• Chapitre 21 : Au nom de mon fils (2/2)

    Chapitre 21 Au nom de mon fils 2
     

    James se sentait littéralement partir. Sa vie semblait défiler sous ses yeux mais également ce qui lui pesait le plus lourd à savoir ses regrets comme celui de ne pas avoir été suffisamment avec sa famille ou même son fils. Ce qui lui pesait le plus lourd, c'était surtout de ne pas avoir pu protégér son fils des griffes de son oncle John. Ce qu'il pouvait voir autour de lui était flou. Il ne pouvait pas distinguer grand chose. Alors qu'il pensait que tout espoir était perdu, une jeune femme vint à lui pour l'aider. Il s'agissait de Kathryn Davina Turner, une jeune infirmière qui a été embauchée à l'hôpital récemment. Pendant la prise de pouvoir de John aux urgences, Kathryn se trouvait à l'étage avec les nourrissons. Elle avait trouvé ce travail alors qu'elle voulait fuir sa ville natale à savoir Dallas.

     

    A l'époque, elle avait rencontré un flic corrompu qui travaillait pour le compte d'un mafieux influent. Elle se sentait perdue et plus qu'influencée par cet homme qui savait la manipuler au point de faire des choses illégales. Elle avait rencontré James alors qu'ils étaient de sortie. Elle l'avait immédiatement reconnu. Il se trouvait que James avait une réputation d'agir souvent en dépassant la légalité. Celui-ci était plutôt proche de la famille Summers et de Jessica, celle qu'il était devenu par la suite la mère de son fils. Disons qu'à ce moment-là, il commençait déjà par être influencé par John. L'ainé Summers ne voyait pas d'un bon oeil la relation qu'entretenait sa soeur avec l'ainé Benett. Quand il avait vu Kathryn, il était plus que déstabilisé et elle l'avait bien remarqué. Quand elle l'avait vu, elle imaginait déjà sortir de l'influence de ce policier corrompu quitte même à ce que l'avocat ne puisse s'occuper que d'elle. Elle usait de ses charmes se montrant perdue pour le piéger. James, un temps, avait résisté aux charmes de la belle pensant à Jessica et lui apportant toute l'aide nécessaire pour qu'elle s'en sorte, lui permettant même de faire les études afin de devenir infirmière. Cependant, lorsque John avait poussé l'ainé Benett dans ses retranchements pour le pousser à obtenir justice pour sa famille, il finit par craquer devant la jeune femme. Ils passèrent un moment des plus charnels.

     

    Seulement, James, vu ce qui était arrivé, avait regretté ce geste. Il se sentait coupable par rapport à Jessica qu'il aimait profondément. Il s'excusa auprès de Kathryn et finit par se désister en tant qu'avocat. La belle était plutôt en colère et partit, décidée à se venger.

     

    Elle finit par enquêter sur James. Elle constatait que celui-ci avait un jeune frère : Jason, un agent du FBI qui montait en puissance. Elle savait bien qu'auprès de quelqu'un travaillant pour les forces de l'ordre, elle serait plutôt protégée. Elle évitera ce flic corrompu. Pour pouvoir croquer ce bellâtre, elle fit mine de croire qu'elle avait été victime d'une agression. Jason était plutôt intrigué par cette demoiselle au regard des plus angéliques et avec un corps de rêve. Elle était charmante et le fait qu'une si belle femme elle ait des ennuis était pour lui inconcevable. Alors il l'avait pris sous son aile sans savoir qu'il était tombé dans le piège de cette diablesse. Celle-ci en profitait pour se rapprocher de lui. Elle trouvait le cadet bien plus sexy que l'ainé et rien que de s'afficher auprès de lui juste devant son frère ainé était pour elle réjouissant. Elle jouait la fille triste et apeurée pour attiser le côté protecteur du jeune homme. Celui-ci répondait favorablement en la prenant dans ses bras pour la consoler. Par la suite, de fil en aiguille alors qu'elle jouait la confidente et qu'il se confiait naturellement, ils échangèrent un baiser passionné. Ne pouvant lus résister au désir qui les animait l'un et l'autre, ils passèrent à l'acte dans un moment des plus torrides. Cet épisode fut par la suite bien compliqué pour les deux frères lorsque Jason présenta celle qui le rendait heureux. La belle avait par la suite fuit laissant les deux dans le plus grand désarroi.

     

    La belle sortait de ses pensées quand James fit un léger bruit. Il avait plus que mal, et la fin pour lui semblait des plus proches. Kathryn prit tout le nécessaire pour le soigner. Elle revint vers lui l'examinant. Voyant qu'il avait été touché par belle, elle savait que la tâche risquait d'être ardue. Cependant, elle savait que le fait d'aider James lui permettrait de pouvoir lui demander en retour ce qu'elle désirait. Elle vit que la balle n'était pas sortie. Alors au début, elle cria pour quelqu'un vienne mais personne n'arriva. Elle décida de faire les choses par elle-même, essayant de trouver la balle et de la sortir. James, de son côté, vit bien qu'il y avait quelqu'un près de lui. Cela le rassurait. Il se disait que peut-être son heure n'était pas encore venue. Cependant, il n'arrivait pas à distinguer qui était auprès de lui et cela l'énervait. Heureusement qu'il l'ignorait car sinon les choses se seraient passées différemment. Kathryn commença finalement sa manoeuvre, mais elle se montra douce et prévenante de telle sorte à rassurer le jeune homme.

     

    (se montrant bienveillante pour l'amadouer en effleurant sa joue subtilement) : « Ne t'inquiète pas, je vais t'aider. Tu vas vivre, ça je te le garantie. »

     

    Elle n'avait pas le temps de prodiguer ne serait-ce qu'une anésthésie. Elle savait qu'il aurait très mal mais malheureusement, elle ne pouvait rien y faire, vu l'urgence. Elle lui en voulait encore pour ce qu'il lui avait fait subir. Cependant, le fait de lui sauver la vie puis ensuite de lui demander n'importe quoi en vue de le mettre en porte-à-faux était déjà merveilleux à ses yeux. Elle se vengera comme il se doit. Lorsqu'elle approchait sa main vers la blessure, James fit un bond en criant de douleur. Elle restait impassible face à ce cri. Elle savait qu'il fallait rester de marbre car le but était de sauver le patient, enfin de tout faire pour prodiguer des soins. Elle savait qu'un médecin le prendrait par la suite mieux en charge. Allait-elle réussir sa manoeuvre ? Pourra-t-elle mettre son plan à exécution ? James pourra-t-il s'en sortir ? Pourra-t-il savoir qui l'a sauvé ?

     

    Pendant ce temps, Keith avait évité la police et était arrivé à l'hôpital avant que John n'agisse aux urgences. Alors que l'ainé Summers avait fait son action, le père de Veronica était arrivé à l'étage sans que la sécurité ne puisse le repérer. Il savait qu'il était recherché et il ne devait surtout pas être repéré. Pour lui, il était hors de question de se faire arrêter pour un crime qu'il n'avait pas commis. Alors qu'il marchait discrètement, soudain, le silence régna. C'était même plus que pesant. Keith se demandait ce qui pouvait bien se passer quand soudain une main se posa sur son épaule. Le patriarche était effrayé. Ne pas savoir qui pouvait être derrière était pour lui plus que frustrant.

     

    Prenant son courage à deux mains, il se tourna et découvrit avec stupeur que c'était Jack Summers son ex meilleur ami. Il n'avait pas eu le temps de faire quoi que ce soit que Jack lui asséna un coup de poing qui le propulsa au sol inconscient. Jack était plus qu'énervé envers Keith et il lui avait promis que cette rencontre sera bien différente de la précédente. Il tenait alors parole. Il désirait se venger de Keith, lui faire payer toute la souffrance qu'il avait dû supporter depuis la mort de sa femme, de ses belles-filles mais aussi de sa petite fille. Son ennemi étant momentanément à terre, il le transporta vers une salle. Il ne désirait pas être vu par qui que ce soit. Il voulait faire souffrir Keith, le torturer. Arrivant à la salle, il l'installa sur une chaise. Regardant un peu partout, il fouilla et découvrit des seringues. Il en prit une et fouilla pour avoir un produit capable d'affaiblir son ennemi. Il leva sa manche et injecta le produit dans le bras. Rien que d'avoir commis cet acte, cela l'enivrait littéralement. Réussir sa vengeance était plus que proche qu'il lui tardait d'en finir. Il frappa Keith au visage. Rien que cette action, il voulait recommencer.

     

    (déterminé) : « Réveille-toi connard, réveille-toi ! »

     

    Keith se réveilla difficilement. Il se sentait mal, enfin engourdi. Il ouvrit les yeux et découvrit avec stupéfaction celui qui avait fait cela à savoir Jack. Jamais il n'aurait cru que son ex meilleur ami pouvait commettre cet acte. Keith était plus qu'anéanti de voir qu'il avait changé. Il se sentait plus que coupable de ce changement. A cet instant, il se rendait compte qu'essayer de le faire changer d'avis ne servait plus à rien. Le point de non retour était plus que franchi. Il pensait donc résister. Ensuite, si l'occasion se présentait à lui de prendre le dessus, il la saisirait sans hésiter.

     

    (étourdi) : « Comment oses-tu me faire une chose pareille ? Je croyais qu'on était comme des frères.

     

    (énervé) : Comme des frères ? Non, mais tu as fumé ou quoi ? Un frère ne m'aurait pas tout arraché. Il n'aurait pas tout fait pour détruire la vie de l'autre. C'est ce que tu as fait pourtant espèce d'enfoiré ! Tu m'as trahi !

     

    (essayant de s'excuser) : Je suis navré pour ce que j'ai causé mais ce n'est pas une raison pour provoquer tant de mal. Tu te rends compte de ce que tu fais ? Des innocents qui payent pour une affaire entre toi et moi ? Arrête cela !

     

    (furieux et faisant l'innocent) : Moi faire du mal ? Bien sûr que non. Je rends justice aux personnes qui n'en a pas eu. Tu te souviens de ma femme et de mes belles-filles plus de ma petite fille ?

     

    (calme) : Je me souviens d'elles. Mais tu crois franchement qu'elles aimeraient te voir ainsi ? Tu leur fais du mal à leur mémoire.

     

    (fou de rage et le frappant violemment au visage) : Tu oses me parler de cela ? Toi, un enfoiré de première ? Je te méprise Keith, je te hais de tout mon être.

     

    (encaissant les coups) : Tu peux me frapper autant que tu veux mais arrête de faire mal autour de toi.

     

    (le menaçant) : Oh, mais je ne compte pas simplement te frapper. Je vais te faire souffrir et t'arracher tout ce que tu aimes tant. Je vais commencer par Veronica. Sait-elle la vérité au moins ?

     

    (paniquant) : Ne fais pas ça Jack.

     

    (obstiné) : Je vais me gêner. A toi de souffrir à présent.

     

    (suppliant) : Je t'en prie Jack. Laisse-la en dehors de tout ça.

     

    (bienveillant) : Oh, n'essaye pas de me faire changer d'avis. Pour toi, ta vie de bohème où tout est tranquille est terminé. Tu perdras tout y compris Veronica. Elle verra le monstre que tu es.

     

     

    (paniquant) : Au nom de notre amitié, je t'en prie.

     

    (colérique) : Qui est justement à néant ? Oh, là tu m'encourages. C'est fini pour toi.

     

    (prenant son courage à deux mains pour résister) : Tu payeras pour cela.

     

    (s'approchant au plus près pour le provoquer) : Vas-y Keith, essaye de me frapper. Tu n'en est pas capable. Tu n'es qu'un trouillard, une femmelette sans envergure.

     

    (répétant ses mots) : Tu payeras pour cela. Jack, cela en sera terminé pour toi. Tu te feras arrêté, crois-moi, c'est même une promesse.

     

    (le menaçant) : Peut-être mais toi tu seras mort quand je me ferai arrêté. Tu veux que j'accélère ton agonie ? Oh, non, je veux que ça soit lent et douloureux alors si tu ne veux pas que je ralentisse le mouvement, tu as intérêt à être sage. Avant j'ai à m'occuper de cette très chère Veronica. Tu m'excuses, je dois y aller. »

     

    Alors que Jack commençait à partir, Keith se leva soudainement même s'il était mal et se jeta sur son ex ami. Pour sa fille Veronica, il était capable de tout et de n'importe quoi, même à prendre des risques inconsidérés. Jack était surpris par l'action de Keith. Il voyait que le père Mars avait des ressources. Il n'allait pas le sous-estimer. Il le frappa à son tour laissant entrevoir toute la rage qu'il avait au fond de lui. Keith se laissait faire un moment, sachant bien que cette situation c'était à cause de lui. Mais là, il y avait le sort de Veronica en jeu et le secret qu'il avait gardé pendant si longtemps. Il devait tout faire pour la protéger mais aussi que ce secret ne remonte jamais à la surface. Alors il repoussa Jack et partit avec difficulté. Jack ne voulait en aucun cas que sa proie ne s'échappe. Il se leva immédiatement et tira en l'air pour arrêter son ennemi. Keith s'arrêta et se retourna levant les mains en l'air.

     

    (curieux) : « Tu ne vas pas me tuer Jack alors qu'il peut y avoir des témoins n'est-ce pas ?

     

    (déterminé) : D'après toi ? »

     

    Jack pointa son arme vers Keith. Il était à deux doigts d'en terminer. Il pensait qu'après sa vengeance il pourrait avancer mais jamais il n'avait pensé aux conséquences. Keith lui, avait plutôt peur. Il craignait de ne plus revoir sa fille, de ne pas voir même son petit enfant. Perdre tout cela serait pour lui inconcevable et en même temps, il comprenait pourquoi Jack était devenu ainsi. Jack allait-il tuer son ennemi ? Keith pourra-t-il protéger son secret ?

     

    De son côté, Logan avec son petit garçon dans ses bras avança tranquillement pour retrouver sa bien-aimée Veronica. Il avait eu si peur de perdre son fils. Cela l'avait bouffé de l'intérieur. Il était capable littéralement de tout pour le bien-être de celui-ci et également de sa femme. Il arriva vers la salle d'accouchement. Il y entra et découvrit Veronica endormi avec le personnel médical. L'infirmière prit immédiatement l'enfant afin de le mettre dans un berceau et ainsi vérifier s'il allait bien. Logan lui fit signe de rester et ce pas loin. Il se méfiait du personnel hospitalier depuis que Peyton avait kidnappé son fils. Il s'installa auprès de Veronica qui dormait encore. Il la trouvait tellement magnifique. Pour lui, sa dulcinée était littéralement un ange qui l'avait sauvé de sa vie où seul le risque lui importait. Il lui prit sa main l'approchant au plus près de sa joue. Il pouvait avancer, essayant de ne plus penser au cauchemar qu'il avait vécu mais c'était plus que difficile. Pour la première fois, il ne se sentait pas capable d'affronter les choses alors qu'il devrait au contraire être plus fort pour sa belle et son enfant.

     

    Soudain, il sentit une douce chaleur parcourir l'intérieur de sa main. C'était plus qu'agréable et enivrant que cela le sortit de ses pensées. Il vit que Veronica était réveillée. Il savait maintenant qu'il pouvait avancer avec elle. La belle paniqua essayant de savoir où était son enfant. Logan détestait la voir ainsi. Pour lui, elle était si pétillante, si pleine de vie, et capable de mettre les ennemis à terre mais là, il ne la reconnaissait plus du tout. C'était comme si elle était éteinte. Veronica le sentait au plus profond d'elle-même. Quand son fils lui avait été arraché, c'était comme si elle avait perdu une partie de son être tout entier. Logan savait ce qu'il fallait faire pour que sa femme retrouve le sourire. Il dirigea la main de celle-ci vers la direction où se trouve son fils. Veronica était rassurée qu'elle affichait un sourire radieux. Logan était plus qu'heureux de la voir ainsi. Il l'embrassa avec une tendresse et une passion des plus dévorantes laissant transparaître tout ce qu'il ressentait pour la belle. Ce baiser exaltait tous les sens de Veronica. Elle voulait rester le plus longtemps possible tellement la chaleur de ses lèvres était si exquis. Elle prolongea ce baiser le rendant des plus torrides. Logan aimait cet instant qu'il ne voulait pas quitter sa belle ni même son fils. Selon lui, il était temps de parler de la suite des événements.

     

    (heureux) : « On a pu se sortir d'une situation plus que difficile et compliquée toi et moi. On peut maintenant avancer.

     

    (rêvant de vengeance) : Pas sans avoir fait payé à Peyton et aux Summers tout le mal qu'ils ont fait.

     

    (conciliant) : Je te comprends, mais on ne doit surtout pas leur donner raison et rentrer dans une guerre. On doit penser à notre fils mon ange, c'est le plus important. Maintenant on ne peut plus aller faire des enquêtes comme on veut et prendre autant de risques.

     

    (conciliante et lui faisant une proposition) : Tu as raison mon amour. Cela te dit que l'on choisisse le nom de notre fiston ?

     

    (enthousiaste) : Oh oui. Dis-moi, tu as une idée mon amour ?

     

    (heureuse) : Je pensais à Eric ou David. Et toi ?

     

     

     

    : J'aimerai appeler notre enfant James.

     

    (curieuse) : Pourquoi mon chéri ?

     

    : J'aimerai tant rendre hommage à ma famille ou plutôt à celle que j'ai découverte depuis récemment. Mes frères représentent beaucoup pour moi. J'ai hésité avec Jason. Peut-être que si on a un autre fils par la suite, on l'appelera ainsi, qu'est-ce que tu en dis ?

     

    (bienveillante et usant de répartie) : Je suis plus que d'accord. Tu as eu une merveilleuse idée et je suis certaine que James sera ravi de cet hommage. Cependant, si après on a une fille, c'est moi qui choisi le prénom.

     

    (conciliant) : Bien sûr, ma chérie, tout ce que tu désires.

     

    (faisant une proposition) : On peut avoir notre fils près de nous ?

     

    (faisant signe à l'infirmière d'amener leur fils et de le placer dans les bras de sa dulcinée) : Bien sûr, tiens le voilà.

     

     

    (plus que ravie et berçant son petit garçon): Voici James Echolls, la nouvelle génération de la famille.

     

    (ravie et voyant que son petit garçon souriait) : J'ai l'impression qu'il est ravie.

     

    (heureuse) : Je suis entièrement d'accord. »

     

    Logan était plus qu'heureux. Jamais il n'aurait pensé avoir une famille comme celle qu'il avait aujourd'hui. Inspiré, il embrassa sa belle tendrement. Il ne pouvait s'empêcher de ressentir ses lèvres contre les siennes. Veronica elle, était plus qu'heureuse. Elle avait l'impression de vivre littéralement dans un rêve. C'était merveilleux à ses yeux. Elle prolongea cet instant puis regarda son fiston. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire.

     

    Pendant ce temps, Peyton était avec Jason, Adam son oncle et Shawn son ex. Pour le dernier, il était bien inconscient ne pouvant pas parler et surtout il avait été touché au niveau de l'épaule. Le sang coulait de la blessure. Est-ce que quelqu'un allait intervenir ? Le second Benett voulait raisonner la jeune demoiselle. Il savait que dans la famille Summers, s'il pouvait influencer un membre ce serait bien la jeune femme. Selon lui, elle était la plus influençable de tous. Il n'allait pas laisser l'occasion de pouvoir influencer les événements et ainsi arrêter cette bataille entre les deux familles. Adam pouvait éventuellement le gêner mais il n'allait pas reculer pour autant. Il lui mettrait la pâtée si nécessaire. Peyton, elle, voyait l'occasion d'attraper Jason et de l'avoir tout contre elle. Il était vrai qu'agir devant son oncle n'était pas le mieux mais elle ne laisserait pas une opportunité lui échapper. Elle jouera la fille perdue et désorientée pour le piéger. Elle effleura sa joue timidement baissant son regard pour mieux l'attendrir. Sa chaleur était si exaltante qu'elle rêvait de passer un moment charnel avec lui. Ce qui était le mieux en plus pour elle, c'était qu'elle pouvait se venger de Shawn en séduisant son meilleur ami. Seulement, Adam sortit vite sa nièce de ses pensées en s'énervant.

     

    (énervé) : « Non, mais tu vas arrêter ton cirque Peyton ? Tu vas écouter franchement notre ennemi. Qu'est-ce que va dire ton père et ton grand-père hein ? Reprends-toi, on a du travail à faire. Et puis Jason ne raconte que des conneries. Le meilleur moyen pour obtenir justice c'est de se venger de ses faces de rats.

     

    (déterminée en jouant la réfléchie pour mieux amadouer Jason) : J'ai le droit d'écouter qui je veux, de prendre moi-même mes décisions.

     

    (surpris) : Attends, tu n'es pas en train de prendre le parti de Jason ? Ne me dis pas ça. C'est un affreux cauchemar.

     

    (usant de répartie) : J'ai le droit de faire ce que je veux. Je n'ai pas besoin d'avoir un chaperon qui ose me contredire, alors tu vois si tu n'es pas content, tu te casses et vite fait c'est clair dans ta tête maintenant ?

     

    (énervé) : Arrête maintenant c'est clair ?

     

    (énervée) : Non, et je ne reviendrai pas sur ce que je viens de dire alors tu sais ce qu'il te reste à faire. Soit tu me soutiens, soit tu te casses ! »

     

    Adam était plus que surpris par l'attitude de sa nièce. Il ne savait plus quoi dire. Il voyait bien à quel point elle ressemblait à son frère. Il voulait la sauver et continuer avec elle leur mission mais c'était plutôt compromis. Disons qu'il ne pouvait pas faire grand chose aux aspirations de sa nièce car après tout elle était jeune et voulait faire sa propre expérience. Aurait-elle son propre plan pour agir contre les Bennet ? Là, Adam y songeait grandement et s'éloignait tout en gardant un oeil sur elle. Disons que si son frère apprenait que sa fille titillait un ennemi, il se mettrait lourdement en colère.

     

    Alors qu'il ne se doutait de rien du tout, soudain il sentit une arme sur l'arrière de sa tête. Bien sûr, il se demandait qui cela pouvait bien être derrière lui. Logan ? Bien sûr que non, il devait être avec sa dulcinée. James ? Il se doutait que son frère s'en occuperait. Là, la frayeur s'emparait de tout son être. Il savait que pour lui, le moment qu'un élément de son passé revienne à la surface n'était pas l'instant idéal. Il réfléchissait afin de savoir qui était derrière lui mais rien ne lui venait en mémoire pour le moment. Il se tourna pour voir qui était la personne et avec stupéfaction, il vit que c'était Stacy Caitlin Callahan, une jeune femme plutôt incisive avec son sens de l'humour bien à elle. 

     

    Entre Adam et Stacy, leur dernière rencontre avait été des plus explosives. En effet, Adam avait eu une relation avec la demoiselle mais dans un but bien précis. Il désirait accéder aux informations et auw armes de la belle qui travaillait au sein d'une organisation criminelle bien connue près de Neptune et qui est en constante expansion. Adam avait dû prendre des chemins semés d'embuches afin d'arriver jusqu'à elle. Il s'était fait passer pour un homme désirant les engager pour une mission qu'il avait inventé de toute pièce. Il s'était approché grâce au chef de la belle qui pouvait donner tout ce qu'il désirait. Naturellement, il voulait même plus de cette créature qui l'attirait. Il se mit à la séduire. Celle-ci le repoussait et ce avec détermination. Elle ne voulait pas un type dans son genre qu'elle en informa son chef. Celui-ci lui avait intimé alors de se rapprocher de cet inconnu et de connaître ce qu'il sait. Entre Adam et Stacy, cela était devenu un jeu de séduction. Les choses faisaient qu'avec le temps, la relation devenait plus sérieuse. Même, ils passèrent un moment des plus torrides. Seulement, Adam après ce moment était parti du jour au lendemain sans laisser aucune adresse. Stacy s'était retrouvée seule et incapable de dire où il était. Certes, elle ne ressentait pas de sentiments pour lui sauf que de se faire planter la rendait folle de rage. Après cet instant, elle avait tout fait pour le retrouver sur les ordres de son commanditaire. Elle avait mené son enquête découvrant son véritable nom mais aussi tout son historique familial. 

     

    Elle sortit vite de ses pensées lorsqu'Adam lui affichait un léger sourire. Elle ne supportait pas cet air supérieur qu'elle le gifla avec violence. Elle désirait lui rabattre son caquet. Adam garda sa main au niveau de sa joue. Il avait cependant mal à son égo. Jamais une fille n'avait agi comme cela avec lui. Stacy avait bien l'intention de lui faire payer l'affront qu'elle avait subi en le faisant bien souffrir et ensuite elle le ramènerait à son chef.

     

     

    (énervée) : « Espèce de connard, sale enfoiré, espèce de grand merdeux. Ca t'apprendra à me sourire comme si tu étais supérieur. Cette fois-ci, tu ne pourras pas t'échapper.

     

    (vexé) : M'insulter de tous ses noms, franchement, je te croyais plus raffinée que cela.

     

    (furieuse et le menaçant) : A priori, tu n'as pas envie d'avoir des enfants. Tu veux que j'abime ses parties pour voir peut-être ? 

     

    (calme) : Je sais que tu ne feras pas ce genre de chose. Tu tiens trop à moi pour me faire du mal.

     

    (le frappant violemment dans les parties avec un coup de pied, tirant sur ses cheveux et lui faisant du chantage) : Qu'est-ce que tu as dit déjà ? Oh, tu vois, tu as la preuve du contraire. Maintenant, tu vas être bien sage sinon je te tue sur place, c'est compris ? Je suppose que tu veux voir ta famille n'est-ce pas ?

     

    (surpris) : Mais comment ?

     

    (satisfaite) : Tu crois que je vais te donner mes sources peut-être ? Tu as commis une erreur en te comportant tel un enfoiré avec moi.

     

    (essayant de lui tenir tête) : En souvenir du bon vieux temps.

     

    (usant de répartie et lui donnant un autre coup dans les parties) : Je vais bien te les abimer que tu deviendras une véritable femmelette. Oh, pardon, tu l'es déjà, c'est bête. Que tu le veuilles ou non, tu me suis.

     

    (résigné et curieux) : A priori, je n'ai pas le choix en effet. Ma famille va subir également ?

     

    (calme) : Oh, c'est en fonction de ton entière collaboration. Sinon, ne t'inquiète pas, je les prendrai un par un et je les emmènerai dans un endroit si loin que plus jamais tu ne les reverras. En effet, je les tuerai si tu me défies encore.

     

    (résigné) : Je viens, tu as gagné. »

     

    Stacy était ravie de la tournure qu'avait pris les événements. Son commanitaire sera enchanté de sa réussite. Elle vit ce qui se passait avec l'ennemi d'Adam et la nièce de celui-ci mais elle préférait s'en occuper plus tard. Le fait d'avoir Adam était pour elle une carte maitresse pour des ambitions plus grandes et mystérieuses. Ils partirent tous les deux au loin évitant les policiers. Adam sentait qu'en étant seul et se comportant telle une chose vulnérable, il pourrait intervenir mais malheureusement, il n'avait pas pu. Stacy ne voulait plus se faire avoir par lui. Quand ils se retrouvaient seuls, celle-ci le frappa avec la crosse de l'arme sur la tête. Adam tomba au sol inconscient. Que comptait faire Stacy à présent ? Quelles étaient ses intentions ?

     

    Au même instant, John tenait son neveu et pouvait partir. Il ne savait pas où se trouvait son frère, son père ni même sa fille. Pour lui, le seul but était de sortir de l'hôpital surtout qu'Eleanore, son ex belle-soeur était à ses trousses. Il savait que c'était quelqu'un de coriace. Sam, son neveu, essaya de se sortir de son emprise. Seulement, c'était trop dur pour lui. John était quelqu'un de fort et surtout déterminé. Le motif de la vengeance envahissait tout son être. Il était devenu comme son père. Il ne tenait surtout pas à ce que Sam lui échappe. Les deux couraient à toute vitesse pour arriver vers l'une des sorties à l'arrière de l'hôpital. Sam était plus que fatigué alors John le prit sur ses épaules. Il était hors de question de s'arrêter.

     

    (obstiné) : « Tu restes là et on sortira bientôt. Si tu es sage, je t'offrirai ta glace préférée à l'italienne que tu aimes tant : celle à la vanille. »

     

    Sam s'était calmé. En même temps, il savait qu'il ne faisait pas le poids. John arriva près d'une sortie quand soudain Eleanore les rattrapa. Celle-ci ne voulait en aucun cas que John ne s'échappe. Elle lui en voulait terriblement pour sa soeur certes, mais là, il était question d'un enfant et ça, c'était quelque chose qui la mettait hors d'elle. Jamais elle n'avait eu l'occasion de voir son neveu et elle voulait pour lui le meilleur. Elle savait qu'avec John, cela ne serait pas le cas. Elle avait tout fait pour défendre sa nièce Peyton, mais John avait tout fait pour qu'Eleanore s'éloigne de la famille. Là, la belle policière ne lui permettra pas de gagner. Elle cria un bon coup pour le stopper.

     

    (énervée et pointant son arme vers John) : « Arrête ! Et relâche le petit !

     

    (usant de répartie) : Pourquoi je le ferais ? C'est mon neveu.

     

    (désirant l'amadouer en parlant du petit garçon) : Tu te rends compte de ce que tu as fait ? Là, l'enfant ne sera pas heureux. Tu le sépares de son père. Il a besoin d'être près de lui. Tu veux le meilleur pour lui n'est-ce pas ? Regarde-le et dis-moi franchement si tu le rends heureux.

     

    (obstiné) : Il ne l'a jamais été avec son père. Si celui-ci voulait le meilleur pour son fils, il n'aurait pas fait toutes ses conneries. La famille Summers apportera à ce jeune garçon tout ce dont il a besoin et pourra lui parler de sa maman. Alors maintenant Eleanore, laisse-moi partir !

     

    (déterminée) : Vu ce que tu as fait, je ne peux pas te laisser faire.

     

    (curieux) : Tu veux toi aussi le meilleur pour Sam n'est-ce pas ?

     

    (énervée) : Tu ne vas pas lui faire de mal dis-moi ?

     

    (désirant la titiller) : D'après toi ?

     

    (déterminée) : Avec toi, je ne sais pas du tout ce que tu peux réserver. Tu es quelqu'un d'imprévisible.

     

    (voulant la provoquer) : En fait, tu es en colère après moi non pas pour l'enfant mais du fait que je ne t'ai jamais choisi.

     

    (surprise) : Tu es complètement dingue.

     

    (souriant) : Je ne suis pas dingue, je suis quelqu'un qui sait ce qui veut et je vais protéger ma famille que tu le veuilles ou non. Alors tu sais ce que je vais faire ? Je m'en vais avec le petit. »

     

    Le jeune garçon Sam tenta de s'extraire de l'influence de son oncle une nouvelle fois, mais il voyait bien que c'était peine perdu. John, lui, allait ouvrir la porte quand soudain, Eleanore lui tira dans la jambe. Elle était satisfaite d'avoir stoppé son ennemi. L'ainé Summers n'était pas du genre à s'avouer vaincu. Il garda le jeune garçon commençant à partir. Eleanore ne voulait pas perdre le petit. Elle courut vite et attrapa le petit. Celui-ci était plus que soulagé d'être sorti des griffes de son oncle qu'il souriait. Il se blottissait dans les bras de sa jeune sauveuse. De son côté, elle était plutôt ravie de faire connaissance avec son neveu par alliance. Cependant, elle devait penser à faire son devoir. John en profita pour tenter de s'enfuir même blessé. Il n'était pas question pour lui de se faire arrêter. Cela serait pour lui un horrible cauchemar de par le fait qu'il était un Summers, qu'il était substitut du procureur, qu'il avait une réputation à défendre et qu'il voulait également se venger des Bennet puis des Mars. Seulement ses craintes allaient se réaliser. Eleanore, voyant la tentative du fugitif, le plaqua contre le mur et ce avec violence. Pouvoir l'arrêter était pour elle plus que jouissif. Elle plaqua sa tête tout contre le mur. John était complètement piégé. Il voulait bouger mais c'était impossible. Eleanore prit ses menottes dans sa poche, les passant à John. Ce moment l'exaltait complètement. Elle aimait arrêter les criminels. Cela aurait pu être plus compliqué pour elle d'arrêter un membre de sa famille, mais pas du tout. C'était quelqu'un qui désirait plus que tout protéger les innocents.

     

    (appliquant la procédure) : « John Summers, je t'arrête pour kidnapping et tentative de meurtre, Tout ce que tu vas dire sera retenu contre toi devant un procès. Tu as le droit à un avocat. Si tu n'en as pas, il t'en sera commis un d'office. As-tu compris tes droits ?

     

    (résigné) : Oui.

     

    (curieuse) : Où sont les autres ?

     

    (hostile) : Je n'en sais rien.

     

    (calme) : Tu nous diras ça au poste. »

     

    Eleanore accompagna John et Sam à l'extérieur. Elle était satisfaite du travail accompli. Elle passa la charge de John à un policier qui l'amena au poste. Pour Sam, elle le confia directement à un de ses collègues qui s'en occupera. Elle savait bien que sa mission n'était pas terminée. Allait-elle retrouver tout le monde et les mettre en sécurité ? Que va-t-il advenir de John ? Sam pourra-t-il retrouver sa famille ? 

    De leur côté, Jason et Peyton étaient tous les deux et ce, sans un Adam qui pouvait les interrompre. Pour le second Benett, le fait que la jeune fille ait agi ainsi montrait que sa stratégie fonctionnait à merveille. Il voulait l'amadouer et qui sait ce qu'elle pourrait faire après de bénéfique. D'un autre côté, il ressentait une certaine attirance pour elle. Il ne voulait pas y céder car il pensait à son meilleur ami. De plus, fréquenter une ennemie aurait été plus que mal vu et aurait provoqué des tensions au sein de la famille alors que ce n'était pas le moment.

     

    Jason sortit vite de ses pensées quand Peyton décida de poser son arme. Pour le second, c'était enfin un soulagement et il savait qu'il pouvait avancer. Pour la belle, se montrer vulnérable était le moyen idéal pour le piéger. Elle effleura gênée sa joue feignant d'être émue pour l'attendrir. Sa douce chaleur était enivrante qu'elle rêvait de ressentir son corps contre le sien.

     

    (jouant la gentille en effleurant le haut de son torse pour l'amadouer) : « Voilà, comme tu peux le constater, j'ai posé mon arme. Tu as dit que l'on pouvait parler alors je suis là. De quoi veux-tu que l'on parle exactement ? Il est vrai que tu m'intrigues grandement.

     

    (charmé et se montrant protecteur) : De tout ce que tu désires. Je sais que tu n'es pas une fille à faire du mal comme cela. Je sais ce que l'on est capable pour la famille, mais ce n'est pas une raison tu sais de commettre des atrocités. On est marqués à jamais. Qu'est-ce qui t'a décidé à tout faire pour elle au point même que tu sacrifies tout ce que tu souhaites accomplir ? Je trouve dommage que tu laisses ta vie de côté car tu mérites le meilleur.

     

    (jouant la fausse confidente en faisant une moue, effleurant le dessus de sa main le griffant pour éveiller du désir) : Ma famille est ce qui compte le plus à mes yeux. Les Summers étaient au début synonyme de respect. Les personnes pouvaient nous demander n'importe quoi. J'étais heureuse d'être respectée, choyée. Je pouvais avoir tout ce dont une fille pouvait rêver. Seulement la vie a basculé pour nous et ce à cause de Keith Mars. Il y a eu des choses qui se sont passées entre ma grand-mère et lui. Des tensions sont apparues, et cela ne s'est pas arrangé le jour où ma mère, ma tante et ma grand-mère sont mortes à la banque. Tu peux comprendre qu'on lui en veuille. Il faut ajouter que la mort de ma tante Jessica dûe à votre vengeance ne nous a que plus motivé pour obtenir justice. Tu me comprends ? En tout cas, merci à toi de penser à mon bien-être, je ne sais pas quoi dire. Je ne le mérite pas en plus. 

     

    (compréhensif en la prenant dans ses bras) : Je suis désolé pour tout ce qui est arrivé sincèrement. Mais même si la justice peut faire du bien, il y a une différence entre justice et vengeance. La barrière a été largement franchi au point que des innocents payent pour nos erreurs. Je sais qu'il n'est pas trop tard pour te racheter et je peux t'aider. Tu n'as qu'à me le demander, je ferai ce qu'il faut pour toi. Tu mérites ce qu'il y a de mieux et surtout ne te dévalorise pas. Tu es tellement charmante et capable de choses extraordinaires.

     

    (jouant la touchée en mordillant l'intérieur de sa main, procurant une douceur à son index et mordillant le début de son avant-bras pour le faire frémir) : Je ne sais pas quoi dire. Jamais on n'avait pris soin de moi comme tu tentes de le faire avec moi. Jamais on ne m'a autant valorisé ou complimenté comme tu le fais. C'était à croire que je ne méritais pas autant d'attentions ou même de goûter au bonheur.

     

    (influencé) : Je n'arrive pas à croire qu'aucune personne ne s'est occupé de toi comme tu le mérites. Tu es en droit d'attendre à des attentions dignes d'une reine. Je te complimenterai de telle sorte à rattraper l'injustice que tu as subi depuis tout ce temps.

     

    (se montrant entreprenante en léchant son avant-bras, griffant son bas-ventre et effleurant l'intérieur de sa cuisse pour l'émoustiller) : La reine que je suis sait ce qu'elle veut et je l'ai devant moi. Tu es l'incarnation même du monarque charmant, attentionné, canon et prévenant qu'une femme voudrait avoir à ses côtés.

     

    (troublé) : Si tu cherches à me faire rougir c'est plutôt réussi.

     

     

     

    (se montrant perverse en mordillant le creux de son cou puis léchant le haut de son torse frôlant son intimité pour le chauffer) : Ce teint rougâtre t'ira à ravir. Il te rendra davantage irrésistible.

     

    (charmé mais tentant de résister) : Tu es si belle, si charmante, mais on ne peut faire cela. Tu es avec Shawn.

     

    (titillant ses lèvres avec les siennes, griffant le bas de son dos et frôlant ses fesses pour l'enflammer) : Chut, je ne suis plus avec lui. Tu es le seul à me comprendre, à penser à moi, et je suis plus que touchée. Profitons de cet instant rien que tous les deux. Je suis tellement charmé par toi et par ton charisme.

     

    (influencé) : Tu es la beauté incarnée. J'aurai tellement dû te rencontrer plus tôt, car je sais qu'auprès de toi, je serai le plus heureux des hommes.

     

    (faisant une proposition en posant son front contre le sien et l'effleurant légèrement pour l'apâter) : J'aimerai que l'on passe plus de temps tous les deux et ce, sans que personne ne le sache, ça te dit ?

     

    (ne pouvant pas résister) : Je ne peux refuser une pareille proposition. Je suis plus que ravie de passer du temps avec toi. »

     

    Peyton s'aprocha de ce bellâtre effleurant le bas de sa jambe avec son pied et procurant une douceur à son oreille pour le troubler. Résister à la tentation était un tel supplice qu'elle voulait y céder sur le champ. Elle l'embrassa avec fougue et passion titillant sa langue avec la sienne dans une danse endiablée. La sensation de ses lèvres était si exquise qu'elle voulait y rester le plus longtemps possible. Jason était complètement charmé qu'il prolongea ce baiser le rendant des plus torrides. Il ne pensait plus au fait que la belle était avec Shawn. Il désirait pour elle braver tous les interdits, même sur le fait que leurs familles étaient ennemies. Il était tiraillé par les devoirs qu'ils devaient rendre aux siens. Cependant, il pensait au fait que cette famille avait pu faire du mal aux innocents. La belle désirait tant ressentir ses attentions. Elle guida sa main près de sa cuisse frôlant son intimité et l'incitant à le titiller pour l'exciter. Il était incapable de se contrôler qu'il se laissa faire faisant tout ce que la belle créature lui demandait. Entendant le bruit qu'il y avait autour, il redevenait lucide. Il prit la main de celle-ci faisant comme s'il l'amenait dans un endroit secret. Peyton se laissa faire pensant que Jason était plus que charmé par elle. Ils avancèrent lentement vers la sortie. Pendant le trajet, Jason regrettait vraiment ce geste, à croire que sa conviction pour défendre la famille n'était plus d'actualité. Arrivant à la sortie, Peyton perdit ses illusions. Un policier vint l'arrêter. Elle regarda Jason avec une certaine colère. Elle comptait bien lui faire payer cet affront même si elle désirait l'attraper dans ses filets. Le policier avait vu Jason mais celui-ci s'était vite eclispé pour qu'il ne l'arrête pas. Qu'allait devenir Peyton ? Pourra-t-elle avoir Jason ?

     

    Lors de sa marche discrète, il vit Sam qui était auprès d'un policier. Cependant, James n'était pas avec lui. Il s'inquiétait pour lui. Qu'allait faire Jason ? Choisira-t-il de rentrer pour chercher son frère ou de ne pas rester loin pour son neveu ? Telle était la question.

     

    Au même instant, Kathryn prodiguait les soins d'urgence à James qui ne s'était pas encore rendu compte que son ex cliente tentait de lui sauver la vie. Elle réussissait à le maintenir et ce, en faisant du mieux possible. James commençait à se réveiller. Il sentait que finalement, il pourrait peut-être survivre à ses blessures. Kathryn, elle, était satisfaite de son travail car finalement, elle pourrait se venger comme il se doit. Du bruit se fit entendre. Kathryn regarda un peu partout pour voir ce qui se passe. Elle était un peu effrayée de qui pouvait venir. Elle se tourna et vit des médecins. Elle était plutôt rassurée. Elle les guida vers James. Les médecins partirent vite vers lui remerciant Kathryn. James, dans un moment de lucidité, entendit le prénom. Il paniquait légèrement se rendant compte que l'on parlait de celle avec qui il avait eu une liaison.

     

    (surpris) : « Kathryn, c'est toi ?

     

    (se montrant bienveillante en effleurant le haut de son torse pour l'envoûter) : Bien sûr, et je suis là pour t'aider. Tu vas t'en sortir.

     

    (désorienté) : Pourquoi ? 

     

    (avouant de faux sentiments en l'embrassant doucement sur le front pour l'envoûter) : Parce que tu m'as manqué simplement. »

     

    James n'avait pas eu le temps de répondre que les médecins l'emmèrent au bloc. Allait-il s'en sortir effectivement ? Qu'allait-il arriver entre lui et Kathryn ?

     

    Pendant ce temps, Michael et Bianca arrivèrent à la salle de l'IRM. Le fait qu'elle se retrouvait seule avec Michael satisfaisait grandement la belle. Elle savait qu'elle pouvait sortir le grand jeu. Elle continuera à jouer la perdue pour le posséder. Michael, lui, effectua son travail en la guidant vers la table. Elle s'asseya comme il se doit le regardant d'un air plus que perverse. Elle désirait le dévorer tout cru. Il ressentait une attirance des plus grandes pour la belle, mais il se devait de se retenir. Il savait qu'avoir une relation avec une patiente n'était pas des plus déontologiques dans la profession. Pourtant, il la trouvait plus que ravissante et charmante.

     

    Bianca le sortit vite de ses pensées en caressant subtilement son épaule et son bras pour l'envoûter. Sa chaleur exaltait tout son être qu'elle voulait le ressentir contre lui. Ne rien ressentir auprès d'elle c'était tout bonement impossible tellement elle était pour lui un ange. Il tentait de résister mais c'était peine perdue.

     

    (jouant l'émue en effleurant innocemment le bas de sa jambe avec son pied et remontant près de son genou pour éveiller du désir) : « Je vous suis des plus reconnaissantes de vous occuper de moi comme vous le faites.

     

    (se montrant bienveillant et modeste) : Vous savez, je ne fais pas grand chose. Je ne fais que mon travail et puis, mon souhait le plus cher est que vous soyez au mieux.

     

    (se montrant charmante, le flattant, en griffant son bas-ventre et frôlant sa cuisse pour le faire frémir) : Vous faites plus que cela. Vous m'apaisez comme personne. Vous êtes si charmant, si attentionné. Peu de personnes font ce que vous faites. Ca me touche sincèrement. C'est grâce à vous si j'affronte les choses et ce, sereinement. Sans vous, je crois que je me serai effrondrée.

     

    (charmé et se montrant protecteur) : Vous allez me faire rougir. Je ne sais plus quoi dire face à de tels compliments aussi magnifiques. Jamais vous ne vous serez effondré. Je veillerai toujours à votre bien-être. Il est hors de question qu'il vous arrive quoi que ce soit. Je seraj triste sinon.

     

    (se montrant entreprenante en effleurant ses lèvres avec son index, mordillant son cou et léchant le haut de son torse pour l'émoustiller) : Comment comptes-tu, comptez-vous veiller à mon bien-être beau gosse ? J'espère que cela ne vous dérange pas que je vous tutoie. C'est que vous veillez sur moi comme personne que j'affronte les choses sereinement. Je ne sais pas du tout ce que j'aurai fait sinon.

     

    (essayant de résister) : Oh, cela ne me dérange pas, enfin, nous ne devons pas passer le cap du professionnel cependant. Je vais m'occuper de toi en te faisant passer l'IRM.

     

    (l'allumant en frôlant son intimité le malaxant légèrement et léchant son pouce pour le faire frémir) : Passons ce cap, ce n'est pas des plus intéressants surtout que je sais que tu ressens la même chose que moi : un désir que tu rêves de l'assouvir auprès de moi. Tu ne veux pas être frustré beau brun n'est-ce pas ? Je rêve déjà d'admirer chaque parcelle de ton corps, et je suis certaine que tu dois avoir un corps digne des dieux grecs.

     

    (se laissant influencé) : Je ne rêve que d'être auprès de toi. Tu me rends complètement fou. Je suis heureux d'être auprès de toi, de pouvoir t'admirer. Je rêve de pouvoir parcourir ton corps de déesse.

     

    (l'allumant en glissant ses mains sous son pantalon et boxer griffant sa cuisse et malaxant son intimité pour le torturer) : Dis-moi alors trésor que tu ne rêves que de faire qu'un avec mon corps dans un moment charnel, de pouvoir la placer en moi et de me faire crier comme personne. Je sens que tu désires tant cela, ne me dis pas le contraire.

     

    (charmé) : Tu n'imagines pas à quel point j'ai envie de ressentir ton corps auprès du mien. J'ai tellement envie de toi. Tu me rends carrément dingue. Tu es arrivé au moment où sans le savoir, j'avais besoin le plus de toi. Tu me procures un bien fou, J'imagine déjà la suite.

     

    (avouant de faux sentiments se montrant tentatrice en arrachant le haut de son bellâtre et griffant son torse en le léchant par endroit pour l'exciter) : Oh crois-moi bébé, je vais te procurer un bien tellement intense que tu m'en redemanderas encore et encore tellement tu vas crier de plaisir. Je ressens la même chose pour toi. Jamais je n'ai ressenti cela depuis tellement longtemps. Je te désire tellement fort.

     

    (incapable de résister) : J'ai envie de te ressentir auprès de moi trésor. Je te veux tant. C'est un supplice que de ne pas t'avoir auprès de moi.

     

    (jouant la coquine en léchant son index puis son avant-bras pour le titiller) : C'est l'occasion de réaliser ton rêve le plus fou mon beau brun. En retour, je réaliserai tous tes fantasmes. C'est un beau programme n'est-ce pas ?

     

    (complètement troublé) : Tu me tentes comme personne, t'imagine même pas. Oh, toi viens par là. » 

     

    Bianca regarda son beau mâle avec envie et déléctation mordillant son index pour le tenter. Elle désirait le rendre complètement fou d'elle qu'elle pourra lui demander n'importe quoi. Ce regard déstabilisait complètement le jeune homme. Il fondait littéralement devant elle. Il rêvait de ressentir la belle créature tout contre lui et de lui montrer à quel point il la désirait tant. Elle agrippa la cuisse du bellâtre avec sa jambe griffant le haut de son dos et léchant sa joue pour le provoquer. Sa chaleur l'enivrait littéralement qu'elle désirait en ressentir davantage. Elle sentait bien que le beau gosse était sous son charme et cela flattait grandement son égo. Elle fit mine de l'embrasser en mordillant sa lèvre en sang et la léchant pour l'exciter. Il n'en pouvait plus d'être loin d'elle. Cela le rendait dingue son petit jeu. Sa beauté était tellement resplendissante qu'il ne voyait rien de la manoeuvre de la belle. Il était donc plus que séduit. Il la rapprocha de lui commençant à caresser le corps de la belle au niveau de sa cuisse. Elle aimait tant cette attention qu'elle se cambra pour la ressentir davantage. Elle vint tout près de ses lèvres posant son front contre le sien et l'embrassant avec fougue et passion titillant sa langue avec la sienne dans une danse torride. La sensation de ses lèvres était des plus intenses qu'elle ne voulait en aucun cas les quitter. Jamais elle n'avait ressenti une telle sensation auparavant. Cet homme le troublait et l'attirait comme personne. Lui, était plus qu'influencé par ce moment. Il aimait être auprès de cette belle créature. Il prolongea ce baiser en le rendant bien torride. Les deux étaient tellement bien l'un auprès de l'autre qu'on avait l'impression que le temps s'arrêtait tout autour. Michael désirait tant résister à l'attraction qu'avait la diablesse sur elle, mais elle avait bien trop de pouvoir. D'ailleurs, il aimait tant qu'elle en ait sur lui. Elle l'incita à enlever ses vêtements procurant une douceur à son intimité pour l'inciter au vice. Il était incapable de résister à la tentation. Il s'exécuta enlevant les vêtements de cette créature et l'embrassant dans le creux de son cou. La lingerie qu'il pouvait voir la mettait encore plus en valeur qu'il était rempli d'admiration. Il avait l'impression que cette femme était arrivée dans sa vie rien que pour lui permettre de repartir sur de bonnes bases. Pour la belle, c'était si exaltant qu'elle en poussa des gémissements de plaisir. Il aimait la voir ainsi qu'il afficha un sourire bien coquin. A partir de cet instant, Bianca savait qu'elle pouvait passer à la vitesse supérieure et elle n'allait pas se gêner pour le faire.

     

    Elle serra son emprise sur la taille de celui-ci procurant une douceur à son nombril et atteignant presque son intimité pour le déstabiliser. Il était carrément enchanté de cette attention. C'était pour lui un moment mémorable et rempli de saveurs. Jamais une telle femme ne lui avait procuré un effet pareil. Cette proximité enivrait littéralement son être qu'elle désirait ressentir son corps contre le sien. Elle baissa son pantalon et boxer procurant une douceur à son intimité en faisant des va et viens torrides et léchant sa cuisse pour le faire frémir. Il en poussa des gémissements de plaisir tellement elle lui procurait un bien fou. Il désirait tant parcourir chaque parcelle de son corps et le contempler à sa juste mesure. Il voulait la combler littéralement telle une reine. Elle bouillait littéralement de désir à son contact. Elle le couvra de baisers sur tout son torse le mordillant et pinçant ses fesses pour le dérouter. Elle aimait cet instant qu'elle voulait en savourer d'autres. De son côté, il était plus que dépendant des attentions de la belle. C'était comme si elle avait utilisé de la magie sur lui pour l'envoûter. Elle savait qu'elle avait un pouvoir sur les hommes et en voyant l'attitude de Michael, elle se rendait compte que celui-ci avait augmenté. Elle l'emmena tout près de lui afin de vivre cet instant qu'elle rêvait tant. Il se laissa faire tellement il aimait être avec elle. A ses yeux, c'était une déesse comme on n'en faisait plus. Il remonta ses baisers au niveau de son nombril la mordillant puis arrivant à sa poitrine où il procura des douceurs incomparables. Elle voulait ressentir davantage d'attentions tellement elles étaient exquises. Michael lui était complètement dépendant de ce corps sexy qu'il était capable de procurer des attentions le plus longtemps possible. D'ailleurs, il en aura l'occasion. En effet, la belle coinça la tête de son beau gosse au niveau de sa poitrine afin de ressentir davantage d'attentions. C'était un tel enchantement de saveurs qu'elle s'en mordilla la lèvre d'un désir inextricable. Elle ne pouvait plus tenir. Pour lui, c'était la même chose. 

     

    Bianca était pour Michael une bouffée d'air frais, un moyen de guérir et de passer à autre chose. Depuis si longtemps, le souvenir de sa bien-aimée l'avait littéralement hanté qu'il avait préféré fuir. En étant auprès de Bianca, il songeait sérieusement à être auprès d'elle, même se préoccuper de sa santé. Le fait qu'elle n'aille pas bien, que ses migraines l'empêchent de vivre étaient pour lui un crève-coeur. Il trouvait injuste qu'une femme comme elle puisse vivre une telle épreuve. La belle, elle, voyait une occasion d'être auprès d'un homme et d'obtenir tout ce qu'elle pouvait désirer. Là, elle l'emmena tout près de lui et le mit sur le dos, se mettant ensuite à califourchon sur lui. Il se mordilla la lèvre de désir tellement il était dingue de la belle. Elle aimait l'avoir à sa merci qu'elle comptait en profiter comme il se doit. Elle l'incita à enlever sa lingerie pour lui vendre une vision de rêve en le guidant vers tout son corps. Le bellâtre était plus que séduit. Il s'exécuta parcourant lentement le corps de celle-ci. C'était d'une douceur pour lui à faire palir le diable en personne. En voyant le résultat, il n'en croyait pas ses yeux. Elle était à ses yeux une femme parfaite. Avant, il pensait que ce n'était pas possible mais pourtant, elle était là, devant ses yeux. Il ne pouvait pas résister à une telle beauté. Aucun homme ne le pouvait, c'était impossible. Elle frissonnait littéralement à son contact. Elle malaxa coquinement avec ses mains l'intimité de son beau gosse le titillant avec la langue sur les lèvres de celui-ci pour l'enflammer qu'il deviendra incontrôlable. Elle aimait jouer c'était plus fort qu'elle. En voyant le regard de celui-ci tellement admiratif, elle déduisait qu'il aimait également s'amuser. En effet, elle visait juste que celui-ci lui murmura à l'oreille qu'elle était une véritable coquine. Aimant ce doux mot, elle avait trop envie de le provoquer. Elle lui procura une douceur à son oreille lui murmurant qu'il n'avait pas tout vu et léchant sa joue pour l'hypnotiser. Le fait qu'il puisse jouer avec elle, cela rendait l'homme à ses yeux encore plus irrésistible. Il était de son côté tellement heureux qu'il afficha un sourire radieux. Elle voulait le voir perdre ses moyens et elle était capable de tout. Elle mordilla son cou jusqu'à en laisser une trace le léchant jusqu'au haut de son torse et effleurant l'arrière de sa cuisse pour le déboussoler. Le désir s'emparait de tout l'être du jeune homme. Il voulait tant céder à ses envies.

     

    Il était incapable de réfléchir face à cette jeune femme. Au début, il voulait résister, sachant très bien que la relation patient/médecin ne passait pas mais maintenant il était capable de tout pour les yeux de la belle déesse. Il procura une douceur vers le bas-ventre de la jeune femme levant la jambe de celle-ci et l'embrassant de tout le long. Elle voulait le croquer sur le champ tellement elle le désirait. Son corps parlait littéralement comme si elle le réclamait. Elle le guida vers son intimité l'incitant à le titiller et ce avec ses doigts pour le désarçonner. Tellement charmé, il voulait la combler à croire même qu'il commençait à ressentir des sentiments pour celle-ci. Il commença sa manoeuvre y allant au début lentement et accélérant. C'était tellement inoubliable qu'elle en poussa des gémissements de plaisir. Elle avait trouvé la perle rare et il était hors de question qu'elle lui échappe. Lui, était tellement influencé par la belle qu'il la couvra de baisers sur tout son corps. Cet instant était pour elle parfait qu'elle se mordilla coquinement l'index caressant sa poitrine avec l'autre main pour l'apâter. Il ne pouvait pas résister à un visage à la fois angélique et diabolique. Elle mordilla son torse le griffant bestialement pour le déstabiliser. Le désir la submergeait littéralement. Il avait tellement chaud, c'était tellement intense pour lui qu'il désirait lui montrer à quel point il comptait pour elle. Il se rendait compte qu'elle lui faisait un effet bien plus grand qu'une simple attirance. Elle fit des va et viens torrides avec ses mains sur son intimité l'achevant avec des coups de langue coquins jusqu'à son nombril le mordillant pour le mettre au supplice. Ce moment était pour le jeune homme des plus intenses. Il l'avait littéralement dans la peau.

     

    Pour Bianca, ne pas le sentir pleintement en elle était une torture. Elle voulait absolument vivre cet instant torride. Rien qu'avec les attentions qu'il lui avait procurées, elle savait qu'il la ferait vibrer littéralement. Il la couvra de baisers au niveau de sa poitrine la malaxant légèrement. C'était exquis qu'elle en voulait davantage. Elle l'incita à descendre plus bas. Elle ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin. Voir sa déesse aussi comblée était pour lui le plus beau cadeau qui soit alors il ne comptait pas la décevoir. Il descendit ses baisers allant jusqu'à son intimité en le titillant avec sa langue et lui procurant une douceur. Elle aimait tant cet instant. Elle le tourna en le mettant sur le dos et plaçant ses mains à l'arrière pour l'avoir à sa merci. Elle aimait tellement avoir le contrôle. Elle prit son intimité à pleine bouche griffant ses cuisses pour le rendre complètement fou de désir. Il ne pouvait se retenir qu'il en poussa un gémissement. Il aimait tant ce que la belle lui procurait. Elle aimait cette chaleur, et elle en était plus qu'accro. Elle voulait passer à la dernière phase. Elle bougea telle une tigresse près de son intimité jouant de sa poitrine contre son corps et léchant son cou pour l'avoir en son pouvoir. Il était accro à la belle et même il voulait voir où est-ce qu'elle pourrait aller dans ses attentions. Il titilla les lèvres de celle-ci frôlant ses fesses et son dos. Ce moment était inestimable pour elle, et cela l'incitait à continuer sa manoeuvre. Elle savait qu'elle irait jusqu'au bout. Plus que perverse, elle griffa sauvagement son torse le mordillant et guidant les mains sur son corps pour le désorienter. Il vibrait complètement. C'était pareil pour elle. Le désir les avait complètement rongé qu'ils ne pouvaient résister à l'appel de la chair et du vice. Elle sentait qu'en le voyant sur la même longueur d'ondes qu'elle, elle pouvait le croquer.

     

    Elle s'empala sur son intimité bougeant telle une diablesse et griffant son torse sauvagement en le léchant. Pour elle, l'instant devait être mémorable que sa cible serait complètement obsédée par elle. Elle rapprocha encore plus son corps près d'elle avec sa jambe. Elle désirait le sentir pleinement en elle. Il se laissa faire. Il voyait qu'ils allaient enfin passer aux choses sérieuses et cela le satisfaisait. Les deux passèrent à l'acte dans un moment des plus charnels. C'était tellement torride, intense et sauvage que le bellâtre se libéra. Pour lui, ce moment, il n'y avait pas de mots. La belle avait su vaincre sa carapace. Elle poussa elle des cris d'un plaisir plus qu'intense et mémorable. Jamais un homme n'avait réussi à lui faire atteindre le septième ciel comme lui il venait de le faire. Epuisée, elle se blottit contre lui. Michael la prit avec grand plaisir. Ensemble, ils se reposèrent certes dans un endroit inadapté, mais ils avaient l'impression d'être seuls au monde. C'était comme si tout ce qui se passait autour ne les atteignait nullement. Qu'allait-il arriver entre eux ?

     

     

    De leur côté, Derek et Jessica arrivèrent sur les lieux de l'hôpital où la police menait les opérations. En arrivant, Jessica repéra vite Jason et incita Derek à aller vers lui. Il lui tardait de savoir où est-ce que son frère se trouvait et comment cela se passait. Pour le substitut, c'était plus compliqué d'aller voir un ex agent du FBI. Il admirait le travail exemplaire de celui-ci et même ses valeurs mais être tombé dans l'illégalité en voulant se venger avec son frère de leur père, cela en était trop. Cette vengeance avait conduit beaucoup d'innocents à souffrir. Pour Derek, cela était inacceptable. Jason, de son côté, entendit du bruit venant vers lui. Il se posait d'innombrables questions sur qui pouvait venir. Il craignait un policier mais en se tournant, il vit Jessica. Il était à la fois heureux de la voir mais aussi triste, sachant qu'il devait lui annoncer que Shawn, son frère, était toujours à l'intérieur et blessé. Voir Derek, le substitut du procureur, était pour le second Bennet, un soucis. Il ne savait pas du tout ce qu'il pouvait faire, et c'était problématique.

     

    Jason sortit de ses pensées en sentant la main de Jessica sur son épaule. La belle souriait rassurée de voir au moins quelqu'un de l'équipe sauf, mais elle était curieuse de savoir où en était la situation. Elle était même trop enthousiaste de lui donner de bonnes nouvelles et ce avec Derek.

     

    (heureuse) : « Je suis si heureuse de te revoir. Comment tu vas ?

     

    (calme et distant) : Pour les circonstances, on fait aller, mais cela n'est pas fini.

     

    (curieuse) : Comment ça ?

     

    (préférant détourner la question) : Au tour des demoiselles d'abord. Dis-moi quelles sont les nouvelles ?

     

    (enthousiaste) : Jason, je te présente Derek Collins, le substitut du procureur qui se chargera d'enfermer les Summers derrière les barreaux. Et Derek, je te présente Jason Bennet.

     

    (calme) : Enchanté Jason.

     

    (calme) : Enchanté.

     

    (curieux) : Vous savez que vous allez devoir payer vos actes et que vous serez arrêtés ? .....

     

    (agacé et inquiet) : Je ne peux pas. Il y a mon neveu, puis mon frère et mon meilleur ami qui sont encore dans les ennuis. Je ne peux pas partir comme cela.

     

    (compréhensif mais désirant faire appliquer la loi) : Vous savez que je n'ai pas le choix.

     

    (inquiet) : Je dois les sauver. Mon frère et mon meilleur ami ont des ennuis. Ils sont aux prises avec les Summers.

     

    (curieux) : Quelle est la situation ?

     

    (effrayé) : J'ignore où est mon frère et mon meilleur ami est blessé. En plus, je ne sais pas combien il reste de Summers. Peyton a été arrêtée. J'ignore où sont les frères et Jack. 

     

    (pleurant) : Non, dis-moi que c'est faux, non pas ça, non !!!!!!!!!! »

     

    Jessica désirait rentrer mais Derek, inquiet pour elle l'en empêcha en la prenant dans ses bras. Il se sentait coupable de la discussion qu'il avait pu avoir avec Jason que son seul but était de protéger la belle. Pour Jason, il voulait y aller mais il savait que s'il ougeait le moindre petit doigt, s'il était visible, il serait arrêté. Qu'allait donc faire les trois ? Auront-ils une stratégie pour les personnes encore à l'intérieur ?

     

    A l'extérieur des lieux, Stacy conduit Adam vers son chef. Le second Summers était encore dans les vappes. Il se réveilla et vit qu'il se trouvait dans un endroit désaffecté. Il ne reconnaissait pas l'endroit et ça lui faisait peur. Il essaya de s'échapper mais Stacy avait vu sa tentative qu'elle l'avait avant de venir attaché soigneusement. Une silhouette vint vers eux. Stacy avait-elle emmené Adam vers son commanditaire ? Plus la silhouette s'approcha, plus on put distinguer que c'était une femme plutôt charismatique avec un visage d'ange. Elle ne dit absolument rien. C'était effrayant. Elle s'arrêta devant Adam qui fut stupéfait et charmé. Elle voulait montrer sa suprématie et jouer avec ses ennemis. Elle aimait cela. Etait-elle pour autant le chef ? Là, telle était la question.

     

    En tout cas, elle s'appelait Madison Penelope Harlington et on pouvait dire de cette demoiselle qu'elle était bien mystérieuse. Personne ne connaissait réellement son passé, et elle aimait cultiver le mystère pour mieux se protéger. Elle ne désirait en aucun cas souffrir ou même se faire avoir par n'importe qui. Elle prit le visage de son ennemi l'effleurant légèrement pour jouer celle attentive. Seulement, elle comptait lui faire payer son insolence.

     

    (effleurant lentement sa joue et jouant la protectrice) : « Oh, comme tu as l'air si fatigué, si faible. Je vais te remettre sur pied.

     

    (surpris et déstabilisé) : Oh, c'est gentil, merci, sincèrement.

     

    (approchant doucement de son oreille comme pour lui procurer des attentions mais à la fin, elle lui met un coup dans les parties) : Quel idiot tu fais, non mais quel crétin. Tu pensais sincèrement jouer de moi ? Tu pensais sincèrement m'avoir telle une idiote ? Non, mais tu as fumé ou quoi ? Tu as berné Stacy il y a longtemps mais avec moi non. Tu vas payer pour ton insolence et je vais te faire souffrir comme tu n'as jamais souffert. Oh, crois-moi, tu me supplieras ensuite de te tuer tellement tu souffriras le martyr. Voilà la conséquence de ton acte stupide et si jamais tu tentes quoi que ce soit, ta famille souffrira.

     

    (effrayé) : Ne fais pas....

     

    (posant son index sur ses lèvres pour l'interrompre) : Si tu continues comme cela, je te torturerai davantage. Plus tu pleurniches et plus je te transformerai en une femmelette, t'as compris ? »

     

    Adam était bien effrayé par cette jeune femme qui savait ce qu'elle voulait et elle ne semblait pas rigoler du tout. Qu'avait-elle prévu pour lui ? Qu'avait-elle prévu pour les Summers ? Quelles étaient ses intentions ?

     

    Du côté du domicile du substitut, Mackenzie attendait avec impatience son ami. Elle vit l'heure s'approcher à grand pas. Elle craignait que celui-ci ne vienne pas. Soudain, la sonnette retentit. Il se trouvait que c'était lui. Il s'appellait Connor Oliver Bennet, un rapport avec Jason et James ? C'était le cas car il était pour eux leur cousin. Celui-ci était ami avec Mackenzie depuis plusieurs années et il suivait les mêmes études qu'elle dans les sciences humaines. Il était plutôt introverti et solitaire. Mackenzie, elle, était plutôt populaire mais elle désirait bien plus qu'une relation sans aucune saveur. Elle était plutôt attirée par le jeune homme et elle était venue vers lui en se montrant des plus protectrices quand celui-ci avait eu affaire à des brutes épaisses faisant partie d'un gang. Connor était des plus reconnaissants envers la belle qu'au fur et à mesure, ils sont devenus amis. Seulement, la belle voulait bien plus que cela. Ses intentions étaient plus que mystérieuses. En tout cas, elle se montrera charmante, protectrice et entreprenante pour le piéger.

     

    Elle sortit de ses pensées quand la sonnette retentit une deuxième fois. Elle alla tranquillement vers la porte l'ouvrant et elle vit son petit chou. Elle vint immédiatement auprès de lui l'embrassant sur la joue atteignant presque le coin de ses lèvres pour le troubler. Cette sensation était si exaltante qu'elle désirait le ressentir contre elle dans un instant torride. Pour lui, il était plus qu'heureux de revoir la belle demoiselle. A ses yeux, elle était toujours aussi splendide et ce baiser sur sa joue était agréable qu'il en rougissait. La belle effleura sa joue pour le troubler. Elle aimait tant cette douce chaleur.

     

    (se montrant attentionné et prévenante en le flattant et en effleurant son épaule pour le troubler) : « Je suis si heureuse de te retrouver Connor. Tu m'as tant manqué tu sais. Tu es d'une telle élégance et si charmant.

     

    (rougissant) : J'arrive et tu me fais déjà rougir. Si ça continue, je deviendrai rouge écarlate. 

     

    (le flattant en effleurant subtilement sa main embrassant le dessus pour le désorienter) : Cela te rendra encore plus irrésistible comme cela.

     

    (gêné) : Je ne sais plus quoi dire sur le coup.

     

    (se montrant serviable en effleurant innocemment son épaule et son cou le griffant légèrement pour l'hypnotiser) : Ne dis rien bel ange et profitons de rattraper le temps perdu toi et moi, ça te dit ?

     

    (plus qu'influencé et souriant) : Je serai plus que ravi.

     

    (se montrant charmante en mordillant le début de son avant-bras et griffant son poignet pour éveiller du désir) : Allez, rentre. »

     

    Connor rentra écoutant la belle. Celle-ci laissa une petite ouverture. Il passa au plus près du corps de la belle. C'est que celle-ci désirait ressentir sa douce chaleur contre elle. Elle voulait lui faire éveiller un désir. Il était plus que troublé par la belle. Il pensait qu'elle était hors d'atteinte sachant qu'elle était la soeur du substitut du procureur alors il se refusait de céder à ce qu'il ressentait pour elle. Seulement pour Mackenzie, elle comptait bien l'amener à vivre un instant torride. Arrivera-t-elle à obtenir ce qu'elle désire ?

     

    De son côté, Keith était face à Jack. Il ne bougea pas de peur que son ex ami ne tire. La tension était plus qu'à son comble. Keith tenta de bouger mais il était vite stoppé. Keith n'avait qu'un seul moyen pour s'en sortir : négocier. Cela ne sera cependant pas facile.

     

    (calme) : « Jack, on peut très bien ne pas arriver à cette extrémité. On peut discuter et trouver une solution non ?

     

    (énervé) : Tu te fous de moi ? Alors que tu veux que rien ne soit révélé mais tu as fumé ? Tu ne penses qu'à ton cul.

     

    (inquiet) : Je ne veux pas qu'il arrive quelque chose à Veronica.

     

    (furieux) : Non, mais là, quel connard. La vérité est souvent la meilleure chose à dire. Tu lui as assez menti comme cela. T'imagine ce qu'elle va dire si elle l'apprend d'elle-même ? Elle va te tuer.

     

    (déterminé) : Je ne veux pas qu'elle l'apprenne.

     

    (fou de rage) : Tu n'as pas le choix. »

     

    Keith continua son chemin. Veronica, elle, après s'être reposée, en avait profité pour se balader avec Logan et le hasard a fait qu'ils passaient lors de la discussion entre Jack et Keith. Soudain, Jack tira sur Keith qui s'écroula sur place. Veronica cria en voyant la scène. Elle était paniquée à l'idée de perdre son père. Elle comptait aller vers Jack pour régler ses comptes. Elle n'allait pas laisser une chose comme cela impunie. Cependant, Logan, même s'il était effrayé, pensa à son fils et au fait qu'il ne pourra pas vivre sans sa mère. Il ne voulait pas perdre sa dulcinée. Il la retint, espérant que cela suffira. Qu'allait faire Veronica ? Logan saura-t-il la retenir ? Jack révélera-t-il le secret ? Si oui, s'avèrera-t-il explosif ?

     

    Fin du chapitre. 


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