• Chapitre 20 : Au nom de mon fils (1/2)

    Chapitre 20 Au nom de mon fils 1
     

    Dick, Shawn, Jessica, James avec Sam attendaient depuis quand même un certain temps que Jason ait terminé avec le médecin. Seulement la menace des Summers planait sur leur tête, et le petit Sam devait être protégé coûte que coûte. Il était temps pour le petit groupe de se séparer, enfin que Dick et Jessica se protègent et que James prenne soin de son fils.

     

    (prenant son courage à deux mains) : « On doit jouer notre rôle chacun de notre côté.

     

    (inquiète) : Je ne suis pas rassurée pour autant. Je ne veux pas qu'il arrive quoi que ce soit à aucun d'entre vous.

     

    (prenant sa soeur dans ses bras pour la réconforter) : Ne t'inquiète pas, on réussira à s'en sortir, mais par contre, toi, tu devras faire une chose.

     

    (curieuse) : Laquelle ?

     

    : Faut trouver quelqu'un de non corrompu par la justice et qui pourra mettre les Summers derrière les barreaux pour un paquet d'années.

     

    (inquiète) : Je sais que cela ne doit pas être facile pour toi de dire cela.

     

    (se confiant) : Je t'avoue que c'est dur, que je me suis dit que Peyton était exceptionnelle mais malheureusement elle a choisi sa famille et de nous faire du mal. Je l'aime encore, mais je ne peux cautionner qu'elle fasse des choses horribles.

     

    (curieuse) : Pourtant tu as accepté ce qu'a fait James et Jason ?

     

    (se confiant) : J'ai toujours été réticent, mais ils font partie de ma famille avant tout et je préfère les soutenir. Leur souhait est simplement louable : vouloir le meilleur. La différence avec les Summers est tout autre : ils veulent la destruction.

     

    (intervenant) : C'est vrai que l'on ne se connait pas trop Shawn mais je te remercie pour tes mots. Je pensais être mauvais, mais finalement, ce n'est pas le cas.

     

    (le rassurant) : On sait que toi et les tiens, vous êtes des personnes bien.

     

    (souriant) : C'est plus que gentil, merci.

     

    : Alors je vais partir avec Dick trouver une personne intègre.

     

    : J'espère que tu vas y arriver.

     

    (le rassurant) : Ca va aller et puis je ne suis pas seule. Il y aura mon homme avec moi.

     

    (heureux) : Oh, j'aime quand tu m'appelles ainsi. Ca me donne de merveilleuses idées si tu vois ce que je veux dire.

     

    (souriant) : Oh, mais les idées ne se concrétiseront pas. On doit accomplir notre devoir.

     

    (déçu) : D'accord. »

     

    Dick était déçu par ce que Jessica lui avait dit mais il essayait de ravaler sa fierté. Après tout il y avait bien plus en jeu à cet instant. Par contre, il souhaitait parler après à Jessica pour s'expliquer. Y aura-t-il une dispute ou bien une vive explication ? Jessica s'empressait de faire un câlin à son frère partant ensuite avec Dick loin de l'hôpital. Ce lieu risquait d'être un affrontement sans précédent. Shawn, en proposant à sa s?ur de prévenir quelqu'un de non corrompu, désirait simplement protéger sa soeur. Il ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose. James sortait Shawn de ses pensées en posant sa main sur son épaule.

     

    : « Nous devons aussi nous y mettre Shawn.

     

    (calme) : C'est vrai. Faites attention Sam et toi. Les Summers sont plus qu'impitoyables maintenant.

     

    : Je sais. Ne t'inquiète pas pour nous.

     

    : Tu sais c'est normal si je fais cela.

     

    (reconnaissant) : Merci à toi, mais maintenant on doit se mettre au travail. Reste ici, attends de voir ce qui se passe avec Jason et protège-le.

     

    : Tu peux compter sur moi. »

     

    James s'éloignait avec son petit garçon laissant Shawn en tant que garde du corps. Pendant ce temps, Jason était soigné par le médecin. C'était assez douloureux mais il cachait sa douleur en attendant que ça passe. Le médecin terminait rapidement et laissait Jason se rhabiller. Soudain le silence pesait sur la salle d'examens. Jason ne remarquait rien sur le moment. Il regardait un peu partout, et là, il voyait le médecin carrément à terre et inconscient. Jason se précipitait vers celui qui l'avait aidé et en prenant son pouls, il se rendait compte que celui-ci était mort. Soudain, il entendait un petit clic, un qu'il connaissait si bien. C'était celui d'une arme à feu. Alors il se tournait vers le bruit et il remarquait son ennemi : Adam. C'était celui qui lui avait tiré dessus alors qu'il tentait de fuir avec son neveu. Dès lors, Jason allait se précipiter sur Adam, mais celui-ci se montrait bien menaçant que le deuxième des Bennet se stoppait. Jason jouera le provocateur pour désorienter Adam suffisamment longtemps qu'il pourra user de sa parade sur lui et enfin l'arrêter. Le plan de l'appât avait bien fonctionné. Cependant il avait pensé voir toute la famille et non seulement le deuxième des Summers.

     

    (jouant sur la provocation pour voir jusqu'où ira son adversaire) : « Je ne négocie jamais avec les terroristes dans ton genre connard !

     

    (gardant son calme) : Terroriste moi ? Qui est un hors la loi de nous deux hein ?

     

    (continuant la provocation pour le titiller) : Seulement moi j'ai la liberté de faire ce que je veux et te botter le cul comme ça me chante. Tu as la loi derrière toi. Sauras-tu la franchir en me tuant dans cet endroit et en public ? Tu n'es qu'un lâche, une femmelette. Comment dire, tu n'es pas capable de garder une femme ou de garder quelqu'un avec toi. Tu n'es qu'une merde que je peux écraser en un claquement de doigts.

     

    (énervé) : Et toi, qui n'est pas capable de garder ne serait-ce qu'un frère en vie, ou même un neveu. Car crois-moi, on va récupérer Sam, et James mourra. Tu ne pourras l'en empêcher. Oh, pardon, j'ajoute aussi que Logan et Veronica seront également morts. Alors que tu sois ici avec moi est un cadeau à mes yeux, car j'aurai la chance d'écraser ta face de rat une bonne fois pour toute. Je ne t'ai pas tué la première fois, mais cette fois-ci je t'aurai une bonne fois pour toute.

     

    (le provoquant davantage pour voir son action) : Alors pour que tu me l'écrases avec tes mains de gonzesse, essaye de m'attraper pour voir.

     

    (énervé) : Cela en est fini de toi Jason. Prépare-toi à crever ! »

     

    Jason s'approchait lui collant un bon coup de poing qui désorientait sa cible et partait. Là, il trouvait Shawn à terre. Il avait dû être surpris par Adam. Il lui donnait de bonnes gifles pour le réveiller.

     

    (pressé) : « La belle au bois dormant, on se réveille ! Allez plus vite que ça gros béta !

     

    (faible) : Quoi ? Qu'est-ce que c'est ?

     

    (pressé) : C'est moi, arrête de parler et courrons dans un endroit tranquille. C'est qu'on a un connard aux fesses. »

     

    Jason relevait Shawn et ensemble ils s'éloignaient alors qu'Adam venait vers eux. Il tirait sans sommation dans le couloir. Jason faisait signe à toutes les personnes de se baisser. Les gens courraient partout. Adam était bien énervé qu'il continuait à tirer. Jason et Shawn évitaient les balles. La course-poursuite les menait à un endroit de l'hôpital plutôt désert car en travaux. Ils se stoppaient nets. Qu'allaient-ils arriver entre les trois ? De son côté, Veronica était inconsolable. Jamais elle n'avait imaginé qu'une telle chose puisse se produire. Elle voulait se lever, elle voulait tout faire pour retrouver son enfant et se venger de Peyton. La sage-femme donnait un sédatif à la jeune mère pour la calmer et a donné l'alerte pour retrouver l'enfant au plus vite. La sécurité était en alerte. Au niveau des urgences, ayant entendu ce qui s'était passé dans le couloir et ne pouvant pas décrire ce qu'était le bruit, c'était la panique totale. Les patients étaient dans tous leurs états et les médecins étaient débordés. Cependant, l'un d'entre eux menait mieux les choses. Il était volontaire, organisant bien les choses. Il s'appelait Michael Evan Watkins. Il était un médecin urgentiste travaillant pour aider les autres car cela lui permettait de mieux cacher sa vulnérabilité et les blessures du passé. Il était arrivé en ville depuis moins d'une semaine pour éviter de penser au passé. Il habitait à New York, une ville plutôt animée. Il était heureux auprès de sa femme et de son petit garçon jusqu'à ce qu'un soir, alors que la petite famille allait sortir, un chauffard avait écrasé sa femme et son fils sous ses yeux. Sa famille lui donnait la force de ne plus être renfermé envers les autres et de se sentir en confiance. Leur mort avait été comme un coup de poignard qu'il était devenu bien méfiant. Il ne voulait plus souffrir. Il avait décidé de fuir la ville pour se réfugier à Neptune et oublier le passé en se réfugiant dans le travail. Il était occupé avec une patiente qui venait pour une consultation. Elle était plutôt belle, magnifique et avec des courbes à faire palir n'importe quel homme. Ce qu'elle ressentait depuis un certain temps, c'était de douloureuses migraines, celles qui handicapaient sérieusement. Elle se prénommait Bianca Elena Hamilton, et elle était célèbre dans l'industrie du textile. On disait souvent d'elle qu'elle était une femme décidée et qui savait ce qu'elle voulait. Elle était veuve depuis récemment. Son mari était décédé selon les conclusions des médecins à une vilaine crise cardiaque, mais certains doutaient de cette version. Etait-elle une criminelle ou bien était-elle une femme qui était la victime de vilaines rumeurs ? C'était la grande question. Le mystère entourait cette jeune femme. Lorsque son mari était décédé, Michael était auprès d'elle, à apporter un certain réconfort et elle désirait davantage, voulant des attentions et le croquer. Elle voulait posséder ce bellâtre. Elle usera de sa position de veuve pour l'attirer vers elle tout en usant d'attentions subtiles et en se montrant charmante. Ainsi, elle lui fera une proposition qu'il ne pourra qu'accepter et elle le croquera. Michael commençait sa consultation, essayant de manipuler la tête de sa patiente. Elle le regardait avec une telle douceur et une telle perversité pour le faire fondre. Il se sentait attirer par elle, mais préférait refréner ses sentiments pour rester lucide. Cependant en compagnie de cette très belle femme, ce n'était pas facile.

     

    (jouant la gênée et effleurant timidement la main de son médecin pour l'attendrir) : « Je ne sais pas ce que j'aurai fait sans vous. C'est que ses douleurs sont tellement insupportables. J'ai si peur.

     

    (déstabilisé et se montrant rassurant) : Ne vous en faites pas. Je ferai en sorte que vous guérissez et au plus vite.

     

    (laissant une larme couler, remontant lentement sa main à hauteur de son bras et de son épaule, se montrant reconnaissante et le valorisant pour l'émouvoir qu'il désirera la protéger) : Je vous suis plus que reconnaissante bel ange de tout ce que vous faites pour moi. Je me sens en sécurité, rassurée. C'est rare de voir quelqu'un d'aussi charmant, d'aussi attentionnée et en même temps si prévenant.

     

    (gêné) : Je ne sais pas quoi dire par autant de compliments. Venant d'une femme aussi belle et divine que vous, c'est même un honneur. Vous êtes la quintessence de la beauté féminine. Et vous savez, je suis ravie de pouvoir vous aider. Que vous soyez aussi mal est un crime.

     

    (jouant la touchée effleurant subtilement son épaule, son cou puis sa joue en se mordillant la lèvre pour le troubler) : Jamais on n'a pris soin de moi comme vous le faîtes. Ses compliments me touchent tellement. C'est que j'en reçois si peu à croire que je ne les mérite pas.

     

    (déstabilisé et troublé) : Vous devez en entendre plus souvent. C'est une telle injustice que je me chargerai de vous en donner bien plus souvent. Vous êtes d'une beauté à couper le souffle.

     

    (effleurant le haut de son torse, glissant tout doucement ses doigts sous sa chemise et donnant un baiser subtil et pervers sur sa joue pour le faire frémir qu'il la désirera) : J'aimerai vous inviter après à prendre un verre avec moi.

     

    (charmé mais essayant de résister ne voulant pas transgresser le lien médecin/patient) : Mais cela ne serait pas déontologique vous le savez ?

     

    (s'approchant en laissant son souffle agir sur son cou, effleurant ses lèvres avec son index, se le mordillant coquinement et effleurant le haut de sa jambe furtivement tout en lui faisant un clin d'oeil pour l'apâter) : Ne me dites pas qu'enfreindre les règles ne vous a pas effleuré une fois et je parie que vous en rêvez de suite. Laissez-vous tenter et je vous promets un moment agréable loin de tout ceci. C'est que j'aimerai oublier ses maux de tête en charmante compagnie et vous l'êtes.

     

    (se laissant influencer) : Je serai ravi de prendre ce verre avec vous mais dès que vous aurez passé vos examens à savoir une IRM d'accord ?

     

    (souriant légèrement mais cachant quand même sa grande satisfaction et jouant l'effrayée pour attiser son côté protecteur qu'il prendra soin d'elle) : Alors je vous suis. Mais rassurez-moi, c'est sans danger ? »

    (se montrant rassurant et gentil) : Rassurez-vous, vus ne risquez rien.

     

    (souriant timidement effleurant lentement le coin de ses lèvres puis son dos pour éveiller un tel désir qu'il ne pourra pas résister) : Je viens avec vous de ce pas.

     

     

    Michael la guidait vers le fauteuil et l'emmenait vers la salle d'IRM. Il pensait ne jamais ressentir une attirance pour une autre femme depuis la mort de sa bien-aimée, mais il ne pouvait expliquer pourquoi sa patiente l'attirait autant. Bianca avait réussi la première phase avec sa proposition, et comme elle allait se retrouver seule avec lui, elle lui sortira le grand jeu se montrant de plus en plus entreprenante et jouant de son corps, en l'amenant à jouer avec les interdits pour le piéger qu'il ne pourra pas s'en sortir. Qu'allaient-ils arriver entre eux ? Quelques instants après leur départ, John arrivait à l'entrée de l'hôpital. Deux policiers étaient en patrouille suite au bruit qui était entendu dans le couloir. Doucement, celui-ci déterminé frappait le premier et tirait sur le deuxième qui comptait l'abattre. Il continuait son chemin, arrivant aux urgences et c'était à cet instant qu'il voyait en face James, celui qu'il détestait par-dessus tout et son neveu Sam juste à ses côtés. Dès lors, il avait une idée, une qui lui permettait d'emprisonner ses ennemis dans un seul endroit. Il savait qu'Adam et Peyton étaient arrivés les premiers alors il pouvait agir, espérant que son père était dans les parages également. Il mettait l'arme en évidence criant.

     

    (déterminé) : « Vous ne bougez pas, sinon, je tire sur l'un d'entre vous compris ?

     

    (tentant d'apaiser les tensions) : Toutes ses personnes n'ont pas besoin de participer à ce qui arrive entre nos familles. Laisse-les partir, et je reste ton otage.

     

    (curieux) : Bien sûr, tu désireras que Sam parte d'ici, n'est-ce pas ?

     

    (déterminé et énervé) : C'est mon fils, alors je ne le laisserai pas entre tes griffes ni même entre les griffes d'aucun Summers. Tu as tout fait pour me séparer de ta soeur, et ensuite de mon fils en me mettant hors la loi, alors maintenant, tu peux aller chier dans ta caisse pour que tu me manipules comme tu l'as fait à l'époque. Tu ne détruiras plus ma vie connard !

     

    (le menaçant) : Oh, je pensais que tu allais faire une bonne action, comme quoi. Un innocent devra mourir par ta faute jusqu'à ce que tu cèdes, c'est ça que tu veux ?

     

    (insistant) : Je ne cèderai pas, c'est clair dans ta tête de con ?

     

    (jouant l'air supérieur) : Alors que les autres membres de ta famille sont en danger à l'heure actuelle, tu ne reconsidères pas ta position ?

     

    (fou de rage) : Je vais te tuer !

     

    (le provoquant en prenant une jeune femme en otage qui venait juste d'arriver et en pointant son arme sur elle) : Alors maintenant, tu vas tenter de le faire ?

     

    (furieux) : Espèce de lâche ! Laisse ses gens tranquille et viens m'affronter si tu es un homme, que l'on s'explique tous les deux.

     

    (le provoquant) : Je m'assure de mes arrières. Et tu vas me donner ce que je veux, compris ? »

     

    John avait une influence grandissante que James se retrouvait piéger, surtout que la jeune femme qui était en face de lui était en grand danger. Que faire dans ce genre de situation ? Céder à son chantage au point de laisser son fils avec lui aux mains d'un grand dingue ou bien laisser cette jeune femme mourir au nom de la protection de son fils ? Un otage en profitait pendant cette discussion pour donner l'alerte. C'était d'autant plus difficile quand John incitait la jeune femme à parler. 

     

    (effrayée) : « Je vous en prie, aidez-moi. »

     

    Cette jeune femme venait d'arriver dans cet hôpital dans un but bien précis : retrouver une personne qui avait été pour elle si importante à ses yeux : Michael. Elle s'appelait Isabel Caldwell et elle était la jeune soeur de Megan la défunte épouse de Michael. Pendant tout ce temps où le couple se fréquentait, Isabel était toute proche préparant son heure. D'ailleurs, elle avait commencé à se rapprocher de lui, devenant une confidente et une alliée. Elle désirait le pousser à l'adultère, lui promettant qu'elle pouvait lui apporter bien mieux que sa grande sœur. La veille du jour du décès de Megan, Isabel était passée à l'action avec un petit dîner, et ils s'étaient embrassés sur la fin. Gêné, Michael lui avait montré que cela n'ira pas plus loin, car il était fou amoureux de Megan et de son fiston. Après cette soirée, ils ne s'étaient plus jamais revus. Le lendemain, Megan et son neveu étaient décédés. Alors qu'elle allait le voir suite au décès de Megan et de son neveu Kyle, Michael avait pris la fuite. Elle avait tout de suite préparé ses bagages afin de le retrouver et finalement, grâce à une investigation poussée, elle savait qu'il était dans son hôpital. Allait-elle pouvoir s'en sortir et ensuite le croiser ? Pendant ce temps, à l'extérieur de l'hôpital, c'était la panique. Il y avait de nombreuses voitures de police, journalistes et même davantage. Parmi ses personnes, il y avait une policière qui avait pris son poste depuis peu et qui était mise sur cette prise d'otage. Elle s'appelait Eleanore Jane Davenport et elle était en poste à Los Angeles avant d'avoir été transférée à Neptune suite à son agissement des plus dangereux. En effet, celle-ci avait poursuivi contre l'avis de ses supérieurs un suspect dans un trafic de drogues important. Ses supérieurs lui avaient dit de ne pas intervenir car il n'y avait aucune preuve, mais Eleanore avait remarqué un jeune homme qui était en danger à l'époque, kidnappé par ses malfrats et elle ne voulait pas le laisser entre leurs griffes. Elle avait décidé d'intervenir. Il y avait eu un véritable carnage. Le suspect principal a été tué et elle était gravement blessée. Heureusement pour elle, son innocent était sauvé. Pendant de nombreux jours, voir semaines pour lesquelles, elle avait dû penser à se reposer. Depuis cet instant, elle n'avait jamais revu celui qu'elle avait sauvé et elle le regrettait amèrement. Cependant, cette affaire de prise d'otages la sortait de ses pensées. Il fallait trouver vite un terrain d'entente afin que les otages s'en sortent indemne. Elle appelait la ligne de l'hôpital afin d'avoir un responsable au bout du fil. Et elle tombait sur un John plutôt énervé.

     

    (énervé) : « Qu'est-ce que vous venez me faire chier maintenant ?

     

    (restant calme afin d'apaiser la situation) : Je suis l'inspecteur Eleanore Jane Davenport et je suis là pour trouver une solution à notre problème.

     

    (faisant l'innocent) : Oh, mais quel problème ?

     

    (tentant d'apaiser la situation) : Je suis là afin que les otages s'en sortent sains et saufs. Je suis là pour qu'il n'y ait aucune victime. Dites-moi, qu'est-ce que vous désirez ?

     

        (satisfait d'avoir la possibilité de faire ce qu'il veut) : Je veux une voiture, je veux un avion et un pilote m'amenant directement au Brésil avec des passagers à bord.

     

    (curieuse) : Qui souhaitez-vous amener ?

     

    (pensant mettre la police dans une situation inextricable avec un choix cornélien) : Avec des personnes qui m'accompagnent et des otages.

     

    (déterminée et insistante) : Vous savez que je ne peux vous laisser partir avec des otages. D'ailleurs à qui je parle exactement ?

     

    (connaissant la stratégie des prises otages) : Bien essayé mais vous croyez sincèrement que je vais vous donner le moyen de connaître mon passé Eleanore ? Vous vous trompez sur mon compte. Et puis garder des otages me permettra d'être en sécurité. Qui me garantit que j'atteindrai la voiture puis l'aéroport avec des compagnons de voyage hein ? Alors vous avez intérêt à faire ce que je demande sinon je tue un otage toutes les demi-heures c'est clair ?

     

    (mentant) : On va faire selon vos désirs. »   

     

    Eleanore raccrochait. Elle savait pertinemment qu'elle n'allait pas laisser cet individu arriver à ses fins, et il n'était plus question de négociations. Il fallait trouver un moyen de libérer ses personnes. Dès lors, elle recevait un appel de ses supérieurs, mais elle préférait l'ignorer. Elle allait vers ses subordonnées, sortant un plan de l'hôpital avec ses entrées. Il fallait intervenir. Allait-elle réussir sa mission ? Pendant ce temps, Peyton avait l'enfant de Veronica et de Logan dans ses bras. Elle s'enfuyait, ayant bien l'intention de l'emmener le plus loin possible de ce lieu et l'élevant comme si cet enfant était un Summers et permettant ainsi de se venger de son ennemie jurée comme personne. Alors qu'elle allait atteindre la porte de secours, elle entendait une voix qui criait. Elle se tournait et se trouvait en face de Logan, bien énervé et fou de rage. Elle s'approchait avec le petit, restant à une grande distance de lui.

     

    (surprise mais en même temps jouant la carte de la provocation pour voir où va aller son adversaire) : « Je suis surprise de voir que c'est toi.

     

    (énervé) : Tu crois que j'allais laisser mon fils dans les bras d'une connasse dans ton genre ? Tu te goures alors rends-moi mon fils et je te laisserai partir !

     

    (jouant la calme en le manipulant et en le provoquant pour lui faire perdre ses moyens) : Petit joueur que tu es. Tu penses sérieusement que ce genre de proposition va me faire revenir sur mes positions ? La stratégie, a priori, tu ignores ce que cela veut dire.

     

    (se laissant influencer) : Je ferai n'importe quoi pour sauver mon fils.

     

    (jouant l'innocente pour l'apâter) : Oh vraiment ?

     

    (énervé) : Oui, alors donne-moi mon fils et je ferai ce que tu veux pour toi.

     

     

          (au fond satisfaite mais cachée ses sentiments afin de mieux le manipuler en étant charmante qu'il se retrouvera piégé) : Ce que je veux ? Hum, intéressant très cher. Alors je te donne ton fils si tu nous laisses tes frères et mon cousin en cadeau.

     

    (déstabilisé) : Mais, je ne peux pas faire cela. Ils sont de ma famille.

     

    (insistant en jouant d'une moue pour l'amadouer) : Mais ils ne sont rien comparé à ton fils. Et puis, si tu réfléchis bien, Keith a détruit la mienne, alors il n'y a pas de raison pour que je détruise la sienne, et quoi dire d'autre à part que d'un, tu es le frère de James et de Jason et ensuite, tu es le mari de Veronica. Donc, tu fais partie du lot. Préfères-tu souffrir de la perte de tes frères et de ton neveu ou préfères-tu souffrir de la perte de ton fils ?

     

    (énervé) : Tu n'es qu'une sale garce !

     

     

    (s'approchant lentement avec le petit, jouant la parfaite grande sœur afin d'influencer sa réponse) : Regarde comme ce petit est si mignon. Alors ta décision très cher ?

     

    (résigné) : Je te déteste ! Bon, je laisse mes frangins et mon neveu. Donne-moi mon fils maintenant !

     

    (restant calme et s'avançant pour procéder à l'échange en le menaçant pour l'avoir totalement sous son contrôle qu'il ne pourra rien faire) : Alors arrive doucement près de moi, et tu l'auras. Si tu fais un geste pour tenter de m'arrêter après, je reviendrai et plus jamais tu ne reverras ton fils. Si tu préviens tes frères et ton neveu du marché, je reviendrai pour prendre ton fils. As-tu compris ?

     

    (résigné) : Oui. »

     

    Peyton s'approchait donnant l'enfant à son père et ne restait pas longtemps. Elle s'enfuyait ayant l'arme à la main pour aller rejoindre ses partenaires. Qu'allait-elle faire ? Logan de son côté, repartait avec l'enfant tranquillement pour retrouver Veronica. Il se sentait cependant coupable de ce qu'il venait de faire. Certes, c'était pour sauver cet être qu'il tenait dans ses bras et qu'il aimait plus que tout au monde, mais au fond, il sacrifiait une partie de sa famille. De leur côté, Jessica et Dick arrivaient devant une grande maison. Sur le chemin, les deux avaient pris un peu de matériel pour localiser quelqu'un pouvant les aider, quelqu'un d'intègre. Grâce à une petite recherche de Jessica, ils avaient trouvé un nom : Derek Samuel Collins. Celui-ci était connu en tant que substitut du procureur, un de ceux qui étaient régis par le district. John Summers était le requin parmi l'équipe, mais Derek lui était une de ses personnes proches des habitants et désirant à tout prix préserver Neptune des policiers corrompus, des criminels qui faisaient loin. Il habitait Neptune depuis plusieurs années. Il était marié à une jeune femme qui malheureusement a été kidnappée et dont il n'a eu qu'une demande de rançon à remettre le lendemain au parc de la ville. Dans la maison qu'il occupait, il vivait avec sa jeune soeur Mackenzie Olivia. Elle était arrivée la veille dans la demeure sans donner aucune explication à son grand frère. Elle était studieuse mais ne pouvait plus rester sur le campus. Elle étudiait les sciences humaines mais visiblement, il lui était arrivée quelque chose de grave la veille pour qu'elle reste dans un profond mutisme. Quel était cet événement ? Donc Jessica et Dick étaient devant cette demeure et descendaient de la voiture. Ils sonnaient et quelqu'un venait. Le substitut était présent.

     

    (curieux) : « Vous désirez ?

     

    (gênée) : Excusez-nous de vous déranger mais nous avons besoin de vous.

     

    (curieux) : Expliquez-moi.

     

    : C'est à propos des Summers.

     

    (surpris) : Vous m'intriguez, dites-moi tout.

     

    (effrayée) : Les Summers sont responsables de plusieurs meurtres et tentatives de meurtres à l'encontre de diverses personnes.

     

    (curieux) : Quand vous dites les Summers, vous évoquez qui exactement ?

     

    (se confiant) : Il s'agit de tous les Summers que ce soit par le père Jack, ses fils John et Adam et Peyton, la fille de John.

     

    (prenant conscience de la situation et quand même prudent) : Je vois en effet les enjeux, mais pourquoi êtes-vous venus me chercher exactement ? Et avez-vous des preuves qui incriminent les Summers dans leur globalité ? 

       (calme) : Nous en avons.

     

         (inquiet et curieux) : Vous savez que s'attaquer à une institution dans cette ville est risquée ? Et puis d'abord, qui êtes-vous ?

     

    (calme) : Je suis Jessica Davis, la soeur de Shawn Davis agent du FBI. Il a travaillé sur les récents meurtres commis en ville de même que les disparitions. D'ailleurs tous ses évènements sont liés de près à Keith Mars et à la famille Bennet.

     

    (curieux) : Jason et James Bennet ? Vous savez qu'ils sont recherchés depuis leur évasion ?

     

         (curieuse) : Mais si John Summers est condamné pour ses crimes, toutes les affaires qu'il a pu instruire seront rejugées non ?

       

     

     

    (admiratif) : Vous m'impressionnez. C'est exact. Vous êtes dans le droit ?

     

    (admirant ce bellâtre et voyant l'occasion de se rapprocher de lui avec une proposition) : Non, mais qui sait, si je ne commencerai pas des études dans cette branche. J'aimerai à ce moment-là que vous soyez mon mentor.

     

    (rougissant légèrement mais essayant de résister à cette attirance qui était en train de naître au plus profond de lui) : J'aimerai, mais vous savez, je ne suis pas aussi exceptionnel que vous devez sûrement le penser.

     

    (tentant de l'apaiser et le flattant en effleurant doucement son épaule pour l'amadouer) : Ne vous inquiétez pas, c'est à moi de juger si vous êtes exceptionnel ou non. Vous êtes si prévenant et intègre avec un visage si charmant. Vous savez que c'est rare ?

     

    (déstabilisé) : Je l'ignorai. Et je ne sais pas quoi dire avec tous ses compliments. Vous êtes si charmante, d'une telle beauté, que je serai ravi de vous aider.

     

        

    (jouant la touchée effleurant doucement son bras puis sa main pour mieux l'attendrir) : C'est gentil. Ce n'est pas souvent que l'on me fait des compliments de ce genre, je n'en ai pas l'habitude.    

     

     

    (charmé) : Alors je vous en dirai davantage. C'est une véritable injustice qu'une déesse comme vous n'en reçoive pas davantage.

     

    (intervenant furieux) : Non mais Jessica, tu n'as pas fini ton cirque ? Tu es ma gonzesse à moi !

     

    (furieuse en donnant une gifle à Dick) : Une gifle vaut mieux que tous les mots connard ! »

     

     

    Dick s'en allait en claquant la porte derrière lui et partait avec la voiture, laissant Jessica seule avec Derek. Il était vrai que Jessica en parlant avec Derek ressentait plus qu'une attirance. Jamais elle n'avait rencontré quelqu'un d'aussi charmant, prévenant, charismatique et intègre comme lui. Il avait également cette part de mystère qui fascinait la jeune femme et elle désirait le connaître davantage, même le posséder. En sa présence, elle envisageait un avenir, une carrière et elle comptait bien attraper sa proie pour arriver à réalise ses rêves les plus enfouis. Va-t-elle réussir ? Jessica montrait à quel point elle était énervée que Derek s'approchait d'elle et la prenait dans ses bras afin de la calmer. Jessica se sentait rassurée qu'elle en profitait pour se rapprocher de lui. Elle effleurait doucement son torse laissant son souffle agir sur son cou pour le désorienter qu'il pensera irrationnellement. Cela marchait qu'il effleurait tendrement la joue de la belle se mordillant la lèvre. Seulement, il était fidèle à son épouse. Il s'inquiétait pour elle, et le fait de la trahir serait inimaginable. Il devait penser à la sauver que finalement il s'éloignait de Jessica allant vers la fenêtre et regardant vers l'horizon l'air songeur. Elle s'approchait de lui, posant sa main sur son épaule. Elle ne comptait pas le laisser s'en aller et se rapprochera en douceur de lui pour réaliser son plan de carrière à savoir d'être avocate, ou même au sein du bureau du procureur et même d'être auprès de Derek. Elle se rendait bien compte que même si elle avait été amoureuse de Dick, l'étincelle qu'elle ressentait s'était envolée. Par contre avec Derek, elle ressentait un désir des plus grandissants qu'elle comptait bien assouvir.

     

     

    (s'excusant en pensant à son bien-être, procurant un léger massage au niveau de ses épaules et effleurant malicieusement ses bras pour le désarçonner qu'il sera obsédé par elle) : «Je suis désolée si je vous ai offensé d'une quelconque manière que ce soit.

     

    (essayant de résister, regardant toujours l'horizon et se confiant) : Ne vous en faites pas pour moi, ça va aller. C'est à moi de m'excuser. C'est qu'il se passe tellement de choses que je suis complètement perdu.

     

    (se montrant rassurante, serviable et à son écoute en effleurant furtivement son cou pour le déstabiliser) : Vous n'avez pas besoin de vous excuser vous savez. Je m'en ferai toujours pour vous, et tout ce que je vous souhaite, c'est le meilleur. Si vous désirez vous confier, si vous désirez n'importe quoi, sachez que je suis là pour vous.

     

    (charmé) : Je suis plus que touché. Vous êtes une jeune femme exceptionnelle. »

     

    Alors que Jessica allait répondre, Derek se tournait la regardant. Dès lors, elle effleurait innocemment la joue du bellâtre, atteignant presque le coin de ses lèvres et se plongeant dans son regard pour l'ensorceler. Elle effleurait ensuite le bas de sa jambe avec son pied, laissant doucement ses doigts frôler le dessous du bas de sa chemise pour le faire frémir qu'il la réclamera. Il la désirait sur l'instant. Résister à la tentation était si dur mais il entendait du bruit dans la maison. Il s'éloignait de Jessica alors qu'il voyait une personne qui était rentrée et qui n'était autre que Mackenzie. Elle regardait le duo avec un air suspicieux.

     

    (curieuse) : « Tu reçois quelqu'un frangin, c'est nouveau ?

     

    (plutôt taquin) : Oh, à l'improviste, et tu es sorti de ta chambre de ton côté.

     

    (songeuse, curieuse et inquiète) : J'avais besoin de prendre un peu l'air. Qu'est-ce que cette jeune femme vient faire ici ? J'espère que tu ne vas pas rencontrer de nouvelles galères.

     

    (la rassurant) : Ne t'inquiète pas, c'est pour une affaire et je ne risque rien. Tu sais que ton grand frère sait se protéger.

     

    (songeuse) : C'est que je m'inquiète justement. Je ne veux pas te perdre, tu le sais ?

     

     

    (la prenant dans ses bras, la calinant et lui donnant un tendre baiser sur le front) : Aie confiance en moi. Tu me verras toujours entier. Et d'ailleurs, tu sais que l'on doit parler. 

     

     

    (déviant la conversation) : Pour l'instant, je ne peux pas. Je dois recevoir quelqu'un dans peu de temps.

     

    (curieux) : Je peux savoir qui ?

     

    (un peu vexée mais le cachant, en restant calme) : Juste un ami qui vient m'aider à rattraper dans mon retard, à moins que tu vois un inconvénient ?

     

    (calme) : Aucun soucis, je te fais confiance,mais par contre, je te le dis souvent, mais pas de conneries d'accord ?

     

    (affichant un sourire léger) : Oui grand frère chéri que j'aime et que j'adore.

     

    (rassuré et la soutenant) : Je suis rassuré tu sais. Bon courage pour le fait de rattraper ton retard.

     

    (souriant légèrement et curieux) : Merci, c'est gentil. Mais tu n'as pas répondu totalement à ma question au sujet de cette demoiselle ?

     

    (intervenant toute gênée) : C'est pour une affaire concernant une famille : les Summers.

     

    (ne comprenant pas grand chose) : Oh, ça doit être le blabla juridique. J'espère que mon frère vous aidera. Et puis, comment vous vous appelez ?

     

    (calme) : Je suis certaine qu'il sera l'homme pouvant m'aider dans cette situation. Oui, au fait, je m'appelle Jessica Davis et vous ?

     

    (calme) : Enchantée, moi, je m'appelle Mackenzie Olivia Collins.

     

    (calme) : Enchantée également.

     

    (connaissant les enjeux) : Jessica, si vous voulez bien me suivre.

     

    : Bien sûr. Je peux vous guider vers d'autres personnes qui souhaitent également voir les Summers emprisonnés.

     

    (souriant) : C'est parfait. Mackenzie garde-bien la maison, et pas de fête.

     

    (exacerbé mais cachant son sentiment) : Tu sais bien que je suis sage comme une image. Alors non, pas de fiesta.

     

    (souriant) : Je suis rassuré. »

     

    Derek embrassait sa soeur sur la joue puis il partait avec Jessica. Seulement, cette dernière lui avait caché l'information capitale que son frère et les Bennet voulaient piéger les Summers. Comment Derek réagira-t-il ? Jessica va-t-il pouvoir attraper ce bellâtre dans ses filets ? Dès que les deux étaient partis, Mackenzie appelait un numéro bien mystérieux.

     

    : « C'est moi. Les Summers seront bientôt pris au piège et arrêtés. Mon frère est aux commandes pour éventuellement un procès contre eux. »

     

    Qui avait-elle prévenu ? Et qu'est-ce qui allait arriver par la suite ? En tout cas, Mackenzie avait bel et bien ses secrets. Pendant ce temps, Eleanore avait fini de regarder les plans, et avait découvert un passage permettant d'avoir accès à l'hôpital sans être repéré. Ainsi, des personnes demandaient à venir avec elle mais celle-ci déclinait l'invitation, préférant se débrouiller. Elle était téméraire mais valait mieux que si ça foire, une seule personne aille en comité de discipline. Elle protégeait ainsi les personnes qui étaient sous ses ordres. Prenant le plan et une arme qu'elle cachait soigneusement, elle allait vers le passage s'y glissant. Au même instant, Jason et Shawn étaient face à Adam qui était plutôt ravi de les avoir piégé. Et ainsi, il pouvait les canarder sans soucis, éliminant enfin le problème Benett une bonne fois pour toute. Shawn était plutôt apeuré par la situation. Jason le regardait et le giflait pour le réveiller.

     

      (ayant mal) : « Non mais ça ne va pas dans ta tête ?

     

    : Non mais comme si tu vas dicter la loi, tu te fous de la gueule du monde ? On doit essayer de se démerder face un dingue.

     

    (curieux) : Comment on va faire ?

     

    (intervenant et provoquant) : Ton ami est accès sur la connerie la plus bête qui soit non ? Restez-là tous les deux, je vais pouvoir enfin vous dégommer selon mon plaisir. Il est temps maintenant de crever les gars. Un dernier mot peut-être non ?

     

    (provoquant également) : Et si je te disais que c'est toi qui va crever ?

     

    (rigolant) : Alors que j'ai un flingue pointé vers vous, que je peux tirer à n'importe quel moment ? Je vais rire encore longtemps. A priori, tu as envie de mourir, réellement. Et cette fois-ci, je ne te blesserai pas, je te tuerai.

     

    (provoquant) : J'attends de voir femmelette ce dont tu es capable. » 

     

    Adam pointait son arme. Jason s'approchait, le défiant du regard afin de voir si Adam était bel et bien un lâche. On voyait que le plus jeune des Summers était énervé de voir autant de détermination. Jason se baissait, faisant un croche-patte à son ennemi. Seulement, Adam avait tiré par accident et atteignait Shawn qui tombait au sol. Où était-il blessé exactement ? Allait-il survivre ? Jason avait l'avantage sur son ennemi qu'il le frappait avec un plaisir absolu. Les coups de poings étaient de plus en plus violents quand soudain il entendait un petit déclic contre sa tempe. Il levait ses mains en l'air.

     

      (surpris) : « Jack c'est toi ?

     

    (donnant une gifle à son ennemi par l'arrière pour le réveiller) : J'ai l'air d'être Jack selon toi ?

     

    (se montrant calme et tentant de raisonner la jeune femme) : Peyton. Reprend tes esprits ! Ta famille fait du grand n'importe quoi. Tu te rends compte dans quoi tu t'embarques ? Et puis, tu aimes Shawn que je sache. Adam lui a tiré dessus. Tu ne penses pas à lui ?

     

    (jouant celle énervée et celle qui craquait pour dérouter sa proie) : Tu sais aussi bien que moi que la famille est le plus important. Je l'ai aimé mais il n'a jamais pensé aux blessures que les miens ont subi. A cause de Keith Mars et de vous les Benett, j'ai perdu ma mère, ma grand-mère, mes tantes aussi. Ca suffit merde et on mérite justice. Tu comprends ce sentiment de justice tout comme moi. Alors pourquoi essayer de me convaincre que ce que je fais n'est pas bien ? Je veux le bonheur des miens, je veux le bonheur des personnes autour de moi simplement c'est difficile à comprendre ? Je t'ai toujours cru le plus censé de ta famille, alors réfléchis à tout cela s'il te plait. Toi et ton frère, vous avez tout fait pour vous venger de votre père et vous étiez capable de tout.

     

    (compréhensif pour essayer de tout faire pour qu'elle baisse son arme) : Je comprends ce sentiment. Et j'ai regretté ce que j'ai fait car même si c'était sur fond de justice mes intentions, j'ai fait du mal autour de moi, et depuis, je tente de me racheter. Arrête avant qu'il ne soit trop tard Peyton. Pour ton père, ton oncle et ton grand-père c'est trop tard, mais toi, je sais que tu as toute la vie devant toi. Tu peux racheter les actions de ta famille.

     

    (comprenant ce que tentait de faire Jason qu'elle allait le laisser continuer s'éloignant afin de laisser du champ à Jason, jouant celle qui regrettait ses actes en pleurant pour mieux le piéger avec l'idée de feindre qu'elle trahissait sa famille et attendrir sa proie) : Comment Jason ? Comment je peux me racheter et racheter le nom des miens ?

     

    (se tournant et voyant Peyton qu'il s'approchait d'elle, lui faisant signe de baisser l'arme et touchant son épaule) : Commence par baisser ton arme et on pourra parler toi et moi, qu'est-ce que tu en dis ? » 

     

    Peyton ne disait rien sur le coup pour mieux jouer la surprise et celle pris par les remords qu'elle attisera le côté protecteur de sa proie. Elle jouait celle hésitante pour mieux remplir son rôle. En voyant Jason face à elle, et sans que personne ne parle à sa place était nouveau. Elle avait le choix. Elle pouvait choisir sa voie. Surtout, elle ressentait une certaine attirance pour cet homme qui était plutôt beau gosse à ses yeux. Le voir si protecteur envers quelqu'un était nouveau pour elle. Dans sa famille, c'était le fait d'être toujours la meilleure qui comptait, et les drames qui étaient survenus n'avaient pas arrangés cet état de fait. Elle avait bien l'intention d'avoir Jason auprès d'elle et jouer le fait de trahir sa propre famille était un grand coup. Allait-elle réussir ? Pendant ce temps, James avec son petit garçon était aux prises avec John qui semblait bel et bien avoir perdu la raison. Il retenait la jeune femme, Isabel en otage. Il insistait en plus avec son arme pour que James prenne rapidement une décision. Celui-ci était emmerdé. John le sortait de ses pensées. 

     

    (énervé) : « Tu sais que si tu prends six mois à réfléchir, cette jeune femme ne s'en tirera pas comme ça ?

     

    (essayant de faire entendre raison) : Tu te rends compte de ce que tu es en train de faire ?

     

    (plutôt fier) : Oh, je le suis, sachant que j'aurai Sam avec moi, alors tu attends quoi pour donner ta réponse ? Peut-être que je la tue et sous tes yeux.

     

    (désespéré) : Ne fais pas ça !

     

    : Alors ?

     

    (intervenant et étant arrivé sans bruit vers la salle) : Il n'y aura pas ce genre de chose.

     

    (reconnaissant cette voix) : Eleanore ?

     

    (énervée) : John. Pour une connerie dans ce genre, il ne pouvait y avoir que toi. Relâche tout le monde, et ce n'est pas la peine de faire payer des innocents pour la mort de ma soeur, ta défunte épouse ! »

     

    C'était la surprise, la grande surprise. John n'avait pas pensé qu'il pouvait un jour recroiser la route de la famille de son ancienne épouse. Entre Eleanore et lui, c'était la guerre avant la mort de sa femme. Maintenant qu'elle était partie, cela allait être infernal. James profitait de l'inattention de John pour pousser la jeune femme aux prises avec ce dingue. Isabel était heureuse d'être libre et elle décidait de prendre la sortie. John, énervé, allait vers Sam, afin enfin de le prendre et de partir avec lui, mais James lui sautait dessus. Il s'ensuivait un combat entre les deux hommes. Eleanore consciente de la gravité de la situation, faisait sortir toutes les personnes présentes dans les urgences. John voulait l'en empêcher, mais James s'occupait de lui mettre la raclée de sa vie. L'ainé des Summers ne se laissait pas faire et poussait James à terre. Alors que le monde qu'il y avait aux urgences partait les uns après les autres, John s'approchait de Sam bien effrayé par son oncle. Il était menaçant et le forçait à le suivre. James se relevait et se mettait en travers de John et de son fils. John bien énervé tirait sur son ennemi et il s'écroulait. Sam pleurait toutes les larmes de son corps. James allait-il survivre à ses blessures ? John prenait Sam avec lui et s'enfuyait, bien décidé à retrouver les membres de sa famille présents dans l'immeuble. Eleanore tentait de l'en empêcher mais il frappait la jeune femme violemment sur le visage qu'elle tombait au sol. Il partait vers les étages. Eleanore reprenait ses esprits quelques secondes après. Elle était tiraillée entre le fait d'aider cet homme et cet enfant, mais l'enfant était le plus important, alors elle partait vite rattraper John.

     

    A suivre.....

     

      

        


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :