : Arrête, je te connais trop.

    Veronica : Bon, je vais vous raconter à tous, mais il vaut mieux que vous soyez assis tous autant que vous êtes.
     
    Dick : Promis.
     
    Jessica : Promis aussi.
     
    Logan : Ma chérie, dis-nous, tu fais peur.
     
    Veronica : Voilà, je suis intervenue dans une altercation entre mon père et Jack Summers.
     
    Dick (choqué) : Tu n'as pas changé, tu vas vers le danger.
     
    Logan (inquiet) : Ma chérie, tu as pensé au petit ?
     
    Veronica : J'y ai pensé mais c'était de mon père qu'il était question. Je ne veux pas le perdre, tu comprends ?
     
    Logan (prenant sa bien-aimée dans ses bras) : Je comprends mais tu sais que je ne veux pas te perdre. Je serais perdu sans toi mon amour.
     
    Veronica (le regardant tendrement) : Tu ne te montrais pas si protecteur auparavant.
     
    Logan : C'est que je t'aime trop, quelle remarque voyons. C'est que toi, tu ne m'aimerais pas comme je t'aime ?
     
    Veronica (remarquant sa connerie) : Si bébé, je t'aime plus que tu ne peux l'imaginer et tu es ma raison d'être.
     
    Logan (heureux) : Au moins tu me rassures."
     
    Logan embrassait fougueusement sa bien-aimée. Dick se cachait la vue comme pour jouer à ce qu'il aimait autrefois.
     
    Dick (taquin) : "Il y a des chambres par ici.
     
    Logan et Veronica (en même temps) : Sacré Dick."
     
    Tout le monde souriait. Au moins, cela donnait un sacré baume au coeur avec tout ce qui était arrivé depuis peu. Dick avait réussi sa grande mission. Jessica n'y comprenait pas grand chose comme ça, mais en regardant son homme, elle comprenait qu'elle avait devant lui une perle rare. Mais même si tout le monde était heureux pendant un court instant, il fallait sauver des personnes sur le champ.
     
    Veronica : "Cependant le temps presse, il faut que l'on découvre ce que font les Summers.

    Dick : Je suis d'accord.
     
    Veronica : Alors Jessica, tu as pu rentrer dans le serveur ?
     
    Jessica : Oui, et vous pouvez admirer le travail.
     
    Veronica (heureuse) : Super !"
     
    Toute la bande allait vers l'ordinateur. Jessica montrait tous les éléments liés à John et à l'activité de la famille. Ils remarquaient qu'ils étaient liés aux évènements d'il y a quelques temps, relatif aux kidnapping et lorsqu'ils ignoraient qui étaient James et Jason. Ils étaient vraiment choqués. Logan savait que ses frères et particulièrement James n'étaient pas si mauvais que ça. Ils étaient juste manipulés. Logan balançait un objet contre le mur fou de rage. Veronica prenait ses mains et les caressait tendrement.
     
    Veronica : "Ca va aller ?
     
    Logan : Il y en a marre que cette famille nous manipule tous.
     
    Veronica : On va réussir chéri crois-moi à les arrêter.
     
    Logan : Le seul moyen serait que ton père nous dise tout sur cette famille.
     
    Veronica : Je ne sais pas si je pourrais lui faire entendre raison.
     
    Logan : Tu es déterminée tout comme lui.
     
    Veronica : Je sais.
     
    Logan : On ferait mieux de le retrouver, tu ne crois pas ?
     
    Veronica : On devrait regarder s'il y a autre chose sur l'ordinateur.
     
    Logan : Tu as raison."
     
    Logan et Veronica regardaient avec les autres les données qui pourraient compromettre les Summers.
     
    Dick : "Et si on fouillait profondément ?
     
    Veronica : Pour retrouver Sarah ? Oui.
     
    Logan : Regarde Jessica tous les endroits utilisés par les Summers même ceux par le passé.
     
    Veronica : On doit fouiller loin.
     
    Jessica : D'accord, mais je ne suis pas wonderwoman, vous vous souvenez ?
     
    Dick : Tu es juste ma wonderwoman.
     
    Jessica : Grand coquin.
     
    Dick : Arrête, tu me donnes envie de t'embrasser.
     
    Logan (arrêtant le jeu) : On ferait mieux de travailler.
     
    Dick (le regardant tristement) : T'es pas drôle."
     
    La bande continuait de fouiller les bases de données. De son côté, Shawn était seul à l'hôpital encore et désemparé suite à ce qui était arrivé avec Peyton. Il espérait tant qu'elle se détache de sa famille, qu'elle arrête ses manigances, mais les Summers et particulièrement John étaient trop forts pour le moment. Il n'allait pas renoncer cependant et se battrait jusqu'au bout pour que son amour puisse triompher. De leur côté, le groupe continuait de fouiller dans les bases de données jusqu'à ce que Jessica trouve un endroit des Summers éloigné un peu du centre ville. Veronica était décidée à s'y rendre. Logan prenait son bras.
     
    Logan : "Attends, tu ne vas pas y aller toute seule j'espère ?
     
    Veronica : Bien sûr que je vais y aller et seule, qu'est-ce que tu crois ?

    Logan : Je veux que tu sois en sécurité voilà tout.
     
    Veronica : Tu es un amour mon ange.
     
    Logan (souriant) : Alors allons-y tous les deux.
     
    Veronica : D'accord.
     
    Dick : Soyez prudents vous deux.
     
    Veronica : Compte sur nous."
     
    Alors que Veronica commençait à ouvrir la porte suivi de près par Logan pour partir, ils se retrouvaient nez à nez avec Shawn qui venait vers eux.
     
    Logan (surpris) : "Que viens-tu faire ici ?
     
    Shawn : J'ai besoin de votre aide.
     
    Logan : Raconte-nous.
     
    Shawn : Les Summers sont dangereux.
     
    Logan : Comment ça ?
     
    Shawn : J'ai vu Peyton changer devant moi alors que j'étais à l'hôpital et ça me fait peur, tu n'imagines pas.
     
    Logan : On va trouver une solution, crois-moi.

    Shawn : C'est gentil.
     
    Veronica : On est là pour aider.
     
    Shawn : Merci.
     
    Logan : On va trouver un indice dans un endroit où vont les Summers, de ton côté rejoint Dick et Jessica.
     
    Shawn : Oui, tu as raison.
     
    Veronica : Ta soeur sera ravie de te retrouver.
     
    Shawn : D'accord."
     
    Veronica et Logan partent vers le lieu indiqué. Shawn rentrait, et voyait Dick et Jessica. Celle-ci était super heureuse qu'elle se précipitait dans les bras de son frère le calinant tendrement. Dick était un peu jaloux de ne plus avoir assez d'attentions mais Shawn lui souriait en montrant bien que c'était les retrouvailles simplement de famille et que sa belle lui reviendrait. Jessica voyant que son chéri s'ennuyer revenait dans ses bras. Là, Dick était le plus heureux des hommes et n'allait pas se priver de sa belle. Seulement il s'interrogeait sur Shawn et ce qu'il faisait ici.
     
    Dick : "Que viens-tu faire ici ?

    Shawn : Disons que j'ai facilement deviné que ma soeur serait ici.
     
    Jessica : Tu me connais trop bien.
     
    Shawn : Je suis ton frère, ne l'oublie pas.
     
    Jessica : Je le sais.
     
    Dick : Alors, dis-nous tout.

    Shawn : Les Summers ont bien frappé cette fois-ci.
     
    Dick : Comment ça ?
     
    Shawn : J'ai l'impression de perdre Peyton et je suis attristé, tu ne sais pas à quel point.
     
    Jessica (s'approchant de son frère) : Je suis désolée.
     
    Shawn : Ca va aller.
     
    Jessica : J'aimerais t'aider.
     
    Shawn : Tu es un ange.
     
    Jessica : On enquêtait sur les Summers justement.
     
    Shawn : Comment ça ?
     
    Jessica : Comme Sarah a été kidnappé, on a décidé de se plonger dans leur passé.
     
    Shawn : Belle idée.
     
    Dick : Veronica et Logan sont partis à un endroit secret, espérant trouver Sarah.
     
    Shawn : Et vous n'êtes pas allés avec eux ?
     
    Dick : Disons qu'ils sont têtus.
     
    Shawn : Bien sûr, c'est évident.
     
    Jessica : Mais on peut voir les choses autrement.
     
    Shawn : Comment ça ?
     
    Jessica : J'ai sous les yeux la preuve que John camouflait certains crimes.
     
    Dick (choqué) : Quoi ?
     
    Jessica : Oui, comme sur l'affaire de Jason et James.
     
    Shawn : Ils les ont manipulés ?
     
    Jessica : Oui.
     
    Shawn : Rendons-nous sur place et éliminons John de l'équation.
     
    Jessica : Ca ne va pas te ramener Peyton, loin de là.
     
    Shawn : Je suis prêt à tout.
     
    Dick : On y va tous les trois.
     
    Shawn : D'accord."
     
    Les trois partaient au bureau de John. Au même instant, Veronica et Logan arrivaient dans un entrepôt désaffecté appartenant aux Summers. Ils avançaient doucement, afin de ne surtout pas provoquer le moindre bruit, mais les choses allaient vite changer. Veronica avançait tranquillement jusqu'à ce qu'elle soit stoppée par un coup de poing envoyée dans sa face. Elle trébuchait mais Logan la rattrapait heureusement pour elle. Elle n'avait aucun dommage sérieux. Logan était vraiment en colère.
     
    Logan : "Mais tu es qui toi ?
     
    Peyton (en avançant) : C'est la faute des Mars si nous sommes dans cette galère.
     
    Logan (en colère) : Et tu frappes ma femme comme ça ?
     
    Peyton (décontractée) : Je fais ce que je veux.
     
    Logan (en colère) : Non, car tu n'es pas toute puissante.
     
    Peyton : Mais ta femme ne sait pas se défendre maintenant ?"
     
    Veronica reprenait ses esprits et caressait tendrement l'épaule de son amoureux, l'embrassant subtilement dans le creux de son cou.
     
    Veronica : "Ca va aller mon coeur, je saurais y faire face.
     
    Logan (se calmant) : Tu es sûr ?
     
    Veronica (le rassurant) : Oui mon ange.
     
    Logan (souriant) : Je te fais confiance.
     
    Veronica : Et puis tu sais, je ne me fais jamais avoir par des pouffiasses.
     
    Logan : Je te reconnais bien là.
     
    Peyton (en colère) : C'est moi que tu traites de pouffiasse ?
     
    Veronica : Et alors, ce n'est pas ce que tu es ?
     
    Peyton : Non, espèce de merdeuse.
     
    Veronica : Et puis m'accuser ou accuser ma famille de tous les maux sans preuve, cela ne montre pas une once d'intelligence dans ta cervelle de blondasse.
     
    Peyton : Et en plus tu me traites de superficielle ?
     
    Veronica (faisant l'innocente) : Je fais ce que je veux.
     
    Peyton : Ca ne va pas se passer comme ça.
     
    Veronica : Je te hais.
     
    Peyton : C'est réciproque."
     
    Peyton allait la frapper au ventre mais Veronica répliquait et la mettait à terre. Peyton se relevait difficilement, la regardant avec toute la haine et la rage qui incombait de ressentir. Veronica ne bougeait pas, n'avait même pas peur de cette pimbêche.
     
    Peyton : "Je te hais, et si jamais tu t'occupes de l'affaire de ma soeur, je te tue, c'est clair !
     
    Veronica : Tu ne me diras pas ce que je dois faire et personne ne l'a fait jusqu'ici, même pas mon mari, alors va-t-en petite fille et va jouer avec les petits. Laisse les grands tranquille, ils savent réfléchir en adulte.
     
    Peyton : Oh, j'ai tout pouvoir pour te faire plier.
     
    Veronica : Ca m'étonnerait, alors dégage de ma vue petite fille !"
     
    Peyton était plutôt vexée et partait rejoindre sa famille, bien décidée à mettre à terre les Mars et pour de bon. Veronica était ravie d'avoir gagné contre une blondasse et partait avec son cher et tendre à la découverte d'indices sur la disparition de Sarah. Pendant ce temps, Jessica, Shawn et Dick arrivaient au bureau de John, tentant par tous les moyens de trouver des indices sur les Summers quand soudain, la fouille donnait des indices accablants sur Madison, et son meurtre. Ils sont liés aux Summers, même accusant les frères de l'avoir tué. C'était le choc jusqu'à ce que quelqu'un arrive et ne les surprenne.
     
    Jack (furieux) : "Que faites-vous dans le bureau de mon fils ?
     
    Dick : Oh mince.

    Shawn : Fuyons vite."
     
    Les trois prenaient la porte, suivi par Jack qui leur courrait après.
     
     
     
     
    Fin du chapitre.

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  • Chapitre 17 Course-poursuite
     
    Shawn, Dick et Jessica étaient en train de courir, essayant désespérement de se cacher mais Jack n'était pas loin d'eux. Même, il devenait plus menaçant en sortant son arme et essayant de leur tirer dessus. Shawn n'arrivait pas à croire ce qu'il était en train de vivre, mais cela le confortait dans ce qu'il pensait des Summers : ils étaient dangereux, mais surtout ils étaient instables et capables de tout pour arriver à leur fin. Il devait penser à sa soeur, à la sauver de ce fou dangereux, ainsi que Dick, l'homme que sa soeur semblait aimer plus que tout au monde. il faisait signe aux deux de se cacher et de préserver ainsi les informations qu'ils avaient pu trouver. Jessica ne voulait pas le laisser, se blottissant dans ses bras, mais Shawn, conscient de la situation la poussait violemment à terre, s'éloignant et allant à la rencontre de Jack. Jessica pleurait toutes les larmes de son corps vu la situation, mais Dick la prenait près d'elle et s'enfuyaient tous les deux, se rendant dans un entrepôt désafecté, là où personne ne pourrait les trouver. Shawn s'avançait lentement, prenant son arme en main pour se défendre au cas où Jack se mettrait à lui tirer dessus. 
     
    Shawn : "Jack, où vous êtes ? Je sais que vous n'êtes pas loin, alors montrez-vous devant moi si vous l'osez ? Si vous êtes encore un homme droit et ayant encore un peu d'honneur au lieu de nous tirer dessus tel un lâche ayant peur d'un affrontement. Allez, venez à moi enfoiré ! 
     
    Jack (en colère) : Toi, qui ose te dire homme de loi, un agent du FBI, tu es au fond comme Jason. 
     
    Shawn : Je suis quelqu'un d'honneur, quelqu'un qui défend les intérêts de chacun et quand quelqu'un de la loi ose les enfreindre au détriment d'innocent, je dis qu'il ne mérite que d'aller en prison. Et même s'ils ont des bonnes intentions, pensant agir pour venger quelqu'un, le mal n'est pas la solution, mais vous a priori, vous êtes tellement rempli de haines, de colère, envers les Benett et les Mars que votre jugement est altéré. Maintenant, je vais vous arrêter que cela vous plaise ou non. 

    Jack (en colère) : Tu n'oseras pas. 
     
    Shawn (déterminé) : Je vais me gêner. 
     
    Jack (le regardant d'un air de défi) : Essaye pour voir. Je connais beaucoup de ruses moi au moins."
     
    Jack levait son arme et tirait sur Shawn qui se mettait à terre pour éviter de se la prendre. Il était hors de question pour lui de revivre les évènements du cimetière. Il était désorienté et quand il se levait, il ne voyait plus sa cible qui avait pris la fuite. Fou de colère, il tapait du pied sur le sol, décidant de rejoindre sa soeur et Dick afin de faire le point sur la situation. Il partait sans plus attendre. Pendant ce temps, Jason et James étaient enfin auprès de Sam. Ils avaient retrouvés un semblant de vie de famille après tous ses malheurs accumulés depuis toutes ses semaines. Seulement, James s'inquiétait pour son fils et pour leur avenir. Après tout, aux yeux de la loi, ils étaient fugitifs. Pour l'ainé, ce qui comptait, c'était d'éduquer son fils dans les meilleures conditions possibles et d'être à la hauteur de sa dulcinée décédée des suites de sa folie de vengeance auprès de son propre père et de la guerre qu'il se livrait face à John, Jack et Adam. Jason s'approchait de lui posant sa main sur son épaule pour mieux le réconforter. 
     
    Jason : "Qu'est-ce qu'il ne va pas ? 
     
    James (soucieux) : Maintenant que l'on a Sam avec nous, qu'est-ce que l'on va devenir ? 
     
    Jason (curieux) : Tu n'y as jamais pensé ? 
     
    James (soucieux) : Ma Jessica était tout pour moi, et elle m'a fait le plus beau des cadeaux en m'apportant tout son amour et en me donnant un fils. Comment ne puis-je pas être si reconnaissant d'avoir eu sur mon chemin cette pure déesse ? C'est impossible. Mais voilà, j'ai tout gâché en désirant me venger de mon père avec toi, de mener cette guerre contre sa propre famille. 
     
    Jason (tentant de le réconforter) : Ce n'est pas de ta faute si les Summers nous hait. Et réfléchis-bien, ils nous ont bien menacés et ceux à plusieurs reprises. 
     
    James : Je sais. 
     
    Jason : Ils t'ont manipulé frangin, ils n'ont pas cessés de le faire. 
     
    James : C'est vrai, et particulièrement John. 
     
    Jason : Ils ne veulent pas de toi dans la vie de ton propre fils. Tout ce qu'ils veulent c'est nous détruire, et ce par tous les moyens. Il a suffi que tu menaces Peyton pour avoir Sam. 
     
    James : Je me suis abaissé à son propre jeu. 
     
    Jason : Ne regrette rien de ce que tu as fait, et je suis persuadé que Sam sera bien heureux près de nous. 
     
    James : Tu as raison. 
     
    Jason : Regarde-le, il est serein, souriant. Tu crois que c'était la même chose avec eux ? Non, je ne crois pas, surtout qu'ils ne prenaient soin de lui que dans le seul but de nous nuire, de nuire également à Keith et à sa famille. Ils voulaient en faire un des leurs. On l'a sauvé mon frère. 
     
    James (souriant) : C'est clair. 
     
    Jason : Et regarde-moi ce sourire béha sur son visage, impossible de ne pas craquer. Tout le portrait de son père."
     
    James regardait son fils et en effet, il était plus qu'heureux. Il pouvait penser sereinement à l'avenir, un sans soucis. Il devait se battre pour y arriver, mais rien ne lui faisait peur. Seulement, ce dont ils n'avaient pas pensé, c'était que les Summers puissent les retrouver rapidement. Au loin, une voiture se garait avec à bord John et Adam prêt à tout pour récupérer Sam et faire en sorte que plus jamais James ne puisse importuner l'un des leurs. Adam regardait John d'un air plus que déterminé et rêvant de vengeance. Le fait que John ait cédé précédement à la menace était comme pour lui un signe de faiblesse et de défaite flagrante, n'ayant pas assumé son rôle d'ainé et surtout de prendre le commandement comme il avait promis à son père avant que celui-ci s'en aille dans un lieu bien mystérieux. Adam posait sa main sur l'épaule de son frère, se montrant compréhensif. 
     
    Adam : "Ne t'en veux pas frérot. 
     
    John : Non, mais je m'en veux, vu ce qui arrive et le fait que l'on ait perdu Sam. 
     
    Adam : Ce n'est pas de ta faute. 
     
    John (en colère) : Si, car j'ai laissé la part de faiblesse pour l'amour de Peyton prendre le pas sur la responsabilité de protéger Sam de ses maudits scélérats. 
     
    Adam (le rassurant) : On va le récupérer, ne t'inquiète pas. 
     
    John (curieux) : Et comment ? 
     
    Adam : On va les encercler. Ils ne doivent pas s'attendre à nous retrouver tous les deux. 
     
    John : On devrait attendre Peyton non ? 

    Adam : Elle comprendra si on y va de suite. On ne doit plus prendre de risques. 
     
    John : C'est vrai et se faire davantage confiance. Nous sommes une équipe toi et moi, et on arrivera à venger notre soeur, évitant de laisser le petit entre les griffes de nos ennemis. 
     
    Adam (heureux) : Oh oui. 
     
    John : Je vais prendre l'avant, et comme James et Jason seront suffisamment concentrés sur moi, tu passeras par derrière, kidnappant Sam. 
     
    Adam : On y va."
     
    John et Adam se rendaient à la cachette. John agissait le premier en fracassant la porte et faisant grande sensation chez les Benett qui n'en revenaient pas de le voir ici. James se cachait devant le petit Sam qui ne comprenait pas ce qui se passait, si ce n'est que sa famille allait encore se disputer. Il essayait de convaincre son père en prenant la jambe de son père mais celui-ci le rassurait en tapotant légèrement sa tête. Il souriait obéissant à son héros. John avançait tranquillement, s'approchant au plus près de son ennemi qu'il sentait presque son souffle sur son visage. 
     
    John (déterminé) : "Tu m'as fait un sacré affront tout à l'heure. 
     
    James (furieux) : Laisse ma famille tranquille, c'est clair ! 
     
    John (déterminé) : En menaçant ma famille, tu n'as fait qu'appuyer sur un bouton, et tu vas amèrement le regretter. 
     
    James (furieux) : Tu es incapable de faire tout ce que tu dis. 
     
    John (inflexible) : Oserais-tu me dire que je suis un lâche ? 
     
    James (le regardant d'un air de défi) : Si je te dis oui, tu vas me faire quoi, tu vas me frapper devant mon frère et mon fils ? Je sais que tu es capable de tout, mais pas à d'autant de violences. 
     
    John : Tu me connais mal on dirait même après tout ce temps. 
     
    James (furieux) : Je te hais. 
     
    John (le regardant droit dans les yeux) : Tout pareil même plus encore."
     
    Entre eux, la tension était plus que palpable, même tendu que l'affrontement était proche. John faisait bien plus discrètement les choses en faisant signe à Adam d'intervenir discrètement. Allait-il réussir ? Là, c'était une autre histoire. Adam s'avançait voyant la cible devant lui : Sam qui ne regardait pas dans sa direction. Soudain, il réussissait à le prendre ce qui provoquait les cris du jeune garçon et faisait paniquer Jason qui le reprenait des mains. Provoquant la rage de James en retour, il cognait sur John qui tombait à terre et avec son frère et Sam ils s'enfuyaient. Adam aidait John à se relever et partaient vite à la poursuite des Benett. D'ailleurs la famille prenait la voiture et partait à vive allure. Les Summers les suivait de près. John conduisait et étant tellement animé par la rage, il était au plus près de la voiture de leurs ennemis, la cognant même au plus près. Sam était effrayé, pleurant. Jason le rassurait en tapotant légèrement sur son épaule. James essayait quand à lui de garder le contrôle de la voiture mais celle-ci était capricieuse qu'elle ne tiendrait pas longtemps. Jason passait à l'arrière prenant le petit. Il regardait James essayant de se démerder avec le bolide mais rien à faire surtout que John semblait être carrément fou et possédé par la vengeance. Le signe que James faisait à Jason était sans appel. Il fallait que celui-ci saute avec l'enfant laissant l'ainé dans une situation inextricable. Jason lui faisait un signe de non de la tête mais James était résolu dans sa décision. 
     
    James (triste) : "Sauve mon fils, je t'en prie. 
     
    Jason (déterminé) : Je t'en prie, si tu vois que tu ne contrôles plus rien, saute et rejoins-nous. 
     
    James : Je vais essayer, alors maintenant vas-y et je vous aime tous les deux plus que tout au monde. 
     
    Jason (anéanti) : On ne veut pas te perdre, c'est compris ?
     
    Sam (pleurant) : Papa, non pas ça !!!!!!!!!!!!!!
     
    James : Je sais mais fiston, sois courageux et écoute ton tonton.

    Sam (pleurant) : Je n'ai plus que toi comme Papa.
     
    James (pleurant) : Tu es ma raison d'être mon fils, sois fort pour moi et je te promets que l'on se retrouvera.
     
    Sam (affichant un léger sourire) : Promis ?
     
    James (souriant légèrement) : Promis."
     
    James savait que la promesse serait difficile à tenir mais il espérait au fond de son coeur que rien ne pourra le séparer de son enfant. Jason sautait avec Sam de la voiture. La réception était difficile qu'il se faisait mal à l'épaule mais c'était pour mieux protéger l'enfant. Ils voyaient la voiture en train de continuer de rouler avec John et Adam à leurs trousses quand soudain celle où se trouvait James percutait un poteau et explosait. Sam allait crier mais Jason l'en empêchait espérant au plus profond de son être que son grand frère s'en soit sorti. John arrêtait la voiture et se précipitait vers celle accidentée. Ils ne voyaient rien du tout. John était véritablement énervé et anéanti, mais Adam avait une idée. 
     
    Adam : "Je connais James, il a voulu sauver Sam. 
     
    John : Alors partons vite à sa poursuite. Mais qui serait avec Sam ? 
     
    Adam : Je pencherais pour Jason. 
     
    John : Celui que l'on connait le moins, et nettement plus imprévisible. 
     
    Adam : Mais on va l'avoir, alors allons-y et de suite.
     
    John : Tu as raison, par contre, j'envoie un message à ma fille. 
     
    Adam : D'accord."
     
    John envoyait un sms à sa fille l'intimant de venir vite à les rejoindre pour récupérer Sam. Il partait avec Adam à la recherche de Jason et de Sam. Au même instant, Sam pleurait se disant que son père était mort dans cet accident. Jason ne pensait pas qu'un jour, il aurait à s'occuper seul d'un enfant, surtout qu'il n'avait jamais rencontré une femme capable de faire autant chavirer son coeur. Il y avait bien Veronica pour tenter de le faire, mais comme elle était avec Logan, il ne comptait pas trahir son propre frère, surtout pour une femme attendant son enfant et qui arriverait à son terme. Sam le sortait de ses pensées en tremblant comme une feuille. Il prenait le petit contre lui, le calinant afin de le rassurer. 
     
    Jason : "On va s'en sortir toi et moi, d'accord ? 
     
    Sam (tremblant) : Mon Papa n'est plus là, qu'est-ce que l'on va devenir. 
     
    Jason : Reste avec moi petit prince. 
     
    Sam (tremblant) : Comment on va faire pour s'en sortir ? 
     
    Jason : On va marcher le plus possible pour s'éloigner de nos poursuivants. 
     
    Sam (hésitant) : Ce sont mes oncles tout de même. 
     
    Jason (déterminé) : Ils n'ont pas hésité à nous poursuivre, à cogner contre la voiture pour nous faire avoir cet accident. Alors ils ne sont pas dignes de se calmer loin de là. Ecoute, par contre on va joindre oncle Logan pour nous aider. 
     
    Sam (plus optimiste à présent) : Oui !!!!!!! 
     
    Jason : On va se cacher toi et moi. Tu sais que je t'aime ? 
     
    Sam (heureux) : Oui, et moi aussi tonton."
     
    Jason et Sam se cachaient. Jason prenait son portable, composant le numéro de Logan, mais il tombait sur le répondeur. 
     
    Jason : "Oui, c'est Jason, écoute, nous sommes sur la route Sam et moi, on a besoin de ton aide, même de plus que ça c'est urgent. Nous sommes poursuivis par John et Adam Summers. Je ne sais pas ce qu'ils ont l'intention de faire mais on doit trouver vite un endroit sûr. Ecoute attentivement le bruit de fond, fais-le analyser s'il le faut mais retrouve-nous au plus vite. Si tu as l'occasion d'enquêter, retrouve notre frère James, savoir où il est. Sam et moi sommes inquiets. Je t'en prie petit frère, sauve-nous."
     
    Il raccrochait espérant tout au fond de son coeur que Logan ait le message à temps et vienne à leur secours. Soudain, Sam entendait du bruit et se blottissait contre son oncle. ils partaient le plus vite possible. John et Adam n'étaient pas loin. Ils remarquaient un peu de sang sur les feuilles. Adam s'abaissait pour voir si c'était frais. Il affichait un léger sourire. John en le voyant, avait comme l'idée que la réussite de sa vengeance était proche. 
     
    John : "Jason est passé par là avec le petit. 
     
    Adam : Il ne tienra pas longtemps tout seul. 
     
    John : C'est justement ce qui va nous permettre de nous venger. Il faut vite aller à leur recherche et si on peut neutraliser Jason, on ne se gênera pas. 
     
    Adam (curieux) : Tu es vraiment énervé contre les Benett on dirait ? 
     
    John : Tu te rends compte qu'ils ont tout pris dans notre famille, que les Mars ont réitéré cela ? Il est hors de question de perdre des membres de ma famille de nouveau. 
     
    Adam : Cela n'arrivera pas grand frère, crois-moi. 
     
    John : C'est vrai, tu as raison. Alors allons-y."
     
    John et Adam partaient. Pendant ce temps, à l'hôpital, Keith se faisait examiner pour ses blessures et le récent affrontement qu'il a subi avec Jack. Il était nostalgique de ses moments passés avec son meilleur ami. Jack était pour lui l'une des personnes qui a le plus compté dans sa vie et qui lui a permis d'être l'homme qui déduisait tout, le détective avec un certain don. Il pleurait légèrement envoyant tout ce qu'il avait sur la table. Il ne se souvenait pas de ce qui c'était passé entre le transport et le fait qu'il soit dans cette chambre comme si quelqu'un l'avait drogué, et en effet, il n'avait peut-être pas tort. En effet, pendant ses examens, un inconnu était venu le droguant et tentant de lui soutirer des informations cruciales, mais rien ne disait si cette personne avait obtenu ce qu'elle espérait. Maintenant que Keith avait récupéré, il comptait bien se remettre sur les rails pour enquêter sur les Summers et retrouver Sarah même si on lui dirait de récupérer. Qu'est-ce que vous voulez ? Un Mars restait toujours plus têtu qu'une mûle. Alors qu'il pensait pouvoir s'évader en toute tranquillité et qu'il était à la porte de sa chambre, il croisait Wallace qui pensait trouver sa toute belle Sarah dans le pire des cas vu qu'elle avait disparu depuis trop longtemps maintenant. Keith avait beaucoup essayé de se cacher mais quand Wallace levait sa main pour lui faire signe, il sentait qu'il était piégé et ce, pour de bon. Il affichait un sourire de circonstances. 
     
    Keith (surpris) : "Qu'est-ce que tu viens faire ici ? 
     
    Wallace (surpris) : Je peux poser la même question ? 
     
    Keith : J'ai eu de graves soucis avec Jack. 
     
    Wallace (se sentant coupable) : J'aurais dû vous aider. 
     
    Keith (se montrant compréhensif) : Je n'ai pas voulu d'aide et voilà où j'en suis maintenant. 
     
    Wallace : Besoin d'aide maintenant ? 
     
    Keith : Je devrais dire oui maintenant vu comment tu m'as trouvé. Je craignais qu'une chose : que tu le dises à ma fille. 
     
    Wallace : Je garderais le secret d'une certaine évasion si j'ai de l'aide pour trouver Sarah ma bien-aimée. 
     
    Keith : Personne ne la cherche ? 
     
    Wallace : Je dirais que tout le monde travaille mais je n'ai aucune nouvelle en retour et ça m'énerve. 
     
    Keith (tapotant légèrement sur l'épaule du meilleur ami de sa fille) : Ne t'inquiète pas, Keith Mars va trouver Sarah. 
     
    Wallace : Même si c'est lié de près aux Summers. 
     
    Keith : Ca ne m'étonnerait pas, mais ne t'en fais pas, je serais solide comme un roc pour les affronter si nécessaire. 
     
    Wallace : C'est parfait alors. Allons-y avant qu'un médecin ne rapplique. 
     
    Keith : Je suis d'accord."
     
    Wallace regardait à droite et à gauche avant de faire signe à Keith. Ensemble, ils partaient de l'hôpital. De son côté, Peyton avait encore du mal à digérer la défaite face à cette Veronica de malheur, cette blondasse comme elle pouvait souvent le penser. Soudain, elle recevait le fameux message de son père et était prise de panique. Elle respirait un bon coup puis partait précipitemment afin de rattraper son père et son oncle. Elle comptait bien tout faire pour se venger de ses ennemis, et elle allait sauter sur l'occasion. Jamais elle ne resterait sur un échec devise première de sa famille et de son héritage. Pendant ce temps, Logan et Veronica étaient à l'intérieur de l'entrepôt désaffecté quand soudain une sonnerie se faisait entendre. C'était celle de Logan. Il regardait et voyait un message vocal. Il l'écoutait avec grand intérêt quand il paniqua en sachant le danger auquel était sa famille. Il s'écroulait au sol complètement dépassé par les évènements. Normalement, il devrait tenir pour sa propre famille qu'il construisait avec Veronica et le bébé qui allait bientôt arrivé, mais le fait que tout se détruise était la dernière chose qu'il souhaitait. Sa dulcinée n'aimait pas du tout le voir dans cet état, qu'elle venait à lui et le prenait dans ses bras. Logan posait sa tête sur son épaule.
     
    Veronica (compréhensive et inquiète) : "Qu'est-ce qui ne va pas ?
     
    Logan (effrayé) : Je crois que ton dur de mari a perdu son sang-froid.
     
    Veronica (tenant à mettre les choses au point) : Arrête de cacher tes émotions, cela ne sert à rien, et cela même te bouffera de l'intérieur. C'est ça que tu veux ? Que je sois angoissé à chaque instant quand tu t'inquiètes et que tu as peur ? Alors tu me dis tout et sur le champ comprendo mi grigo ?
     
    Logan : Je reconnais bien ma femme. 
     
    Veronica (lui faisant un clin d'oeil) : Alors tu sais ce qui t'attend si tu n'es pas sage. 
     
    Logan : Jason est en fuite avec Sam et on ignore ce qu'est devenu James. Jason me demande de le rejoindre pour éviter John et Adam. 
     
    Veronica (comprenant l'urgence) : Alors partons analyser le message puis ensuite allons les retrouver. 
     
    Logan (se montrant protecteur) : Mais c'est dangereux pour toi !
     
    Veronica (déterminée) : Suis-je en sucre ? Non, alors ne discute pas. 
     
    Logan (résigné) : D'accord."
     
    Logan et Veronica partaient à toute vitesse. Dick et Jessica quand à eux, étaient arrivés dans un lieu sécurisé. Celle-ci complètement paniquée par la situation qu'elle se blottisait dans ses bras posant sa tête contre son torse. Dick l'embrassait tendrement sur le front. 
     
    Dick (protecteur) : "On va s'en sortir. 
     
    Jessica (effrayée) : J'en doute fort, vu à quel point Jack est fou et on en est là parce que j'ai trop fouillé. 
     
    Dick (déterminée) : Ne t'en veux pas mon trésor. Après tout, nous étions en quête d'une chose essentielle : la vérité. 
     
    Jessica (effrayée) : Mais si on paye le prix de cette vérité, que ferons-nous ? 
     
    Dick (ayant confiance) : Ne t'inquiète pas, on s'en sortira vainqueur, car qu'est-ce que l'on dit ? Les gentils gagnent contre les méchants. 
     
    Jessica (affichant un léger sourire) : Tu as toujours le chic pour me rendre heureuse. 
     
    Dick (souriant grandement) : C'est ce qui fait mon charme. 
     
    Jessica (souriant coquinement) : Et j'en suis si dingue, que je désire te dévorer tout cru."
     
    Jessica lui faisait un clin d'oeil que Dick s'en trouvait ensorceler par la belle créature sous ses yeux, mais il se ressaisissait un instant. Qu'allait penser Shawn s'il arrivait pendant un instant des plus passionnels et charnels entre les deux amants ? Il n'aimerait pas se faire tuer sur le champ. Jessica elle ne pensait qu'à se retrouver dans les bras de son homme, pouvoir sentir sa douce chaleur, et pouvoir ne plus penser à ce qui était en train d'arriver. Le fait que Jack soit devenu un vrai dangereux psychopathe lui faisait peur, l'effrayait à un tel point qu'elle en tremblait. Elle se blottissait davantage contre lui, laissant ses mains lentement caresser ses cuisses et l'une d'elle agrippait sa fesse la pinçant telle une perverse. Elle lui mordillait le lobe de l'oreille, lui procurant par la même occasion une jolie douceur et lui murmurait à quel point elle le voulait en cet instant. Dick se rendait bien compte qu'ils étaient en train de jouer à un jeu dangereux et qu'à tout moment, cela pouvait dégénérer. Il la regardait, lui mordillant coquinement les lèvrese et caressait sa joue. 
     
    Dick : "Tu sais que ce n'est pas contre toi, mais tu crois que c'est le moment ? 
     
    Jessica (vexée) : Quoi, tu n'en as pas envie bébé ? 
     
    Dick (se montrant diplomate) : Si trésor, et plus que tu ne le crois. Je ne rêve que de faire qu'un avec ton corps, de pouvoir te montrer à quel point tu me plais, que je te désire plus que tout, et de continuer notre bout de chemin ensemble. Mais c'est que l'on pourrait nous surprendre, que ce soit ton frère ou bien Jack. 
     
    Jessica (lui lançant un air de défi) : Aurais-tu peur Mr Dick Casablancas ? 
     
    Dick (aimant trop les jeux) : Moi ? Peur ? Non, mais tu déconnes ou quoi ! Jamais, voyons, surtout en si belle et charmante compagnie que tu es bellissima. 
     
    Jessica (rougissant) : C'est le plus beau des compliments mon ange. 
     
    Dick : Tu es la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. 
     
    Jessica (ne pouvant plus tenir) : Embrasse-moi chéri. 
     
    Dick : A vos ordres gente dame."
     
    Dick embrassait avec fougue et passion la belle demoiselle, laissant ses mains effleurait son corps et passant sous son haut, il lui enlevait ce qu'elle portait, ne laissant apparaître que sa lingerie fine divine. Ne pouvant plus se contrôler, il lui dévorait de douces attentions sa poitrine, mordillant la peau de son cou alors que la belle ne pouvait s'empêcher de laisser ses mains baladeuses aller sur ce qu'elle désirait. Il était tellement dévoré par l'envie qu'il l'allongeait la dévorant de baisers, glissant sa main près de sa cuisse et frôlant même son intimité. Ne pouvant plus se contrôler, elle le basculait sur le dos, arrachant la chemise de son bellâtre, le couvrant de baisers et le mordillant par endroit, le léchant perversement, jusqu'à arriver à ce qu'elle avait envie. Elle lui baissait son pantalon, procurant un plaisir inégalable en laissant sa main glisser sous son boxer. Alors qu'ils allaient passer aux choses sérieuses, Shawn arrivait et les interrompait. Il était choqué de voir ça. 
     
    Shawn (surpris) : "Non, mais vous vous croyez où alors que nous avons tous ses emmerdes sur le dos ? 
     
    Dick (se reprenant et commençant à se rhabiller) : Pardon. 
     
    Jessica (furieuse) : J'ai bien le droit d'être avec mon homme non ? Et je l'aime alors ne me juge pas, compris ? 
     
    Dick (gêné) : Oh, mais je t'aime aussi mon ange. 
     
    Jessica (heureuse) : Tu me combles de bonheur. 
     
    Shawn : Bon, maintenant, il faut être sérieux, si nous voulons pouvoir nous en sortir. 
     
    Jessica : Ca veut dire qu'il est loin ou bien qu'il se rapproche nous ? 
     
    Shawn : Je ne sais pas où il se trouve, mais une chose est certaine, il faut retrouver les Benett, Veronica et Logan le plus vite possible. On va devoir affronter de nombreuses épreuves. 
     
    Jessica (inquiète) : J'ai peur. 
     
    Shawn (tentant de la rassurer) : Ce n'est rien, tout ira bien. 
     
    Jessica (inquiète) : Est-ce qu'il t'a fait du mal ? 
     
    Shawn : ......... 
     
    Jessica (répétant) : Est-ce qu'il t'a fait du mal mon frère ? Dis-le moi bon sang ! 
     
    Shawn : Non, je n'ai rien, mais il a tenté. 
     
    Jessica (inquiète) : Je t'en prie, sois plus prudent. C'est que je ne veux pas que tu meurs tu sais. 
     
    Shawn (tentant de la rassurer) : Jamais il ne m'arrivera quoi que ce soit, je te le promets. 
     
    Jessica (souriant légèrement) : C'est que je ne veux pas vous perdre que ce soit toi ou Dick. 
     
    Dick (désirant la rassurer) : Jamais tu ne me perdras.
     
    Shawn (désirant également la rassurer) : C'est pareil pour moi. 
     
    Jessica : Vous êtes des amours."
     
    Jessica serra ses deux hommes dans ses bras. Pendant ce temps, Veronica et Logan arrivaient au poste et dans la salle d'analyse. Logan plaçait son téléphone au loin, et comme il n'y avait personne, il commençait l'analyse. Veronica était étonnée par le savoir-faire de son homme qu'elle en souriait. Logan aimait surprendre sa dulcinée et ensemble, ils écoutaient l'appel. Ils repéraient tous les petits bruits d'une forêt dense. Veronica reconnaissait l'endroit où se trouvait Jason et Sam. Pour Logan, réécouter la conversation était assez douloureux. Il ne voulait en aucun cas perdre les personnes de sa famille qui lui tenaient le plus à coeur qu'il se blottissait contre sa femme. Veronica lui caressait tendrement les cheveux et l'embrassait sur le front. 
     
    Veronica (se montrant rassurante) : "Mon ange, on va réussir à les retrouver. 
     
    Logan (inquiet) : Mais j'ai peur pour James. 
     
    Veronica (se montrant rassurante) : Je sais, mais qui sait, il peut y avoir une explication, même un miracle. 
     
    Logan (curieux) : Tu crois ? 
     
    Veronica (souriant légèrement) : Un Echolls a plus d'un tour dans son sac. 
     
    Logan (souriant) : Alors là, tu l'as dit, et comme il faut. 
     
    Veronica : Bon, je peux te dire où ils se trouvent ? 
     
    Logan (curieux) : Bien sûr. 
     
    Veronica : Ils sont à l'approche de la sortie de la ville, dans la grande forêt. Si on se dépêche vite, on pourra les retrouver avant que les Summers ne leur mette le grapin dessus. 
     
    Logan (déterminé) : Allons-y."
     
    Veronica et Logan partaient rapidement, mais laissant dans un endroit sécurisé l'enregistrement comme preuve contre les Summers. De leur côté, Keith et Wallace étaient bien loin de l'hôpital où était le père de Veronica après la confrontation contre Jack. Ils n'avaient qu'une idée en tête : retrouver Sarah par tous les moyens. Maintenant que l'évasion était faite, Wallace était tourmenté et ignorait surtout ce que comptait faire Keith, comment il allait procéder. Jamais une enquête n'avait été aussi personnelle pour un Mars, et voir Keith avec autant de secrets sur des relations était pour le meilleur ami de Veronica assez déstabilisant. Finalement, il se jettait à l'eau. 
     
    Wallace : "Maintenant que nous sommes sortis, où on va ? 
     
    Keith : Je connais certains endroits liés de près ou de loin aux Summers et en particulier à Jack. Si Sarah a été enlevée, c'était pour titiller les Summers et moi par la même occasion. 

    Wallace : Comment ça ? 
     
    Keith : J'ai l'impression que la personne qui l'a kidnappée, veut que l'on se replonge dans nos vieux souvenirs. 
     
    Wallace (essayant de comprendre) : Donc, si on doit retrouver Sarah, il faut que certains secrets soient levés ? 
     
    Keith : Oui. 
     
    Wallace : Oh, je vois, et comme vous êtes muet comme une tombe, on n'ira ainsi pas très loin. 
     
    Keith : Comme si tu pensais que je ne révèlerais rien. 
     
    Wallace : Vous les Mars, vous savez bien protégez vos arrières, y compris en cachant des choses. 
     
    Keith (curieux) : Aurais-tu un sac à déballer par hasard ? 
     
    Wallace : C'est juste une mise au point. 
     
    Keith : Oh, je vois. 
     
    Wallace : Alors, où est-ce que l'on va ? 
     
    Keith : Il y a un entrepôt désaffecté non loin d'ici. On devrait y aller. 
     
    Wallace (curieux) : Pourquoi ? 
     
    Keith : Là-bas, on avait l'occasion de jouer moi et Jack, puis de se réunir pour se confier certaines choses embarassantes. Si on voulait atteindre les Summers et moi, il y aura sûrement des indices là-bas et seul moi pourra les déchiffrer, connaissant bien cette famille. 

    Wallace : Alors on est parti, et plus vite on trouvera les choses, plus vite Sarah me reviendra. 
     
    Keith (curieux) : Tu tiens vraiment à elle ? 
     
    Wallace : Oui, et c'est un tel sentiment qui me remplit d'une joie immense que je ne voudrais pas le perdre à cause du kidnapper ou des Summers. 
     
    Keith : Tu sais qu'ils sont coriaces. 
     
    Wallace : Je sais, mais avec les Mars, j'ai appris à m'endurcir et à être compréhensif, que les obstacles ne me font pas peur. 
     
    Keith : Parfait alors."
     
    Keith et Wallace allaient dans la direction de l'entrepôt, là où même Veronica et Logan étaient passés auparavant. Le père serait-il plus doué que la fille ? Bientôt cela se vérifierait, mais il avait quand même un avantage en étant auprès des Summers depuis tant d'années. De leur côté, Adam et John étaient en train de pourchasser Jason et Sam. Ils courraient, recherchant désespéremment Sam et Jason quand soudain ils se faisaient surprendre. En effet, John sentait une chaleur autour de sa taille. En se tournant, il trouvait tout simplement sa fille et il la serrait dans ses bras. 
     
    John (heureux) : "Je suis tellement heureux de te retrouver ma fille chérie. 
     
    Peyton : Non, mais tu crois que j'allais laisser mon père et mon oncle dans cette situation ? Mais même pas en rêve. 
     
    Adam : Tu as toujours le sens de l'humour à ce que je vois. 
     
    Peyton : J'ai été humiliée par la fille Mars, alors je veux ma revanche en reprenant Sam des griffes des Benett. 
     
    John (l'embrassant sur la joue) : Il est possible tu sais que l'on ait qu'un seul Benett sur les bras. 
     
    Peyton : Vous auriez tué l'un des frères ? 
     
    John : Non, mais la nature s'en serait peut-être chargé. 
     
    Peyton (heureuse) : Dis-moi que c'est James, allez dis-le moi. 
     
    Adam : C'est lui. 
     
    John : Oh frangin, je devais le faire. 
     
    Adam (gêné) : Oops. 
     
    Peyton (heureuse) : On s'approche du but, alors rattrapons-les, ils ne doivent pas être loin. 
     
    John : Tu as raison."
     
    Le trio Summers était sur la piste de Jason et Sam. D'ailleurs, en parlant des seuls Benett qui restaient, ils s'étaient mis en route, pour tenter d'éviter les Summers, et le plus possible, ignorant maintenant qu'ils n'avaient plus deux ennemis mais trois. Jason portait Sam sur le dos vraiment trop fatigué par ce qui venait d'arriver qu'il ne pouvait pas marcher et ce, sans un but à atteindre précis. Sam en profitait pour caliner son oncle ce qui faisait sourire Jason malgré les circonstances. 
     
    Sam (curieux) : "Qu'est-ce que l'on va devenir tonton ? 
     
    Jason (tentant de le rassurer) : Même si je l'ignore encore, on aura bientôt du renfort avec ton oncle Logan et Veronica. 
     
    Sam (heureux) : Il me tarde de les voir arriver. 
     
    Jason : Moi aussi mon garçon. 

    Sam (inquiet) : Par contre, je n'ai envie de perdree aucun de vous. 
     
    Jason (tentant de le rassurer) : Jamais cela n'arrivera. 
     
    Sam (curieux) : Tu crois que mon Papa ait pu s'en sortir ? 
     
    Jason : A vrai dire, je n'en sais rien. Tu sais, j'aimerais qu'il soit là, avec nous, pouvant ainsi nous guider. Tu sais, il a toujours eu les meilleurs plans. Il était fin stratège, et crois-moi, si jamais il a pu s'en sortir, il nous fera signe tôt ou tard. 
     
    Sam (pleurant) : J'aimerais le voir avec nous. Le perdre est une déchirure. J'ai trop mal tonton. 
     
    Jason (versant une larme) : Je sais, moi aussi. C'était mon grand frère, et maintenant, j'ai la charge de toute ma famille. 
     
    Sam (tentant de rassurer son oncle) : Mais tu sais que tu es extraordinaire. 
     
    Jason : Essayerais-tu de me faire rougir mon neveu ? 
     
    Sam (souriant coquinement) : Et si j'y arrive, il se passera quoi ? 
     
    Jason (rigolant légèrement) : Tu auras droit à une partie de chatouille. 
     
    Sam : Oh, tu m'intrigues là ! 
     
    Jason : J'aime que l'on parle de choses légères. 
     
    Sam : Ca fait du bien. 
     
    Jason : Tu l'as dit."
     
    Jason entendait du bruit, et était tellement à l'affût que cela en effrayait presque le jeune garçon, mais il remarquait que c'était le téléphone, voyant un message de Logan disant qu'ils arrivaient. Jason affichait un sourire plus qu'impressionnant sentant que leurs soucis étaient peut-être loin derrière eux. Ils continuaient cependant de marcher, et avec une main, Jason envoyait un message de retour en disant qu'ils sont dans la forêt et qu'il devrait utiliser l'application pour localiser un téléphone. Disons qu'avec les applis modernes tels que Facebook ou même Skype, il était facile de localiser quelqu'un. Cependant, ils ignoraient que peut-être les Summers auraient la même idée. La partie de chasse était bien ouverte. Qui du chasseur ou du gibier allait gagner ? Là, c'était une autre histoire. Logan et Veronica étaient en effet sur la route, et recherchaient désespéremment l'endroit où pouvait être Jason et Sam quand soudain ils arrivaient devant la voiture encastrée. Logan descendait de la voiture, recherchant désespéremment James, afin de savoir surtout s'il était toujours en vie ou non. Veronica le regardait impuissante. Comment on pouvait consoler quelqu'un quand cette personne vivait un deuil, celui de perdre sa famille. Veronica n'avait pas la conviction que quelqu'un se soit sorti vivant d'un accident pareil. Elle venait auprès de lui, lui murmurant qu'il fallait partir à la recherche de Jason et Sam de suite, que les Summers pouvaient les retrouver avant s'ils ne se remuaient pas. Logan l'écoutait et ensemble ils repartaient. Cependant, dans son fort intérieur, Logan sentait que James pouvait être dans les parages. Croyance ou désillusion, ça, c'était la question. De leur côté, les Summers courraient rapidement, et voyant les feuilles qui avaient bougés à cause du mouvement d'un être humain, ils se dépêchaient, et là, ils avaient en ligne de mire Jason avec Sam sur lui. John prenait son arme et le pointait en direction. 
     
    John (furieux) : "Lâche l'affaire. Amène-nous Sam ici, et on te laissera vivre, c'est clair ? 
     
    Jason (furieux) : Je ne veux pas. Tu as pris avec tout le reste de ta sale famille mon propre frère. Si tu crois que je vais laisser son fils, tu te goures. 
     
    John (furieux) : N'y compte pas là-dessus. Si tu ne fais pas ce que je te dis, je te ferais souffrir, et lentement que la mort de ton frère ne sera rien comparé à la douleur et à la souffrance que tu ressentiras quand tu mourras. 
     
    Jason : Tu te rends compte que tu dis cela devant ton neveu ? 
     
    John : Contrairement à vous les Benett, les Summers ont toujours été là pour lui, ont veillé sur lui. C'est vous les Benett qui avaient causés tant de souffrance aux nôtres. 
     
    Jason (se tournant et furieux) : Si tu veux me faire souffrir, vas-y, tire-moi dessus. Et ça, alors que ton neveu te regardera droit dans les yeux. Ne serais-tu pas devenu cruel avec le temps ? Tu n'as pas de coeur, tu es un monstre. 
     
    John : Je protège les miens, et quand on protège les siens, on est capable de tout, n'est-ce pas Jason ? Tu le sais mieux que moi, en ayant orchestré les kidnapping et ce qui allait avec. Je suis peut-être mauvais, mais quoi qu'est-ce que tu es ? Un gentil ? Ah, ah, ah, non je ne crois pas. Alors tu vas me rendre mon neveu sur le champ et tu partiras libre, sinon, tu sais ce qui t'attend !!!!!!"
     
    John pointait encore plus son arme et enlevait le cran de sécurité pour pouvoir tirer. Sam pleurait et se cachait tellement la situation était horrible. A priori, il n'y aurait aucun espoir, mais on ne sait jamais finalement. Dans la vie, il y a des surprises après tout. Soudain, Adam se faisait assommer par derrière. Peyton regardait à côté paniqué et tirant la manche de son père mais celui-ci restait plutôt stoique, désirant tant tuer Jason même si Sam le regardait, mais là, il était visé par un flingue dans son dos. Là, il ne faisait plus un geste. Il était à la merci de la personne qui le tenait en joue. Elle lui murmurait de se tourner. John s'exécutait et quand il était face à la personne, il était face à Logan qui le frappait en plein visage puis lorsque l'ainé Summers était à terre, il le frappait jusqu'au sang. Pour Logan, c'était enfin l'occasion de venger son frère. Peyton pleurait, voyant son père si mal. Cependant ce moment de faiblesse ne durait qu'un temps lorsqu'elle se jettait folle de rage sur Logan, pour le déstabiliser. John avait le temps de se lever et l'occasion de frapper Logan était trop belle qu'il le faisait violemment. Veronica ne voulant pas que l'on touche à son homme tirait une fois en l'air afin de faire baisser toute cette tension. Peyton et John levaient les mains en l'air. Adam était cependant toujours inconscient. Logan faisait signe à Jason et Sam de venir vers eux. Jason s'avançait lentement. Là, il en profitait pour regarder d'un air plutôt glacial et noir John. 
     
    Jason : "Tu l'as dans le cul John et bien profond. 
     
    John (furieux) : Ne t'inquiète pas très cher, on va se retrouver, et ta mort sera bien plus douloureuse. Tu n'es qu'un connard."
     
    Jason souriait victorieux. Sam regardait les Summers d'un air plutôt triste. Il savait que toute sa famille ne sera plus jamais réunie et avec ce qui s'est passé récemment, il ne croyait plus aux contes de fées. Arrivant près de Logan et Veronica, soulagé, Jason les serrait dans ses bras et descendait Sam où il pouvait se blottir auprès de son autre oncle et de sa femme heureux de les revoir après ce temps sans eux. Veronica et Logan souriaient en voyant ce petit ange. Ils pensaient aux Summers, si haineux, si méchants et imbu de leur personne, et lui avait échappé à ce trait de caractère. Veronica faisait signe à Sam de venir avec lui, qu'ils allaient dans la voiture. Le plus important était de mettre le petit en sécurité. Là, Jason en profitait pour garder Logan dans ses bras et se réjouir qu'il lui restait encore un autre frère. Il le regardait ensuite ému. 
     
    Jason : "Heureusement que tu es là. 
     
    Logan (ému) : Toi aussi, tu es encore vu. James est-il vraiment mort ? 
     
    Jason : Tout le laisse à croire, mais j'ai l'intuition qu'il réservera une belle surprise. 

    Logan : Es-tu intiment convaincu ? 
     
    Jason : Je voudrais sincèrement le croire, mais s'il était en vie, j'aurais eu des nouvelles. 
     
    Logan : C'est pas juste tout ça. 
     
    Jason (voulant le rassurer) : Je sais, mais on va s'en sortir. 
     
    Logan (souriant légèrement) : On est là pour porter sur les épaules la famille. Cependant, vu ton état, tu devras te reposer. Allez, on y va."
     
    Alors que les deux frères étaient occupés, Adam commençait à se réveiller. Voyant John et Peyton à la merci, ne bougeant pas trop, il avait l'effet de surprise. Il bondissait sur Jason qui lui assénait de sérieux coups de poings. Il faisait signe à Logan d'aller retrouver Veronica. Continuant de frapper, et voyant Logan s'éloigner, il partait tout d'un coup. John se levait d'un bond, tentant de sauter et d'arrêter Jason mais il le râtait. La réception était bien mauvaise qu'il se faisait mal. Peyton l'aidait à se relever. Adam bien revigoré lui courait après. Il s'ensuivait une course-poursuite effreinée. Veronica et Sam étaient dans la voiture. Logan venait d'y rentrer à peine. La portière était ouverte. Jason faisait signe de commencer à rouler. Il continuait de courir alors qu'Adam sortait son flingue tirant sur lui. Il évitait les balles sautant dans la voiture et là la voiture roulait en trombe. Tout le monde soufflait. Jason regardait sa famille quand soudain il ressentait une douleur à l'estomac. Finalement une balle l'avait touché. En voyant cela, Logan était inquiet. 
     
    Jason : "Ca va aller, mais pas à l'hôpital. On rejoint toute la bande et vous me soignerez là-bas. Logan appelle Shawn. Il te dira où il se trouve.
     
    Logan : D'accord, mais sur quel téléphone ? 
     
    Jason : Prends-le mien. 
     
    Logan : D'accord."
     
    Jason tendait difficilement le téléphone à Logan qui le prenait. Sam pleurait légèrement, mais Jason en l'embrassant sur le front tentait par tous les moyens de le rassurer. Il souriait légèrement. Logan pendant ce temps fouillait dans le répertoire de son frère et voyait le numéro de Shawn. Il l'appelait. Quelqu'un répondait, et c'était lui. 
     
    Shawn : "Tu es où Jason ? 
     
    Logan : Ce n'est pas Jason, c'est Logan. 
     
    Shawn (surpris) : Logan ? Mais comment as-tu mon numéro ? 
     
    Logan : Jason ne peut te parler. On a un grave problème. 
     
    Shawn : Où vous êtes ? 
     
    Logan : On vous rejoint. Vous êtes dans un entrepôt désaffecté ? 
     
    Shawn : Oui. 
     
    Logan : Alors on va arriver, mais il faudra que tu opères Jason. 
     
    Shawn (inquiet) : Que lui est-il arrivé ? 
     
    Logan : Il a reçu une balle dans l'estomac à cause des Summers. 
     
    Shawn (énervé) : Je les ai. Jack a failli me tuer aussi. 
     
    Logan (choqué) : Quoi ? Lui aussi ? 
     
    Shawn : Décidément les Summers sont des démons. 
     
    Logan : Préparez-vous vite à nous recevoir. Mais au moins, tu auras le plaisir de revoir Sam. 
     
    Shawn (heureux) : Enfin une bonne nouvelle. Alors à tout à l'heure. 
     
    Logan : A tout à l'heure."
     
    Logan raccrochait et le groupe se dirigeait vers l'endroit indiqué. Pendant ce temps, Keith et Wallace arrivaient sur les lieux où Veronica et Logan avaient auparavant fouillé sans rien trouver. Keith était plutôt songeur en pensant à tout ce qui était arrivé en ses lieux. Il faisait plutôt sombre et le silence pesait lourdement. Wallace pour le rassurer posait sa main sur son épaule. Keith esquissait un sourire léger mais forcé. 
     
    Keith : "Il faut bien que j'affronte mes propres démons. 
     
    Wallace (curieux) : Pourtant certains souvenirs avec Jack étaient bons ? 
     
    Keith (songeur) : C'est vrai, et en particulier ici, où on jouait, on planifiait même notre avenir. On s'était promis à cet endroit que l'on serait là en tant que témoins pour nos mariages respectifs, que l'un de nous serait le parrain lorsque l'autre aurait un enfant, bref, que l'on ne séparerait jamais. Seulement, le tout nous a séparés, que ce soit les femmes, la jalousie, et la haine entre nous. Rien ne pourra arranger cela. 
     
    Wallace : Il y a peut-être un espoir non ? 
     
    Keith (défaitiste) : Ca m'étonnerait. Je suis du genre à me battre et à ne laisser personne triompher à ma place, mais les épreuves m'ont appris à accepter la vérité en face. 
     
    Wallace : La dernière fois que tu as fait cela, tu allais laisser tomber ce qui était le plus important. Reprends-toi, reprends-toi et vite !!!!!" 
     
    Seulement les choses ne se passaient pas comme il le fallait puisque Keith se faisait assommer par derrière puis Wallace. Un individu s'avançait et prenait les bras de Keith, le glissant jusqu'à son véhicule. 
     
    L'inconnu : "Voilà que les choses peuvent enfin se dérouler comme prévu."
     
    Wallace se réveillait et essayant de sauver Keith, l'inconnu lui tirait à bout portant. 
     
    L'inconnu : "Minable que tu es, personne ne peut m'arrêter."
     
     
     
     
     
     
     
    Fin du chapitre.

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  • Chapitre 18 La furie d'un patriarche
     
    Adam revenait vers son frère et sa nièce. Il avait l'impression d'avoir touché Jason, mais sans être certain. Cependant, devant sa famille, il se montrait tout fier que cela remontait le moral de son frère John. Celui-ci était encore vraiment amer d'avoir pu apercevoir le petit Sam, et qu'il se soi enfui avec Jason, Veronica et Logan. John en voyant comment était fièr, était curieux de savoir ce qui s'est passé. 
     
    John (curieux) : "Dis-moi que tu as tué ce fumier ? Dis-moi que tu as réussi à l'avoir, je t'en prie. 
     
    Adam (souriant) : Je n'ai pas la garantie qu'il soit mort, mais touché gravement, ça oui. S'il ne reçoit pas les soins rapidement, il crèvera tout comme son frère ainé. 
     
    John (se frottant les mains) : Parfait, alors, il faut surveiller les hôpitaux. 
     
    Peyton (en réfléchissant) : Non, Papa, ils doivent se cacher, et il faut absolument les retrouver. 
     
    John (réfléchissant) : Alors, ils doivent être dans un endroit reculé, à l'abri des regards. 
     
    Peyton (curieuse) : Mais comment on pourrait savoir où ils se trouvent ? 
     
    John (pensif) : Et si jamais ils utilisaient nos endroits contre nous ? 
     
    Adam (énervé) : Non, mais tu crois qu'ils oseraient, qu'ils auraient découvert nos endroits ? Et comment peut-on protéger nos secrets maintenant ? 
     
    John (le rasurant en posant sa main sur son épaule) : Ne t'inquiète pas, les Summers ont plus d'un tour dans leur sac. 
     
    Adam : Toi, tu as bien pris les reines de Papa et à la perfection. 
     
    John (ému) : C'est gentil. 
     
    Adam (curieux) : D'ailleurs ne pas le voir m'inquiète. 
     
    John (calme) : Disons qu'il a des choses à règler. 
     
    Adam (curieux) : Et cela ne t'inquiète pas ? 
     
    John (calme) : Bien sûr que si, car je n'ai pas envie de perdre notre père, mais tu sais comment il est. Jamais je n'ai pu rivaliser avec son côté buté, buté et encore buté. J'ai l'impression de me heurter à un mur tellement il est buté, et il ne faut pas penser à lui en cet instant. Si on veut le rendre fier, il faut vite retrouver Sam et neutraliser le Bennet qu'il reste ainsi que les Mars. 
     
    Adam : Tu préconises que l'on ne fasse pas de quartier ? 
     
    John : Papa déteste Keith par-dessus tout alors s'en prendre à sa famille est ce qu'il attendrait de plus, et puis Logan est de la même famille que Jason ou James, alors, on rentre dans notre objectif. 
     
    Peyton (se frottant les mains) : Et puis j'ai une revanche à prendre sur cette foutue blondasse. 
     
    John (donnant une leçon) : Chérie, ne te laisse surtout pas guider par la colère. On doit se montrer stratégique. 
     
    Peyton (lui faisant un reproche) : Tu oses me dire cela alors que tu cèdes facilement à la colère et à la frustration ? 
     
    John (gêné) : Je sais, mais j'ai appris cette leçon, et je ne tiens pas à ce que tu commettes les mêmes erreurs que moi. 
     
    Peyton (souriant) : Je te promets que je ferais tout ce qu'il faut pour toi. 
     
    John (ayant une idée) : Alors fouillons les entrepôts et dès que l'on trouvera le bon, on donnera l'assaut, et juste une chose, ce sera moi ou Adam qui terminera le travail avec Jason. On fait cela pour Jessica qui mérite enfin la paix. On va gagner cette bataille, faites-moi confiance. 
     
    Adam (heureux) : J'ai confiance en toi frérot. 
     
    Peyton (heureuse) : On est avec toi Papa."
     
    John prenait dans ses bras son frère et sa fille. Les deux partaient le plus rapidement possible, car reprendre Sam était pour eux essentiel. De son côté, Keith se réveillait avec un réel mâle de crâne qui ne désirait pas s'en aller. Il n'arrivait pas au premier coup d'oeil à reconnaître où il était, mais surtout, le nombre de temps qu'il lui avait fallu pour arriver à cet endroit. Tout ce qui l'inquiétait pour l'instant, c'était Wallace qui ne semblait pas être ici. Il essayait de se débattre, sentant qu'il était attaché mais rien n'y faisait. Les liens étaient trop serrés. Soudain, il entendait du bruit et baissait sa tête, faisant comme s'il dormait, afin de surprendre son adversaire. L'inconnu rentrait sans grande difficulté, souriant à cette belle prise et l'admirant. Il frappait Keith au visage avec une satisfaction déconcertante et avait pensé au préalable à cacher son visage. Keith avait encore bien plus mal. 
     
    L'inconnu : "Ca t'apprendra à faire semblant de dormr Keith, je connais tes trucs. 
     
    Keith (furieux) : Tu n'es qu'un enfoiré et où est Wallace ? 
     
    L'inconnu : Oh, mais il n'est pas là. C'est toi que je voulais et toi seul voyons. Vu tes antécédents, tu avais le droit à un traitement spécial. Tu vas vivre un enfer. 
     
    Keith (curieux) : Jack, c'est toi ? 
     
    L'inconnu (rigolant) : Non, mais je me marre que tu me compares à lui. 
     
    Keith (curieux) : Qui es-tu ? 
     
    L'inconnu (rigolant) : Au lieu de te préoccuper de ta survie, tu penses à essayer de me reconnaître mais quel idiot tu fais. 
     
    Keith (déterminé) : Si ça se trouve, tu me mens sur ton identité. Il peut il y avoir n'importe quel visage en dessous. 
     
    L'inconnu (applaudissant la performance) : Tu es doué, un sacré détective, mais je te dis la vérité."
     
    Et en effet, le kidnappeur avait eu raison, car un bruit assez impressionnant se faisait retentir. Un homme avait défoncé la porte, armé. Il s'agissait de Jack. 
     
    Jack (furieux) : "Lâche ce gros-lard, il est à moi. 
     
    L'inconnu (calme) : Jack, Jack, Jack, mais en voilà une surprise. 
     
    Jack (furieux) : Arrête ton chat, et rends-le moi, sinon, je te flingue, c'est clair ? 
     
    L'inconnu (le provoquant) : Laisse-toi tenter par la vengeance sur Keith, et après tu t'occuperas de moi. Qui t'a fait du mal hein ? Choisis bien."
     
    Jack était tiraillé entre cet individu et Keith, la personne qui avait détruit sa vie. Lequel va-t-il choisir ? Là, c'était une bonne question. Keith regardait celui qu'il considérait au début comme son meilleur ami, un frère qu'il n'avait jamais eu et les évènements les avaient séparés que ce soit par sa faute ou bien la sienne. Il priait au fond de lui que Jack ne prenne pas la décision de se venger, qu'il soit quelqu'un de civiliser, mais la réalité était toute autre. En effet, Jack s'approchait, affichant clairement dans ses yeux un instant de tueur, et il n'allait pas se gêner pour le frapper. D'un coup de pied, il frappait dans les parties son adversaire, et lui assénait de nombreux coup de poings au ventre et au visage. Keith encaissait sans broncher, ne voulant pas donner satisfaction à son ex-meilleur ami. Le fait qu'il puisse agir ainsi conférait la certitude à Keith que toutes leurs années de franche camaraderie, de connerie, et de soutien n'était que du vent.
     
    Keith (tenant tête) : "Ainsi, ça te fait plaisir de me frapper, ça te fait plaisir de me faire mal, mais tu n'as pas réfléchi aux conséquences ?
     
    Jack (furieux) : Je ne pense qu'à la justice, au fait qu'enfin tu puisses payer pour tout le mal que tu m'as fait. Tu n'es qu'un connard, et moi, je t'ai fait confiance, je t'ai ouvert les portes de ma famille, et toi, tout ce que tu as fait, c'était de me détruire, de tout faire pour me briser. Maintenant, je vais te briser, et ta fille, tu pouras lui dire adieu. Jamais tu ne la reverras.
     
    Keith (inquiet) : Ne me dis pas que tu vas faire du mal à ma fille, laisse-la en paix !
     
    Jack (satisfait) : Tu ne t'es pas gêné pour faire du mal à mes fils, à ma fille. Alors, maintenant, l'amitié, tu peux te le fourrer dans le cul et bien profond vieux, je te hais, et j'aurais dû terminer avec toi depuis fort longtemps.
     
    Keith (curieux) : Qu'est-ce qui t'a empêché de le faire ?
     
    Jack : Le fait que j'essayais de te pardonner, mais avec toutes tes bêtises, il n'y avait rien. Alors maintenant, souffre, et souffre copieux sale enfoiré !"
     
    Jack le frappait continuellement, ne pouvant s'empêcher de laisser éclater la rage qu'il avait au plus profond de lui. De leur côté, Jason, Veronica, Logan et Sam arrivaient à l'endroit où se cachait Shawn, Jessica et Dick. Immédiatement, Shawn arrivait avec Jessica portant un brancard. Veronica et Logan aidaient à allonger Jason dessus, et il était amené immédiatement à l'intérieur par les premiers. Logan prenait Sam dans ses bras, le calinant pour le réconforter de ce qui allait suivre. Il cachait les yeux du petit alors que Jason était allongé et que Shawn avait le matériel pour le soigner le plus vite possible. Il le faisait à la sauvage suite au signe du blessé. Jason criait de toutes ses forces, et même une phrase sortait inconsciemment.
     
    Jason (criant) : "Enculé d'Adam, tu vas payer !"
     
    A ses mots, Logan avait tenté de boucher les oreilles du petit bout, mais c'était trop tard. Sam l'avait entendu, et il fallait donner vite une explication. Il était gêné, mais il se ressaisissait vite car s'il n'arrivait pas avec son neveu à donner une certaine éducation. Il prenait une grande respiration, et regardait son neveu.
     
    Logan : "Alors, disons-le c'est pour dire que la personne a fait d'horribles à une chose.
     
    Sam : Tonton, dis-le carrément, c'est un gros mot. Je ne suis pas que con non plus.
     
    Logan (gêné) : Mais je croyais que tu étais plus poli que ça.
     
    Sam : Oh, c'est que je connais quand même les gros mots.
     
    Logan : Tu as des questions en particulier ?
     
    Sam (curieux) : Oui, pourquoi mon tonton ?
     
    Logan (prenant des gants) : Disons que c'est lui qui lui a fait du mal.
     
    Sam (pleurant un bon coup) : Pourquoi il a fait ça ? Pourquoi ???????
     
    Logan (le rassurant) : Ne t'inquiète pas, ton tonton est un dur à cuire, et il va vite s'en sortir. On va te protéger, sache-le. Tu es tout ce que l'on a de plus cher au monde.
     
    Sam : Je vous aime tous."
     
    Logan serrait dans ses bras son petit neveu. Shawn continuait à soigner son ami, et arrivait finalement à retirer la balle. Jessica se chargeait du bandage. Jason restait allonger. La plus grande des phases était passée mais maintenant, il fallait s'organiser en vue d'affronter les Summers. Jason se levait, mais Veronica le poussait le regardant telle une tigresse. 
     
    Veronica (énervée) : "Oh, mais repos après ce que tu viens de dire. 
     
    Jason : Je dois me venger de cette famille. 
     
    Veronica (énervée) : Dans cet état ? Non, mais tu ne tiendras pas deux secondes. Je sais que tu es capable de dépasser la douleur, mais là, il y a des enjeux. Arrête de cacher tes émotions, et exprime-toi bon sang, car là, tu fais chier ! 
     
    Jason (posant sa main sur l'épaule de sa belle-soeur pour la rassurer) : Je vais bien me rétablir, ne t'inquiète pas, mais avant tout, on doit penser à Sam, et aussi à ce que James ne soit pas mort pour rien. 
     
    Veronica (se montrant compréhensive) : Je comprends la situation, et on fera tout pour résoudre cette affaire.
     
    Jason : Logan est plus que chanceux de t'avoir. 
     
    Veronica (souriant légèrement) : Je sais, mais tu comptes aussi pour moi. 
     
    Jason (souriant) : C'est gentil à toi, sincèrement."
     
    Jason ressentait cette complicité qu'il avait avec la jolie blonde dès lors qu'elle avait commencé à venir au FBI, mais il se souvenait qu'elle était avec Logan, et qu'elle était enceinte. Il serait à présent pour elle, un protecteur, et il ferait tout pour elle, la sachant de sa famille. Logan descendait le petit qui allait vite dans les bras de son tonton. Jason le serrait dans ses bras grimaçant légèrement. 
     
    Sam (gêné) : "Pardon, je t'ai fait mal ? 
     
    Jason (le rassurant affichant un léger sourire) : Ne t'inquiète pas, j'ai vu pire. 
     
    Sam (surpris) : Réellement ? 
     
    Jason : C'est que je ne voudrais pas te faire peur tu sais. 
     
    Sam : J'ai eu peur en te voyant ainsi. Je ne veux pas te perdre."
     
    Sam pleurait et Jason lui donnait un baiser sur le front pour le rassurer. Seulement Shawn venait interrompre la scène posant la main sur l'épaule de son ami. Etait-ce l'heure de parler stratégie ? C'était fort probable. Jason le regardait et murmurait à Sam de jouer un petit peu, car il était temps de parler stratégie pour rendre la justice. Sam faisait une moue pour essayer de convaincre son tonton mais comme ça ne marchait pas, il descendait regardant un peu au dehors ce qui se passait. Shawn était gêné d'avoir interrompu les retrouvailles mais il fallait se mettre au travail. 
     
    Shawn (baissant la tête) : "Je suis désolé d'avoir tout interrompu.
     
    Jason (le rassurant) : Ne t'inquiète pas, mais il faut s'occuper des Summers.
     
    Shawn (gêné) : Oui, car il s'est passé beaucoup de choses.
     
    Jason (curieux) : Comment ça ?
     
    Shawn (marchant sur des oeufs) : Jack a tenté de nous tuer.
     
    Jason (choqué) : Quoi ? Mais comment s'est arrivé ?
     
    Shawn : Disons qu'avec Dick et Jessica, on a découvert certaines preuves et Jack nous a surpris.
     
    Jason (inquiet) : Et vous n'avez rien j'espère ?
     
    Shawn : Je l'ai affronté, et il a failli par me toucher avec une balle, mais comme tu vois, je suis debout.
     
    Jason : Heureusement, sinon, je lui aurais fait sa fête. 
     
    Shawn : Ne t'inquiète pas, mais par contre, faudrais que tu te reposes. 
     
    Jason (ironique) : Comment veux-tu que je le fasse avec eux ? Pas possible. Allez, pensons stratégie et qu'est-ce que vous avez trouvé là-bas. 
     
    Shawn : Il faudrait que tout le monde soit-là. 
     
    Jason : Je suis d'accord."
     
    Shawn faisait signe à tout le monde de venir. Là, ils écoutaient attentivement, ayant une certaine frayeur des révélations que pourrait faire Shawn sur l'instant. 
     
    Shawn : "Voilà, grâce à Jessica, on a découvert des preuves sur le meurtre de Madison, faites par les frères Summers. 
     
    Veronica (choquée) : Je sentais qu'il se passait quelque chose avec les frères, et j'avais interrogé Adam à son sujet. C'est lui qui l'a tué, pas moyen. Il est même fort possible que Parker soit aussi de l'oeuvre des Summers. 
     
    Shawn : C'est vrai. 
     
    Jason : Il faut les arrêter à tout prix.
     
    Logan : Comment on va faire ça ? 
     
    Jason : Grâce à leurs propres lieux, et si ça se trouve on les trouvera.
     
    Veronica : Avec même Sarah en prime. 
     
    Jason (choqué) : Quoi ? 
     
    Veronica : Elle a disparu. 
     
    Jason : Je les hais. 
     
    Logan : On arrivera à les arrêter. 
     
    Veronica : Rendons-nous là-bas et le plus vite possible, enfin sauf toi Jason. 
     
    Jason (vexé) : Et pourquoi ?"
     
    Veronica appuyait sur la blessure ce qui faisait crier Jason. Là, il comprenait qu'il était un poids mort, mais il n'allait pas rester en arrière sans rien faire. 
     
    Jason (ayant une idée) : Je peux faire le guet ? 
     
    Veronica (voyant l'homme têtu devant elle, et faisant signe à Logan d'intervenir) : Pourquoi pas, t'en pense quoi mon chéri ? 
     
    Logan (inquiet) : Tu te rends compte que tu es dans un sale état ? Je ne veux pas te perdre. 
     
    Jason (le rassurant) : Si je te promets petit frère que je serais prudent, tu me laisseras y aller ? 
     
    Logan (souriant légèrement) : Oui. 
     
    Jason : Alors je promets de faire attention. 
     
    Logan : C'est parfait alors. 
     
    Jessica : Mais Jason peut-être transporté maintenant ? 
     
    Shawn : S'il s'en sent capable, oui. 
     
    Jason : Comme je ferais le guet, je resterais à l'arrière, mais je garderais mon arme au cas où et personne n'est né encore pour me faire la peau. 
     
    Logan : Tu es incorrigible.
     
    Dick : Bon, allons faire la peau des Summers. 
     
    Logan : Sacré Dick. 
     
    Jason : Sais-tu au moins tirer ? 
     
    Dick (rigolant) : Tout dépend comment tu emploies le mot ? 
     
    Veronica (se tapant la tête) : Tu as l'esprit mal placé dis-donc ! 
     
    Dick (souriant) : C'est ce qui fait mon charme après tout, et sinon, vous ne pouvez pas m'aimer.

    Jessica (l'embrassant sur la joue tendrement et visant le coin de ses lèvres) : Oh, mais je t'aime à la folie mon chéri. 
     
    Dick (se montrant tendre) : Je t'aime aussi bébé.
     
    Veronica : Ne trainons pas alors. 
     
    Logan (inquiet pour sa belle) : Mais chérie, toi aussi, tu fais attention, tu approches de la naissance de notre enfant. 
     
    Veronica (tapant sur la tête de son homme) : Je suis une Mars, et une Echolls, et ne t'inquiète pas, je suis solide. Je ne laisserais personne faire du mal à un corps comme le mien. 
     
    Logan (souriant) : Je te fais confiance. 
     
    Veronica (têtue) : Et de toute façon, tu n'as pas intérêt à discuté mes choix.
     
    Logan : D'accord."
     
    Le groupe décidait de partir. Shawn et Logan allaient aider Jason à se lever. Ils le plaçaient à l'arrière du véhicule. Tout le monde se plaçait, même s'ils étaient serrés comme des sardines et Shawn conduisait. Ils partaient à toute vitesse. Au même instant, à l'endroit où était au préalable Wallace, celui-ci perdait énormément de sang. Il voyait sa vie partir à toute vitesse et personne ne pouvait l'aider. Soudain, un individu arrivait et voyant son état, il ne savait qu'il ne pouvait plus rien faire. Wallace lui murmurait quelques mots, qui seraient destinés pour sa dulcinée Sarah, celle qu'il n'avait pas pu revoir. Le plus proche ami de Veronica avait regardé cet individu avec un air serein. Il venait de mourir sans ayant pu voir sa dulcinée. L'individu qui avait accompagné Wallace téléphonait ensuite à la police masquant sa voix pour ne pas être reconnu et partait le plus vite possible. Bientôt l'information allait arriver à tout le monde, y compris à Veronica, et cela provoquerait un choc incomensurable. Au même moment, le kidnappeur revenait vers Sarah qu'il avait caché bien soigneusement. Celle-ci regardait vraiment dans tous les endoits afin de pouvoir se sortir de cette impasse mais rien à faire, et surtout, elle n'avait aucun moyen de savoir où elle se trouvait. Quand le kidnappeur venait la voir, celle-ci se jettait sur lui, essayant de trouver des clés à la fois de sortie, d'une voiture, mais celui-ci la frappait violemment qu'elle était jetée à terre. Se tenant la joue, elle le regardait avec froideur et rage. Le kidnappeur se frottait les mains. Ayant laissé Jack avec Keith, il savait que celui-ci ne viendrait pas l'opportuner. Il souriait satisfait, surtout pensant à ce qu'il avait fait à Wallace. C'était lui l'auteur de sa mort, et pour mieux atteindre Sarah, il n'allait pas se gêner pour user de cette information. 
     
    Sarah (folle de rage) : "Espèce de connard, pourquoi tu me retiens ici, pourquoi tu me veux autant de mal, pourquoi tu fais tout ça, pourquoi !!!!!!!!
     
    Le kidnappeur (rigolant) : Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Mais il n'y a qu'un Summers pour parler ainsi. C'est pathétique. 
     
    Sarah (curieuse) : Comment sais-tu que je suis une Summers ? 
     
    Le kidnappeur : C'est que j'ai mes infos ma jolie. 
     
    Sarah (curieuse) : Mais d'où vous tenez cela ? 
     
    Le kidnappeur : Oh, je vois ton petit manège, je vois ce que tu essayes de faire. Tu penses que je me livrerais facilement à toi, mais si tu sais que je le fais, je serais dans l'obligation de te tuer. Ton chéri, ta famille ne pourraient plus te voir, comme c'est dommage. Attends, pardon, il ne te reste qu'une seule chose : ta famille. Ton chéri est mort. 
     
    Sarah (pleurant) : Quoi ? 
     
    Le kidnappeur (souriant) : J'ai tué ton mec, tout cela pour te faire comprendre qu'il ne faut pas me défier. La prochaine fois que tu essayes, que tu tentes quoi que ce soit, je tuerais un membre de ta famille et j'ai le choix : ton grand-père, ton père, ton oncle ou ta soeur. Alors sois sage. 
     
    Sarah (folle de rage) : Fumier, je te le ferais payer !!!!!
     
    Le kidnappeur (en partant) : Essaye pour voir."
     
    Le kidnappeur venait de gagner une manche très importante. Il comptait encore bien se servir de la jeune fille pour arriver à ses plans. Il partait, laissant la jeune fille complètement désespérée et pleurant la mort de son bien-aimé. De leur côté, Adam, John et Peyton arrivaient sur le lieu où était planqué au préalable tout le groupe. Ils descendaient en prenant le soin d'être armé au cas où ils seraient accueillis comme il se doit. John passait devant, et voyant qu'il n'y avait personne, il baissait son arme. Sa fille et son frère faisaient la même chose. John les regardait avec tristesse. 
     
    John (triste) : "A priori ils ne sont pas ici. 
     
    Adam (furieux) : Mais où sont passés ses bandes d'enfoirés, que je les massacre un par un ! 
     
    John (posant la main sur l'épaule de son frère) : Déjà, je suis très fier que tu ais pu toucher l'un d'eux, et en plus un coriace. 
     
    Adam (rassuré) : Merci frérot, mais le voir mourir aurait été mieux, assister à son dernier soupir et se dire qu'enfin les Benett ne seraient plus sur la surface de cette maudite terre. 
     
    John (calme) : Au nom de Jessica, on réussira, mais tout d'abord, faut voir s'ils n'ont pas laissé des indices ici. 
     
    Adam : Bonne idée."
     
    Seulement, pendant que les deux représentants mâles des Summers se lamentaient d'un échec plus que cuisant, Peyton préférait ne pas participer à la morosité ambiante et avait déjà commencé à fouiller chaque recoin, en guise d'un indice suffisamment important pour localiser les cibles, et là, elle trouvait à terre du sang, plutôt frais d'ailleurs. Elle ne faisait pas partie des experts, mais elle avait une forte capacité de déduction. Elle criait. John et Adam étaient surpris qu'ils courraient vite la voir. 
     
    John (effrayé) : "Mais qu'est-ce qui se passe ma puce ? Ne crie pas comme ça, tu ferais peur à ton vieux père. 
     
    Peyton (gênée) : Pardon Papa, mais j'ai trouvé quelque chose qui pourra nous intéresser. 
     
    John (curieux) : Comment ça ? 
     
    Adam (curieux) : Tu nous intrigues beaucoup. 
     
    Peyton (calme) : Tu te rappelles tonton que tu as touché Jason ? 
     
    Adam : Oui. 
     
    Peyton (calme) : Et bien, j'ai trouvé du sang, et plutôt frais d'ailleurs. 
     
    John (essayant de comprendre) : Donc tu veux dire que quelqu'un serait passé par ici ? 
     
    Peyton (heureuse) : Oui. 
     
    Adam (heureux) : Et mieux encore, ce sont nos cibles. Ca prouve que j'ai bien touché Jason, et qu'ils sont affaiblis. 
     
    John (souriant) : Alors il faut vite les retrouver et le plus rapidement possible. 
     
    Adam (curieux) : Oui, mais comment ? 
     
    John (calme) : A priori ils nous cherchent dans nos lieux, et on a la même idée. On va continuer sur la même route, poursuivre leurs mouvements et on les attrapera par surprise. En fait, ils pensent nous courser, mais en réalité nous les coursons. Nous sommes les prédateurs et eux nos proies, et ça, c'est la plus belle des situations. 
     
    Adam : On doit être bien armé pour ça. 
     
    John : Oui, c'est sûr, mais avant tout, on doit être entier, ce qui est le cas. 
     
    Peyton : Mais aussi rempli d'une haine sans faille. 
     
    John (continuant sur la lancée de sa fille) : Pour pouvoir nous venger. Partons le plus vite possible. 
     
    Peyton (sautant de joie) : Youpi. 
     
    Adam (heureux) : On y va."
     
    Peyton, Adam et John partaient le plus vite possible. De son côté, Keith recevait de plus en plus les coups de son ex-ami Jack et il commençait à en avoir marre de subir qu'il criait de douleur. Là, ça rendait satisfait le patriarche Summers. 
     
    Jack (heureux) : "Oh, comme tu as mal, mais ça me fait plaisir, comme jamais, car tu as mérité d'endurer toute cette souffrance connard ! 
     
    Keith (furieux) : Tu n'en as pas marre de m'en vouloir, tu n'en as pas marre de rejeter la faute tout le temps sur ma personne, mais merde, la vengeance nous bouffe l'existence, elle nous enlève même ce en quoi on tient le plus au monde. Tu crois que je ne regrette pas que ta femme, tes belles-filles soient mortes. Chaque jour que dieu fait, je me demande pourquoi ce n'est pas moi qui suis parti à leur place, et si je pouvais remonter le temps, je le ferais crois-moi. De mes autres erreurs aussi, je les corrigerais, car tu me manques mon vieux, ton amitié, ton soutien, et le fait que l'on soit inséparables. Regarde ce que notre haine, nos secrets ont fait à toutes ses familles que ce soit la tienne, la mienne et même les Benett. On se bouffe la vie, alors que l'on doit se réunir pour trouver Sarah et le plus vite possible. 
     
    Jack (déterminé) : Je suis déterminé, et rien ne pourra me faire changer d'avis quant à te mettre en poussière, à faire de ta vie un cauchemar sans nom comme tu l'as fait avec ma vie. Tu m'entends, je te hais Keith Mars !!!!! Pour tout le mal que tu m'as fait. Et pour Sarah, ils vont la retrouver, j'en suis certain. Contrairement à toi qui reste coller à ta fille tel un aimant, moi, je fais confiance à mes deux grands garçons. 
     
    Keith (déterminé) : Mais tu les as élevés dans la haine, et tu as fait d'eux ton instrument de vengeance. Vous avez fait tellement de mal autour de vous. Qu'est-ce que dirait ta fille, tes belles filles et ta femme dans ce genre de situation ? 
     
    Jack (frappant sa proie de toutes ses forces) : Je t'interdis de parler d'elles sans que je t'en donne l'autorisation ! Tu ne manques pas de culot."
     
    Jack prenait son arme et le pointait vers Keith, commençant à enlever le cran de sécurité quand soudain le kidnappeur venait et restait au loin pour admirer le spectacle. Jack avait entendu du bruit, et se tournait vers le kidnappeur, tirant dans sa direction. Malheureusement pour le patriarche, il râtait sa cible et donnait encore plus à cet individu de la détermination. 
     
    Le kidnappeur (frappant dans ses mains) : "Jack, Jack, Jack je te donnais enfin l'occasion de terminer ta petite vengeance et toi, tu me tires dessus ? Ce n'est pas très fin tu sais. Maintenant, tu vas payer ça, et très cher."
     
    Le kidnappeur s'enfuyait. Jack allait vers Keith et le détachait. Le détective Mars se relevait difficilement et Jack restait froid par rapport à lui. 
     
    Jack (glacial) : "Ne crois pas que c'est pour t'aider que je l'ai fait, mais pour me venger, je n'ai besoin d'aide de personne et puis chasser, c'est tellement plus excitant. Aussi, je t'interdis de te mêler de ma petite fille, avec ta manie de faire tuer les membres de ma famille, je risque de la perdre par ta faute !!!!! 
     
    Keith (déçu) : J'ai compris. 
     
    Jack (menaçant) : La prochaine fois que l'on se rencontrera, là, cette fois-ci, tu n'auras plus la moindre chance. Tchao."
     
    Jack partait le plus vite possible, laissant Keith dans un sale état. Le détective partait au dehors, essayant de trouver un refuge et où il pourra téléphoner. Sa seule question en tête était de savoir où était Wallace, sans savoir qu'il était trop tard pour le sauver. De leur côté, le groupe était déjà en route pour retrouver les Summers, tout autant qu'ils sont. Shawn était soucieux, mais il tentait par tous les moyens de ne rien laisser transparaître. Son amour pour Peyton était en grand danger, et celle-ci, loyale envers les siens, avait fait un choix. Shawn n'aimait pas l'idée de la combattre, mais pour le bien de tous, il le fallait bien. Il sortait rapidement de ses pensées quand soudain Veronica recevait un appel des plus importants. Elle répondait, même si le moment était crucial. Logan le lui faisait comprendre avec un visage fermé, mais Veronica, quand elle avait une idée en tête, elle s'y tenait fermement. 
     
    Veronica : "Oui, Veronica Echolls ? 
     
    Le policier : Bonjour, je vous appelle car j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. 
     
    Veronica : Je vous écoute. 
     
    Le policier : Votre ami Wallace Fennel est mort assassiné dans un entrepôt. Je vous présente toutes mes condoléances. 
     
    Veronica (en pleurant) : Merci."
     
    Elle raccrochait et se blottissait pendant un long moment dans les bras de son mari. Logan était très inquiet et la regardait dans les yeux. 
     
    Logan (inquiet) : "Mon amour ? 
     
    Veronica (émue et versant une infinité de larmes) : Wallace est mort. 
     
    Logan (attristé) : Je suis désolé ma puce.
     
    Veronica (pleurant) : Fais moi un câlin, et embrasse-moi. Et toi Shawn, accélère le mouvement que je ratatine des Summers le plus vite possible ! Ils vont me payer ça !"
     
    Veronica était prête à se venger, et ça, il fallait s'y attendre. Logan ne disait pas grand chose, préférant réconforter sa femme en l'amenant dans ses bras, et l'embrassant passionnément. Veronica avait besoin de tendresse et il allait lui en donner un maximum. Shawn de son côté accélérait le mouvement, se retrouvant vite à l'endroit où pourrait être les Summers tous autant qu'ils sont. Comme prévu, Jason restait à l'arrière, se trouvant encore blessé et qu'il ne pouvait être en ligne de mire, ce qui au fond de lui l'énervait au plus haut point. Cependant, protecteur comme il était, il avait prévu de se faufiler en douce même si pour cela, il devait être avec le petit Sam, son neveu préféré. Cela lui rappelait étrangement le moment où son frère avait disparu, où il avait péri dans cet accident, mais il restait concentrer, ayant une arme avec lui, au cas où quelqu'un arriverait. Le reste de la bande rentrait tranquillement. Shawn et Logan étaient à l'avant. Ils armaient leur flingue, s'avançant dans l'inconnu, quand soudain, les lumières s'allumaient, entendant des bruits d'applaudissements. Le groupe était désemparé, ne sachant réellement pas ce qui se tramait sous leur nez et c'est là, que le kidnappeur, masqué cela va s'en dire, arrivait, avec Sarah ligotté et menacé par un couteau sous la gorge. Shawn allait vite la délivrer mais il se stoppait quand le kidnappeur enfonçait un peu plus sa lame, mettant Sarah en mauvaise posture. 
     
    Sarah (désespérée) : "Aidez-moi. 
     
    Veronica (paniquant) : Ne t'inquiète pas, on va te sortir de là. 
     
    Le kidnappeur (souriant) : Oh, mais ma chère, comme ton vieux père, une malédiction va courir sur toi. 
     
    Veronica (furieuse) : Espèce d'enfoiré, lâche-là ! 
     
    Le kidnappeur (jouant la carte de l'innocent) : Pourquoi ? 
     
    Veronica (folle de rage) : Parce que je vais te tuer connard, c'est bien comme réponse ? 
     
    Le kidnappeur (rigolant) : Quelle répartie, mais cela ne sera pas suffisant pour la sauver, loin de là. 
     
    Veronica (le défiant avec son regard et restant déterminée) : Tu ne sais pas ce dont je suis capable. Tu vas comprendre ta douleur enfoiré ! Et tu vas payer pour le mal que tu as fait, peu importe lequel des Summers tu es sous ton déguisement. 
     
    Le kidnappeur (rigolant de plus bel) : Oh, je ne suis ni Jack qui s'est bien vengé sur ton père, ni John, ni Adam et ni Peyton. Je suis juste votre pire cauchemar. 
     
    Veronica (souriant malicieusement) : Grossière erreur."
     
    Le groupe sortait l'artillerie. Shawn ne bougeait pas, gardant l'attention du kidnappeur sur lui, alors que Logan et Dick se chargeaient eux d'aller délivrer sans que le méchant ne s'en aperçoive. Ils allaient réussir, mais le kidnappeur était plus mâlin. Il frappait Dick sur la tête avec la pointe de son arme et d'un coup de poing ensuite Logan. Le kidnappeur regardait ensuite Shawn et pointait son arme, alors que la balle allait sortir. Shawn se jettait sur lui, et se battaient l'arme. Tout le reste du groupe se mettait en quatre pour délivrer Sarah qui semblait soulager de voir tout le monde, même si une partie de son coeur s'était brisée avec la perte de Wallace. Seulement, la tragédie se produisait quand une balle perdue sortait de l'arme et se logeait chez une des personnes. Sarah était touchée en pleine poitrine, perdant énormément de sang. Logan tentait de comprimer la plaie le plus rapidement possible. Le kidnappeur voyant son oeuvre préférait s'enfuir. Shawn partait à sa poursuite espérant pouvoir le rattraper, mais c'était trop tard. Seulement, il se retrouvait nez à nez avec John qui lui pointait directement son arme entre les deux yeux, le sommant de revenir sur ses pas. A l'extérieur, Jason et Sam voyaient un peu du remue-ménage. Jason reconnaissant Adam et Peyton, savait que le groupe serait pris au piège dans un filet inextricable. Peu importe ce que tout le monde lui disait, il irait à l'assaut. Il sommait Sam de le suivre, afin de pouvoir prendre soin de lui, et de ne pas le laisser tout seul. Un Summers était vicieux et pouvait faire croire à une attaque, afin de pouvoir reprendre le fils de son frère. Il entrait en douce, afin de pouvoir les surprendre avec le petit, mais en arrivant, Adam le tenait en joue, lui faisant signe de rendre Sam. 
     
    Jason (furieux) : "Jamais connard tu ne l'auras ! 

    Adam (souriant) : Mais tu as déjà perdu, vieux, tu veux que j'appuie sur ta plaie pour voir ? 
     
    Jason (déterminé) : Tu ne me fais pas peur enfoiré, c'est clair ! Je t'aurais, je te tuerais, je te traquerais, et je n'aurais de repos que lorsque tu seras mort toi et les tiens. 
     
    Adam (souriant) : Tu as vu John ? Il est drôle ! 
     
    John (satisfait) : Mais il ne sait pas ce que c'est que le pouvoir, et ils vont avoir une leçon. Ma fille, tu sais ce que tu dois faire ? 
     
    Peyton (s'approchant de Veronica et la tenant en joue au niveau de son ventre) : Si vous bougez, je tue le petit être et la maman, compris ? 
     
    John (s'approchant de sa fille auquel Logan était près d'elle et en la voyant, il se rendait bien compte qu'elle était morte) : Je vais vous faire payer cet affront bande d'enfoirés ! Allez tous en enfer !!!!!!!!!!!!!!"
     
    Logan était impuissant, et personne ne pouvait l'aider, quand soudain, un tir de nul part se faisait entendre et l'arme de John échappait des mains de son propriétaire. Surpris, John regardait, de même que Jason. 
     
    Jason (stupéfait) : "Ce n'est pas vrai, c'est impossible !!!!!"
     
    Qui était cette personne ? 
     
     
    Fin du chapitre.

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  • Chapitre 19 Une surprise de taille
     
    Jason était vraiment des plus stupéfaits en voyant la personne qui lui avait sauvé la vie. Au début, il fermait les yeux, se remuant la tête afin de se dire que c'était qu'un rêve éveillé, que tout cela n'était fait que dans le but de le tourmenter car il n'avait rien pu faire. Il ouvrait les yeux et voyait bien la personne devant lui. Il s'agissait de son frère James qui avait l'air tout à fait bien, alors qu'il lui avait fait ses adieux avant d'avoir un accident de voiture qui aurait dû lui coûter la vie. Jason s'approchait de James et touchait légèrement son épaule. Cela lui confirmait à quel point il ne rêvait pas.
     
     (carrément choqué) : "Je sais que tu es quelqu'un de solide mais là, quand même, tu fais fort. Tu n'imagines même pas à quel point tu nous as fait peur. On était anéantis. Ton fils ne savait plus où il en était. Moi, j'avais perdu mon frère et Logan tu y as pensé ?
     
     (gêné) : Je suis désolé mon frère. Il me fallait me faire tout petit, afin de pouvoir guérir et vous défendre. Je savais que tu t'occuperais de mon fils et de notre famille.
     
     (encore choqué) : Non, mais tu crois que je suis prêt ? Ca a été si soudain. 
     
     (s'approchant de son frère) : Je sais, et je suis navré de t'avoir mis tout cela sur tes épaules, mais maintenant nous sommes tous ensemble pour que la justice triomphe. 
     
     (souriant) : D'accord."
     
    James en même temps que d'avoir discuté avec son frère prenait son petit garçon Sam dans ses bras, l'embrassant tendrement sur la joue et le serrant fort pour lui faire un gros câlin. Seulement Jason avait encore beaucoup de questions en tête, notamment sur ce qui est arrivé à son frère. 
     
     (curieux) : "Comment as-tu pu t'en sortir après cet accident ?
     
     (calme) : Quand j'ai vu que la voiture allait terminer là où tu le sais, j'en ai profité pour sauter discrètement. L'atterrissage était assez difficile que je me suis blessé gravement, mais dans mon malheur, une jeune femme est passée par là. Elle était gentille, compréhensive, et surtout, elle a réussi à calmer la personne têtue que je suis. 
     
     (souriant légèrement) : On dirait que tu as trouvé la perle rare. 
     
     (souriant) : Oui, mais je ne sais pas si je la reverrais, et puis, elle doit plaire à mon fils."
     
    James en profitait pour regarder Sam qui souriait grandement. Pour lui, peu importe ce qui était arrivé, le plus important c'était d'avoir retrouvé son papa. Le reste de la troupe était quand même heureux de retrouver James, en particulier Logan qui s'approchait de son grand frèe, le serrant fort dans ses bras. Il souriait. 
     
     (ravi de retrouver son frère) : "Sans toi James, je ne m'en serais pas sorti. 
     
     (souriant) : Tu es mon frère, et je ne veux que le meilleur pour toi, tu sais bien. 
     
     (souriant) : Ca fait du bien de te retrouver, on retrouve espoir tu sais."
     
    Veronica voyant le calme allit directement vers son homme la serrant dans ses bras. Elle se blottissait contre lui puis le frappait sur l'épaule. Logan était surpris mais en même temps, pour Veronica, il l'avait bien mérité. 
     
     (effrayée) : "Tu étais dingue de prendre autant de risques, j'aurais pu te perdre mon amour, et le bébé aussi. Comment on aurait fait sans toi, hein ? 
     
     (tout gêné et l'embrassant sur le front puis tendrement sur ses lèvres) : Ma chérie, pardonne-moi. Je serais plus prudent, et surtout, jamais tu ne me perdras. 
     
     (souriant légèrement) : Je t'aime, et je serais incapable de vivre sans toi. 
     
     (souriant) : C'est pas souvent que tu exprimes cela ma chérie. 
     
     (tapant sur son épaule) : Oh, mais espèce de canaille, comme si je ne le faisais pas, tu es incorrigible. 
     
     (souriant) : Voilà, j'ai réussi à te faire changer les idées. 
     
     (souriant) : Et tu as très bien réussi les choses."
     
    Les deux amoureux s'embrassaient passionnément, quand Peyton, discrètement, prenait l'arme de son père et tirait. Logan se mettait directement devant sa belle, et recevait une balle en plein épaule. Cette action allait provoquer une guerre qui jamais ne se terminera. Veronica gardait son bel homme près d'elle, versant des larmes et regardant Peyton avec un regard bien noir. Alors que la plus jeune des Mars pensait tirer en prenant son arme, Jason l'en empêchait posant sa main sur son épaule pour l'intimer de rester auprès de son homme. James quand à lui posait Sam aux côtés de Veronica et Logan. Ensemble les deux Benett fou de rage, tiraient sans sommation sur les Summers. Adam tirait en retour, afin de pouvoir de avoir les Benett. Son sourire laissait transparaître ses intentions les plus perverses qui soit. Il visait Jason, pensant l'avoir de nouveau, mais James défendait son frère tirant sans sommation que les Summers prenaient la fuite. James et Jason se félicitaient d'avoir mis en déroute leurs ennemis qu'ils frappaient même dans leurs mains. Seulement, Jason se crispait ayant bien mal. James était inquiet. 
     
     (inquiet) : "Depuis quand tu as cette blessure ? 
     
     (le rassurant) : Depuis qu'Adam m'a tiré desus après ma fuite avec Sam. 
     
     (le protégeant) : Maintenant que je suis là, je vais bien le ménager. 
     
     : Oh, je crains le pire."
     
    Jason sentait bien que James allait le surprotéger. Mais surtout tout le monde se regardait. Maintenant que les Summers avaient pris la fuite, ce n'était qu'une question de temps avant qu'il n'y ait une autre bataille, et il fallait partir pour se préparer. Au même instant, les Summers prenaient le temps de prendre leur souffle, essayant de voir là où ils avaient échoué. Adam et Peyton étaient plutôt défaitistes, pensant qu'ils ne pourraient pas avoir une autre chance de mener la partie, mais John encore énervé par le fait que James soit toujours en vie et que son neveu Sam soit entre leurs mains ne compte pas abandonner de sitôt. Il tenait à les encourager, afin de remettre les troupes sur les rails.
     
     (encourageant les troupes) : "Vous croyez que l'on serait des Summers, fiers que nous sommes si nous laissons les Benett et tous leurs amis s'en sortir de la sorte ? 
     
     (défaitiste) : Regarde-moi. On pensait avoir tué James pour de bon, et voilà qu'il réussit à sauver tout le monde. Tu comprends quelque chose toi ? 
     
     
     (la rassurant) : Parce que quelqu'un l'a aidé, qu'il a sauté, mais tu sais, les personnes qui aident, ne sont pas toujours là, bien au contraire. Il faut le mettre dans une sacrée position. 
     
     (agacé) : Tu vois John, je pensais avoir mis Jason dans une salle position et il tient debout. Ca m'énerve de voir ses Benett pratiquement invincibles. 
     
     (ayant une idée de génie) : Nous sommes en forme, pleine de vie, sans être blessé, n'est-ce pas ? 
     
     (curieuse) : Oui, mais où veux-tu en venir Papa exactement ? 
     
     
     (curieux) : Tu m'intrigues frérot, et copieux. 
     
     (calme) : Regardez de leur côté. Ils ont une femme enceinte prête à mettre au monde son bébé, un blessé, et des incapables qui n'ont pas l'habitude du terrain. Il est temps de diviser pour mieux règner et de se répartir les tâches pour mieux les piéger. 
     
     (sceptique) : C'est bien beau tout ça, mais à trois, cela ne suffira pas. 
     
     (déterminée) : Il faut que l'on retrouve Papy et le plus vite sera le mieux. 
     
     
     (sceptique) : Il doit penser à sa propre vengeance. 
     
     (insistante) : Je sais, mais là, c'est plus important, bien plus important. On doit se faire justice, et il ne faut pas faire de quartier. 
     
     
     (calme) : Cherchons-le. 
     
     
     : A défaut, je pense qu'il doit être à la maison. 
     
     
     : Tu as raison. 
     
     (encourageant la troupe) : On devrait penser au plan. Et à mon avis, faisons en sorte que la plus faible soit loin du reste de la troupe. 
     
     (se frottant déjà les mains) : Laisse-moi faire Papa. 
     
     
     (curieux) : Tu sauras gardé ton calme ? 
     
     (le rassurant) : Ne t'inquiète pas. 
     
     
     : Et si on rentrait pour retrouver Papa et discuter de la suite ? 
     
     (souriant) : Partons pour le plus vite possible alors. 
     
     : Oh oui."
     
     
    Les Summers partaient retrouver le plus vite possible le patriarche. Pendant ce temps, le groupe se regardait et commençait à s'éloigner du lieu du malheur. Après tout, même s'ils avaient vécu une sacrée épreuve, Sarah avait été tuée. Jessica allait appeler la police pour signaler le meurtre de Sarah, mais elle éclatait en sanglots, n'y arrivant pas. Dick venait vers elle, et la prenait dans ses bras. 
     
     (désirant la réconforter) : "Je sais que c'est difficile, mais ne t'inquiète pas ma puce, je suis là. 
     
     (souriant légèrement) : Tu es un ange mais c'est si dur ce qui se passe. Je pensais appeler pour Sarah, mais rien que ça, je craque. 
     
     (l'embrassant sur la joue et sur le coin de ses lèvres tendrement) : Ne t'inquiète pas. Je suis là, et je ne bougerais pas. Je te protègerais comme personne. Je t'aime plus que tout au monde, tu le sais. 
     
     (heureuse et émue) : Je t'aime aussi mon amour, tu es tout pour moi. 
     
     (la rassurant) : Et bientôt, tout va s'arranger. On va s'en sortir. 
     
     (curieuse) : Vraiment ? 
     
     (souriant) : Bien sûr, et après, on pourra faire tout ce que l'on veut toi et moi. 
     
     (coquine en caressant le bas de son corps avec sa jambe et titillant les lèvres de celui qu'elle désirait) : Oh, tu m'inspires déjà. Faut qu'on rentre, et je te montrerais tout ce dont tu rêves et plus encore. 
     
     (affichant un grand sourire) : Oh oui, et bon les autres, c'est quand qu'on rentre ? 
     
     (heureuse) : On va bientôt y aller."
     
    Le couple allait vers le véhicule en premier, attendant les autres. Shawn au loin, avait vu sa soeur Jessica si angoissé. Il était inquiet, et laissant Dick s'occuper d'elle, il préférait voir comment se préparer pour la suite en s'adressant à Jason et James. 
     
     (curieux) : "Oh, messieurs, il faudrait discuter tous les trois. 
     
     (curieux) : A propos de quoi ? 
     
     (connaissant bien le sujet) : J'imagine que c'est à propos des Summers. 
     
     : C'est exactement ça. 
     
     (curieux) : Et que souhaites-tu savoir ? 
     
     (curieux) : Quand vous vous occupez des Summers tous les deux ? Car je souhaite me joindre à vous. 
     
     (essayant de le faire douter) : Mais qui te dis que l'on va s'en occuper ? 
     
     (insistant) : Surtout dans l'état de mon frère. 
     
     : Je vous connais tous les deux. 
     
     : On y songe. Mais on va le faire dès que l'on ramènerait tout le monde. 
     
     (curieux) : On discutera après ? 
     
     : Bien sûr."
     
    Qu'avait en réserve les Bennet ? Là, c'était toute la question. Seulement, ils étaient interrompus par le regard de Logan qui traduisait bien qu'il ne fallait plus de secrets. Quand il se tournait un peu trop violemment, il laissait échapper un "aie". Il essayait de se contenir de nouveau mais c'était trop tard, Veronica avait bien vu qu'il souffrait. 
     
     (déterminée et inquiète) : "Tu souffres alors on va à l'hôpital que tu le veuilles ou non, t'as compris ? 
     
     (essayant de la taquiner légèrement) : Mais je ne suis pas un bébé. 
     
     (tapant sur l'épaule puis sur son torse) : Si d'abord et t'as intérêt à me faire plaisir et sans discuter. Tu ne veux pas que je gueule hein ? 
     
     (résigné et faisant aie) : D'accord. 
     
     (le regardant malicieusement) : Tiens, tu vois, t'as intérêt à te ménager, et moi je serais ta gentille infirmière. 
     
     (le regardant avec envie) : Tu mettrais cette jolie tenue que j'aurais plaisir à t'enlever ? 
     
     (lui faisant un clin d'oeil) : Si tu es sage d'abord."
     
    Soudain, Veronica ressentait de vives contractions qu'elle se tordait de douleur. Logan en était tout ravi, mais commençait à paniquer, sentant que ça y est, il allait devenir père. Veronica le recadrait comme il se dot, pinçant bien fort son compagnon, afin de le faire redescendre sur terre qu'il prendrait les choses en main. 
     
     (déterminée) : "Tu as intérêt à te remuer et à ce que j'arrive à l'hôpital et illico."
     
     : D'accord. Allez, tout le monde, on y va ! 
     
     (tapant sur l'épaule de son frère) : Alors, tu te fais commander par ta femme ? 
     
     (vexée) : Hey, c'est qu'elle est là ! 
     
     (gêné) : Oops. 
     
     (calme) : C'est que Veronica sait bien commander. 
     
     (les recadrant) : Franchement, qu'est-ce vous ferez sans moi ?"
     
    Elle faisait un clin d'oeil aux trois puis regardait Shawn de manière déterminée afin qu'il se mette au volant. Ils prenaient vite la route en direction de l'hôpital. Sur le chemin, Shawn pensait à ce que les Benett feraient lorsqu'ils arriveraient là-bas. 
     
     (curieux) : "James, Jason, qu'allez-vous faire avec Sam ? 
     
     (calme) : On s'éclipsera discrètement, tout en faisant en sorte que quelqu'un voit la blessure de Jason. 
     
     : D'accord."
     
    Shawn accélérait le mouvement de telle sorte à ce qu'ils arrivent vite fait à l'hôpital. De son côté, Jack qui était sorti de sa récente confrontation avait préféré retourner chez lui, histoire de faire le point. Le kidnappeur l'avait mis devant un choix. Il espérait ne pas avoir laissé une opportunité aussi fabuleuse lui filer entre les doigts de se venger de Keith Mars. A ses pensées, finalement, en arrivant chez lui, il laissait éclater sa rage et cassait un vase  contre un tableau représentant toute la famille, à l'époque du bonheur, avant que toutes les femmes ne soient plus de ce monde. Soudain, il entendait du bruit. Il sortait son arme, prêt à dégainer si jamais c'était le kidnappeur quand soudain, il se trouvait face à John, Adam et Peyton. Il rangeait son arme, prenant les trois contre lui et leur faisant un gros câlin. John était plutôt curieux, et comptait bien savoir si sa croisade s'était bien terminée afin de lui demander de l'aide. 
     
     (à l'écoute) : "Papa, tu ne sais pas à quel point je suis heureux de te revoir, nous sommes tous heureux de te revoir. 
     
     (souriant même si au fond, il était encore secoué par sa rencontre avec Keith et l'affrontement avec le kidnappeur) : Moi aussi fiston, je suis heureux. 
     
     (curieux) : Papa, tu te rappelles de notre discussion avant que tu ne partes ? 
     
     (calme) : Oui. 
     
     (curieux) : Tu as pu t'en sortir ? 
     
     (calme) : J'ai affronté Keith, mais il n'est pas encore mort. Je l'ai bien traqué pour qu'il me craigne maintenant. Seulement une chose m'inquiète. 
     
     (curieux) : Quoi Papa ? 
     
     : Quelqu'un nous veut du mal, et ce serait quelqu'un de proche. 
     
     (triste) : Tu as raison Papa, car ma fille est morte. 
     
     (compatissant) : Oh, je suis désolé. 
     
     : Il faut nous venger. 
     
     : Je sais, et c'est pour cela que je vous rejoins. On fait cause commune, en famille."
     
    Jack était déstabilisé en voyant son fils aussi meurtri. Il se rendait bien compte que son ainé était en train de lui ressembler, et au lieu de le laisser avec sa haine, il préférait l'aider et aider la famille à ce qu'enfin justice soit faite. Jack sortait de sa stupeur en voyant Adam qui semblait avoir une belle idée.
     
      (curieux) : "Ca me manquait fiston de voir ton air lumineux. Tu as une idée en tête ? 
     
     (calme) : Je suis si heureux de te retrouver Papa, et tu n'imagines pas à quel point. Avec toi, on sent que la famille est soudé. 
     
     (curieux) : Ton frère n'a pas été à la hauteur ? 
     
     (vexé) : Hey ! 
     
     (rassurant son frère) : Tu as été à la hauteur frangin. 
     
     (souriant) : Merci. 
     
     (souriant) : Je suis rassuré, et donc, dis-moi quelle est ton idée ? 
     
     (calme) : On a prévu de s'attaquer à la plus fragile, mais quand par contre, ça va être dur. 
     
     (satisfait) : Oh fiston, j'ai une solution, et on va les attaquer tous en même temps. Je sais à qui tu penses, Veronica Mars. Elle ne pourra qu'aller à l'hôpital, et tous nos ennemis seront réunis là-bas.
     
     : J'ai prévu de m'occuper d'elle. 
     
     (souriant) : Tu sais ce qu'il faudra faire. 
     
     (se frottant les mains) : Bien sûr. Et je ferais attention. 
     
     (satisfait) : Parfait. Alors, toi Adam, qu'as-tu prévu de faire ? 
     
     : Prendre ma revanche sur Jason. 
     
     (curieux) : Comment ça ? 
     
     (calme) : Je lui ai tiré dessus. 
     
     (souriant) : Oh, tu fais fort. 
     
     : Malheureusement, je n'avais pas réussi à l'abattre, mais disons-le je ne referais pas la même erreur. 
     
     (prévoyant) : Fais attention, on sera à l'hôpital. 
     
     (le rassurant) : On neutralisera les gêneurs. 
     
     (souriant) : Parfait, mais reste le plus important Keith et James. 
     
     (se frottant les mains) : Je me chargerais de James et cette fois-ci, il n'aura pas l'occasion de revenir d'entre les morts, car il sera mort et pour de bon. 
     
     (curieux) : J'ai l'impression que toi, tu ne garderas pas ton calme, et que tu agiras impulsivement. 
     
     (le rassurant) : Même s'il est vrai que je lui en veux, et qu'il a fait râter le fait que l'on avait tout le monde entre nos mains, je saurais rester lucide pour l'abattre et rendre justice à Jessica. 
     
     (souriant) : Votre soeur serait très fière de nous, sachant que l'on défend notre famille jusqu'au bout. 
     
     (curieux) : Et pour Sam, que fait-on ? 
     
     (déterminé) : On le récupère d'une manière ou d'une autre. Il est hors de question qu'on le laisse, c'est clair ! 
     
     (souriant) : D'accord. 
     
     (curieux) : Et toi Papa ? 
     
     (se frottant les mains) : Il est temps qu'enfin je venge votre mère, et vos compagnes défuntes mes enfants. Keith mourra. 
     
     (curieux) : Tu le trouveras à l'hôpital, tu es sûr ? 
     
     (calme) : Je parie qu'avec les nombreuses frayeurs, il va se rendre là-bas et même, que le fait que sa fille accouche de son enfant, 
     
     (souriant) : Tu as pensé exactement à tout Papa. 
     
     (souriant) : Tu me connais fiston, et je suis capable de tout pour arriver à mes fins. 
     
     (content) : Tu es le meilleur. 
     
     
     : Bon, c'est pas tout ça les gars mais il faut y aller. 
     
     : Tu as raison, partons le plus vite possible."
     
    La famille Summers entière partait à l'hôpital où finalement ils auraient l'occasion de se venger et de pouvoir faire tout ce qu'ils veulent. De son côté, Keith cherchait un endroit où il pourrait se réfugier, et c'est là qu'il rencontrait une femme plutôt mystérieuse qui en le voyant si mal, décidait de l'accueillir à l'intérieur de sa demeure. Elle l'installait sur le canapé, l'allongeant et allait chercher le nécessaire. Keith en profitait alors pour prendre le téléphone qui était à côté du canapé, et appelait au poste de police. 
     
     (faible) : "Ici Keith Mars. Wallace Fennel a disparu, et il est en grand danger. Je suis non loin d'un entrepôt. Envoyez-moi une ambulance."
     
    Seulement le policier qu'il avait au téléphone lui annonçait la mauvaise nouvelle. Wallace avait été retrouvé mort. Keith raccrochait carrément abattu, ne sachant pas comment il pourrait annoncer à sa fille, qu'à cause de sa recherche sur Sarah et le fait que Wallace était là pour le protéger d'une confrontation avec Jack. Keith se sentait terriblement coupable. A cause de son passé, tout le monde était affecté. Finalement, il s'était bien rendu compte que de ne pas parler de son passé avait causé des répercussions irréversibles. Il se laissait aller, pleurant la disparition de Wallace, et craignant de perdre sa fille à cause de cela. Pendant ce temps, Shawn réussit à conduit tout le monde à l'hôpital. Logan descendait, faisant signe à des ambulanciers de venir. Il leur faisait signe de prendre sa femme enceinte Veronica qui n'hésitait à prendre fortement son bras, car elle sentait de nouveau des contractions et bien poussés. Logan venait immédiatement avec Veronica. Ils allaient dans la salle d'accouchement. Jason, James, Sam, Shawn, Dick et Jessica étaient bien plus tranquilles. Seulement, comme il y avait des policiers dans les parages, ils se cachèrent très vite. James et Jason se regardèrent. Voyant l'insistance de James, Jason savait qu'il devait montrer l'état de sa blessure provoquée par Adam lorsqu'il lui avait tiré dessus. 
     
     (n'aimant pas le regard insistant) : "Tu exagères James. 
     
     (souriant) : Que veux-tu, je suis incorrigible. 
     
     (curieux) : Tu crois que l'on réussira à prendre un médecin qui pourra voir ma blessure sans prévenir qui que ce soit ? 
     
     (le rassurant) : Je te rappelle qu'il y a toujours un moyen. 
     
     (rassuré) : Je sais bien, mais il ne faut pas faire n'importe quoi non plus. 
     
     (souriant) : Tu me connais. 
     
     (insistant) : Justement tiens. 
     
     (ayant une idée) : Mais peut-être que l'on peut se faire aider ?"
     
    James regardait Shawn qui pouvait être la personne idéale pour cette mission. Jason n'était pas convaincu mais il était curieux de connaître le plan de son frère. Shawn se sentait visé et se posait énormément de questions. 
     
     (suspicieux) : "Qu'est-ce que vous avez prévu en réserve les gars ? 
     
     (calme) : T'es agent du FBI vieux, tu pourras facilement faire venir jusqu'à nous un médecin. 
     
     (répliquant) : Et toi alors ou ton frère ? 
     
     (réaliste) : Pour mon frère, sachant déjà ce qu'il a vécu et son passif, ça va être dur. Pour moi, je ne sais pas. 
     
     (l'encourageant) : Tu pourras embobiner quelqu'un, afin que tu ne sois pas dénoncé. 
     
     
     (intervenant) : Et si ça ne marche pas, Jason sera poursuivi puis arrêté et les Summers auraient gagné. On ne doit pas prendre de risque cette fois-ci. 
     
     (intervenant) : Ah mon dieu, quand ses messieurs se disputent c'est navrant. 
     
     (vexé) : Hey, ma soeur, t'exagère. 
     
     (réaliste) : Faut bien que quelqu'un intervienne pour essayer de remettre les choses à leur place et on ne doit plus prendre de risque, car ça suffit d'avoir perdu des personnes autour de nous. 
     
     (se montrant compréhensif) : Je comprends
     
     (curieux) : Tu aurais une idée ? 
     
     
     (calme) : C'est à moi de faire venir un médecin. Ainsi Jason montrera sa blessure sans crainte. 
     
     (craintif) : Mais je ne veux pas t'exposer en danger tu sais. 
     
     (le rassurant) : Ca va aller, je suis grande et je suis exposé au danger que je le veuille ou non. 
     
     (inquiet) : Je ne sais pas ce que tu veux faire, mais je n'aime pas d'avance. 
     
     (le rassurant) : Mon amour, je ne comptais pas aller là-bas sans me savoir protégé par le plus beau. 
     
     (curieux) : Oh, je serais ton garde du corps ? 
     
     (calme) : Tu ne seras pas loin mon ange. J'aurais tout le courage nécessaire pour faire venir un médecin auprès de Jason. 
     
     (souriant) : Tu es un amour."
     
    Le couple s'embrassait passionnément. Ainsi, le plan était bien établi. James regardait les deux, plutôt reconnaissant de ce qu'ils allaient faire. 
     
     (souriant) : "Merci à vous deux pour ce que vous allez faire. 
     
     (calme) : C'est normal, et Sam mérite ce qu'il y a de mieux. 
     
     : Il va faire des ravages ce petit. 
     
     (en regardant son fils) : C'est vrai, et je suis si fier de lui. Je suis si heureux de l'avoir dans ma vie, et je l'aime très fort."
     
    Son fils lui souriait, et lorsque James entendait de la bouche de son fiston qu'il l'aimait aussi, il souriait grandement. Il affichait à quel point son rôle de père était important pour lui, mais il pensait aussi à son rôle de frère et aussi un garant de la justice. Il avait fait beaucoup d'erreurs, mais il n'allait laisser personne lui enlever ce qu'il avait de plus cher. Jessica et Dick partaient à l'intérieur de l'hôpital. Shawn se souvenait que les frères voulaient intervenir seuls contre les Summers, et là, comme personne n'était là, hormis Sam, il comptait bien avoir la vérité de la bouche des frères Bennett. 
     
     (curieux) : "Bon, les gars on est seuls, alors je souhaite savoir ce que vous avez en tête, et le plus vite possible. 
     
     (offusqué) : De suite, tu poses la question, mais tu es culotté. 
     
     (sentant une future tension qu'il préfère vite calmer le jeu) : Les gars, on doit être calme. Il est vrai que l'on pense aux Summers, et comme on est à l'hôpital, ça va être compliqué. 
     
     (curieux) : Pour un plan ? 
     
     (calme) : Oui. 
     
     (calme) : Il faut quelqu'un en première ligne de mire, et ce sera dangereux, tout dépend de l'ennemi et du nombre qu'il y aura en face. 
     
     : Exactement. 
     
     : Et puis, il faut protéger Sam. 
     
     : Oui, alors ce sera moi qui sera en première ligne. Je me ferais soigner, et ils le sauront vite faire qu'ils viendront mais ils ne s'attendront pas à ce que je les reçoive. 
     
     (inquiet) : Tu ne vas quand même pas faire cela tout seul ? 
     
     : Tu sais, déjà, je dois protéger mon fils, alors il ne reste pas grand monde. 
     
     (rendant service) : Je te protègerais Jason. 
     
     : Tu es sûr ? 
     
     : Oui, et surtout ne discute pas. La dernière fois, Adam t'a touché, et je compte tout faire pour cette fois-ci, tu n'ais rien. 
     
     (résigné) : D'accord, alors on attend que Jessica réussisse à avoir un médecin, et on mettra le plan en route."
     
    Ils attendaient le moment où Jessica amènerait un médecin pour Jason. De son côté, Keith était chez cette femme mystérieuse qui avait accepté de l'héberger et de prendre soin de lui. Elle n'était pour l'instant pas revenue et Keith se posait des questions. Keith appelait sa fille Veronica au téléphone pour convenir de la voir. Seulement, il tombait sur la messagerie. Il se demandait où était sa fille et surtout ce qu'elle faisait, si elle était au courant pour Wallace et craignait que les Summers s'en soient pris à elle. Il essayait quand même de se lever, même si c'était difficile. Il y arrivait et se promenait dans la demeure pour voir ce qui se passait. Soudain, il se retrouvait face à un individu et il était au-dessus d'un corps. Keith était prêt à l'attraper mais l'inconnu le stoppait en remuant son index, et il appelait un numéro de téléphone. Lorsqu'il parlait, c'était pour prévenir qu'un homme s'était introduit dans la maison, donnant l'adresse et faisait la description de Keith Mars en tant que meurtrier. Notre détective impuissant ne pouvait rien faire, si c'était finalement de fuir. Lorsqu'il avait terminé, Keith essayait d'arrêter ce tueur qui lui avait causé tant de misères mais rien à faire. Keith partait le plus vite possible avant que la police n'arrive. Allait-il pouvoir s'en sortir ? Pendant ce temps, Jessica arrivait à l'accueil alors que Dick se cachait soigneusement pour vérifier que le tout se passe bien. Elle repérait qui pourrait garder un tel secret sur le fait que Jason fuyait depuis un moment, et là, elle repérait un bon pigeon. Elle s'approchait, faisant mine d'être désorientée pour attiser sa sympathie qu'il pourrait réaliser toutes ses volontés. Le médecin la remarquait qu'il venait vers elle.
     
     (jouant de son regard angélique) : "Excusez-moi, mais j'ai besoin d'aide. J'ai si mal à la tête, vous pouvez m'examiner ?"
     
    Le médecin était ensorcelé par la belle qu'il acceptait et là, Jessica faisait signe aux hommes de rentrer. Ils le faisaient discrètement et ensemble, ils allaient à la salle de consultation. En remarquant que ce n'était pas pour la jeune femme, le médecin se rendait compte qu'il était piégé. Il allait tout faire pour dénoncer cette mascarade mais Jason le stoppait vite fait. 
     
     (déterminé) : "Si vous ne voulez pas avoir des problèmes notamment en ayant voulu soigner une personne comme cette demoiselle en bonne santé, je vous conseille fortement de vous taire très cher et de faire le nécessaire."
     
    Le médecin n'avait finalement pas le choix. Alors, Dick, Jessica, James et Sam sortaient de la salle, laissant Jason avec le médecin qui regardait sa blessure et le soignait. Pendant ce temps, Logan se faisait examiner sa blessure alors qu'il tenait la main de sa belle qui avait de plus en plus de contractions. Elles étaient rapprochées. Logan criait en même temps que Veronica lui serrait la main. La sage-femme lui disait de pousser, de pousser encore. Veronica ne lâchait rien et continuait. Il y avait autour deux infirmières. Veronica poussait encore et encore. Logan posait sa main sur l'épaule de son épouse, étant heureux de ce qui se passe. Le travail continuait, quand soudain, le bébé pleurait. Il était venu au monde. C'était un petit garçon. La sage-femme annonçait le sexe du bébé aux époux qui étaient enchantés. L'infirmière nettoyait le petit, le plaçant dans un petit lit, mais au lieu de l'amener vers les futurs époux, elle commençait à partir. La sage-femme venait pour essayer d'identifier l'infirmière qui se tournait et on voyait que c'était Peyton. Veronica et Logan étaient stupéfaits. Peyton prenait le bébé et partait. Logan courrait vers elle. Veronica était carrément anéantie. 
     
     (pleurant) : "Arrêtez-là, et ramenez mon bébé. Ramenez mon fils !"
     
     
     
     
    Fin du chapitre.

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  • Chapitre 20 Au nom de mon fils 1
     

    Dick, Shawn, Jessica, James avec Sam attendaient depuis quand même un certain temps que Jason ait terminé avec le médecin. Seulement la menace des Summers planait sur leur tête, et le petit Sam devait être protégé coûte que coûte. Il était temps pour le petit groupe de se séparer, enfin que Dick et Jessica se protègent et que James prenne soin de son fils.

     

    (prenant son courage à deux mains) : « On doit jouer notre rôle chacun de notre côté.

     

    (inquiète) : Je ne suis pas rassurée pour autant. Je ne veux pas qu'il arrive quoi que ce soit à aucun d'entre vous.

     

    (prenant sa soeur dans ses bras pour la réconforter) : Ne t'inquiète pas, on réussira à s'en sortir, mais par contre, toi, tu devras faire une chose.

     

    (curieuse) : Laquelle ?

     

    : Faut trouver quelqu'un de non corrompu par la justice et qui pourra mettre les Summers derrière les barreaux pour un paquet d'années.

     

    (inquiète) : Je sais que cela ne doit pas être facile pour toi de dire cela.

     

    (se confiant) : Je t'avoue que c'est dur, que je me suis dit que Peyton était exceptionnelle mais malheureusement elle a choisi sa famille et de nous faire du mal. Je l'aime encore, mais je ne peux cautionner qu'elle fasse des choses horribles.

     

    (curieuse) : Pourtant tu as accepté ce qu'a fait James et Jason ?

     

    (se confiant) : J'ai toujours été réticent, mais ils font partie de ma famille avant tout et je préfère les soutenir. Leur souhait est simplement louable : vouloir le meilleur. La différence avec les Summers est tout autre : ils veulent la destruction.

     

    (intervenant) : C'est vrai que l'on ne se connait pas trop Shawn mais je te remercie pour tes mots. Je pensais être mauvais, mais finalement, ce n'est pas le cas.

     

    (le rassurant) : On sait que toi et les tiens, vous êtes des personnes bien.

     

    (souriant) : C'est plus que gentil, merci.

     

    : Alors je vais partir avec Dick trouver une personne intègre.

     

    : J'espère que tu vas y arriver.

     

    (le rassurant) : Ca va aller et puis je ne suis pas seule. Il y aura mon homme avec moi.

     

    (heureux) : Oh, j'aime quand tu m'appelles ainsi. Ca me donne de merveilleuses idées si tu vois ce que je veux dire.

     

    (souriant) : Oh, mais les idées ne se concrétiseront pas. On doit accomplir notre devoir.

     

    (déçu) : D'accord. »

     

    Dick était déçu par ce que Jessica lui avait dit mais il essayait de ravaler sa fierté. Après tout il y avait bien plus en jeu à cet instant. Par contre, il souhaitait parler après à Jessica pour s'expliquer. Y aura-t-il une dispute ou bien une vive explication ? Jessica s'empressait de faire un câlin à son frère partant ensuite avec Dick loin de l'hôpital. Ce lieu risquait d'être un affrontement sans précédent. Shawn, en proposant à sa s?ur de prévenir quelqu'un de non corrompu, désirait simplement protéger sa soeur. Il ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose. James sortait Shawn de ses pensées en posant sa main sur son épaule.

     

    : « Nous devons aussi nous y mettre Shawn.

     

    (calme) : C'est vrai. Faites attention Sam et toi. Les Summers sont plus qu'impitoyables maintenant.

     

    : Je sais. Ne t'inquiète pas pour nous.

     

    : Tu sais c'est normal si je fais cela.

     

    (reconnaissant) : Merci à toi, mais maintenant on doit se mettre au travail. Reste ici, attends de voir ce qui se passe avec Jason et protège-le.

     

    : Tu peux compter sur moi. »

     

    James s'éloignait avec son petit garçon laissant Shawn en tant que garde du corps. Pendant ce temps, Jason était soigné par le médecin. C'était assez douloureux mais il cachait sa douleur en attendant que ça passe. Le médecin terminait rapidement et laissait Jason se rhabiller. Soudain le silence pesait sur la salle d'examens. Jason ne remarquait rien sur le moment. Il regardait un peu partout, et là, il voyait le médecin carrément à terre et inconscient. Jason se précipitait vers celui qui l'avait aidé et en prenant son pouls, il se rendait compte que celui-ci était mort. Soudain, il entendait un petit clic, un qu'il connaissait si bien. C'était celui d'une arme à feu. Alors il se tournait vers le bruit et il remarquait son ennemi : Adam. C'était celui qui lui avait tiré dessus alors qu'il tentait de fuir avec son neveu. Dès lors, Jason allait se précipiter sur Adam, mais celui-ci se montrait bien menaçant que le deuxième des Bennet se stoppait. Jason jouera le provocateur pour désorienter Adam suffisamment longtemps qu'il pourra user de sa parade sur lui et enfin l'arrêter. Le plan de l'appât avait bien fonctionné. Cependant il avait pensé voir toute la famille et non seulement le deuxième des Summers.

     

    (jouant sur la provocation pour voir jusqu'où ira son adversaire) : « Je ne négocie jamais avec les terroristes dans ton genre connard !

     

    (gardant son calme) : Terroriste moi ? Qui est un hors la loi de nous deux hein ?

     

    (continuant la provocation pour le titiller) : Seulement moi j'ai la liberté de faire ce que je veux et te botter le cul comme ça me chante. Tu as la loi derrière toi. Sauras-tu la franchir en me tuant dans cet endroit et en public ? Tu n'es qu'un lâche, une femmelette. Comment dire, tu n'es pas capable de garder une femme ou de garder quelqu'un avec toi. Tu n'es qu'une merde que je peux écraser en un claquement de doigts.

     

    (énervé) : Et toi, qui n'est pas capable de garder ne serait-ce qu'un frère en vie, ou même un neveu. Car crois-moi, on va récupérer Sam, et James mourra. Tu ne pourras l'en empêcher. Oh, pardon, j'ajoute aussi que Logan et Veronica seront également morts. Alors que tu sois ici avec moi est un cadeau à mes yeux, car j'aurai la chance d'écraser ta face de rat une bonne fois pour toute. Je ne t'ai pas tué la première fois, mais cette fois-ci je t'aurai une bonne fois pour toute.

     

    (le provoquant davantage pour voir son action) : Alors pour que tu me l'écrases avec tes mains de gonzesse, essaye de m'attraper pour voir.

     

    (énervé) : Cela en est fini de toi Jason. Prépare-toi à crever ! »

     

    Jason s'approchait lui collant un bon coup de poing qui désorientait sa cible et partait. Là, il trouvait Shawn à terre. Il avait dû être surpris par Adam. Il lui donnait de bonnes gifles pour le réveiller.

     

    (pressé) : « La belle au bois dormant, on se réveille ! Allez plus vite que ça gros béta !

     

    (faible) : Quoi ? Qu'est-ce que c'est ?

     

    (pressé) : C'est moi, arrête de parler et courrons dans un endroit tranquille. C'est qu'on a un connard aux fesses. »

     

    Jason relevait Shawn et ensemble ils s'éloignaient alors qu'Adam venait vers eux. Il tirait sans sommation dans le couloir. Jason faisait signe à toutes les personnes de se baisser. Les gens courraient partout. Adam était bien énervé qu'il continuait à tirer. Jason et Shawn évitaient les balles. La course-poursuite les menait à un endroit de l'hôpital plutôt désert car en travaux. Ils se stoppaient nets. Qu'allaient-ils arriver entre les trois ? De son côté, Veronica était inconsolable. Jamais elle n'avait imaginé qu'une telle chose puisse se produire. Elle voulait se lever, elle voulait tout faire pour retrouver son enfant et se venger de Peyton. La sage-femme donnait un sédatif à la jeune mère pour la calmer et a donné l'alerte pour retrouver l'enfant au plus vite. La sécurité était en alerte. Au niveau des urgences, ayant entendu ce qui s'était passé dans le couloir et ne pouvant pas décrire ce qu'était le bruit, c'était la panique totale. Les patients étaient dans tous leurs états et les médecins étaient débordés. Cependant, l'un d'entre eux menait mieux les choses. Il était volontaire, organisant bien les choses. Il s'appelait Michael Evan Watkins. Il était un médecin urgentiste travaillant pour aider les autres car cela lui permettait de mieux cacher sa vulnérabilité et les blessures du passé. Il était arrivé en ville depuis moins d'une semaine pour éviter de penser au passé. Il habitait à New York, une ville plutôt animée. Il était heureux auprès de sa femme et de son petit garçon jusqu'à ce qu'un soir, alors que la petite famille allait sortir, un chauffard avait écrasé sa femme et son fils sous ses yeux. Sa famille lui donnait la force de ne plus être renfermé envers les autres et de se sentir en confiance. Leur mort avait été comme un coup de poignard qu'il était devenu bien méfiant. Il ne voulait plus souffrir. Il avait décidé de fuir la ville pour se réfugier à Neptune et oublier le passé en se réfugiant dans le travail. Il était occupé avec une patiente qui venait pour une consultation. Elle était plutôt belle, magnifique et avec des courbes à faire palir n'importe quel homme. Ce qu'elle ressentait depuis un certain temps, c'était de douloureuses migraines, celles qui handicapaient sérieusement. Elle se prénommait Bianca Elena Hamilton, et elle était célèbre dans l'industrie du textile. On disait souvent d'elle qu'elle était une femme décidée et qui savait ce qu'elle voulait. Elle était veuve depuis récemment. Son mari était décédé selon les conclusions des médecins à une vilaine crise cardiaque, mais certains doutaient de cette version. Etait-elle une criminelle ou bien était-elle une femme qui était la victime de vilaines rumeurs ? C'était la grande question. Le mystère entourait cette jeune femme. Lorsque son mari était décédé, Michael était auprès d'elle, à apporter un certain réconfort et elle désirait davantage, voulant des attentions et le croquer. Elle voulait posséder ce bellâtre. Elle usera de sa position de veuve pour l'attirer vers elle tout en usant d'attentions subtiles et en se montrant charmante. Ainsi, elle lui fera une proposition qu'il ne pourra qu'accepter et elle le croquera. Michael commençait sa consultation, essayant de manipuler la tête de sa patiente. Elle le regardait avec une telle douceur et une telle perversité pour le faire fondre. Il se sentait attirer par elle, mais préférait refréner ses sentiments pour rester lucide. Cependant en compagnie de cette très belle femme, ce n'était pas facile.

     

    (jouant la gênée et effleurant timidement la main de son médecin pour l'attendrir) : « Je ne sais pas ce que j'aurai fait sans vous. C'est que ses douleurs sont tellement insupportables. J'ai si peur.

     

    (déstabilisé et se montrant rassurant) : Ne vous en faites pas. Je ferai en sorte que vous guérissez et au plus vite.

     

    (laissant une larme couler, remontant lentement sa main à hauteur de son bras et de son épaule, se montrant reconnaissante et le valorisant pour l'émouvoir qu'il désirera la protéger) : Je vous suis plus que reconnaissante bel ange de tout ce que vous faites pour moi. Je me sens en sécurité, rassurée. C'est rare de voir quelqu'un d'aussi charmant, d'aussi attentionnée et en même temps si prévenant.

     

    (gêné) : Je ne sais pas quoi dire par autant de compliments. Venant d'une femme aussi belle et divine que vous, c'est même un honneur. Vous êtes la quintessence de la beauté féminine. Et vous savez, je suis ravie de pouvoir vous aider. Que vous soyez aussi mal est un crime.

     

    (jouant la touchée effleurant subtilement son épaule, son cou puis sa joue en se mordillant la lèvre pour le troubler) : Jamais on n'a pris soin de moi comme vous le faîtes. Ses compliments me touchent tellement. C'est que j'en reçois si peu à croire que je ne les mérite pas.

     

    (déstabilisé et troublé) : Vous devez en entendre plus souvent. C'est une telle injustice que je me chargerai de vous en donner bien plus souvent. Vous êtes d'une beauté à couper le souffle.

     

    (effleurant le haut de son torse, glissant tout doucement ses doigts sous sa chemise et donnant un baiser subtil et pervers sur sa joue pour le faire frémir qu'il la désirera) : J'aimerai vous inviter après à prendre un verre avec moi.

     

    (charmé mais essayant de résister ne voulant pas transgresser le lien médecin/patient) : Mais cela ne serait pas déontologique vous le savez ?

     

    (s'approchant en laissant son souffle agir sur son cou, effleurant ses lèvres avec son index, se le mordillant coquinement et effleurant le haut de sa jambe furtivement tout en lui faisant un clin d'oeil pour l'apâter) : Ne me dites pas qu'enfreindre les règles ne vous a pas effleuré une fois et je parie que vous en rêvez de suite. Laissez-vous tenter et je vous promets un moment agréable loin de tout ceci. C'est que j'aimerai oublier ses maux de tête en charmante compagnie et vous l'êtes.

     

    (se laissant influencer) : Je serai ravi de prendre ce verre avec vous mais dès que vous aurez passé vos examens à savoir une IRM d'accord ?

     

    (souriant légèrement mais cachant quand même sa grande satisfaction et jouant l'effrayée pour attiser son côté protecteur qu'il prendra soin d'elle) : Alors je vous suis. Mais rassurez-moi, c'est sans danger ? »

    (se montrant rassurant et gentil) : Rassurez-vous, vus ne risquez rien.

     

    (souriant timidement effleurant lentement le coin de ses lèvres puis son dos pour éveiller un tel désir qu'il ne pourra pas résister) : Je viens avec vous de ce pas.

     

     

    Michael la guidait vers le fauteuil et l'emmenait vers la salle d'IRM. Il pensait ne jamais ressentir une attirance pour une autre femme depuis la mort de sa bien-aimée, mais il ne pouvait expliquer pourquoi sa patiente l'attirait autant. Bianca avait réussi la première phase avec sa proposition, et comme elle allait se retrouver seule avec lui, elle lui sortira le grand jeu se montrant de plus en plus entreprenante et jouant de son corps, en l'amenant à jouer avec les interdits pour le piéger qu'il ne pourra pas s'en sortir. Qu'allaient-ils arriver entre eux ? Quelques instants après leur départ, John arrivait à l'entrée de l'hôpital. Deux policiers étaient en patrouille suite au bruit qui était entendu dans le couloir. Doucement, celui-ci déterminé frappait le premier et tirait sur le deuxième qui comptait l'abattre. Il continuait son chemin, arrivant aux urgences et c'était à cet instant qu'il voyait en face James, celui qu'il détestait par-dessus tout et son neveu Sam juste à ses côtés. Dès lors, il avait une idée, une qui lui permettait d'emprisonner ses ennemis dans un seul endroit. Il savait qu'Adam et Peyton étaient arrivés les premiers alors il pouvait agir, espérant que son père était dans les parages également. Il mettait l'arme en évidence criant.

     

    (déterminé) : « Vous ne bougez pas, sinon, je tire sur l'un d'entre vous compris ?

     

    (tentant d'apaiser les tensions) : Toutes ses personnes n'ont pas besoin de participer à ce qui arrive entre nos familles. Laisse-les partir, et je reste ton otage.

     

    (curieux) : Bien sûr, tu désireras que Sam parte d'ici, n'est-ce pas ?

     

    (déterminé et énervé) : C'est mon fils, alors je ne le laisserai pas entre tes griffes ni même entre les griffes d'aucun Summers. Tu as tout fait pour me séparer de ta soeur, et ensuite de mon fils en me mettant hors la loi, alors maintenant, tu peux aller chier dans ta caisse pour que tu me manipules comme tu l'as fait à l'époque. Tu ne détruiras plus ma vie connard !

     

    (le menaçant) : Oh, je pensais que tu allais faire une bonne action, comme quoi. Un innocent devra mourir par ta faute jusqu'à ce que tu cèdes, c'est ça que tu veux ?

     

    (insistant) : Je ne cèderai pas, c'est clair dans ta tête de con ?

     

    (jouant l'air supérieur) : Alors que les autres membres de ta famille sont en danger à l'heure actuelle, tu ne reconsidères pas ta position ?

     

    (fou de rage) : Je vais te tuer !

     

    (le provoquant en prenant une jeune femme en otage qui venait juste d'arriver et en pointant son arme sur elle) : Alors maintenant, tu vas tenter de le faire ?

     

    (furieux) : Espèce de lâche ! Laisse ses gens tranquille et viens m'affronter si tu es un homme, que l'on s'explique tous les deux.

     

    (le provoquant) : Je m'assure de mes arrières. Et tu vas me donner ce que je veux, compris ? »

     

    John avait une influence grandissante que James se retrouvait piéger, surtout que la jeune femme qui était en face de lui était en grand danger. Que faire dans ce genre de situation ? Céder à son chantage au point de laisser son fils avec lui aux mains d'un grand dingue ou bien laisser cette jeune femme mourir au nom de la protection de son fils ? Un otage en profitait pendant cette discussion pour donner l'alerte. C'était d'autant plus difficile quand John incitait la jeune femme à parler. 

     

    (effrayée) : « Je vous en prie, aidez-moi. »

     

    Cette jeune femme venait d'arriver dans cet hôpital dans un but bien précis : retrouver une personne qui avait été pour elle si importante à ses yeux : Michael. Elle s'appelait Isabel Caldwell et elle était la jeune soeur de Megan la défunte épouse de Michael. Pendant tout ce temps où le couple se fréquentait, Isabel était toute proche préparant son heure. D'ailleurs, elle avait commencé à se rapprocher de lui, devenant une confidente et une alliée. Elle désirait le pousser à l'adultère, lui promettant qu'elle pouvait lui apporter bien mieux que sa grande sœur. La veille du jour du décès de Megan, Isabel était passée à l'action avec un petit dîner, et ils s'étaient embrassés sur la fin. Gêné, Michael lui avait montré que cela n'ira pas plus loin, car il était fou amoureux de Megan et de son fiston. Après cette soirée, ils ne s'étaient plus jamais revus. Le lendemain, Megan et son neveu étaient décédés. Alors qu'elle allait le voir suite au décès de Megan et de son neveu Kyle, Michael avait pris la fuite. Elle avait tout de suite préparé ses bagages afin de le retrouver et finalement, grâce à une investigation poussée, elle savait qu'il était dans son hôpital. Allait-elle pouvoir s'en sortir et ensuite le croiser ? Pendant ce temps, à l'extérieur de l'hôpital, c'était la panique. Il y avait de nombreuses voitures de police, journalistes et même davantage. Parmi ses personnes, il y avait une policière qui avait pris son poste depuis peu et qui était mise sur cette prise d'otage. Elle s'appelait Eleanore Jane Davenport et elle était en poste à Los Angeles avant d'avoir été transférée à Neptune suite à son agissement des plus dangereux. En effet, celle-ci avait poursuivi contre l'avis de ses supérieurs un suspect dans un trafic de drogues important. Ses supérieurs lui avaient dit de ne pas intervenir car il n'y avait aucune preuve, mais Eleanore avait remarqué un jeune homme qui était en danger à l'époque, kidnappé par ses malfrats et elle ne voulait pas le laisser entre leurs griffes. Elle avait décidé d'intervenir. Il y avait eu un véritable carnage. Le suspect principal a été tué et elle était gravement blessée. Heureusement pour elle, son innocent était sauvé. Pendant de nombreux jours, voir semaines pour lesquelles, elle avait dû penser à se reposer. Depuis cet instant, elle n'avait jamais revu celui qu'elle avait sauvé et elle le regrettait amèrement. Cependant, cette affaire de prise d'otages la sortait de ses pensées. Il fallait trouver vite un terrain d'entente afin que les otages s'en sortent indemne. Elle appelait la ligne de l'hôpital afin d'avoir un responsable au bout du fil. Et elle tombait sur un John plutôt énervé.

     

    (énervé) : « Qu'est-ce que vous venez me faire chier maintenant ?

     

    (restant calme afin d'apaiser la situation) : Je suis l'inspecteur Eleanore Jane Davenport et je suis là pour trouver une solution à notre problème.

     

    (faisant l'innocent) : Oh, mais quel problème ?

     

    (tentant d'apaiser la situation) : Je suis là afin que les otages s'en sortent sains et saufs. Je suis là pour qu'il n'y ait aucune victime. Dites-moi, qu'est-ce que vous désirez ?

     

        (satisfait d'avoir la possibilité de faire ce qu'il veut) : Je veux une voiture, je veux un avion et un pilote m'amenant directement au Brésil avec des passagers à bord.

     

    (curieuse) : Qui souhaitez-vous amener ?

     

    (pensant mettre la police dans une situation inextricable avec un choix cornélien) : Avec des personnes qui m'accompagnent et des otages.

     

    (déterminée et insistante) : Vous savez que je ne peux vous laisser partir avec des otages. D'ailleurs à qui je parle exactement ?

     

    (connaissant la stratégie des prises otages) : Bien essayé mais vous croyez sincèrement que je vais vous donner le moyen de connaître mon passé Eleanore ? Vous vous trompez sur mon compte. Et puis garder des otages me permettra d'être en sécurité. Qui me garantit que j'atteindrai la voiture puis l'aéroport avec des compagnons de voyage hein ? Alors vous avez intérêt à faire ce que je demande sinon je tue un otage toutes les demi-heures c'est clair ?

     

    (mentant) : On va faire selon vos désirs. »   

     

    Eleanore raccrochait. Elle savait pertinemment qu'elle n'allait pas laisser cet individu arriver à ses fins, et il n'était plus question de négociations. Il fallait trouver un moyen de libérer ses personnes. Dès lors, elle recevait un appel de ses supérieurs, mais elle préférait l'ignorer. Elle allait vers ses subordonnées, sortant un plan de l'hôpital avec ses entrées. Il fallait intervenir. Allait-elle réussir sa mission ? Pendant ce temps, Peyton avait l'enfant de Veronica et de Logan dans ses bras. Elle s'enfuyait, ayant bien l'intention de l'emmener le plus loin possible de ce lieu et l'élevant comme si cet enfant était un Summers et permettant ainsi de se venger de son ennemie jurée comme personne. Alors qu'elle allait atteindre la porte de secours, elle entendait une voix qui criait. Elle se tournait et se trouvait en face de Logan, bien énervé et fou de rage. Elle s'approchait avec le petit, restant à une grande distance de lui.

     

    (surprise mais en même temps jouant la carte de la provocation pour voir où va aller son adversaire) : « Je suis surprise de voir que c'est toi.

     

    (énervé) : Tu crois que j'allais laisser mon fils dans les bras d'une connasse dans ton genre ? Tu te goures alors rends-moi mon fils et je te laisserai partir !

     

    (jouant la calme en le manipulant et en le provoquant pour lui faire perdre ses moyens) : Petit joueur que tu es. Tu penses sérieusement que ce genre de proposition va me faire revenir sur mes positions ? La stratégie, a priori, tu ignores ce que cela veut dire.

     

    (se laissant influencer) : Je ferai n'importe quoi pour sauver mon fils.

     

    (jouant l'innocente pour l'apâter) : Oh vraiment ?

     

    (énervé) : Oui, alors donne-moi mon fils et je ferai ce que tu veux pour toi.

     

     

          (au fond satisfaite mais cachée ses sentiments afin de mieux le manipuler en étant charmante qu'il se retrouvera piégé) : Ce que je veux ? Hum, intéressant très cher. Alors je te donne ton fils si tu nous laisses tes frères et mon cousin en cadeau.

     

    (déstabilisé) : Mais, je ne peux pas faire cela. Ils sont de ma famille.

     

    (insistant en jouant d'une moue pour l'amadouer) : Mais ils ne sont rien comparé à ton fils. Et puis, si tu réfléchis bien, Keith a détruit la mienne, alors il n'y a pas de raison pour que je détruise la sienne, et quoi dire d'autre à part que d'un, tu es le frère de James et de Jason et ensuite, tu es le mari de Veronica. Donc, tu fais partie du lot. Préfères-tu souffrir de la perte de tes frères et de ton neveu ou préfères-tu souffrir de la perte de ton fils ?

     

    (énervé) : Tu n'es qu'une sale garce !

     

     

    (s'approchant lentement avec le petit, jouant la parfaite grande sœur afin d'influencer sa réponse) : Regarde comme ce petit est si mignon. Alors ta décision très cher ?

     

    (résigné) : Je te déteste ! Bon, je laisse mes frangins et mon neveu. Donne-moi mon fils maintenant !

     

    (restant calme et s'avançant pour procéder à l'échange en le menaçant pour l'avoir totalement sous son contrôle qu'il ne pourra rien faire) : Alors arrive doucement près de moi, et tu l'auras. Si tu fais un geste pour tenter de m'arrêter après, je reviendrai et plus jamais tu ne reverras ton fils. Si tu préviens tes frères et ton neveu du marché, je reviendrai pour prendre ton fils. As-tu compris ?

     

    (résigné) : Oui. »

     

    Peyton s'approchait donnant l'enfant à son père et ne restait pas longtemps. Elle s'enfuyait ayant l'arme à la main pour aller rejoindre ses partenaires. Qu'allait-elle faire ? Logan de son côté, repartait avec l'enfant tranquillement pour retrouver Veronica. Il se sentait cependant coupable de ce qu'il venait de faire. Certes, c'était pour sauver cet être qu'il tenait dans ses bras et qu'il aimait plus que tout au monde, mais au fond, il sacrifiait une partie de sa famille. De leur côté, Jessica et Dick arrivaient devant une grande maison. Sur le chemin, les deux avaient pris un peu de matériel pour localiser quelqu'un pouvant les aider, quelqu'un d'intègre. Grâce à une petite recherche de Jessica, ils avaient trouvé un nom : Derek Samuel Collins. Celui-ci était connu en tant que substitut du procureur, un de ceux qui étaient régis par le district. John Summers était le requin parmi l'équipe, mais Derek lui était une de ses personnes proches des habitants et désirant à tout prix préserver Neptune des policiers corrompus, des criminels qui faisaient loin. Il habitait Neptune depuis plusieurs années. Il était marié à une jeune femme qui malheureusement a été kidnappée et dont il n'a eu qu'une demande de rançon à remettre le lendemain au parc de la ville. Dans la maison qu'il occupait, il vivait avec sa jeune soeur Mackenzie Olivia. Elle était arrivée la veille dans la demeure sans donner aucune explication à son grand frère. Elle était studieuse mais ne pouvait plus rester sur le campus. Elle étudiait les sciences humaines mais visiblement, il lui était arrivée quelque chose de grave la veille pour qu'elle reste dans un profond mutisme. Quel était cet événement ? Donc Jessica et Dick étaient devant cette demeure et descendaient de la voiture. Ils sonnaient et quelqu'un venait. Le substitut était présent.

     

    (curieux) : « Vous désirez ?

     

    (gênée) : Excusez-nous de vous déranger mais nous avons besoin de vous.

     

    (curieux) : Expliquez-moi.

     

    : C'est à propos des Summers.

     

    (surpris) : Vous m'intriguez, dites-moi tout.

     

    (effrayée) : Les Summers sont responsables de plusieurs meurtres et tentatives de meurtres à l'encontre de diverses personnes.

     

    (curieux) : Quand vous dites les Summers, vous évoquez qui exactement ?

     

    (se confiant) : Il s'agit de tous les Summers que ce soit par le père Jack, ses fils John et Adam et Peyton, la fille de John.

     

    (prenant conscience de la situation et quand même prudent) : Je vois en effet les enjeux, mais pourquoi êtes-vous venus me chercher exactement ? Et avez-vous des preuves qui incriminent les Summers dans leur globalité ? 

       (calme) : Nous en avons.

     

         (inquiet et curieux) : Vous savez que s'attaquer à une institution dans cette ville est risquée ? Et puis d'abord, qui êtes-vous ?

     

    (calme) : Je suis Jessica Davis, la soeur de Shawn Davis agent du FBI. Il a travaillé sur les récents meurtres commis en ville de même que les disparitions. D'ailleurs tous ses évènements sont liés de près à Keith Mars et à la famille Bennet.

     

    (curieux) : Jason et James Bennet ? Vous savez qu'ils sont recherchés depuis leur évasion ?

     

         (curieuse) : Mais si John Summers est condamné pour ses crimes, toutes les affaires qu'il a pu instruire seront rejugées non ?

       

     

     

    (admiratif) : Vous m'impressionnez. C'est exact. Vous êtes dans le droit ?

     

    (admirant ce bellâtre et voyant l'occasion de se rapprocher de lui avec une proposition) : Non, mais qui sait, si je ne commencerai pas des études dans cette branche. J'aimerai à ce moment-là que vous soyez mon mentor.

     

    (rougissant légèrement mais essayant de résister à cette attirance qui était en train de naître au plus profond de lui) : J'aimerai, mais vous savez, je ne suis pas aussi exceptionnel que vous devez sûrement le penser.

     

    (tentant de l'apaiser et le flattant en effleurant doucement son épaule pour l'amadouer) : Ne vous inquiétez pas, c'est à moi de juger si vous êtes exceptionnel ou non. Vous êtes si prévenant et intègre avec un visage si charmant. Vous savez que c'est rare ?

     

    (déstabilisé) : Je l'ignorai. Et je ne sais pas quoi dire avec tous ses compliments. Vous êtes si charmante, d'une telle beauté, que je serai ravi de vous aider.

     

        

    (jouant la touchée effleurant doucement son bras puis sa main pour mieux l'attendrir) : C'est gentil. Ce n'est pas souvent que l'on me fait des compliments de ce genre, je n'en ai pas l'habitude.    

     

     

    (charmé) : Alors je vous en dirai davantage. C'est une véritable injustice qu'une déesse comme vous n'en reçoive pas davantage.

     

    (intervenant furieux) : Non mais Jessica, tu n'as pas fini ton cirque ? Tu es ma gonzesse à moi !

     

    (furieuse en donnant une gifle à Dick) : Une gifle vaut mieux que tous les mots connard ! »

     

     

    Dick s'en allait en claquant la porte derrière lui et partait avec la voiture, laissant Jessica seule avec Derek. Il était vrai que Jessica en parlant avec Derek ressentait plus qu'une attirance. Jamais elle n'avait rencontré quelqu'un d'aussi charmant, prévenant, charismatique et intègre comme lui. Il avait également cette part de mystère qui fascinait la jeune femme et elle désirait le connaître davantage, même le posséder. En sa présence, elle envisageait un avenir, une carrière et elle comptait bien attraper sa proie pour arriver à réalise ses rêves les plus enfouis. Va-t-elle réussir ? Jessica montrait à quel point elle était énervée que Derek s'approchait d'elle et la prenait dans ses bras afin de la calmer. Jessica se sentait rassurée qu'elle en profitait pour se rapprocher de lui. Elle effleurait doucement son torse laissant son souffle agir sur son cou pour le désorienter qu'il pensera irrationnellement. Cela marchait qu'il effleurait tendrement la joue de la belle se mordillant la lèvre. Seulement, il était fidèle à son épouse. Il s'inquiétait pour elle, et le fait de la trahir serait inimaginable. Il devait penser à la sauver que finalement il s'éloignait de Jessica allant vers la fenêtre et regardant vers l'horizon l'air songeur. Elle s'approchait de lui, posant sa main sur son épaule. Elle ne comptait pas le laisser s'en aller et se rapprochera en douceur de lui pour réaliser son plan de carrière à savoir d'être avocate, ou même au sein du bureau du procureur et même d'être auprès de Derek. Elle se rendait bien compte que même si elle avait été amoureuse de Dick, l'étincelle qu'elle ressentait s'était envolée. Par contre avec Derek, elle ressentait un désir des plus grandissants qu'elle comptait bien assouvir.

     

     

    (s'excusant en pensant à son bien-être, procurant un léger massage au niveau de ses épaules et effleurant malicieusement ses bras pour le désarçonner qu'il sera obsédé par elle) : «Je suis désolée si je vous ai offensé d'une quelconque manière que ce soit.

     

    (essayant de résister, regardant toujours l'horizon et se confiant) : Ne vous en faites pas pour moi, ça va aller. C'est à moi de m'excuser. C'est qu'il se passe tellement de choses que je suis complètement perdu.

     

    (se montrant rassurante, serviable et à son écoute en effleurant furtivement son cou pour le déstabiliser) : Vous n'avez pas besoin de vous excuser vous savez. Je m'en ferai toujours pour vous, et tout ce que je vous souhaite, c'est le meilleur. Si vous désirez vous confier, si vous désirez n'importe quoi, sachez que je suis là pour vous.

     

    (charmé) : Je suis plus que touché. Vous êtes une jeune femme exceptionnelle. »

     

    Alors que Jessica allait répondre, Derek se tournait la regardant. Dès lors, elle effleurait innocemment la joue du bellâtre, atteignant presque le coin de ses lèvres et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler. Elle effleurait ensuite le bas de sa jambe avec son pied, laissant doucement ses doigts frôler le dessous du bas de sa chemise pour le faire frémir qu'il la réclamera. Il la désirait sur l'instant. Résister à la tentation était si dur mais il entendait du bruit dans la maison. Il s'éloignait de Jessica alors qu'il voyait une personne qui était rentrée et qui n'était autre que Mackenzie. Elle regardait le duo avec un air suspicieux.

     

    (curieuse) : « Tu reçois quelqu'un frangin, c'est nouveau ?

     

    (plutôt taquin) : Oh, à l'improviste, et tu es sorti de ta chambre de ton côté.

     

    (songeuse, curieuse et inquiète) : J'avais besoin de prendre un peu l'air. Qu'est-ce que cette jeune femme vient faire ici ? J'espère que tu ne vas pas rencontrer de nouvelles galères.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, c'est pour une affaire et je ne risque rien. Tu sais que ton grand frère sait se protéger.

     

    (songeuse) : C'est que je m'inquiète justement. Je ne veux pas te perdre, tu le sais ?

     

     

    (la prenant dans ses bras, la calinant et lui donnant un tendre baiser sur le front) : Aie confiance en moi. Tu me verras toujours entier. Et d'ailleurs, tu sais que l'on doit parler. 

     

     

    (déviant la conversation) : Pour l'instant, je ne peux pas. Je dois recevoir quelqu'un dans peu de temps.

     

    (curieux) : Je peux savoir qui ?

     

    (un peu vexée mais le cachant, en restant calme) : Juste un ami qui vient m'aider à rattraper dans mon retard, à moins que tu vois un inconvénient ?

     

    (calme) : Aucun soucis, je te fais confiance,mais par contre, je te le dis souvent, mais pas de conneries d'accord ?

     

    (affichant un sourire léger) : Oui grand frère chéri que j'aime et que j'adore.

     

    (rassuré et la soutenant) : Je suis rassuré tu sais. Bon courage pour le fait de rattraper ton retard.

     

    (souriant légèrement et curieux) : Merci, c'est gentil. Mais tu n'as pas répondu totalement à ma question au sujet de cette demoiselle ?

     

    (intervenant toute gênée) : C'est pour une affaire concernant une famille : les Summers.

     

    (ne comprenant pas grand chose) : Oh, ça doit être le blabla juridique. J'espère que mon frère vous aidera. Et puis, comment vous vous appelez ?

     

    (calme) : Je suis certaine qu'il sera l'homme pouvant m'aider dans cette situation. Oui, au fait, je m'appelle Jessica Davis et vous ?

     

    (calme) : Enchantée, moi, je m'appelle Mackenzie Olivia Collins.

     

    (calme) : Enchantée également.

     

    (connaissant les enjeux) : Jessica, si vous voulez bien me suivre.

     

    : Bien sûr. Je peux vous guider vers d'autres personnes qui souhaitent également voir les Summers emprisonnés.

     

    (souriant) : C'est parfait. Mackenzie garde-bien la maison, et pas de fête.

     

    (exacerbé mais cachant son sentiment) : Tu sais bien que je suis sage comme une image. Alors non, pas de fiesta.

     

    (souriant) : Je suis rassuré. »

     

    Derek embrassait sa soeur sur la joue puis il partait avec Jessica. Seulement, cette dernière lui avait caché l'information capitale que son frère et les Bennet voulaient piéger les Summers. Comment Derek réagira-t-il ? Jessica va-t-il pouvoir attraper ce bellâtre dans ses filets ? Dès que les deux étaient partis, Mackenzie appelait un numéro bien mystérieux.

     

    : « C'est moi. Les Summers seront bientôt pris au piège et arrêtés. Mon frère est aux commandes pour éventuellement un procès contre eux. »

     

    Qui avait-elle prévenu ? Et qu'est-ce qui allait arriver par la suite ? En tout cas, Mackenzie avait bel et bien ses secrets. Pendant ce temps, Eleanore avait fini de regarder les plans, et avait découvert un passage permettant d'avoir accès à l'hôpital sans être repéré. Ainsi, des personnes demandaient à venir avec elle mais celle-ci déclinait l'invitation, préférant se débrouiller. Elle était téméraire mais valait mieux que si ça foire, une seule personne aille en comité de discipline. Elle protégeait ainsi les personnes qui étaient sous ses ordres. Prenant le plan et une arme qu'elle cachait soigneusement, elle allait vers le passage s'y glissant. Au même instant, Jason et Shawn étaient face à Adam qui était plutôt ravi de les avoir piégé. Et ainsi, il pouvait les canarder sans soucis, éliminant enfin le problème Benett une bonne fois pour toute. Shawn était plutôt apeuré par la situation. Jason le regardait et le giflait pour le réveiller.

     

      (ayant mal) : « Non mais ça ne va pas dans ta tête ?

     

    : Non mais comme si tu vas dicter la loi, tu te fous de la gueule du monde ? On doit essayer de se démerder face un dingue.

     

    (curieux) : Comment on va faire ?

     

    (intervenant et provoquant) : Ton ami est accès sur la connerie la plus bête qui soit non ? Restez-là tous les deux, je vais pouvoir enfin vous dégommer selon mon plaisir. Il est temps maintenant de crever les gars. Un dernier mot peut-être non ?

     

    (provoquant également) : Et si je te disais que c'est toi qui va crever ?

     

    (rigolant) : Alors que j'ai un flingue pointé vers vous, que je peux tirer à n'importe quel moment ? Je vais rire encore longtemps. A priori, tu as envie de mourir, réellement. Et cette fois-ci, je ne te blesserai pas, je te tuerai.

     

    (provoquant) : J'attends de voir femmelette ce dont tu es capable. » 

     

    Adam pointait son arme. Jason s'approchait, le défiant du regard afin de voir si Adam était bel et bien un lâche. On voyait que le plus jeune des Summers était énervé de voir autant de détermination. Jason se baissait, faisant un croche-patte à son ennemi. Seulement, Adam avait tiré par accident et atteignait Shawn qui tombait au sol. Où était-il blessé exactement ? Allait-il survivre ? Jason avait l'avantage sur son ennemi qu'il le frappait avec un plaisir absolu. Les coups de poings étaient de plus en plus violents quand soudain il entendait un petit déclic contre sa tempe. Il levait ses mains en l'air.

     

      (surpris) : « Jack c'est toi ?

     

    (donnant une gifle à son ennemi par l'arrière pour le réveiller) : J'ai l'air d'être Jack selon toi ?

     

    (se montrant calme et tentant de raisonner la jeune femme) : Peyton. Reprend tes esprits ! Ta famille fait du grand n'importe quoi. Tu te rends compte dans quoi tu t'embarques ? Et puis, tu aimes Shawn que je sache. Adam lui a tiré dessus. Tu ne penses pas à lui ?

     

    (jouant celle énervée et celle qui craquait pour dérouter sa proie) : Tu sais aussi bien que moi que la famille est le plus important. Je l'ai aimé mais il n'a jamais pensé aux blessures que les miens ont subi. A cause de Keith Mars et de vous les Benett, j'ai perdu ma mère, ma grand-mère, mes tantes aussi. Ca suffit merde et on mérite justice. Tu comprends ce sentiment de justice tout comme moi. Alors pourquoi essayer de me convaincre que ce que je fais n'est pas bien ? Je veux le bonheur des miens, je veux le bonheur des personnes autour de moi simplement c'est difficile à comprendre ? Je t'ai toujours cru le plus censé de ta famille, alors réfléchis à tout cela s'il te plait. Toi et ton frère, vous avez tout fait pour vous venger de votre père et vous étiez capable de tout.

     

    (compréhensif pour essayer de tout faire pour qu'elle baisse son arme) : Je comprends ce sentiment. Et j'ai regretté ce que j'ai fait car même si c'était sur fond de justice mes intentions, j'ai fait du mal autour de moi, et depuis, je tente de me racheter. Arrête avant qu'il ne soit trop tard Peyton. Pour ton père, ton oncle et ton grand-père c'est trop tard, mais toi, je sais que tu as toute la vie devant toi. Tu peux racheter les actions de ta famille.

     

    (comprenant ce que tentait de faire Jason qu'elle allait le laisser continuer s'éloignant afin de laisser du champ à Jason, jouant celle qui regrettait ses actes en pleurant pour mieux le piéger avec l'idée de feindre qu'elle trahissait sa famille et attendrir sa proie) : Comment Jason ? Comment je peux me racheter et racheter le nom des miens ?

     

    (se tournant et voyant Peyton qu'il s'approchait d'elle, lui faisant signe de baisser l'arme et touchant son épaule) : Commence par baisser ton arme et on pourra parler toi et moi, qu'est-ce que tu en dis ? » 

     

    Peyton ne disait rien sur le coup pour mieux jouer la surprise et celle pris par les remords qu'elle attisera le côté protecteur de sa proie. Elle jouait celle hésitante pour mieux remplir son rôle. En voyant Jason face à elle, et sans que personne ne parle à sa place était nouveau. Elle avait le choix. Elle pouvait choisir sa voie. Surtout, elle ressentait une certaine attirance pour cet homme qui était plutôt beau gosse à ses yeux. Le voir si protecteur envers quelqu'un était nouveau pour elle. Dans sa famille, c'était le fait d'être toujours la meilleure qui comptait, et les drames qui étaient survenus n'avaient pas arrangés cet état de fait. Elle avait bien l'intention d'avoir Jason auprès d'elle et jouer le fait de trahir sa propre famille était un grand coup. Allait-elle réussir ? Pendant ce temps, James avec son petit garçon était aux prises avec John qui semblait bel et bien avoir perdu la raison. Il retenait la jeune femme, Isabel en otage. Il insistait en plus avec son arme pour que James prenne rapidement une décision. Celui-ci était emmerdé. John le sortait de ses pensées. 

     

    (énervé) : « Tu sais que si tu prends six mois à réfléchir, cette jeune femme ne s'en tirera pas comme ça ?

     

    (essayant de faire entendre raison) : Tu te rends compte de ce que tu es en train de faire ?

     

    (plutôt fier) : Oh, je le suis, sachant que j'aurai Sam avec moi, alors tu attends quoi pour donner ta réponse ? Peut-être que je la tue et sous tes yeux.

     

    (désespéré) : Ne fais pas ça !

     

    : Alors ?

     

    (intervenant et étant arrivé sans bruit vers la salle) : Il n'y aura pas ce genre de chose.

     

    (reconnaissant cette voix) : Eleanore ?

     

    (énervée) : John. Pour une connerie dans ce genre, il ne pouvait y avoir que toi. Relâche tout le monde, et ce n'est pas la peine de faire payer des innocents pour la mort de ma soeur, ta défunte épouse ! »

     

    C'était la surprise, la grande surprise. John n'avait pas pensé qu'il pouvait un jour recroiser la route de la famille de son ancienne épouse. Entre Eleanore et lui, c'était la guerre avant la mort de sa femme. Maintenant qu'elle était partie, cela allait être infernal. James profitait de l'inattention de John pour pousser la jeune femme aux prises avec ce dingue. Isabel était heureuse d'être libre et elle décidait de prendre la sortie. John, énervé, allait vers Sam, afin enfin de le prendre et de partir avec lui, mais James lui sautait dessus. Il s'ensuivait un combat entre les deux hommes. Eleanore consciente de la gravité de la situation, faisait sortir toutes les personnes présentes dans les urgences. John voulait l'en empêcher, mais James s'occupait de lui mettre la raclée de sa vie. L'ainé des Summers ne se laissait pas faire et poussait James à terre. Alors que le monde qu'il y avait aux urgences partait les uns après les autres, John s'approchait de Sam bien effrayé par son oncle. Il était menaçant et le forçait à le suivre. James se relevait et se mettait en travers de John et de son fils. John bien énervé tirait sur son ennemi et il s'écroulait. Sam pleurait toutes les larmes de son corps. James allait-il survivre à ses blessures ? John prenait Sam avec lui et s'enfuyait, bien décidé à retrouver les membres de sa famille présents dans l'immeuble. Eleanore tentait de l'en empêcher mais il frappait la jeune femme violemment sur le visage qu'elle tombait au sol. Il partait vers les étages. Eleanore reprenait ses esprits quelques secondes après. Elle était tiraillée entre le fait d'aider cet homme et cet enfant, mais l'enfant était le plus important, alors elle partait vite rattraper John.

     

    A suivre.....

     

      

        


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  • Chapitre 21 Au nom de mon fils 2
     

    James se sentait littéralement partir. Sa vie semblait défiler sous ses yeux mais également ce qui lui pesait le plus lourd à savoir ses regrets comme celui de ne pas avoir été suffisamment avec sa famille ou même son fils. Ce qui lui pesait le plus lourd, c'était surtout de ne pas avoir pu protégér son fils des griffes de son oncle John. Ce qu'il pouvait voir autour de lui était flou. Il ne pouvait pas distinguer grand chose. Alors qu'il pensait que tout espoir était perdu, une jeune femme vint à lui pour l'aider. Il s'agissait de Kathryn Davina Turner, une jeune infirmière qui a été embauchée à l'hôpital récemment. Pendant la prise de pouvoir de John aux urgences, Kathryn se trouvait à l'étage avec les nourrissons. Elle avait trouvé ce travail alors qu'elle voulait fuir sa ville natale à savoir Dallas.

     

    A l'époque, elle avait rencontré un flic corrompu qui travaillait pour le compte d'un mafieux influent. Elle se sentait perdue et plus qu'influencée par cet homme qui savait la manipuler au point de faire des choses illégales. Elle avait rencontré James alors qu'ils étaient de sortie. Elle l'avait immédiatement reconnu. Il se trouvait que James avait une réputation d'agir souvent en dépassant la légalité. Celui-ci était plutôt proche de la famille Summers et de Jessica, celle qu'il était devenu par la suite la mère de son fils. Disons qu'à ce moment-là, il commençait déjà par être influencé par John. L'ainé Summers ne voyait pas d'un bon oeil la relation qu'entretenait sa soeur avec l'ainé Benett. Quand il avait vu Kathryn, il était plus que déstabilisé et elle l'avait bien remarqué. Quand elle l'avait vu, elle imaginait déjà sortir de l'influence de ce policier corrompu quitte même à ce que l'avocat ne puisse s'occuper que d'elle. Elle usait de ses charmes se montrant perdue pour le piéger. James, un temps, avait résisté aux charmes de la belle pensant à Jessica et lui apportant toute l'aide nécessaire pour qu'elle s'en sorte, lui permettant même de faire les études afin de devenir infirmière. Cependant, lorsque John avait poussé l'ainé Benett dans ses retranchements pour le pousser à obtenir justice pour sa famille, il finit par craquer devant la jeune femme. Ils passèrent un moment des plus charnels.

     

    Seulement, James, vu ce qui était arrivé, avait regretté ce geste. Il se sentait coupable par rapport à Jessica qu'il aimait profondément. Il s'excusa auprès de Kathryn et finit par se désister en tant qu'avocat. La belle était plutôt en colère et partit, décidée à se venger.

     

    Elle finit par enquêter sur James. Elle constatait que celui-ci avait un jeune frère : Jason, un agent du FBI qui montait en puissance. Elle savait bien qu'auprès de quelqu'un travaillant pour les forces de l'ordre, elle serait plutôt protégée. Elle évitera ce flic corrompu. Pour pouvoir croquer ce bellâtre, elle fit mine de croire qu'elle avait été victime d'une agression. Jason était plutôt intrigué par cette demoiselle au regard des plus angéliques et avec un corps de rêve. Elle était charmante et le fait qu'une si belle femme elle ait des ennuis était pour lui inconcevable. Alors il l'avait pris sous son aile sans savoir qu'il était tombé dans le piège de cette diablesse. Celle-ci en profitait pour se rapprocher de lui. Elle trouvait le cadet bien plus sexy que l'ainé et rien que de s'afficher auprès de lui juste devant son frère ainé était pour elle réjouissant. Elle jouait la fille triste et apeurée pour attiser le côté protecteur du jeune homme. Celui-ci répondait favorablement en la prenant dans ses bras pour la consoler. Par la suite, de fil en aiguille alors qu'elle jouait la confidente et qu'il se confiait naturellement, ils échangèrent un baiser passionné. Ne pouvant lus résister au désir qui les animait l'un et l'autre, ils passèrent à l'acte dans un moment des plus torrides. Cet épisode fut par la suite bien compliqué pour les deux frères lorsque Jason présenta celle qui le rendait heureux. La belle avait par la suite fuit laissant les deux dans le plus grand désarroi.

     

    La belle sortait de ses pensées quand James fit un léger bruit. Il avait plus que mal, et la fin pour lui semblait des plus proches. Kathryn prit tout le nécessaire pour le soigner. Elle revint vers lui l'examinant. Voyant qu'il avait été touché par belle, elle savait que la tâche risquait d'être ardue. Cependant, elle savait que le fait d'aider James lui permettrait de pouvoir lui demander en retour ce qu'elle désirait. Elle vit que la balle n'était pas sortie. Alors au début, elle cria pour quelqu'un vienne mais personne n'arriva. Elle décida de faire les choses par elle-même, essayant de trouver la balle et de la sortir. James, de son côté, vit bien qu'il y avait quelqu'un près de lui. Cela le rassurait. Il se disait que peut-être son heure n'était pas encore venue. Cependant, il n'arrivait pas à distinguer qui était auprès de lui et cela l'énervait. Heureusement qu'il l'ignorait car sinon les choses se seraient passées différemment. Kathryn commença finalement sa manoeuvre, mais elle se montra douce et prévenante de telle sorte à rassurer le jeune homme.

     

    (se montrant bienveillante pour l'amadouer en effleurant sa joue subtilement) : « Ne t'inquiète pas, je vais t'aider. Tu vas vivre, ça je te le garantie. »

     

    Elle n'avait pas le temps de prodiguer ne serait-ce qu'une anésthésie. Elle savait qu'il aurait très mal mais malheureusement, elle ne pouvait rien y faire, vu l'urgence. Elle lui en voulait encore pour ce qu'il lui avait fait subir. Cependant, le fait de lui sauver la vie puis ensuite de lui demander n'importe quoi en vue de le mettre en porte-à-faux était déjà merveilleux à ses yeux. Elle se vengera comme il se doit. Lorsqu'elle approchait sa main vers la blessure, James fit un bond en criant de douleur. Elle restait impassible face à ce cri. Elle savait qu'il fallait rester de marbre car le but était de sauver le patient, enfin de tout faire pour prodiguer des soins. Elle savait qu'un médecin le prendrait par la suite mieux en charge. Allait-elle réussir sa manoeuvre ? Pourra-t-elle mettre son plan à exécution ? James pourra-t-il s'en sortir ? Pourra-t-il savoir qui l'a sauvé ?

     

    Pendant ce temps, Keith avait évité la police et était arrivé à l'hôpital avant que John n'agisse aux urgences. Alors que l'ainé Summers avait fait son action, le père de Veronica était arrivé à l'étage sans que la sécurité ne puisse le repérer. Il savait qu'il était recherché et il ne devait surtout pas être repéré. Pour lui, il était hors de question de se faire arrêter pour un crime qu'il n'avait pas commis. Alors qu'il marchait discrètement, soudain, le silence régna. C'était même plus que pesant. Keith se demandait ce qui pouvait bien se passer quand soudain une main se posa sur son épaule. Le patriarche était effrayé. Ne pas savoir qui pouvait être derrière était pour lui plus que frustrant.

     

    Prenant son courage à deux mains, il se tourna et découvrit avec stupeur que c'était Jack Summers son ex meilleur ami. Il n'avait pas eu le temps de faire quoi que ce soit que Jack lui asséna un coup de poing qui le propulsa au sol inconscient. Jack était plus qu'énervé envers Keith et il lui avait promis que cette rencontre sera bien différente de la précédente. Il tenait alors parole. Il désirait se venger de Keith, lui faire payer toute la souffrance qu'il avait dû supporter depuis la mort de sa femme, de ses belles-filles mais aussi de sa petite fille. Son ennemi étant momentanément à terre, il le transporta vers une salle. Il ne désirait pas être vu par qui que ce soit. Il voulait faire souffrir Keith, le torturer. Arrivant à la salle, il l'installa sur une chaise. Regardant un peu partout, il fouilla et découvrit des seringues. Il en prit une et fouilla pour avoir un produit capable d'affaiblir son ennemi. Il leva sa manche et injecta le produit dans le bras. Rien que d'avoir commis cet acte, cela l'enivrait littéralement. Réussir sa vengeance était plus que proche qu'il lui tardait d'en finir. Il frappa Keith au visage. Rien que cette action, il voulait recommencer.

     

    (déterminé) : « Réveille-toi connard, réveille-toi ! »

     

    Keith se réveilla difficilement. Il se sentait mal, enfin engourdi. Il ouvrit les yeux et découvrit avec stupéfaction celui qui avait fait cela à savoir Jack. Jamais il n'aurait cru que son ex meilleur ami pouvait commettre cet acte. Keith était plus qu'anéanti de voir qu'il avait changé. Il se sentait plus que coupable de ce changement. A cet instant, il se rendait compte qu'essayer de le faire changer d'avis ne servait plus à rien. Le point de non retour était plus que franchi. Il pensait donc résister. Ensuite, si l'occasion se présentait à lui de prendre le dessus, il la saisirait sans hésiter.

     

    (étourdi) : « Comment oses-tu me faire une chose pareille ? Je croyais qu'on était comme des frères.

     

    (énervé) : Comme des frères ? Non, mais tu as fumé ou quoi ? Un frère ne m'aurait pas tout arraché. Il n'aurait pas tout fait pour détruire la vie de l'autre. C'est ce que tu as fait pourtant espèce d'enfoiré ! Tu m'as trahi !

     

    (essayant de s'excuser) : Je suis navré pour ce que j'ai causé mais ce n'est pas une raison pour provoquer tant de mal. Tu te rends compte de ce que tu fais ? Des innocents qui payent pour une affaire entre toi et moi ? Arrête cela !

     

    (furieux et faisant l'innocent) : Moi faire du mal ? Bien sûr que non. Je rends justice aux personnes qui n'en a pas eu. Tu te souviens de ma femme et de mes belles-filles plus de ma petite fille ?

     

    (calme) : Je me souviens d'elles. Mais tu crois franchement qu'elles aimeraient te voir ainsi ? Tu leur fais du mal à leur mémoire.

     

    (fou de rage et le frappant violemment au visage) : Tu oses me parler de cela ? Toi, un enfoiré de première ? Je te méprise Keith, je te hais de tout mon être.

     

    (encaissant les coups) : Tu peux me frapper autant que tu veux mais arrête de faire mal autour de toi.

     

    (le menaçant) : Oh, mais je ne compte pas simplement te frapper. Je vais te faire souffrir et t'arracher tout ce que tu aimes tant. Je vais commencer par Veronica. Sait-elle la vérité au moins ?

     

    (paniquant) : Ne fais pas ça Jack.

     

    (obstiné) : Je vais me gêner. A toi de souffrir à présent.

     

    (suppliant) : Je t'en prie Jack. Laisse-la en dehors de tout ça.

     

    (bienveillant) : Oh, n'essaye pas de me faire changer d'avis. Pour toi, ta vie de bohème où tout est tranquille est terminé. Tu perdras tout y compris Veronica. Elle verra le monstre que tu es.

     

     

    (paniquant) : Au nom de notre amitié, je t'en prie.

     

    (colérique) : Qui est justement à néant ? Oh, là tu m'encourages. C'est fini pour toi.

     

    (prenant son courage à deux mains pour résister) : Tu payeras pour cela.

     

    (s'approchant au plus près pour le provoquer) : Vas-y Keith, essaye de me frapper. Tu n'en est pas capable. Tu n'es qu'un trouillard, une femmelette sans envergure.

     

    (répétant ses mots) : Tu payeras pour cela. Jack, cela en sera terminé pour toi. Tu te feras arrêté, crois-moi, c'est même une promesse.

     

    (le menaçant) : Peut-être mais toi tu seras mort quand je me ferai arrêté. Tu veux que j'accélère ton agonie ? Oh, non, je veux que ça soit lent et douloureux alors si tu ne veux pas que je ralentisse le mouvement, tu as intérêt à être sage. Avant j'ai à m'occuper de cette très chère Veronica. Tu m'excuses, je dois y aller. »

     

    Alors que Jack commençait à partir, Keith se leva soudainement même s'il était mal et se jeta sur son ex ami. Pour sa fille Veronica, il était capable de tout et de n'importe quoi, même à prendre des risques inconsidérés. Jack était surpris par l'action de Keith. Il voyait que le père Mars avait des ressources. Il n'allait pas le sous-estimer. Il le frappa à son tour laissant entrevoir toute la rage qu'il avait au fond de lui. Keith se laissait faire un moment, sachant bien que cette situation c'était à cause de lui. Mais là, il y avait le sort de Veronica en jeu et le secret qu'il avait gardé pendant si longtemps. Il devait tout faire pour la protéger mais aussi que ce secret ne remonte jamais à la surface. Alors il repoussa Jack et partit avec difficulté. Jack ne voulait en aucun cas que sa proie ne s'échappe. Il se leva immédiatement et tira en l'air pour arrêter son ennemi. Keith s'arrêta et se retourna levant les mains en l'air.

     

    (curieux) : « Tu ne vas pas me tuer Jack alors qu'il peut y avoir des témoins n'est-ce pas ?

     

    (déterminé) : D'après toi ? »

     

    Jack pointa son arme vers Keith. Il était à deux doigts d'en terminer. Il pensait qu'après sa vengeance il pourrait avancer mais jamais il n'avait pensé aux conséquences. Keith lui, avait plutôt peur. Il craignait de ne plus revoir sa fille, de ne pas voir même son petit enfant. Perdre tout cela serait pour lui inconcevable et en même temps, il comprenait pourquoi Jack était devenu ainsi. Jack allait-il tuer son ennemi ? Keith pourra-t-il protéger son secret ?

     

    De son côté, Logan avec son petit garçon dans ses bras avança tranquillement pour retrouver sa bien-aimée Veronica. Il avait eu si peur de perdre son fils. Cela l'avait bouffé de l'intérieur. Il était capable littéralement de tout pour le bien-être de celui-ci et également de sa femme. Il arriva vers la salle d'accouchement. Il y entra et découvrit Veronica endormi avec le personnel médical. L'infirmière prit immédiatement l'enfant afin de le mettre dans un berceau et ainsi vérifier s'il allait bien. Logan lui fit signe de rester et ce pas loin. Il se méfiait du personnel hospitalier depuis que Peyton avait kidnappé son fils. Il s'installa auprès de Veronica qui dormait encore. Il la trouvait tellement magnifique. Pour lui, sa dulcinée était littéralement un ange qui l'avait sauvé de sa vie où seul le risque lui importait. Il lui prit sa main l'approchant au plus près de sa joue. Il pouvait avancer, essayant de ne plus penser au cauchemar qu'il avait vécu mais c'était plus que difficile. Pour la première fois, il ne se sentait pas capable d'affronter les choses alors qu'il devrait au contraire être plus fort pour sa belle et son enfant.

     

    Soudain, il sentit une douce chaleur parcourir l'intérieur de sa main. C'était plus qu'agréable et enivrant que cela le sortit de ses pensées. Il vit que Veronica était réveillée. Il savait maintenant qu'il pouvait avancer avec elle. La belle paniqua essayant de savoir où était son enfant. Logan détestait la voir ainsi. Pour lui, elle était si pétillante, si pleine de vie, et capable de mettre les ennemis à terre mais là, il ne la reconnaissait plus du tout. C'était comme si elle était éteinte. Veronica le sentait au plus profond d'elle-même. Quand son fils lui avait été arraché, c'était comme si elle avait perdu une partie de son être tout entier. Logan savait ce qu'il fallait faire pour que sa femme retrouve le sourire. Il dirigea la main de celle-ci vers la direction où se trouve son fils. Veronica était rassurée qu'elle affichait un sourire radieux. Logan était plus qu'heureux de la voir ainsi. Il l'embrassa avec une tendresse et une passion des plus dévorantes laissant transparaître tout ce qu'il ressentait pour la belle. Ce baiser exaltait tous les sens de Veronica. Elle voulait rester le plus longtemps possible tellement la chaleur de ses lèvres était si exquis. Elle prolongea ce baiser le rendant des plus torrides. Logan aimait cet instant qu'il ne voulait pas quitter sa belle ni même son fils. Selon lui, il était temps de parler de la suite des événements.

     

    (heureux) : « On a pu se sortir d'une situation plus que difficile et compliquée toi et moi. On peut maintenant avancer.

     

    (rêvant de vengeance) : Pas sans avoir fait payé à Peyton et aux Summers tout le mal qu'ils ont fait.

     

    (conciliant) : Je te comprends, mais on ne doit surtout pas leur donner raison et rentrer dans une guerre. On doit penser à notre fils mon ange, c'est le plus important. Maintenant on ne peut plus aller faire des enquêtes comme on veut et prendre autant de risques.

     

    (conciliante et lui faisant une proposition) : Tu as raison mon amour. Cela te dit que l'on choisisse le nom de notre fiston ?

     

    (enthousiaste) : Oh oui. Dis-moi, tu as une idée mon amour ?

     

    (heureuse) : Je pensais à Eric ou David. Et toi ?

     

     

     

    : J'aimerai appeler notre enfant James.

     

    (curieuse) : Pourquoi mon chéri ?

     

    : J'aimerai tant rendre hommage à ma famille ou plutôt à celle que j'ai découverte depuis récemment. Mes frères représentent beaucoup pour moi. J'ai hésité avec Jason. Peut-être que si on a un autre fils par la suite, on l'appelera ainsi, qu'est-ce que tu en dis ?

     

    (bienveillante et usant de répartie) : Je suis plus que d'accord. Tu as eu une merveilleuse idée et je suis certaine que James sera ravi de cet hommage. Cependant, si après on a une fille, c'est moi qui choisi le prénom.

     

    (conciliant) : Bien sûr, ma chérie, tout ce que tu désires.

     

    (faisant une proposition) : On peut avoir notre fils près de nous ?

     

    (faisant signe à l'infirmière d'amener leur fils et de le placer dans les bras de sa dulcinée) : Bien sûr, tiens le voilà.

     

     

    (plus que ravie et berçant son petit garçon): Voici James Echolls, la nouvelle génération de la famille.

     

    (ravie et voyant que son petit garçon souriait) : J'ai l'impression qu'il est ravie.

     

    (heureuse) : Je suis entièrement d'accord. »

     

    Logan était plus qu'heureux. Jamais il n'aurait pensé avoir une famille comme celle qu'il avait aujourd'hui. Inspiré, il embrassa sa belle tendrement. Il ne pouvait s'empêcher de ressentir ses lèvres contre les siennes. Veronica elle, était plus qu'heureuse. Elle avait l'impression de vivre littéralement dans un rêve. C'était merveilleux à ses yeux. Elle prolongea cet instant puis regarda son fiston. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire.

     

    Pendant ce temps, Peyton était avec Jason, Adam son oncle et Shawn son ex. Pour le dernier, il était bien inconscient ne pouvant pas parler et surtout il avait été touché au niveau de l'épaule. Le sang coulait de la blessure. Est-ce que quelqu'un allait intervenir ? Le second Benett voulait raisonner la jeune demoiselle. Il savait que dans la famille Summers, s'il pouvait influencer un membre ce serait bien la jeune femme. Selon lui, elle était la plus influençable de tous. Il n'allait pas laisser l'occasion de pouvoir influencer les événements et ainsi arrêter cette bataille entre les deux familles. Adam pouvait éventuellement le gêner mais il n'allait pas reculer pour autant. Il lui mettrait la pâtée si nécessaire. Peyton, elle, voyait l'occasion d'attraper Jason et de l'avoir tout contre elle. Il était vrai qu'agir devant son oncle n'était pas le mieux mais elle ne laisserait pas une opportunité lui échapper. Elle jouera la fille perdue et désorientée pour le piéger. Elle effleura sa joue timidement baissant son regard pour mieux l'attendrir. Sa chaleur était si exaltante qu'elle rêvait de passer un moment charnel avec lui. Ce qui était le mieux en plus pour elle, c'était qu'elle pouvait se venger de Shawn en séduisant son meilleur ami. Seulement, Adam sortit vite sa nièce de ses pensées en s'énervant.

     

    (énervé) : « Non, mais tu vas arrêter ton cirque Peyton ? Tu vas écouter franchement notre ennemi. Qu'est-ce que va dire ton père et ton grand-père hein ? Reprends-toi, on a du travail à faire. Et puis Jason ne raconte que des conneries. Le meilleur moyen pour obtenir justice c'est de se venger de ses faces de rats.

     

    (déterminée en jouant la réfléchie pour mieux amadouer Jason) : J'ai le droit d'écouter qui je veux, de prendre moi-même mes décisions.

     

    (surpris) : Attends, tu n'es pas en train de prendre le parti de Jason ? Ne me dis pas ça. C'est un affreux cauchemar.

     

    (usant de répartie) : J'ai le droit de faire ce que je veux. Je n'ai pas besoin d'avoir un chaperon qui ose me contredire, alors tu vois si tu n'es pas content, tu te casses et vite fait c'est clair dans ta tête maintenant ?

     

    (énervé) : Arrête maintenant c'est clair ?

     

    (énervée) : Non, et je ne reviendrai pas sur ce que je viens de dire alors tu sais ce qu'il te reste à faire. Soit tu me soutiens, soit tu te casses ! »

     

    Adam était plus que surpris par l'attitude de sa nièce. Il ne savait plus quoi dire. Il voyait bien à quel point elle ressemblait à son frère. Il voulait la sauver et continuer avec elle leur mission mais c'était plutôt compromis. Disons qu'il ne pouvait pas faire grand chose aux aspirations de sa nièce car après tout elle était jeune et voulait faire sa propre expérience. Aurait-elle son propre plan pour agir contre les Bennet ? Là, Adam y songeait grandement et s'éloignait tout en gardant un oeil sur elle. Disons que si son frère apprenait que sa fille titillait un ennemi, il se mettrait lourdement en colère.

     

    Alors qu'il ne se doutait de rien du tout, soudain il sentit une arme sur l'arrière de sa tête. Bien sûr, il se demandait qui cela pouvait bien être derrière lui. Logan ? Bien sûr que non, il devait être avec sa dulcinée. James ? Il se doutait que son frère s'en occuperait. Là, la frayeur s'emparait de tout son être. Il savait que pour lui, le moment qu'un élément de son passé revienne à la surface n'était pas l'instant idéal. Il réfléchissait afin de savoir qui était derrière lui mais rien ne lui venait en mémoire pour le moment. Il se tourna pour voir qui était la personne et avec stupéfaction, il vit que c'était Stacy Caitlin Callahan, une jeune femme plutôt incisive avec son sens de l'humour bien à elle. 

     

    Entre Adam et Stacy, leur dernière rencontre avait été des plus explosives. En effet, Adam avait eu une relation avec la demoiselle mais dans un but bien précis. Il désirait accéder aux informations et auw armes de la belle qui travaillait au sein d'une organisation criminelle bien connue près de Neptune et qui est en constante expansion. Adam avait dû prendre des chemins semés d'embuches afin d'arriver jusqu'à elle. Il s'était fait passer pour un homme désirant les engager pour une mission qu'il avait inventé de toute pièce. Il s'était approché grâce au chef de la belle qui pouvait donner tout ce qu'il désirait. Naturellement, il voulait même plus de cette créature qui l'attirait. Il se mit à la séduire. Celle-ci le repoussait et ce avec détermination. Elle ne voulait pas un type dans son genre qu'elle en informa son chef. Celui-ci lui avait intimé alors de se rapprocher de cet inconnu et de connaître ce qu'il sait. Entre Adam et Stacy, cela était devenu un jeu de séduction. Les choses faisaient qu'avec le temps, la relation devenait plus sérieuse. Même, ils passèrent un moment des plus torrides. Seulement, Adam après ce moment était parti du jour au lendemain sans laisser aucune adresse. Stacy s'était retrouvée seule et incapable de dire où il était. Certes, elle ne ressentait pas de sentiments pour lui sauf que de se faire planter la rendait folle de rage. Après cet instant, elle avait tout fait pour le retrouver sur les ordres de son commanditaire. Elle avait mené son enquête découvrant son véritable nom mais aussi tout son historique familial. 

     

    Elle sortit vite de ses pensées lorsqu'Adam lui affichait un léger sourire. Elle ne supportait pas cet air supérieur qu'elle le gifla avec violence. Elle désirait lui rabattre son caquet. Adam garda sa main au niveau de sa joue. Il avait cependant mal à son égo. Jamais une fille n'avait agi comme cela avec lui. Stacy avait bien l'intention de lui faire payer l'affront qu'elle avait subi en le faisant bien souffrir et ensuite elle le ramènerait à son chef.

     

     

    (énervée) : « Espèce de connard, sale enfoiré, espèce de grand merdeux. Ca t'apprendra à me sourire comme si tu étais supérieur. Cette fois-ci, tu ne pourras pas t'échapper.

     

    (vexé) : M'insulter de tous ses noms, franchement, je te croyais plus raffinée que cela.

     

    (furieuse et le menaçant) : A priori, tu n'as pas envie d'avoir des enfants. Tu veux que j'abime ses parties pour voir peut-être ? 

     

    (calme) : Je sais que tu ne feras pas ce genre de chose. Tu tiens trop à moi pour me faire du mal.

     

    (le frappant violemment dans les parties avec un coup de pied, tirant sur ses cheveux et lui faisant du chantage) : Qu'est-ce que tu as dit déjà ? Oh, tu vois, tu as la preuve du contraire. Maintenant, tu vas être bien sage sinon je te tue sur place, c'est compris ? Je suppose que tu veux voir ta famille n'est-ce pas ?

     

    (surpris) : Mais comment ?

     

    (satisfaite) : Tu crois que je vais te donner mes sources peut-être ? Tu as commis une erreur en te comportant tel un enfoiré avec moi.

     

    (essayant de lui tenir tête) : En souvenir du bon vieux temps.

     

    (usant de répartie et lui donnant un autre coup dans les parties) : Je vais bien te les abimer que tu deviendras une véritable femmelette. Oh, pardon, tu l'es déjà, c'est bête. Que tu le veuilles ou non, tu me suis.

     

    (résigné et curieux) : A priori, je n'ai pas le choix en effet. Ma famille va subir également ?

     

    (calme) : Oh, c'est en fonction de ton entière collaboration. Sinon, ne t'inquiète pas, je les prendrai un par un et je les emmènerai dans un endroit si loin que plus jamais tu ne les reverras. En effet, je les tuerai si tu me défies encore.

     

    (résigné) : Je viens, tu as gagné. »

     

    Stacy était ravie de la tournure qu'avait pris les événements. Son commanitaire sera enchanté de sa réussite. Elle vit ce qui se passait avec l'ennemi d'Adam et la nièce de celui-ci mais elle préférait s'en occuper plus tard. Le fait d'avoir Adam était pour elle une carte maitresse pour des ambitions plus grandes et mystérieuses. Ils partirent tous les deux au loin évitant les policiers. Adam sentait qu'en étant seul et se comportant telle une chose vulnérable, il pourrait intervenir mais malheureusement, il n'avait pas pu. Stacy ne voulait plus se faire avoir par lui. Quand ils se retrouvaient seuls, celle-ci le frappa avec la crosse de l'arme sur la tête. Adam tomba au sol inconscient. Que comptait faire Stacy à présent ? Quelles étaient ses intentions ?

     

    Au même instant, John tenait son neveu et pouvait partir. Il ne savait pas où se trouvait son frère, son père ni même sa fille. Pour lui, le seul but était de sortir de l'hôpital surtout qu'Eleanore, son ex belle-soeur était à ses trousses. Il savait que c'était quelqu'un de coriace. Sam, son neveu, essaya de se sortir de son emprise. Seulement, c'était trop dur pour lui. John était quelqu'un de fort et surtout déterminé. Le motif de la vengeance envahissait tout son être. Il était devenu comme son père. Il ne tenait surtout pas à ce que Sam lui échappe. Les deux couraient à toute vitesse pour arriver vers l'une des sorties à l'arrière de l'hôpital. Sam était plus que fatigué alors John le prit sur ses épaules. Il était hors de question de s'arrêter.

     

    (obstiné) : « Tu restes là et on sortira bientôt. Si tu es sage, je t'offrirai ta glace préférée à l'italienne que tu aimes tant : celle à la vanille. »

     

    Sam s'était calmé. En même temps, il savait qu'il ne faisait pas le poids. John arriva près d'une sortie quand soudain Eleanore les rattrapa. Celle-ci ne voulait en aucun cas que John ne s'échappe. Elle lui en voulait terriblement pour sa soeur certes, mais là, il était question d'un enfant et ça, c'était quelque chose qui la mettait hors d'elle. Jamais elle n'avait eu l'occasion de voir son neveu et elle voulait pour lui le meilleur. Elle savait qu'avec John, cela ne serait pas le cas. Elle avait tout fait pour défendre sa nièce Peyton, mais John avait tout fait pour qu'Eleanore s'éloigne de la famille. Là, la belle policière ne lui permettra pas de gagner. Elle cria un bon coup pour le stopper.

     

    (énervée et pointant son arme vers John) : « Arrête ! Et relâche le petit !

     

    (usant de répartie) : Pourquoi je le ferais ? C'est mon neveu.

     

    (désirant l'amadouer en parlant du petit garçon) : Tu te rends compte de ce que tu as fait ? Là, l'enfant ne sera pas heureux. Tu le sépares de son père. Il a besoin d'être près de lui. Tu veux le meilleur pour lui n'est-ce pas ? Regarde-le et dis-moi franchement si tu le rends heureux.

     

    (obstiné) : Il ne l'a jamais été avec son père. Si celui-ci voulait le meilleur pour son fils, il n'aurait pas fait toutes ses conneries. La famille Summers apportera à ce jeune garçon tout ce dont il a besoin et pourra lui parler de sa maman. Alors maintenant Eleanore, laisse-moi partir !

     

    (déterminée) : Vu ce que tu as fait, je ne peux pas te laisser faire.

     

    (curieux) : Tu veux toi aussi le meilleur pour Sam n'est-ce pas ?

     

    (énervée) : Tu ne vas pas lui faire de mal dis-moi ?

     

    (désirant la titiller) : D'après toi ?

     

    (déterminée) : Avec toi, je ne sais pas du tout ce que tu peux réserver. Tu es quelqu'un d'imprévisible.

     

    (voulant la provoquer) : En fait, tu es en colère après moi non pas pour l'enfant mais du fait que je ne t'ai jamais choisi.

     

    (surprise) : Tu es complètement dingue.

     

    (souriant) : Je ne suis pas dingue, je suis quelqu'un qui sait ce qui veut et je vais protéger ma famille que tu le veuilles ou non. Alors tu sais ce que je vais faire ? Je m'en vais avec le petit. »

     

    Le jeune garçon Sam tenta de s'extraire de l'influence de son oncle une nouvelle fois, mais il voyait bien que c'était peine perdu. John, lui, allait ouvrir la porte quand soudain, Eleanore lui tira dans la jambe. Elle était satisfaite d'avoir stoppé son ennemi. L'ainé Summers n'était pas du genre à s'avouer vaincu. Il garda le jeune garçon commençant à partir. Eleanore ne voulait pas perdre le petit. Elle courut vite et attrapa le petit. Celui-ci était plus que soulagé d'être sorti des griffes de son oncle qu'il souriait. Il se blottissait dans les bras de sa jeune sauveuse. De son côté, elle était plutôt ravie de faire connaissance avec son neveu par alliance. Cependant, elle devait penser à faire son devoir. John en profita pour tenter de s'enfuir même blessé. Il n'était pas question pour lui de se faire arrêter. Cela serait pour lui un horrible cauchemar de par le fait qu'il était un Summers, qu'il était substitut du procureur, qu'il avait une réputation à défendre et qu'il voulait également se venger des Bennet puis des Mars. Seulement ses craintes allaient se réaliser. Eleanore, voyant la tentative du fugitif, le plaqua contre le mur et ce avec violence. Pouvoir l'arrêter était pour elle plus que jouissif. Elle plaqua sa tête tout contre le mur. John était complètement piégé. Il voulait bouger mais c'était impossible. Eleanore prit ses menottes dans sa poche, les passant à John. Ce moment l'exaltait complètement. Elle aimait arrêter les criminels. Cela aurait pu être plus compliqué pour elle d'arrêter un membre de sa famille, mais pas du tout. C'était quelqu'un qui désirait plus que tout protéger les innocents.

     

    (appliquant la procédure) : « John Summers, je t'arrête pour kidnapping et tentative de meurtre, Tout ce que tu vas dire sera retenu contre toi devant un procès. Tu as le droit à un avocat. Si tu n'en as pas, il t'en sera commis un d'office. As-tu compris tes droits ?

     

    (résigné) : Oui.

     

    (curieuse) : Où sont les autres ?

     

    (hostile) : Je n'en sais rien.

     

    (calme) : Tu nous diras ça au poste. »

     

    Eleanore accompagna John et Sam à l'extérieur. Elle était satisfaite du travail accompli. Elle passa la charge de John à un policier qui l'amena au poste. Pour Sam, elle le confia directement à un de ses collègues qui s'en occupera. Elle savait bien que sa mission n'était pas terminée. Allait-elle retrouver tout le monde et les mettre en sécurité ? Que va-t-il advenir de John ? Sam pourra-t-il retrouver sa famille ? 

    De leur côté, Jason et Peyton étaient tous les deux et ce, sans un Adam qui pouvait les interrompre. Pour le second Benett, le fait que la jeune fille ait agi ainsi montrait que sa stratégie fonctionnait à merveille. Il voulait l'amadouer et qui sait ce qu'elle pourrait faire après de bénéfique. D'un autre côté, il ressentait une certaine attirance pour elle. Il ne voulait pas y céder car il pensait à son meilleur ami. De plus, fréquenter une ennemie aurait été plus que mal vu et aurait provoqué des tensions au sein de la famille alors que ce n'était pas le moment.

     

    Jason sortit vite de ses pensées quand Peyton décida de poser son arme. Pour le second, c'était enfin un soulagement et il savait qu'il pouvait avancer. Pour la belle, se montrer vulnérable était le moyen idéal pour le piéger. Elle effleura gênée sa joue feignant d'être émue pour l'attendrir. Sa douce chaleur était enivrante qu'elle rêvait de ressentir son corps contre le sien.

     

    (jouant la gentille en effleurant le haut de son torse pour l'amadouer) : « Voilà, comme tu peux le constater, j'ai posé mon arme. Tu as dit que l'on pouvait parler alors je suis là. De quoi veux-tu que l'on parle exactement ? Il est vrai que tu m'intrigues grandement.

     

    (charmé et se montrant protecteur) : De tout ce que tu désires. Je sais que tu n'es pas une fille à faire du mal comme cela. Je sais ce que l'on est capable pour la famille, mais ce n'est pas une raison tu sais de commettre des atrocités. On est marqués à jamais. Qu'est-ce qui t'a décidé à tout faire pour elle au point même que tu sacrifies tout ce que tu souhaites accomplir ? Je trouve dommage que tu laisses ta vie de côté car tu mérites le meilleur.

     

    (jouant la fausse confidente en faisant une moue, effleurant le dessus de sa main le griffant pour éveiller du désir) : Ma famille est ce qui compte le plus à mes yeux. Les Summers étaient au début synonyme de respect. Les personnes pouvaient nous demander n'importe quoi. J'étais heureuse d'être respectée, choyée. Je pouvais avoir tout ce dont une fille pouvait rêver. Seulement la vie a basculé pour nous et ce à cause de Keith Mars. Il y a eu des choses qui se sont passées entre ma grand-mère et lui. Des tensions sont apparues, et cela ne s'est pas arrangé le jour où ma mère, ma tante et ma grand-mère sont mortes à la banque. Tu peux comprendre qu'on lui en veuille. Il faut ajouter que la mort de ma tante Jessica dûe à votre vengeance ne nous a que plus motivé pour obtenir justice. Tu me comprends ? En tout cas, merci à toi de penser à mon bien-être, je ne sais pas quoi dire. Je ne le mérite pas en plus. 

     

    (compréhensif en la prenant dans ses bras) : Je suis désolé pour tout ce qui est arrivé sincèrement. Mais même si la justice peut faire du bien, il y a une différence entre justice et vengeance. La barrière a été largement franchi au point que des innocents payent pour nos erreurs. Je sais qu'il n'est pas trop tard pour te racheter et je peux t'aider. Tu n'as qu'à me le demander, je ferai ce qu'il faut pour toi. Tu mérites ce qu'il y a de mieux et surtout ne te dévalorise pas. Tu es tellement charmante et capable de choses extraordinaires.

     

    (jouant la touchée en mordillant l'intérieur de sa main, procurant une douceur à son index et mordillant le début de son avant-bras pour le faire frémir) : Je ne sais pas quoi dire. Jamais on n'avait pris soin de moi comme tu tentes de le faire avec moi. Jamais on ne m'a autant valorisé ou complimenté comme tu le fais. C'était à croire que je ne méritais pas autant d'attentions ou même de goûter au bonheur.

     

    (influencé) : Je n'arrive pas à croire qu'aucune personne ne s'est occupé de toi comme tu le mérites. Tu es en droit d'attendre à des attentions dignes d'une reine. Je te complimenterai de telle sorte à rattraper l'injustice que tu as subi depuis tout ce temps.

     

    (se montrant entreprenante en léchant son avant-bras, griffant son bas-ventre et effleurant l'intérieur de sa cuisse pour l'émoustiller) : La reine que je suis sait ce qu'elle veut et je l'ai devant moi. Tu es l'incarnation même du monarque charmant, attentionné, canon et prévenant qu'une femme voudrait avoir à ses côtés.

     

    (troublé) : Si tu cherches à me faire rougir c'est plutôt réussi.

     

     

     

    (se montrant perverse en mordillant le creux de son cou puis léchant le haut de son torse frôlant son intimité pour le chauffer) : Ce teint rougâtre t'ira à ravir. Il te rendra davantage irrésistible.

     

    (charmé mais tentant de résister) : Tu es si belle, si charmante, mais on ne peut faire cela. Tu es avec Shawn.

     

    (titillant ses lèvres avec les siennes, griffant le bas de son dos et frôlant ses fesses pour l'enflammer) : Chut, je ne suis plus avec lui. Tu es le seul à me comprendre, à penser à moi, et je suis plus que touchée. Profitons de cet instant rien que tous les deux. Je suis tellement charmé par toi et par ton charisme.

     

    (influencé) : Tu es la beauté incarnée. J'aurai tellement dû te rencontrer plus tôt, car je sais qu'auprès de toi, je serai le plus heureux des hommes.

     

    (faisant une proposition en posant son front contre le sien et l'effleurant légèrement pour l'apâter) : J'aimerai que l'on passe plus de temps tous les deux et ce, sans que personne ne le sache, ça te dit ?

     

    (ne pouvant pas résister) : Je ne peux refuser une pareille proposition. Je suis plus que ravie de passer du temps avec toi. »

     

    Peyton s'aprocha de ce bellâtre effleurant le bas de sa jambe avec son pied et procurant une douceur à son oreille pour le troubler. Résister à la tentation était un tel supplice qu'elle voulait y céder sur le champ. Elle l'embrassa avec fougue et passion titillant sa langue avec la sienne dans une danse endiablée. La sensation de ses lèvres était si exquise qu'elle voulait y rester le plus longtemps possible. Jason était complètement charmé qu'il prolongea ce baiser le rendant des plus torrides. Il ne pensait plus au fait que la belle était avec Shawn. Il désirait pour elle braver tous les interdits, même sur le fait que leurs familles étaient ennemies. Il était tiraillé par les devoirs qu'ils devaient rendre aux siens. Cependant, il pensait au fait que cette famille avait pu faire du mal aux innocents. La belle désirait tant ressentir ses attentions. Elle guida sa main près de sa cuisse frôlant son intimité et l'incitant à le titiller pour l'exciter. Il était incapable de se contrôler qu'il se laissa faire faisant tout ce que la belle créature lui demandait. Entendant le bruit qu'il y avait autour, il redevenait lucide. Il prit la main de celle-ci faisant comme s'il l'amenait dans un endroit secret. Peyton se laissa faire pensant que Jason était plus que charmé par elle. Ils avancèrent lentement vers la sortie. Pendant le trajet, Jason regrettait vraiment ce geste, à croire que sa conviction pour défendre la famille n'était plus d'actualité. Arrivant à la sortie, Peyton perdit ses illusions. Un policier vint l'arrêter. Elle regarda Jason avec une certaine colère. Elle comptait bien lui faire payer cet affront même si elle désirait l'attraper dans ses filets. Le policier avait vu Jason mais celui-ci s'était vite eclispé pour qu'il ne l'arrête pas. Qu'allait devenir Peyton ? Pourra-t-elle avoir Jason ?

     

    Lors de sa marche discrète, il vit Sam qui était auprès d'un policier. Cependant, James n'était pas avec lui. Il s'inquiétait pour lui. Qu'allait faire Jason ? Choisira-t-il de rentrer pour chercher son frère ou de ne pas rester loin pour son neveu ? Telle était la question.

     

    Au même instant, Kathryn prodiguait les soins d'urgence à James qui ne s'était pas encore rendu compte que son ex cliente tentait de lui sauver la vie. Elle réussissait à le maintenir et ce, en faisant du mieux possible. James commençait à se réveiller. Il sentait que finalement, il pourrait peut-être survivre à ses blessures. Kathryn, elle, était satisfaite de son travail car finalement, elle pourrait se venger comme il se doit. Du bruit se fit entendre. Kathryn regarda un peu partout pour voir ce qui se passe. Elle était un peu effrayée de qui pouvait venir. Elle se tourna et vit des médecins. Elle était plutôt rassurée. Elle les guida vers James. Les médecins partirent vite vers lui remerciant Kathryn. James, dans un moment de lucidité, entendit le prénom. Il paniquait légèrement se rendant compte que l'on parlait de celle avec qui il avait eu une liaison.

     

    (surpris) : « Kathryn, c'est toi ?

     

    (se montrant bienveillante en effleurant le haut de son torse pour l'envoûter) : Bien sûr, et je suis là pour t'aider. Tu vas t'en sortir.

     

    (désorienté) : Pourquoi ? 

     

    (avouant de faux sentiments en l'embrassant doucement sur le front pour l'envoûter) : Parce que tu m'as manqué simplement. »

     

    James n'avait pas eu le temps de répondre que les médecins l'emmèrent au bloc. Allait-il s'en sortir effectivement ? Qu'allait-il arriver entre lui et Kathryn ?

     

    Pendant ce temps, Michael et Bianca arrivèrent à la salle de l'IRM. Le fait qu'elle se retrouvait seule avec Michael satisfaisait grandement la belle. Elle savait qu'elle pouvait sortir le grand jeu. Elle continuera à jouer la perdue pour le posséder. Michael, lui, effectua son travail en la guidant vers la table. Elle s'asseya comme il se doit le regardant d'un air plus que perverse. Elle désirait le dévorer tout cru. Il ressentait une attirance des plus grandes pour la belle, mais il se devait de se retenir. Il savait qu'avoir une relation avec une patiente n'était pas des plus déontologiques dans la profession. Pourtant, il la trouvait plus que ravissante et charmante.

     

    Bianca le sortit vite de ses pensées en caressant subtilement son épaule et son bras pour l'envoûter. Sa chaleur exaltait tout son être qu'elle voulait le ressentir contre lui. Ne rien ressentir auprès d'elle c'était tout bonement impossible tellement elle était pour lui un ange. Il tentait de résister mais c'était peine perdue.

     

    (jouant l'émue en effleurant innocemment le bas de sa jambe avec son pied et remontant près de son genou pour éveiller du désir) : « Je vous suis des plus reconnaissantes de vous occuper de moi comme vous le faites.

     

    (se montrant bienveillant et modeste) : Vous savez, je ne fais pas grand chose. Je ne fais que mon travail et puis, mon souhait le plus cher est que vous soyez au mieux.

     

    (se montrant charmante, le flattant, en griffant son bas-ventre et frôlant sa cuisse pour le faire frémir) : Vous faites plus que cela. Vous m'apaisez comme personne. Vous êtes si charmant, si attentionné. Peu de personnes font ce que vous faites. Ca me touche sincèrement. C'est grâce à vous si j'affronte les choses et ce, sereinement. Sans vous, je crois que je me serai effrondrée.

     

    (charmé et se montrant protecteur) : Vous allez me faire rougir. Je ne sais plus quoi dire face à de tels compliments aussi magnifiques. Jamais vous ne vous serez effondré. Je veillerai toujours à votre bien-être. Il est hors de question qu'il vous arrive quoi que ce soit. Je seraj triste sinon.

     

    (se montrant entreprenante en effleurant ses lèvres avec son index, mordillant son cou et léchant le haut de son torse pour l'émoustiller) : Comment comptes-tu, comptez-vous veiller à mon bien-être beau gosse ? J'espère que cela ne vous dérange pas que je vous tutoie. C'est que vous veillez sur moi comme personne que j'affronte les choses sereinement. Je ne sais pas du tout ce que j'aurai fait sinon.

     

    (essayant de résister) : Oh, cela ne me dérange pas, enfin, nous ne devons pas passer le cap du professionnel cependant. Je vais m'occuper de toi en te faisant passer l'IRM.

     

    (l'allumant en frôlant son intimité le malaxant légèrement et léchant son pouce pour le faire frémir) : Passons ce cap, ce n'est pas des plus intéressants surtout que je sais que tu ressens la même chose que moi : un désir que tu rêves de l'assouvir auprès de moi. Tu ne veux pas être frustré beau brun n'est-ce pas ? Je rêve déjà d'admirer chaque parcelle de ton corps, et je suis certaine que tu dois avoir un corps digne des dieux grecs.

     

    (se laissant influencé) : Je ne rêve que d'être auprès de toi. Tu me rends complètement fou. Je suis heureux d'être auprès de toi, de pouvoir t'admirer. Je rêve de pouvoir parcourir ton corps de déesse.

     

    (l'allumant en glissant ses mains sous son pantalon et boxer griffant sa cuisse et malaxant son intimité pour le torturer) : Dis-moi alors trésor que tu ne rêves que de faire qu'un avec mon corps dans un moment charnel, de pouvoir la placer en moi et de me faire crier comme personne. Je sens que tu désires tant cela, ne me dis pas le contraire.

     

    (charmé) : Tu n'imagines pas à quel point j'ai envie de ressentir ton corps auprès du mien. J'ai tellement envie de toi. Tu me rends carrément dingue. Tu es arrivé au moment où sans le savoir, j'avais besoin le plus de toi. Tu me procures un bien fou, J'imagine déjà la suite.

     

    (avouant de faux sentiments se montrant tentatrice en arrachant le haut de son bellâtre et griffant son torse en le léchant par endroit pour l'exciter) : Oh crois-moi bébé, je vais te procurer un bien tellement intense que tu m'en redemanderas encore et encore tellement tu vas crier de plaisir. Je ressens la même chose pour toi. Jamais je n'ai ressenti cela depuis tellement longtemps. Je te désire tellement fort.

     

    (incapable de résister) : J'ai envie de te ressentir auprès de moi trésor. Je te veux tant. C'est un supplice que de ne pas t'avoir auprès de moi.

     

    (jouant la coquine en léchant son index puis son avant-bras pour le titiller) : C'est l'occasion de réaliser ton rêve le plus fou mon beau brun. En retour, je réaliserai tous tes fantasmes. C'est un beau programme n'est-ce pas ?

     

    (complètement troublé) : Tu me tentes comme personne, t'imagine même pas. Oh, toi viens par là. » 

     

    Bianca regarda son beau mâle avec envie et déléctation mordillant son index pour le tenter. Elle désirait le rendre complètement fou d'elle qu'elle pourra lui demander n'importe quoi. Ce regard déstabilisait complètement le jeune homme. Il fondait littéralement devant elle. Il rêvait de ressentir la belle créature tout contre lui et de lui montrer à quel point il la désirait tant. Elle agrippa la cuisse du bellâtre avec sa jambe griffant le haut de son dos et léchant sa joue pour le provoquer. Sa chaleur l'enivrait littéralement qu'elle désirait en ressentir davantage. Elle sentait bien que le beau gosse était sous son charme et cela flattait grandement son égo. Elle fit mine de l'embrasser en mordillant sa lèvre en sang et la léchant pour l'exciter. Il n'en pouvait plus d'être loin d'elle. Cela le rendait dingue son petit jeu. Sa beauté était tellement resplendissante qu'il ne voyait rien de la manoeuvre de la belle. Il était donc plus que séduit. Il la rapprocha de lui commençant à caresser le corps de la belle au niveau de sa cuisse. Elle aimait tant cette attention qu'elle se cambra pour la ressentir davantage. Elle vint tout près de ses lèvres posant son front contre le sien et l'embrassant avec fougue et passion titillant sa langue avec la sienne dans une danse torride. La sensation de ses lèvres était des plus intenses qu'elle ne voulait en aucun cas les quitter. Jamais elle n'avait ressenti une telle sensation auparavant. Cet homme le troublait et l'attirait comme personne. Lui, était plus qu'influencé par ce moment. Il aimait être auprès de cette belle créature. Il prolongea ce baiser en le rendant bien torride. Les deux étaient tellement bien l'un auprès de l'autre qu'on avait l'impression que le temps s'arrêtait tout autour. Michael désirait tant résister à l'attraction qu'avait la diablesse sur elle, mais elle avait bien trop de pouvoir. D'ailleurs, il aimait tant qu'elle en ait sur lui. Elle l'incita à enlever ses vêtements procurant une douceur à son intimité pour l'inciter au vice. Il était incapable de résister à la tentation. Il s'exécuta enlevant les vêtements de cette créature et l'embrassant dans le creux de son cou. La lingerie qu'il pouvait voir la mettait encore plus en valeur qu'il était rempli d'admiration. Il avait l'impression que cette femme était arrivée dans sa vie rien que pour lui permettre de repartir sur de bonnes bases. Pour la belle, c'était si exaltant qu'elle en poussa des gémissements de plaisir. Il aimait la voir ainsi qu'il afficha un sourire bien coquin. A partir de cet instant, Bianca savait qu'elle pouvait passer à la vitesse supérieure et elle n'allait pas se gêner pour le faire.

     

    Elle serra son emprise sur la taille de celui-ci procurant une douceur à son nombril et atteignant presque son intimité pour le déstabiliser. Il était carrément enchanté de cette attention. C'était pour lui un moment mémorable et rempli de saveurs. Jamais une telle femme ne lui avait procuré un effet pareil. Cette proximité enivrait littéralement son être qu'elle désirait ressentir son corps contre le sien. Elle baissa son pantalon et boxer procurant une douceur à son intimité en faisant des va et viens torrides et léchant sa cuisse pour le faire frémir. Il en poussa des gémissements de plaisir tellement elle lui procurait un bien fou. Il désirait tant parcourir chaque parcelle de son corps et le contempler à sa juste mesure. Il voulait la combler littéralement telle une reine. Elle bouillait littéralement de désir à son contact. Elle le couvra de baisers sur tout son torse le mordillant et pinçant ses fesses pour le dérouter. Elle aimait cet instant qu'elle voulait en savourer d'autres. De son côté, il était plus que dépendant des attentions de la belle. C'était comme si elle avait utilisé de la magie sur lui pour l'envoûter. Elle savait qu'elle avait un pouvoir sur les hommes et en voyant l'attitude de Michael, elle se rendait compte que celui-ci avait augmenté. Elle l'emmena tout près de lui afin de vivre cet instant qu'elle rêvait tant. Il se laissa faire tellement il aimait être avec elle. A ses yeux, c'était une déesse comme on n'en faisait plus. Il remonta ses baisers au niveau de son nombril la mordillant puis arrivant à sa poitrine où il procura des douceurs incomparables. Elle voulait ressentir davantage d'attentions tellement elles étaient exquises. Michael lui était complètement dépendant de ce corps sexy qu'il était capable de procurer des attentions le plus longtemps possible. D'ailleurs, il en aura l'occasion. En effet, la belle coinça la tête de son beau gosse au niveau de sa poitrine afin de ressentir davantage d'attentions. C'était un tel enchantement de saveurs qu'elle s'en mordilla la lèvre d'un désir inextricable. Elle ne pouvait plus tenir. Pour lui, c'était la même chose. 

     

    Bianca était pour Michael une bouffée d'air frais, un moyen de guérir et de passer à autre chose. Depuis si longtemps, le souvenir de sa bien-aimée l'avait littéralement hanté qu'il avait préféré fuir. En étant auprès de Bianca, il songeait sérieusement à être auprès d'elle, même se préoccuper de sa santé. Le fait qu'elle n'aille pas bien, que ses migraines l'empêchent de vivre étaient pour lui un crève-coeur. Il trouvait injuste qu'une femme comme elle puisse vivre une telle épreuve. La belle, elle, voyait une occasion d'être auprès d'un homme et d'obtenir tout ce qu'elle pouvait désirer. Là, elle l'emmena tout près de lui et le mit sur le dos, se mettant ensuite à califourchon sur lui. Il se mordilla la lèvre de désir tellement il était dingue de la belle. Elle aimait l'avoir à sa merci qu'elle comptait en profiter comme il se doit. Elle l'incita à enlever sa lingerie pour lui vendre une vision de rêve en le guidant vers tout son corps. Le bellâtre était plus que séduit. Il s'exécuta parcourant lentement le corps de celle-ci. C'était d'une douceur pour lui à faire palir le diable en personne. En voyant le résultat, il n'en croyait pas ses yeux. Elle était à ses yeux une femme parfaite. Avant, il pensait que ce n'était pas possible mais pourtant, elle était là, devant ses yeux. Il ne pouvait pas résister à une telle beauté. Aucun homme ne le pouvait, c'était impossible. Elle frissonnait littéralement à son contact. Elle malaxa coquinement avec ses mains l'intimité de son beau gosse le titillant avec la langue sur les lèvres de celui-ci pour l'enflammer qu'il deviendra incontrôlable. Elle aimait jouer c'était plus fort qu'elle. En voyant le regard de celui-ci tellement admiratif, elle déduisait qu'il aimait également s'amuser. En effet, elle visait juste que celui-ci lui murmura à l'oreille qu'elle était une véritable coquine. Aimant ce doux mot, elle avait trop envie de le provoquer. Elle lui procura une douceur à son oreille lui murmurant qu'il n'avait pas tout vu et léchant sa joue pour l'hypnotiser. Le fait qu'il puisse jouer avec elle, cela rendait l'homme à ses yeux encore plus irrésistible. Il était de son côté tellement heureux qu'il afficha un sourire radieux. Elle voulait le voir perdre ses moyens et elle était capable de tout. Elle mordilla son cou jusqu'à en laisser une trace le léchant jusqu'au haut de son torse et effleurant l'arrière de sa cuisse pour le déboussoler. Le désir s'emparait de tout l'être du jeune homme. Il voulait tant céder à ses envies.

     

    Il était incapable de réfléchir face à cette jeune femme. Au début, il voulait résister, sachant très bien que la relation patient/médecin ne passait pas mais maintenant il était capable de tout pour les yeux de la belle déesse. Il procura une douceur vers le bas-ventre de la jeune femme levant la jambe de celle-ci et l'embrassant de tout le long. Elle voulait le croquer sur le champ tellement elle le désirait. Son corps parlait littéralement comme si elle le réclamait. Elle le guida vers son intimité l'incitant à le titiller et ce avec ses doigts pour le désarçonner. Tellement charmé, il voulait la combler à croire même qu'il commençait à ressentir des sentiments pour celle-ci. Il commença sa manoeuvre y allant au début lentement et accélérant. C'était tellement inoubliable qu'elle en poussa des gémissements de plaisir. Elle avait trouvé la perle rare et il était hors de question qu'elle lui échappe. Lui, était tellement influencé par la belle qu'il la couvra de baisers sur tout son corps. Cet instant était pour elle parfait qu'elle se mordilla coquinement l'index caressant sa poitrine avec l'autre main pour l'apâter. Il ne pouvait pas résister à un visage à la fois angélique et diabolique. Elle mordilla son torse le griffant bestialement pour le déstabiliser. Le désir la submergeait littéralement. Il avait tellement chaud, c'était tellement intense pour lui qu'il désirait lui montrer à quel point il comptait pour elle. Il se rendait compte qu'elle lui faisait un effet bien plus grand qu'une simple attirance. Elle fit des va et viens torrides avec ses mains sur son intimité l'achevant avec des coups de langue coquins jusqu'à son nombril le mordillant pour le mettre au supplice. Ce moment était pour le jeune homme des plus intenses. Il l'avait littéralement dans la peau.

     

    Pour Bianca, ne pas le sentir pleintement en elle était une torture. Elle voulait absolument vivre cet instant torride. Rien qu'avec les attentions qu'il lui avait procurées, elle savait qu'il la ferait vibrer littéralement. Il la couvra de baisers au niveau de sa poitrine la malaxant légèrement. C'était exquis qu'elle en voulait davantage. Elle l'incita à descendre plus bas. Elle ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin. Voir sa déesse aussi comblée était pour lui le plus beau cadeau qui soit alors il ne comptait pas la décevoir. Il descendit ses baisers allant jusqu'à son intimité en le titillant avec sa langue et lui procurant une douceur. Elle aimait tant cet instant. Elle le tourna en le mettant sur le dos et plaçant ses mains à l'arrière pour l'avoir à sa merci. Elle aimait tellement avoir le contrôle. Elle prit son intimité à pleine bouche griffant ses cuisses pour le rendre complètement fou de désir. Il ne pouvait se retenir qu'il en poussa un gémissement. Il aimait tant ce que la belle lui procurait. Elle aimait cette chaleur, et elle en était plus qu'accro. Elle voulait passer à la dernière phase. Elle bougea telle une tigresse près de son intimité jouant de sa poitrine contre son corps et léchant son cou pour l'avoir en son pouvoir. Il était accro à la belle et même il voulait voir où est-ce qu'elle pourrait aller dans ses attentions. Il titilla les lèvres de celle-ci frôlant ses fesses et son dos. Ce moment était inestimable pour elle, et cela l'incitait à continuer sa manoeuvre. Elle savait qu'elle irait jusqu'au bout. Plus que perverse, elle griffa sauvagement son torse le mordillant et guidant les mains sur son corps pour le désorienter. Il vibrait complètement. C'était pareil pour elle. Le désir les avait complètement rongé qu'ils ne pouvaient résister à l'appel de la chair et du vice. Elle sentait qu'en le voyant sur la même longueur d'ondes qu'elle, elle pouvait le croquer.

     

    Elle s'empala sur son intimité bougeant telle une diablesse et griffant son torse sauvagement en le léchant. Pour elle, l'instant devait être mémorable que sa cible serait complètement obsédée par elle. Elle rapprocha encore plus son corps près d'elle avec sa jambe. Elle désirait le sentir pleinement en elle. Il se laissa faire. Il voyait qu'ils allaient enfin passer aux choses sérieuses et cela le satisfaisait. Les deux passèrent à l'acte dans un moment des plus charnels. C'était tellement torride, intense et sauvage que le bellâtre se libéra. Pour lui, ce moment, il n'y avait pas de mots. La belle avait su vaincre sa carapace. Elle poussa elle des cris d'un plaisir plus qu'intense et mémorable. Jamais un homme n'avait réussi à lui faire atteindre le septième ciel comme lui il venait de le faire. Epuisée, elle se blottit contre lui. Michael la prit avec grand plaisir. Ensemble, ils se reposèrent certes dans un endroit inadapté, mais ils avaient l'impression d'être seuls au monde. C'était comme si tout ce qui se passait autour ne les atteignait nullement. Qu'allait-il arriver entre eux ?

     

     

    De leur côté, Derek et Jessica arrivèrent sur les lieux de l'hôpital où la police menait les opérations. En arrivant, Jessica repéra vite Jason et incita Derek à aller vers lui. Il lui tardait de savoir où est-ce que son frère se trouvait et comment cela se passait. Pour le substitut, c'était plus compliqué d'aller voir un ex agent du FBI. Il admirait le travail exemplaire de celui-ci et même ses valeurs mais être tombé dans l'illégalité en voulant se venger avec son frère de leur père, cela en était trop. Cette vengeance avait conduit beaucoup d'innocents à souffrir. Pour Derek, cela était inacceptable. Jason, de son côté, entendit du bruit venant vers lui. Il se posait d'innombrables questions sur qui pouvait venir. Il craignait un policier mais en se tournant, il vit Jessica. Il était à la fois heureux de la voir mais aussi triste, sachant qu'il devait lui annoncer que Shawn, son frère, était toujours à l'intérieur et blessé. Voir Derek, le substitut du procureur, était pour le second Bennet, un soucis. Il ne savait pas du tout ce qu'il pouvait faire, et c'était problématique.

     

    Jason sortit de ses pensées en sentant la main de Jessica sur son épaule. La belle souriait rassurée de voir au moins quelqu'un de l'équipe sauf, mais elle était curieuse de savoir où en était la situation. Elle était même trop enthousiaste de lui donner de bonnes nouvelles et ce avec Derek.

     

    (heureuse) : « Je suis si heureuse de te revoir. Comment tu vas ?

     

    (calme et distant) : Pour les circonstances, on fait aller, mais cela n'est pas fini.

     

    (curieuse) : Comment ça ?

     

    (préférant détourner la question) : Au tour des demoiselles d'abord. Dis-moi quelles sont les nouvelles ?

     

    (enthousiaste) : Jason, je te présente Derek Collins, le substitut du procureur qui se chargera d'enfermer les Summers derrière les barreaux. Et Derek, je te présente Jason Bennet.

     

    (calme) : Enchanté Jason.

     

    (calme) : Enchanté.

     

    (curieux) : Vous savez que vous allez devoir payer vos actes et que vous serez arrêtés ? .....

     

    (agacé et inquiet) : Je ne peux pas. Il y a mon neveu, puis mon frère et mon meilleur ami qui sont encore dans les ennuis. Je ne peux pas partir comme cela.

     

    (compréhensif mais désirant faire appliquer la loi) : Vous savez que je n'ai pas le choix.

     

    (inquiet) : Je dois les sauver. Mon frère et mon meilleur ami ont des ennuis. Ils sont aux prises avec les Summers.

     

    (curieux) : Quelle est la situation ?

     

    (effrayé) : J'ignore où est mon frère et mon meilleur ami est blessé. En plus, je ne sais pas combien il reste de Summers. Peyton a été arrêtée. J'ignore où sont les frères et Jack. 

     

    (pleurant) : Non, dis-moi que c'est faux, non pas ça, non !!!!!!!!!! »

     

    Jessica désirait rentrer mais Derek, inquiet pour elle l'en empêcha en la prenant dans ses bras. Il se sentait coupable de la discussion qu'il avait pu avoir avec Jason que son seul but était de protéger la belle. Pour Jason, il voulait y aller mais il savait que s'il ougeait le moindre petit doigt, s'il était visible, il serait arrêté. Qu'allait donc faire les trois ? Auront-ils une stratégie pour les personnes encore à l'intérieur ?

     

    A l'extérieur des lieux, Stacy conduit Adam vers son chef. Le second Summers était encore dans les vappes. Il se réveilla et vit qu'il se trouvait dans un endroit désaffecté. Il ne reconnaissait pas l'endroit et ça lui faisait peur. Il essaya de s'échapper mais Stacy avait vu sa tentative qu'elle l'avait avant de venir attaché soigneusement. Une silhouette vint vers eux. Stacy avait-elle emmené Adam vers son commanditaire ? Plus la silhouette s'approcha, plus on put distinguer que c'était une femme plutôt charismatique avec un visage d'ange. Elle ne dit absolument rien. C'était effrayant. Elle s'arrêta devant Adam qui fut stupéfait et charmé. Elle voulait montrer sa suprématie et jouer avec ses ennemis. Elle aimait cela. Etait-elle pour autant le chef ? Là, telle était la question.

     

    En tout cas, elle s'appelait Madison Penelope Harlington et on pouvait dire de cette demoiselle qu'elle était bien mystérieuse. Personne ne connaissait réellement son passé, et elle aimait cultiver le mystère pour mieux se protéger. Elle ne désirait en aucun cas souffrir ou même se faire avoir par n'importe qui. Elle prit le visage de son ennemi l'effleurant légèrement pour jouer celle attentive. Seulement, elle comptait lui faire payer son insolence.

     

    (effleurant lentement sa joue et jouant la protectrice) : « Oh, comme tu as l'air si fatigué, si faible. Je vais te remettre sur pied.

     

    (surpris et déstabilisé) : Oh, c'est gentil, merci, sincèrement.

     

    (approchant doucement de son oreille comme pour lui procurer des attentions mais à la fin, elle lui met un coup dans les parties) : Quel idiot tu fais, non mais quel crétin. Tu pensais sincèrement jouer de moi ? Tu pensais sincèrement m'avoir telle une idiote ? Non, mais tu as fumé ou quoi ? Tu as berné Stacy il y a longtemps mais avec moi non. Tu vas payer pour ton insolence et je vais te faire souffrir comme tu n'as jamais souffert. Oh, crois-moi, tu me supplieras ensuite de te tuer tellement tu souffriras le martyr. Voilà la conséquence de ton acte stupide et si jamais tu tentes quoi que ce soit, ta famille souffrira.

     

    (effrayé) : Ne fais pas....

     

    (posant son index sur ses lèvres pour l'interrompre) : Si tu continues comme cela, je te torturerai davantage. Plus tu pleurniches et plus je te transformerai en une femmelette, t'as compris ? »

     

    Adam était bien effrayé par cette jeune femme qui savait ce qu'elle voulait et elle ne semblait pas rigoler du tout. Qu'avait-elle prévu pour lui ? Qu'avait-elle prévu pour les Summers ? Quelles étaient ses intentions ?

     

    Du côté du domicile du substitut, Mackenzie attendait avec impatience son ami. Elle vit l'heure s'approcher à grand pas. Elle craignait que celui-ci ne vienne pas. Soudain, la sonnette retentit. Il se trouvait que c'était lui. Il s'appellait Connor Oliver Bennet, un rapport avec Jason et James ? C'était le cas car il était pour eux leur cousin. Celui-ci était ami avec Mackenzie depuis plusieurs années et il suivait les mêmes études qu'elle dans les sciences humaines. Il était plutôt introverti et solitaire. Mackenzie, elle, était plutôt populaire mais elle désirait bien plus qu'une relation sans aucune saveur. Elle était plutôt attirée par le jeune homme et elle était venue vers lui en se montrant des plus protectrices quand celui-ci avait eu affaire à des brutes épaisses faisant partie d'un gang. Connor était des plus reconnaissants envers la belle qu'au fur et à mesure, ils sont devenus amis. Seulement, la belle voulait bien plus que cela. Ses intentions étaient plus que mystérieuses. En tout cas, elle se montrera charmante, protectrice et entreprenante pour le piéger.

     

    Elle sortit de ses pensées quand la sonnette retentit une deuxième fois. Elle alla tranquillement vers la porte l'ouvrant et elle vit son petit chou. Elle vint immédiatement auprès de lui l'embrassant sur la joue atteignant presque le coin de ses lèvres pour le troubler. Cette sensation était si exaltante qu'elle désirait le ressentir contre elle dans un instant torride. Pour lui, il était plus qu'heureux de revoir la belle demoiselle. A ses yeux, elle était toujours aussi splendide et ce baiser sur sa joue était agréable qu'il en rougissait. La belle effleura sa joue pour le troubler. Elle aimait tant cette douce chaleur.

     

    (se montrant attentionné et prévenante en le flattant et en effleurant son épaule pour le troubler) : « Je suis si heureuse de te retrouver Connor. Tu m'as tant manqué tu sais. Tu es d'une telle élégance et si charmant.

     

    (rougissant) : J'arrive et tu me fais déjà rougir. Si ça continue, je deviendrai rouge écarlate. 

     

    (le flattant en effleurant subtilement sa main embrassant le dessus pour le désorienter) : Cela te rendra encore plus irrésistible comme cela.

     

    (gêné) : Je ne sais plus quoi dire sur le coup.

     

    (se montrant serviable en effleurant innocemment son épaule et son cou le griffant légèrement pour l'hypnotiser) : Ne dis rien bel ange et profitons de rattraper le temps perdu toi et moi, ça te dit ?

     

    (plus qu'influencé et souriant) : Je serai plus que ravi.

     

    (se montrant charmante en mordillant le début de son avant-bras et griffant son poignet pour éveiller du désir) : Allez, rentre. »

     

    Connor rentra écoutant la belle. Celle-ci laissa une petite ouverture. Il passa au plus près du corps de la belle. C'est que celle-ci désirait ressentir sa douce chaleur contre elle. Elle voulait lui faire éveiller un désir. Il était plus que troublé par la belle. Il pensait qu'elle était hors d'atteinte sachant qu'elle était la soeur du substitut du procureur alors il se refusait de céder à ce qu'il ressentait pour elle. Seulement pour Mackenzie, elle comptait bien l'amener à vivre un instant torride. Arrivera-t-elle à obtenir ce qu'elle désire ?

     

    De son côté, Keith était face à Jack. Il ne bougea pas de peur que son ex ami ne tire. La tension était plus qu'à son comble. Keith tenta de bouger mais il était vite stoppé. Keith n'avait qu'un seul moyen pour s'en sortir : négocier. Cela ne sera cependant pas facile.

     

    (calme) : « Jack, on peut très bien ne pas arriver à cette extrémité. On peut discuter et trouver une solution non ?

     

    (énervé) : Tu te fous de moi ? Alors que tu veux que rien ne soit révélé mais tu as fumé ? Tu ne penses qu'à ton cul.

     

    (inquiet) : Je ne veux pas qu'il arrive quelque chose à Veronica.

     

    (furieux) : Non, mais là, quel connard. La vérité est souvent la meilleure chose à dire. Tu lui as assez menti comme cela. T'imagine ce qu'elle va dire si elle l'apprend d'elle-même ? Elle va te tuer.

     

    (déterminé) : Je ne veux pas qu'elle l'apprenne.

     

    (fou de rage) : Tu n'as pas le choix. »

     

    Keith continua son chemin. Veronica, elle, après s'être reposée, en avait profité pour se balader avec Logan et le hasard a fait qu'ils passaient lors de la discussion entre Jack et Keith. Soudain, Jack tira sur Keith qui s'écroula sur place. Veronica cria en voyant la scène. Elle était paniquée à l'idée de perdre son père. Elle comptait aller vers Jack pour régler ses comptes. Elle n'allait pas laisser une chose comme cela impunie. Cependant, Logan, même s'il était effrayé, pensa à son fils et au fait qu'il ne pourra pas vivre sans sa mère. Il ne voulait pas perdre sa dulcinée. Il la retint, espérant que cela suffira. Qu'allait faire Veronica ? Logan saura-t-il la retenir ? Jack révélera-t-il le secret ? Si oui, s'avèrera-t-il explosif ?

     

    Fin du chapitre. 


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  • Chapitre 22 Une nouvelle ere
     

     

    Veronica était affolée à l'idée de perdre son père alors qu'elle avait donné naisance à son fils. Elle désirait plus que tout que son père puisse être dans la vie de son enfant, qu'enfin la famille Mars puisse être réunie. Cependant le rêve qu'elle avait pu faire s'était transformée en un cauchemar sans nom. Elle ne pourait pas supporter le fait de le perdre. C'était trop dur d'y penser. Tout ce qu'elle rêvait à cet instant c'était de se venger de Jack Summers pour cet acte abominable qu'il venait de commettre. Seulement, son mari Logan était en train de la retenir et ça l'énervait au plus haut point. Elle avait bien conscience qu'elle n'était pas rationnelle, qu'il fallait penser à sa famille avec son mari et son enfant mais il y avait un principe auquel elle ne dérogeait jamais : si quelqu'un touchait à sa famille, elle ferait payer la personne au prix fort. Etait-elle capable de commettre un meurtre ? C'était fort possible. Pour sa meilleure amie, elle n'avait pas cédé à l'époque ni lorsque les Bennet avaient agi mais là, cela en était trop.

     

    Logan, lui, avait une peur bleue de perdre l'amour de sa vie. Il n'avait jamais connu avant Veronica l'esprit de famille. Il avait été aux côtés d'un père plutôt tyrannique, d'une soeur qui ne voyait même pas qu'il existait sauf quand elle avait besoin de quelque chose. La découverte de sa famille avec Jason, James et le petit Sam avaient été comme une bouffée d'oxygène pour lui mais surtout, c'était le fait d'être avec Veronica. Elle avait réussi à sortir le meilleur de lui-même. Il ne pensait pas qu'un jour il pourrait se poser mais pourtant le voilà marié et père de famille aujourd'hui. Perdre Veronica dans une bataille contre le patriarche Summers serait comme un coup de poignard planté en plein coeur. Il ne pourrait pas vivre sans cette belle déesse qui réussit toujours à l'ensorceler. Il ferait n'importe quoi pour qu'elle soit au mieux. A choisir, il préférait prendre les choses en main afin de préserver sa famille.

     

    Jack, lui, était déterminé à accomplir sa vengeance peu importe les moyens employés. Perdre sa femme, ses belle-filles et sa fille étaient une torture pour lui. Jamais il n'aurait cru vivre un tel enfer mais pourtant il s'y trouvait depuis ses pertes. Il avait désigné les responsables tout trouvé pour ses pertes à savoir Keith et également la famille Bennet. Sa haine envers eux était devenu des plus incontrôlables. De plus, elle était encore plus accentuée car son petit-fils était aux mains des Bennet. Tout se mélangeait dans son esprit. De plus, il y avait un lourd secret entre lui et Keith qu'il était temps de tout révéler et ce malgré les conséquences.

     

    Tout le monde sortit de ses pensées quand Veronica se libéra de l'emprise de son mari pour aller directement voir Jack. Jamais elle n'avait montré une telle rage envers quelqu'un. Il valait mieux pour toute personne se trouvant sur son passage de se barrer et le plus vite possible. Elle alla vite vers le patriarche et lui mit un bon coup de poing. Jack était étonné de la pugnacité de la belle, fier mais aussi énervé dans son égo. Il n'avait voulu que se venger de ceux qui avaient détruit sa vie si parfaite. Il fallait reprendre les choses en main. Il prit la main de la belle la baissant avec une certaine poigne pour la déstabiliser. Logan, au loin n'acceptait en aucune façon qu'on fasse du mal à sa dulcinée. Il vint immédiatement mais Jack le repoussa violemment au sol. Veronica, elle, était déjà énervée d'être arrêtée par Jack, mais là, elle était bien furieuse. Il était hors de question que quelqu'un s'en prenne à son mari. Alors, elle asséna une gifle à Jack et s'éloigna de lui. Jamais elle ne laisserait une personne lui dicter sa conduite. La belle était quelqu'un avec un fort caractère, indépendant mais aussi très famille. Jack était plus que surpris par la fougue de la belle. De son côté, elle comptait obtenir justice et des réponses qu'elle cherchait désespéremment d'obtenir depuis longtemps, enfin depuis que les Summers avaient décidé de chambouler la vie de la communauté. Elle se montrera obstinée pour arriver à ses fins. Logan, encore à terre, était plus qu'inquiet assistant impuissant à une confrontation qui pourrait avoir des conséquences désastreuses.

     

    J (énervé) : « Non, mais tu crois franchement ma jolie que tu vas me faire peur avec tes petites tapinettes à la noix ? Tu te crois où ? En cours de récré ? On ne joue pas ici ! De toute façon, j'ai obtenu gain de cause. Enfin justice est faite pour la mort de ma femme, de mes belles-filles et bientôt pour ma fille. Ce n'est qu'une question de temps et tu ne pourras rien y changer Veronica.

     

    V (se montrant obstinée pour le déstabiliser) : Déjà le « ma jolie » tu évites coco car je ne suis pas ta jolie et jamais je ne le serai c'est clair dans ta tête de piaf ? Je t'en empêcherai que tu le veuilles ou non, de même que toute ta famille.

     

    J (se montrant cruel et affichant un léger sourire pour dérouter) : C'est déjà fait, il suffit de voir le spectacle, de voir ce qui a été provoqué et toi Veronica, tu n'as pas été puissante pour arrêter n'importe lequel d'entre nous. Mets-toi ne serait-ce qu'un moment à notre place. Quand tu perds tout, quand tu vois que la justice n'a pas été rendue, qu'est-ce que tu fais ? Et bien, tu rends ta justice à ta façon, car c'est le seul moyen pour obtenir justice. Ton père a payé pour ses secrets comme pour le mal qu'il a fait à ma famille et je ne tolère pas que l'on touche aux miens.

     

    L (se montrant sage) : Vous ne croyez pas justement que cela suffit ? On a tous vécu nos malheurs et au lieu de s'enfermer dans le passé, on doit penser à continuer. On se doit d'avancer justement pour rendre hommage à ceux qui nous ont quitté. Vous vengez ne va que causer davantage de souffrances et qu'est-ce qui arrivera ensuite hein ? Quelqu'un d'autre viendra se venger de vous justement pour obtenir justice. La vengeance n'est pas la solution. Un jour on paye de nos erreurs et croyez-moi j'en sais quelque chose.

     

    J (souriant légèrement pour déstabiliser tout le monde) : Comme si je vais croire en ton baratin Logan franchement, toi qui a fait des découvertes sur ta famille. Ne me dis pas que tu n'as jamais pensé à obtenir victime toi-même ? Tu te fous vraiment de la gueule du monde. Et puis de quoi tu te mêles vermine ? Ce qui se passe c'est entre moi et Veronica. Alors laisse les grands parler compris ?

     

    L (furieux) : N'essaye pas de m'analyser car tu ne me connais pas connard, c'est clair ? Je fais tout simplement ce que je veux, et je ferai tout pour protéger ma femme !

     

    V (essayant de calmer son homme afin de pouvoir mener le jeu contre Jack) : Tu es un ange chéri, mais ne t'inquiète pas, je saurai lui mener la vie dure. Tu me connais à force.

     

    L (sceptique, décidant de laisser faire et attentionné) : Je sais bien mon ange. Montre-lui qui est la patronne mais surtout, sois prudente, d'accord ? Fais-le pour nous et notre famille.

     

    V (affichant un léger sourire et le rassurant) : Tu me connais, je serai prudente.

     

    L (insistant) : Justement c'est pour cela que je te le dis.

     

    J (interrompant les deux pour reprendre la partie) : Bon, c'est pas fini vous deux ?

     

    V (usant de répartie pour le dérouter) : Et alors on fait ce que l'on veut avec nos cheveux. Vous ne connaissez pas cette devise ? Tu n'as pas à nous commander.

     

    J (se montrant calme pour la troubler) : Et alors que devrais-je faire selon toi ?

     

    V (se montrant calme pour le désorienter) : Me dire exactement ce que mon père t'a fait ? Ce que tout le monde a pu te faire ?

     

    J (détournant la conversation) : Keith ne t'en a pas parlé ? Pourquoi cela ne m'étonne pas.

     

    V (se montrant curieuse pour le déboussoler) : Non, mais comme tu as attisé ma curiosité, dis-moi tout qu'enfin on en termine avec tout cela.

     

    J (voyant l'occasion de la troubler) : Il ne t'a pas dit que ta mère n'était autre que ma défunte épouse ?

     

    V (choquée) : Quoi mais alors es-tu mon.... ? »

     

    Alors que Veronica était encore surprise et carrément anéantie par une telle nouvelle, Jack en profita pour s'enfuir. Elle ne savait plus quoi penser, ni quoi faire. Rien que d'apprendre une telle nouvelle, cela la chamboulait du plus profond de son être. Logan voyait bien que son épouse était bouleversée. Il vint immédiatement vers elle la prenant dans ses bras. Elle se sentait rassurée auprès de lui qu'elle lâcha toutes les larmes de son corps. Elle aurait pensé qu'enfin elle connaissait tout de son identité mais le tout était balayé comme un château de cartes. Peut-être que Jack lui mentait pour mieux la déstabiliser mais mentir à propos de sa défunte épouse serait quelque chose de cruel, d'immoral. En tout cas, Logan prit les choses en main en alertant quelqu'un pour Keith. Keith survivra-t-il à ses blessures ? Veronica connaîtra-t-elle le fin mot de l'histoire sur son identité ? Que comptait faire Logan pour sa famille ? Quelles sont les intentions de Jack à présent ?

     

     

    Toujours à l'hôpital, Bianca et Michael étaient encore dans la salle d'examen. Ils étaient enlacés tendrement. Une part du beau gosse savait que de succomber à cette divine apparition qu'était Bianca était contraire à l'éthique mais aussi à la femme et à son fils qu'il avait perdus et dont leurs souvenirs restaient dans sa mémoire. Il pensait que plus jamais il ne ressentirait un sentiment de bien-être. Seulement, en la regardant, il était plus que déstabilisé et séduit. Elle le tentait, elle le poussait à remettre en question tout ce en quoi il croyait. Auprès d'elle, il était tellement comblé. Il ne pouvait s'empêcher d'admirer cette beauté si enchanteresse, ses lèvres si exquises. Il avait tant envie de lui procurer de nouveau des attentions dignes de la déesse qu'elle était. Il était capable de tout pour elle. Cependant, il voulait aussi la connaître, tout savoir d'elle. Jamais aucune femme ne l'avait intrigué ni attiré comme cela auparavant, enfin depuis sa défunte épouse, c'était indéniable. Le fait que Bianca souffre de ses maux terribles le rongeait de l'intérieur. Pour lui, une femme aussi captivante qu'elle méritait le bonheur. Il voulait la combler d'un bonheur auquel elle ne pouvait espérer que dans ses rêves les plus fous. La divine créature, elle, aimait voir aussi conquis son bellâtre. Cela satisfaisait pleinement son égo. Elle désirait jouer davantage avec son beau gosse lui faisant goûter davantage aux plaisirs de la chair et du vice. Elle comptait l'attirer loin de l'hôpital pour mieux posséder ce beau canon et revivre cet instant charnel et inoubliable. Elle était consciente qu'elle devait rester sur la femme désespérée pour arriver à ses fins. Elle se montrera tendre et coquine pour le piéger. Elle laissa sa langue parcourir son intimité remontant jusqu'à son nombril pour l'enflammer. Il était plus que conquis par cette diablesse qu'il voulait ressentir davantage d'attentions. Il souhaitait plus que tout que cet instant ne s'arrête jamais. Pour la déesse, sa chaleur enivrait tout son être que résister à la tentation était un supplice.

     

    B (se montrant coquine en avouant de faux sentiments, procurant une douceur à son index et léchant son avant-bras pour le faire frémir) : « Jamais je ne me suis sentie aussi bien qu'en étant tout contre toi mon bel apollon. Tu es tellement à croquer, tellement charmant et prévenant. A mes yeux, tu es la perfection incarnée. Je désire que cet instant dans tes bras ne s'arrête jamais. Ainsi, je pourrai continuer à embrasser ses lèvres douces et sensuelles, à effleurer ta peau des plus à croquer et te montrer à quel point je te désire beau gosse. Avoue, tu me désires aussi plus que tout. Tu rêves de goûter au fruit défendu. Tu aimerais recommencer à parcourir chaque parcelle de mon corps de par tes baisers aussi exquis et tes caresses des plus divines n'est-ce pas ? Je sens que je te fais de l'effet ne le nie pas. Tout ton corps parle pour toi bébé. Dis-moi que tu as envie de me ressentir tout contre ton corps beau gosse. Tu ne souhaites pas que je m'amuse toute seule n'est-ce pas ? Je serai triste sinon.

     

    M (conquis) : Je suis plus que touché ma douce colombe d'entendre ses doux compliments venant d'une voix des plus envoûtantes et charmantes. Je suis complètement fou de toi, de tes lèvres et de ton corps de belle déesse absolument parfaite qui me fait tant craquer. J'adore tant ton sourire. C'est qu'il est tellement ravissant, sexy, illuminant l'endroit auquel tu te trouves mon ange. Je ne pensais pas rencontrer une femme aussi splendide que toi et pourtant tu es là devant moi. J'ai tant envie de ressentir ton corps contre le mien. Tu me fais un tel effet que je suis triste quand tu n'es pas dans mes bras. Tu me combles d'un bonheur indescriptible ma chérie. Je ne désire que combler la déesse sous mes yeux, même construire un autel pour toi. Tu me déstabilises complètement. Surtout je ne veux pas que tu sois triste. Voir ton sourire est le plus beau des cadeaux que l'on m'ait fait depuis longtemps.

     

    B (voyant une occasion de le manipuler en se montrant attentionnée puis tentatrice, effleurant l'intérieur de sa cuisse, titillant son intimité et lui faisant un clin d'oeil pour l'enflammer) : Jamais je ne me suis sentie aussi heureuse qu'en cet instant mon trésor adoré et tu n'imagines pas à quel point. Tes doux compliments, tes attentions, tes baisers me font vibrer comme personne et j'en veux bien davantage. Pimentons les choses encore plus en allant chez toi ou chez moi qu'est-ce que tu en dis ? T'en meurs d'envie, je le sens bien. Ton regard me donne déjà la réponse, et puis tu me trouves tellement à croquer. Tu rêves me faire crier d'un plaisir encore plus intense que tout à l'heure. Devine quoi, je rêve aussi de la même chose mon chou.

     

    M (charmé et influencé) : Tu sais que tu me tentes, même avec ses mots, tu me mets déjà au supplice. On peut aller chez moi. Je te suivrai peu importe où tu te rends. Mon plus grand rêve est que je puisse rester le plus longtemps possible à tes côtés bellissima. Tu restes avec moi ? Rien que d'entendre ta réponse, tu feras de moi l'homme le plus heureux qui soit.

     

    B (se montrant joueuse en griffant son torse et léchant chaque parcelle de sa peau jusqu'à son cou pour le torturer) : Je le sais chéri, et j'aime encore plus te tenter. Je reste avec toi bébé, à tout jamais. J'adore encore plus entendre ses mots. Tu n'oublieras pas ce moment de sitôt mon chou adoré, crois-moi. Si on allait maintenant chez toi ? Tu redéfiniras le mot fantasme littéralement avec moi. Tu auras l'occasion de ressentir de nouveau la chaleur de mes baisers sur ton cou, le long de ton torse en laissant ma langue parcourir chaque parcelle. Ensuite, je te procurerai une douceur incomparable en prenant à pleine bouche ton intimité et laissant ma langue la parcourir. Ca te fait envie je le sens. Rien que cela, ça te fait frémir. Fais-moi de nouveau tienne trésor.

     

    M (séduit et affichant un sourire) : Tu me combles de bonheur ma chérie. Oh oui allons-y ma belle déesse, je t'amène de suite chez moi. »

     

    Bianca avait passé la seconde étape de son plan et elle était satisfaite pleinement. Elle comptait le rendre dépendant d'elle qu'il ne pourrait plus penser correctement. En voyant la réaction du bellâtre, elle savait qu'elle pouvait passer à la vitesse supérieure et donc faire de lui qui sait son futur époux. Il fallait dire qu'il était irrésistible, tel un dieu grec et qu'il lui apportait de telles attentions qu'elle en voulait davantage. Elle ne voulait pas laisser partir cette perle rare. Michael, lui, était complètement envoûté par la belle sous ses yeux. L'extérieur n'avait aucune importance pour lui car il avait la perfection incarnée devant lui. Il croyait que ce genre de femme n'était pas réel et pourtant, il l'avait trouvé.

     

    La belle mordilla la lèvre de son beau canon l'embrassant avec fougue et passion et léchant sulfureusement sa joue pour le désarçonner. Il ne pouvait pas résister à un tel enchantement de saveurs. Il était plus qu'accro à la femme fatale qu'il voulait ressentir davantage d'attentions de celle-ci. Les deux étaient attirés tels des aimants. On sentait qu'ils ne pouvaient se passer l'un de l'autre, c'était plus fort qu'eux. Pour elle, ce baiser était tellement divin qu'elle voulait y rester le plus longtemps possible pinçant ses fesses pour l'inciter au vice. Elle voulait le voir perdre le contrôle encore une fois. Inspiré, le bellâtre prit la belle contre lui prolongeant le baiser en le rendant plus torride. Sa chaleur enivrait tout l'être de la déesse qu'elle voulait vivre de nouveau cet instant charnel et inoubliable à ses côtés. Le désir la submergeait littéralement mais elle se devait de se retenir. C'était si dur tellement le beau gosse était irrésistible et à croquer. Pour le beau jeune homme, il était admirative de la belle créature affichant un sourire radieux et caressant la joue de celle-ci jusqu'à son épaule. Il ne pouvait se détacher d'elle, c'était impossible. Elle savait maintenant qu'elle pouvait faire ce qu'elle désirait de son chou. Elle le guida afin qu'ils puissent se rhabiller tout en lui. Il ne pouvait pas résister à cette apparition qu'il se rhabilla en même temps qu'elle. De son côté, celle-ci l'admirait. Il fallait dire qu'il était canon et ce n'était pas mal de regarder, bien au contraire. Elle pensait à des idées encore plus coquines en l'admirant qu'elle aimerait les mettre en pratique. Les deux partirent ensuite de l'hôpital pour se rendre chez le jeune médecin. Qu'allait-il arriver entre eux ? Michael était-il complètement piégé par la déesse ? Bianca réussira-t-elle sa manoeuvre ?

     

     

    Pendant ce temps, John avait été mis officiellement en arrestation mais lors de son interrogatoire, il avait réclamé à avoir et ce sans cesse son avocat. L'un des policiers le laissa attendre dans la pièce. Cela faisait un bon moment qu'il était tout seul. Attendre était quelque chose qui l'énervait cordialement. De par sa position, il aimait tout avoir et de suite. Un homme pressé me direz-vous ? Non, du tout. Il avait juste appris les leçons de son père afin d'obtenir tout ce qu'il désirait de personnes qu'il considérait sans valeur, en gros de la merde. Il regarda un peu partout dans cette pièce si lugubre, se demandant si son frère et sa fille avaient été eux aussi arrêtés. Il serait soulagé si jamais sa famille s'en était sorti. Cependant, cela serait également un coup dur car il n'aurait pas été à la hauteur de cette famille qu'il aimait tant.

     

    Soudain, il entendit du bruit. Il se disait qu'enfin son avocat arriverait. Un peu plus, et il était capable de faire une scène dans la salle. Il s'en foutait royalement si quelqu'un venait à l'interrompre. La porte s'ouvrit enfin, et là, c'était le choc. Il s'agissait de Megan Jenny Matteson, une avocate et même rivale de John depuis toujours.

     

    Elle avait candidaté à l'époque pour devenir substitut du procureur mais voilà, John avait été le grand gagnant grâce à la belle influence de Jack. Elle lui en avait toujours voulu de ne pas avoir eu cette promotion. Ensuite, ce qui était le bouquet pour elle, c'était que celui-ci avait tenté de la séduire comme si ce n'était pas déjà suffisant après cette opportunité manquée. Pour elle, il était hors de question depuis toujours de fréquenter de près ou de loin les Summers. Elle savait bien que dans la famille, ils étaient quelque peu dérangés et surtout violents quand on leur enlevait quelque chose qui leur était précieux. Elle préférait leur tenir tête, de tout faire pour que la communauté ne soit plus sous l'influence de cette famille. Elle avait entendu toute sorte de chose même avant que les femmes de la famille ne soient tués. Voir John dans cette situation était une bénédiction. Elle voulait le voir plonger. Elle se montrera subtile et joueuse pour le pousser à commettre un acte irréparable et ainsi le piéger. Sa vengeance sera ainsi accompli. Cependant, si elle réussissait, elle ne retenterait pas sa chance pour devenir substitut du procureur. Le fait de défendre des personnes la satisfaisait pleinement. Elle savait différencier rien que par le regard qui étaient les coupables des innocents.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand John frappa sur la table. Megan n'avait en aucun peur de lui, même bien au contraire. Cela augmentait sa détermination. Elle se plongea dans son regard effleurant subtilement sa main pour le troubler. Il était déstabilisé par la belle mais tentait quand même de résister. Il se posait des questions sur le fait qu'elle se trouve en ce lieu afin de le défendre alors que cela devrait être son homme de confiance, celui qui réussissait à chaque instant à le sortir de ses ennuis. Du côté de la belle, le voir aussi troublé satisfaisait son égo. Elle comptait jouer davantage avec lui pour le pousser à commettre des actes irationnels. Ainsi, il se retrouvera piéger pour de longues années et personne ne pourra rien faire pour lui. Cette optique la réjouissait comme jamais.

     

    M (se montrant joueuse en griffant le dessus de son poignet et laissant son pied effleurant le bas de son corps pour le troubler) : « C'est une sacrée surprise que de te trouver ici monsieur le substitut du procureur surtout de ce côté de la barrière. Alors dis-moi ce que l'on te reproche et je pourrai te conseiller sur la suite des évènements. Je vois par ton regard que tu ne t'es jamais détaché de moi. Ton corps frisonne auprès du mien ne le nie pas. Au fond, tu espères depuis toujours que l'on soit seul. Ainsi, tu pourras enfin poser tes mains sur mon corps, titiller jusqu'à cet endroit... enfin, je n'ai pas besoin de te faire de dessins. Tu sais très bien ce que je veux dire n'est-ce pas ? Avoue-le, et tu ne seras plus jamais frustré.

     

    J (troublé, restant vague mais tentant de résister) : Oh, tu sais belle Megan, les policiers sont champions du monde dans le fait de se tromper tu sais bien. Ils pensent de moi que je suis un kidnappeur, un meurtrier et un manipulateur. Cependant arrête ton cirque ma jolie, tu n'es pas aussi canon pour me faire craquer. Je ne suis de loin pas prêt pour m'amuser après avoir perdu ma défunte épouse et mère de ma fille.

     

    M (se montrant tentatrice en coinçant avec son pied son intimité et approchant sa tête en laissant son souffle agir sur son cou pour éveiller du désir) : Que tu me résistes, tu m'intrigues d'autant plus. Cela ne sert à rien, tu sais très bien qu'il t'est difficile de me résister. Cela ne sert à rien de se souvenir sans cesse du passé. Il suffit de voir la manière dont tu me regardes. Tu n'as qu'une envie c'est que je sois dans tes bras et que je te montre ce qu'est le plaisir de la chair et du vice. Je ne vois pas pourquoi on t'accuse de tels crimes toi mon beau qui est d'une droiture à toute épreuve, faisant tout pour que la justice soit accomplie. Montre-leur tout ce que tu sais faire et ils feront en sorte de te relâcher simplement.

     

    J (souriant légèrement, séduit et curieux) : Cependant, toi, d'une telle beauté, tu auras bien plus d'influence sur ses policiers et la justice que moi. Se frotter à toi c'est comme se frotter à une rose : si délicate mais qui attaque quand on l'agresse. Je ne compte pas être parmi tes victimes qui ne s'en relèveront plus jamais. Je suis quelqu'un de prudent, tu le sais bien. Dis-moi par contre, où est Kyle ? C'est d'habitude lui qui s'occupe de mes affaires quand on me pose des questions. J'aimerai tout savoir.

     

    M (jouant la perverse en effleurant le coin de ses lèvres et griffant son cou jusqu'au haut de son torse pour le titiller) : Pourquoi parler de cet individu alors que l'on est seuls ? Personne ne viendra nous déranger dans ce lieu, même personne ne peut se douter de ce qui se passe ici entre toi et moi. N'essaye pas de te détourner de tout ce qui se passe mon beau, tu échoueras lamentablement. A force de me résister, tu m'enflammes encore plus et crois-moi, cela ne laisse présager qu'un moment inoubliable où tu goûteras à ce qu'est réelement le plaisir. Je sens que tu désires arriver à ce stade.

     

    J (conquis) : Tu es tellement magnifique, d'une beauté ensorcelante et à couper le souffle. Tu es une telle déesse. Tu mérites tout ce dont tu as toujours rêvé et je te le procurerai ma douce.

     

    M (voyant une occasion de le manipuler en se montrant coquine le prenant par le col de la chemise, mordillant sa lèvre et lui faisant un clin d'oeil pour le faire frémir) : Alors pour réaliser ton rêve, tu sais ce qu'il reste à faire mon beau. Je sais très bien que tu as plus d'un tour dans ton sac et après, tu ne vivras plus qu'un avant-goût, on passera à l'étape suivante.

     

    J (séduit) : Oh, crois-moi, je ferai tout pour que l'on soit rien que tous les deux, j'en ai plus qu'envie, tu n'imagines même pas. Tu pourrais aussi discuter avec le substitut chargé du dossier et me donner avant un aperçu de ce que sera notre moment non ?

     

    M (jouant l'allumeuse en procurant une douceur à son index puis effleurant l'intérieur de sa cuisse pour l'enflammer) : On verra cela. Et puis pour l'avant-goût, imagine-le dans ton esprit, car tu as préféré me résister. 

     

    J (affamé) : Mais.... »

     

    Megan avait obtenu ce qu'elle désirait en le voyant complètement influencé. Elle commença à partir sachant bien comment John réagira. Elle avait bien conscience qu'il serait capable de n'importe quoi pour la rejoindre. Pour la belle, c'était jouissif car cela enfoncerait le jeune homme dans les ennuis. John tenta de l'arrêter mais impossible car elle était partie. Il était littéralement sur sa faim et prêt à tout pour la rejoindre. Il avait bien conscience de la rivalité entre elle et lui, mais ce n'était rien comparé à l'attirance qu'il ressentait pour elle. Qu'allait faire John pour s'en sortir et rejoindre Megan ? Qu'allait faire cette belle créature à présent ?

     

     

    A l'extérieur de l'hôpital, alors que tout le monde était encore sous le choc, Jessica, Jason et Derek étaient encore éprouvés par la récente discussion. Il fallait dire que la situation était délicate. Jason était toujours un fugitif. De plus, il était en face du substitut du procureur qui n'était autre que Derek. C'était tendu mais il fallait intervenir à l'intérieur. Son meilleur ami et son grand frère y étaient encore. Il était conscient que pour Shawn il était mal en point mais pour James, il ignorait tout. Cela le dévorait de l'intérieur. Il voulait les protéger plus que tout, mais être coincé, cela le rendait fou de rage. Il aurait aimé avoir le pouvoir nécessaire et redonner le sourire à la belle Jessica, la soeur de son meilleur ami. La voir aussi triste était une déchirure.

     

    Pour Jessica, elle se sentait toujours investie d'une mission. Au début, elle était en retrait de par son frère pour lui éviter des ennuis avec les Summers, mais elle avait repris les choses en main. Elle était une personne qui ferait tout pour que la justice triomphe. Elle pensait que le plan que tout le groupe avait préparé se passerait sans problème mais c'était tout le contraire. Elle s'était engueulée avec Dick mais cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Sa rencontre avec Derek l'avait transformé. Elle voyait en lui un bellâtre qu'elle comptait bien posséder et lui permettre de réaliser ses souhaits les plus chers. Seulement, ce qui la préoccupait tout de suite c'était son frère. Elle était proche de lui que si jamais il lui arrivait quoi que ce soit, ce serait une déchirure.

     

    Derek lui, était concentré sur ce que pouvait ressentir la divine créature sous ses yeux. La voir dans un tel état lui brisait le coeur. Pourtant, il savait qu'il devait retenir ce genre d'émotions pour le bien de ce qui se passait actuellement, mais c'était impossible. Rester impassible devant une jeune femme triste c'était impossible. Il voulait la voir heureuse. Il ne voulait tout simplement pas qu'en rentrant à l'intérieur, elle puisse découvrir de sombres horreurs. En plus, voir Jason était pour lui un moyen d'accomplir la justice. Il connaissait bien le passif de celui-ci, mais en même temps, il était tiraillé car le jeune homme n'avait voulu que rétablir les choses, ce que la justice n'aurait pas fait comme il faut. Cependant, pour la jeune femme resplendissante sous ses yeux, il était prêt à laisser Jason, non sans se promettre éventuellement de l'arrêter. Il fallait dire que pour lui, le fait de rendre la justice dans les règles était essentiel.

     

    Tout le monde sortit de ses pensées quand Jessica se blottit tout contre Derek en pleurant. Il aurait aimé pouvoir résister mais c'était impossible. Même si elle souffrait, elle en avait profité pour se rapprocher du beau gosse. Sa chaleur enivrait tout son être qu'elle voudrait pouvoir ressentir son corps contre le sien dans un instant bien charnel. Derek releva son visage et la regarda droit dans les yeux. Elle était si belle, si resplendissante mais il fallait résister. Il était marié. Pour lui, il était hors de question de faire du mal à sa dulcinée. Il effleura juste sa joue pour la consoler. Cependant cela augmentait davantage son attirance envers elle. C'était un cercle vicieux. Pour la divine créature, le désir la submergeait mais elle devait résister parce qu'il y avait Jason. Elle aurait voulu l'amener à succomber sur l'instant mais elle n'avait pas dit son dernier mot.

     

    Jason finalement posa sa main sur l'épaule de la jeune Davis pour la consoler. Celle-ci aimait avoir deux hommes auprès d'elle. Derek ressentait une certaine jalousie mais il ne voyait qu'un seul moyen pour que cet instant s'arrête : reparler du sujet.

     

    D (concentré) : « Il faudrait prévenir les policiers non ?

     

    Je (effrayée) : J'ai peur que cela n'envenime la situation.

     

    D (la rassurant) : Tu sais, ils savent ce qu'ils font.

     

    Ja (prenant les choses en main) : Je suis d'accord mais là, ils seront dépassés. Les Summers font clairement parti de la justice que ce soit John, ou même Jack. Ils connaissent le système et même les habitudes. Je connais aussi. Seulement, j'ai dû entraver certaines règles pour que le bien triomphe. Eux sont allés vraiment trop loin. Derek, je dois rentrer, reprendre le risque, mais je suis le seul capable de faire quelque chose. Il y a à l'intérieur le père de Sam, mon frère et il faut que je le ramène en vie.

     

    Je (paniquée) : C'est trop risqué. Ne fais pas cela.

     

    D (calme) : Pensez cependant qu'après, je devrai appliquer la loi. Je suis prêt à vous laisser y aller, mais ne pensez pas que vous n'éviterez pas les conséquences ensuite. Je ne peux que vous dire d'être très prudent.

     

    Ja (satisfait) : Alors j'irai. ….

     

    Je (prévenante) : Je viens aussi.

     

    Ja (protecteur) : C'est risqué. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit.

     

    Je (décidée) : Je viens, aucune discussion.

     

    D (protecteur) : Alors je viens avec vous deux.

     

    Ja (surpris mais résigné) : D'accord, mais on doit faire attention. Vaut mieux que vous soyez derrière moi. »

     

    Jessica et Derek avaient bien écouté les consignes. Jason de son côté, ne pensait pas qu'il aurait à amener deux personnes avec lui, mais voilà, il ne pouvait faire autrement. Au fond de lui, le fait de rentrer de nouveau était un choix douloureux. Il aurait pu aller rejoindre Sam mais le risque était de ne pas lui ramener son père. Il avait conscience que cela pouvait être encore plus dangereux car le jeune garçon pouvait ne plus avoir de famille. L'idée était horrible pour le jeune Bennet mais Sam pouvait lui vivre une vie de famille décente à l'avenir contrairement à lui et à James. Seulement Jason était prêt à tout pour que les Bennet soient réunis. Les trois regardèrent un peu partout. Il ne fallait pas que la police puisse les arrêter sinon c'était fini pour les personnes encore à l'intérieur. Quand ils virent que l'entrée n'était pas surveillée, ils l'empruntèrent. Qu'allait-il se passer à l'intérieur ? Jason retrouvera-t-il James et Shawn ? Comment Jessica réagira-t-elle ? Que fera Derek ?

     

     

    De son côté, Peyton était amenée également dans une salle d'interrogatoire. Elle se sentait encore trahie par ce que Jason avait pu faire. Elle pensait l'avoir berné, l'avoir eu de telle sorte à pouvoir le posséder mais ce n'était pas le cas. Elle s'était jurée de tout faire pour se venger et reprendre l'avantage sur lui. Personne ne devait la défier sinon elle le ferait payer et très cher. Etre arrêtée la bouleversait. Elle sentait qu'elle avait déçu sa famille. Le fait d'être dans cette salle était pire que tout. Le seul moyen pour s'en sortir était de faire confiance à l'avocat qui lui serait vite envoyé. Peut-être que cette personne trouvera un moyen de s'en sortir.

     

    Elle attendait bien sagement quand soudain, du bruit se fit entendre. Il s'agissait justement de son avocat ou plutôt avocate. Il s'agissait de Brooklyn Evelyn Lowell, une ancienne amie dont elle n'avait plus entendu parler depuis un moment.

     

    Par le passé, les deux jeunes femmes allaient souvent dans des boites de nuit pour s'amuser et montrer leurs pouvoirs naturels aux hommes. Il fallait dire qu'à toutes les deux, ils en tombaient littéralement à genoux, ne pouvant qu'admirer la beauté resplendissante de ses belles déesses. L'un d'eux, Nathan, issu d'une famille richissime était l'une de leurs victimes. Seulement, Brooklyn était davantage sous le charme au point d'en tomber follement amoureuse. Elle avait entamé une relation avec lui laissant tomber complètement Peyton. La jeune Summers avait beau essayé de lui dire que ce n'était qu'un connard qui profitait d'elle et un éternel dragueur incapable de se poser pour une relation sérieuse mais Brooklyn avait décidé de tirer un trait sur leur amitié. Par la suite, les deux jeunes femmes avaient continué leur bout de chemin.

     

    Les deux sortirent de leurs pensées quand Brooklyn s'asseya en face de la jeune Summers. Peyton n'avait pas d'autre choix que de prendre cette avocate pour se défendre. Elle avait conscience que d'en trouver un autre rapidement ne serait pas possible. Il lui fallait donc obtenir les faveurs de la demoiselle pour arriver à ses fins. Elle se montrera repentante et à son écoute en affichant ses regrets pour la piéger. De son côté, Brooklyn ne comptait pas se laisser faire. Certes, c'était une de ses premières affaires, mais elle ne défendrait pas la jeune femme de gaïeté de coeur. Si elle pouvait la mettre encore plus dans les ennuis, elle ne se gênerait pas du tout. Elle se montrera distante mais douce pour montrer sa supériorité. Peyton baissa son regard tentant d'effleurer la main de la jeune femme pour l'amadouer. Brooklyn était tentée de se laisser attendrir désirant au fond retrouver son amie mais ce qu'elle avait fait lui était restée en travers de la gorge.

     

    P (se montrant coupable en posant sa main sur son avant-bras et l'effleurant pour la toucher) : « Je sais que tu ne t'attendais pas à me défendre. Je suis désolée de te mettre dans une telle situation. Je suis également navrée pour tout ce qui est arrivé entre nous avec ce garçon. J'aurais dû t'encourager au lieu de vouloir tout saborder. Te perdre a été si dur pour moi. Une partie de moi s'est littéralement envolée quand nous avons arrêter de nous voir toutes les deux.

     

    B (touchée mais se montrant en même temps agacée pour la dérouter) : Tu crois que ça va suffir après tout ce temps ? Tu me présentes des excuses parce que je suis ton avocate. Est-ce que tu l'aurais fait si je ne l'avais pas été hein ? Tu n'as pensé qu'à te venger à l'époque et là, c'est seulement qu'à toi que tu penses. Tu ne le fais pas pour notre amitié d'autrefois. Allez, avoue qu'au moins on puisse avancer ! Tu m'as fait du mal, Peyton. J'ai été anéantie en sachant que ma meilleure amie n'était tout bonnement qu'une traitresse qui ne désirait pas me voir heureuse. Je ne t'avais rien fait en plus, si ? Ose me dire le contraire pour voir. Et puis de toute façon, tu avais visé juste sur lui.

     

    P (voyant une opportunité de la manipuler en se montrant prévenante, curieuse et effleurant légèrement ses cheveux pour l'attendrir) : Je sais bien, et non pas du tout. Je serai quand même venue te voir pour présenter mes excuses car tu as et tu comptes toujours pour moi. D'ailleurs, j'ai tenté à plusieurs reprises de venir te voir mais ton grand-frère m'en a toujours empêché. Il a tout fait pour que je ne passe pas. Mais à propos de ton mec, dis-moi ce qui est arrivé pour que tu dises cela de lui.

     

    B (se montrant émue pour l'émouvoir) : J'ignorais complètement que tu étais venue me voir et que mon frère t'avait empêché de venir. Je n'avais laissé aucune instruction. J'étais comme vide lorsque l'on ne s'était plus vues. Jamais je n'ai pu faire confiance à quelqu'un d'autre. Tu étais la meilleure confidente qui soit. Pour lui, il s'est servi de moi. Je l'ai surpris une semaine après à me tromper avec une conne de brune qu'il a dû se ramasser à je ne sais quoi comme bordel.

     

    P (continuant sa manoeuvre en se montrant attentionnée pour l'amadouer) : Je suis tellement désolée de t'avoir causé autant de peines. J'aimerai avoir l'occasion de pouvoir rattraper le temps perdu avec toi, et si tu me défends, ce sera l'occasion. On pourra discuter, se raconter beaucoup de choses et tout cela ne sortira pas à l'extérieur. J'ai appris à bonne école avec Papa qui m'a dit qu'une conversation entre un accusé et son avocat, c'était couvert par le secret professionnel. Qu'est-ce que tu en dis ? Et puis l'autre, c'est un connard de la pire espèce pour oser te faire cela franchement. Tu trouveras quelqu'un à ta hauteur, quelqu'un qui saura te rendre heureuse et que tu combleras de bonheur aussi. Tu es magnifique que tu feras un malheur prochainement, j'en suis certaine.

     

    B (un peu sceptique, satisfaite et se montrant curieuse pour l'apâter) : C'est gentil vraiment. Que tu sois là me fait un bien fou. Je suis d'accord pour qu'on essaye de discuter toi et moi. Commençons par comment tu en es arrivé à cette situation. Si tu me racontes tout, je pourrai établir une défense à la hauteur et tu n'auras même pas besoin de passer par la case tribunal.

     

    P (satisfaite mais cachant ses émotions pour la dérouter) : D'accord, on peut commencer par là. Si tu réussis à me sortir de cette situation, je ferai en sorte que l'on rattrape le temps perdu et encore mieux que maintenant. »

     

    Chacune des deux avait l'impression d'avoir fait un grand pas vers leurs objectifs qui étaient plus que contradictoires. Un silence règna en main de maître sur la pièce où on pouvait se demander par quoi Peyton raconterait tout d'abord. Qui avait réussi à avancer ? Peyton racontera-t-elle toute l'histoire au point de se mettre dans une sale position ? A-t-elle réussi à récupérer sa meilleure amie ? Brooklyn voudra-t-elle finalement se venger ?  

     

     

    Pendant ce temps, Eleanore avait repris sa mission. Elle n'allait pas attendre six mois qu'un maudit supérieur lui dise de retourner. Elle n'aimait pas l'administration et encore moins ce qu'il pouvait faire au nom de la bureaucratie et des maudites procédures. Elle savait que si elle avait attendu le jour où elle avait sauvé Connor, il ne serait plus du tout de ce monde à l'heure actuelle et elle ne l'aurait pas du tout accepté. Aujourd'hui, c'était la même chose. Il y avait beaucoup de mondes, même des personnes qui n'avaient pas été totalement honnêtes au regard de la loi mais il fallait les sauver. Elle ne faisait aucune distinction sauf pour les Summers, c'était autre chose car elle avait perdu sa sœur.

     

    Elle regarda un peu partout histoire de voir s'il y avait encore quelqu'un. Pour l'instant, il n'y avait rien à l'horizon. Elle se disait que si John avait pu se trouver ici, son frère devrait y être aussi de même que sa fille ou même Jack le patriarche. Elle en déduisait qu'elle avait peut-être trois ennemis ce qui ne l'effrayait pas du tout. Elle était prête. Elle continua sa route et elle emprunta le chemin que Jason et Shawn avaient pris au début des évènements. Là, elle trouva Shawn à terre et très mal en point. Il était touché à la poitrine. C'était grave. On pouvait en déduire que celui-ci avait que très peu de chances de s'en sortir.

     

    Soudain, elle entendit du bruit. Elle pensait que l'un des Summers pouvait arriver dans sa direction. Elle pointa son arme vers l'avant afin de se préparer à une future confrontation. Elle vit des silhouettes venir jusqu'à elle. Elle se remémorait le nombre de personnes au niveau des Summers et ils étaient encore trois. Elle ignorait que Peyton avait été arrêtée grâce à Jason. Elle attendait de voir ce que les trois pouvaient bien faire. Soudain, elle put voir qui était ses personnes. C'était Jason, Jessica et Derek, le substitut du procureur qu'Eleanore connaissait bien.

     

    Il se trouvait que les deux ont travaillé sur d'autres affaires depuis qu'ils étaient dans la ville. Entre eux, quelque chose aurait pu se produire entre eux, mais Derek l'avait repoussé. Eleanore, elle, était prête à avoir certaines faveurs pour ne plus se retrouver dans la même position que lors de son ancien travail. Malheureusement sa manoeuvre avait échoué. Derek aurait pu lui mettre des bâtons dans les roues et être plus exigeant mais cela n'était pas le cas. Il pensait qu'Eleanore ne retenterait plus de l'avoir dans ses filets. Cependant ce qu'il pensait à l'époque était une grossière erreur. Eleanore n'avait pas retiré cette pensée de posséder ce canon au sein de son esprit même s'il était marié. Au contraire, elle aimait les défis.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand Jason s'approcha. Elle pensait que celui-ci pourrait lui vouloir du mal. Elle pointa alors son arme dans sa direction pour se protéger. Les trois reculèrent légèrement pour montrer qu'il n'y avait rien de mal dans leurs intentions. Derek se mit en avant pour tenter d'arrêter la belle. Il était hors de question pour lui qu'il y ait un accident. Jessica de son côté, alla vite vers son frère le prenant tout contre elle. Elle pleurait en le voyant ainsi.

     

    Je (anéantie) : « Shawn, je t'en prie, réveille-toi ! Tu m'entends ? Ne me laisse pas.

     

    E (déterminée) : Jason, je te mets en état d'arrestation, tu as le droit de garder le silence. Tout ce que tu diras poura être retenu contre toi......

     

    D (l'interrompant) : Si tu dois l'arrêter Eleanore, ce sera plus tard. Il peut être utile pour retrouver les personnes et surtout arrêter les Summers dans leurs projets. Ils ont littéralement corrompu la justice en utilisant les moyens que l'on a, c'est inadmissible. Seul Jason pourra les arrêter.

     

    Ja (calme) : Je sais que j'ai fait beaucoup de choses et dont je ne suis pas très fier. Je suis désolé pour ce qui est arrivé. Je peux cependant assurer que je suis utile dans cette affaire connaissant cette famille et leurs points faibles. La preuve, j'ai pu sortir Peyton d'ici qui a été arrêtée.

     

    Je (triste) : Je ne sais pas qui vous êtes mais je sais que vous voulez la justice. Nous aussi, nous désirons la justice. Nous voulons que le règne des Summers dans cette ville soit finie et à jamais. Déjà, vous savez que Peyton a été arrêtée alors il ne reste plus que trois Summers à arrêter à savoir John, Adam et Jack. Faites-nous confiance et je vous promets que vous aurez tous les Summers derrière les barreaux.

     

    E (sceptique) : Si je laisse faire, qui me dit que Jason ne tentera pas de vouloir éviter la justice ? Et puis, John a été arrêté également.

     

    D (se montrant rassurant) : Il a déjà promis de ne pas se soustraire à la justice. Oh, pour John, bonne nouvelle, comme quoi il n'en reste plus que deux : Adam et Jack.

     

    Ja (désirant se venger d'Adam mais cachant ses émotions) : Ce sont les deux les plus mâlins. Ils savent se débrouiller, mais au moins, je suis là. Je connais leurs points faibles. En plus Adam me déteste cordialement. On sait que la colère peut nous mener à l'erreur. On cherche à ce qu'ils commettent des erreurs, c'est l'occasion. On n'aura c'est sûr pas d'autres chances de les arrêter. Ils savent rebondir sur leurs pattes.

     

    Je (affichant un léger sourire) : Tu es doué Jason.

     

    Ja (ravi) : Merci.

     

    E (aimant l'idée mais en même temps suspicieuse) : L'idée est bonne, mais je viendrai également. On doit travailler en équipe cela va de soit.

     

    Ja (résigné) : Bien sûr.

     

    Je (calme) : Cependant, je resterai ici auprès de mon frère. Je ne veux pas le laisser ainsi et seul.

     

    D (protecteur) : Allez-y tous les deux, je resterai avec elle. Je préviendrai les médecins pour qu'il vienne vers Shawn.

     

    E (compréhensive) : Aucun problème. Je suis prête Jason.

     

    Ja (résigné) : Partons alors. »

     

    Eleanore et Jason partirent à la recherche des deux Summers manquant laissant derrière eux Derek et Jessica. Ils n'avaient pas peur de l'inconnu mais niveau confiance entre eux, ce n'était pas gagné. De son côté, Derek chercha des secours afin d'aider Shawn à terre sous les yeux d'une Jessica désemparée. Il voulait tenter de sauver le jeune homme même s'il y avait peu de chances. Même s'il tentait de résister, il était capable de tout pour ne serait-ce que voir un sourire sur cette divine déesse qui était près de lui. Jessica, elle, était reconnaissante envers le substitut. Elle croisait les doigts pour que le tout s'arrange. Les médecins arrivèrent et emmenèrent Shawn vers un bloc. Eleanore et Jason pourront-ils trouver les deux Summers manquant ? Shawn pourra-t-il survivre ? Qu'arrivera-t-il à Jessica et Derek ?

     

     

    Dans un coin bien reculé, Adam se trouvait entre les griffes de Madison qui voulait lui faire payer à tout prix son insolence. Il avait berné l'organisation de la demoiselle avec l'une de ses subordonnées à savoir Stacy. Cela avait pu servir ses intérêts et surtout ceux de sa famille en vue de la vengeance contre les Bennet et également le fait de récupérer Sam. Le fait d'être de nouveau entre les griffes de la demoiselle sans connaître son avenir était plus qu'effrayant pour lui. Il se posait de nombreuses questions. Il disait qu'en étant gentil et repentant, peut-être que la chef pourrait lui accorder un sursis. Cependant, il n'avait aucune garantie que son plan fonctionnerait à la perfection. Le fait d'être considéré comme un traitre n'allait pas arranger ses affaires.

     

    Pour la belle, reprendre Adam était un moyen de montrer sa supériorité, de prouver à tous ses partenaires que la trahison n'était en aucun cas toléré et que la punition était sans appel. Bien sûr, elle savait qu'elle ne devait plus le laisser partir au risque que le message ne passe pas auprès d'autres ennemis. Quelles étaient ses intentions ? D'abord, elle allait le faire souffrir et le titiller à un tel point qu'il réclamerait à ne plus souffrir comme cela. Elle voulait le voir ramper devant elle.

     

    Elle sortit vite de ses pensées quand elle vit encore sa proie en train de se comporter telle une femmelette. Le voir ainsi l'énervait au plus haut point. Elle voudrait qu'il arrête son cirque mais jamais elle ne laisserait transparaître ses sentiments au risque de perdre le contrôle. Elle se montrera déterminée et perverse pour le piéger. Elle effleura son front se plongeant dans son regard et lui mettre un coup dans les parties pour le dérouter. Il avait encore plus mal à son égo mais il se devait de tenir. Il était cependant admiratif et intrigué par cette belle diablesse. De son côté, elle aimait le pouvoir qu'elle avait sur lui et elle comptait en user davantage.

     

    M (approchant de son front comme pour lui donner un baiser mais finalement elle le gifle pour le désarçonner) : « Je t'ai dit de ne pas pleurniché mais a priori, comprendre n'est pas ton fort. Tu es vraiment idiot. Tu pensais réellement que je n'allais pas te torturer ? C'est en plus te foutre de ma gueule. Tu as commis l'erreur fatale.

     

    A (effrayé) : Je t'en.....

     

    M (posant son index sur ses lèvres puis griffant bestialement son cou pour le torturer) : A priori tu ne comprends pas non plus les belles menaces. Penser fait partie réellement de ton vocabulaire ? Car moi, je ne vois aucune intelligence sortant de toi. Bon, tu ne me laisses pas le choix. Tu l'auras voulu.

     

    A (paniqué) : Non.....

     

    M (se montrant déterminée en le giflant une autre fois pour le déboussoler) : Rien ne pourra changer à ton destin. »

     

    Elle prit immédiatement son arme et tire dans le genou. Elle voulait que celui-ci soit plus qu'effrayé qu'il deviendrait un véritable petit toutou devant elle écoutant la moindre de ses recommandations. Il avait mal de son côté, criant de douleur. Le voir ainsi était pour elle jouissif. Heureusement que personne ne pouvait les entendre. Elle avait conscience que de jouer avec lui ne durerait pas longtemps. Que se passera-t-il par la suite ? Adam était-il condamné ?  

     

     

    En même temps, Mackenzie et Oliver étaient à l'intérieur de la demeure du grand frère de celle-ci. Oliver était déstabilisé devant la belle. Aucune femme ne lui avait fait un tel effet des plus incroyables. Seulement, il s'était promis de ne pas y céder de peur de perdre sa précieuse confidente. Pour la belle, elle savait qu'Oliver n'était pas insensible à ses charmes rien qu'en voyant son regard. Cela satisfaisait pleinement son égo. Elle aimait avoir du pouvoir sur lui qu'elle désirait en jouer davantage pour l'avoir auprès d'elle. Elle comptait le titiller davantage pour arriver à ses fins et vivre cet instant charnel, torride et inoubliable en sa compagnie. Elle se montrera douce, protectrice et coquine pour le piéger.   

     

    Elle effleura finement la joue de celui-ci affichant un léger sourire pour le troubler. Il était troublé par la divine créature sous ses yeux que résister était devenu un tel supplice. Pour l'enchanteresse, sa chaleur enivrait tout son être qu'elle voulait ressentir ses attentions contre son corps.

     

    M (se montrant à son écoute en donnant un baiser subtil sur sa joue et effleurant finement sa main pour éveiller du désir) : « Passons au salon si tu veux bien, on pourra commencer. Ca m'a manqué le fait que l'on n'ait pas discuté depuis un moment toi et moi. Ton visage est encore plus charmant tu le sais ça ?

     

    O (charmé) : Et toi d'une telle beauté aussi renversante et resplendissante. Plus je te vois et plus j'admire la déesse que tu es. Tu en ferais des jalouses.

     

    M (se montrant joueuse en mordillant l'intérieur de sa main procurant une douceur à son index et effleurant sa cuisse pour le faire frémir) : Je serai curieuse de voir comment mon chou. Dis-moi ce qui me différencie des autres. Tu me trouves attirante ? sexy ? charmante ? Belle ? Qu'est-ce que tu aimes en moi beau gosse ? En étant tout contre toi, j'ai senti à quel point tu me désires, à quel point tu rêves de m'avoir tout contre toi, de ressentir ma douce chaleur contre la tienne. Avoue, tu rêves d'être à mes côtés. Ne le nie, je te connais par coeur, et je le vois dans tes yeux. Dis-moi ce que tu désires mon trésor et je réaliserai tout ce que tu désires. En tout cas, tu es un prince à mes yeux aussi charmant et prévenant. Je suis chanceuse d'être à tes côtés.  

     

    O (séduit et troublé) : Tu me déstabilises complètement, je ne sais pas quoi dire. Je suis touché par de tels compliments venant de toi ma déesse. Je ne peux m'empêcher d'admirer une telle beauté. Je ne pensais pas que tu dirais tous ses mots. J'ai l'impression d'être dans un rêve. Je ne voudrai en aucun me réveiller afin de rester à tes côtés. Tu es une telle apparition faite pour moi. Tu m'attires comme personne. Tu es si belle. »

     

    Seulement ce moment fut interrompu par un bruit à l'extérieur. Mackenzie n'aimait surtout pas être dérangé. Oliver se reprenant en main s'éloigna de la belle. Celle-ci n'allait pas laisser tomber ses projets. Que va faire Mackenzie ? Oliver va-t-il tomber dans le piège de la belle ? Quelqu'un les a véritablement interrompu ?

     

     

    Loin des évènements de l'hôpital, Jack savait qu'il avait pu faire sensation, et d'une très belle manière. Il n'avait pas encore tout livré de ses intentions et de ses secrets et cela lui plaisait. Il savait qu'il pouvait manipuler son monde comme personne. Il n'y avait personne dans les alentours alors c'était l'occasion pour lui de réfléchir à ses futurs projets. Il avait déjà un plan en tête.

     

    Soudain, un bruit se fit entendre. Il se posait de nombreuses questions sur la personne qui avait pu le suivre. Peut-être que c'était l'un de ses fils ou sa petite fille. Il avait hâte de les retrouver. Seulement l'apparition tardive de cette personne inquiétait le patriarche. Et si quelqu'un voulait le tuer ? Il avait une arme sur lui qu'il pointa en évidence pour se protéger. Finalement la personne arriva près de Jack et c'était le choc pour luI. Jamais il n'aurait pensé revoir cette personne de toute sa vie.

     

    J (surpris) : « Mais je croyais que…. »

     

    Qui était la personne devant Jack ? Là, telle était le mystère.

     

    Fin de la saison Revenge. Qui est la personne que Jack a vu et pourquoi sa réaction ? Adam va-t-il s'en sortir ? Est-ce que l'on se retrouvera avec des morts ? Qui est responsable de la disparition de la femme du susbtitut du procureur Derek ? Qu'apprendrons-nous sur la famille Summers ? La famille Bennet en aura-t-elle terminé avec la justice ? Connor a-t-il un lien avec cette famille et quel serait-il ? Vous le saurez dans la saison 2 de la fic Revenge. Egalement, le passé sera bientôt mis à l'honneur dans la fic Last Crusade où vous verrez le début des hostilités entre deux familles. 

     

     

     


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